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[terminé] OWEN & EKISHAE • the new ekishae

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the new ekishae.
IL Y A DES FLEURS PARTOUT POUR QUI VEUT BIEN LES VOIR



Quelques jours après avoir rencontré le seigneur Tyssier, j'étais allé à VilleVieille où il y avait – selon les rumeurs – de belles robes. Je m'étais installée dans une auberge luxueuse. Je pris un long bain bien chaud. Moi qui avait l'habitude de me laver dans les rivières, cela me changeait. Les contusions avaient disparues de mon visage avec le temps. J'avais retrouvé une amie qui travaillait dans cette auberge. Alors que j'étais profondément détendue dans l'eau chaude, elle entra en souriant puis s'occupa de démêler mes longs cheveux. Elle en coupa les pointes sèches puis me les lava avec un baume spécial afin qu'ils sentent bons. Une fois terminée, elle disposa. Je sortis du bain puis prit le temps de bien m'éponger. Mon visage était illuminé après avoir enlever la crasse et la cendre noire de mes yeux. Je mis une robe d'un vert pomme pastel. Une robe simple mais qui mettait en valeur mes courbes de femmes. Mon amie entra une nouvelle fois.

"Le changement est radical ! Pourquoi ne l'as-tu pas fais avant ?"
<< - Tu me connais, je m'occupe plus des autres que moi. >>
"J'ai trouvé un collier pour orner ton décolleté."

Elle ferma ma robe en lassant le corset puis plaça le collier de la même couleur que mes yeux sur mon cou. Puis coiffa mes longs cheveux.

"Cyrcen est aussi passée à la douche."
<< - Elle n'a pas dut apprécier cela. >>

Elle rit. Une fois vêtue et coiffée, j'emballais mon épée dans un linge avec de la ficelle puis prépara un sac avec deux robes en plus à l'intérieur, ainsi qu'une broche à cheveux et un miroir. Mon amie m'avait donné de l'eau de rose et avait nettoyé mes vêtements. Je plaçais tout cela dans le sac de tissus. Je descendais les marches pour retrouver mon amie à l'extérieure. Je pu découvrir Cyrcen qui n'avait pas l'air heureuse. Sa robe grise était bien plus claire et son crinière avait été brossée au minimum/

<< - Tu ne crois pas que ça fais trop ? >>
"Mais non, vêtue ainsi, tu ressembles a une servante luxueuse."
<< - Comment pourrais-je te remercier ? >>
"En venant plus souvent me voir !"

Je la serra dans mes bras puis elle m'aida à monter sur Cyrcen. Elle avait une scelle d'amazone et des mords alors qu'habituellement je n'avais ni scelle, ni mord mais juste un licol. Monter les deux jambes d'un côté était dur, mais avec la scelle qui fallait c'était bien. Mon amie m'avait appris à mieux me tenir et à mieux parler. Je me mis donc en route vers Froide-Douve. Quelques heures plus tard, j'y arriva puis décernais un château. C'était ici. Me tenant droite sur Cyrcen, un garde arriva. Je descendis habilement de ma monture.

<< - Bonjour. Je m'appelle Yavara, le seigneur Tyssier m'a promis du travail au château. Je viens donc pour honorer la promesse. J'ai également un présent pour lui. >>

Déclarais-je d'une voix douce et aimable en souriant. Je lui donna ma propre épée qui se trouvait dans le linge. Le garde me fit alors entrer.
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Owen était occupé à consulter les livres de comptes de Froide-Douve lorsqu'un garde vint le déranger, prétendant qu'une femme réclamait du travail au château. Intérieurement, le Tyssier jubila. Elle ne l'avait pas trahie. Il en serait convaincu une fois qu'il verrait sa face de sauvage dressée dans ses appartements. Il indiqua à l'homme d'amener la fille ici pour qu'il puisse juger calmement de la situation. Il fallu plusieurs minutes avant qu'on ne toque à la porte et qu'il fasse entrer la femme. Elle semblait fort différentes mais il reconnaissait tout de même ses traits. Lorsque la porte fut refermée, il se leva pour s’asseoir à moitié sur le devant de son bureau et observer son employée.  Ainsi, elle semblait plus normale. Finis ses tenues digne d'une personne ayant escaladée le mur. Elle en devenait presque désirable, voir même désirable tout court. Cela faciliterait sans doute sa tâche, du moins l'espérait-il. D'une voix basse, il parla tout en lui présentant un siège pour qu'elle puisse s’asseoir.

«Quelle transformation ! Je dois dire que vous avez fait du bon boulot. Vous avez même supprimé l'odeur de transpiration et de cheval. Bien bien bien. Je vais vous faire apprêter un lit dans les chambres réservées aux domestiques. Vous serez affectée aux services des repas, des bains, à la propreté des tables, et vous donnerez éventuellement un coup de main en cuisine quand ils en auront besoin. Vous me servirez principalement mes repas, ceux de ma sœur, ceux de mon mestre et de  ma garnison. Vous aurez ainsi un accès facile à une grande partie du château. »

Le jeune homme joignit ses doigts et se concentra quelques secondes avant de commencer à lancer ce qui s'avérait à la fois une vengeance et une purge. La vengeance serait la première à être accomplie, la purge la suivante. Le service et le geste honorable viendrait en dernier. Pour l'heure, il avait d'autres chats à fouetter que ces deux derniers points. Une cible motivée par l'agent travaillait bien. Motivez là par des principes et elle ne sera que plus efficace. Owen comptait bien utiliser la vérité à bon escient pour aller dans le sens du code de l'honneur propre à l’assassin qu'il avait engagé. Il s'éclaircit la gorge et parla d'une voix calme et posée. Faire germer les graines de la fidélité dans l'esprit de son entourage était son but premier.

« Vous devez avoir ou avoir eu une mère tout comme n'importe quel homme ou femme sur cette terre. La mienne était une dame remarquable qui tenta de rester digne même à l'article de la mort. Sa mort est arrivée trop tôt, trop brusquement. Ce ne fut pas une maladie qui l'a frappa. Pas totalement. Sous le déguisement d'une maladie, ce fut bel et bien un poison qui la frappa. Un poison destiné à la faire terres car elle savait trop de choses délicates à propos de la personne qui commandita son assassinat. Heureusement, la langue qui mit en place tout cela a rejoint les Sept Enfers sans que je n'ai à lever le petit doigt. J'aimerai cependant administrer son châtiment aux mains qui ont guidés le poison dans l'organisme de ma mère.»

Délassant le cordon de sa bourse, il en sortit un petit objet. Qu'il tint au creux de sa main. Il mit ensuite un genou à terre près d'Ekishae et lui ouvrit sa main droite. Il y déposa l'objet et referma les doigts de la jeune femme. Il s'agissait du pendentif qu'elle lui avait remis. Elle s'était présentée à lui, il n'avait plus aucune raison de le garder à présent. Un juste retour des choses pour lui prouver sa bonne foi.

«Voici quelque chose qui vous appartiens. Chose promise, chose due. Vous êtes venue, il vous est rendu. Je veux que vous tuiez mon mestre. Il est vieux et il possède ses habitudes. Ce sera une cible facile. Je veux qu'il souffre pour ce qu'il a commit mais je ne veux pas que sa mort soit déshonorante en souvenir des services rendus à ma maison. Prenez votre temps. Un accident est vite arrivé et à son âge son cœur ne doit plus tenir aussi bien qu'auparavant. Que vous l'étouffiez avec un cousin ou le faites tomber dans les escaliers je m'en moque. Assurez vous juste qu'il souffre un minimum avant de partir. Voilà la première cible que je vous donne ... Yavara !»
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Je pus alors entrer, Cyrcen fut amenée à l'écurie intérieure. Un garde me fit entrer dans une salle où je dut attendre. Je n'avais plus peur désormais de ce seigneur Tyssier. J'avais trouvé du soutiens beaucoup plus haut dans le Bief à qui j'envoyais plusieurs fois par jour un corbeau pour assurer que j'allais bien. Si le petit seigneur comptait me faire du mal, j'avais quelqu'un de bien plus influent que ce dernier pour m'accorder de l'aide. Je n'avais donc plus rien a craindre face à l'araignée désormais. Je l'écoutais parler.

"Quelle transformation ! Je dois dire que vous avez fait du bon boulot. Vous avez même supprimé l'odeur de transpiration et de cheval. Bien bien bien. Je vais vous faire apprêter un lit dans les chambres réservées aux domestiques. Vous serez affectée aux services des repas, des bains, à la propreté des tables, et vous donnerez éventuellement un coup de main en cuisine quand ils en auront besoin. Vous me servirez principalement mes repas, ceux de ma sœur, ceux de mon mestre et de  ma garnison. Vous aurez ainsi un accès facile à une grande partie du château."

Je sentais bien dans sa voix qu'il en profitais. J'avais le statut de servante et lui de seigneur. Donc il avait le droit de me rabaisser. Aux yeux des autres, c'était normal. Je soupira légèrement, en souriant. Je me serais bien passé de ses remarques bien que cela me faisait plaisir de savoir qu'il y avait un soupçon de beauté chez moi. Je restais assise, silencieuse. Les mains posées délicatement sur mes genoux. Très bien, j'avais donc accès au château, ce qui me faciliterait bien la tâche. Si il cherchait quelqu'un pour se confier, il faisait fausse route. Dès le moment où j'avais vu son agissement dans l'auberge, j'avais su que je ne m'entendrais pas avec lui. D'autant plus qu'il m'avait menacé si je ne faisais pas son boulot, et je le pense aujourd'hui, mais j'avais vraiment eut peur de finir décapitée. Mais aujourd'hui, bien qu'étant dans sa demeure, je n'avais plus rien à craindre, sauf si évidemment je commettais une faute très grave comme essayer de le tuer ou bien semer le désordre chez lui.

"Vous devez avoir ou avoir eu une mère tout comme n'importe quel homme ou femme sur cette terre. La mienne était une dame remarquable qui tenta de rester digne même à l'article de la mort. Sa mort est arrivée trop tôt, trop brusquement. Ce ne fut pas une maladie qui l'a frappa. Pas totalement. Sous le déguisement d'une maladie, ce fut bel et bien un poison qui la frappa. Un poison destiné à la faire terres car elle savait trop de choses délicates à propos de la personne qui commandita son assassinat. Heureusement, la langue qui mit en place tout cela a rejoint les Sept Enfers sans que je n'ai à lever le petit doigt. J'aimerai cependant administrer son châtiment aux mains qui ont guidés le poison dans l'organisme de ma mère."

Je me crispa. Le sujet a éviter en ma présence était les parents. Surtout la mère. La mienne avait travaillée dans un bordel dès l'âge de 14 ans. Et alors qu'elle devait se débarrasser de moi, elle me garda cacher pendant 7 ans à la vue du maître. Elle termina frappée jusqu’à la mort face à moi.

"Voici quelque chose qui vous appartiens. Chose promise, chose due. Vous êtes venue, il vous est rendu. Je veux que vous tuiez mon mestre. Il est vieux et il possède ses habitudes. Ce sera une cible facile. Je veux qu'il souffre pour ce qu'il a commit mais je ne veux pas que sa mort soit déshonorante en souvenir des services rendus à ma maison. Prenez votre temps. Un accident est vite arrivé et à son âge son cœur ne doit plus tenir aussi bien qu'auparavant. Que vous l'étouffiez avec un cousin ou le faites tomber dans les escaliers je m'en moque. Assurez vous juste qu'il souffre un minimum avant de partir. Voilà la première cible que je vous donne ... Yavara !"

Il me donna alors le pendentif du blason de ma famille. Je lui souris en saisissant le bijoux. Au moins, il en avait prit soin – Je devais bien le reconnaître. Je serrais un instant mon bijoux dans ma main puis le regarda alors qu'il était à ma hauteur.

<< - Sachez, Lord Tyssier, que je ne suis ni l'une de vos servante, ni l'une de vos maîtresse. Mon but est de tuer les personnes pour lesquelles vous me payer. Il est hors de question que je vous donne le bain. Je n'ai aucun travail a vous fournir. Je me mêlerais à la foule et exécuterais sur plusieurs jours vos cibles. Je ne suis pas là pour recevoir des compliments ou des critiques. Je ne suis ni votre amie, ni votre ennemie, ni votre confidente. Bien que je sois dans votre demeure, je respecterais votre titre et votre lieu de vie. Mais n'attendez pas de moi de la sympathie. >>

Dis je d'une voix froide mais à la fois douce afin que personne n'entende notre conversation. Je lui souris, comme si je ne venais pas de lui dire tout cela.

<< - Donnez moi les noms, leurs métiers, le lieu où ils se trouvent et la façon dont vous voulez qu'ils meurent. >>
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Une gourde ... il avait engagé une gourde. Pensait-elle vraiment qu'en se mêlant juste aux gens du château tout allait parfaitement se dérouler. Si elle sortait du train-train quotidien, elle attirerait l'attention et le but de la manœuvre était justement qu'elle ne l'attire pas. Le plan était rodé mais voilà qu'elle voulait être le grain de sable dans l'engrenage. A cet instant, le Tyssier ressenti juste l'envie de saisir le crâne de la demoiselle et de lui faire percuter le sol jusqu'à ce qu'il n'en reste plus qu'une bouillie sanguinolente. Faisant fit de sa colère, il garda son sang-froid comme à son habitude. Son ton se montra légèrement agacé quand il lui répondit toujours sur un ton bas pour garder la discussion secrète.

«Vous fournirez le travail quoi qu'il arrive. Je ne vous demande pas de me frotter le dos  ou de vous agrippez à ma queue que diable ! Je vous demande de vous intégrer quelques temps. Nos affaires ne dureront que quelques semaines. Vous serez lavée, nourrie, blanchie et aurez un toit sur votre tête. Je vous trouverai la tâche qui vous plaira si vous le désirez, une tâche qui restera cela dit  dans le cadre de ce qu'une jeune femme du commun normal est censée pouvoir accomplir. Si cela ne vous convient pas. Remboursez moi ce que vous me devez, remettez vos frusques et disparaissez d'ici avant que je ne change d'avis. »

Elle ne se prenait pas pour de la merde la Ekishae. Une coquette somme pour chaque méfait accomplit en plus de ses besoins naturels assurés pour le temps nécessaire à l'exécution de son contrat. Que lui fallait-il en plus ? Qu'il lui donne son titre et ses terres ? Elle se trouvait dans la gueule du loup, au centre de la toile. Ce n'était ni l'endroit ni l'heure de faire la maligne. Devait-il aussi lui jeter à la tronche les informations qu'il avait tiré de son bijoux ?

«Le nom que vous employé est le même que celui inscrit sur votre bijoux. Si vous commencez à semer des traces aussi visibles pour un œil observateur, je crains que vous ne soyez pas la personne qui convient pour ce contrat.»

Elle n'aurait pas tous les noms d'un coups. Si elle foirait la première opération, inutile de lui donner plus d'informations. De toute manière, il lui avait déjà communiqué assez d'information en parlant du mestre. Si elle n'arrivait déjà pas à s'en sortir avec ces simples données là, il ne pouvait pas attendre grand chose de sa part comme marge de manœuvre. S'éclaircissant la gorge, le Tyssier lui donna le nom de sa cible et la façon d'opérer qui lui semblait la plus cohérente  et le pourquoi du comment.

«Mestre Mors. Il se nomme mestre Mors. Il passe le plus clair de son temps dans ses petits appartements dans l'une de nos tours. Utilisez un coussin pour l'étouffer. Vous ne devriez pas avoir de mal à le maîtriser. C'est un vieille homme de faible carrure. Remettez le coussin en place une fois fini. La mort devra paraître naturelle. La seule personne capable de déceler une anomalie serait le mestre mais si vous le supprimez, tout devrait bien se passer. Besoin d'autres informations ?»

Inutile d'ajouter quelque chose de plus à ses yeux. Il gagnerait bientôt un mestre plus jeune, plus frais, moins expérimenté mais qu'il pourrait fidéliser sans grand maux. Il bailla calmement et retourna fermer le livre de compte tranquillement. Il laissa le silence s'installer quelques instants avant de le briser la glace. Elle ne devait pas commettre d'erreur et se fondre dans le moule. La grande force majeur de son efficacité surviendrait de cela, de l'effet de surprise, de la victime prise de court. Malheureusement, il était de plus en plus convaincu que cela ne fonctionnerait pas du tout. La sauvageonne était trop têtue et trop butée pour arriver à un résultat. Si elle refusait déjà de rentrer dans son rôle, peut-être que la pique rentrerait plus facilement en elle ?  

«Si vous n'avez rien à ajouter, je vous prie de me communiquer les tâches qui vous conviendront princesse, je ferai en sorte de vous y faire affecter et de vous faire conduire à vos quartiers.»
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Pour qui se prenait-il a m'ordonner quoi que ce soit ? Il n'était qu'un tout petit seigneur. Un vassal d'un vassal. Je voyais clair en lui, clair comme du cristal. C'était bien le genre de petit noble qui se pavanait. Ses exécutions... Même un sans-visage ne le ferait pas tellement la tâche était ingrate. J'allais devoir de taper ses corvées. J'étais peut-être dans la gueule du loup, mais une araignée n'était pas si agile dans sa propre toile. Je ressentais une si forte colère que je lui aurait bien coupé les parties pour les lui faire avaler de force ! Je bouillonnais intégralement. Je n'était pas la merde qu'il croyait que j'étais, bien au contraire. J'avais peut-être un égo important, mais je pouvais prétendre si une personne pouvait être bonne ou non. Puis il parla du prénom que j'avais choisie. Quel imbécile, qu'il aille réviser un peu ses livres, la famille Yavara était originaire d'Essos. Et qui plus est n'était absolument pas importante. Elle n'apparaissait dans aucun livres. Qu'il en sache un peu plus avant de cracher son venin. L'araignée n'était pas si forte qu'elle le prétendait. Elle était même plus faible que je le croyais. Mais j'avais un contrat a respecter. Je me leva si vite que je vis quelques secondes des étoiles. Puis le regarda droit dans les yeux.

<<  - Je n'ai pas besoin de votre aide pour me mêler à la foule de votre toile. >>

Dis je d'une voix mauvaise. Je saisis mon épée dans le linge et la jeta presque sur son bureau.

<< - Je n'ai pas besoin de ça. >>

Puis je me tourna et quitta la pièce sans un mot. Ce fut un garde qui me montra mes quartiers.

Cela fut dur de me mêler à la foule, mais moins je verrais ce lord, mieux je me sentais pour accomplir mes tâches. Je fus vite prise pour une serveuse. Pendant plusieurs jours, je m'attelais à laver le linge et à nettoyer les plats. Je maudissais intérieurement cette immonde vermine en me disant que j'aurais dut l'égorger près des porcs alors qu'il était en proie à mon poison. Tellement outrée par l'araignée, je ne dormais même pas dans la chambre qu'il m'avait confier. Je dormais dans la paille. Je camoufla vite les rumeurs qui commençaient à se répendre. Je fis moi-même courir une rumeur comme quoi j'étais une bâtarde et que je ne méritais pas de chambre. Ingénieux, cela fonctionna. J'écrivais chaque jours à mon protecteur. Puis je commis le premier meurtre. M'infiltrant dans les appartements du mestre, celui ci dormait. La bouche ouverte ce qui était un avantage. J'avais beau haïr l'araignée, je faisais mon travail d'assassin comme il le fallait. Je pris un oreiller et le plaqua sur le visage du mestre mais sans trop forcer. Assez pour qu'il ne cris pas et trop pour qu'il souffre. Je repositionna l'oreiller sous sa tête puis vérifia si je n'avais rien oublier, aucun indices ? Non. Puis le lendemain, la nouvelle se répandit vite. Le mestre était mort de vieillesse. Je faisais l'étonnée, la surprise tout en continuant mes tâches.

Je me retrouva le soir à devoir m'occuper du bain de l'araignée. Alors qu'il était déjà sans sa baignoire, j'entrais, telle une servante normale. Ne sachant pas encore de qui il s'agissait, vu que la porte était derrière lui, je lui murmura à l'oreille :

<< - Le mestre est mort, mais vous le saviez déjà.. >>

Je versa de l'eau chaude, même un peu trop chaude dans son bain en souriant :

<< - Avouez, je vous ai manqué... >>

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La peste jeta son épée sur son bureau et s'en alla. Avait-il trouvé plus buté et bornée que Mezzara ? Probablement. Il allait devoir organiser un concours pour les départager. Il passa le reste de la journée à travailler en bon petit Lord, chassant ce mauvais moment de son esprit. Le reste de la journée fut anodin. Le lendemain matin, il apprit la mort du Mestre. Son premier objectif fut atteint mais il ne montra aucune joie et demanda à ce qu'on organise une veillée au Septuaire pour le vieil homme. Le reste sa journée fut banale à part la lettre qu'il écrivit à la Citadelle pour annoncé la mort de son homme de savoir et sollicité la venue d'un autre. A la fin de sa journée, il passa même du temps à nettoyer et entretenir le fil de la lame de l'épée de son assassin. Pas spécialement par bonté d'âme mais parce qu'une arme entretenue le plus souvent possible était un atout indéniable. Une habitude tout simplement. Cela lui permettait également de se consacrer à une tâche simple et de s'aérer l'esprit. Lorsqu'il jugea la lame assez bonne à son goût, il la déposa sur le bureau et demanda à ce qu'on lui amène bassine et eau pour prendre un bain. La bassine arriva avant l'eau et il s'y installa confortablement dans la nudité la plus totale. Il ferma les yeux et se perdit dans ses pensées attendant calmement qu'on lui amène le liquide bienfaiteur. Tout alla bien. Il entendit frapper à la porte, il donna la permission d'entrée puis quelques instants plus tard reçu une dégelée d'eau chaude sur le corps. Trop chaude si bien qu'il se releva d'un bond la peau rouge par endroit mais dévoilant ainsi l'entierté de son corps nu à la servante qu'il enguirlanda !

«Non mais vous voulez me cuire ou que je prenne un bain ? Par les Sept, j'ai bien cru griller dans les Sept Enfers ! »

C'est à ce moment qu'il reconnu la sauvageonne ainsi que sa voix. Devait-il mettre cela sur son incompétence notoire ou sur sa maladresse et son dégoût pour le boulot de servante ? Il ne pût le dire. Il sortit néanmoins de la bassine pour quelques minutes, le temps que tout les seaux soient versés et que l'eau ait le temps de refroidir. Ce ne fut pas pour autant qu'il se couvrit. Le temps était agréable dans le Bief et il n'avait jamais eut de problème avec sa nudité, que du contraire. Et puis cela allait peut-être mettre mal à l'aise Miss « je sais tout mieux que tout le monde ». Elle ne devait pas avoir l'habitude de voir de nobles hommes tout nu. Il ne se pria d'ailleurs pas pour lui faire la conversation.

«Bien bien bien. Cela tombe parfaitement que ce soit vous qui ayez tenté de m'échauder. Nous allons pouvoir parler de la suite des événements. La partie la plus délicate mais d'abord je tenais à vous féliciter pour cet travail rondement mené.»

Il trempa son pied dans l'eau pour tester la température. Quelques minutes et elle serait idéale. Il se gratta le torse calmement et observa sa nouvelle domestique. Elle semblait ne pas avoir les traits tirés ni être stressée. Plutôt dans son élément ! La vie ici ne devait pas tant lui déplaire que cela. Ekishae devait avoir sans doute connu une vie similaire ce qui expliquait peut-être pourquoi elle s'était tant opposé à la mener actuellement. Il se décida finalement à se glisser dans la bassine et s'y installa tranquillement. L'eau était encore un peu trop chaude mais c'était supportable. Rien de tel qu'un bon bain après une journée afin de se détendre et éventuellement de discuter de leur prochain coup.

«N'ayez pas peur, je ne vais pas vous demander de me frotter le dos. Vous seriez capable de m'écorcher jusqu'à l'os. Nous attendrons quelques jours voir une semaine avant que vous passiez à l'action. De toute manière nous aurons besoin de ce laps de temps pour éliminer Ser Roland et Portifer la Barrique. Le premier est un fin bretteur d'un âge déjà avancé. Un homme dur et sévère mais pas dénué d'honneur qui a pour seule vice le jeu. Il apprécie les femmes, surtout quand elles sont jeunes et peu farouche. La Barrique est ventripotent, presque constamment saoul et dépensier. Peut-être les avez vous déjà rencontré au cours de vos va-et-vient ?»

Testez ses connaissances d'observatrice n'était pas dénué de sens. Il commença à se frictionner puis se leva pour atteindre les zones de son corps peu pratique à nettoyer en position assise. Il ne tourna même pas le dos à Ekishae. L'eau ruisselait sur sa légère musculature athlétique pendant qu'il se frottait. Il attendait sa réponse histoire de voir si elle avait apprit à connaître les têtes connues du château.
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Bien évidemment, je l'avais fais exprès. Disons que l'adrénaline de tuer quelqu'un me rendait quelque peu... Etrange. Je ne pu m'empêcher d'étouffer un rire quand il se releva. Douce vengeance... C'était assez étrange comment je me sentais. Je savais que je détestais Owen, mais avec mes provocations, ça me rendait un peu... Pas affective, ni aimante... Mais un peu folle. J'avais toujours été un peu ainsi. Aimer faire mal, aimer avoir mal. Cela faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé. Quand il me félicita, j'hochais juste la tête avec un sourire en coin. Toujours amusée par sa réaction de l'eau brûlante. Quand il se releva sans cacher sa nudité, j'arquais les sourcils. Ils n'avaient donc aucune pudeur chez les nobles ? Je le regardais se rasseoir dans son bain. Il n'y avait visiblement pas assez d'eau.

"N'ayez pas peur, je ne vais pas vous demander de me frotter le dos. Vous seriez capable de m'écorcher jusqu'à l'os. Nous attendrons quelques jours voir une semaine avant que vous passiez à l'action. De toute manière nous aurons besoin de ce laps de temps pour éliminer Ser Roland et Portifer la Barrique. Le premier est un fin bretteur d'un âge déjà avancé. Un homme dur et sévère mais pas dénué d'honneur qui a pour seule vice le jeu. Il apprécie les femmes, surtout quand elles sont jeunes et peu farouche. La Barrique est ventripotent, presque constamment saoul et dépensier. Peut-être les avez vous déjà rencontré au cours de vos va-et-vient ?"
<< - N'ayez pas peur, elle à bonne température. >>

Je souris, oui je provoquais ? J'avais envie de m'amuser un petit peu. Après tout j'avais quand même bien travailler. Je versais l'eau délicatement dans le bain.

<< - Figurez vous, mon roi, que je n'ai pas vraiment eut le temps de remarquer tous vos sujets. J'ai eu trop de travail en cuisine. Votre cuisinière est coriace, en passant... Je crois qu'en fait, vous aimez bien les femmes au fort caractère... >>

Une fois qu'il se rassied, étrangement je saisis l'éponge humide et la passa sur son torse. J'avais le coude sur un rebord du bac et la tête posée dans ma main, l'autre tenait l'éponge.

<< - Vous voulez qu'ils souffrent ? >>

Demandais-je d'un air pensif en passant l'éponge sur le torse du Lord. Je baissa le regard, puis esquissa un sourire.

<< - Je pensais que les nobles étaient bien équipés... Je crois que je suis déçue... >>

Dis je d'un air un peu boudeur en remontant mon regard qui passa sur l'éponge contre son torse.

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Pour le coté observateur on repassera (du moins vis à vis des personnes). Si elle n'avait pas déjà repéré ces deux figures emblématiques de Froide-Douve, c'était qu'elle ne s'était pas encore assez bien imprégnée des lieux. Dans un sens, elle n'avait pas tort. Il appréciait les femmes de caractère. Celle qui l'aimait en secret possédait ce genre de dispositions. Mezzara également. Quant à celle-ci, elle affichait clairement un caractère de cochon mais l'appréciait-il réellement ? Difficile à dire. Il n'aimait pas mélanger travail et plaisir. Ils étaient rarement sur la même longueur d'ondes. Ekishae était désirable mais cela suffisait-il pour qu'il l'apprécie ? Sans doute pas. Elle commença à lui frotter le torse et il se laissa faire sans résister. Il ne souhaitait pas faire souffrir ses cibles. A vrai dire, il espérait que cela se passerait vite et proprement. Elle n'aurait en fait qu'une seule personne à tuer par que l'enchaînement de situation allait sûrement conduire la deuxième cible à comparaître devant la justice du Seigneur des lieux : c'est à dire Owen.

«Inutile qu'ils souffrent. Seriez vous capable de voler un objet sans que l'un d'entre eux s'en aperçoive ? Cela pourrait nous faciliter grandement la tâche pour la suite des opération, Yavara ! »

L'allusion à la taille de son engin le fit sourire. Elle ne cessait de le taquiner ou de le provoquer mais dans quel but ? La provocation réelle ne pourrait que la conduire à sa perte. Désirait-elle simplement l'ennuyer, lui taper sur le système ou ce comportement tirait son origine d'une autre raison ? Laquelle ? Mystère ! La sauvage savait où poser ses yeux. D'autres femmes auraient détourner les yeux par politesse. A moins qu'elle n'ait rien observer du tout et qu'elle se mettait simplement à bluffer dans le seul but de le provoquer à nouveau. Le Lord leva les yeux au ciel et lui répondit sur un ton amusé.

« Assez bien équipé pour que vous puissiez la voir. Pour repérer des figures connues, vous n'avez pas d'attention mais pour observer mon braquemart, vous récupérez tout de suite vos capacités visuelles. Pour pouvoir faire une comparaison, je suppose que vous avez dût en voir défiler pas mal ? Cela dit, cela vous sied sans doute mieux qu'une épée, Yavara !»

Il stoppa le mouvement du bras de la sauvageonne et le renifla quelque peu. Il repéra une odeur subtile. En travaillant dans les cuisines, une tonne d'odeur s'imprégnait sur elle mais l'on pouvait sentir en arrière plan, une flagrance plus subtile. Un parfum floral, sans doute des roses. Une petite touche de féminité qui lui allait comme un gant. Le blond promena ses doigts sur le bras de son assassin telle une petite. Sa peau n'était la plus délicate qu'il ait touché mais elle restait agréable sous le doigt. Owen posa alors une question assez simple dans le but de se renseigner mais aussi de la provoquer.

«Vous seriez capable de voler un couteau au manche sculpté dans du barral sans que son propriétaire le remarque et d'agir ensuite rapidement ? Je ne doute pas de vos qualités d'assassin mais pour ce qui est d'un larcin ? Je me tâte. Vos mains ne me semblent pas assez agiles et rapides pour arriver à subtiliser quelque chose. Par contre je vous accorde que pour me frotter, vous vous débrouillez mieux que bien.»

Il continua de balader ses doigts le long de l'avant bras d'Eshikae. Une fine caresse, rien de plus rien de moins, juste du bout des doigts. Il tourna la tête dans la direction de sa nouvelle peste. L'orageoise allait peut-être remplacée la dame de Volantis à ce petit jeu. Il tourna sa tête légèrement pour pouvoir entrer en contact visuel avec l'assassin.

«Finalement me donner mon bain ne semble pas vous déplaire. Je vais finir par croire que vous y prenez goût. La question est de savoir si je vais faire de même ... si un jour vous cherchez quelqu'un pour vous frottez le dos, pensez à moi. Ces bassines sont assez grandes pour vous accueillir vous et votre ego, voir moi en plus si on se serre.»
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the new ekishae.
IL Y A DES FLEURS PARTOUT POUR QUI VEUT BIEN LES VOIR



C'était assez paradoxale comme situation. Un coup j'envoyais littéralement paître le seigneur de Froide-Douve, et puis quelques jours plus tard, je me retrouvais à lui caresser la peau alors qu'il prenait son bain. Je l'écoutais parler, parler et encore parler. Ne savait-il donc faire que cela ? Je laissais un silence, puis un soupire sortit d'entre mes lèvres roses et charnues. Il était vrai que je voyais ce que je voulais bien voir. Il me demandais si j'étais capable de voler, je leva les yeux au ciel tandis qu'il continuait à discuter. J'étais très pensive, dans mon regard scintillait une certaine envie de provoquer par pure méchanceté et aussi par pure envie. Il arrêta mon bras afin de le renifler. J'arquais un sourcil en le regardant. Bien sûre que non, je ne puais pas ! Je savais me parfumer quand même. Son comportement m'exaspérait tellement.

<< - Les ténèbres sont mes alliés... Je saurais ne pas me faire voir. >>

Déclarais-je simplement. Il se mit a passer le bout de ses doigts sur mon bras. Un frisson me parcouru la colonne vertébrale. Dégout ? Haine ? Envie ? Je n'avais pas besoin de le savoir. Sans réflechir, je me releva puis retira ma robe pour entrer dans le bain de l'araignée. Non, je n'avais pas peur. Assise sur ses jambes, je levais le regard vers Owen.

<< - Vous ne voulez pas qu'il souffrent mais... Une araignée aime faire souffrir non ? >>

Dis je en passant mon index contre la joue du seigneur tout en le faisant descendre contre son torse. Puis à cet instant je le griffa assez violemment au niveau du sternum.

<< - Êtes vous vraiment une araignée, Lord Tyssier ? (Marianne arrête de lire, perverse xD) Vous n'avez pas l'air de mordre... >>

J'avais un sourire provocateur au visage.
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Elle semblait confiante pour le vol et il priait le Guerrier pour qu'elle ne se trompe pas. La base de son intrigue résidait sur ce larcin. Le mener à bien assurait déjà un grand taux de réussite à leur entreprise. Ekishae se releva ensuite pour se dévêtir et le rejoindre dans son bain. La partie commençait vraiment à devenir intéressante. Il ne la besognait pas encore mais n'en était pas loin. Voilà une façon de la rendre plus supportable très certainement. Elle lui posa une simple question auquel il répondit sincèrement après avoir poussé un léger soupire sous l'effet de la griffure qu'elle venait de lui infliger. Le sang perlait finement sur la coupure. Rien de très grave en soit à moins qu'elle ne soit venu dans ce bain uniquement pour le narguer..

« Je ne tirerai aucun plaisir ou aucun bénéfice de leur souffrance. De plus, plus un homme souffre, plus il risque d'attirer l'attention et je n'aimerai pas perdre ma nouvelle « domestique » préférée. »

Sa main droite chassa le sang avec un peu d'eau avant d'aller soupeser l'un des seins de la sauvage. Ekishae affichait un air provocateur et ses paroles étaient elles aussi teinter de ce même soupçons de provocation. Le Tyssier ne paru pas perturber. Il saisit l'un de ses mamelons entre ses doigts et le pinça pour lui faire ressentir une petite douleur. Le blond se pencha vers la femme originaire des Terres de l'Orage et lui murmura quelques phrases à l'oreille d'une voix qui se voulait tentatrice et provocatrice.

« Je préfère jouer avec ma proie avant de mordre. Qu'elle s'imagine ne jamais mettre un pied dans ma toile alors qu'elle s'y trouve déjà bel et bien prise au piège. Vous semblez avoir envie de faire souffrir vos cibles ... c'est étonnant pour quelqu'un qui possède un tel code de l'honneur. Les ténèbres sont-elles vos alliés parce que vous êtes aussi sombres qu'elles ?»

Le jeune homme planta ses dents dans l'épaule d'Ekishae. Une morsure légèrement douloureuse mais qui n'avait pas pour vocation de lui faire réellement mal, juste de la stimulé, de répondre à ses mots par des actes. Tout en continuant de la mordre, ses mains parcoururent le dos et les fesses de l'assassin, palpant ses formes qu'il avait hâte de découvrir. Il stoppa sa mâchoire et lui laissa une marque. Fourrageant ses mains entre les jambes de l'orageoise, il lui caressa lentement l'intérieur de ses cuisses avant d'aller titiller sa féminité, tentant de s'y introduire. La situation l'excitait ce qui était à présent bien visible au niveau de son entrejambe. Lorsque ses doigts se frayèrent un chemin, il lui posa une simple question en faisant référence à des paroles qu'elle avait prononcée plus tôt comme s'il venait de toucher au but. Il parla au creux de son oreille, sur un ton si bas que seule elle pouvait l'entendre.

«Tu n'es pas ma servante. Tu n'es pas ma maîtresse. Alors qu'es tu Ekishae ?»

Le jeune homme fixa son regard dans le sien. Il voulait l'entendre répondre à sa question, à moins qu'elle ne gémisse tout simplement sous l'impulsion de ses doigts baladeurs. A présent, il la désirait et comptait bien la prendre d'ici la fin de la soirée. Le blond ne la lâcha pas des yeux, un rictus satisfait affiché sur son visage. Encore un peu de sang perlait sur son torse mais il s'en contrefichait. Ce soir elle serait à lui et il lui donnerait toutes les raisons d'apprécier cette soirée. Il appréciait séduire, plaire et contenter les dames. C'était un nouveau défi qui se proposait à lui et il ne comptait pas se faire prier pour le relever !
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IL Y A DES FLEURS PARTOUT POUR QUI VEUT BIEN LES VOIR



Contrairement à ce que les gens pouvaient penser de mon corps sans ses vêtements, je n'avais pas plein de cicatrices ou d'ecchymose. Ma peau était bronzée avec une seule cicatrice au niveau de la cuisse. Et une sorte de tatouage fait par des entailles recouvertes de cendres dévoilait un serpent qui longeait mes côtes tout en enroulant l'une de mes cuisses. Une dure souffrance pour une image sur le corps. Je me souviens avoir hurlé lorsque je l'avais fais. La cendre donnait de la couleur aux entailles puis lorsqu'elles cicatrisaient, ces traces devenaient noire. Je souriais en inclinant la tête d'un côté quand il mentionna « domestique préférée ». C'était bien étrange quand on repensait que nous étions comme chien et chat. Quand il passa sa main contre ma poitrine en parlant, je ne pus qu'avoir un léger sursaut et sentir une vague de chaleur m'envahir. Quand Owen vînt à me mordre l'épaule, je ne pus m'empêcher de pousser un léger gémissement d'envie et d'excitation. Oui, j'aimais souffrir physiquement, ce qui était un peu étrange lorsque l'on me connaissait bien. Je passais ma main contre sa nuque, sous ses cheveux afin de le griffer une nouvelle fois. Pas assez fort pour qu'il saigne, mais assez pour qu'il ressente une petite douleur.

<< - Attention à ne pas vous emmêler dans votre propre toile... >>

Murmurais-je en sentant son autre main contre ma fleur de plaisir. Ma respiration s'accelérait mais je retenais quelques gémissements, je le regardais droit dans les yeux.

<< - Peut-être ne suis-je qu'une ombre aux multiples visages... >>

Déclarais-je d'une voix mystérieuse. Je lui saisit la racine des cheveux  basés à la nuque afin de lui faire lever la tête. Une fois que j'eus accès a sa gorge je passais mes lèvres contre sa peau. Puis le morda à mon tour en relâchant ses cheveux pour glisser mes mains sur son torse.


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