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Les Snow (Jon Snow)
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Jon Snow, bâtard de Winterfell.
On aurait pu simplement l'appeler Jon, Jon Snow mais non, il fallait sans cesse que "bâtard" voir "bâtard des Stark" revienne, encore et encore. Il s'y était accoutumé, ça n'en était pas moins vexant que l'on vous rappelle que vous n'êtes qu'une erreur de votre père. Et parfois, il était bon de sortir des frontières, il était bon de vivre ailleurs, juste pour respirer. Rester à Winterfell plus ou moins mais pas là où se trouvent la plupart des gens. Que ce soit pour aller aux bois sacrés pour être sûr d'être tranquille, ou simplement s'enfermer dans une salle d'entraînement, pour se défouler encore et encore, inlassablement, jusqu'à ce que toute trace de colère s'échappe.
Ce jour-ci, il s'était rendu pendant des heures au bois sacré, pour pouvoir réfléchir - dans la mesure où il réfléchissait. Le monde semblait affluer ces temps-ci, et les événements mondains n'étaient pas vraiment sa tasse de thé, pas plus que la politique et ses implications, il était certes le fils aîné de Ned vivant à Winterfell - si l'on oubliait Robb - il n'était pas pour autant attaché à tous ses événements, il avait même du mal à retenir toutes les gestuels que ces événements impliquaient. Et, surtout : les femmes de la Haute, si ce n'est, les femmes tout court, le terrorisaient. Les magnifiques femmes aux cheveux soyeux et délicieusement odorant, leurs joues roses et leurs lèvres rouges, comment pouvait-on parler à ces créatures ? Il ne savait pas vraiment, il n'osait pas, alors pour s'éviter ces embarras, il restait seul. Ou accompagné de son loup, fidèle, Ghost.
Il s'était avancé plus loin, après tout, il restait libre, il n'était pas comme un chien avec une laisse, il était libre d'aller où il le désirait - pas de tuer qui il désirait cela dit. Il était libre d'aller et venir dans Winterfell si bon lui semblait, c'était là la manière des loups, ils vous restaient fidèle à mesure que vous leur laissiez assez d'espace pour vivre, ils reviendraient plus vite vers vous. Jon n'utilisait pas son loup comme se défendre, pour attaquer, s'il arrivait qu'il parte parfois à la chasse c'était surtout pour s'amuser. Ghost était parti loin en avant cette fois-ci, et Jon l'avait suivi, curieux de ce qu'il pouvait bien aller faire dans la cour près du chenil, pas l'endroit le plus confortable pour un loup géant et sauvage, qu'un endroit rempli de chiens enfermés. Il ne s'était guère pressé pour s'y rendre, du moins, jusqu'à voir que Ghost avait repéré quelque chose au chenil. L'heure du repas, peut-être ?
- Allons, Ghost, tu as encore faim avec ce que tu viens de dévorer ?
Il s'avançait encore jusqu'à entendre un homme parler, une voix qui lui était inconnu. Il n'allait pas sortir son arme mais il regardait attentivement cet homme face à lui, bien plus vieux avec un air étrange sur le visage.
- Pardonnez-moi, monsieur, mais je n'ai pas l'impression de vous connaître.
Il ne portait pas de grands vêtements, il n'était pas coiffé comme la plupart des seigneurs, il n'était pas non plus habillé comme un paysan mais pas non plus comme un seigneur, il ne devait pas avoir un très grand nom, se disait-il.
- Je me nomme Jon Snow, fils d'Eddard Stark. Je peux peut-être vous aider ?
On aurait pu simplement l'appeler Jon, Jon Snow mais non, il fallait sans cesse que "bâtard" voir "bâtard des Stark" revienne, encore et encore. Il s'y était accoutumé, ça n'en était pas moins vexant que l'on vous rappelle que vous n'êtes qu'une erreur de votre père. Et parfois, il était bon de sortir des frontières, il était bon de vivre ailleurs, juste pour respirer. Rester à Winterfell plus ou moins mais pas là où se trouvent la plupart des gens. Que ce soit pour aller aux bois sacrés pour être sûr d'être tranquille, ou simplement s'enfermer dans une salle d'entraînement, pour se défouler encore et encore, inlassablement, jusqu'à ce que toute trace de colère s'échappe.
Ce jour-ci, il s'était rendu pendant des heures au bois sacré, pour pouvoir réfléchir - dans la mesure où il réfléchissait. Le monde semblait affluer ces temps-ci, et les événements mondains n'étaient pas vraiment sa tasse de thé, pas plus que la politique et ses implications, il était certes le fils aîné de Ned vivant à Winterfell - si l'on oubliait Robb - il n'était pas pour autant attaché à tous ses événements, il avait même du mal à retenir toutes les gestuels que ces événements impliquaient. Et, surtout : les femmes de la Haute, si ce n'est, les femmes tout court, le terrorisaient. Les magnifiques femmes aux cheveux soyeux et délicieusement odorant, leurs joues roses et leurs lèvres rouges, comment pouvait-on parler à ces créatures ? Il ne savait pas vraiment, il n'osait pas, alors pour s'éviter ces embarras, il restait seul. Ou accompagné de son loup, fidèle, Ghost.
Il s'était avancé plus loin, après tout, il restait libre, il n'était pas comme un chien avec une laisse, il était libre d'aller où il le désirait - pas de tuer qui il désirait cela dit. Il était libre d'aller et venir dans Winterfell si bon lui semblait, c'était là la manière des loups, ils vous restaient fidèle à mesure que vous leur laissiez assez d'espace pour vivre, ils reviendraient plus vite vers vous. Jon n'utilisait pas son loup comme se défendre, pour attaquer, s'il arrivait qu'il parte parfois à la chasse c'était surtout pour s'amuser. Ghost était parti loin en avant cette fois-ci, et Jon l'avait suivi, curieux de ce qu'il pouvait bien aller faire dans la cour près du chenil, pas l'endroit le plus confortable pour un loup géant et sauvage, qu'un endroit rempli de chiens enfermés. Il ne s'était guère pressé pour s'y rendre, du moins, jusqu'à voir que Ghost avait repéré quelque chose au chenil. L'heure du repas, peut-être ?
- Allons, Ghost, tu as encore faim avec ce que tu viens de dévorer ?
Il s'avançait encore jusqu'à entendre un homme parler, une voix qui lui était inconnu. Il n'allait pas sortir son arme mais il regardait attentivement cet homme face à lui, bien plus vieux avec un air étrange sur le visage.
- Pardonnez-moi, monsieur, mais je n'ai pas l'impression de vous connaître.
Il ne portait pas de grands vêtements, il n'était pas coiffé comme la plupart des seigneurs, il n'était pas non plus habillé comme un paysan mais pas non plus comme un seigneur, il ne devait pas avoir un très grand nom, se disait-il.
- Je me nomme Jon Snow, fils d'Eddard Stark. Je peux peut-être vous aider ?
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L'homme devant lui souriait et il eut un léger mouvement de recul : pourquoi souriait-il ? Ce sourire lié à ce regard... Qui était-il ? Il n'allait pas dire que cet homme était effrayant mais inquiétant aurait été le mot plus juste. Cet air qui cache bien des choses, un regard qui en dit long et un sourire qui se veut franc tout en cachant des choses... La bourrade amicale donnée ne l'étonnait pas tant mais il levait un de ses sourcil foncé, regardant la main de l'homme sur son épaule puis il le regardait à nouveau. Un Snow. Un bâtard aussi. Conscient qu'il n'était pas seul bâtard, il ne bronchait guère, ils étaient juste - à son goût - plus rare au Nord qu'au Sud. Les hommes du Nord n'étaient pas du genre à forniquer avec d'autres que leur femmes, ce qui donnait presque un côté unique aux Snow.
Mais encore assez en retrait, Jon ne l'aurait pas appelé frère pour ce rang, bien qu'il soit plaisant de ne plus être le seul bâtard de ces lieux, il aurait appelé Robb son frère, Bran, car il se sentait réellement être un Stark. Mais appeler un Snow, frère... Et le voilà qui l'entraînait, qui plus est. Ghost grondait, et Jon, connaissant parfaitement son animal, ne pouvait que s'y fier : les loups avaient un instinct très développé et ils ne pouvaient que voir la bonté envers les autres comme leur méchanceté, cela dit, Ramsay ne semblait être qu'un jeune homme, pas trop riche mais il n'avait pas l'air si pauvre non plus, mais celui-ci fit presque l'erreur d'attaquer le bâtard qui lui était encore inconnu, mais dompté, il n'aurait attaqué que si Jon l'y autorisait en ces conditions .... Ou s'il s'était un peu trop approché. La réaction du loup était donc prévisible, que l'autre bâtard se cache derrière lui bien qu'ayant l'air de rire... aussi.
- Il ne vous fera rien à moins que vous ne me cherchiez ou à moins que vous vous approchiez trop de lui.
Il levait à son tour la main vers le loup, laissant faire ses mimiques à celui qui désirait être appelé "frère". Il ne répondit pas tant à ses questions et ne le ferait pas avant d'en savoir un peu plus sur lui, de nature méfiante et peu bavarde il n'allait pas raconter toute sa vie et l'éducation de son loup au premier homme venu, qu'il s'agisse d'un Snow ou non, la confiance devait se gagner.
- Tout doux mon ami. Ce n'est rien. Retourne à ta place, je reviendrai te chercher plus tard.
Il laissait alors son ami à quatre pattes retourner s'occuper alors que l'homme à qui il avait parler s'occuper déjà de l'entraîner il ne savait où : ces familiarités étaient vraiment particulière et il ne pouvait qu'être suspicieux : les bâtards étaient-ils tous si joyeux les uns envers les autres ? La joie n'était pas ce que ressentait toujours Jon, pas le plus, alors voir un homme si joyeux de rencontrer l'un de ses pairs... L'intriguait. Ses questions en revanche l'aurait presque déstabilisé : pour qui se prenait-il pour lui poser des questions si personnelles et qui plus est : si gênante ? Il ne trouvait de toute façon rien à y répondre : non, il ne savait pas, car son père évitait le sujet si souvent que Jon le levait. Alors peut-être valait-il mieux ne rien savoir tout simplement, peut-être était-ce mieux ainsi, bien qu'il aurait aimé assouvir sa soif de connaissance - il était déjà rare que Jon s'interroge sur autre chose que les guerres.
- Je ne connais pas de Snow hormis vous, à présent, si tant est que je puisse dire que je vous connais.
Il connaissait cela dit la direction dans laquelle le maître-chien l'entraînait et ça n'était pas vraiment pour lui plaire : boire ? Uniquement en soirée. Des femmes ? Il n'osait pas même les regarder dans les yeux. Et voilà qu'il était entraîné vers un endroit fort fréquenté : par les hommes tel que Tyrion Lannister. Il s'arrêtait alors un peu avant d'arriver devant la porte.
- Qu'est-ce que vous faites ? M'entraîner là dedans ?
Vraiment ? C'est ce qu'il voulait faire ? L'entraîner dans un bar ? Un peu niais, il n'osait cependant pas s'interposer et refuser, il était juste fort curieux et intrigué : pourquoi un bar ? Il se voyait déjà d'ici regarder le fond de sa choppe, le rouge monté aux joues sans oser regarder ailleurs par peur de croiser l'une de ces filles de joies, de ne voir qu'un peu de leur peau dénudée.
Mais encore assez en retrait, Jon ne l'aurait pas appelé frère pour ce rang, bien qu'il soit plaisant de ne plus être le seul bâtard de ces lieux, il aurait appelé Robb son frère, Bran, car il se sentait réellement être un Stark. Mais appeler un Snow, frère... Et le voilà qui l'entraînait, qui plus est. Ghost grondait, et Jon, connaissant parfaitement son animal, ne pouvait que s'y fier : les loups avaient un instinct très développé et ils ne pouvaient que voir la bonté envers les autres comme leur méchanceté, cela dit, Ramsay ne semblait être qu'un jeune homme, pas trop riche mais il n'avait pas l'air si pauvre non plus, mais celui-ci fit presque l'erreur d'attaquer le bâtard qui lui était encore inconnu, mais dompté, il n'aurait attaqué que si Jon l'y autorisait en ces conditions .... Ou s'il s'était un peu trop approché. La réaction du loup était donc prévisible, que l'autre bâtard se cache derrière lui bien qu'ayant l'air de rire... aussi.
- Il ne vous fera rien à moins que vous ne me cherchiez ou à moins que vous vous approchiez trop de lui.
Il levait à son tour la main vers le loup, laissant faire ses mimiques à celui qui désirait être appelé "frère". Il ne répondit pas tant à ses questions et ne le ferait pas avant d'en savoir un peu plus sur lui, de nature méfiante et peu bavarde il n'allait pas raconter toute sa vie et l'éducation de son loup au premier homme venu, qu'il s'agisse d'un Snow ou non, la confiance devait se gagner.
- Tout doux mon ami. Ce n'est rien. Retourne à ta place, je reviendrai te chercher plus tard.
Il laissait alors son ami à quatre pattes retourner s'occuper alors que l'homme à qui il avait parler s'occuper déjà de l'entraîner il ne savait où : ces familiarités étaient vraiment particulière et il ne pouvait qu'être suspicieux : les bâtards étaient-ils tous si joyeux les uns envers les autres ? La joie n'était pas ce que ressentait toujours Jon, pas le plus, alors voir un homme si joyeux de rencontrer l'un de ses pairs... L'intriguait. Ses questions en revanche l'aurait presque déstabilisé : pour qui se prenait-il pour lui poser des questions si personnelles et qui plus est : si gênante ? Il ne trouvait de toute façon rien à y répondre : non, il ne savait pas, car son père évitait le sujet si souvent que Jon le levait. Alors peut-être valait-il mieux ne rien savoir tout simplement, peut-être était-ce mieux ainsi, bien qu'il aurait aimé assouvir sa soif de connaissance - il était déjà rare que Jon s'interroge sur autre chose que les guerres.
- Je ne connais pas de Snow hormis vous, à présent, si tant est que je puisse dire que je vous connais.
Il connaissait cela dit la direction dans laquelle le maître-chien l'entraînait et ça n'était pas vraiment pour lui plaire : boire ? Uniquement en soirée. Des femmes ? Il n'osait pas même les regarder dans les yeux. Et voilà qu'il était entraîné vers un endroit fort fréquenté : par les hommes tel que Tyrion Lannister. Il s'arrêtait alors un peu avant d'arriver devant la porte.
- Qu'est-ce que vous faites ? M'entraîner là dedans ?
Vraiment ? C'est ce qu'il voulait faire ? L'entraîner dans un bar ? Un peu niais, il n'osait cependant pas s'interposer et refuser, il était juste fort curieux et intrigué : pourquoi un bar ? Il se voyait déjà d'ici regarder le fond de sa choppe, le rouge monté aux joues sans oser regarder ailleurs par peur de croiser l'une de ces filles de joies, de ne voir qu'un peu de leur peau dénudée.
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