[EVENT] La bataille de Trois Tours

La Bataille de Trois-Tours

An 304, Lune 5, Semaine 1

" Crétin ", c'est tout ce que le vieux soldat avait pu sortir, tant la colère s'était emparé de lui. " Quel abruti ", maugréa-t-il dans sa barbe. Il avait vu toute la scène, le cheval s'était cabré, le noble était tombé. Mais il l'avait perdu de vu. Au loin, il voyait son cheval disparaître dans la foule, mais il ne voyait plus le Mullendor. " Lamentable", rajouta-t-il tout en essayant de le retrouver. Il l'avait dit, cet idiot sauvait les traîtres, et il allait mourir à cause de cela.  " Une bonne blague de taverne " continuait-il de fulminer. L'insulter lui faisait du bien. Parce qu'honnêtement, il en avait plus que marre de devoir protéger des incompétents. Poussant un autre soldat, il continuait d'avancer dans cette marée humaine. Et il le vit, sur le côté, la tête en sang.

Le visage du jeune Mullendor ( @Elias Dunn ) était ensanglanté, il survivrait. Il déchira un pan de sa chemise, et lui tendit. Il devait voir clair pour continuer le combat, penser ses blessures et repartir défendre les siens. Tout son être exprimait le dégoût pour son action, mais il était un noble, et Nesta respectait la hiérarchie. Il pouvait le critiquer ouvertement, mais jamais devant lui. Pourtant, qu'est-ce qu'il aurait aimé lui dire à quel point il avait été idiot.

Il se détourna de Quentyn, attendant qu'il soit prêt pour repartir au combat, mais à peine il se remit en position qu'il vit un guerrier lui foncer dessus. Il le chargeait comme un taureau, si bien que Nesta tomba au sol. Il était trop vieux pour ces conneries. Il le sentait, ses genoux commençaient à craquer, son souffle devenait plus difficile à récupérer. Il fatiguait. Ses muscles commençaient à trembler par l'effort, et il avait eu des difficultés à se relever, mais il ne paniquait pas. S'il devait mourir, autant que cela soit pour la défense du Bief pensait-il. Ramassant un bouclier sur le sol, il fit face à un nouvel ennemi.

Se craquant la nuque, Nesta lui montrait qu'il n'avait aucunement peur de lui. Qu'il était prêt à l'affronter, même si son corps réclamait une pause. Le guerrier visa son buste, mais l'épée fut déviée par son bouclier. Tout deux échangèrent des coups d'épées, elles s'entrechoquaient, sans vraiment blesser l'autre. Il était rapide, sans faille apparente. Un bon soldat, pas les gamins qu'il avait tués précédemment. Alors il opta pour une autre stratégie, il lui lança le bouclier, et enfonça son épée dans le bas de son ventre. La lame s'enfonça aisément, mais il fut plus difficile de la récupérer, car l'autre s'était dégagé, emportant avec lui sa seule arme.

Lancé 4:

La Bataille de Trois-Tours

An 304, Lune 5, Semaine 1 | Randyll Tarly

Randyll avait prévenu son ennemi, la prochaine fois, il ne retiendrait pas ses coups ! Le seigneur de Corcolline ne supportait plus cet affrontement sans fin, où personne ne semblait prendre le dessus. Peut-être que les Sept lui donnaient exactement ce qu’il avait espéré : un ennemi qui l’occuperait suffisament longtemps pour ne pas faire de dégâts sur les hommes à qui allaient vraiment son allégeance, sans pour autant que les Tyrell et leurs bannerets ne puissent mettre en doute sa loyauté… Puisqu’il se démenait comme un démon face à l’homme des Nègrebar… Et pourtant, son orgueil était touché ! Lui, le si grand combattant, le stratège, l’homme militaire avait vieilli. Il ne semblait plus capable de pourfendre son ennemi d’un simple coup de Corvenin. Il n’était plus le fringuant combattant d’autrefois… Mais Randyll ne voulait pas voir cette vérité là en face, non l’homme du Bief était bien trop buté pour cela.

À nouveau il serra ses éperons d’argent sur les flancs de sa monture pour relancer sa course. Sauf que cette fois-ci, il avait rangé son épée d’acier valyrien dans son fourreau et c’était à pleine vitesse qu’il lançait son cheval. Et lorsqu’il approcha de l’ennemi, qui ne semblait visiblement plus quoi faire maintenant que le Tarly avait rangé son épée, il se hissa sur ses étriers et se jetta sur le Nègrebar, les projetant tous deux au sol. Le soldat adverse percuta l’herbe de plein fouet, sur le dos, Randyll par-dessus lui. Il sut aussitôt qu’il l’avait blessé ainsi, entendant son souffle court et son grognement de douleur. L’élan était tel qu’ils ne s’arrêtèrent pas là et roulèrent plusieurs fois. Après quelques secondes pour retrouver son équilibre et son souffle, Randyll remonta sur ses pieds et dégaina Corvenin. Tout son corps était douloureux et la fatigue se faisait sentir intensément. C’était improbable. L’ennemi n’avait pas fait couler son sang, mais c’était les contusions des chocs et l’usure qui prenait le meilleur de lui-même… à moins que le temps ne s’en choix chargé depuis plusieurs années à présent…

Dé #4 blessure légère > 53 (ennemi légèrement blessé, le combat continue)

La Bataille de Trois-Tours

An 304, Lune 5, Semaine 1

La bataille fait rage dans cette plaine du sud du Bief : si les débuts du combat n'ont pas été en faveur des soutiens du dragon de l'Est, leur union leur a permit de se maintenir face à l'armée, plus imposante, des défenseurs du Bief. Mais l'Etranger a déjà frappé, emportant avec lui Leo (@Félicité Hill) tandis que les survivants continue de se battre pour leur vie, pour l'honneur, persuadés d'être protégé par le Guerrier.

Mais les yeux des hommes, fixés sur leurs ennemis, sur les défunts, se sont trop désintéressés du ciel et de ses humeurs. Comme si les Sept pleuraient cette lutte intestine, une fine bruine se met à tomber sur la vallée. Les nuages s'amassent, couvrant le soleil et le ciel bleu d'un gris menaçant. Printemps facétieux, la météo clémente se change soudainement en averse : la bruine tombant depuis quelques minutes devient une pluie abondante qui sature rapidement le sol du champ de bataille.

Les armures déjà plus lourdes à cause de la fatigue deviennent un handicap alors que le poids des protections métalliques fait s'enfoncer leurs propriétaires dans une boue qui limite les mouvements. Taquinerie du destin ou coup de pouce des Sept ? Cette averse pourrait rebattre les cartes d'une bataille qui semblait gagnée.

Attention les règles changent !
A présent vous changez d'état pour fatigue non plus après trois lancers mais seulement après deux ! La gadoue rend les déplacements difficile et épuisant : vous ne pouvez plus affronter ou sauver que des personnages à proximité du vôtre. (+ d'info)

La Bataille de Trois-Tours

An 304, Lune 5, Semaine 1

Aladore aperçut la bannière Florent au loin. Après les Nègrebar et les Des Essaims, voilà que les Florent révélaient leur trahison. Le jeune chevalier était comme en transe, ne voyant pas autour de lui tout ce qui se passait. Des ennemis, des ennemis partout, à droite, à gauche, devant, derrière. Le champ de bataille boueux était devenu un méli-mélo de soldats. L’épée brandie, il avançait vers un nouvel ennemi en la personne du seigneur de Rubriant. Aladore ne répondait plus de rien. Les ennemis voulaient la guerre, ils allaient l’avoir. Pendant longtemps, le jeune chevalier s’était toujours insurgé contre la guerre, la violence, les querelles entre hommes pour un bout de pouvoir ou une chaise en fer. Aujourd’hui, il était au cœur de l’action et son esprit s’embrumait. Il ne cessait pourtant de penser à son épouse, la seule lumière qu’il entrevoyait dans toute cette obscurité.

C’est alors qu’il entendit un bruit de gouttes qui tombent sur son armure. Il s’arrêta quelques secondes, sentant alors les gouttelettes qui lui tombaient dessus. Les gouttelettes devinrent des filets d’eau et assez rapidement, la pluie s’abattit avec force sur les guerriers. Le sol devenait mou, la terre se transformait en boue mais rien n’arrêterait Aladore. Pas aujourd’hui. Pas maintenant, il s’élança alors contre Alester Florent, lançant son épée contre la pluie afin d’atteindre son ennemi.

Lancé n°5

Les épées s’entrechoquèrent mais entre les armures lourdes et le temps pluvieux, le combat fut bien plus difficile. Aladore s’acharnait sur le vieillard mais la boue limitait leur mouvement. Il ne vit pas alors l’épée venir se loger dans son épaule droite, lui arrachant un cri de souffrance. Son bras droit était déjà blessé depuis son combat contre un soldat Nègrebar. Il recula de quelques pas, manquant de tomber à la renverse à cause de la boue glissante. Il lâcha un nouveau cri de douleur lorsqu’il se retira de l’épée, prenant quelques pas de distance. Grognement, crachat, rage, Aladore tentait de ne pas céder à la douleur. Relevant sa tête, il pointa son épée vers Alester Florent. Le vieillard n’aura pas sa vie.

@Viserys Targaryen

Le vieux renard, c’était éloigner quelque peu, pour reprendre son souffle après que le chevalier l’ait sauvé. Il avait été apostrophé plusieurs fois, mais à chaque fois, il fut séparé de ses adversaires. Le vieux Florent était soucieux de l’avenir, car la bataille était incertaine, malgré la vaillance de leur rang !

Le jeune Costayne se lança sur lui l’épée au clair, avec la fougue de la jeunesse et peut être son inexpérience également. Le vieux renard avait déjà regretté sa légèreté au début de la bataille et considérer Aladore avec la plus grande attention. Il leva son bras fatigué pour parer l’attaque et avec un mouvement du bras, l’épée bloquant celle de son adversaire, et après quelques instants planta sa lame dans la chair de l’épaule de son adversaire, lui arrachant un cri de douleur. Le Costayne tomba à terre dans un cri de douleur. Le vieillard esquissa un sourire en voyant l’épée pointer dans sa direction.

« Que crois-tu faire avec ça gamin ? La guerre ce n’est pas un jeu ! Je vais te rosser pour te donner une bonne leçon et si tu restes coucher et que tu survie après tout ça, j’espère que tu auras l’intelligence de pleurer pour ta vie et celle des tiens et de ployer le genou devant le bon roi.»

D’un coup de son arme, il frappa la main qui tenait l’épée du noble, le désarmant, et d’un revers de la main donnant plusieurs coups de pommeau de son arme sur le visage et le casque du noble pour le sonner suffisamment, jusqu’à ce qu’il perde conscience et qu’il s’effondre au sol, la tête dans la boue.

« Reste à terre gamin, et que je te retrouve plus dans mes pattes. »

Ils étaient peut-être en guerre, mais Aleister Florent n’était pas un meurtrier sanguinaire, et avait un sens de l’honneur. Son adversaire était de noble naissance tout comme lui et c’était le sort des petites gens de mourir à la guerre. Le sort des nobles dépendrait du bon vouloir de son roi.


@Aladore Costayne

troisieme lancer :

Depuis combien de temps avait-il laissé derrière lui Quentyn Mullendore ? Avec toute cette cohue, Andrew n’aurait pas su dire. Le temps semblait s’étirer indéfiniment. A moins qu’il ne passe à une vitesse folle sans même qu’ils ne puissent s’en rendre compte. Poussé par cette force que les hommes ne trouvaient qu’en des situations aussi intenses que celle-ci, Andrew stoppa nette sa monture alors qu’un homme s’éloignait. Ces couleurs… Il s’agissait de celles des Florent. Alester Florent, à n’en pas douter, au vu de l’armure pour le mieux luxueuse qu’il arborait.


Rapidement, le regard de la Vouivre se posa sur l’homme que semblait avoir délaissé le vieux renard. En moins d’une seconde, son sang se glaça dans ses veines, avant de reprendre sa course folle, tambourinant dans ses tempes. Non. Non, non. Non, non, non il devait faire erreur. Pour la première fois depuis le début de cette bataille, Andrew perdit son sang froid. Quittant le dos de sa monture, c’est à grandes enjambées que le Vouyvère s’avança jusqu’à l’homme qui gisait dans ce mélange de boue et de sang. Sans prêter attention à la pluie qui semblait gagner en intensité, l’homme déglutit difficilement.


Et dire qu’il s’était réjouit que l’âge d’Aladore ait pu lui éviter cette guerre qui leur avait pris Bertram, ainsi que Lorent d’une certaine manière. L’espace de quelques secondes, Andrew n’osa pas se mettre à sa hauteur. A la hauteur de cet enfant qu’on avait mis dans ses pattes pour renforcer l’alliance entre Costayne et Vouyvère. Il était vrai que l’entraînement d’Aladore n’avait pas été simple, au commencement. Hors de question de le laisser ici ! Melior ne s’en remettrait pas. Quant à lui… Non, ce n’était pas là l’important. Il devait tout faire pour le ramener. Alors, vivement, Andrew se saisit de son ancien écuyer, le secouant. Il fallait qu’il reprenne conscience. Il le fallait !


« Par les Sept, réveillez-vous Aladore ! Réveillez-vous bon sang ! Nous avons connus pire ! »


Voyant Aladore reprendre conscience, Andrew put souffler quelques instants, tentant de garder son ancien écuyer et neveu debout. Ses blessures étaient mauvaises mais la Vouivre en avait vu de pires. Il survivrait. Si les Sept restaient avec eux, ils survivraient. Si seulement Andrew pouvait les éloigner. Mais c’était impossible. La boue les alourdissaient. Et que dire de la pluie qui s’abattait, encore et toujours ? Ils devaient rester là.


« … Reprends ton souffle. lâcha finalement Andrew, se débarrassant des convenances. Nous devons y retourner. C’est ta demeure qu’ils veulent conserver. Nous ne leur laisserons pas cette prise. »


Ils étaient des proies faciles, ainsi immobiles. S’assurant qu’Aladore pouvait tenir debout malgré ses maux, Andrew reprit sa place sur sa monture. La bête était fatiguée. Bien trop sans doute. Il ne pouvait cependant pas refuser l’avantage de la hauteur. Pas en de telles circonstances et une armure aussi lourde. Se tournant une ultime fois en direction du chevalier qu’il venait de secouer, Andrew abaissa la visière de son heaume. Un dernier effort. Ils devaient fournir un dernier effort. Pour eux, pour Darkdell, pour le Bief.


« Je ne rapporterai pas la nouvelle de votre mort à ma nièce. Ni à ses enfants. Quoiqu’il m’en coûte, nous repartirons ensemble. » murmura-t-il, entre ses dents serrées, alors que sa main se resserrait sur son épée.

Alors que tu venais admirablement de te débarrasser de ton adversaire, tu ne vis pas celui qui arriva dans ton dos. Ce ne fut qu’en entendant ses pas qu’il était déjà trop tard. Tu te retournas et contra tant bien que mal l’épée de l’homme qui venait de t’attaquer. Il semblait n’être que rage et fureur, si bien que tu ne pouvais que chercher à te défendre, cherchant à le repousser à chaque charge. Tu fus déséquilibré au milieu de la nouvelle charge et tu vis le Costayne en profiter. Sa lame mordit ton flanc. Tu vis la haine dans les yeux bleus de celui qui venait peut-être de t’ôter la vie. Tu tombas à genou, ta main libre à l’endroit où la lame avait mordu tes chairs. Ton gant s’imprégna rapidement du liquide carmin et rapidement, ton esprit fut lourd et tes yeux se fermèrent de douleur. Tu sentis le sol rencontrer ta joue, tu attendis que l’Etranger vienne te chercher…

Mais ce dernier ne vint pas. Tu sentis quelqu’un à tes côtés et une brûlure vive sur ta joue. Par tous les Sept ! Tu papillonnas des yeux, sonné mais vivant. Tu entendis la voie d’un chevalier, te dire que tu n’étais pas mort. Difficilement tu te remis sur pieds, ta main tenant toujours ton flanc sanguinolent. Tu arrachas un bout de tissu pour faire compression sur ta blessure. Tu repris doucement tes esprits prêts à reprendre le combat.

La météo vint compliquer la tâche, une pluie battante vint s’abattre sur le champ de bataille. La boue devint collante, glissante et se déplacer devenait de plus en plus dure. L’eau s’infiltra dans les armures, le cuir devint lourd, trop lourd. Alors que tu cherchais à avancer après avoir remercié le chevalier qui t’avait sauvé la vie, tu vis un homme à terre, mal en point mais vivant. Ecusson Bulwer. Tu mis genou à terre pour tenter de le remettre sur pieds, comme Parsifal Conklin venait de faire avec toi.

Tu le secouas et appelas des soldats de votre camp pour t’aider à l’éloigner de la ligne de front. Malgré ta blessure, tu réussis avec l’aide des soldats à éloigner Durran des combats. La pluie n’aidait pas mais tu pus t’occuper du chevalier et l’aider à se remettre sur pieds. Tu pensas rapidement ses plaies afin de limiter les dégâts.

Vous mettez en sécurité le personnage qui se réveille (prochain lancé du sauvé blessure légère)

La Bataille de Trois-Tours

Quentyn Mullendore

Son corps gisait sur le sol. Plus aucun bruit ne parvenait à son esprit. Il était entouré par l'obscurité. Puis, il se sentit comme chavirer, comme emporter vers une ombre, un gémissement s'échappa de sa gorge. La douleur, il souffrait, tout n'était que flou autour de lui. Il sentit qu'on le transportait ailleurs, mais n'arrivait pas à distinguer si cela était la réalité ou un mauvais rêve. Ouvrant de nouveau les yeux, ce n'était qu'ombre et là, il vit le visage de son épouse souriante, elle fut sa lumière. Quand il arriva enfin à reprendre contenance, il reconnut les traits du visage d'Andrew Vouyvère.( @Melior Vouyvère ) Cet homme venait sûrement de lui sauver la vie, il ignorait ce qui s'était passé, mais il était certain qu'il était tombé de sa monture et qu'elle n'était plus près de lui. Prenant la main du chevalier, il eut l'impression que tout tanguait autour de lui, mais réussi à parvenir à rester sur ses deux jambes.

Il se laissa sourire à la réplique du chevalier, plus solide, il ne savait pas si c'était vraiment le cas, mais il était prêt à retourner à se battre. Il n'avait pas le choix et comme ce qu'il avait dit à son ancien adversaire, il valait mourir en combattant. Il hocha la tête pour remercier son sauveur, ne se sentant pas capable de prononcer le moindre mot. Le voyant repartir à dos de son cheval, Quentyn vint à le suivre, à pied, son épée à la main. D'un coup, il se sentait un peu mieux et se retrouva face à un nouvel ennemi.

Leurs épées se fracassèrent, il restait concentré, se sentant toujours un peu dans le vague à quelques occasions. Il n'arrivait pas à atteindre son adversaire, puis d'un coup, un cri de douleur vint à le tétaniser quelques secondes. Un mauvais coup d'épée de sa jambe gauche, mais il ne pouvait lâcher le combat, il ne pouvait s'arrêter de se battre. Il se devait de rester en vie pour revoir le visage de Meredyth. 

dé 5: