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[EVENT] L'union de la Corneille et du Loup
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« CORNEILLA - 302, LUNE 4, DÉBUT DE SEMAINE 3 »
l'union de la corneille et du loup
Les mariages ... C'était ce que, Mya aimée le plus, elle aime voir les personnes s'amuser ainsi que leurs sourires sur leurs visage et être tout simplement heureux. C'était à ce moment-là que tout le monde oublié leurs problèmes du quotidien. Elle avait trouvé Lady Sansa magnifique, c'était une belle marier et Hoster avait beaucoup de chance de l'avoir comme épouse, elle était heureuse de voir arriver un nouveau membre dans sa famille puis elle s'entendais très bien avec la jeune louve. Toute se passa dans le meilleur des mondes Mya s'amuser beaucoup et elle avait même félicité les jeunes marier étant assise à table elle regardait tout le monde restant un peu en retrait en étant très timide, même s'il n’y avait pas beaucoup de monde, c'était suffisant pour que la jeune fille soit timide. Tout en se servant un peu de vin elle remarquait que son oncle Tytos porta un toast en l'honneur des mariés, Mya souriait et écouter son oncle et elle déposa un doux regard sur les jeunes marier qu'elle trouvait si beaux, tout en buvant son vin elle entendit son oncle tousser, son regard se tourna vers celui-ci, Mya se ficha et se leva de son siège effrayé et paniquer. Elle regardait ses cousins sans savoir quoi faire, elle ne comprenait pas ce qui se passer tout allais si vite, le corps de Tytos ne bouger maintenant plus, le mestre arrive et elle commençait a tremblé par la peur et l'émotion, et même ses larmes commencer a monté aux yeux de la jeune fille. Elle ne pouvait pas croire ce qu'elle venait de voir. Quand Lucas donna l'ordre de lâcher nos verres Mya regarde son propre verre et son cœur eu une ratée. Est-ce possible que quelqu'un empoisonné le vin ? Elle prit son verre et le regardait et regardait le corps de son oncle à nouveau.
Elle posa son verre et n'oser plus trop bouger elle était comme figé paralysé et elle regardais ses cousins totalement perdus avant de lancer un regard sur Lady Sansa. Alors que la soirée avait très bien commencé elle devait ce terminé avec un terrible drame, Mya avait de la peine pour les jeunes marier mais aussi un membre de sa famille venais de mourir et cela bouleversa Mya qui se retenais tant bien que mal de cacher ses sentiments même si ses yeux était remplis de larmes elle resta tout de même forte mais elle était sous le choc.
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L'union de la Corneille et du Loup
302, lune 4, début de semaine 3
Liane Vance
L'ordre du Lucas sonna terriblement à mes oreilles. Et si...Le banquet entier était empoisonné lui aussi? Tremblante, je me collais contre mon époux qui me murmura à l'oreille des paroles réconfortantes. Je sentis une main se poser sur mon épaule, celle de Patrek, qui nous informa qu'il allait se mettre à la recherche de son épouse.
Je me tournais vers lui pour lui répondre: Revenez vite tous les deux.
Aussi choqués que l'ensemble de la foule face à ce spectacle pour lequel nous étions tous, y compris le Mestre, totalement impuissants, je ne pouvais rien faire de plus que regarder les Nerbosc affronter cette fatalité. Lord Tytos n'était plus. Il gisait à terre, sans vie, le Mestre s'étant relevé à ses côtés. Mon regard se mit à la recherche de la Princesse Daenerys. J'eus tout juste le temps de la voir s'eclipser de la salle en compagnie de Lady Marianne et des plus jeunes des Nerbosc. Cette jeune fille timide que j'avais rencontré il y avait si peu de temps et qui m'avait demandé à demi-mots son aide, suivant les conseils de Lady Orya Cox, notre amie commune, se trouvait à présent à la place que j'avais un jour ardemment désiré. La pauvre enfant aurait besoin d'aide. Je ne doutais pas qu'elle serait bien entourée ici, mais l'aide que je lui apportais nécessitait du temps...Et du temps, elle n'en avait déjà plus au vu des nouvelles charges qui l'attendait. Il me faudra lui réitérer mon soutien, avant de quitter les lieux... pensais-je. Elle aura besoin de toute l'aide qu'on pourra lui apporter.
Puis la voix forte de Brynden me fit sursauter. L'ordre de se saisir d'Harry Rivers me fit tourner la tête à la recherche de cet homme vers lequel plusieurs gardes se dirigeaient. Les invités s'écartaient sur leur passage et je pus le distinguer de l'autre côté de notre position, debout l'air fier et souriant à côté du Nain Lannister. A la vue du bâtard de Bracken, mon regard vira au noir et abandonné toute trace de crainte ou de tristesse. Je ne le connaissais pas mais le simple fait qu'il soit né Rivers me conforta dans l'idée que les bâtards, peu importe d'où ils peuvent bien venir, ont forcément le sang vicié... Mais peut-être était-ce trop simple que de le penser coupable, lui, alors que ce n'était un secret pour aucun Conflanais que Bracken et Nerbosc ne se sont jamais appréciés... Quoi qu'il en soit, en cet instant, je partageais totalement le point de vue de notre nouveau Suzerain...Nous fûmes ensuite rejoins par Patrek, accompagné de son épouse qu'il avait retrouvé. C'était la première fois que je la voyais. J'aurais aimé la saluer dans des circonstances plus joyeuses mais tout ce que je pus faire, c'est lui rendre son salut et lui serrer doucement une de ses mains en un geste qui se voulait chaleureux et réconfortant. Debout au milieu de la foule du reste des invités, nous attendions...Que pouvions-nous faire de plus de toute façon?
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L'union de la Corneille et du Loup
302, lune 4, début de semaine 3
Tyrion Lannister
Nos verres contiendraient-ils tous le même poison? Je regardais autour de moi. Certains invités avaient effectivement littéralement lâché leur verre sur l'avertissement de Ser Lucas Nerbosc. D'autres, sous l'effet du choc ou de l'angoisse ou que sais-je d'autre encore, semblaient être eux aussi en proie à un quelconque malaise mais je ne voyais personne d'autre souffrir des mêmes maux qui terrassèrent si vite et avec tant de brutalité Lord Tytos Nerbosc.
Il y eut de l'agitation à la table d'honneur. La Princesse Daenerys, aidée de Lady Marianne Harlton, s'occupaient des plus jeunes de la famille à la Corneille tandis que, debouts et impuissants face à la dépouille de leur père, les aînés Nerbosc semblaient en pleine conversation silencieuse... Soudain, ce fut la voix forte du nouveau Seigneur de Corneilla qui se fit entendre pour désigner justement ce même homme qui se tenait à mes côtés et de le mettre aux arrêts. Ainsi dont, il s'appelait Harry Rivers, un bâtard du Conflans oui, mais il semblait être connu des Nerbosc et fort peu apprécié pour qu'immédiatement, les soupçons d'assassinat convergent vers lui. La main de mon épouse dans la mienne, je la tirais doucement en arrière pour que nous nous écartions de cet homme que plusieurs gardes emmenaient avec eux pour l'interroger.
Qui est cet Harry Rivers? demandais-je à Walda. Peut-être le connaissait-elle mieux que moi, ou pouvait-elle me dire de quelle famille venait-il... Je savais bien que Nerbosc et Bracken se vouaient depuis toujours une sorte de guerre que rien ni personne ne put y mettre un terme. Etait-il de la famille Bracken? Ou venait-il d'une autre famille, jalouse d'avoir vu les Nerbosc s'élever au rang de Suzerains après la rébellion de Robert Baratheon? Chez certaines personnes, la rancune peut être tenace, malgré toutes ces années qui se sont écoulées depuis.
Ne pouvant faire quoi que ce soit d'autre qu'attendre que l'on découvre un début de vérité sur cette affaire, je confiais Lady Walda à ses proches de la Maison Frey qui avaient fait le déplacement et me dirigeais vers la table d'honneur, avançant prudemment vers Ser Lucas:
Ser...Je...Mes plus sincères condoléances...Puis-je vous être d'une aide quelconque? A vous ou à votre frère? Peut-être Lady Walda peut aider votre épouse ou la Princesse Daenerys en quoi que ce soit? proposais-je à tout hasard.
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302, lune 4, début de semaine 3
l'union de la corneille et du loup
L’inconnu (Daven Lannister) leva vers Lyra de grands yeux d’un bleu limpide. Il excusa sa maladresse avec une sincère sympathie. La Mormont reconnu l’écusson des Lannister, brodé sur sa poitrine. Elle ne put contenir une mine déconfite face à cette révélation. Brandon, bonhomme, haussa les épaules en mâchonnant toujours son manchon de dinde. À moins que cela ne soit de la pintade ? La Norroit n’en savait rien et il y avait de fortes chances que l’héritier non plus. Tant que la chose était comestible, les questions ne se posaient pas.
Alors que la brune ouvrait la bouche pour déclarer une fois encore ses plus plates excuses, un brouhaha de panique gronda dans son dos. Un cri, celui de Brynden Nerbosc, résonna comme un signal d’alarme. Le géant roux serra l’épaule de son épouse dans son énorme main et la rapprocha de lui, dans un mouvement instinctif.
« Que se passe-t-il ? » lui demanda-t-elle, soucieuse. « Je ne vois rien. »
La mer de têtes l’empêchait d’avoir une vision claire de la scène. Seuls les murmures et les exclamations tantôt surprises, tantôt curieuses, parvenaient à se frayer un chemin jusqu’à elle. Peu à l’aise au milieu des foules, elle appréciait encore moins cela lorsqu’elle se sentait prise au piège, aveugle et serrées entre des dizaines de corps. Le sentiment d’urgence aurait pu faire monter en elle un sentiment de panique, mais toutes les filles Mormont étaient dotées d’un sang-froid durement gagné, à force d’une vie sur l’Île aux Ours. Et Lyra, de par son maniement habile de l’arc, l’avait peut-être encore plus travaillé que ses soeurs. Brandon, en revanche, grâce à sa stature imposante, voyait nettement devant lui.
« Lord Nerbosc est mort. »
La révélation mit immédiatement l’archère en alerte. Des ennemis avaient-ils réussi à pénétrer Corneilla ? L’habitude aurait pu la faire chercher son carquois et son arc dans son dos ou sa dague à sa ceinture, mais elle avait troqué sa tenue et ses accessoires quotidiens contre une robe qui seyait à une union suzeraine.
« Je crois qu’il s’est étouffé avec sa nourriture. »
Lyra plissa les yeux vers son mari qui gardait son regard rivé vers la table d’honneur.
« Pardon ? »
Elle se sentit soudain vidée, un peu stupide, à la toiser avec des yeux ronds. Mort à cause d’un morceau de poulet ? Certains seigneurs étaient morts pour moins que cela, certes. Mais l’idée semblait tellement absurde, que l’ancienne émissaire des Mormont ne parvenait à y croire.
Il lui offrit une grimace désabusée sans la regarder. Après quelques secondes cependant, son regard se fit glacial et il tomba sur elle comme un couperet.
« As-tu bu ou mangé quelque chose ? » demanda-t-il, pressant.
Lyra secoua la tête, suspicieuse.
« C’est plutôt à toi qu’il faudrait le dem- »
« As-tu bu ou mangé quelque chose ? » répéta-t-il, coupant net.
Un non de la tête lui répondit et il s’en contenta, soulagé. Il ne fallut pas bien longtemps à Lyra pour comprendre. Un frisson d’effroi la fit frissonner toute entière et elle senti ses yeux s’agrandir.
« Pas encore mort, » rétorqua-t-il en la devançant.
D'un même regard, ils toisèrent le Lannister et son compagnon (Leo Lefford), leur posant la question muette.
Comme pour répondre à ses dires, la voix tonitruante, rageuse et dévastée du nouveau seigneur des lieux fit trembler tous les invités. Harry Rivers ? La brune ne savait même pas à quoi le bougre ressemblait. La promesse d’être enfermés avec un assassin suffit à faire paniquer quelques convives qui se faufilèrent à coups de genoux à travers l’assemblée.
« Où sont mes soeurs ? » s’alarma-t-elle.
Mais ce fut les intonations de son aînée qui lui répondirent. Dacey, Marthe et Lyanna avaient apparu, comme par magie, à leurs côtés. Toutes semblaient alertes, mais Jory manquait à l’appel.
« Non, malheureusement… » répondit-elle, vibrante d’inquiétude. « Vous n’avez rien pris au buffet ? »
« Elle est là. Poussez-vous ! » grogna Brandon qui bouscula sans ménagement une petite troupe de dames muettes, plantées là.
Un groupement de nordiens joua des coudes jusqu’à eux, avec Jorelle en tête. Elle aussi semblait aller bien. En revanche, on ne pouvait pas en dire autant de Wynafryd dont le visage avait pris une inquiétante teinte verdâtre.
Lyra se précipita pour glissa un bras sous son épaule gauche et la soutenir en cas de défaillance.
« Il faut nous éloigner d’ici. Trouver un coin plus tranquille, je crains que lady Wynafryd ne se sente pas bien. »
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