[FB] Maladresse et nouvelle rencontre [FB feat. Edwyn Cendregué]
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Maladresse et nouvelle rencontre
An 297 - Lune 12 - Semaine 4
Feat. Edwyn Cendregué
Nous étions sur la route vers Hautjardin lorsque la faim se fit sentir dans nos estomacs. Après une rapide halte près d’un ruisseau pour faire boire nos chevaux, nous constatâmes qu’il nous restait que peu de provisions jusqu’à Hautjardin. Il nous faudrait nous arrêter dans un village pour nous restaurer et acheter de quoi nous sustenter pour le reste du voyage jusqu’à la capitale du Bief. Ellery consulta la carte du Bief prêté par Roland, son grand-frère, l’aîné de la fratrie des Vance d’Atranta, et trouva un petit village non loin de notre position et sur la route vers le fief des Tyrell. Nous nous mîmes à nouveau en selle et reprîmes la route, Ellery à notre tête pour nous indiquer le chemin à suivre.
Après plus d’une heure de chevauchée, nous arrivâmes dans un charmant village non loin d’une forêt. Le terrain, quelque peu vallonné, était parcouru de ce même ruisseau dans lequel nos chevaux s’étaient abreuvés une heure plus tôt. Si nous trouvâmes très vite la place du marché, nous dûmes demander à un habitant du village où se trouvait l’auberge. Celle-ci était située plus en retrait des habitations, sur la route près de la forêt. Après avoir mis pied à terre et donné les brides de nos montures aux garçons d’écurie, je suivis Hugo et Ellery à l’intérieur de l’auberge.
La salle commune était agréable et quoique assez peuplée. L’aubergiste vint à nous et nous indiqua une table pour quatre personnes à l’extérieur, sous un auvent ombragé naturellement par du lierre. Il faisait beau et soleil réchauffait agréablement la terre, aussi nous décidâmes de déjeuner dehors. Avant de m’attabler, je demandais où pouvais-je me laver les mains. L’aubergiste m’indiqua les lieux d’aisance pour dames et je m’y rendis, ignorant hautainement les regards curieux de certains hommes sur moi.
Quand j’eus terminée, je voulus retourner vers la terrasse où mes cousins m’y attendaient mais je ne pris pas garde à la petite marche qui séparait la plus grande partie de la salle commune au reste de la salle qui menait vers l’extérieur de l’auberge et sa terrasse. Je manquais de tomber et me rattrapais à la première chose qui se trouvait à portée de main…en l’occurrence l’épaule d’un homme que je ne voyais que de dos. Dans ma maladresse, je lui fis renverser sa boisson sur lui et par terre.
Toutes mes excuses Ser, je n’avais pas vu cette…
Je me retournais vers la marche en question et croisais les regards et sourires moqueurs d’une table de deux voyageurs, une chope de bière dans leur main. Je me redressais de toute ma stature et leur lança un tel regard haineux que leur air narquois disparut de leur visage. Ils prirent leur bière, se levèrent et allèrent la finir à l’extérieur, du côté de la route et non de la terrasse où je me rendais. Je me retournais donc vers l’homme que j’avais bousculé. Il s’était entretemps retourné et son visage, comme son apparence, me laissèrent sans voix. Un mélange de surprise, de curiosité et d’incrédulité dut se lire sur mon visage. Je le regardais avec de grands yeux ; je n’avais encore jamais vu un homme pareil. Il ne devait certainement pas être de la région ! Je me resaisis, me raclais la gorge et lui offris mon plus beau et enjôleur sourire avant de le saluer, accompagnant celui-ci d’une révérence :
Lady Liane Vance, de Bel Accueil. A qui ai-je l’honneur ?
Après plus d’une heure de chevauchée, nous arrivâmes dans un charmant village non loin d’une forêt. Le terrain, quelque peu vallonné, était parcouru de ce même ruisseau dans lequel nos chevaux s’étaient abreuvés une heure plus tôt. Si nous trouvâmes très vite la place du marché, nous dûmes demander à un habitant du village où se trouvait l’auberge. Celle-ci était située plus en retrait des habitations, sur la route près de la forêt. Après avoir mis pied à terre et donné les brides de nos montures aux garçons d’écurie, je suivis Hugo et Ellery à l’intérieur de l’auberge.
La salle commune était agréable et quoique assez peuplée. L’aubergiste vint à nous et nous indiqua une table pour quatre personnes à l’extérieur, sous un auvent ombragé naturellement par du lierre. Il faisait beau et soleil réchauffait agréablement la terre, aussi nous décidâmes de déjeuner dehors. Avant de m’attabler, je demandais où pouvais-je me laver les mains. L’aubergiste m’indiqua les lieux d’aisance pour dames et je m’y rendis, ignorant hautainement les regards curieux de certains hommes sur moi.
Quand j’eus terminée, je voulus retourner vers la terrasse où mes cousins m’y attendaient mais je ne pris pas garde à la petite marche qui séparait la plus grande partie de la salle commune au reste de la salle qui menait vers l’extérieur de l’auberge et sa terrasse. Je manquais de tomber et me rattrapais à la première chose qui se trouvait à portée de main…en l’occurrence l’épaule d’un homme que je ne voyais que de dos. Dans ma maladresse, je lui fis renverser sa boisson sur lui et par terre.
Toutes mes excuses Ser, je n’avais pas vu cette…
Je me retournais vers la marche en question et croisais les regards et sourires moqueurs d’une table de deux voyageurs, une chope de bière dans leur main. Je me redressais de toute ma stature et leur lança un tel regard haineux que leur air narquois disparut de leur visage. Ils prirent leur bière, se levèrent et allèrent la finir à l’extérieur, du côté de la route et non de la terrasse où je me rendais. Je me retournais donc vers l’homme que j’avais bousculé. Il s’était entretemps retourné et son visage, comme son apparence, me laissèrent sans voix. Un mélange de surprise, de curiosité et d’incrédulité dut se lire sur mon visage. Je le regardais avec de grands yeux ; je n’avais encore jamais vu un homme pareil. Il ne devait certainement pas être de la région ! Je me resaisis, me raclais la gorge et lui offris mon plus beau et enjôleur sourire avant de le saluer, accompagnant celui-ci d’une révérence :
Lady Liane Vance, de Bel Accueil. A qui ai-je l’honneur ?
DRACARYS 2017
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The sun will guard you
Liane Vance & Edwyn Cendregué
Dans l'une des nombreuses auberges du Bief, l'indécent saltimbanque faisait son numéro. Une lyre à la main, une coupe de vin dans l'autre, l'homme aux yeux bleus qui semblaient venir d'un autre monde chantait, sa voix pourtant mélodieuse peinant à se faire entendre au dessus du doux fracas provoqué par les chants des autres. Il déambulait entre les tables pour accompagner ces tonitruements. L'air se termina dans un grand écla de rire de sa part, ponctué par les applaudissements de ces gens qui avaient apprécié ce spectacle, la ronde carnavalesque et chantante des fous de ce monde.
Au bout de quelques minutes, l'auberge avait retrouvé un calme relatif, les convives s'étaient rassis pour reprendre leurs échanges, d'autes semblaient faire leur entrée dans les lieux, et plus personne ne se souciait du saltimbanque, à l'exception peut-être du tavernier qui lui servit du vin dans la coupe que ce dernier n'avait pas lâché. Edwyn Cendregué adressa un large sourire à l'aubergiste avant de reposer sa lyre avec toute la délicatesse du monde auprès des affaires, buvant une rapide lampée avant de s'éloigner avec l'air manifeste de vouloir profiter du soleil qui caressait les terres Bieffoises.
Cette vie n'était sans doute pas celle que ses parents avaient espéré pour lui. Edwyn était même parfaitement certain du contraire. Pourtant, la liberté et l'indépendance de la route avaient un doux plaisant sur sa langue. Nul doute que bientôt, il quitterait le Bief pour découvrir d'autres routes, d'autres paysages, et vivre quelques autres des mille existences qui s'ouvraient à lui sur le chemin. Pour l'instant, il se plaisait encore sur les terres qui l'avaient vu naître, mais il connaissait la douce musique de la trompette d'or de la trahison, et bientôt quitterait-il le Bief, pour peut-être ne jamais y retourner.
Quoi qu'il en soit, il n'eut pas le temps d'atteindre la terasse qu'il sentit une main et un poids prendre lourdement appui sur son épaule, ce qui eut pour conséquence de le déstabiliser fortement. Edwyn parvint néanmoins à rester debout et à ne pas entraîner l'inconnu dans une chute, cependant il ne put sauver sa coupe de vin, qui se déversa sur le sol ainsi que sur sa chemise blanche comme autant de tâches de sang.
Une fois parvenu à retrouver son équilibre, le Bieffois se redressa avec un regard vaguement désorienté, avant de se retourner vers la cause de cet incident, qui se trouva être une Dame, de dos, manifestement en train d'effrayer par son seul regard deux convives moqueurs qui s'éloignèrent pour échapper à son courroux.
Ce n'est qu'après cela que leurs regards se croisèrent enfin, et il ne fallut pas beaucoup d'efforts à Edwyn pour lire la surprise et l'étonnement sur le visage de l'inconnue qui détaillait ses propres traits. Il avait l'habitude de ce genre de réaction, aussi n'en prit-il pas ombrage. D'ailleurs, la surprise sur le visage de son interlocutrice se mua bien vite en un doux sourire, et elle fit la révérence avant de se présenter comme Lady Liane Vance de Bel-Accueil. Il s'agissait d'une maison du Bief, si la mémoire du presque mestre ne lui faisait pas défaut, et l'élégance ainsi que les bonnes manières de la jeune femme ne put qu'inciter le Bieffois à répondre de même. Il s'inclina donc devant Lady Vance, sans se soucier plus avant de sa chemise toujours ruinée par le vin, avant de se présenter à son tour:
-Il n'y a pas de mal, ma Dame. Je suis Edwyn de la maison Cendregué, enchanté de faire votre connaissance.
Que faisait une Conflanaise dans le Bief? Etait-ce un simple voyage d'agrément, une visite diplomatique à Hautjardin peut-être? Une seule chose était certaine pour le métisse, l'aura et le charisme que dégageait cette femme étaient des plus remarquables.
DRACARYS 2017
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Maladresse et nouvelle rencontre
An 297 - Lune 12 - Semaine 4
Edwyn & Liane
Quel étrange personnage que cet Edwyn… Je n’avais encore jamais posé les yeux sur pareil visage et apparence. Il ne devait pas passer inaperçu ; un physique pareil, ça n’était vraiment pas chose courante ! Je fis un pas en arrière et l’observais des pieds à la tête. Il avait l’allure d’un artiste plus que d’un chevalier comme son nom me le laissait entendre. Les Cendregué étaient une noble famille du Bief mais je ne savais pas que leur fils soit si…typé. Il ne devait tenir ses traits si distinctifs des terres au-delà du Détroit que de sa mère… Ma curieuse observation de cet homme me fit constater avec effroi que ma chute l’avait tâché du rouge vif du vin qu’il buvait avant ma brusque intervention. A présent, son verre était vide et son contenu répandu sur le sol et sur sa chemise blanche. Ma surprise et ma curiosité laissèrent la place à la gêne et je me confondis en excuse :
Par les Septs, Ser Edwyn, que je suis confuse ! Ma maladresse vous a coûté le blanc immaculé de votre chemise…et votre boisson de surcroît.
Je lissais les plis de ma robe, tenant mes gants dans une main. Mes yeux allaient du sol à sa chemise, en passant par son visage, étrange certes mais qui dégageait quelque chose de plus, que je ne parvenais pas à identifier…et qui attisait toujours plus ma curiosité, d’autant plus que mon regard tomba sur sa lyre, qu’il tenait dans son autre main. Je me raclais la gorge :
Votre lyre semble avoir été épargnée toutefois !, dis-je ponctuant ma remarque d’un petit rire gêné.
Que venait donc faire un Cendregué dans une auberge, avec un instrument de musique ? Se pourrait-il qu’il soit lui aussi sur les chemins d’un quelconque voyage, comme moi ? Mon regard brun s’arrêta un instant sur le sien, bleu. Des traits si différents, des yeux bleus, un nom important et pourtant pas de Ser Edwyn lorsqu’il s’est présenté à moi. Aurait-il honte de son statut ? Ou peut-être n’est-il même pas chevalier ? Que de questions qu’il me fallait tirer au clair à présent, et je ne voyais qu’un seul moyen d’y parvenir…tout en essayant de me faire pardonner mon geste de maladresse :
Et bien Edwyn de la maison Cendregué, vous êtes bien bon de ne point me tenir rigueur de ce malencontreux accident, qui pourtant vous a coûté votre chemise et votre vin. Permettez-moi de me faire pardonner en vous invitant à ma table. Je déjeune sur la terrasse avec mes cousins ; vous nous honoreriez en étant des nôtres. dis-je en lui souriant.
Par les Septs, Ser Edwyn, que je suis confuse ! Ma maladresse vous a coûté le blanc immaculé de votre chemise…et votre boisson de surcroît.
Je lissais les plis de ma robe, tenant mes gants dans une main. Mes yeux allaient du sol à sa chemise, en passant par son visage, étrange certes mais qui dégageait quelque chose de plus, que je ne parvenais pas à identifier…et qui attisait toujours plus ma curiosité, d’autant plus que mon regard tomba sur sa lyre, qu’il tenait dans son autre main. Je me raclais la gorge :
Votre lyre semble avoir été épargnée toutefois !, dis-je ponctuant ma remarque d’un petit rire gêné.
Que venait donc faire un Cendregué dans une auberge, avec un instrument de musique ? Se pourrait-il qu’il soit lui aussi sur les chemins d’un quelconque voyage, comme moi ? Mon regard brun s’arrêta un instant sur le sien, bleu. Des traits si différents, des yeux bleus, un nom important et pourtant pas de Ser Edwyn lorsqu’il s’est présenté à moi. Aurait-il honte de son statut ? Ou peut-être n’est-il même pas chevalier ? Que de questions qu’il me fallait tirer au clair à présent, et je ne voyais qu’un seul moyen d’y parvenir…tout en essayant de me faire pardonner mon geste de maladresse :
Et bien Edwyn de la maison Cendregué, vous êtes bien bon de ne point me tenir rigueur de ce malencontreux accident, qui pourtant vous a coûté votre chemise et votre vin. Permettez-moi de me faire pardonner en vous invitant à ma table. Je déjeune sur la terrasse avec mes cousins ; vous nous honoreriez en étant des nôtres. dis-je en lui souriant.
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Liane Vance & Edwyn Cendregué
La jeune femme, qui semblait pourtant briller de manière générale par son assurance et sa prestance -cela ne pouvait que sauter aux yeux d'Edwyn, lui-même si sensible à ce genre de choses-, afficha de la gêne en se rendant compte des dégâts que sa maladresse passagère avait pu causer. Pourtant, le Bieffois n'était en toute honnêteté pas du tout dérangé par cette chemise fichue. Certes, comme le noble décadent qu'il était, il nourissait une passion sans borne pourles belles étoffes et les coupes qui mettent les corps en valeur, cependant sa vie sur la route avait quelque peu relativisé cepéché auquel il s'adonnait pourtant avec ferveur dans le passé. De toute façon, cette chemise n'était certainement pas la plus belle qu'il avait pu porter, et cette tâche rouge sang était sans doute le meilleur destin qu'il pouvait lui arriver.
C'est donc sans arrière pensée aucune que le Bieffois souriait à son interlocutrice du Conflans, sans véritablement se soucier du caractère incongru de ce vêtement tâché. Si son étrange visage le séparait en général des foules dans lesquelles il avait pourtant l'habitude de se mouvoir, cette chemise couleur vin au contraire, le rendait plus banal que jamais dans une taverne où tout le monde se bouscule et se hèle sans aucun soucis du protocole ou des règles.
-Je vous assure, ma Lady, que le plaisir de votre compagnie vaut mille fois une pauvre chemise comme celle-ci. Je vous en prie, rassérénez-vous.
Il lui adressa en sus son sourire enjôleur, celui dans lequel l'insolante nonchalante le dispute à une élégance à peine calculée. Celui-ci s'élargit infimement quand la Dame de la maison Vance remarqua sa lyre qui, effectivement, n'avait pas reçu une goutte au moment de la maladresse.
Les présentations furent échangées en bonne et due forme, et Edwyn ne manqua pas de remarquer l'éclair de surprise qui passa dans les yeux de son interlocutrice quand il évoqua pour lui-même le nom de Cendregué. C'était une chose à laquelle il était habitué, avec le visage qui était le sien on s'attendait en général à un nom exotique parfumé aux confins d'Essos. Porter un nom, certes prestigieux mais finalement banal, avec ces yeux et ces traits, c'était finalement, et non sans un certain paraoxe, lui ajouter plus de mystère encore.
Cependant Lady Liane Vance pouvait elle également se targuer d'une élégance à toute épreuve, et rien dans ses caractéristiques physiques n'était exotique, la régularité de ses traits et la lueur joueuse dans ses yeux à peine dissimulée par sa gêne manifeste attisait la curiorisité du métisse, qui ne comptait certainement pas la laisser seulement tourner les talons et s'évanouir dans la foule de la taverne.
Heureusement, telle ne semblait pas être l'intention de la Dame, puisqu'en réparation pour sa maladresse elle lui proposa de bien vouloir partager sa table, en la compagnie de ceux avec qui elle voyageait. Edwyn fit mine de réfléchir pendant une poignée de seconde avant de répondre, sans s'être départi de sa mine enjôleuse.
-C'est trop d'honneur que vous me faites, ma Lady. Mais soit, ce sera un plaisir pour moi.
Il ne se fit donc pas prier et suivit Lady Vance jusqu'à la table, où effectivement l'attendaient les compagnons de route précédemment cités. Edwyn les salua d'un rapide signe de tête avant de prendre place face à son interlocutrice, autrement plus intéressante. Il posa la lyre à côté de lui, juste assez éloignée pour qu'elle ne la gêne pas avec d'éventuels mouvements mais bien assez près pour s'en saisir au moindre geste.
-Et bien, Lady Vance, puis-je vous demander ce qu'une grande Dame du Conflans telle que vous fais dans cette modeste auberge du Bief que vous honorez de votre présence?
La curiosité était visible dans les yeux bleu glace d'Edwynet dans ce sourire toujours aussi charmeur que sincèrement amusé. Tous deux faisaient tâche dans cette taverne, et si la raison en était pour lui assez claire, le métisse voulait savoir de quoi il en retournait concernant la Dame de la maison Vance.
HRP: Avec toutes mes excuses pour le retard
DRACARYS 2017