Aemma Massey - Liens de la tornade des Massey
La dame de nacre
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La dame de nacre
Alinor a d’avantage fait office de figure maternelle que de figure fraternelle pour Aemma. Quinze années les séparent, ainsi qu’une fratrie pour le moins vaste. Si la plus jeune des Massey ne peut guère s’en souvenir, Alinor a passé beaucoup de temps avec elle durant les premières années de sa vie, s’émerveillant de leur petitesse, à elle et Armond, aidant leur mère qui avait fort à faire avec deux nouveaux enfants à sa charge. Et ce, alors même que Byron n’avait que deux ans. Son mariage mit cependant un terme à ce lien qui avait commencé à se tisser entre Alinor et ses jeunes cadets. Aemma garde de vagues souvenirs de ce moment, se rappelant d’avoir été présente au moment où son aînée essayait sa robe de mariée, s’amusant avec elle par la même occasion au grand désespoir des servantes qui s’échinaient à mettre de l’ordre dans les étoffes ou à faire quelques retouches. Cependant, Alinor mit un point d’honneur à être toujours présente pour ses cadets, qu’il s’agisse de Byron, Aemma ou Armond, tant et si bien que la première lettre qu’écrivit la jeune Massey fut pour sa sœur aînée. Une correspondance qui se poursuivit sporadiquement par la suite, devenant de plus en plus fréquente alors qu’Aemma grandissait. Proches, la sœur aînée et sa cadette le firent par l’encre et le papier. A l’heure actuelle, la jeune femme regrette bien des choses quant à Alinor. La première est de ne pas avoir pu être présente pour elle alors que son époux trouvait la mort suite à la reprise de Chutebourg. Une autre est le fait de ne pas être née plus tôt pour profiter pleinement de cette sœur dont elle aurait aimé être plus proche. Et si le temps passe, Alinor reste encore et toujours une figure rassurante pour Aemma. Elle est toujours l’une des premières au courant de ses pleurs comme de ses joies, leur lien se renforçant au fil des ans.
(Gif de evagrecn.)
A bien des égards, Armond a été la seule fratrie qu’Aemma ait réellement connue. Née longtemps après plusieurs de ses aînés, Byron excepté, Armond a tout été pour la jeune femme durant leur enfance et inversement. Il a été son meilleur allié, son double, son meilleur ami également. Leurs leçons et leurs jeux étaient communs, de même que leurs explorations dans le château de leur famille ou parfois à l’extérieur. Ils avaient pour eu une curiosité commune, une grande envie d’apprendre ainsi que des caractères pour le moins complémentaires. Né avec une jambe faible, le portant difficilement ou à l’aide d’un bâton en guise de béquille, la chevalerie lui était proscrite, de même que l’idée de s’engager sur un navire. Un départ auquel les jumeaux se sont longtemps préparés, savant que cet avenir à la Citadelle marquerait leur première réelle séparation. La plus important, aussi. Une séparation qui ne pouvait être pleine et entière, cependant. Ils étaient bien trop liés pour cela. Aussi, Aemma reçoit encore fréquemment des lettres en provenance de la Citadelle, où Armond lui fait part de son avancement à la Citadelle et de son quotidien. Des lettres que la jeune femme lit avec l’envie de retrouver son frère mais aussi de partager son quotidien. Si elle était née homme, leurs destins auraient été bien différents. Avec envie et appréhension. Car Armond est doué et, bientôt, il ne fait que peu de doutes qu’il deviendra lui-même un Mestre réputé. Et avec cela viendra la perte de son nom, de leur dernier lien tangible.
(Gif de Aslaug.)
Contrairement au lien qu’elle a pu tisser avec Justin, les relations entre Aemma et Arthur ont toujours été cordiales et chaleureuses, à défaut d’être réellement animées d’un sentiment fraternel. A bien des égards, Arthur fut le fils de leur père, toujours dans son sillage, déjà trop âgé au moment de sa naissance pour s’intéresser à elle ou Armond alors que son apprentissage en tant qu’héritier l’attendait. Ils furent amenés à se croiser plus souvent à partir du moment où Aemma fut en âge de se montrer utile, de participer à la vie de leur fief ou encore de contribuer à certaines tâches administratives. Sachant qu’il s’agissait-là d’une volonté de leur père, Arthur laissa faire, ne sachant que penser de cette décision. Aemma se montra cependant à la hauteur des tâches qui lui furent confiées. Aussi, il est désormais fréquent de voir le frère et la sœur de travailler de concert, Aemma offrant un soutien certain au futur seigneur de sa famille. Après tout, elle n’est pas la seule à être la cible des exigences et des attentes de leur père. Rendue anxieuse par ce futur qu’elle ne pouvait maîtriser, Aemma eut la surprise de voir Arthur prendre les devants pour elle en convainquant son père de l’envoyer auprès des Velaryon en tant que suivante. Et ce fut alors qu’Arthur s’apprêtait à quitter Marée Haute après l’y avoir emmenée qu’Aemma vit en lui un frère pour la première fois.
(Gif de letaliabane.)
Si Ysabel a toujours fait preuve d’une grande affection pour ses enfants, de se montrer disponible pour eux malgré ses propres responsabilités, fort est de constater qu’il peut être difficile d’éduquer huit petits. Plus encore lorsque des petits-enfants viennent rejoindre le tableau. Aussi, et de part sa proximité avec Daella, il arriva assez fréquemment qu’Aemma soit confiée à Baela, au même titre qu’Armond. A plus d’un titre, Baela a vu grandir Aemma, l’a accompagnée et écoutée lorsqu’elle n’osait pas dire certaines choses à sa propre mère. Dès lors, les deux femmes se portent une grande affection.
(Gif de evagrecn.)
Aemma est devenue tante alors qu’elle-même n’était encore qu’une enfant. De fait, Bryen fit davantage office d’un cousin que d’un neveu à ses yeux. Ils partagèrent une partie de leurs jeux lorsque Alinor venait leur rendre visite à Danse-des-Pierres, ou lorsqu’ils se croisaient en d’autres circonstances. Sans doute firent-ils quelques bêtises ensemble également, en compagnie de Daella, Armond acceptant volontiers de les couvrir lorsqu’il ne pouvait participer à leurs expéditions. Si l’écuyage de Bryen les sépara un temps, Aemma se sait proche de lui. Dès lors, les importantes blessures qu’il reçu lors de la reprise de Chutebourg l’inquiétèrent grandement, plus encore lorsqu’elle appris que son beau-frère avait également trouvé la mort durant les affrontements. Si elle ne put se rendre à son chevet, voyager n’étant pas la décision la plus sûre au vu des circonstances, Aemma lui envoya plusieurs lettres, espérant recevoir une réponse, lui faisait part de son soutien. Et à son grand soulagement, une réponse finit par le parvenir… portant, en guise de salutation, un ‘’A ma chère Tante’’, qui lui fit pousser un long soupir. Au moins, Bryen ne semblait pas se départir de ses plaisanteries habituelles malgré les drames qu’il avait connu.
(Gif de Aslaug.)
Les relations d’Aemma et Byron n’ont jamais été au beau fixe. Bien qu’ils n’aient que deux années d’écart, Byron a toujours pris plaisir à s’en prendre à Armond pour son propre amusement, chose qui ne pouvait que déplaire à la jumelle de ce dernier. Ses premières disputes d’enfants, Aemma les eut avec Byron. Si leur mère tâcha d’y mettre bon ordre, arguant qu’un frère et une sœur ne pouvaient s’en vouloir trop longtemps, les relations entre Byron et Aemma restèrent tièdes, parfois froides. Si Aemma lui reconnaît une habilité certaine en combat, tandis que Byron lui concède un grand esprit d’analyse, ils sont sans doute trop différents pour s’entendre. Alors, par amour pour leur mère et pour le bien de la stabilité de leur maison, frère et sœur ont décidé d’enterrer la hache de guerre… tout en faisant en sorte de ne se croiser que lorsque cela est nécessaire. A tort ou à raison, la jeune femme imagine ne rien avoir à lui dire, un sentiment qu’elle juge partagé. Et pourtant, entre cadets quelque peu délaissés par leurs aînés, voire leurs parents, un autre chemin était très certainement possible pour les réunir. Aujourd’hui, Byron a prit son destin en main tout comme elle. Dès lors, il arrive à Aemma de s’interroger sur le devenir de ce frère. Lui manque-t-il ? Un peu, sans doute. S’inquiète-t-elle pour lui ? Un peu également. Peut-être que les années achèveront de les rassembler, lorsqu’il décidera de revenir en Westeros. Ou peut-être pas.
(Gif de Aslaug.)
Aemma allait sur ses dix ans au moment où Cyrelle rejoignit leur famille. Le caractère vif et ingénieux de la jeune femme ne tarda pas à captiver l’enfant qu’elle était alors. Grande lectrice tout comme elle, Cyrelle avait également une plume légère que sa jeune belle-sœur appréciait tout particulièrement. Avec la née Penrose, il lui était possible de parler de ses lectures profanes, d’en découvrir de nouveaux sens également. La Massey s’amusait de voir sa belle-sœur toujours les mains couvertes d’encre ou de cire, arguant qu’elle venait d’achever telle ou telle missive. Qu’elle songeait à écrire un poème, peut-être. Ou une histoire, qui pouvait encore le savoir ? Au fil des années, leur entente persista, Aemma secondant Cyrelle dans ses tâches quotidiennes avec une bonne volonté manifeste. Il est fréquent de les trouver bavassant ensemble, Cyrelle à son écritoire, Aemma assise non loin d’elle, un quelconque ouvrage sur les genoux afin de lui faire la lecture une fois leur discussion achevée. Une relation qui manque grandement à Aemma depuis son départ pour Marée Haute. Et ce, quand bien même Cyrelle lui a promis à de multiples reprises qu’elle aurait toujours une place à Danse-des-Pierres, qu’elle s’en assurerait personnellement.
(Gif de Aslaug.)
Daella et Aemma ont grandi ensemble. En résultat une proximité certaine, bien que la jeune femme passait toujours davantage de temps en compagnie de son jumeau. Il n’en reste pas moins que les deux cousines furent proches, étant élevée ensemble, comme le seraient des sœurs. Et des sœurs, elles le devinrent l’une pour l’autre. Daella sut occuper la place laissée vacante auprès d’Aemma suite au départ d’Armond, sortant sa cousine de sa mélancolie, elle qui avait tant de mal à se faire au départ de son jumeau. Cousines, presque sœurs et confidentes, Aemma et Daella n’avaient que peu de secrets l’une pour l’autre. Et pourtant, elles se querellèrent à plusieurs reprises, parfois vivement. L’une des raisons fut le mariage futur de Daella. Une chose à laquelle Aemma ne semblait pouvoir prétendre, dont elle était privée pour suivre un autre destin. Les semaines devinrent des lunes avant que les deux jeunes femmes n’aient l’occasion de s’expliquer, que Daella puisse pardonner à Aemma pour son comportement. Leur relation est revenue à la normale, malgré leurs inquiétudes personnelles quant à la guerre et à leur avenir. La trêve ayant permis à Daella d’épouser son cher et tendre, Aemma n’a pu que se réjouir pour elle. Si leurs choix de vie sont désormais bien différents, toutes deux se réjouissent du bonheur de l’autre et ne comptent pas se perdre de vue.
(Gif de Aslaug.)
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Elaena et Aemma ne sont pas tant éloignées en termes d’âges. Toutes deux ont cependant reçu des éducations bien différentes, faisant qu’elles ne se croisaient que peu ou que leurs enfances n’ont pas été aussi liées que celle d’Elinda et d’Aemma. Elaena était, tout comme Alinor, menée à se marier, à permettre de tisser une alliance avec une autre famille. Un sort que la plus jeune des sœurs a pu envier, par le passé. Les deux sœurs ne se détestent pas pour autant, bien que leurs rapports ont parfois été houleux par le passé, comme cela peut se produire dans une fratrie. Une relation cordiale les lient et la jeune Massey a toujours su s’en contenter. Elles s’écrivent de temps à autre, échangeant quelques nouvelles, quelques conseils mais jamais de réelles confidences.
(Gif de gif-hunts-for-you.)
De part leur cinq années de différence, Aemma dispose de nombreux souvenirs en commun avec Elinda. Leurs différences notables de caractère menèrent cependant les deux enfants dans des directions différentes. En effet, Aemma se rapprocha bien plus d’Armond et de Daella, plus enclins à partager ses jeux. Ces différences, pour ne pas dire dissonances, se marquèrent également quant à l’avenir des deux sœurs. Là où Elinda embrassa sa foi, entrant dans les ordres l’année de ses quatorze ans pour prononcer ses vœux quelques années plus tard, Aemma se refusa à cette idée. Et ce, malgré leur correspondance plutôt prolifique. Leur mère avait en effet espoir que sa plus jeune fille suive le même chemin que son aînée, si elle était accompagnée en ce sens. Il n’en fut rien. Aemma n’en tient cependant pas rigueur à sa mère ou à sa sœur Elinda. Ses lettres étaient toujours emplie de douceur, qui a toujours semblé réelle aux yeux de la jeune Massey.
(Gif de Aslaug.)
De part sa proximité avec Justin, c’est assez naturellement qu’Aemma fut amenée à passer du temps avec Ellyn. La jeune femme, plus discrète que Cyrelle mais non dénuée de traits d’humour ou de créativité intrigua rapidement la jeune Aemma. Et ce, au grand étonnement de sa mère qui ne parvenait pas à un tel but malgré tous ses efforts. Aguerrie dans les arts enseignés aux jeunes filles de bonne famille, ce fut Ellyn qui poussa sa jeune belle-sœur à se remettre à la musique et aux chants, tâches délaissées par Aemma qui ne trouvait aucune joie dans l’aspect religieux que tous ses apprentissages revêtaient désormais. Sous couvert de souhaiter un peu de compagnie, la née Cirley requerrait la présence d’Aemma, lui montrant des partitions profanes, lui enseignant de douces ballades afin d’ouvrir ses horizons. La Massey attendait toujours avec impatience ces moments, plus encore lorsque Ellyn lui évitait un sermon de Septa Ella en agissant de la sorte. Au fil des ans, les belle-sœurs se rapprochèrent davantage, se découvrant des goûts communs au point qu’Aemma devint même la source de renseignements privilégiée de Justin lorsqu’il était question d’offrir un présent à son épouse. Une relation maritale, un équilibre, que la jeune femme envie, à bien des égards sans pour autant l’avouer ouvertement à Ellyn.
(Gif de Aslaug.)
De Gormon, Aemma a toujours eu une image assez légère. Celle d’un marin qui passait parfois davantage de temps sur les flots que sur la terre ferme. Gormon était en effet l’un des émissaires de leur famille, en plus d’être un commerçant redoutable. A l’image de son propre père, feu Lord Roban, il découvrit bien des Cités et des villes, en quête d’une bonne affaire pour leur famille ou en espérant y vendre une partie de leur propre production à bon prix. En compagnie de son épouse Baela selon les cas, il revenait toujours avec ses cales pleines de ce qu’Aemma voyait comme des trésors qu’elle se plaisait à découvrir, durant ses jeunes années. Des cales pleines et une tête qui l’était tout autant. Aemma garde encore quelques souvenirs d’elle, Daella, Armond et Byron assis autour de Gormon, attendant qu’il accepte de leur compter ses dernières aventures ou celles de leurs ancêtres. En grandissant, la jeune Massey travailla à quelques périodes en compagnie de son oncle, au même titre que Justin, amené à remplacer un Gormon vieillissant. Elle retrouva avec plaisir ses lois et ses édits dans cette tâche. A présent, les rôles sont quelque peu inversés, Justin et Aemma prenant un réel plaisir à conter leurs propres aventures à leur oncle ou aux enfants de leur famille. Et pourtant, une petite ombre s’est glissée dans ce tableau idyllique. Son attitude dérange son oncle, Aemma l’a bien compris. Elle souffre de cette situation, tout en songeant que rien ne pourrait venir crever l’abcès qui s’est formé alors qu’elle prenait son essor et que son parcours différait de plus en plus de celui de Daella.
(Gif de Aslaug.)
Aemma et Justin ne se sont rapprochés que sur le tard, pour des raisons évidentes. En effet, onze années séparent le frère et la sœur. Fort est de constater que ce fait n’a pas nuit à leur entente une fois cette dernière forgée. Alors qu’Armond disparaissait dans les couloirs de la Citadelle, Aemma se découvrait un autre frère. Car ce fut cet évènement qui les rapprocha, permettant à la fratrie distendue d’Aemma de se reformer quelque peu autour d’elle. Justin lui appris les ficelles du commerce, se dressa comme un bouclier des plus salutaires entre elle et leur père, prenant sur lui certaines brimades, certains ordres également. Il lui permis de souffler, de trouver du repos. Il attisa sa curiosité en acceptant toujours volontiers, bien qu’après avoir fait mine de réfléchir pour cacher à leur père que cette idée l’enchantait, de l’emmener en voyage avec lui. A eux-deux, le commerce familial ou les tractations n’étaient que des obstacles aisément surmontables. Justin n’est pas que son frère aîné. Il est également l’un de ses alliés, un homme dont l’humour a toujours su la tirer de ses tristes pensées et dont l’astuce lui a toujours permis d’éviter ce destin qu’elle craignait temps. Ensemble, ils inventèrent des codes musicaux, basés sur le luth de la jeune femme, ou d’autres stratagèmes pour discuter durant leurs négociations. Ensemble, ils pourraient faire bien d’autres choses, Aemma en a la certitude. Et si Justin ne fut pas à l’origine de son départ chez les Velaryon, la Massey garde de lui l’image d’un frère qui appuya les arguments de leur aîné face à leur père. Le frère et la sœur sont encore très proches à l’heure actuelle, Aemma rêvant de temps à autre du prochain voyage qu’ils pourraient faire ensemble.
(Gif de gif-hunts-for-you.)
A bien y réfléchir, il semble à Aemma d’avoir appris tardivement le prénom de sa seconde tante. Aux yeux de l’enfant qu’elle était, Naera n’a longtemps été qu’une Septa, puis Sa Sainteté. Une femme qu’on tâcha de la faire rencontrer, voyant si elle pourrait apprivoiser la petite tornade qu’elle était. Voyant si elle pourrait faire naître dans son cœur la foi qu’il semblait lui manquer. La Massey a toujours fait en sorte de se montrer polie et de faire preuve de révérence envers sa tante. Après tout, la foi seule et les prières ne sauraient porter une femme au pinacle de son ordre. Il lui a fallu du courage, de la détermination et une ambition dans laquelle la jeune fille, devenue jeune femme, se reconnaissait. Aussi, il arrive encore à Aemma d’écrire à sa tante, ou de recevoir des missives de sa part. Bien qu’elles ne partagent pas le même attrait pour la religion, elles se sont trouvés d’autres points communs, comme l’escomptait la jeune Massey. Entre cadettes oubliées, se serrer les coudes peut vite devenir vital sans le moindre doute. Qui plus est, Sa Sainteté Naera a toujours eu une conversation des plus intéressantes, bien loin des sermons habituels qu’Aemma pouvait entendre de sa Septa à longueur de journée. Aemma le sait, sa tante suit son parcours de près sans pour autant intervenir. Et elle espère bien l’impressionner d’une manière ou d’une autre mais toujours le plus loin possible du Septuaire.
(Gif de Aslaug.)
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(Gif de ioveaffairs.)
A l’exception de Wallace, Aemma a été proche de chacun de ses oncles. Il n’en reste pas moins que Rennifer a une place toute particulière dans son cœur. Homme rompu à la vie à la cour de Port-Réal, connu pour sa diligence et sa discrétion, Rennifer n’a jamais hésité à l’accueillir ou à lui faire l’aumône de quelques livres ou de quelques conseils. Aemma a conscience du fait qu’il essaye de la préserver à sa manière des dangers du monde extérieur, à cette vie dont elle inspire peut-être en secret. S’ils sont bien différents l’un de l’autre, que leurs avis divergent fort souvent, il n’en reste pas moins que la jeune fille tient à cet oncle pas comme les autres. Elle sait reconnaître que son jugement est le plus souvent fort réfléchi et qu’elle devrait sans doute l’écouter plus souvent… bien qu’elle ne puisse s’y résoudre à chaque fois. Et ce, même si elle a pris en sagesse en grandissant auprès des Velaryon.
(Avatar de Arté.)
Aemma a toujours eu du mal à cerner son père. Et pourtant, ce ne fut pas faute d’essayer. Triston a toujours soufflé le chaud et le froid sur sa personne, lui inspirant à la fois crainte et affection selon les périodes. Car son père a hérité du caractère sournois de sa propre mère, cela, sa fille l’a désormais saisi. Plus affable et chaleureux que Vysela, il n’en reste pas moins doué d’un esprit calculateur et n’a pas manqué de remarquer ses capacités. Dès lors, la Foi n’était plus une option pour elle. Et pourtant, la menace d’une telle destinée plane toujours au-dessus d’elle, son père n’hésitant pas à en faire usage si elle se montre timorée pour effectuer certaines tâches ou certaines actions. Alors, Aemma a toujours courbé l’échine, tâchant de faire de son mieux pour se montrer utile et efficace à son père, à leur famille, ne sachant discerner si ses menaces voilées s’avéreront un jour. Et pourtant, la jeune femme ne peut que rêver de se mettre au niveau de son père, un jour prochain. De pouvoir traiter d’égal à égale avec lui. De le surpasser dans ce jeu de marionnettes sans aucun doute. Alors, peut-être pourront-ils se voir comme un père et une fille. De lui prouver qu’elle a appris toutes les leçons qu’il a fait en sorte de lui apprendre, à sa manière. Aussi, Aemma redoute le moment où elle devra l’affronter à nouveau. Car son service auprès de sa cousine ne durera pas éternellement. Il lui faudra un jour ou l’autre se mesurer à son père et, à défaut de gagner, marquer une franche égalité. Lui prouver, d’une manière ou d’une autre, que l’envoyer auprès des Velaryon était la meilleure des idées et qu’Arthur a bien fait de lui arracher son accord.
(Gif de evagrecn.)
Aux yeux d’Aemma, Vaelle a toujours fait partie de son existence. Et ce, depuis ses premières lunes. Fréquemment invitée par les Massey afin de passer du temps en compagnie de ses cousins plus âgés, Aemma a encore quelques souvenirs très ténus de cette cousine de neuf ans son aînée datant de cette période. Les choses auraient pu s’arrêter là. A bien des égards, Vaelle est davantage de la génération de ses frères et sœurs plus âgés, dont l’entente avec la née Celtigar n’est plus à prouver. Et pourtant, la jeune Massey trouva bien davantage qu’une vague cousine en Vaelle. Au fil des ans, la dame de Lamarck lui offrit comme un refuge à ses côtés, à Lamarck. Sa présence était comme une bouffée d’air frais, loin de l’atmosphère parfois pesante de Danse-des-Pierres. Vaelle lui permit de s’exercer davantage à la musique, de s’ouvrir aux autres arts mais aussi et surtout de s’amuser comme l’enfant que sa mère refusait parfois de voir en elle. Les années passants, c’est avec l’aide de la Velaryon qu’Aemma se forma aux us et coutumes de la Cour, se préparant à ses côtés à devenir la femme de la noblesse que ses parents ne semblaient pas vouloir voir. Aussi, c’est naturellement qu’Aemma trouva sa place aux côtés de Vaelle en tant que suivante. Ces presque cinq années furent pour le moins fructueuses pour elle. Si on l’apprivoise pas une tornade aisément, Vaelle sut apaiser ses sentiments tempétueux et lui apprit à les contrôler. Elle fit d’elle la dame qu’elle avait besoin d’être, ne pouvant plus prendre le voile désormais. Car il n’y aurait plus de retour en arrière. Aemma le sait. Vaelle a été la clef de son destin. Un destin qu’elle espère bien s’approprier le moment venu. Mais en attendant, la Massey profite de la quiétude de Marée-Haute en compagnie de sa cousine, devenant parfois professeure au lieu d’être son élève. A bien des égards, Vaelle sut égayer ces quelques années de son existence qu’Aemma considère déjà comme parmi les plus belles de sa vie. Leur lien s’est renforcé au fil du temps et si Vaelle tenait une place toute particulière dans le cœur de sa jeune cousine, cette impression s’est renforcée et la née Celtigar est sans aucun doute l’une des personnes les plus précieuses aux yeux de la Massey.
(Gif de ladiesofcinema.)
Ysabel a toujours été une figure effacée de Danse-des-Pierres, se consacrant avant tout à ses enfants et à leur bien-être. Que cela soit ses aînés ou ses cadets, tous et toutes ne peuvent que reconnaître l’amour et l’attention que leur mère leur accordait. Elle a tâché d’offrir à chacun l’avenir qu’elle jugeait être le bon, les préparant à emprunter les voies qui seraient les leurs, en douceur. Si Aemma a parfois trouvé sa mère étouffante, elle a conscience de l’amour qu’elle lui porte et lui rend dès qu’elle en a l’occasion. Leur seul point de désaccord, pour le moins important s’il en est, est la religion. Leurs rares disputes portaient encore et toujours sur ce domaine, Ysabel ayant tenté d’emmener sa fille sur un chemin pour lequel elle n’avait que peu d’intérêt. D’un accord tacite, la mère et la fille décidèrent de ne plus mentionner ce sujet, au nom de l’affection qui les lient. Et pourtant, il arrive encore à Aemma de douter. Et si sa mère n’avait pas tout à fait abandonné ce projet, y voyant là une existence protégée pour elle ? Y voyant le meilleur moyen pour elle de déployer ses ailes, sans même prêter garde aux autres possibilités ? Des projets qui semblent s’être envolés en même temps qu’Aemma rejoignait sa cousine à Lamarck. Elle le sait, sa mère souffre de voir autant de ses enfants loin d’elle. Elle tente de la rassurer comme elle le peut, d’apaiser ses craintes également. De lui montrer sa joie en espérant qu’elle puisse la partager aussi.
(Gif de Aslaug.)
Aemma n’a pas connu sa tante Alarra, morte d’un malheureux accident deux années avant sa naissance. Il n’en reste pas moins que la jeune femme a entendu parler de sa tante, du souvenir qu’elle a laissé derrière elle. Il lui arrive de songer qu’elle aurait aimé la connaître, ne serait-ce que pour rassurer sa chère Falyse, pour lui en apprendre davantage sur sa belle-famille. Pour avoir la possibilité de se rendre compte de l’unité de sa propre famille, si peu de temps avant qu’elle-même ne les rejoigne. Mais une fois de plus, Aemma est née trop tard.
(Gif de haticesultanas.)
Aemma n’a jamais connu son grand-père, décédé quelques années avant sa naissance. Il ne s’agissait que d’un accident. Sans doute aurait-il vécu bien des années encore. Dans ses jeunes années, la Massey s’est demandée à quoi ressemblait exactement cet homme qu’elle ne connaît que par les peintures, les journaux qu’il a laissé derrière lui ou les récits qu’on a pu lui en faire. Pendant longtemps, il n’a été qu’une écriture arrondie, rapidement esquissée, sur des actes commerciaux ou un visage avenant, tanné par le soleil et l’air marin, encadré de cheveux blonds pâles et aux yeux aussi bleus que les siens. Des souvenirs adoucis par les années, dont la dureté a pu être éclipsée. Elle savait Roban Massey quelque peu aventurier, ayant passé une partie de sa vie d’héritier sur son navire, allant de Cité Libre en Cité Libre ou vers d’autres villes de Westeros. Vysela semble l’avoir aimé, l’accompagnant dès qu’elle en avait l’occasion, faisant preuve d’une douceur que la jeune femme ne connaît que peu dans le caractère de sa grand-mère. Homme jovial, chaleureux mais qui n’en restait pas moins un commerçant aguerri, Aemma a fait son deuil de cet homme qu’elle n’a pourtant pas connu. Il lui arrive encore de songer à lui, de temps à autre, de sourire lorsqu’elle aperçoit son écriture ou des notes qu’il a laissé dans certains de leurs livres, à Danse-des-Pierres.
(Blason de Evrach.)
Aemma ne s’y est jamais trompée. Si sa mère était, selon leurs lois, l’une des dirigeantes de leur famille, de leur maisonnée, Vysela en a toujours les rênes plus fermement. Si la jeune femme était bien trop jeune pour s’en souvenir, sa grand-mère a toujours eu une emprise particulière sur ses petits-enfants, profitant en cela du caractère doux et effacé de sa bru. Si la situation se stabilisa suite à l’intervention de son père en faveur de son épouse, Vysela n’en resta pas moins une figure connue de Danse-des-Pierres. C’était toujours à elle de seconder Justin lorsque leur père était absent. A prendre des décisions qui devraient revenir à sa mère, lorsqu’elles ne concernaient par elle ou sa fratrie. Consciente de cet étonnant rapport de force, Aemma a toujours traité avec respect et déférence sa grand-mère. Bien sûr, son comportement lui déplaisait par moment. Cependant, fort était de constater que sa grand-mère restait une femme inspirante, ayant pour elle une grande expérience du vaste monde et un esprit des plus aiguisés qui avait permis à leur maison de prospérer.
Dès lors, les rapports entre la grand-mère et sa dernière petite-fille sont des plus cordiaux, bien que froids. Sans doute savent-elles qu’elles sont, au fond, taillées dans le même bois et que si le temps l’avait voulu, elles auraient fait de grandes adversaires. Un fait qui les a poussé à s’unir, selon les circonstances. Car Vysela fut sans doute la première à se rendre compte qu’Aemma ne finirait pas dans les ordres, à moins d’y être contrainte et forcée. Une jeune pousse que la Pentoshi a souvent arrosée, pour voir où cela pourrait bien mener, tâchant de lui apprendre discrètement ce qu’elle savait. Après tout, les années sont de plus en plus lourdes à porter et Vysela n’a jamais réellement oublié l’idée de façonner certains de ses petits-enfants selon son idée. Et il se pourrait qu’Aemma ait été la plus réceptive à ses enseignements. Une tâche qu’elle jugea en grande partie achevée peu de temps avant son trépas. Elle laissa quelques notes, livres et bijoux pentoshis en héritage à sa petite-fille, espérant que ces quelques présents achèveraient son enseignement.
(Gif de Aslaug.)
┗ The girl who electrified
the storm ┛
La dame de nacre
Aemma rencontra Alyce durant ses séjours successifs à Sacrelieu, alors qu’elle se trouvait dans le Bief afin de mener son jumeau à la Citadelle. Leur modeste troupe fut accueillie avec chaleur par les Graceford, de part les liens que leur tante Naera, et Sainteté, avait pu tisser avec les Graceford durant son service au sein du Matristère de Sacrelieu. Si Aemma s’attendait à faire face à une grenouille de bénitier comme le Bief en compte dans tous ses recoins, il n’en fut rien. Pieuse, Lady Alyce ne pouvait que l’être mais sa manière d’être charma la jeune Massey. Alors qu’elle se trouvait à Sacrelieu, la Graceford lui fit aussi bien office de guide que de chaperon, plus encore lorsqu’Aemma se trouvait en compagnie de Clifford. Les deux femmes en ont gardé une bonne entente et s’échangent des missives de temps à autre, lorsqu’Alyce ne lui fait pas parvenir quelques ouvrages à la demande de Clifford ou d’autres choses à sa propre initiative.
(Gif de evagrecn.)
Alyria a fait partie de ces personnes qui ont connu Aemma dans ses jeunes années. Aux yeux de la Massey, la née Farring a toujours été une présence rassurante, qu’elle a presque toujours retrouvée aux moments importants de son existence. Si la jeune femme avait été pieuse, peut-être y aurait-elle vu un signe des Sept. Elle préfère y voir une chance. Bien qu’un temps perturbée par le changement de statut de la tante de ses meilleures amies alors que celle-ci épousait feu leur souverain, Aemma a rapidement retrouvées ses marques, une fois rassurée. Bien qu’éprouvée par sa vie et son rôle de souveraine, Alyria reste encore cette femme qui l’a découverte, un soir de mariage, cachée sous une table alors qu’elle tentait d’échapper à sa sœur aînée et jeune mariée ! De part cette affection, c’est avec sérieux et gravité qu’Aemma a veillé sur Falyse durant la guerre. Si elle ne peut, et ne veut, l’avouer, elle espère qu’Alyria songe encore à elle de temps à autre et qu’elle prend autant de plaisir qu’elle à discuter ou à lui écrire. Une écriture qu’Aemma signe toujours à la fois de son nom et d’un petit tracé évoquant un dauphin, comme pour authentifier ses lettres.
(Gif de thetudorsdaily.)
Quelle étonnante dame que celle-ci. Aemma se souvient parfaitement de la première fois qu’elle l’observa. De loin, bien sûr. Elle était jeune à cette époque. A bien des égards, l’enfant qu’elle était fut impressionnée par son apparente froideur et par le grand sang-froid dont Arwen faisait preuve en toutes circonstances. Les années, et leurs multiples rencontres, lui permirent cependant de porter un autre regard sur la née Belmore. Loin de ses souvenirs de jeunesse, quelque peu faussés il est vrai, la Massey découvrit une femme aimable, quoique distante. Un fait dont Aemma n’a jamais pris ombrage, préférant garder en mémoire l’importante érudition dont Arwen fait preuve sur les chevaux, sur le monde équestre et leurs discussions des plus attrayantes sur le sujet ! Des discussions qui ne peuvent que manquer à Aemma, lorsque vient la nouvelle d’un nouveau tournoi. Car le destin d’Arwen ne lui est pas inconnu, du moins pour ce que Maegor a pu confier aux Massey. Lorsque son regard se pose sur Alesandor ou sur Rhaenys, une certaine émotion la traverse à chaque fois. Quoiqu’il advienne, Lady Arwen pourra être fière de ses enfants. C’est bien là la seule promesse qu’elle peut formuler à l’égard de la Wydman, avec l’espoir de la savoir libre un jour prochain.
(Gif de emziess.)
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(Gif de joanna-lannister.)
Entre Falyse et Aemma, tout a commencé par une banale visite d’Ysabel Massey à sa fille Alinor, désormais épouse de Gilbert Farring. La née Longzeaux escomptait que ses plus jeunes enfants sauraient s’entendre avec ceux du couple seigneurial, dont l’âge était proche. La Massey n’aurait pas pu avoir plus raison ! Sans grands efforts, Falyse et Aemma se trouvèrent et ne se quittèrent plus. Jeux, lettres, spectacles improvisés en compagnie de leurs fratries respectives, leur enfance commune leur a laissé des souvenirs parmi les plus doux de leurs existences. En découla une amitié, sincère, profonde et précieux aux yeux des deux jeunes femmes. Confidente l’une pour l’autre, alliées de tous les instants, c’est sans hésiter qu’Aemma se précipita au chevet de son amie, stressée par sa nouvelle grossesse, malgré les affres de la guerre, dans le seul but de la réconforter. Aux côtés de Falyse, Aemma a toujours pu être elle-même et faire preuve de légèreté. S’il y a bien une personne dont elle veut mériter l’amitié et la présence, c’est sans aucun doute Falyse.
(Gif de movie-gifs.)
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A bien des égards, Aemma a connu Marla dès sa plus tendre enfance. Sans doute se sont-elles rencontrées au cours d’un voyage qu’Aemma effectua en compagnie de sa famille afin de rendre visite à sa sœur Alinor. Leur jeunesse à cette époque l’empêche d’en garder un souvenir précis. Un souvenir brumeux qui fut remplacé par bien d’autres, bien plus joyeux ! Que cela soit à Castel-Farring ou ailleurs, Aemma, Armond, Daella, Falyse, Marla et les autres enfants de la maison Farring formaient une bien belle petite troupe toujours prompte à s’amuser plus ou moins sagement. Ensemble, ils montèrent des petites pièces de théâtre ou encore de petits concerts pour le « bonheur » des yeux et des oreilles de leurs familles. Au-delà de l’entente au sein du petit groupe, Aemma a toujours porté une affection sincère à Marla, craignant de s’accaparer de trop Falyse à son goût. Il n’en fut rien et aujourd’hui encore les deux jeunes femmes s’entendent à merveille, Aemma allant même jusqu’à transmettre à la jeune Farring des plantes issues de la modeste serre familiale des Massey. Une entente et une affection quasi-fraternel qui rend la mission que s’est donnée Aemma de veiller sur Falyse plus importante encore à ses yeux. Si toutes deux se sont assagies, Aemma et Marla n'en restent pas moins de très bonnes amies toujours promptes à s'échanger leurs dernières aventures.
( Gif de draconisxmalfoy.)
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Villevieille marqua un tournant dans la vie d’Aemma. Si Armond entra à la Citadelle, ce ne fut pas là le seul bouleversement que connu l’existence de la Massey. Rhoane Tarly. Une jeune fille de son âge, issue de l’une de ces grandes familles du Bief qu’Aemma ne pensait jamais pouvoir côtoyer. Plongée dans son chagrin comme elle pouvait l’être suite au départ de son jumeau, la présence de Rhoane, sa spontanéité et toute l’énergie dont elle pouvait faire preuve lui redonnèrent le sourire. Un bourgeon de compétitivité a éclos en ce jour alors que les deux jeunes filles tissaient une promesse entre elles-deux. Il fallait qu’elles deviennent des personnes qui compteraient. Qui seraient citées dans les livres d’histoire bien que leur sexe ne leur donnait que peu d’espoirs à ce sujet. Mais la jeunesse leur empêchait de voir les choses de la sorte. Elles étaient amies et cette saine camaraderie effaçaient leurs doutes. Au fil des ans, les jeunes filles devinrent des jeunes femmes. De camarades, elles devinrent des rivales. Une rivalité des plus saines dans un premier temps. Après tout, elles étaient trop semblables pour se haïr pour leurs ambitions, au contraire. Hélas, si la guerre arrache des vies, elle tue également les sentiments. Aujourd’hui, Aemma ne reconnaît plus celle qui fut une précieuse amie. Quelque chose semble s’être brisé dans l’âme de Rhoane sans que la Massey ne puisse saisir quoi exactement. L’amitié semble avoir été enfouie profondément, trop profondément. De l’amitié, il ne reste plus que la rivalité.
(Gif de catherinesvalois.)
Aemma garde un souvenir impérissable de sa première rencontre avec Shedda. La bataille de Wintetfell s’était soldée par une victoire des Vivants sur les Morts et à sa grande joie, son père et son frère aîné avaient survécu tous deux à la curée ! Mais ils ne revinrent pas seuls. Passée la surprise de voir Galladon en leur compagnie, ce fut une autre personne qui attira l’attention de la jeune Massey. Il y avait une jeune fille avec eux. Une jeune fille qui avait presque son âge, à l’accent surprenant, et qui avait combattu les spectres comme bien d’autres au Nord. Naturellement, Aemma tâcha de la mettre à son aise à Danse-des-Pierres et passa du temps en sa compagnie. Lorsque le moment du départ fut annoncé, toutes deux peinèrent à se séparer. C’est qu’elles avaient encore bien des choses à se dire et des choses à découvrir ! Fort heureusement, leurs chemins se croisèrent à nouveau par la suite, au gré des grands évènements qui animèrent Westeros mais également par le biais d’une correspondance qu’Aemma voulait fournie. Après tout, il n’y avait pas meilleur moyen d’apprendre et de consolider une langue étrangère que de l’utiliser fréquemment et sur tous les supports ! C’est surtout sous cette forme que la Massey informa Shedda des dernières modes du moment, des dernières plaisanteries en vogue ou encore de quelques stratagèmes pour se fondre dans la foule lors des grands évènements. Rien ne lui importe plus que de voir Shedda heureuse sur ce nouveau continent et dans sa nouvelle vie, au vu du drame qu’a été la sienne durant son enfance.
(Gif de green-ajah.)
La dame de nacre
Aemma ne se souvient pas d’une année sans qu’elle eut connu Aenor. Ils n’étaient que de jeunes enfants, lors de leur première rencontre. Quel âge avait-elle, à l’époque ? Cinq ans, peut-être un peu moins ou un peu plus. A bien des égards, le Celtigar fut l’un de ses premiers amis, pour ne pas dire le premier. L’un des plus chers aussi. C’est le plus naturellement du monde qu’Aemma fera d’Aenor son confident, le garçon faisant de même avec elle. Leurs éducations respectives auraient pu les éloigner par la suite. Aenor devait prendre l’épée, Aemma l’aiguille puis le voile. Si ce fut le cas, l’aiguille trouva le moyen de croiser l’épée comme durant leurs jeunes années. Quant au voile, il fut bien vite occulté. Que cela soit Lamarck, Pince-Isle ou Port-Réal, les occasions pour les deux jeunes gens de se croiser furent nombreuses. Leur amitié n’en sortie que renforcée, les chamailleries d’enfants étant devenues des plaisanteries d’adultes alors que leurs ambitions respectives grandissaient. D’ami, de confident, Aenor devient un allié précieux pour Aemma, dont il semble tolérer les « frasques » ou certaines de ses volontés d’émancipation. Si le côté conservateur de son camarade de toujours exaspère souvent la jeune femme, cela ne suffit jamais à lui ôter toute volonté ou toute vivacité. Pour Aenor, elle est une exception. Pour lui ouvrir les yeux, elle peut la changer en règle.
(Gif de dreamlandcreations.)
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Ah ça, Aemma garde un bien drôle de souvenir de sa première rencontre avec celui que certains appellent le Bâtard de Lamarck ! Elle se souvient de cet écuyer un peu pataud, de ses pauvres tentatives de se montrer agréable et poli à son égard. Il semblait à la jeune fille qu’elle était alors qu’il passait comme une sorte de test. A moins qu’il ne tente de mettre en pratique quelques leçons ? Une chose est sûre, Aemma ne s’était pas montrée plus assurée que lui en lui répondant ou en tentant de le conseiller ! Leurs comportements respectifs, leurs maladresses communes, contribuèrent à les rapprocher. La glace était désormais brisée entre eux et leurs rencontres suivantes se firent dans un contexte bien plus apaisé. A bien des égards, Aurane a été le témoin du chemin quelque peu tortueux qu’elle empruntait bien volontiers, alors qu’elle suivait de loin ses propres succès et déboires. Leur complicité s'est par ailleurs renforcée suite à l'arrivée d'Aemma à Marée Haute. La Massey ne peut qu'éprouver une certaine fierté en voyant le chemin parcourut par l'ancien bâtard ces dernières années. De bâtard à homme légitimité et père de famille, son ascension ne semble pas vouloir cesser. Il lui semble avoir contribué à cette réussite, veillant à ce que ses premiers pas en tant que père se déroulent pour le mieux. Si les méthodes du Velaryon pour atteindre ses buts sont souvent peu conventionnelles, force est de constater qu'elles imposent le respect.
(Gif de iwtv2022.)
A l’instar d’Alyce, Aemma rencontra Clifford alors qu’elle escortait son frère jusqu’à Villevieille. Au vu et au su de tous, le Swann et la Massey eurent tout le loisir de discuter lecture, écriture, musique même. Leur entente fut telle que peu de temps après son arrivée, bien des habitants de Sacrelieu purent remarquer le fait qu’Aemma avait désormais ses habitudes dans leur bibliothèque ! Clifford sut trouver les mots pour apaiser la jeune fille, alors que cette dernière s’apprêter à laisser son jumeau aux bons soins de la Citadelle. Il lui conta la manière dont les choses s’y déroulaient, à quoi ressemblait Villevieille également, proposant même aux Massey de les accompagner sur le chemin afin de les y guider. Une offre qui fut chaudement acceptée par Justin, alors meneur de leur troupe, et plus discrètement par Aemma, trop heureuse de trouver en Clifford un compagnon de discussion durant cette période pour le moins tendue. Le Swann lui permit même d’emporter un recueil de poèmes à cette occasion, qu’elle jura de lui rendre sur le chemin du retour ! Un prêt qui se changea en présent par la suite, que la Massey chérit d’autant plus depuis le moment où il lui fut appris que son auteur n’était nul autre que l’époux de la future seigneuresse de Sacrelieu.
Au vu de la réputation sulfureuse du Swann, il aurait mieux valu que les choses en restent là. A une vague connaissance que la Massey aurait recroisé au détour de tel ou tel tournoi ou mariage. Il n’en fut rien. Si Aemma mit toujours un point d’honneur à être accompagnée en présence de Clifford, la Massey reste intimement convaincue qu’il n’aurait jamais tenté quelque chose à son encontre. Dans son petit univers, Clifford occupe une place désormais bien particulière. Apte à l’écouter sur presque tous les sujets, qu’il s’agisse de livres ou de religion, malgré sa réputation étonnante, Clifford tient désormais un rôle paternel aux yeux de la jeune Massey, bien que la chose ne puisse être énoncée tout haut.
(Gif de mmcnultys.)
Aemma a eu son lot de personnages indélicats dans son entourage. Craghas est l’un d’entre eux. La jeune femme ne sait dire ce qui l’insupporte le plus au sujet du Thorne. Son langage grossier ? Son côté rustre ? Ses manières à la limite de l’acceptable ? Peut-être un mélange de tout cela à la fois. Toujours est-il que la Massey garde un souvenir impérissable de sa rencontre avec le seigneur de La Roncière. Un souvenir qui lui fait froncer le nez et les sourcils mais un souvenir tout de même. L’homme a fait les frais de sa franchise proverbiale, également. Une pique qu’Aemma ne regrette nullement. L’avenir lui dira si cette attaque a eu un quelconque effet.
(Gif de rgnaroc.)
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Aemma n’avait que sept ans lorsque Arthur, fraîchement adoubé, lui présenta son mentor Galladon à l’occasion du tournoi de Grandview. Sans doute auraient-ils eu l’occasion de se croiser en d’autres moments, si la nouvelle de la disparition du Bieffois n’était pas parvenue à Danse-des-Pierres durant l’an 295. Aemma aurait pu oublier cet homme, elle qui n’était qu’une enfant à cette époque. Jusqu’à ce jour où elle se trouvait à Pentos et qu’un étrange individu se faisant appeler Wart l’aborda. Peut-être l’avait-il entendue discuter de son frère Arthur avec Justin car l’inconnu lui demanda des nouvelles de son aîné. Prenant l’homme pour un fou, la Massey ne put qu’en informer Justin, arguant qu’elle lui trouvait une vague ressemblance avec Galladon Oldflowers. Les choses n’allèrent pas plus loin, cependant. Après tout, qui pouvait donner du crédit aux souvenirs d’une enfant de 7 ans ? Même Aemma doutait de ses propres conclusions. Et pourtant, cette idée persista dans un coin de son esprit jusqu’au retour de son frère aîné et de leur père de Winterfell avec un curieux inconnu… Qui ne l’était pas tant. Ainsi, ses souvenirs de petite fille ne l’avaient pas trompée ! Galladon était en vie et ni lui, ni elle, n’étaient fous ! Après des explications des plus méritées, Aemma jura elle aussi de conserver le secret du Oldflowers, tout en lui assurant son soutien pour ses affaires futures. Après tout, ne serait-ce pas que justice que l’homme retrouve l’entièreté de ses possessions et de ses titres ?
(Gif de godwithwethands.)
Avant même la naissance d’Aemma, Blount et Massey entretenaient des relations des plus amicales. La chose était d’autant plus vraie pour Lowell. Ami et frère d’armes de son père depuis avant même Winterfell, Aemma garde quelques vagues souvenirs du désormais Seigneur de Fort-Epine de l’époque précédant son départ pour Essos. Suite au retour de l’homme à Westeros, tous deux eurent l’occasion de discuter durant les évènements mondains auxquels ils participèrent. Bien qu’un peu bourru et râleur, Aemma ne manqua pas d’apprécier l’humour dont faisait preuve le cousin de sa si chère Falyse. Echanger quelques mots avec lui est toujours un plaisir, malgré le monde qui semble les séparer.
(Gif de aslaug.)
Comme Aemma a été effrayée par Maegor par le passé ! Bien qu’observatrice et curieuse même enfant, il lui semblait que personne ne pouvait briser le mur de glace qu’il avait mis entre lui et le monde extérieur. Et ce, même durant ses épousailles, son épouse semblant être une exception à cette règle. Pendant de nombreuses années, Maegor a été ce chevalier inaccessible avec lequel elle n’avait échangé que quelques mots timides, bien cachée dans les jupes de sa tante Baela. Il lui fallut bien du courage pour l’aborder à la suite du tournoi de Port-Réal, où le chevalier avait connu un bien mauvais revers. Elle tenta de le rassurer, de lui donner ce sourire qu’elle n’avait encore jamais vu sur son visage. Il lui manquait cependant quelque chose, à cette époque. Une pointe de caractère, peut-être ? L’occasion lui fut donnée durant le tournoi de Lestival. Sans le savoir, Alayne et Oswell Wydman furent les artisans de leur rapprochement. Réagissant à une moquerie bien sentie quant aux origines de sa mère, Aemma eut la surprise de voir Maegor à ses côtés. Un Maegor souriant pour ne pas dire amusé, qui plus est ! Troublée dans un premier temps, Aemma ne tarda pas à en rire. Ainsi se scella leur entente. Dès lors, le destin du chevalier ne put que toucher la jeune femme. Les Dieux, s’ils existent, ont été bien injustes avec lui. Aussi, Aemma s’enquiert régulièrement de la santé du Wydman et de sa fille, espérant pour eux un futur plus radieux. Si seulement elle pouvait faire plus...
(Gif de dilkinazm.)
Que pourraient bien avoir à faire un chevalier bâtard issu d’une maison mineure du Bief et de l’Ouest et une dernière-née d’une maison Couronnienne tout aussi modeste, bien que de noble naissance ? Certains y verraient le début d’une histoire quelque peu vaseuse à n’en pas douter. Fort heureusement, il n’en est rien. Camarade de ses frères, et notamment d’Arthur de part son écuyage dans le Bief, Aemma a apprécié l’intellect de Manfred lors de leurs quelques conversations. A bien des égards, tous deux se ressemblent davantage qu’il n’y paraît aux premiers abords. Hélas, la guerre semble les avoir séparés définitivement. Aemma ne sait ce que réserve l’avenir à Manfred, ni s’ils seront amenés à se recroiser. Il lui arrive pourtant d’avoir une petite pensée pour le jeune homme et d’espérer son bonheur, quel qu’il soit.
(Gif de ulliell.)
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┗ The girl who electrified
the storm ┛
La dame de nacre
┗ The girl who electrified
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Invité
Que d'occasions de se rencontrer
Je note déjà que les cheveux argentés attirent toujours l'intérêt et la curiosité d'Aurane et qu'enfin il se serait bien plus à jouer de la naïveté présumée d'une jeune noble pour jouer le portrait du chevalier idéal, tout en cherchant quel intérêt personnel il pouvait tirer de cette rencontre
La dame de nacre
Aurane Waters a écrit:J'arrive !
Que d'occasions de se rencontrer
Je note déjà que les cheveux argentés attirent toujours l'intérêt et la curiosité d'Aurane et qu'enfin il se serait bien plus à jouer de la naïveté présumée d'une jeune noble pour jouer le portrait du chevalier idéal, tout en cherchant quel intérêt personnel il pouvait tirer de cette rencontre
Bonsoir, bonsoir !
Contente de te voir ici ! Je suis entièrement partante pour un lien, nos perso’s ont eu plus d’une occasion de se rencontrer et je pense que ça a pu faire quelques étincelles. Je ne sais pas ce que tu préfères à ce propos mais je me dis que ça aurait pu être intéressant qu’ils se rencontrent pendant la chasse royale liée aux fiançailles de Willos et Daenerys, peut-être ? Aemma y était avec sa famille aussi. Elle avait 13 ans à ce moment mais déjà pas mal de caractère, on va pas se le cacher. Elle a aussi pas mal de grandes sœurs et de belle-sœurs plus âgées que je vois bien lui avoir dit de se méfier des hommes, surtout pendant l’un de ses premiers grands évènements en tant que jeune fille. Je pense que le comportement d’Aurane l’aurait amusée (surtout que bon, c’est une fille cadette donc niveau pouvoir, elle aurait pas eu grand chose à lui apporter.) et qu’elle y aurait répondu avec la prudence nécessaire avant de lui faire comprendre qu’elle a bien compris son petit jeu et qu’elle préfère jouer carte sur table. Parce que bon, ils ont peut-être tous les deux des choses à s’apporter, après tout.
Et après, à voir ce qui aurait pu découler de ça, si l’idée de base te va ! En sachant qu’Aemma est aussi liée à Aemon Celtigar (on est en train de voir jusqu’à quel point mais ils se connaissent bien). Il me semble qu’Aurane le connaît aussi donc je pose ça là, des fois que ça pourrait être utile ! En tout cas, je pense qu’il y a moyen d’avoir une dynamique intéressante en jeu entre eux-deux.
Lady of Light
Je viens avec Randa (mais aussi Godric en arrière plan) pour un petit lien entre membre de maison de la côte couronnienne. Randa est bien plus âgée qu'Aemma mais sa soeur, Rayna, à tout à fait pu être une amie de jeunesse ce qui aurait amené Randa et Aemma à se croiser ? Sombreval reste une grosse place commerciale (bien qu'étouffée par Port-Réal), j'imagine que les Massey ont du s'y rendre à plusieurs reprises et que les familles, en générale, soignent leurs relations puisqu'étant dans la même zone ?
Same pour Godric, toujours un peu plus âgé qu'Aemma mais peut être plus "disponible" en lui même
Pendant qu'Arys déambulait à travers Westeros, Godric à plus développé son réseau dans la région de la couronne, il n'est donc pas impossible qu'il soit allé jusqu'au fief des Massey avec son père dans sa jeunesse
┗ lady of light ┛
La dame de nacre
Randa Baratheon a écrit:Holà !
Je viens avec Randa (mais aussi Godric en arrière plan) pour un petit lien entre membre de maison de la côte couronnienne. Randa est bien plus âgée qu'Aemma mais sa soeur, Rayna, à tout à fait pu être une amie de jeunesse ce qui aurait amené Randa et Aemma à se croiser ? Sombreval reste une grosse place commerciale (bien qu'étouffée par Port-Réal), j'imagine que les Massey ont du s'y rendre à plusieurs reprises et que les familles, en générale, soignent leurs relations puisqu'étant dans la même zone ?
Same pour Godric, toujours un peu plus âgé qu'Aemma mais peut être plus "disponible" en lui même
Pendant qu'Arys déambulait à travers Westeros, Godric à plus développé son réseau dans la région de la couronne, il n'est donc pas impossible qu'il soit allé jusqu'au fief des Massey avec son père dans sa jeunesse
Coucou !
Contente de te recroiser ici. En tout cas, ça serait un plaisir de trouver un lien avec les personnages que tu proposes. Je pense que ce que tu proposes par rapport aux relations entre les Rykker et les Massey est tout à fait possible et probable, en effet. J'aime aussi beaucoup l'idée qu'Aemma ait pu être l'une des amies de Rayna ! Vu leurs caractères, je pense que ça aurait pu bien coller, je n'ai rien à redire à ce sujet. En plus, Aemma a un peu souffert d'être la petite dernière qui passe un peu derrière tout le monde chez les Massey, voir Rayna de temps en temps à Sombreval, ça lui aurait fait beaucoup de bien.
Pour ce qui est de Randa plus précisément, je pense qu'Aemma aurait fait en sorte de se faire bien voir d'elle. Pas pour des raisons calculées ni rien mais plus parce qu'elle sait que Rayna est très attachée à Randa et qu'Aemma n'aurait pas voulu lui faire de la peine ou lui donner honte d'une quelque manière que ce soit. Au-delà de ça, peut-être que Randa aurait pu inspirer un peu Aemma ? Ses sœurs étaient déjà assez âgées quand Aemma est née et certaines se sont mariées quand elle était petite ou quand elle entrait à peine dans l'adolescence donc j'imagine qu'elle aurait naturellement essayé de trouver des modèles ailleurs ? Dis-moi ce que tu en penses et si ça te tente !
Ah, et il y a peut-être autre chose qu'il peut être intéressant à exploiter pour le lien Aemma-Randa ! La grand-mère d'Aemma, Vysela, vient de Pentos. La religion de R'hllor y est très présente et j'avais pour idée que Vysela avait abjuré sa foi en se mariant en Westeros. Elle n'était pas forcément très croyante au départ mais ses enfants et petits-enfants ont sans doute toujours su que R'hllor existait et ont quelques petites connaissances dans le domaine, sans oublier que le reste de leur famille Pentoshi suit les préceptes de R'hllor. Je ne sais pas si ça peut apporter quelque chose au lien entre Randa et Aemma mais en tout cas, Aemma n'aurait pas été dérangée du tout par le changement de foi de Randa ! Surprise, sans doute un peu, mais pas au point de voir ça d'un mauvais œil.
Pour Godric maintenant ! Tu vas rire mais lorsque j'ai fait la chronologie d'Aemma, j'ai pas osé te demander si les Massey avaient pu être présent à son mariage ou pas (ou au moins une poignée d'entre eux pour représenter le reste de la famille). Enfin bref, revenons au lien en lui-même ! Aemma cherche aussi à se faire son petit réseau depuis quelques années pour plein de raisons, ça te dirait que Godric et elle fassent mutuellement partis de leurs réseaux respectifs ?
Ça pourrait donner une dynamique assez intéressante, surtout qu'ils ont l'air d'avoir tous les deux pas mal d'ambition. En plus, leurs familles auraient pas mal de raison de s'entendre aussi, notamment au niveau maritime. Donc que leurs enfants discutent entre eux, tissent des liens et compagnie, ça arrangerait tout le monde quelque part.
The Queen Mother
- Mariage de Gilbert et Alinor en 288 : Alyria est à Port-Réal depuis deux ans mais je pense qu'elle a pu retourner dans sa famille occasionnellement, très occasionnellement surtout dans les premières années, après ça s'estompe vu son rôle de plus en plus important pour la princesse. Mais je me dis que pour ce mariage, deux ans après le début de son service, aurait pu lui être accordé.
- Tournoi de Port-Réal en 296 : les Farring sont forcément présents, et je crois qu'Aemma et Falyse ont déjà fait connaissance quelques années auparavant donc Alyria serait témoin de cette amitié naissante. **
- Mariage d'Arianne et Viserys en 299 : Alyria y est également, avec un nouveau statut, celui de fiancée du roi.
- Les mariages princiers et royaux de 299-300 évidemment.
- Tournoi de Lestival en 301, le carrefour de Westeros. xD
- Les mariages de Jacaerys en 303/5 et surtout de Jaremy en 303/9.
Je pense qu'on pourrait partir sur un lien assez positif. Je dirai même qu'Aemma est le genre de fille qu'Alyria aurait aimé avoir, elle qui ait longtemps demeuré sans enfant et qui aujourd'hui sait qu'elle n'aura qu'Aerion. :'( Puis, le fait que Falyse ait une amie sur qui compter, ça va faire plaisir à la reine.
J'en profite pour venir avec un autre visage, une idée de rencontre ayant popé en lisant ta chrono :
Galladon Oldflowers : Je vois qu'Aemma est à Pentos en 300/3-5, non ? Galladon est à Essos, travaillant pour un capitaine marchand et je n'ai pas tout défini de son périple là-bas sauf la fin qui le fait revenir à Westeros. À voir ce qu'une rencontre entre eux pourrait donner si ça te tente ?
♛ by wiise
La dame de nacre
En effet, les possibilités de rencontres sont pour le moins nombreuses. Comme tu le sais, j'ai une petite préférence pour la première. Aemma était petite au moment du mariage de sa sœur Alinor. Elle n'aurait pas lâché Alyria d'une semelle, vu ce que tu dis. Pour les autres évènements que tu mentionnes, Aemma aurait été ravie de revoir Alyria, ça va de soi ! Bon, elle aurait vraiment été impressionnée lorsqu'elle aurait revu Alyria après ses fiançailles avec le roi, peut-être même un peu perdue/perturbée par ce changement de rang dans les temps qui auraient suivi le mariage entre Viserys et Arianne mais ça aurait fini par lui passer.
Pour le lien que tu proposes, j'aime beaucoup ! Aemma est un peu la petite dernière de sa fratrie (avec Armond) et leurs parents avaient déjà beaucoup à faire avec leurs aînés. Ils ont été aimés, on s'est occupé d'eux mais ils passaient plus inaperçus et ils étaient parfois un peu ''oubliés''. Aemma aurait beaucoup apprécié avoir une autre figure maternelle sur qui compter et je pense qu'elle aurait souvent profité de ses visites à Port-Réal en dehors des grands évènements mondains pour essayer de voir Alyria ou au moins signaler qu'elle est passée par là d'une manière ou d'une autre si ça n'a pas été possible. Ça pourrait être une sorte de petit code si ça te dit. Rien de bien méchant, Aemma le ferait plus pour s'amuser pour sa part et en espérant que ça ferait sourire Alyria. Ca pourrait être un petit objet, une fleur, vraiment quelque chose de discret qu'elles auraient instauré à l'époque où Aemma était petite justement ? Ou un clin d’œil à ce moment ?
Vu le lien qui se profile entre Alyria et ma demoiselle, je pense qu'elle prendrait encore plus au sérieux sa mission de soutien pour Falyse, justement. Déjà qu'elle tient beaucoup à Falyse, si elle tient en plus à Alyria, ça va la motiver davantage si toutefois elle avait besoin d'une motivation pour veiller sur Falyse. Pour en revenir au code, peut-être même qu'avec la guerre, Aemma aurait pu dire à Alyria que tant que ses lettres contenaient le signe (ou une représentation de leur objet), tout va bien à Pince-Isle... mais si le contraire venait à advenir, c'est que les choses ont pris un tour imprévu ? Un peu comme une manière d'authentifier ses lettres, ce qui peut être utile en temps de guerre ? Je laisse l'idée comme ça, juste c'est bien le genre d'Aemma d'inventer des petits stratagèmes comme ça pour s'occuper l'esprit... bien qu'ils auraient pris un tour avec la guerre et tout le reste.
Pour Galladon, je suis partante aussi ! Une rencontre à Pentos me paraît tout à fait envisageable mais j'ai une question à ce sujet. En mp, tu m'avais proposé que Galladon ait pris Arthur comme écuyer après la Rébellion. Ca veut dire que Justin le connaîtrait au moins de vue (Aemma c'est un peu moins sûr vu qu'elle est plus jeune) et si Justin a vu Galladon... Bah il aurait sans doute dit à Arthur qu'il a croisé quelqu'un qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Galladon à Pentos, que c'était vraiment troublant. Après, il me semble que Galladon avait une autre identité en Essos mais c'était pour savoir si le fait que Justin ait été dans le coin est dérangeant pour toi dans ce contexte.
Sweet Nightingale
Rhaenys : pour des raisons évidentes de région commune Puis niveau chrono, elles ont pu plusieurs fois se croiser. En plus je vois que Naera une Sainteté, qui est du coup au courant de la vérité derrière l'accouchement terrible de Rhaenys Bref, je me dis que ça pourrait être intéressant de creuser un petit quelque chose ?
Bethany : probablement quelque chose de superficiel, mais vu que Beth a été émissaire, elles ont pu se croiser lors de la chasse royale, le mariage d'Arianne avec Viserys et au tournoi de Lestival
Naerys : Aemma et la mère de Naerys sont cousines germaines du coup Du coup y'a un lien de parenté évident entre les deux demoiselles Et Naerys ayant assister à quelques grands évènements avec ses parents, je pense que Saera en profite à chaque fois pour voir les siens
┗ My fate was always you. ┛
Invité
La chasse royale c'est bien pour commencer C'était une enfant Aemma à cet âge là ? Aurane n'était pas encore quelqu'un d'aussi "important" à ce moment là, il n'est qu'un jeune écuyer au service de Ser Bennard Brune, qui tente de lui apprendre les bonnes manières et de le défaire de ses habitudes pas très "nobles" (voire criminelles). Donc un peu moins reluisant le Aurane de cette époque, mais ça pourrait apporter de la profondeur à une relation, justement
Aurane aurait pu se montrer gentil avec quelques tentatives assez piteuses de respect du protocole ou des bonnes manières qui aurait pu amuser Aemma ? Ensuite on peut répéter les rencontres, du genre ils se donnent des grands sourires quand ils se recroisent, discutent toujours un peu, évoluant chacun de leurs côtés ? ça ferais quelque chose d'assez "long terme"
La dame de nacre
Désolée pour le retard, je suis tout à vous maintenant. J’avais besoin d’un peu de temps pour réfléchir à vos propositions et revenir avec des idées fraîches. C’est désormais chose faite, on peut y retourner ! Voyons, voyons…
Bethany Selmy a écrit:Je viens avec ma petite ribambelle de personnage
Rhaenys : pour des raisons évidentes de région commune Puis niveau chrono, elles ont pu plusieurs fois se croiser. En plus je vois que Naera une Sainteté, qui est du coup au courant de la vérité derrière l'accouchement terrible de Rhaenys Bref, je me dis que ça pourrait être intéressant de creuser un petit quelque chose ?
Bethany : probablement quelque chose de superficiel, mais vu que Beth a été émissaire, elles ont pu se croiser lors de la chasse royale, le mariage d'Arianne avec Viserys et au tournoi de Lestival
Naerys : Aemma et la mère de Naerys sont cousines germaines du coup Du coup y'a un lien de parenté évident entre les deux demoiselles Et Naerys ayant assister à quelques grands évènements avec ses parents, je pense que Saera en profite à chaque fois pour voir les siens
Je me rends compte que tu es celle qui a le plus attendu. Je suis vraiment désolée ! Mais je vais me rattraper ! C’est parti ! (Et je me rends compte en me relisant que ce message est vraiment long. Pardon…)
Pour Rhaenys : Ahlalala, Sa Sainteté a du se faire des cheveux blancs, c’est pas Aemma qui va s’en plaindre. Plus sérieusement, évidemment que je veux un lien avec Rhaenys ! Je ne vais pas te faire l’insulte de regarder où elles ont pu se croiser, on a l’embarras du choix et ça serait clairement pas utile. Pour Naera, ça ne me dérange pas d’en discuter dans un second temps. Le personnage est dans ma banque de liens, donc si tu veux qu’on précise un petit truc pour elle, c’est pas un problème, au contraire.
Pour ce qui est d’Aemma plus précisément, je pense qu’elle aurait vraiment pu admirer Rhaenys. Au-delà de son sang royal, de sa proximité avec Alyria et tout le reste, rien que le changement dans la loi de l’héritage, ça aurait mis des étoiles dans les yeux d’Aemma qui n’avait que 14 ans à l’époque. Non pas qu’elle veuille hériter à la place de ses frères (sérieux, y’a du monde avant que ça tombe sur Aemma et c’est tant mieux !) mais c’est juste le fait de voir les lois évoluer qui lui aurait plu, surtout de la part d’une femme. C’était pas arrivé depuis Alysanne, ou peu s’en faut, donc je pense que beaucoup d’admiration aurait pu naître de ce moment. Bref, la jeune fille qu’était Aemma aurait clairement pu y voir un signe et décider de se bouger un peu plus à partir de cette époque pour voir si elle ne pouvait pas faire de grandes choses comme leur princesse, quelque chose comme ça.
En plus de ça, je me dis qu’elles ont eu la possibilité de se croiser plus d’une fois même en dehors des grands évènements. Aemma vient assez régulièrement à la capitale (notamment pour voir son oncle Rennifer) donc il y a aussi moyen d’avoir des contextes moins « guidés » à défaut d’un meilleur terme. Mais si ce que je t’ai proposé te tente, je vois bien Aemma avoir essayé d’approcher Rhaenys pour la remercier d’avoir montré l’exemple et lui dire qu’elle avait décidé de le suivre, quelque chose comme ça. Avec sans doute pas mal de maladresse et compagnie à ce moment mais ça aurait été sincère. Pour ce qui est des conséquences de l’annulation du mariage entre Rhaenys et Robar (je pense que le reste Naera est au courant mais pas forcément Aemma), ça aurait été choquant bien sûr. Je retire tout de suite l’aspect religieux vu que quelque part Aemma s’en fiche (l'idée de "divorce" en tant que telle ne la rebuterait pas j'imagine) et qu’elle en a déjà assez bavé par rapport aux Sept. Disons qu’elle aurait été surprise de voir l’image de Rhaenys s’écorner d’un coup alors que tout semblait bien parti pour elle, qu’elle avait de bonnes idées et tout le reste.
Pour Bethany : Je ne m’attendais pas à ce que tu me proposes un lien avec Beth mais je suis carrément partante ! C’est vrai qu’elles ont pu se croiser pas mal de fois et en plus les Massey ont des liens avec les Terres de l’Orage donc y’a de quoi travailler un peu. Le plus simple, ça semble de partir sur une première rencontre pendant la chasse de 298, j’imagine. Aemma reste assez jeune à ce moment, ça expliquerait bien le lien assez superficiel donc tu parles et que je rejoins. En soi, je ne vois pas forcément quelque chose de froid. Bethany est quelqu’un de bienveillant, donc les choses ont du assez bien se passer. Aemma aurait aussi sans doute été un peu curieuse de voir une femme émissaire, ça aurait pu donner une petite discussion intéressante, surtout avec la demoiselle qui aimerait bien un peu plus de liberté que ce qu’elle risque d’avoir en définitive. Puis ça creuserait un peu plus le lien, si ça te dit.
Pour Naerys : C’est vrai qu’il y a un petit peu de sang Massey qui se promène dans le Bief ! Donc ça serait avec plaisir pour un lien ! C’est vrai qu’elles ont pu se croiser pas mal de fois entre la chasse pour les fiançailles de Willos et Daenerys, les mariages princiers et royaux ou encore le tournoi de Lestival. Rien qu’au moment de la chasse, Aemma a plusieurs neveux et nièces donc même si Naerys était jeune à ce moment (elle avait 8 ans si je me trompe pas) ça ne les auraient pas empêché d’être un peu ensemble à partir de cette période. En plus, Aemma a l’habitude des « petits » à force d’aider ses belles-sœurs à s’occuper des leurs donc je pense même qu’elle serait venue assez naturellement vers Naerys (voire sa fratrie) aussi bien pour faire connaissance que pour voir si elle ne pouvait pas les occuper un peu pour aider sa cousine et leur parler du côté Massey de leur famille. La chasse et les festivités c’est surtout pour les adultes donc autant trouver d’autres moyens de s’occuper en attendant et quand les autres ont un peu le dos tourné !
Au-delà de ça, je pense que le courant serait assez bien passé entre elles vu leurs caractères. Je pense qu’Aemma aurait beaucoup apprécié le côté intrépide de Naerys et qu’elle n’aurait pas hésité à l’encourager à ce niveau parce qu’elle l’est aussi un peu elle-même. Pareil au niveau de la curiosité, ma Massey aurait été ravie de lui raconter plein de choses lorsqu’elles se croisaient de temps à autre sur ce qu’il se passe à l’extérieur du Bief, des choses comme ça ! Ou de lui apprendre des choses que les jeunes filles n’apprennent généralement pas tout en restant discrètes (l’art d’inventer des petits codes pour discuter tranquillement ou d’autres choses plus banales, tout est possible en soi), ça sera un secret.
A côté de ça, j’ai discuté un peu lien avec Manfred Flowers. Aemma le connaît bien, elle s’entend bien avec lui mais elle n’a plus de nouvelles depuis le début de la guerre et ça l’inquiète autant que le silence des Des Essaims vu qu’elle a connu tout ce beau monde plus bavard et plus proche de sa famille jusqu’à récemment. Autant dire que la nouvelle de la prise de Mielbois a du choquer Aemma, elle se serait pris la guerre en plein visage en ayant une partie de sa famille attaquée.
Il y a autre chose que je viens de remarquer et qui feraient aussi un bon point commun entre Naerys et Aemma. Armond, le jumeau d’Ae, a été envoyé à la Citadelle parce qu’il avait une jambe trop faible (et aussi parce que c’est le dernier rejeton de la fratrie mais surtout parce qu’il ne pouvait pas vraiment se mouvoir sans aide). Cayn a subi le même sort, mais pour un handicap plus lourd. Peut-être qu’il y a quelque chose à faire à ce niveau ? Je ne sais pas comment Aemma aurait pu l’apprendre (peut-être que Naerys aurait pu lui écrire pour lui dire par lettre ?) mais peut-être que derrière elle aurait pu tenter quelque chose par rapport à son jumeau pour que quelqu’un garde un œil sur Cayn et en qui il pourrait avoir facilement confiance à la Citadelle ? C’est qu’une remarque comme ça mais le parallèle me semblait intéressant donc autant le soulever !
Aurane Waters a écrit:Réponse très en retard, j'étais persuadé de l'avoir déjà fait, mes excuses !
La chasse royale c'est bien pour commencer C'était une enfant Aemma à cet âge là ? Aurane n'était pas encore quelqu'un d'aussi "important" à ce moment là, il n'est qu'un jeune écuyer au service de Ser Bennard Brune, qui tente de lui apprendre les bonnes manières et de le défaire de ses habitudes pas très "nobles" (voire criminelles). Donc un peu moins reluisant le Aurane de cette époque, mais ça pourrait apporter de la profondeur à une relation, justement
Aurane aurait pu se montrer gentil avec quelques tentatives assez piteuses de respect du protocole ou des bonnes manières qui aurait pu amuser Aemma ? Ensuite on peut répéter les rencontres, du genre ils se donnent des grands sourires quand ils se recroisent, discutent toujours un peu, évoluant chacun de leurs côtés ? ça ferais quelque chose d'assez "long terme"
Pendant la chasse, Aemma a 13 ans ! Donc elle ne serait plus une enfant mais plutôt une jeune fille. Il n’en reste pas moins que ton idée est possible. Ils sont assez jeunes tous les deux à ce moment, je vois bien Aemma s’amuser du comportement d’Aurane et essayer de l’aider un peu. Vaelle a fait en sorte de lui apprendre certaines choses sur la vie en bonne société, ça peut être assez drôle de voir deux jeunes gens encore un peu mal dégrossis essayer d’imiter les adultes... avec un résultat plutôt mitigé dans un premier temps sans doute ! Dans ce contexte, ils seraient un peu des camarades de galère, ça peut forger un début de lien effectivement ! Et comme ça on peut partir assez naturellement sur ce que tu proposes vu que j’aime bien ce qui se profile. Ils grandissent, ils continuent de se voir de temps en temps (peut-être même qu’ils auraient pu se croiser à Lamarck de temps en temps aussi ?) et ils se forgent chacun de leur côté et la suite restera à écrire comme ça… Mais j’aime bien cette idée de « fil rouge » entre eux où ils se perdent un peu de vue, se revoient un peu et ainsi de suite !
Mise à jour du 25/04 : Ajout des liens de @Vaelle Velaryon, @Galladon Oldflowers et de @Marla Farring (+ de Falyse Celtigar).
┗ The girl who electrified
the storm ┛
Invité
Vraiment cette "ligne rouge" avec quelques rencontres de ça et là et ils voient ensemble leur évolution le tout avec une petite forme de "complicité" (toute relative au vue de la personnalité d'Aurane), c'est top @Aemma Massey