Une rencontre intéressante [Ysilla] Flashback

Première nuit passé à Port-Réal. J'avais une petite folie, me couchant assez tard, voulant profiter, de la soirée du mariage et du ciel de la capitale. Les lits étaient comme les autres lits, mais avec toute la fatigue, j'avais dormis d'un sommeil de plomb. On aurait pus tambouriner à ma porte que cela m'aurais pas réveillée. Pourtant l'habitude fit que je me leva à la même heure que je le faisais chez moi. La grasse matinée n'était pas faisable. Comme toujours  ma tignasse rousse, était en bataille au réveil. C'était sûrement ce qui me prenait le plus de temps le marin, brosser cette chevelure. C'est pour cela que je n'aimais pas les coiffure trop complexes, car mes cheveux étaient du genre rebelle, préférant être au naturel. Une fois habillé en robe couleur brune -rappelant indirectement celle du blason de la famille- j’avalai mon petit-déjeuner telle une affamée qui était en diète depuis une semaine.  J'étais gourmande et grande mangeuse, la nourriture était pour moi un vrai plaisir, et je me priais pas quand je pouvais en profiter. Les douceurs de Port-Réal était divine, les gâteau au citron spécialement. Au Val il faisait trop frais pour que les citronniers puissent poussé. J'en profitais.

Durant la matinée j'avais rencontre un homme des plus aimable dans les rues. Et dans l’après-midi, je me rendis compte que je ne l'avais pas remercier comme il se doit. Il m'avait « sauvée » d'un voleur et avait eu l'attention de me raccompagner. Cela méritait un remerciement valable.  J'étais partie à la recherche des appartements de Lord Forrester. Demandant deux ou trois fois, je me perdais dans ce palais immense. Enfin arriver devant la bonne porte, je frappe. J'attends mais rien. La porte étant entrouverte, je me permet d'entré doucement et pas à pas. Il y avait juste une femme, fouillant, une blonde. Mais pas de Rodrik Forrester à l'horizon.  Je ferme la porte, de façon machinal en la regardant. Voler ? Si elle n'était pa slà pour ça, qu'est-ce qu'elle faisait ici. Sa façon de se tenir ne m'inspirais pas confiance. Je préférais rester à distance. Chose difficile quand j'ai remarqué qu'elle s'était approcher de moi bien trop rapidement et avec confiance. Restant bien droite, le visage totalement fermée, je lui répond.

-Ysilla. Je pourrais te retourner la même question.

Je n'allais pas avoir la politesse de la vouvoyer. Elle avait dit « tu », bien soyons à égalité.

Je n'aimais pas trop cette proximité. Même pas du tout, on se connaissait pas du tout. Et d'être si proche, comme si il y avait aucune limite,aucun respect pour l'autre. On envahie pas l'espace personnel des gens ainsi. Cela ne semblais gère déranger la blondinet d'avoir un rapprochement physique si important. J'imagine qu'elle avait aucun soucis avec tous ce qui est du corps, de l'apparence te du contact pour sembler si à l'aise si proche d'une personne. Même totalement inconnue pour elle.
Comme toujours, on me jugeais, la bonde décidais à ma place ce qui devait me plaire ou non. J'avais horreur qu'on choisisse mes idées à ma place, que cela soit les autres qui décident de ma personnalité. J'étais comme j'étais. Point barre. Avec des qualités et des défauts. D'où elle me jugeais ainsi. Cela m'agaçais. Je pris une respiration. Cela ne serait pas très bien vu si j'attirais les foudres d'une autre famille noble ou même si je me comportais avec dédains avec quelqu'un de plus base naissance. Je me rabaisserais pas à cela.

Une Fer-Née ! Excellent, il manquais plus que ça. Je n'avais jamais eu occasion de me retrouver en face à face avec un un habitant des Iles de Fer – dans un sens ce n'était pas plus mal – mais ils étaient connus pour être aussi sociable et civilisés que les Clans des Montagnes. Un mauvais moment à passer j'imagine si je voulais avoir la possibilité de remercier Lord Forrester.

-Au moins le prince est entre de bonnes mains, les tiens son réputés de bons combattants, et qui recule pas facilement.

Je vais me montré polie, on sait jamais peut-être que la politesse fonctionnerais, si le respect ce n'était pas le cas. Je me décale sur le côté, pour qu'elle arrête de me tourner autour. Cela m’agace vraiment.

-Pure ? Quel drôle de mots dans cette phrase, hors contexte je dirais même. Non je ne suis pas d'ici, je n'ai pas le nez suffisamment bouché pour vivre dans cette ville. Ce qui doit aussi te changer des embruns salés de tes îles.

Elle voulait sûrement savoir ce que je faisais ici, je ne cracherais pas le morceaux si facilement. En tout pour elle faudra être très polie.

Toujours aussi droite d'un bâton, bougeant quasiment pas. Telle une statue.  Je ne bougeais pas, respirant calmement. J'observais cette femme, cette blondinette, que j'imprimais dans ma mémoire. Je n'étais pas prête de l'oublier, et si je ne connaissais pas son nom, je me souviendrais à vie de son son visage. Oui la devise de ma famille ne l'est pas pour rien. La laissant faire, je tiqua sur une phrase. Roderik ? Ainsi elle le connaissait, enfin si le mots était le bon. Je n'aimais pas du tout comment elle l'avait dit et ce sourire à moitié pervers qu'il s'était dessiner sur son visage. Je savais très bien que son peuple avait les mœurs très légères. Mais je ne voulais pas penser à cela, Lord Forrester était un seigneur et devait avoir un minimum d'honneur, et devait avoir des fréquentation mieux qu'une femme comme elle.

J’eus un soupire, le peu d'homme que je rencontrais, finissais toujours par avoir des défauts peu recommandable. Bien que Lord Forrester avait été si aimable et gentil avec moi, et bel homme en plus de cela. Moi qui croyais que Port-Réal était une aubaine pour trouver un mari. Je la vis ce baisser et attraper un bijoux au vol. Bien pour qu'elle ai laisser quelque chose de si personnelle et petit, j'avais raison. En plus de ça elle semblais en être fière. Aucun honneur ces Fer-nés.  Un frisson me parcourue en sentant la pointe froide de la dague. Pas de peur, mais moi et le froid on était pas ami, et un simple contact d'une matière froide me faisais frisonner.

-On n'a clairement pas la même notion de pure, femme-roc. Si je me considère comme avoir un honneur pure, je sais très notion doit être bien différente pour toi, qui semble aimer les mœurs légères. Faire ma dure ? J'ai vu de quoi son capable les sauvages des montagnes, il m'en faut plus pour me faire peur, même si je pense que tu aimerais cela.

Une voix froide, posée. Sans aucun ton, totalement neutre. Je ne lui ferais pas le plaisir de m’agacer.  Quand je le voulais je pouvais être aussi froide et inexpressive qu'Andar.

-Qu'est-e que cela peut bien te faire. Tu était ici pour Lord Forrester clairement, tout comme moi. Bien que je comprends bien que tu n'a pas la même motivation, niveau compagnie. Mais puisqu'il n'est pas là, je n'ai plus rien à faire ici.  

Machinalement je passe une de mes mèches derrière mon oreilles. La Fer-née n'était las personne la plus agréable que j'avais rencontre à Port-Réal. Il faisait au moins honneur à la réputation de son peuple. Bien sûre, je n'avais jamais entendue d'histoire sur son peuple, les Fer-Nés sont si peut connu sur le continent, ils sont si civiliser. Il faudrait qu'elle arrête de me prendre pour une imbécile. Son peuple avait une éducation bien précise, très différente de la notre. Qu'elle ose dire le contraire.  Trop de chose ce racontait sur son peuple, et comme c'était baser sur des témoignages, rares étaient les mensonges. Elle aimait la référence à cette réputation. Et bien qu'elle se plaigne chez elle. La blondinette ce moquait vraiment de moi.

-Cette dague m'informe bien sur quoi tu est capable. Ce n'est pas une apparence, mais un fait.

Je passe mon doigt sur la peau pour essayer le mince filet de sang sur ma peau blanche. Chez les nobles le jeux était de poser ses pions sans se faire voir. Une certaines observation était requise, une observation que j'avais apprise de mon père avant tout. Elle ce vendait toute seule. Ces actes disait le contraire de ces paroles.
Me vexée ? Hum elle en était loin. Elle était surtout peu voir même pas sociable. C'était niveau manière et respect que cela était à refaire. Mais bon pour nous piller son peuple ne devait pas avoir de respect pour les continentaux. Mais bon elle était au service de Rowen Hightower, elle devait savoir un peu plus de chose sur le continent. Comme la façon de se comporter, mais elle ne devait pas s'en soucier.
Depuis mon arrivée dans cette pièce, je n'avais pas bouger. Pas un muscles. Une vraie statue. Pourtant à force je sentais une crampe me venir. Il allait falloir que je bouge un peu mes jambes. Je recule alors d'un pas. Pour bouger mais aussi, car je comptais bien quitter cette pièce et sa compagnie. Je n'avais aucune raisons de rester.

-Il ne m'avait absolument rien promis. C'est moi qui à été idiote d'avoir un quel qu'on que intérêt. J’espère que tu t'es bien amusée. Autant que cela soit une femme qui ne prête pas d'importance aux hommes qui en profite.  Désoler d'avoir déranger dans ta recherche, je vais te laisser à présent.

Je fais un pas de côtés pour lui faire dos ensuite et quitter cette endroit. Je crois que je vais passer la reste de ma journée à végéter dans ma chambre, vaut mieux être seule que mal accompagné.