I'm a warrior, fighter. But a Fighter need someone who remenber someone love him
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Il y a quelques semaines, j’avais observé le départ des troupes de l’Ouest pour le Nord. Jamais je ne m’étais sentie aussi lâche et aussi paresseuse qu’à cet instant. Lady Cersei m’avait interdit de partir avec eux, et Meliodas sur ses ordres était également resté à ses côtés. Mais moi… Moi j’aurais aimé partir avec les troupes de l’Ouest, quitte à me faire assassiner sur le champ de bataille… Mais j’aurais aimé partir, montrer ma valeur au combat. Mais j’avais dû rester ici sur ordre de ma maîtresse. Un vrai enfer pour moi de me sentir inutile. Et je pensais à Ser Ashter, ainsi qu’à tous ceux que je connaissais. Jamais je n’avais tant prié pour que tous reviennent en vie et en bonne santé. Rien que de penser à cela, je sentis un tremblement. Il fallait que je me calme.
Je flattai l’encolure d’Hélios avec amour avant de soupirer. Je me serais écouté, j’aurais repris des habitudes de vagabond, j’aurais pris mon cheval et je me serais débrouillée pour rejoindre l’armée… Mais j’aurais perdu Lady Cersei, Félicité, Meliodas… Je soupirais un peu avant de quitter les écuries. Il fallait bien une lame ou deux pour protéger Castral Roc. Je n’étais pas la seule à ne pas être partie, je le savais. Certains étaient restés, trop vieux, trop jeunes, trop lâche. Ça c’était moi. Mais soit… IL fallait continuer et veiller sur tout ici. Qui sait ce qu’il se passait dans le Nord ? Je levais les yeux vers le ciel lourd et secouai la tête en priant les Sept de protéger Ashter et de le ramener auprès de son épouse sain et sauf.
Je me rendis à pas vifs sur le terrain d’entraînement, l’Herbe y avait laissé place à la neige et au sable. Ce n’était pas le temps idéal pour s’entraîner. Mais je n’allais pas me laisser faire par du temps. J’avais jamais connu pire, mais il fallait le faire. Je posais mes affaires dans un coin avant de sortir mes deux épées de leur fourreau avant de me mettre à m’entraîner avec vigueur. Il ne s’agissait pas de tapoter le poteau d’entraînement, mais bien de cogner comme un vrai combat. Meliodas ne s’entraînait pas pour l’instant avec moi, il devait jouer le Messager pour Lady Cersei. J’eus un petit sourire en continuant de manier mes deux lames en même temps. Depuis l’incidente avec mes mains, qui avait rajouté quelques cicatrices à ma collection, je faisais attention. Enfin… un peu plus attention et la corne de mes mains avait vite retrouvé sa place. Ces blessures n’avaient été qu’un manque de bol, ou d’imprudence, de ma part.
Des bruits de pas me firent m’arrêter un instant et je tournai la tête avant de sourire à Lady Cersei et de m’incliner poliment devant elle avant de reprendre, la mine concentrée, sur mon entraînement. Je devais progresser encore plus !
Je flattai l’encolure d’Hélios avec amour avant de soupirer. Je me serais écouté, j’aurais repris des habitudes de vagabond, j’aurais pris mon cheval et je me serais débrouillée pour rejoindre l’armée… Mais j’aurais perdu Lady Cersei, Félicité, Meliodas… Je soupirais un peu avant de quitter les écuries. Il fallait bien une lame ou deux pour protéger Castral Roc. Je n’étais pas la seule à ne pas être partie, je le savais. Certains étaient restés, trop vieux, trop jeunes, trop lâche. Ça c’était moi. Mais soit… IL fallait continuer et veiller sur tout ici. Qui sait ce qu’il se passait dans le Nord ? Je levais les yeux vers le ciel lourd et secouai la tête en priant les Sept de protéger Ashter et de le ramener auprès de son épouse sain et sauf.
Je me rendis à pas vifs sur le terrain d’entraînement, l’Herbe y avait laissé place à la neige et au sable. Ce n’était pas le temps idéal pour s’entraîner. Mais je n’allais pas me laisser faire par du temps. J’avais jamais connu pire, mais il fallait le faire. Je posais mes affaires dans un coin avant de sortir mes deux épées de leur fourreau avant de me mettre à m’entraîner avec vigueur. Il ne s’agissait pas de tapoter le poteau d’entraînement, mais bien de cogner comme un vrai combat. Meliodas ne s’entraînait pas pour l’instant avec moi, il devait jouer le Messager pour Lady Cersei. J’eus un petit sourire en continuant de manier mes deux lames en même temps. Depuis l’incidente avec mes mains, qui avait rajouté quelques cicatrices à ma collection, je faisais attention. Enfin… un peu plus attention et la corne de mes mains avait vite retrouvé sa place. Ces blessures n’avaient été qu’un manque de bol, ou d’imprudence, de ma part.
Des bruits de pas me firent m’arrêter un instant et je tournai la tête avant de sourire à Lady Cersei et de m’incliner poliment devant elle avant de reprendre, la mine concentrée, sur mon entraînement. Je devais progresser encore plus !
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Cersei Lannister & @Sacha - ll n' existe pas de plus grand prodige que la façon dont le visage d'une jeune femme s'inscrit dans l'esprit d'un homme et y demeure, sans que lui même sache pourquoi. C'est la chose qu'il attendait, et voilà tout.
Robert Louis Stevenson
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L’ignorance était le pire des maux. Voilà quelques semaines que Tywin Lannister avait informé son frère Kevan de rassembler son ban pour combattre un mal venu du Nord. Cersei était dans l’ignorance, elle ne savait pas pourquoi l’Ouest partait en guerre et cela l’agaçait au plus haut point. En tant que dame de Castral Roc, elle avait assisté au départ des troupes. Elle avait encouragé les hommes, elle les avait remercié pour leur courage, sans savoir dans quoi leurs pas allaient les mener. Père ne voulait rien dire, Oncle Kevan ne l’avait informé de rien et Tyrion ne semblait guère plus au courant qu’elle. L’Enfer pourrait s’abattre sur Westeros que le Vieux Lion chercherait encore à ignorer sa fille. Maintenue dans l’ignorance, elle attendait dans un Ouest vidé de ses soldats et de nombreux hommes de valeur. Tyrion était maître du Roc, elle en restait la dame, mais en temps de guerre, il n’y avait ni festivités, ni réception d’invités. Cersei continuait de diriger les serviteurs, mais cela n’avait plus la même saveur qu’auparavant.
Quotidiennement Cersei rendait visite à son dragon. Cela faisait un an que Vaelarr avait bouleversé son existence et la Lionne de Castral Roc ne regrettait nullement les sacrifices. Son fils Loren se portait bien. Même s’il lui manquait, il grandissait fort bien dans le Bief en compagnie de sa cousine Mina qu’il adorait. Garlan était un bon tuteur, il en ferait un bon chevalier si tel était le souhait de l’enfant. Les jumeaux étaient toujours aussi turbulent. Tybolt savait affronter les regards qui se posaient sur ses cicatrices. Il s’en moquait tout bonnement. Plus tard, Cersei l’armerait pour qu’il puisse affronter le monde. Il sera un homme idéal, un fleuron des familles Tyrell et Lannister.
Ce fut dans ce contexte que la blonde avait écrit une dernière lettre au roi Rhaegar. Elle savait qu’il serait aux côtés de son père durant cette guerre. Elle avait tenu à lui écrire, espérant que le corbeau messager cueille le roi durant son trajet vers le Nord. Dans cette missive elle avait fait part d’une promesse, celle de se rendre à la capitale, dès la fin de la guerre. Le roi lui avait déjà demandé de venir, elle avait été obligé de répondre par la négative, cette fois, elle le retrouverait pour fêter la victoire. Un grand dilemme se présentait à Cersei, allait-elle prendre son dragon ? Son père serait furieux, mais Cersei ne pouvait pas se séparer durant de trop nombreuses semaines de Vaelarr. Elle y réfléchissait, de toute façon tant que les corbeaux annonçant la victoire des troupes royales n’étaient pas arrivés, cela ne servait à rien de prendre une décision.
Pour l’heure, la lady, emmitouflée dans ses fourrures, était en train de se promener dans les jardins du Roc en compagnie de ses dames de compagnie et de Meliodas qui gardait tout ce beau monde. La lionne parlait peu, elle écoutait les babillages des ces dames, dont certaines avaient un proche qui avait rejoint le ban de l’Ouest. Les pas de ces dames les conduisirent sur le terrain d’entraînement et Cersei y découvrit Sacha qui était en train de travailler. Loin d’être paresseuse, la jeune fille faisait beaucoup d’effort. Elle avait même repris du poids et la collection de cicatrice sur ses mains était en train de s’estomper. C’était une chance de pouvoir trouver Sacha là et Cersei avait trouvé un moyen de se divertir et de divertir ses dames.
“ Sacha. Quel plaisir de te voir à l’oeuvre. Que dirais-tu de nous faire une démonstration en compagnie de Meliodas.” Ce n’était pas une question, ce que la Lionne voulait, elle l’avait. Elle eut un petit sourire en coin et alla s’installer sur un banc de pierre autour du terrain, en compagnie de ses dames qui semblaient enjouées à l’idée d’assister à une combat.
Quotidiennement Cersei rendait visite à son dragon. Cela faisait un an que Vaelarr avait bouleversé son existence et la Lionne de Castral Roc ne regrettait nullement les sacrifices. Son fils Loren se portait bien. Même s’il lui manquait, il grandissait fort bien dans le Bief en compagnie de sa cousine Mina qu’il adorait. Garlan était un bon tuteur, il en ferait un bon chevalier si tel était le souhait de l’enfant. Les jumeaux étaient toujours aussi turbulent. Tybolt savait affronter les regards qui se posaient sur ses cicatrices. Il s’en moquait tout bonnement. Plus tard, Cersei l’armerait pour qu’il puisse affronter le monde. Il sera un homme idéal, un fleuron des familles Tyrell et Lannister.
Ce fut dans ce contexte que la blonde avait écrit une dernière lettre au roi Rhaegar. Elle savait qu’il serait aux côtés de son père durant cette guerre. Elle avait tenu à lui écrire, espérant que le corbeau messager cueille le roi durant son trajet vers le Nord. Dans cette missive elle avait fait part d’une promesse, celle de se rendre à la capitale, dès la fin de la guerre. Le roi lui avait déjà demandé de venir, elle avait été obligé de répondre par la négative, cette fois, elle le retrouverait pour fêter la victoire. Un grand dilemme se présentait à Cersei, allait-elle prendre son dragon ? Son père serait furieux, mais Cersei ne pouvait pas se séparer durant de trop nombreuses semaines de Vaelarr. Elle y réfléchissait, de toute façon tant que les corbeaux annonçant la victoire des troupes royales n’étaient pas arrivés, cela ne servait à rien de prendre une décision.
Pour l’heure, la lady, emmitouflée dans ses fourrures, était en train de se promener dans les jardins du Roc en compagnie de ses dames de compagnie et de Meliodas qui gardait tout ce beau monde. La lionne parlait peu, elle écoutait les babillages des ces dames, dont certaines avaient un proche qui avait rejoint le ban de l’Ouest. Les pas de ces dames les conduisirent sur le terrain d’entraînement et Cersei y découvrit Sacha qui était en train de travailler. Loin d’être paresseuse, la jeune fille faisait beaucoup d’effort. Elle avait même repris du poids et la collection de cicatrice sur ses mains était en train de s’estomper. C’était une chance de pouvoir trouver Sacha là et Cersei avait trouvé un moyen de se divertir et de divertir ses dames.
“ Sacha. Quel plaisir de te voir à l’oeuvre. Que dirais-tu de nous faire une démonstration en compagnie de Meliodas.” Ce n’était pas une question, ce que la Lionne voulait, elle l’avait. Elle eut un petit sourire en coin et alla s’installer sur un banc de pierre autour du terrain, en compagnie de ses dames qui semblaient enjouées à l’idée d’assister à une combat.
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Je levai la tête en entendant la lady. Je tapotai ma jambe du bout de mon épée en observant Meliodas qui me sourit largement. Aucun de nous deux n’était paresseux quand il s’agissait de se taper dessus. C’était une manière de se dire qu’on s’aimait ! C’était peut-être pas l’idéal, mais c’était notre manière de faire et elle nous convenait. Puis il fallait bien que je montre ce que je savais faire avec mes deux épées. Je n’en faisais pas une collection, mais Meliodas m’avait offert une épée magnifique et Ser Ashter m’en avait offert une autre en pleine nuit. Je refusais de me séparer d’une des deux. Je me battais avec les deux. En même temps, ce n’était nullement une option. Je répondis tranquillement à la Lady.
« Cela sera avec plaisir Lady Cersei que nous vous ferons une démonstration. »
Je m’avançai en face de mon père sans aucun tremblement en faisant tourner mes épées entre mes doigts. Elle voulait nous voir nous battre ? Quand on se battait avec Meliodas, c’était comme-ci on voulait s’assassiner mutuellement. Plus d’une fois avec les coups puissants de Meliodas j’avais fini la bouche pleine d’herbe ou de poussière. C’était un véritable enfer ses entraînements. On se sourit mutuellement avec mon père adoptif et on se mit à se tourner autour en se défiant mutuellement du regard. On se mit à se battre vivement, les lames s’entrechoquèrent avec violence, je serrais les dents, je ne rivaliserais jamais avec Meliodas sur la force, alors je misais tout sur ma vitesse et mon agilité. Je devais esquiver, sinon ses coups de brute allaient vite endormir mes bras. Je plaçais de bons coups, Meliodas comme moi nous étions protégés, alors on se donnait à fond, tout le temps. L’épée qu’Ashter m’avait offert vola au sol et je continuais à me battre avec l’épée que Meliodas m’avait offert. C’était un truc de chien vagabond : ne jamais lâcher, mordre et ne pas lâcher. Et je sortis même le poignard que Lady Cersei m’avait offert. Je ne lâchais pas malgré les coups et les douleurs. Je refusais toujours de lâcher jusqu’à ce qu’il m’envoie au sol et pointe son épée sur ma gorge ainsi qu’un pied sur mon poignet. Je repris mon souffle avant de hocher la tête, acceptant, avec difficulté, ma défaite. Meliodas éclata de rire et rangea son épée avant de me redresser sans douceur et me colla une grande claque dans le dos avant de m’ébouriffer les cheveux. Il avait l’air satisfait de notre combat. J’avais l’impression de gagner de jour en jour du terrain sur lui. Je me tournai vers la troupe de Lady et m’inclinai devant elles avec un sourire.
« L’affrontement vous a plus Lady Cersei ? »
J’avais les cheveux collés sur mon crâne à cause de l’entraînement, mais j’étais plutôt fier de mes progrès avec mes deux épées. Je repris l’épée que Meliodas m’avait offert et je m’approchais des ladys pour prendre celle qui était tombée à leurs pieds. Celle qui avait été le messager d’une dernière lettre d’amour. Lettre que j’avais cachée soigneusement et que personne d’autre que moi ne pourrait lire. Bien trop bien cachée dans un endroit secret.
« Cela sera avec plaisir Lady Cersei que nous vous ferons une démonstration. »
Je m’avançai en face de mon père sans aucun tremblement en faisant tourner mes épées entre mes doigts. Elle voulait nous voir nous battre ? Quand on se battait avec Meliodas, c’était comme-ci on voulait s’assassiner mutuellement. Plus d’une fois avec les coups puissants de Meliodas j’avais fini la bouche pleine d’herbe ou de poussière. C’était un véritable enfer ses entraînements. On se sourit mutuellement avec mon père adoptif et on se mit à se tourner autour en se défiant mutuellement du regard. On se mit à se battre vivement, les lames s’entrechoquèrent avec violence, je serrais les dents, je ne rivaliserais jamais avec Meliodas sur la force, alors je misais tout sur ma vitesse et mon agilité. Je devais esquiver, sinon ses coups de brute allaient vite endormir mes bras. Je plaçais de bons coups, Meliodas comme moi nous étions protégés, alors on se donnait à fond, tout le temps. L’épée qu’Ashter m’avait offert vola au sol et je continuais à me battre avec l’épée que Meliodas m’avait offert. C’était un truc de chien vagabond : ne jamais lâcher, mordre et ne pas lâcher. Et je sortis même le poignard que Lady Cersei m’avait offert. Je ne lâchais pas malgré les coups et les douleurs. Je refusais toujours de lâcher jusqu’à ce qu’il m’envoie au sol et pointe son épée sur ma gorge ainsi qu’un pied sur mon poignet. Je repris mon souffle avant de hocher la tête, acceptant, avec difficulté, ma défaite. Meliodas éclata de rire et rangea son épée avant de me redresser sans douceur et me colla une grande claque dans le dos avant de m’ébouriffer les cheveux. Il avait l’air satisfait de notre combat. J’avais l’impression de gagner de jour en jour du terrain sur lui. Je me tournai vers la troupe de Lady et m’inclinai devant elles avec un sourire.
« L’affrontement vous a plus Lady Cersei ? »
J’avais les cheveux collés sur mon crâne à cause de l’entraînement, mais j’étais plutôt fier de mes progrès avec mes deux épées. Je repris l’épée que Meliodas m’avait offert et je m’approchais des ladys pour prendre celle qui était tombée à leurs pieds. Celle qui avait été le messager d’une dernière lettre d’amour. Lettre que j’avais cachée soigneusement et que personne d’autre que moi ne pourrait lire. Bien trop bien cachée dans un endroit secret.
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Comme Cersei l’avait exigé, le combat commença. Bien qu’elle ne soit pas une guerrière, Cersei a vécu aux côtés de son frère Jaime, qui durant toute leur jeunesse n’a eu de cesse de parler de tournois, de chevalerie et de combats. Jaime aurait été un valeureux guerrier s’il était toujours de ce monde, peut-être même qu’il aurait pu donner des cours à la jeune Sacha, comme Meliodas faisait aujourd’hui. Ce rêve le demeurerait, mais aujourd’hui Cersei était en paix avec ses vieux démons. Il n’y avait plus de regrets, seulement des bons souvenirs qui resteraient à jamais dans un coin de son coeur.
Le combat était parfaitement inégal, mais c’était l’idéal pour Sacha d’avoir un tel adversaire qui pouvait lui faire manger de l’herbe et de la poussière. Meliodas était la force brute. Sacha de part son corps frêle ne possédait pas cette force, ce qui la contraignait à chercher la chercher ailleurs. La jeune fille se déplaçait avec agilité. A droite, à gauche, elle évitait les coups, elle attaquait, n’ayant nullement peur de s’attaquer à une homme de l’envergure de Meliodas. Cependant, Cersei remarqua une chose qui l’étonna dans un premier temps et qui lui déplut juste après. Sacha avait deux épées. Rien d’extraordinaire, l’une lui avait été offerte par Meliodas, mais l’autre, de qui provenait-elle ? Cersei avait de sérieux doutes sur la question et elle priait vivement l’Enfer pour qu’il assassine cet Ashter Yarwyck, qui se trouvait actuellement dans le Nord avec les troupes de l’Ouest. Même absent l’homme était une épine sous le pied de la Lionne. Malgré sa contrariété, elle ne stoppa pas le combat et étudia chaque mouvement de Sacha. Jusqu’au bout la jeune fille ne lâcha rien. Cersei était ravie, les efforts semblaient porter leur fruit. Puis, un bon coup de Meliodas envoya la jeune fille au sol. Avec une épée sous la gorge, elle ne pouvait plus rien faire. Sacha avait encore beaucoup à apprendre, mais c’était un bon début. Son corps n’était pas étreint de tremblements, elle était loin d’être paresseuse. Avec le temps, elle saura devenir un combattant aussi redoutable que le fut autrefois Jaime Lannister. Cersei applaudit, suivie de ses dames de compagnie et elle se leva, s’avançant vers les deux combattants. Les dames de compagnie restèrent en retrait.
“ C’était une belle démonstration de force. Je pense Meliodas que nous pouvons tous les deux conclure que Sacha a fait beaucoup de progrès, mais qu’elle doit encore redoubler d’efforts.” Elle sourit à l’intention de sa jeune protégée et cette fois-ci son regard se porta vers la seconde épée de Sacha.
“ Voilà une bien belle épée que je ne connaissais pas. Qui te l’a offert Sacha ? “ Demanda la Lionne sur un ton inquisiteur. La blonde croisa les bras et les tapota de ses doigts, tout en regardant la jeune fille de ce regard exigeant que tout le monde lui connaissait. Cersei espérait bien entendre la vérité de la petite brune, puisqu’elle-même était certaine de connaître déjà la réponse à sa question, mais elle voulait tout de même l’entendre de la bouche de sa protégée.
Le combat était parfaitement inégal, mais c’était l’idéal pour Sacha d’avoir un tel adversaire qui pouvait lui faire manger de l’herbe et de la poussière. Meliodas était la force brute. Sacha de part son corps frêle ne possédait pas cette force, ce qui la contraignait à chercher la chercher ailleurs. La jeune fille se déplaçait avec agilité. A droite, à gauche, elle évitait les coups, elle attaquait, n’ayant nullement peur de s’attaquer à une homme de l’envergure de Meliodas. Cependant, Cersei remarqua une chose qui l’étonna dans un premier temps et qui lui déplut juste après. Sacha avait deux épées. Rien d’extraordinaire, l’une lui avait été offerte par Meliodas, mais l’autre, de qui provenait-elle ? Cersei avait de sérieux doutes sur la question et elle priait vivement l’Enfer pour qu’il assassine cet Ashter Yarwyck, qui se trouvait actuellement dans le Nord avec les troupes de l’Ouest. Même absent l’homme était une épine sous le pied de la Lionne. Malgré sa contrariété, elle ne stoppa pas le combat et étudia chaque mouvement de Sacha. Jusqu’au bout la jeune fille ne lâcha rien. Cersei était ravie, les efforts semblaient porter leur fruit. Puis, un bon coup de Meliodas envoya la jeune fille au sol. Avec une épée sous la gorge, elle ne pouvait plus rien faire. Sacha avait encore beaucoup à apprendre, mais c’était un bon début. Son corps n’était pas étreint de tremblements, elle était loin d’être paresseuse. Avec le temps, elle saura devenir un combattant aussi redoutable que le fut autrefois Jaime Lannister. Cersei applaudit, suivie de ses dames de compagnie et elle se leva, s’avançant vers les deux combattants. Les dames de compagnie restèrent en retrait.
“ C’était une belle démonstration de force. Je pense Meliodas que nous pouvons tous les deux conclure que Sacha a fait beaucoup de progrès, mais qu’elle doit encore redoubler d’efforts.” Elle sourit à l’intention de sa jeune protégée et cette fois-ci son regard se porta vers la seconde épée de Sacha.
“ Voilà une bien belle épée que je ne connaissais pas. Qui te l’a offert Sacha ? “ Demanda la Lionne sur un ton inquisiteur. La blonde croisa les bras et les tapota de ses doigts, tout en regardant la jeune fille de ce regard exigeant que tout le monde lui connaissait. Cersei espérait bien entendre la vérité de la petite brune, puisqu’elle-même était certaine de connaître déjà la réponse à sa question, mais elle voulait tout de même l’entendre de la bouche de sa protégée.
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J’essuyais doucement mon visage en souriant avant de boire longuement. Ça faisait du bien de se défouler sur quelqu’un pouvant rendre les coups. Même si le coup de poing dans la mâchoire je m’en serais bien passé. Je rangeai mon épée, celle que Méliodas m’avait offert, dans son fourreau en m’inclinant devant les applaudissements. Mon presque père m’attrapa par les épaules et me serra contre lui en m’ébouriffant les cheveux et en déposant un baiser sur mon front. Je lui souris, pour moi il était le père idéal que je n’avais jamais eu plus jeune. Maintenant je l’avais lui, assez bourru pour me démonter l’épaule avec une grande claque dans l’épaule. Moi la petite vagabonde… Je devais avoir vraiment de la chance dans ma vie… Mais je savais qu’à ma mort, j’irais tout droit dans les sept enfers Je relevais la tête en écoutant lady Cersei avant que Meliodas ne m’ébouriffe les cheveux.
« Nan ! P’tain Mel ! J’déteste quand tu fais ça. »
Je rendis le sourire à la Lady en repoussant les mèches qui s’échappaient de ma queue de cheval. Meliodas savait que je détestais les cheveux longs et il adorait faire ça. Le ton glacial de la Lady, me fit porter la main sur l’épée qu’elle incriminait. Alors ! Comment dire que j’allais me faire arracher la tête ? Son regard pouvait assassiner Ashter s’il avait été là. J’avalais ma salive en restant aussi calme que possible, je sentis Meliodas baisser les yeux sur mon épée. Sacha… IMPROVISATION ! J’avais pas trop le choix. Je tapotais le fourreau de l’arme que Ashtre m’avait donné. Meliodas posa une main sur mon épaule en fronçant les sourcils. Je n’avais pas envie d’en parler maintenant.
« Je vous en parlerais Lady Cersei. Je viendrais vous voir dans vos appartements, après l’entraînement. »
Je gagnais du temps… Mais surtout ma voix n’avait pas été parcourue du moindre tremblement. Mais il fallait que je fasse cela en privée. Je préférais nettement ne pas parler de ça face à une troupe de poules, même si elles étaient que deux c’était largement assez. Je sentis le regard de Meliodas avant qu’il ne soupire. Je sentais son énervement… Mais il ne dit rien et m’attrapa par l’épaule pour me faire pivoter vers le terrain d’entraînement. Et autant dire… que je pus largement agrandir ma collection de bleu. Je fis rapidement ma toilette pour passer une tenue plus présentable avant de me diriger vers les appartements de Lady Cersei. Je frappai et entrai, Meliodas n’était pas là… Heureusement sinon j’étais bonne pour être la messagère de la mort de Ser Ashter. Je fermai soigneusement la porte derrière moi.
« Lady Cersei, comme promis. »
Je détachais le fourreau de mon baudrier avant de m’avancer pour lui tendre l’épée, à plat, sur mes mains. Je me mordis légèrement les lèvres avant d’inspirer profondément.
« J’imagine que Félicité vous en a parlé… Ou si ce n’est pas elle Mestre Qyburn, je dors mal et je prends une potion pour avoir un peu de repos. Je ne me réveille pas facilement, mais je dors avec mon épée et mon poignard avec moi. Mais du coup je n’entends pas quand on rentre dans ma chambre. Il y a peut-être une lune ? Je n’ai pas exactement la date en tête. Je me suis endormie, et quand je me suis réveillée, l’épée était au pied de mon lit, rien dans la chambre n’avait bougé, et personne ne m’avait touché. Je ne me souviens pas de quoi que ce soit d’autre. »
Les sept… Par pitié… Qu’elle ne m’étrangle pas dans la seconde… J’aimerais revoir l’herbe verte du printemps… Peut-être même entendre que Lady Melleah aurait un heureux événement ? Qui savait. L’épée de Ser Ashter pesait lourd dans mes mains.
« Nan ! P’tain Mel ! J’déteste quand tu fais ça. »
Je rendis le sourire à la Lady en repoussant les mèches qui s’échappaient de ma queue de cheval. Meliodas savait que je détestais les cheveux longs et il adorait faire ça. Le ton glacial de la Lady, me fit porter la main sur l’épée qu’elle incriminait. Alors ! Comment dire que j’allais me faire arracher la tête ? Son regard pouvait assassiner Ashter s’il avait été là. J’avalais ma salive en restant aussi calme que possible, je sentis Meliodas baisser les yeux sur mon épée. Sacha… IMPROVISATION ! J’avais pas trop le choix. Je tapotais le fourreau de l’arme que Ashtre m’avait donné. Meliodas posa une main sur mon épaule en fronçant les sourcils. Je n’avais pas envie d’en parler maintenant.
« Je vous en parlerais Lady Cersei. Je viendrais vous voir dans vos appartements, après l’entraînement. »
Je gagnais du temps… Mais surtout ma voix n’avait pas été parcourue du moindre tremblement. Mais il fallait que je fasse cela en privée. Je préférais nettement ne pas parler de ça face à une troupe de poules, même si elles étaient que deux c’était largement assez. Je sentis le regard de Meliodas avant qu’il ne soupire. Je sentais son énervement… Mais il ne dit rien et m’attrapa par l’épaule pour me faire pivoter vers le terrain d’entraînement. Et autant dire… que je pus largement agrandir ma collection de bleu. Je fis rapidement ma toilette pour passer une tenue plus présentable avant de me diriger vers les appartements de Lady Cersei. Je frappai et entrai, Meliodas n’était pas là… Heureusement sinon j’étais bonne pour être la messagère de la mort de Ser Ashter. Je fermai soigneusement la porte derrière moi.
« Lady Cersei, comme promis. »
Je détachais le fourreau de mon baudrier avant de m’avancer pour lui tendre l’épée, à plat, sur mes mains. Je me mordis légèrement les lèvres avant d’inspirer profondément.
« J’imagine que Félicité vous en a parlé… Ou si ce n’est pas elle Mestre Qyburn, je dors mal et je prends une potion pour avoir un peu de repos. Je ne me réveille pas facilement, mais je dors avec mon épée et mon poignard avec moi. Mais du coup je n’entends pas quand on rentre dans ma chambre. Il y a peut-être une lune ? Je n’ai pas exactement la date en tête. Je me suis endormie, et quand je me suis réveillée, l’épée était au pied de mon lit, rien dans la chambre n’avait bougé, et personne ne m’avait touché. Je ne me souviens pas de quoi que ce soit d’autre. »
Les sept… Par pitié… Qu’elle ne m’étrangle pas dans la seconde… J’aimerais revoir l’herbe verte du printemps… Peut-être même entendre que Lady Melleah aurait un heureux événement ? Qui savait. L’épée de Ser Ashter pesait lourd dans mes mains.
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Robert Louis Stevenson
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Cersei connaissait depuis toujours la complicité qui régnait entre Sacha et Meliodas, mais elle n’en avait jamais été le témoin. Pourtant, aujourd’hui, quand elle vit son bouclier lige ébouriffer les cheveux de sa protégée, elle eut la preuve que ce n’était pas seulement de la complicité qu’il y avait entre les deux, mais un lien père-fille, qui semblait indestructible. Cersei savait que l’homme était attaché à la jeune fille venue du Conflans. Il avait été à sa recherche quand elle avait disparu. Il l’entrainait sans compter ses heures et surtout il tentait de la protéger d’elle-même. Cersei savait qu’elle pouvait compter sur Meliodas pour assurer la protection de Sacha. Elle savait qu’il serait loin d’être paresseux quant à la réalisation de cette tâche. Ensemble, ils formaient une troupe étrange. Personne n’aurait pu imaginer il y a quelques années que Cersei se serait entourée d’une vagabonde et d’un homme au passé nébuleux. Pourtant, ils étaient là, à ses côtés, jouant un rôle important dans son existence. La Lionne de Castral Roc avait fait du chemin ces dernières années et elle ne regrettait nullement ses choix. Seule, elle l’avait été pendant trop longtemps, mais aujourd’hui elle ne l’était plus. Elle avait trois beaux enfants, un dragon, un bouclier-lige et une protégée. Seule, elle ne le serait jamais plus et c’était égoïstement que la Lionne gardait tout ce beau monde proche d’elle. De peur de perdre l’un d’eux, Cersei les avait interdit de rejoindre l’ost de l’Ouest, elle ne voulait pas prendre le risque de les voir assassinés. La Lionne le savait, si elle venait à perdre l’un de ses proches, elle partirait dans le même Enfer qu’elle avait connu à la mort de Jaime.
Cersei était égoïste et c’était l’un des principaux défauts qui se trouvait dans sa collection. Quand elle avait vu Sacha avec cette seconde épée, à l’emblème des Yarwyck, elle avait tout de suite compris que l’homme qu’elle méprisait, c’était de nouveau approchait de sa protégée. Ainsi, il avait bravé l’interdiction, faussant compagnie à ses espions. Si l’homme avait été face à elle, il était certain qu’elle aurait demandé à Vaelarr de le brûler vif. S’il venait à se trouver de nouveau face à elle, c’était certain qu’elle le ferait. On ne désobéissait pas à Cersei Lannister sans en récolter les conséquences.
La Lionne questionna sa protégée à propos de l’origine de cette mystérieuse épée et la jeune femme lui répondit qu’elle préférait lui parler à l’abri des oreilles indiscrètes. Cersei accéda à cette demande et les deux femmes rejoignirent les appartements de la lady. Sacha lui rappela à quel point elle avait du mal à dormir et que Qyburn lui fournissait de quoi passer des nuits correctes. Elle continua son discours, tandis que Cersei tapotait ses doigts sur un meuble avec impatience. Sacha tournait autour du bol et cela ne plaisait pas à la Lionne. Finalement, la brune conclut son récit en disant que l’épée était là à son réveil et qu’elle n’avait vu personne entrer dans sa chambre. Selon elle, personne ne l’avait touché.
“ Puisque tu ne possèdes plus tes facultés avec cette potion, je vais ordonner à Qyburn de ne plus te la fournir. On ne sait jamais, si une personne entre dans ta chambre pour y déposer une épée, on pourrait très bien y entrer pour te tuer.” Elle commença sur un ton sec, celui qu’elle utilisait quand une personne lui déplaisait. “ Mais tu n’as pas répondu à ma question. Qui t’a offert cette épée ? Et ne cherche pas à me tromper, je reconnais très bien cet emblème, mais je veux l’entendre de ta bouche.” Continua la Lionne sur un ton beaucoup plus froid.
Cersei était égoïste et c’était l’un des principaux défauts qui se trouvait dans sa collection. Quand elle avait vu Sacha avec cette seconde épée, à l’emblème des Yarwyck, elle avait tout de suite compris que l’homme qu’elle méprisait, c’était de nouveau approchait de sa protégée. Ainsi, il avait bravé l’interdiction, faussant compagnie à ses espions. Si l’homme avait été face à elle, il était certain qu’elle aurait demandé à Vaelarr de le brûler vif. S’il venait à se trouver de nouveau face à elle, c’était certain qu’elle le ferait. On ne désobéissait pas à Cersei Lannister sans en récolter les conséquences.
La Lionne questionna sa protégée à propos de l’origine de cette mystérieuse épée et la jeune femme lui répondit qu’elle préférait lui parler à l’abri des oreilles indiscrètes. Cersei accéda à cette demande et les deux femmes rejoignirent les appartements de la lady. Sacha lui rappela à quel point elle avait du mal à dormir et que Qyburn lui fournissait de quoi passer des nuits correctes. Elle continua son discours, tandis que Cersei tapotait ses doigts sur un meuble avec impatience. Sacha tournait autour du bol et cela ne plaisait pas à la Lionne. Finalement, la brune conclut son récit en disant que l’épée était là à son réveil et qu’elle n’avait vu personne entrer dans sa chambre. Selon elle, personne ne l’avait touché.
“ Puisque tu ne possèdes plus tes facultés avec cette potion, je vais ordonner à Qyburn de ne plus te la fournir. On ne sait jamais, si une personne entre dans ta chambre pour y déposer une épée, on pourrait très bien y entrer pour te tuer.” Elle commença sur un ton sec, celui qu’elle utilisait quand une personne lui déplaisait. “ Mais tu n’as pas répondu à ma question. Qui t’a offert cette épée ? Et ne cherche pas à me tromper, je reconnais très bien cet emblème, mais je veux l’entendre de ta bouche.” Continua la Lionne sur un ton beaucoup plus froid.
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Je voyais clairement Lady Cersei tapotait le bois du meuble, et cela… m’agaçait presque. Mais je savais très bien qu’elle faisait exprès, ou pas ?, pour m’agacer… Je serrais les dents, sans rien dire avant de sursauter à sa remarque. Mais ?! Elle était… Non ! C’était hors de question que je vive à nouveau l’enfer de mes rêves ! C’était moi qui les subissais ! Pas elle… Vraiment pas elle qui en souffrait ! Me tuer… Personne n’avait encore réussi, même pas moi, même si ma collection de cicatrice prouvait clairement que certains avaient essayé. Alors pourquoi étais-je encore une fois puni ?! Aimait-elle cela ? Me punir ? Je soutiens son regard sans rien dire pour l’instant, je savais très bien qu’elle n’avait pas fini. Je glissai l’épée à ma taille sans rien dire pendant un instant.
« C’est Ser Ashter qui me l’a offert, mais je ne pense pas qu’il soit venu lui-même. Il sait que ce n’est pas une bonne idée… Et j’imagine que vous avez dû lui faire comprendre de ne plus m’approcher. Puis il aurait pu se compromettre en venant dans ce côté-là de Castral Roc. Je suis convaincue qu’il n’est pas venu en personne. »
Je tentai de protéger Ser Ashter alors que je savais très bien qu’il était venu… Mais je mentais pour le protéger… Parce qu’il n’avait pas mérité de se faire assassiner par Lady Cersei. C’était un homme bon et honorable. Je ne comprenais pas pourquoi il était tombé amoureux d’une vagabonde comme moi. J’avalais ma salive avant de m’approcher de la table pour servir une coupe de vin et l’apporter à Lady Cersei. Je n’avais pas fini de parler. Je m’éloignais de quelques pas respectueux avant de reprendre la parole.
« Lady Cersei, concernant les potions de Mestre Qyburn, j’en ai besoin. Je sais que je n’aurais jamais un sommeil idéal, cependant ! j’ai besoin de ces potions pour pouvoir vous servir efficacement. Vous ne voudriez pas d’une servante paresseuse, qui s’endort comme un loir dès qu’elle s’installe. »
Je lui rappelais indirectement qu’à une époque, je pouvais m’asseoir dans un fauteuil en attendant que Lady Cersei ou Félicité finissent de choisir mes tenues, et je finissais rouler en boule sur l’assise à dormir comme un petit chat. Et puis si je pouvais me passer de me réveiller en sursaut, le corps secoué de tremblement, incapable de savoir pendant plusieurs minutes où j’étais. J’avais besoin de ces potions. Je passais une main dans mes mèches propres avant de l’observer avec attention, sondant ma maîtresse sans rien dire.
« Je n’ai pas de preuve Lady Cersei, mais je mettrais ma main au feu que vous vous êtes assuré également de décourager Ser Ashter de m’approcher.Et je sais que ce n’est pas un homme stupide, si vous lui avez interdit, il ne s’approchera pas. »
Ser Ashter, pardonnez-moi… Je ne voulais pas vous causer de problème… Par les dieux, heureusement qu’elle ne savait pas que je l’avais embrassé et que j’étais allée le voir. Là j’aurais fini à servir de terreau pour l’herbe du terreau. Puis on allait bien réussir à trouver une solution pour apaiser la lionne.
« C’est Ser Ashter qui me l’a offert, mais je ne pense pas qu’il soit venu lui-même. Il sait que ce n’est pas une bonne idée… Et j’imagine que vous avez dû lui faire comprendre de ne plus m’approcher. Puis il aurait pu se compromettre en venant dans ce côté-là de Castral Roc. Je suis convaincue qu’il n’est pas venu en personne. »
Je tentai de protéger Ser Ashter alors que je savais très bien qu’il était venu… Mais je mentais pour le protéger… Parce qu’il n’avait pas mérité de se faire assassiner par Lady Cersei. C’était un homme bon et honorable. Je ne comprenais pas pourquoi il était tombé amoureux d’une vagabonde comme moi. J’avalais ma salive avant de m’approcher de la table pour servir une coupe de vin et l’apporter à Lady Cersei. Je n’avais pas fini de parler. Je m’éloignais de quelques pas respectueux avant de reprendre la parole.
« Lady Cersei, concernant les potions de Mestre Qyburn, j’en ai besoin. Je sais que je n’aurais jamais un sommeil idéal, cependant ! j’ai besoin de ces potions pour pouvoir vous servir efficacement. Vous ne voudriez pas d’une servante paresseuse, qui s’endort comme un loir dès qu’elle s’installe. »
Je lui rappelais indirectement qu’à une époque, je pouvais m’asseoir dans un fauteuil en attendant que Lady Cersei ou Félicité finissent de choisir mes tenues, et je finissais rouler en boule sur l’assise à dormir comme un petit chat. Et puis si je pouvais me passer de me réveiller en sursaut, le corps secoué de tremblement, incapable de savoir pendant plusieurs minutes où j’étais. J’avais besoin de ces potions. Je passais une main dans mes mèches propres avant de l’observer avec attention, sondant ma maîtresse sans rien dire.
« Je n’ai pas de preuve Lady Cersei, mais je mettrais ma main au feu que vous vous êtes assuré également de décourager Ser Ashter de m’approcher.Et je sais que ce n’est pas un homme stupide, si vous lui avez interdit, il ne s’approchera pas. »
Ser Ashter, pardonnez-moi… Je ne voulais pas vous causer de problème… Par les dieux, heureusement qu’elle ne savait pas que je l’avais embrassé et que j’étais allée le voir. Là j’aurais fini à servir de terreau pour l’herbe du terreau. Puis on allait bien réussir à trouver une solution pour apaiser la lionne.
Codage par Libella sur Graphiorum