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Diplomatie (Viserys)
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« Diplomatie. »
Oberyn & Viserys
L a mise en place de mon règne n'a pas été de tout repos. Voila des années que je m'active à me faire des amis, des allier. Il faut sans cesse les rappeler à l'ordre, sans cesse leur montrer notre loyauté pour qu'ils vous donnent en échange la leur. Cette ronde infernale continue encore aujourd'hui. J'enchaine jour après jour les visites, les audiences. Je reçois des missives à toutes heures. Les demandes et les réclamations fusent dans tout Westeros. Je répond à chacun de mes interlocuteurs avec sagesse. Réfléchis, je ne dois faire aucune erreurs. Peut être suis je actuellement disposé à m'asseoir sur le trône, je crains chaque matin qu'un autre ne le fasse à ma place. Le château est en ébullition. Chaque recoins est précieusement gardé. La ville de Port Réal est en mon entière possessions. Elle m'appartient. Et ca ne fait que commencer.
Je suis fièrement assis sur le trône de fer. Tandis que les lames de ce dernier se portent au dessus de ma tète, telle une couronne éveillant ma splendeur. Si je suis maigrelet, comme nombre de personne aime le dire, mon charisme surpasse cet handicap. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, j'incarne l'allure d'un roi à la perfection.
Tandis que j'observe en rêvassant le monstrueux crâne de Balerion, non loin de moi, mon attention est brutalement attiré sur les portes de la grande salle. Mes yeux d'améthystes se posent sur l'individu qui entre. Il s'avance d'un pas assuré aux milieux des colonnes. Oberyn Martell. Son arrogance et son tempérament moqueur se lisent dans ses yeux comme dans un livre ouvert. Cet audience s'annonce a être mouvementé. Je lui souris poliment, sans toutefois lui montrer toute mes dents.
Je me lève alors. Même si je ne montre pas mon offuscation, il faut que cet homme me prenne au sérieux car, à vrai dire, il n'y a jamais eu plus sérieux roi que moi. Je suis, ne l'oublions pas, fils d'Aerys le dément. Je semble lui ressembler, mais je suis bel et bien différent. Ce masque n'est pas encore brisé.
Je suis fièrement assis sur le trône de fer. Tandis que les lames de ce dernier se portent au dessus de ma tète, telle une couronne éveillant ma splendeur. Si je suis maigrelet, comme nombre de personne aime le dire, mon charisme surpasse cet handicap. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, j'incarne l'allure d'un roi à la perfection.
Tandis que j'observe en rêvassant le monstrueux crâne de Balerion, non loin de moi, mon attention est brutalement attiré sur les portes de la grande salle. Mes yeux d'améthystes se posent sur l'individu qui entre. Il s'avance d'un pas assuré aux milieux des colonnes. Oberyn Martell. Son arrogance et son tempérament moqueur se lisent dans ses yeux comme dans un livre ouvert. Cet audience s'annonce a être mouvementé. Je lui souris poliment, sans toutefois lui montrer toute mes dents.
- « Je crains avoir attiser l'étonnement de beaucoup de monde, et j'admet que cet effet était recherché. Mais j'ai simplement repris ce qui me revenait de droit. » Dis je naturellement avant de froncer les sourcils, quelques peu gêné par son audace. « Me prenez vous pour un marchand de tapis prince Oberyn? Sachez que Rhaegar est aujourd'hui considéré comme un traitre... et de ce fait, tout ceux qui n'apporteront pas d'aide à la couronne pour sa capture, seront également considéré comme tel. Je me permet de vous rappeler cette anodine précision, puisque l'une de vos filles est au prêt de lui. A ce qu'on dit, plus que jamais. Mon frère semble apprécier les Dornienne... Prenez garde a ce qui ne lui arrive pas la même chose qu'à la précédente. » Dis je, non sans ironie.
Je me lève alors. Même si je ne montre pas mon offuscation, il faut que cet homme me prenne au sérieux car, à vrai dire, il n'y a jamais eu plus sérieux roi que moi. Je suis, ne l'oublions pas, fils d'Aerys le dément. Je semble lui ressembler, mais je suis bel et bien différent. Ce masque n'est pas encore brisé.
- « On m'a dit que Dorne souhaitait son indépendance. Je vous l'offrirais si, et uniquement si, vous participez au bon déroulement de mon règne. Et j'ajouterais, mon bon prince, qu'aucun mal ne sera fait à votre fille. Elle vous sera restitué... si évidement, à l'avenir, vous la tenait un peu mieux en laisse. »
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« Diplomatie. »
Oberyn & Viserys
L e rire sournois d'Oberyn est aussi violent qu'un poignard planté dans le cœur. Les sourcils quelque peu froncés, dépité, je l'observe s'esclaffer à en perdre l'équilibre. Je me racle la gorge, comme pour le rappeler à l'ordre, mais s'est en réalité pour libérer le juron qui pend a ma langue. Aujourd'hui, je ne suis plus l'enfant impulsif qui exclame ses sentiments à tout va.
A nouveau, mes sourcils se froncent. Voici une personne qui s'ajoute a la liste de celle qui me croit capable de vider les coffres en si peu de temps.
Je le regarde se hisser sur les marches en s'approchant de mon trône. Mon regard s'améthyste fixe ses yeux sans aucun sentiment. Le voila qui me provoque au corps a corps. Des frissons me parcours lorsqu'il me touche. Le geste me parait si surprenant, si irréel, que je ne réagis pas tout de suite et que je me laisse faire. Cela jusqu'à ce qu'il finisse son long discours dont je n'ai pas raté une miette.
Cet homme croit être invincible, il croit qu'il ne craint rien entre mes murs. Il se trompe amplement. Je me dégage agilement de son bras et me poste devant lui, sans menace physique. Avec sérieux, mon regard se fixe à nouveau dans le sien.
Les grandes portes s'ouvrent tandis que des bruits sourd de pas rythmées sur le sol retentissent dans toute la pièce. Une dizaine d'hommes de la surprenante garde royale s'approchent de nous.
Même si mon apparence physique laisse a désiré en tant qu'homme virile, mon regard n'en est pas. Aussi puissant que celui du pire bourreau, du pire tyran. Aussi ténébreux que les entrailles de l'enfer. La flamme ardente de la folie s'acharne à y jaillir. Personne ne sait de quoi je suis capable. Mais aujourd'hui, à cet instant, je suis capable de le regarder mourir ici, au pied de l'estrade du trône de fer.
Sans une seconde d'hésitation, les hommes ont brandies leur épées en s'avançant vers Oberyn.
Je souffle alors en l'observant et lui souris gentiment.
- « Ce que votre frère ne sait pas, c'est que la guerre est déjà finis pour Rhaegar. L'ombre de la mort s'avance discrètement dans son dos, et chacun pourra déplorer sa disparition d'ici peu. »
A nouveau, mes sourcils se froncent. Voici une personne qui s'ajoute a la liste de celle qui me croit capable de vider les coffres en si peu de temps.
Je le regarde se hisser sur les marches en s'approchant de mon trône. Mon regard s'améthyste fixe ses yeux sans aucun sentiment. Le voila qui me provoque au corps a corps. Des frissons me parcours lorsqu'il me touche. Le geste me parait si surprenant, si irréel, que je ne réagis pas tout de suite et que je me laisse faire. Cela jusqu'à ce qu'il finisse son long discours dont je n'ai pas raté une miette.
Cet homme croit être invincible, il croit qu'il ne craint rien entre mes murs. Il se trompe amplement. Je me dégage agilement de son bras et me poste devant lui, sans menace physique. Avec sérieux, mon regard se fixe à nouveau dans le sien.
- « Première chose sire Martell, touchez moi encore une fois et je vous ferais arracher les ongles des mains avant de les entailler et de les faires manger a mes chiens. » Menaçais je assurément. « Ensuite, mon bon prince, n'oubliez pas que la première force n'est pas celle du physique mais celle de l'esprit. Le pouvoir. » Dis je alors en croisant les mains dans mon dos et en faisant quelques pas pour m'éloigner de lui. « Garde! » Criais je en direction de la porte avant même d'attendre une quelconque réaction de sa part.
Les grandes portes s'ouvrent tandis que des bruits sourd de pas rythmées sur le sol retentissent dans toute la pièce. Une dizaine d'hommes de la surprenante garde royale s'approchent de nous.
- « Encerclez le. » Dis je d'une voix parfaitement calme. Ce qu'ils exécutent sans poser de question. « Sortez vos épées. » Ajoutais je tandis que la musique des lames sortant de leurs fourreaux s'envolent dans l'air. « ...Tuez le. » Dis je enfin dangereusement en posant mes yeux sombres sur l'homme de Dorne.
Même si mon apparence physique laisse a désiré en tant qu'homme virile, mon regard n'en est pas. Aussi puissant que celui du pire bourreau, du pire tyran. Aussi ténébreux que les entrailles de l'enfer. La flamme ardente de la folie s'acharne à y jaillir. Personne ne sait de quoi je suis capable. Mais aujourd'hui, à cet instant, je suis capable de le regarder mourir ici, au pied de l'estrade du trône de fer.
Sans une seconde d'hésitation, les hommes ont brandies leur épées en s'avançant vers Oberyn.
- « Arrêtez. » Lançais je au dernier moment. « Reculez de deux pas, et rengainez vos épées. Tournez vous. » Ordonnais je en souriant tandis que je m'avance doucement vers le cortège. Sans m'aventurer dans le cercle de garde poster dos au prince comme des colosse de marbre. « Voyez vous. Peut être que je n'ai pas la force physique pour vous asséner un coup d'épée, ni pour battre mon frère en duel. Mais j'ai sans aucun doute la force d'influencer volontairement un homme pour qu'il se soumette à moi. Cette force est celle du pouvoir prince Oberyn. » Dis je avant de marquer une très courte pause et de reprendre. « Je suis navré que vous ne m'appréciez guère. Je suis d'autant plus navré que vous n'ayez pas une seule seconde souhaité me connaitre d'avantage pour réussir à m'apprécier. Car, pour ma part, je vous apprécie. Vous êtes franc, et d'une arrogance redoutable. J'ai besoin d'homme comme vous à mes cotés. Voila d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle vous êtes encore en vie à cette instant. Mais prenez garde à votre manque de respect envers moi. Je suis de bonne humeur aujourd'hui, peut être ne le serais je pas demain. »
Je souffle alors en l'observant et lui souris gentiment.
- « Bien. Ne nous égarons pas d'avantage et revenons à nos affaires. Si ca ne concernait que vous, je vous offrirais boissons et catins à foisons puisque c'est ce qui semble vous plaire. Mais je doute que votre frère sera du même avis. De ce fait, je suis prêt a lui offrir une étendu supplémentaire pour Dorne. Mon armée, ainsi que celle des Tyrell, tomberont d'ici peu sur l'orage. Si vous nous suivez, je vous confirais ces terres. Elles seront à vous. Et bien entendu, si vous manquez de ressources pour cette guerre, je suis prêt à vous fournir le nécessaire. »