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Denys & Malvina- Entre fer-né

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Denys ♦ Malvina

Entre fer-né
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alvina était une jeune femme qui n'aimait pas rester enfermer et encore moins dans un château, après tout elle était une fer née et dans son sang coulait quelque chose de sauvage et chaud et c'est ce qu'elle aimait beaucoup chez elle. Être libre même en étant une noble était quelque de tellement bon à ressentir qu'elle n'enviait pas du tout Rowen qui devait être en train de se reposer dans ce grand château et réfléchir à la manière de comment il allait rétablir l'ordre! Sentant l'air sur ses joues lui faisait un bien fou, étant sorti en hâte pour éviter que quelqu'un ne l'empêche elle était habillée simplement de sa tenue pour se battre et d'une dague accrochée à ses hanches, ses cheveux étaient détachés pour les laisser voler grâce au vent. Elle ne connaissait bien Villevieille et l'endroit qu'elle préférait était bien sur le port.

Ses couleurs, ses odeurs tout ses gens qui étaient souriant et qui revenait d'un long périple en mer et tout ses pêcheurs qui étaient content de leur trouvaille. Malvina se sentait enfin bien, après tout les événements qui c'étaient passé et le mariage qui venait trop rapidement à son gout elle commençait vraiment à craquer et marcher seul dans ces rues était le seul moyen pour elle de respirer. Observant comme à son habitude tout ce qui se passait autour d'elle, son regard resta un petit moment sur une jeune femme qui était en train de se faire embêter par deux gros bourrin d'homme, elle n'aimait pas ce genre d'attitude qu'avaient les hommes face aux jeunes femmes aussi fragile. Avançant d'un pas assez rapide elle s'arrêta derrière un des hommes qui fallait l'avouer était trois fois plus grand qu'elle mais Malvina avait rarement peur face à un homme avec qui elle allait se battre,  lui attrapant le col de sa veste elle le tira en arrière et le frappa au visage du poing de sa main, le lâchant pour qu'il baigne dans le sang de sa lèvre, elle tordit le poignet de l'homme qui tenait la jeune femme et lui sauta dessus en lui donnant un coup de boule, elle sentit l'autre homme l'attraper par la taille en serrant le plus fort possible, son souffle était de plus en plus faible et avec tout l'effort du monde elle venait de réussir à prendre la dague qui était vers sa hanche et la planta dans la cuisse de l'homme qui la lâcha directement. Elle essayait de reprendre son souffle mais n'eu pas le temps car l'autre abruti venait de la tirer en arrière par les cheveux, pourquoi les hommes attrapaient toujours par là?

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La Phalange avait mouillé dans le port de Villevieille. Même si la présence d'un Snekkar Fer-Né avait toujours tendance à glacer les marin d'effroi, la présence d'un seul de ces navires n'avaient pas de quoi les inquiéter. Qui serait assez fou pour ce lancer dans un pillage de ce port avec si peu d'effectif ? Même si Denys était valeureux, il n'était pas encore devenu plus fou qu'Aerys II Targaryen. S'il était ici, c'était pour prendre des nouvelles dans les bordels, quais et auberges du coin. N'allez pas croire qu'il payait pour ces informations. Généralement, elle sortait toute seule. De temps en temps, un homme se vantait de détenir telle ou telle nouvelle et ne la révélait pas. Il suffisait alors bien souvent de l'attendre dans la rue, le traîner jusqu'à une ruelle et le rouer de coups pour qu'il se mette à parler. Cette fois-ci, il avait eut de la chance. Pour se mêler à la foule, ils se permettaient de se payer un verre. Il détestait cette façon de faire propre aux contrées vertes mais il valait mieux ne pas éveiller les soupçons. Dalton buvait de la bière, lui buvait du lait avec une touche de miel, un mélange sucré mais assez agréable. Ce qu'ils apprirent enchanta quelque peu Denys. Stannis avait assiégé Port-Réal et cela n'était pas nouveau. Apparemment il avait posé des guêtres dans le Conflans ce qui signifiait que cette région risquait d'être en état d'alerte et de remous. Une occasion idéale pour des Fer-Nés avides de pillages. L'autre nouvelle parlait du mariage d'un des fils de noble de cette ville avec une princesse dragons. Pour tout dire cette nouvelle, le Timbal s'en fichait comme de son premier bain. Savoir dans qui l'un des nobles locaux fourrait son membre ne lui servait strictement à rien. Le capitaine de la phalange acheva son verre pendant que Dalton faisait du gringue à la serveuse, une grande godiche aux cheveux châtain et au faciès de fouine.

«Laisse donc cette belette en paix, Longmat. Avec ta perche tu risques de la briser en deux avant même d'avoir entamé ta besogne. Retournons sur la Phalange. Nous en savons assez pour reprendre la mer. » 

Longmat fit la moue mais suivit son capitaine sans râler. Les deux hommes sortirent tranquillement de l'auberge pour retourner à quai sur la Phalange. Le fier Snekkar n'était pas très loin et ils accélèrent le pas. Plus vite ils reprendraient la mer et mieux l'équipage se sentirait. Rester ici était une tentation constante pour ses hommes, il en était conscient. Piller cette ville avec eux seuls serait du suicide. Après quelques minutes de marche, ils tombèrent sur une scène des plus distrayantes. Une femme était entrain de se faire malmener par deux hommes et une autre était venue s'en mêler. Le seul hic dans tout cela consistait dans le fait que les deux hommes étaient deux rameurs de la Phalange. Il n'en fallu pas plus pour énerver Denys Timbal. Des hommes qui désobéissaient à son ordre de se tenir calme ne lui plaisait pas. Il eut à peine le temps de s'approcher que l'un de ses deux rameurs gisait sur le sol en se tenant la cuisse ensanglantée. Le second tirait la blonde par les cheveux. En un éclair, il passa son bras autour du cou de l'homme et y pressa avec force et violence. Une fois la fille libérée de son étreinte, il envoya l'homme valdinguer dans des tonneaux. Denys se rapprocha alors de lui et larda ses côtes de coups de pieds puissants et ravageurs tout en lui criant dessus.

«J'avais demandé de rester sur le bateau et de ne pas faire de grabuge. Est ce que c'est difficile à comprendre où il faut que je te suspende à ma putain de proue pour que tu assimiles la le principe » 

Le Timbal se dirigeait déjà vers un tonneau dans l'intention de tenter de le soulever pour écraser la face de son matelot sous le poids du contenant mais Longmat se plaça devant l'homme et parvint à calmer son capitaine en quelques mots simple. Denys ramassa l'homme à terre par le collet et le poussa en direction de son camarade blessé.

«Trouve quelqu'un pour le rafistoler et traîne pas. Si t'es pas revenu d'ici le couché du soleil, considère toi comme un gars de Villevielle et plus comme un Fer-né.» 

«Par le dieu noyé, tu fais des progrès Denys. Je ne t'ai pas vu sortir de hache cette fois ha ha ha.» 

«Longmat tu ferais mieux de la fermer où c'est toi que je finirai par abandonner ici. Je suis sûr qu'ils seront ravis de faire de toi un Mestre à la Citadelle ha ha.» 

«Et regarde un peu ce qu'on a là. M'étonne pas qu'ils avaient envie de s'amuser un peu. Moi aussi je me laisserai bien tenter par les charmes locaux.» 

Le Timbal fit la moue et regarda les femmes quelques secondes avant de croiser les bras. La blonde était pas mal fichue c'était vrai mais pas assez pour ne pas respecter les ordres de son capitaine. De toute manière, il n'était pas venu ici pour compter fleurette mais pour chercher des informations qu'ils avaient déjà obtenues. Le Capitaine de la Phalange commença donc à tourner les talons ...
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Denys ♦ Malvina

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alvina sentit que l'homme qui venait de lui attraper les cheveux les lâchait soudainement, elle ne comprit pas de suite pourquoi et le temps de se relever elle observait un homme assez grand et beau il fallait l'avouer qui était en train d'engueuler le jeune homme qui lui avait attrapé les cheveux. Vu ce qu'il allait faire pour punir les deux hommes il devait être d'un tempérament chaud et impulsif. Sans bouger elle resta là un petit instant sans rien dire et essayant de comprendre ce qui était en train de se passer! Qui était cet homme dont tout le monde avait l'air d'avoir peur? et que faisait il dans cette ville? En entendant des petits gémissements elle se tourna vers la jeune fille qui était par terre et en l'aidant à se relever elle la rassura avant de la laisser partir tranquillement.

Elle voyait bien que les hommes qui étaient là tout à l'heure avaient peur de l'homme qui venait d'arriver et ils étaient reparti vers un navire sans demander aucun reste à personne, Malvina en profita pour observer l'homme imposant qui venait de tourner les talons pour repartir si elle le laissait partir jamais elle ne le reverrait et saurait qui est cet inconnu et en même temps Malvina ne laissait jamais personne la sauver mais voilà que lui venait de la laisser bouche bée, reprenant ses esprits de fer née elle avança d'un grand pas vers l'homme avant de tapoter son épaule pour qu'il se retourne, sans prévenir et sans parler elle lui envoya son poing dans la figure un sourire au lèvre puis le poussant contre le mur elle posa sa dague sur sa gorge avant de lui dire doucement.

"Personne ne me sauve! et personne ne décide du sort des gens que je suis en train de combattre!"


Elle avait reprit son air de sérieuse et tenait la lame avec force comme elle avait apprit avec toute ces années de bataille acharnée. Vu la taille et les muscles que l'homme avait il pouvait la battre sans aucun problème mais jamais elle ne se laisserait faire face à des hommes dans son genre qui ne lui avait même pas adressé un seul regard avant de partir! Elle n'était pas un objet et voulait lui faire comprendre!


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Il sentit qu'on lui tapota l'épaule, il se retourna et prit une beigne en pleine face. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire, il se retrouva plaqué contre un mur, une lame sous la gorge. Dans cette position, il eut tôt fait de contempler le visage de celle qui osait s'en prendre à lui. Plutôt bien foutue. C'était au moins une chose qu'on pouvait accordée à la population des contrées vertes. Denys éclata d'un rire sonore alors que Longmat sortait déjà sa propre lame courte et se dirigeait vers la fille dans le but de la neutraliser. D'une voix forte, le Timbal s'adressa à lui pour lui dire de stopper son action.

«Retourne sur le navire Longmat. Assure toi que d'autres n'ont pas eut la même idée que nos deux idiots. Je n'ai besoin de l'aide de personne pour me débarrasser d'une femme, qui plus est quand elle presse une lame contre ma gorge.» 

Le second s'exécuta et partir en direction de la Phalange laissant le Timbal seul en compagnie de son agresseur. Il poussa doucement avec son cou contre le fil de la lame. Il savait que ce mouvement ne l'égorgerait pas. Il le couperait légèrement. Cela fit couler un peu de sang le long de son cou et de la lame. Un mouvement plus horizontal lui aurait très certainement été fatal. Par ce simple geste le capitaine de la Phalange prouvait à l'incongrue qu'il n'avait pas peur de mourir et qu'elle l'effrayait autant qu'un nain monté sur un snark.

«Tu frappes vraiment comme une femme. Par le Dieu Noyé, t'espérais quoi ? M'impressionner ? Je ne t'ai pas sauvé, j'ai juste rappeler mes hommes à l'ordre. Ta survie ou l'état de ta vertu je m'en contrefiche. Il n'y a que moi qui décide du sort des mes hommes d'équipage. » 

De sa main d'arme, il attrapa la hache qui pendait à sa ceinture avec dextérité, comme seul un Fer-Né en était capable. D'un geste rapide il plaqua légèrement le tranchant de sa lame sur les côtes de l'inconnue. En combat singulier, sa force la surpasserait sans problème et dans cette situation, il savait que même s'il mourrait, elle ne l'emporterait pas avec elle dans la demeure du Dieu Noyé. Le Timbal se remit à rire à gorge déployée avant de procéder à une petite explication visant à calmer la situation.

«Tu as déjà tué un homme ? Tu as déjà égorgé quelqu'un ? Moi oui. La souffrance semble atroce mais elle ne dure jamais bien longtemps. Admettons que tu me tranche la gorge, j'aurai tout le temps de te planter ma hache dans le flanc. Avec de la chance tu n'auras qu'une entaille profonde qui risque de s'infecter. Dans le pire des cas, des côtes brisés, et une entaille suffisantes pour faire sortir des tripes et tes boyaux. J'en ai vu des hommes mourir de cette façon. Crois moi, c'est lent et douloureux. Peut-être même que je te trancherais de part en part dans un dernier sursaut d’orgueil.» 

De son autre bras, il attrapa le bras d'arme de Malvina et le serra entre ses doigts puissants. Une prise ferme mais sans pour autant chercher à lui briser le poignet, juste suffisamment pour qu'elle comprenne à qui elle avait à faire et qui commandait. Le Timbal était un roi sur son navire et quand il posait le pied à terre, il comptait le demeurer. Ce n'était pas une fille des contrées vertes qui allait lui prouver le contraire. Le capitaine banda ses muscles et plongea son regard dans celui de la blonde. Elle avait un regard légèrement mutin, une chose qu'il appréciait. Son visage n'affichait pourtant aucune émotion, restant stoïque. D'une voix menaçante il détacha chaque mot pour qu'ils se gravent dans l'esprit de la blonde

«Je vais compter jusqu'à cinq ensuite je te briserais le poignet. Tu tiendras peut-être au premier coup, le deuxième te feras sombrer dans l'inconscience. La prochaine fois que tu reposeras le pied sur terre, tu marcheras comme un crabe. Tout mon équipage te seras passé dessus. C'est ce que tu désires ? Peut-être que tu aimeras ça.» 
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Denys ♦ Malvina

Entre fer-né
E
lle sentait que quelqu'un s'approchait d'elle par derrière en essayant de faire le moins de bruit possible mais Malvina avait analysée toute la situation avant de faire ce geste complétement stupide face à cet homme, comme elle l'avait espérée l'homme qui était face à elle ordonna à l'autre de rentrer sur le navire, les voilà tout les deux planté là pendant que la foule autour d'eux commençaient à se disperser pour éviter de prendre un coup mal visé. Son corps contre celui de l'homme elle pouvait sentir qu'il était musclé et dans ses yeux une étincelle d'aventure ce qu'elle aimait vraiment il fallait l'avouer! En essayant d'oublier à quoi elle venait de penser elle l'observait qui approchait encore plus d'elle, le sang était en train de couler le long de son cou mais Malvina s'en fichait complétement du destin de cet homme, elle ne le connaissait pas et si il voulait mourir aujourd'hui alors elle exaucerait son vœux!
En entendant les mot "Dieu noyé" sortir de la bouche de cet homme elle ne cacha pas un seul instant son air d'étonné, alors c'était un Fer-né, en même temps elle aurait dut s'en rendre compte de suite rien qu'à sa carrure et à son air de garçon sauvage.

"Pourquoi vouloir impressionner un homme comme toi?"
elle lança un petit air de dégout avant de reprendre. "Si ma survie t'importe peu pourquoi avoir dit à tes hommes d'arrêter?Tu aurais très bien put profiter du spectacle et ne rien dire du tout!"

Elle aimait poser des questions et se foutre de la gueule des gens, après tout si il s'en foutait d'elle pourquoi ne l'avait il déjà pas repoussé pour la violer ou la tuer tout simplement, il était deux fois plus grand qu'elle et large surtout. Même en étant une très bonne guerrière elle n'était pas sur de pouvoir le vaincre, il avait l'air âgé et de savoir se battre comme tout fer-né d'ailleurs. Elle l'observa sortir sa hache mais ne cilla pas et décida de ne pas reculer, reculer était un signe de faiblesse et ce n'était absolument pas ce qu'elle était ça c'est sur! Sentant la lame de la hache posée sur ses côtes elle retint un petit frisson de se propager dans tout son coeur et écoutait ce que cet homme avait à dire!

"A qui crois tu parler comme ça? Je ne suis pas une pute des beaux quartiers et encore moins une noble qui se cache derrière des gardes. Tuer? c'est le premier mot qui est sorti de mes lèvres en arrivant sur ces terres! Alors ne crois pas m'apprendre quelque chose et encore moins tuer quelqu'un!" Laissant échapper un petit rire de sa bouche elle fixa l'homme face à elle. "Alors qu'attend tu pour le faire au lieu de parler?"

Elle venait de se rapprocher encore plus de lui, son visage était fouetté par la respiration du jeune homme et ils étaient tellement proche tout les deux qu'elle pouvait sentir la chaleur qui émanait de cet homme. Il venait d'attraper le bras qui tenait la dague mais Malvina ne comptait pas céder du tout, il parlait encore et encore, en faisant une mine boudeuse elle venait de décider de reculer doucement et lâchait sa dague qui tombait au sol, se débarrassant de la grosse main qui tenait son bras elle croisa les bras devant lui avant de dire doucement.

"J'ai une seule question à te poser.... Un fer né qui viole une autre fer née c'est compté comme trahison? non parce que dans ce cas là tu serais un traitre!"


Avant même qu'il puisse répondre elle couru vers lui et fonça droit sur son ventre et avec toute la force qu'elle avait le poussa pour qu'il lâche l'arme qu'il avait dans la main, une fois celle ci tombée au sol elle la poussa du pied un peu plus loin et toujours le même sourire aux lèvres plongea ses yeux dans ceux du jeune homme.

"Enchantée, je suis Malvina Sparr! Jolie fer née déserteuse pour avoir tuée quelqu'un en essayant de sauver sa peau!"


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C'est qu'elle lui tenait tête la blondasse. Il avait toujours apprécié les femmes avec du caractère. Enfin, surtout pour les prises. Quand elles se débattaient, tentaient de lui résister en vain. Elles finissaient toujours par céder que ce soit par simple soumission ou par réel plaisir. Celle-ci jouait la farouche mais il en avait vu tant qui se transformait en agnelle en larme une fois la façade brisée. Sa question était stupide étant donné qu'il lui avait déjà répondu. Il détestait avoir à se répéter, une lame sous la gorge ou non. Il reformula lentement sa réponse pour qu'elle comprenne et manifeste un soupçon d'intelligence.

«Mes hommes m'ont désobéis sans quoi je les aurai te laisser sauter sur  les quais ou sur la place si tel était leur bon plaisir. C'est leur désobéissance qui t'a sauvé et non moi.» 

Pendant qu'elle commençait à lui faire sa petite présentation dont il n'avait strictement rien à faire. Denys commença son décompte, lentement pour lui donner une dernière chance de s'esquiver et de repartir en marchant droit comme un i au lieu de finir le dos courbé voir même de retourner dans sa maison en rampant. Le Capitaine n'était pas encore arrivé jusqu'au cinq fatidique que la blonde recula en lâchant sa dague. Avait-elle enfin compris qu'elle n'était pas de taille pour jouer contre lui à des jeux si puérils ? Elle recommença un laïus avant de le frapper dans le ventre. Il lâcha son arme et elle l'envoya valser plus loin tout en reprenant la parole. Elle une Fer-Née ? Au vu de son caractère, on pouvait certes y croire mais elle se baladait seule. Les femmes sur les navires étaient rares. En tant que femme roc ou fille de noble, elles restaient le plus souvent sur l'île. Cependant, son visage ne lui disait strictement rien et aucun autre hommes ne semblaient l'accompagner. Faisait-elle vraiment partie d'un équipage ou tout cela était-il juste une mascarade pour tenter de l'amadouer ? Il n'avait pas besoin d'arme lui pour la maîtriser. La saisissant par le cou entre ses doigts puissant, il la poussa contre le mur. Sa poigne ne se faisait pas dur dans le but de l'étrangler, juste le nécessaire pour la plaquer contre le même mur qui avait connu le dos du Timbal. De son nez, il renifla quelques instants l'odeur de ses cheveux et de sa peau avant de placer son visage face au sien, yeux dans les yeux.

«Une Fer-née ? Tu ne sens pas comme une Fer-née. Je ne sens pas les embruns salés  sur ta peau et je suis prêt à parier que tes mains ne portent pas de traces de maniement de rames ou de cordages. Sur quel navire sers tu ? Tu ressembles plus à une fille des contrées vertes que de nos îles. Si tant est que tu proviens réellement des îles de fer et que tu as tué l'un des nôtres, puis que tu qualifies toi même cette mort de trahison, mon équipage te passant dessus serait peut-être un châtiment trop léger comme sentence mais je dois admettre que jolie, tu l'es réellement, foutrement même. » 

Denys relâcha l'étreinte de ses doigts et se baissa pour ramasser la dague et la hache. Il raccrocha son arme à son ceinturon et tendis le manche de la dague à Malvina. Il ne la craignait pas, aucunement. Pour le moment, elle lui avait juste prouver qu'elle avait une belle paire de couilles mais ça s'arrêtait là.

«Ses vêtements que tu portes et cette dague, tu les à payer au fer-prix ou à l'or-prix ? La prochaine fois que tu lèveras ton arme contre le capitaine Denys Timbal, je serais moins clément.» 

L'humeur et les émotions du visage de Denys n'avaient pas changé, il était toujours aussi neutre et austère, tel un rocher frappé depuis des siècles par la marée. Il essuya du bout des doigts le léger filet de sang de sa coupure, en lécha le goût puis cracha sur le sol avant de reprendre la parole. Une idée germait dans son esprit. Quoi qu'elle allait lui répondre, il saurait de quelle genre de femme il s'agissait.

«Tu as blessé un de mes hommes, je considère qu'il a reçu sa punition pour l'outrage commis. Jures devant le Dieu Noyé que tu es bien ce que tu prétends et je t'offrirai ton du. Si tu veux régler tes comptes avec lui, tu le régleras mais pas ici à la vue de tous.Réglons cela entre Fer-Nés mais pas ici. Le pont d'un bateau et le regard de la mer sont les meilleurs témoins pour l'application de ces sentences. Si tu désires vraiment obtenir réparation, accompagne moi sur mon bateau.» 
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Denys ♦ Malvina

Entre fer-né
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alvina n'était pas du tout du genre à se laisser faire ca c'est sur, elle était têtu et n'avait pas peur de la mort si il fallait qu'elle meurt aujourd'hui face à cet homme alors elle accepterait la mort à bras ouvert mais bien sur elle ferait tout pour combattre avant, c'était une fer née, du sang chaud coulait dans ses veines et jamais les Fer nées de se laissaient faire devant des abrutis comme cet homme. Enfin en le regardant d'un peu plus près c'était un abruti extrêmement sexy il fallait l'avouer et l'avoir dans son lit devait être très attractif mais pour le moment la question ne se posait pas vu le déroulement des choses. Elle n'aimait pas que quelqu'un la prenne pour une femme faible et c'était exactement ce qui était en train de se passer avec ce capitaine de navire, mais elle décida de ne pas répondre à ce qu'il venait de dire. Après tout le silence était la meilleures des insultes non?

Elle venait de lâcher son arme et de lui sauter dessus pour qu'il lâche la sienne à son tour. Lui avouer qui elle était venait de le faire douter, mais ce n'était surement pas très intelligent de sa part d'avoir révélée qu'elle avait fuit les Iles de fer. Personne ne pourrait penser qu'elle était une Fer-née mais tout le monde le savait quand même, à cause de ça ou grâce à ça les gens avaient peur d'elle et ne l'approchaient que rarement. Mais même si elle avait grandit ici dans le Bief, Malvina restait une jeune femme fière de ces origines. Il venait de la saisir par le cou mais sans serrer, elle ne protesta pas pour le moment car elle pouvait voir au fond de son regard qu'il ne comptait pas la tuer, pas pour le moment en tout cas. Il la bloqua contre le mur et sans parler il renifla doucement ses cheveux et sa peau, oui chaque gens qui venait des Ils de fer sentaient le poisson et le sel mais Malvina avait prit la mer une seule fois et c'était pour fuir sa ville natale alors non elle n'avait aucun reste de l'odeur de la bas mais au fond d'elle, elle savait très bien qui elle était et d'ou elle venait!

"Et pourtant je suis bel et bien un Fer-née mais qui sent bon.... Je ne viens d'aucun navire, je suis arrivée ici petite essayant de fuir les hommes qui me pourchassaient et un noble m'a prit sous son aile, je suis maintenant une guerrière fer-née mais du Bief...." Elle laissa un moment le silence, c'est vrai que son chez elle lui manquait mais elle ne l'avouerait jamais et de toute façon ca ne changerait rien étant donné qu'elle serait tuée immédiatement en posant un pied sur les terres des Iles de fer. Relevant la tête elle plongea son regard froid dans celui de cet homme imposant qui était face à elle. "Et si jamais un seul de tes hommes essayeraient de passer sur mon corps pour me punir ils s'en mordraient les doigts. J'ai beau avoir grandit ici je reste une fer née sans pitier!"

Il venait de lâcher son cou pour ramasser les armes qui était au sol, quand il lui tendit sa dague elle l'attrapa assez rapidement, cette dague était une de sa mère et jamais elle ne l'avait quittée. C'était un précieux qu'elle comptait bien garder et la rangea donc à sa hanche sans lâcher une seule seconde Denys du regard.

"Cette Dague vient des Iles de fer, de ma mère plus précisément et je n'ai aucun or ici , on ne m'achète pas de robe comme une noble étant donné que je ne porte pas de robe! Je vole mes vêtements ou je l'ai fabrique, pour qui me prend tu? une de ses nobles qui achètent tout ce qu'ils peuvent sans jamais verser une seule goutte de sang?"

Elle n'aimait pas que les gens la traitent ainsi mais en même temps il ne savait rien d'elle et voulait juste savoir si au fond d'elle elle était encore une fer née ou bien on l'avait transformée en femme du Bief obéissante! Malvina avait toujours son visage autant fermée, elle ne savait pas qui il était et ce qu'il voulait d'elle mais la proposition qu'il venait de lui faire était très inintéressante il fallait l'avouer!

"Je jure devant le Dieu Noyé que je suis bel et bien une Fer-Née digne de son nom!"
Avant de reprendre la parole elle laissa quelques seconde de répits et leva les yeux vers Denys. "Je veux bien l'humilier comme il le faut dans ce cas, et je promet sur le Dieu Noyé de ne pas le tuer étant un confrère mais il faudra pas qu'il pleure après que je lui aurais mis sa raclé!"



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Elle semblait être fière de ses origines mais au final n'affichait pas réellement les préceptes de l'Antique Voie. Un défaut en soit qui pouvait être vite corrigée. Vous pouviez domestiquer un chien, un loup mais au final il restait tout de même un animal. Laissez lui goûter au sang chaud d'une chasse, lâcher le en pleine nature, et il ne tardera pas à retrouver ses instincts d'origines. Cette garce au fessier si plaisant, il souhaitait lui ouvrir l'appétit, lui redonner l'envie de redevenir ce qui bouillonnait en elle. Les contrées vertes avaient sans doute endormi ce côté en elle. Les contrées vertes n'étaient pas bonnes pour un Fer-né qui n'était pas totalement dévoué à sa cause, au Dieu Noyé. Le Timbal ne serait pas surpris de voir le même phénomènes touchés ceux qui étaient encore tenus comme otage suite à la Rébellion du vieux Balon. Avant de s'adresser à elle, il lui mit une bonne tape sur l'épaule.

«Voilà qui est bien parlé, Malvina. Suis moi jusqu'à mon navire et tu pourras te repaître du sang de celui qui t'as agressé.» 

Ils marchèrent tous les deux, laissant le silence s'installer. Il leur fallu moins d'une dizaine de minute pour rejoindre la fière phalange. Lorsqu'il monta à bord, la première chose qui frappa Denys en pleine face fut l'idiot qu'il avait chargé d'emmener son compère se faire soigner en train de se faire hurler dessus par Longmat. Il ne lui fallu que quelques secondes pour prendre compte de la situation. Au lieu d'emmener le matelot blessé se faire soigner, l'autre avait mit fin à ses souffrances, prétextant qu'il n'était plus bon qu'à gémir comme un goret et qu'il avait perdu trop de sang. Il n'en fallu pas plus pour faire sortir le capitaine de ses gonds. Il empoigna l’hurluberlu par le collet et le repoussa en arrière. L'homme s'affala de tout son long et Longmat se mit en travers d'eux pour calmer son ami. Avec une saute d'humeur pareil, Denys était capable de laisser le fautif avec le visage ensanglanté, un membre en moins, ou le crâne en bouillie. Une fois redescendu, le capitaine s'adressa à ses hommes.

«On s'éloigne de Villevieille les gars. Le premier qui pose sa main sur cette femme, je lui enfoncerai moi même ma hache entre les omoplates et je donnerai son cœur à mangé aux poissons. C'est bien compris ! Longmat tiens moi ce gars à l’œil et sers donc quelque chose à cette blonde. Ne pose pas de question veux tu, tu comprendras bien assez vite l'ampleur de la situation. » 

Les rames se mirent en marche et le bateau s'éloigna de la plus grande ville du Bief. Arrivé à bonne distance, Denys alla chercher le matelot fautif, le tira par le bras. Il fit de même avec Malvina mais avec plus de douceur que pour son homme. De sa voix de stentor, il héla ses hommes à venir assister au spectacle.

«Je vous ai demandé de vous tenir à carreau à Villevieille et cette raclure n'a pas sut dompter la queue dans ses chausses. Je lui ai demandé d'emmener son complice se faire soigner et cette crevure s'est conté de lui voler sa vie sans même lui offrir la chance de trépasser sur la mer. Il a désobéi à mes ordres, insulté un frère en ne lui offrant pas la sépulture marine décente. Je demande réparation  mais je ne serais pas le bras du Dieu Noyé. Il s''en est prise à une fille des îles, une femme bizarre qui a sans doute oublié nos préceptes mais qui est née tout comme nous sur les îles de Fer. Je lui ai accordé réparation pour les fautes commises. Les Fer-nés ne lèvent jamais la le fer contre un autre Fer-né. C'est pourquoi ils se battront à main nue, avec la mer et vos yeux comme seuls témoins.» 

Les clameurs des hommes, certains étonnés, d'autre emportés par la possibilité de voir une démonstration de violence, retentirent. Bien vite, ils formèrent un cercle sur le pont délimitant une surface de combat. Pendant ce temps, le matelot s'était préparé attendant son adversaire. Denys colla son front contre celui de Malvina et lui parla avec ferveur mais sur un volume seulement audible par elle.

«Défonce lui sa face de rat. Lave ton honneur, lave le mien et nous serons quitte. Il va te sous estimer parce que tu es une femme. Utilise cela à ton avantage et fais lui passer à jamais l'envie de désobéir. Montre moi que tu es une Fer-née, montre leur !» 

Denys écarta le rond d'homme pour laisser passer Malvina et il referma derrière lui le cercle pour pouvoir assister à ce combat. C'était pour lui à la fois une façon de punir l'homme si elle l'emportait, de l'humilier mais de voir si c'était vraiment l'âme du Fer-Né qui résidait dans ses tripes ou celle d'une pucelle des contrées vertes.
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Denys ♦ Malvina

Entre fer-né
M
alvina savait qu'en quittant sa ville natale elle avait beaucoup perdu de ses origines, ici on avait essayé de lui faire oublier tout ce qu'elle savait des Iles de Fer et du Dieu Noyé mais elle avait tenu bon et voilà que maintenant elle en rencontrait un et il fallait avouer qu'elle se sentait vraiment fragile face à cet homme mais en aucun cas elle allait le montrer, c'était une dure et une battante et lui montrait ce qu'elle savait faire était la meilleure chose à faire! Il lui tapa l'épaule et l'amena en direction du navire, le silence qui c'était installé entre eux ne la dérangeait pas du tout bien au contraire, ce n'était pas vraiment une pipelette et faire la causette n'était pas non plus son truc mais heureusement Denys lui aussi gardait se silence qui était si apaisant. Une fois arrivé sur le navire, ils montèrent tout les deux à bord mais quelque chose dans la scène qui se passait sous ses yeux n'allait pas, l'homme à qui elle avait juste plantée sa dague dans la cuisse était au sol baignant dans son sang. Une si petite blessure était gérable, elle le savait en ayant déjà eu une comme ça mais elle décida de garder le silence et observa Denys avancer d'un grand pas vers l'homme qu'elle allait combattre. Un instant elle eu crut qu'il allait le tuer et qu'elle n'aurait pas sa chance mais son second l'en empêcha. Au fond d'elle Malvina se sentait heureuse et en même triste pour l'homme qui avait été abattu comme un boeuf et elle n'avait pas voulu sa mort juste avec une petite entaille.

Denys reprit la parole et tout le monde était en train de l'écouter sans broncher, avant même la fin de son petit discours le navire venait de prendre le large, ca faisait tellement longtemps qu'elle n'était pas retournée sur un bateau que sentir le vent fouetter son visage et sentir l'odeur de l'eau monter jusque dans ses narines lui procurait le plus grand bien, elle savait que beaucoup d'hommes étaient en train de la regarder mais elle s'en fichait complétement, adossé au bord du navire, elle regardait l'eau et le large s'éloigner, elle se sentait comme libre ce qui était assez étrange. Le second de Denys arriva vers elle lui tendant un bout de pain, Malvina le prit doucement dans ses mains le remerciant d'un simple sourire avant d'en déguster la moitier et de laisser le reste aux oiseaux. Elle sentit quelque la tirer par le bras et avant de donner un coup à quelqu'un elle venait de remarquer que c'était Denys qui venait la chercher, alors ca y est c'était l'heure pour elle de se venger, de montrer qui elle était vraiment et qu'elle était une fer-née.

L'heure était venu et Denys venait de finir le petit discours qui expliquait tout ça en détails, Elle remit sa dague dans les mains de Denys en espérant qu'il y fasse attention étant donné la valeur qu'elle avait pour elle et se plaça au centre de tout ses hommes qui gémissaient d'impatiente à l'idée de voir une femme se frotter à un homme, c'est vrai qu'elle était meilleure avec des armes étant donné qu'elle était petite mais elle ne perdait jamais espoir face à un combat à venir.

L'homme qui se tenait face à elle était assez grand et musclé mais on pouvait lire dans ses yeux de l'hésitation, pendant qu'il était en train de se poser des tonnes de question Malvina hurla avant de lui foncer dessus comme elle l'avait fait il y a quelques heures avec Denys, L'homme perdit pied et recula de trois bon pas avant de reprendre ses esprits et de la frapper aux visages, Malvina ne grogna même pas à cause du coup qu'elle venait de prendre, elle saignait certes et le sentait mais malvina était quelqu'un qui supportait très bien les coups, elle le vit relever le bras pour la frapper à nouveau mais elle évita le coup et le frappa aux genoux. Elle venait de frapper tellement fort qu'on entendit des os se craquer. Il essayait de rester debout mais boitait maintenant, elle venait de réussir à le ralentir, maintenant il fallait essayer de le faire basculer ce qui était le plus difficile étant donné qu'il faisait le double de son poids! En s'approchant de lui et évitant tout les coups qu'il essayait de lui donner elle envoya son pieds en pleins dans sa poitrine, il perdit quelques seconde son souffle et recula vers les hommes derrière lui qui étaient tous en train d' hurler quelque chose de différent, elle tourna quelques instant la tête pour regarder Denys et quand elle entendit les hommes du bateaux crier elle savait que quelque chose n'allait pas, l'homme avec qui elle était en train de se battre venait de sortir un petite dague de son pantalon et fonçait droit sur elle, malheureusement elle ne se dégagea pas assez vite et la petite dague se planta dans son ventre, Malvina resta un petit instant debout à regarder le sang couler et la dague qui c'était enfoncée dans son ventre. La retirant doucement et évitant de faire une grimace devant tout ses hommes, elle s'avança vers l'homme qui était à genoux et qui essayait de reculer.

"La prochaine fois vise mieux crétin!"

S'approchant de lui, elle leva sa jambe et lui donna un coup de genoux dans sa tête. Avant même qu'il ne puisse tomber au sol Malvina passa derrière lui, lui aggripa les cheveux avec force en basculant sa tête en arrière et posa la lame sur sa gorge, le sang était en train de couler, mais choisir entre la vie et la mort pour cet homme n'était pas de son ressort, elle leva la tête en direction de Denys et attendit de voir ce qu'il allait ordonner.

GleekOut!
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Denys l'observa se battre. Elle devenait encore plus attirante quand elle se battait. Ses muscles qui se bandaient sous l'effort, ses mouvements, ses formes qui bougeaient, son regard concentré et crispé. Il sentait monter en lui une certaine excitation. Le genre qui vous donnait envie d'écarter le groupe, de régler le combat en deux coups de poings, de déchirer les chausses de la Sparr et de la prendre violemment. Le Timbal aurait pût cédé à ses pulsions si le combat n'avait pas mal tourné. Ce saligaud avait sortit une lame et avait poignardé la Sparr qui avant que Denys ne puisse se lancer à son secours, avait réussit à maîtriser le malandrin. Elle appliquait sa lame sous sa gorge et regardait le maître des lieux pour savoir si elle devait mettre un terme à la vie de sa proie ou non. Le capitaine de la Phalange s'avança. Il écarta la main tenant l'arme de la gorge de l'homme et plaqua son pied sur le crâne du déshonoré. Il aida Malvina à se lever et leva son bras du côté opposé à sa blessure en l'air pour la désigner vainqueur. Il hurla ensuite ses ordres pour que tout rentre dans l'ordre.

«Longmat conduis là dans ma cabine et va me chercher de quoi bander sa plaie. Quant à vous, passez les fers à cette merde. Il ne mérite pas de mourir en mer et encore moins sur mon bateau. Il périra sur la terre ferme, comme un homme des contrées vertes. Ensuite nous ramerons le long de la côte et nous abandonnerons ce chien à la nuit tombée quand nous auront trouvé un endroit où accoster.» 

Le Fer-né releva le déshonoré et lui colla deux droits suffisantes pour l'envoyer dormir un peu et lui casser quelques quenottes. Il laissa ensuite le soin aux hommes de le mettre au fer. Il se rendit alors dans sa cabine. Il resta quelques secondes silencieux avant de ponctuer son mutisme par quelques simples phrase.

«Tu te bas comme un homme. Finalement y a peut-être moyen de faire quelque chose de toi Malvina. » 

Longmat pénétra alors pour remettre à Denys un bol d'eau, un linge, un cataplasme et de quoi bander les plaies. Y avait pas à dire, avoir un Mestre dans le fief des Timbal ça avait tout de même du bon. Le capitaine sans pudeur souleva le linge de Malvina et humecta le tissus pour enlever le sang qui s'était répandu sur sa peau. Avant toute chose, il la prévint.

«Je vais m'occuper de ta blessure, je te dois bien ça. Et me sort plus des « Je me sauve toute seule, je me soigne toute seul ». T'es sur la Phalange, mon foutu navire. Et sur son Snekkar, le Capitaine est roi. J'ai pas de vin chaud pour désinfecter ta plaie mais ce corniaud ne semble pas avoir frappé assez profondément pour toucher un organe important. Ce cataplasme devrait suffire mais si ça s'infecte, on descendra à terre pour s'en occuper.» 

Le Fer-né termina de nettoyer la plaie puis appliqua le cataplasme sur la peau de la jeune femme. Une fois la patte étalée, il ne pût s'empêcher de caresser un peu de peau non blessée. Il appliqua ensuite le bandage qui grâce au Cataplasme tiendrait en place. C'était mieux que rien. Le Capitaine se releva alors et sortit sa hache qu'il planta dans la petite table qui lui servait de bureau et de support pour manger. Le meuble était marqué de nombreux coups similaires ce qui signifiait qu'il agissait là par habitude. Il dégrafa la dague de Malvina de sa ceinture et la planta à côté de sa propre arme. Le Capitaine, seul maître à bord se posta alors devant la femme, l'air impassible.

«Je comprend parfaitement qu'ils aient eut envie de te sauter quand ils t'ont aperçue. Moi même pendant ton combat, je me suis sentit investit du besoin divin de te monter. Par le Dieu Noyé, je t'aurai prit sur le pont à la vue de tous.» 

Il parlait crûment, durement sans fioritures. Cela devait lui changer des gens des contrées vertes mais il s'en contrefichait. Denys n'était pas là pour lui faire la cours à coups de flagorneries. Le Capitaine s'assit sur le lit à côté d'elle. Sans se gêner, il glissa une main sous l'un de ses seins et le palpa généreusement pendant que son autre bras s'enroulait autour de la taille de Malvina pour l'attirer contre lui
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Denys ♦ Malvina

Entre fer-né
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alvina lâcha la dague au moment ou Denys la poussa du bout du doigt, elle était légèrement soulagée de ne pas avoir à la tuer mais énervée à cause de ce qu'il venait de faire, elle laissa une main sur la plaie qui était en train de saigner et remercia d'un simple sourire Denys qui venait de l'aider à se relever. Elle avait mal certes mais au moins elle venait de gagner et sentant sa blessure elle savait qu'il n'avait rien touché de grave, une autre cicatrice ca ne faisait jamais de mal bien sur! Elle écoutait les ordres qu'il venait de donner et suivit le second jusque dans une petite cabine ou elle s'asseya sur le lit tandis que tout le monde étaient occupé à quelque chose d'autre, comme à son habitude elle prit le temps d'observer chaque détail de la cabine pour essayer d'en apprendre plus sur ce mystérieux capitaine mais il n'y avait pas grand chose d’intéressant et avant qu'elle puisse fouiner un peu plus Denys entra dans la chambre sans dire quoi que ce soit pendant un petit moment. Elle laissa échapper un petit sourire en entendant ce qu'il venait de dire, était ce un compliment qui venait de sortir de la bouche de cet homme?

"Je t'avais bien dit que j'avais besoin de personne, la prochaine fois fais moi confiance!"


Elle lui envoya un petit clin d'oeil avant de regarder son second qui venait d'entrer pour amener tout ce qu'il fallait pour la soigner. Sans prévenir il souleva ses vêtement pour observer la plaie, elle sentait que la plaie saignait encore mais releva les yeux vers Denys qui était en train de lui parler.

"Promis je me rebelle pas et je te laisse me soigner! Mais un jour je te revaudrais ça!"

Malvina n'aimait pas que les gens l'aident sans qu'il y ai quelque chose en retour mais avec lui elle savait qu'un jour elle payerait sa dette. Il pouvait le sentir toucher sa peau pour poser le cataplasme et ensuite déposer le bandage. Elle se releva doucement au moment ou il enfonça sa hache dans la table ainsi que sa petite dague. Elle était contente qu'il l'ai encore, il aurait très bien put la garder et ne jamais la lui rendre mais ce n'était pas un voleur enfin pas entre fer né ça c'était sur. Il se posta devant elle et sans vraiment cacher son regard elle l'observa de haut en bas, il fallait avouer qu'il était musclé et très viril ce qu'elle aimait le plus chez un homme. On pouvait lire dans ses yeux qu'il était sur de lui et qu'il était fort intérieurement et extérieurement, elle arrêta son regard dans ses yeux en écoutant ce qu'il avait à dire.

"Et tu attend quoi maintenant qu'on est plus sur le pont?"

C'est vrai qu'il venait de parler franchement et qu'elle n'avait pas l'habitude avec les gens chez qui elle avait grandit, mais ca ne la gênait pas du tout étant elle même quelqu'un de très franche. Il venait de s'asseoir à côté d'elle en passant une main sous ses vêtements pour la déposer sur son sein et avec l'autre bras il la colla contre elle. Elle ne recula pas et sentit son souffle s’accélérer juste en sentant sa peau contre la sienne, Malvina approcha son visage du sien et lui mordilla doucement la lèvre inférieur et passa ses bras autour de son cou.

"Et maintenant? c'est à ton tour de me montrer que tu es un vrai Fer né?"





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Denys ♦ Malvina

Entre fer-né
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alvina était maintenant complétement nu dans le lit de ce fer né, elle l'observait tranquillement de haut en bas en s'arrêtant sur ses parties intime une fois que lui aussi était nu.Son corps était rempli de cicatrice ce qui prouvait qu'il était un grand combattant des Iles de fer et bizarrement sans comprendre pourquoi elle se sentit fière d'être des leurs, même si elle c'était toujours promis de ne jamais retourner sur ses terres, voir enfin un fer née était quelque chose d’impressionnant et terrifiant à la fois! De temps en temps elle se demandait à quoi ressemblaient les gens de chez elle et voilà qu'aujourd'hui elle venait d'en rencontrer un et qu'il était totalement nu devant elle, il était comme dans ses rêves, quelqu'un de fort, dure et à la fois très attirant voilà à quoi ressemblaient les hommes fer nés!

Sans prévenir il l'attrapa par les chevilles pour la tirer vers lui et entra en elle avec tellement de férocité qu'elle laissa échapper un petit gémissement, elle n'était pas habituée à ce genre de relation et pourtant elle en avait connu des hommes pour faire en sorte que Rowen soit jaloux, mais c'était souvent des relations douce comme si c'était une danse entre les deux personnes. Tandis qu'avec Denys c'était plutôt un duel de corps qui s’entremêlait pour ne faire plus qu'un. Pour Malvina c'était une découverte mais pas déplaisante du tout il fallait l'avouer.

Les va et vient était de plus en plus fort, elle sentait les mains de son amant sur ses fesses qui venaient de remonter jusque ses seins, sentant sa respiration dans son cou elle tourna légèrement la tête et ferma les yeux en sentant les lèvres de Denys se poser sur son cou. Un frisson de bonheur venait de la parcourir et avant qu'elle puisse s'en habituer il tourna sa tête et leurs langues se mélangèrent en une danse sensuelle, Les bras de Denys venait de s'enrouler autour de ses épaules et elle pouvait sentir ses muscles contre sa peau, le long baiser fougueux terminé il l'attrapa doucement par le poignet, sentant ou il voulait amener la main de la jeune femme elle se laissa faire et suivit le mouvement jusqu'à arriver à son membre tendu qui n'attendait qu'une chose, en entendant ce qu'il venait de dire elle laissa échapper un petit rire avant de répondre doucement .

"Je suis bien accueillie sur ton navire, je vais t'en remercier!"

Avant même qu'il puisse répondre et sans lâche son petit sourire en coin elle se tourna face à lui et descendit pour se mettre à genoux, sans prévenir elle ouvrit doucement la bouche pour y faire des va et vient avec le membre de Denys. Elle agrippa les fesses du jeune homme avec une main et l'autre suivait la bouche qui faisait des vas et vient. Plus rien dans sa tête ne tournait rond à cause de cet homme qu'elle venait de rencontrer et qui lui faisait chambouler toute sa misérable vie, pour la première fois elle arrivait à penser à autre chose qu'à Rowen.

Finissant ce qu'elle avait commencée elle remonta jusqu'à lui et le poussa sur le lit sans rien demander. Toujours le même petit sourire coquin en coin elle monta sur lui et mit ses jambes de chaque côtés de son corps avant d'empoigner son membre tendu et de l'introduire en elle pour commencer des vas et vient de plus en plus rapide. Enfonçant ses ongles dans sont torse elle pouvait remarquer quelques perles de sang de couler!



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