-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal


Un cadeau étrange, d'une personne étrange. | ft. Petyr Baelish

Invité
Invité

Anonymous

Informations
Personnage
Badges


   
# 
Un cadeau étrange, d'une personne étrange.


Petyr Baelish & Jon Snow

Voilà quelque lunes qu'il résidait à Port-Réal et personne ne savait encore ce qu'il faisait là. Il n'avait rien fuité, car il avait donné sa parole à celui qu'il considérait comme son vrai père : il n'ébruiterait pas ça hormis au concerné, soit Rhaegar Targaryen. Ainsi, pas même Lyarra Cerwyn ne connaissait la raison de ce déplacement, elle l'avait pourtant suivie jusqu'ici.

Il avait tenu sa langue jusqu'à ce que Rhaegar Targaryen daigne le rencontrer et cette rencontre se ferait très prochainement, il angoissait autant qu'il avait hâte de ce qui allait arriver. Il avait hâte de retourner au Nord, chez lui, persuadé que les Terres de la Couronne n'étaient pas faites pour lui : il faisait trop chaud et il n'avait pas un esprit adapté aux intrigues de la Cour, il n'avait pas le même langage qu'eux et ne faisait pas non plus l'effort d'adapter son langage. Il regardait, il écoutait et il ne parlait que peu.

Ce jour-là, Jon fût très surpris quand on toquait à la porte de son appartement, fort modeste mais qui lui suffisait amplement. C'était une femme. Il ne l'avait encore jamais vu mais elle s'était faite très entreprenante, c'était peu de le dire.

Jon avait déjà rencontré des catins, mais il n'en n'avait jamais touché une pour autant. Il avait failli, une fois, puis persuadé qu'elle pourrait tomber enceinte à son tour et engendrer un bâtard dont la vie ne serait guère plus joyeuse que la sienne, il avait tout abandonné. Depuis, il n'avait jamais remis le pied dans un bordel et n'avait plus jamais espéré toucher une femme.

Celle-ci c'était faite entreprenante et Jon en était plus dégoûté qu'attiré. S'il devait embrasser une femme et être même plus intime avec, ça n'aurait pas été cette catin, mais une toute autre personne. Alors, dégoûté, il s'était reculé, l'avait repoussée. Elle avait cru que Jon était ainsi, joueur, qu'il aimait peut-être qu'on lui court après. Mais il n'en n'était rien.

- Stop ! Stop ! Arrêtez ! Qu'est-ce que vous faites ?
- Voyons, ce n'est pas assez clair ?

Il remarquait à ses vêtements qu'elle était une catin et qui d'autre pour venir toquer à une porte et l'embrasser de la sorte et essayer de glisser sa main dans le pantalon du jeune homme ? Il s'était reculé jusqu'à ce que son dos affronte le mur. Elle avait ri. Lui avait demandé s'il était puceau, il lui avait retourné qu'est-ce que ça peut bien vous faire ? et elle avait encore ri. Qu'il détestait ce rire. Finalement, il lui avait demandé sèchement pourquoi elle était là et cela avait pris quelque minutes pour qu'elle se décide à cracher le morceau.

Jon était donc sorti, furieux, exigeant que cette femme le guide jusqu'au bordel d'où elle venait. Il ne l'avait pas attrapée par le bras, il n'était pas violent à ce point. Il l'avait juste suivie jusqu'au bordel, ouvrant la porte brusquement. Elle lui avait dit qui était le gérant et après l'avoir cherché, la voix de l'adolescent tonnait, sans aucun scrupules, dans le bordel.

- Est-ce une plaisanterie ?! Pour qui vous prenez-vous ?!

Il était furieux : une catin, vraiment ? Etait-ce une plaisanterie de mauvais goût ? Il regardait l'homme chétif, qu'on appelait Petyr Baelish, attendant une réponse sans trop de patience, il n'était même pas sûr d'avoir envie d'écouter.

© DRACARYS
Invité
Invité

Anonymous

Informations
Personnage
Badges


   
# 
Un cadeau étrange, d'une personne étrange.


Petyr Baelish & Jon Snow

Gérer ses bordels en plus de la bourse de la couronne n’est en rien une mince affaire. Gérer son réseau d’espions au passage l’est encore moins. Mais pourtant, c’est sans mal apparent que Baelish pilote ses affaires. Quel autre choix de toute manière lorsqu’on est personne, lorsqu’on a pas de maisonnée à ses côtés, pour prêter main forte, pour couvrir ses arrières. Si certains peuvent trouver cela dérangeant, Petyr n’est trouve là qu’un bénéfice grandissant. Rien à partager, pas de décisions que l’on conteste, personne d’autre que lui même à entretenir. Pas de risque d’être poignardé dans le dos par le prochain héritier désireux de faire ses premiers pas dans la cour des grands. Peut-être aussi est-ce qu’on se méfie moins d’un homme sans appuis, sans bannière que tous connaissent.

Littlefinger se contente de ce qu’il a, pour l’instant tout du moins. Pourquoi se presser alors que le sort continue de lui sourire ? Il n’empêche que le petit homme apprécie tout savoir. Qu’une nouvelle lui soit annoncée sans qu’il n’en soit déjà au fait n’est guère acceptable. Comme si la réaction qu’il pourrait avoir aurait été trop naturelle pour l’offrir à la vue de ses interlocuteurs. Savoir ce qui vient permet de prévoir ses mouvements, de conserver un coup d’avance sur les autres. C’est le seul avantage qu’il possède réellement après tout.

Alors l’arrivée du bâtard Stark à Port-Réal, sans raison apparente, est quelque chose qui intrigue. Ses recherches sont demeurées vaines jusqu’à présent. Si personne n’a rien pu entendre alors il ne lui reste plus qu’à aller chercher lui même ce qu’il veut connaître. Ou presque. Si il ne porte sa confiance en personne, il sait qu’il y a quand même certaines de ses employées qui possèdent un talent pour faire parler les hommes. Et parfois même les femmes. Un pari osé que de penser que la tâche serait accomplie sans accrocs. Après tout, qui ne tente rien n’a rien, dit-on. Petyr n’en serait pas là aujourd’hui si il n’avait rien tenté.

Ainsi l’homme attend le retour de la femme, avec il espère, de quoi répondre à ses interrogations. Plume en main, penché sur des comptes qui n’auguraient du bon. De son écriture gracile et emplie de fioritures, il calcule et il note. Parfois des chiffres, parfois des indications. Quelques pièces traînent sur le côté de son bureau qu’il lui faudra distribuer plus tard. Les gloussements et autres gémissements se trouvent interrompus par une porte qui claque, et un rictus orne à présent les lèvres du brun. Ce n’est sûrement pas bon.

Il voit d’abord la fille de joie qu’il a envoyé. Puis directement à sa suite, l’homme dont elle devait en tirer les secrets. Réprimant donc un soupir désappointé, Petyr entreprend de se redresser. C’est décevant. Mais au moins a-t-il l’occasion de s’entretenir avec le jeune homme, bien que visiblement irrité, dans un lieu qu’il considère comme sûr. D’un regard sévère il congédie celle qui a échoué, il en ferait son affaire un peu plus tard, ainsi que d’autres qui traînaient dans la grande pièce. Il est calme, peut-être trop alors qu’il élève la voix pour s’adresser à lui, esquissant une rapide courbette en guise de salut. « Lord Snow. » Ignorant presque l’agacement du nordien. « Un simple présent. Peut-être n’était-elle pas à votre goût ? J’en ai d’autres si vous le souhaitez. » Un fin sourire maîtrisé étire la commissure de ses lèvres alors qu’il lisse les pans de sa tenue. « Je ne comptais pas vous froisser, sachez le. » On aurait presque pu voir quelque chose de sincère dans les prunelles de l’homme.

Contournant d’un pas lent le bureau ouvragé, le Lord fait quelques pas jusqu’à un petit guéridon sur lequel repose quelques coupes et une cruche de vin. « Quoi qu’il en soit, veuillez accepter mes excuses. Hm.. vous en voulez ? » Nonchalant tandis qu’il pointe le contenant d’un geste de la main, Petyr pose ses yeux sur l’adolescent, étudiant rapidement ses traits. Espérant peut-être retrouver quelque chose de Catelyn dans son visage alors qu’il sait pertinemment que ce n’est pas son fils. « Recevoir de quoi se détendre ne devrait pas être prit ainsi après tout. Surtout après un si long voyage. Celui-ci s'est-il bien déroulé d'ailleurs ? » Il hausse les épaules, remplissant tout de même deux des coupes présentes sur le meuble. Tout ce qu’il veut, c’est étendre la discussion, la mener dans une direction qui lui permettra d’en apprendre plus sur la venue du bâtard de Winterfell. Qui pourrait reprocher à un homme de simplement vouloir savoir après tout ?

© DRACARYS
Invité
Invité

Anonymous

Informations
Personnage
Badges


   
# 
Un cadeau étrange, d'une personne étrange.


Petyr Baelish & Jon Snow

Il ne comprenait pas pourquoi on lui avait envoyé une catin dans ses appartements, comment l'interpréter. Est-ce que c'était une insulte ? Ou bien un cadeau en retard pour la bienvenue ? Ou même un cadeau de départ ? Il ne savait pas. Peut-être que certains nordiens aimaient la présence de ces femmes, mais Jon n'en faisait aucunement parti. Il avait déjà une femme à l'esprit pour ces choses là, et encore, il avait honte d'avoir ces pensées envers elle, alors cette femme qu'il ne connaissait pas ? L'idée l'avait dégoûtée.

Il avait donc décidé de tirer ça au clair en se présentant chez l'homme qui avait offert ce "cadeau" des plus douteux. Jon ne se souvenait pas franchement de lui, il n'avait pas du passer à Winterfell et ne devait pas connaître beaucoup les nordiens pour offrir pareil "chose". Lord Snow, voilà comment il l'appelait, de quoi énerver d'autant plus l'adolescent. Si ses souvenirs étaient bons, Petyr Baelish faisait parti des hommes proches du roi, mais il ne saurait plus dire exactement sa fonction. Comment son père pouvait bien vouloir d'un gérant de bordel à sa table de conseil ? Rhaegar Targaryen était vraiment douteux.

- Je ne m'appelle pas Lord Snow ! Mais Jon !

Avait-il répliqué aussi sec. Pas qu'il n'avait pas d'humour ou d'auto-dérision mais qu'en ces moments là, il ne voyait rien et prenait tout au pied de la lettre. N'était-elle pas à son goût ? Mais, était-il idiot ? Jon le regardait en plusieurs fois, voir s'il plaisantait ou non, il lui apparaissait qu'il était sérieux - mais Jon n'était pas l'homme le plus perspicace qui soit non plus.

- Je ne veux pas de ces... présents !

Elevé par les Stark et même par Catelyn, il avait appris à respecter toutes les femmes. Sansa et Catelyn lui avaient bien dis comment il convenait de s'adresser à une femme, comment les traiter et cette manière-là ne lui convenait aucunement. Quel respect y avait-il de considérer une femme comme un objet qu'on pouvait posséder à sa guise avec un peu d'argent ? Et comment ces femmes pouvaient accepter d'être traitées ainsi ? Il était perdu, il était énervé, agacé. Etait-ce une vilaine plaisanterie, incitation douteuse pour l'inviter à se détendre ? Il ne comprenait vraiment pas.

- Non... Non merci.

L'homme lui paraissait calme, à croire qu'il n'était pas impressionné par un élan de colère, cela ne devait pas être le premier auquel il faisait face. Et il ne pouvait donc que réagir face au calme et commencer à se calmer à son tour, alors que la catin disparaissait. Il restait donc là, les poings serrés, un air de chien à moitié enragé et à moitié battu. Il ne voulait pas de vin, juste des explications. Et il lui confirmait ; recevoir de quoi se détendre. Il y avait mille et un moyens pour se détendre.

- Je ne vois pas en quoi ma détente vous concerne. Offrez-vous une femme à chaque nouvel arrivant à la Capitale ?

Il était un Snow, pas un Stark, il était juste un bâtard, rien de plus, rien de moins. Un bâtard dont personne ne connaissait les origines, sinon sûrement qu'il était le fils d'Eddard, à qui il ressemblait s'il se fiait aux dires, à cause de cette droiture à toute épreuve, cette honnêteté, son manque de perspicacité et... ce balais dans le séant. Les Stark pouvaient être mordant et sa bâtardise ne changeait rien à cet état de fait chez le Snow. Il regardait l'homme servir tout de même deux coupes de vin, oui, après tout, pourquoi pas. Mais le vin avait de mauvais effets sur Jon, il ne buvait que dans les grandes occasions et la dernière fois qu'il avait bu, il avait été déterminé à rejoindre le Mur et on l'avait retrouvé après à vouloir faire la route avec son cheval, pour le Mur. Alors qui savait ce qu'il ferait cette fois s'il devenait saoul. Il ne pouvait pas laisser ça arriver et Lyarra n'était pas là pour veiller sur sa consommation - et il n'était pas tout à fait sûr que ce soit le rôle de son amie non plus.

- Le voyage fût long mais il s'est bien passé, merci. Avez-vous un lien quelconque avec les Stark, pour vous montrer si... Compatissant ?

Il n'avait pas les mots exacts, mais quelque chose devait lui échapper, il ne savait pas quoi, il valait donc mieux demander de quoi il en tournait exactement. Ne lui avait-on pas tout dit ? Ne lui avait-on pas présenté tous les amis des Stark toutes ces dernières années ?

© DRACARYS
Invité
Invité

Anonymous

Informations
Personnage
Badges


   
# 
Un cadeau étrange, d'une personne étrange.


Petyr Baelish & Jon Snow

Que les nordiens peuvent avoir le sang chaud. Il suffit d’un rien pour qu’ils s’emportent. La chose n’est pas si curieuse que ça finalement. Les bêtes au sang froid ne survivent pas bien longtemps aux grands froids. Si le serpent est agile et fourbe, le loup, lui, est sanguin. Sûrement que Littlefinger ne se méfie même pas assez. Placide comme il est, à l’écoute comme si le tort n’était pas le sien. Rien que l’entrée du bâtard suffit à prouver à quel point il est similaire à son père. Ou même à feu son oncle. Du moins pas totalement, vu sa réaction à la vue d’une catin à sa porte. La pensée aurait arrachée à Petyr un doux rire aux allures narquoises, mais l’état actuel de son interlocuteur le fait s’abstenir. Inutile d’envenimer la situation alors que celle-ci peut être arrangée si facilement, n’est-ce pas ?

D’autant plus inutile que le jeune Snow- non, Jon, visiblement, l’appellation ne lui plaît guère. Ainsi Petyr se force-t-il à penser comme il faut pour éviter de le froisser par mégarde. Ce serait fâcheux de le voir tourner les talons si tôt et pour si peu. Inclinant légèrement la tête, Baelish prononce ses excuses, se voulant sincère. « Jon. Très bien. Pardonnez moi en ce cas. Je tâchais seulement d’y mettre les formes. » Pour une fois que la.. provocation, ou peu importe comment qualifier la chose, n’était pas volontaire, ou du moins pas entièrement, il faut dire qu’il a touché juste. Dommage que là n’était pas son but. Là où il n’a pas fait mouche en revanche, c’est sur la nature du présent.

Se dévoiler n’était pas non plus son but. Il aurait préféré demeurer anonyme sur cette affaire, mais en y repensant mener lui même l’entrevue ne présente pas que de mauvaises choses. « Je crois l’avoir compris.. Jon. » Une légère hésitation sur le nom à employer, aussi Petyr enchaîne, préférant enfouir la presqu’erreur sous d’autres paroles. « Croyez bien que cela ne se reproduira plus. À quoi devrais-je penser la prochaine fois ? » Et qu’il y ait ou non de prochaine fois ne l’intéresse qu’à moitié. Ne serait-ce que pour au moins juger l’importance de cette première visite. A-t-elle été si importante qu’il y en aura d’autres ? N’a-t-elle été qu’une simple visite de courtoisie ?

Il aurait presque été déçu tandis que son offre est déclinée. L’alcool détend les mœurs et délie les langues, un outil plus qu’utile quand des informations doivent être tirées. Une étrange manière que celle que les Stark ont employé pour élever le bâtard. Réticent aux plaisirs charnels et aux doux effets que peut procurer l’alcool. Ou peut-être est-ce seulement un trop grand surplus d’honneur ? Il hausse les épaules, attrapant sa coupe, pour en faire tourner le vin qu’elle contient. Dommage pour lui après tout.

Toute l’attention de Littlefinger est portée sur le liquide, le temps de quelques secondes sûrement trop longues, le sentant avant de doucement le goûter. Puis finalement, il se reconcentre sur Jon. « Vous avez raison. Votre détente ne me concerne en rien. » Vraiment. Son rôle ici n’est pas de veiller à ce que chacun puisse être repu. Son vrai rôle ici est de veiller à ce que la Couronne dispose des fonds nécessaires pour de quelconques affaires qui ne le concernait, ne l’intéressait souvent pas. Ou du moins de bien d’autres manières sûrement douteuses aux yeux de certains. « Et sachez que j’en offre seulement à ceux dignes d’intérêt. » Un léger sourire malicieux vient orner ses lèvres à présent. Il laisse à nouveaux ses lèvres tremper dans le vin sans pour autant le quitter des yeux. Petyr finit par s’emparer de la seconde coupe, s’avançant même de quelques pas vers le loup.

Demeurer à Port-Réal a plus que certainement du bon. Ne pas devoir en bouger en a encore plus, surtout pour un homme tel que Petyr, loin d’être taillé pour ce genre d’escapades, loin de les apprécier aussi. « Alors je ne peux que vous souhaiter que le retour se passe tout aussi bien. » Compréhensif, c’est en toute honnêteté qu’il énonce la chose. Il n’y a qu’une seule raison qui l’aurait vraiment poussé à quitter le confort de la Capitale après tout. « Disons simplement que je suis un vieil ami de la famille. Je connais Catelyn Stark depuis un long moment. » Et nous voici à la raison précise qui le ferait tout quitter. Diantre, qu’il regrettait parfois tout ça.

Son regard dérive et le voilà qui en revient aux coupes. Il les a presque oublié. Littlefinger est presque au niveau de Jon, levant l’un de contenant en sa direction, plaçant presque l’objet directement entre ses mains. « Vous êtes sûr que vous n’en voulez pas ? Il vient de Dorne, vous savez. » Il ne boit que du bon vin. Avec un grand faible pour celui venant de là bas. Il toise le jeune homme, plongeant son regard dans le sien. Un rictus qui semble presque être un sourire étire la commissure de s ses lèvres. « Alors dites-moi. Port-Réal vous plaît ? » Parce que Petyr préfère encore tourner autour du pot. Il a peur qu’en venir directement au sujet qui fâche relance Jon dans sa colère ou pire, que ça le fasse fuir. Amical, il dépose une main contre l’épaule de l’adolescent, l’invitant d’un regard et d'un bras tendu à venir s’installer sur l’une des banquette de la pièce.

© DRACARYS
Contenu sponsorisé


Informations
Personnage
Badges


   
#