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Lies of the beautiful people. ft. Andar & Robar Royce

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Lune 8, an 300, Roche-aux-Runes.

Si vous lui demandiez ce qu'elle faisait là, Nymeria n'aurait pas su vous répondre. Nymeria aurait pu rester avec son fils et son époux près de Goëville, mais ce jour-ci, l'aspic s'était encapuchonnée et avec sa soeur Obara Sand et son garde Baeron, ils étaient partis dans le Val. Avaient-ils besoin de découvrir les lieux ? Non. Aux yeux des dorniennes et de l'ancien gladiateur d'Essos, les lieux n'avaient rien de beaux ou intéressants, tout n'était que froid, neige, montagnes, bois, rien qui ne leur convenaient. Quelque similitudes avec Dorne, chevaucher couverts, mais cette fois-ci, ce n'était pas le sable chaud qu'ils évitaient de se prendre en plein visage, c'était la neige froide et humide.

Nymeria n'avait pas perdu ses réflexes de combattante. Elle continuait à s'entraîner chaque jour, comme elle le faisait à Dorne. Elle portait toujours ses lames, même une épée, remplaçant son fouet, car plus pratique à ses yeux désormais. On avait dit aux dorniens, à l'ancien gladiateur et au Targaryen qu'en ces lieux, rien n'était jamais sûr, qu'au Val, plus on s'approchait des Montagnes et plus on risquait de se faire attaquer par des clans des montagnes. Freux, Black Ears, ils avaient continués leur noms que Nymeria avait cessé d'écouter. Obara semblait emballée à l'idée d'un nouveau combat, il était vrai que cela leur manquait cruellement, l'action. La vraie. L'adrénaline dans les veines, le tout pour le tout. Qui aurait osé, à Volantis, lever une arme sur les dorniennes ? Même l'ancien gladiateur avait le don de vous glacer le sang, ses airs froids, ses muscles développés, sa carrure imposante, Baeron avait multiples cicatrices et des airs sauvages, des airs de ceux qui avaient vu l'horreur, la guerre, le sang, l'enfer. Mais au Val, tout semblait différent encore.

Elle avait confié son fils à Rhaegar, les deux avaient sans doute du temps à rattraper, ce fameux temps que Nymeria avait du mal à leur accorder, sur-protectrice, l'aspic ne parvenait pas à se libérer de son enfant. Elle l'avait pourtant fait ce jour-ci et père et fils auraient un long moment pour eux.

La dernière fois que Nymeria était venue au Val - la seule fois, d'ailleurs - cela ne s'était guère bien passé, l'impétuosité de l'aspic s'était fait entendre et on n'avait pu nier qu'elle était la fille de la Vipère Rouge. D'après le roi régent, dans sa lettre, le Val se souvenait encore de l'intervention inappropriée de l'aspic. Nymeria n'avait point considéré cela comme inapproprié et lorsqu'elle y repensait, elle se voyait agir exactement de la même manière à chaque fois. Rhaegar seul contre une assemblée, son propre fils osant le dénigrer et l'insulter en public, les avis qui divergeaient, si bien que peu venaient à parler du sujet qui importait réellement à ce moment là, soit sortir Daenerys et Rhaenys des griffes de Viserys. Nymeria était intervenu pour rappeler le but de cette réunion, mais Nymeria n'était qu'une bâtarde et son rôle à cette assemblée n'était, officiellement, que commandante de la garde royale, son rôle n'était que veiller à la sécurité de son roi. Mais Nymeria avait toujours été plus qu'une commandante de garde royale et plus qu'une compagne à cette époque, elle était aussi le pilier de Rhaegar, un de ses principal soutien moral et physique, elle était sa conseillère, espionne, tant de rôles qu'elle avait endossé. Mais cela, personne ne le savait hormis Rhaegar, autant dire que cela avait fait mouche au Val. Mais elle ne l'avait jamais regrettée, elle était la digne fille d'Oberyn Martell et ils ne savaient jamais se taire quand ils l'auraient du, la provocation, l'impulsivité, cela faisait parti d'eux et c'était aux autres de s'en accommoder, ils l'avaient toujours vu ainsi.

Elle ne saurait dire pourquoi elle s'était dirigé en ces lieux, Roche-aux-Runes, elle ne saurait dire ce qui l'avait poussé à se rendre en ces lieux. Elle se souvenait d'Andar Royce, elle avait appris qu'il était la main du roi régent. Elle se souvenait des regards de l'homme lors de leur rencontre et des regards posés sur Rhaegar. L'hostilité même cachée n'échappait jamais aux femmes comme Nymeria qui maniaient l'art de la manipulation, mais le possible danger n'échappait pour ainsi dire jamais aux yeux d'une femme amoureuse d'un homme dont on voulait la tête sur une pique.

Cette rencontre ne serait peut-être pas calme, peut-être pas une bonne idée, Nymeria n'était pas venue dans le but de rencontrer Andar Royce, ou du moins, dans le but de s'excuser de quoi que ce soit pour obtenir les faveurs du lord, elle ne se serait certainement pas abaissée à cela. Elle se montrerait simplement courtoise, quitte à user de quelque mensonges - qu'elle préférait voir comme demi-vérité - et essaierait de réparer les pots casser, il fallait avoir des liens, de bons liens, et Nymeria avait toujours su comment se débrouiller pour entretenir ses liens. Mais cela, c'était à Dorne, c'était dans l'Orage, c'était dans le Bief et finalement la Couronne. L'on disait des valois et nordiens qu'ils étaient froids et austères mais Nymeria ne s'avouait pourtant pas vaincue. Sur son étalon, Nymeria arrivait près de la demeure de la maison Royce. Cela aurait pu éblouir nombreuses personnes, mais Nymeria n'en était pas impressionnée, car cela n'était pas le genre de chose qu'elle appréciait et lorsque Nymeria avait ses oeillères, bon courage pour les lui retirer, lorsqu'elle avait une idée en tête, ce qu'il y avait autour n'avait aucune importance. Et si elle avait décidé de rencontrer les Royce et prendre la température - car elle se doutait bien que le Royce savait qu'elle et son époux se trouvaient au Val en ce moment - elle n'allait donc pas faire le tour de propriétaire, c'était aussi simple que cela. Elle regardait les alentours sans pour autant s'y attarder, elle regardait les personnes s'approcher sans pour autant s'en soucier. Et lorsqu'un homme dégarnit venait les trouver, Nymeria se chargeait de répondre pour les autres. Avec ses cheveux noirs, ses yeux noirs en amande, ses origines ne semblaient pas tromper l'homme qui s'était présenté à eux. Ou alors était-ce Baeron et Obara qui les avaient trahis, qu'en savait-elle, s'en souciait-elle seulement ?

" Je désire rencontrer le lord Royce. "
" Bien m'lady, vous êtes ? "
" Lady Nymeria Sa... Nymeria, juste, Nymeria. Lord Andar Royce doit sans doute connaître mon nom, puisque nous faisons affaire avec le Roi Régent. "

Donner son nouveau nom était toujours très étrange même après des lunes, mais elle ne pouvait pas non plus se faire appeler Sand, pas plus qu'elle ne comptait donner son nouveau nom sans savoir si le peuple était hostile ou non aux Targaryen, Daenerys n'avait-elle point disparu en cette région ? Ils n'étaient que trois et Nymeria n'avait aucune confiance en ce peuple qu'elle ne connaissait pas. Elle ne se montrait pas froide envers cet homme, mais il n'y avait pas non plus de chaleur dans sa voix. Elle ne voulait pas en dire trop, elle ne comptait pas déballer toutes les raisons de sa venue à quelqu'un qu'elle ne connaissait guère.
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Lies of the beautiful people.


Le passé n'appartenait jamais au passé, le seigneur de Roches-aux-runes n'oubliait pas, toute contrariété restait nichée dans son coeur, attendant le moment propice que cet instant mémorisé servirait à son détenteur. Le Royce avait vu le monde évolué depuis la rébellion de Robert Baratheon, une guerre qui s'était suivi par d'autres ses derniers temps, seulement à cause de la folie des Targaryen et le seul point commun entre les deux restait Rhaegar Targaryen, cet homme qui réfléchissait plus avec ce qu'il avait entre les jambes que son cerveau, cet homme qui avait surement plus de sang sur les mains qu'il ne le disait. Le souvenir de son intervention lors de la veiller funéraire de leur ancien suzerain Jon Arryn restait intact. Ce dragon avait osé tout remettre sur le dos du Baratheon et de son propre père, lui n'était que la pauvre victime, une victime qui s'était tout de même détournée de son épouse pour Lyanna Stark. Aucun honneur, aucun courage pour avouer ses torts jamais, Andar ne pourrait le respecter et surtout oublier ce qu'il avait fait à Edmure Tully. Ce n'était qu'un gosse, un enfant qui avait sa famille, comme chacun ferait, Edmure ne représentait aucun danger pour son pouvoir, mais il avait choisi d'exterminer cette famille, prétendant qui s'était comme punition pour le sac de Port-réal, une punition bien cher payer pour un simple écuyer. La haine contre ce roi déchu ne pourrait jamais disparaître et aujourd'hui, il s'en pensait débarrassé, exilé du royaume du Sud et de Dorne, il ignorait ou il se trouvait à ce jour et tant qu'il n'était pas dans le Val, tout allait très bien. Finalement, le destin venait surement de le jouer un mauvais sort, car le passé allait resurgir dans sa vie par la bouche d'une Dornienne.

Alors que le soir-même, il avait accepté d'offrir la main à Creighton Rougefort, au petit matin, Andar avait voulu se changer les idées en allant s'occuper de ses faucons. Malheureusement, le seigneur des lieux n'avait pas le temps de prévoir une grande chasse en haut vol, étant pris par le temps, mais au moins rien que leur présence pouvait lui permettre de se vider la tête. Oublié, le tournoi, le procès qui avait suivi, oublié toutes les affaires qui l'attendaient, n'être simplement qu'Andar Royce, un seigneur et non une main du roi. Tout en se dirigeant vers la volière ou s'abritant ses trois faucons, le mestre Helliweg vint à sa rencontre, lui demandant le cadeau de la famille Royce pour l'union du Roi régent et de la louve. Andar haussa simplement les étoiles et informa le mestre que sa femme aurait surement une meilleure idée que lui pour faire plaisir au prochain marié. D'ailleurs, il n'arrivait même plus à ce souvenir ce que sa famille avait offert pour le mariage d'Elbert avec la dragonne, encore une fois ce n'était pas lui qui s'en était occupé et cela remontait à déjà plusieurs lunes. Tellement d’événements s'étaient produits depuis ce mariage, au final, ce mariage avait commencé par le sang et fini de la même manière.

Il fut arrêté plusieurs fois, pour des diverses demandes, avant d'arriver à la volière. De suite, en voyant ses faucons, il se retrouva plus apaisé. Ces animaux avaient réellement un tel pouvoir sur lui, cela le rattachait à des doux souvenirs auprès de son père qui lui avait enseigné la fauconnerie. Enfilant le gang, il siffla pour que le plus grand d'entre eux vienne se poser dessus. Un petit tour dans les hauteurs de Roche-aux-runes lui ferait du plus grand bien. Sortant de la cage, il le laissa s'envoler et lança de la nourriture pour qu'il vienne la chercher. Ce fut à ce moment-là qu'on vint encore le déranger. Son garde l'informa que trois personnes qu'il pensait être des Dorniens voulaient le rencontrer et que la demande venait d'une Nymeria. Soi-disant, le Lord devait savoir de qui il s'agissait puisqu'ils étaient en affaires avec le Roi régent. La main du Roi vint à chercher dans sa mémoire, mais il ne connaissait personne de ce nom et la seule affaire avec des Dorniens qui touchait le roi, restait l'histoire du procès, en tout cas pour ce qu'il en savait.

- Escortez-les jusqu'ici.

Comme souvent, il avait gardé son air austère en prononçant ses paroles. Tout en faisant voler de nouveau son oiseau, tout son esprit s'activait autour de ce nom "Nymeria." Plissant même les yeux, prouvant à tel point, il réfléchissait, puis d'un coup, ce fut la révélation, son visage se ferma. Il s'agissait de la maîtresse de Rheagar Targaryen. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien lui vouloir ? Par les descriptions de ceux qui l'accompagnaient de la part de son garde, le dragon n'était pas avec lui, fort heureusement. Tapant avec de la nourriture sur son gant, pour rappeler son oiseau, son garde arriva derrière lui et lui murmura qu'ils étaient là. Ce n'est pas pour autant qu'Andar se retourna.

- Il est courant de prévenir de sa visite si on veut voir un seigneur.

Tandis qu'il avait prononcé cela d'un ton froid, le faucon était venu se poser sur son gant. Réellement, il n'avait rien contre les visites imprévues, mais là s'était différent, car cela avait forcément avoir avec Rhaegar.
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Les lieux étaient froids et austères aux yeux de l'aspic si habitué à la couleur et la chaleur. Les bâtisses blanches ou grises, les lieux blancs, les lieux froids, ce n'était définitivement pas pour elle. Pourtant elle essayait de garder son calme et ne pas pester sur le fait qu'elle n'aimait pas les lieux, après tout, elle n'était pas venue pour faire le tour des liens et les commenter, mais bien pour parler au seigneur de Roche-aux-Runes. On pourrait se demander pourquoi elle le désirait, et le seigneur lui demanderait, de droit, mais la réponse risquerait de l'étonner.

Il fallait dire que l'aspic n'avait pas grand chose à faire de ses journées non plus. Elle n'allait pas rester assise sur une chaise dans une auberge à attendre la venue de son père.


On les faisait venir et elle finissait par descendre de son cheval. Son pur-sang lui manquait souvent, il était resté à Dorne dans les écuries. Elle ne connaîtrait jamais pareil cheval à nouveau. A peine arrivé, le lord se faisait entendre et Nymeria hésitait entre deux réactions : hausser un sourcil, l'air supérieur, se demandant pourquoi il lui parlait de la sorte, ou sourire en coin, presque rire. Elle optait pour la seconde option, riant alors discrètement de la réaction du Seigneur. C'était assez prévisible.

" Je suis toujours ravie d'apprendre comment les choses se passent dans des contrées qui ne sont pas les miennes. "

Ce n'était pas méchant, pas même sarcastique, elle avait eu l'habitude à Dorne d'aller là où elle le voulait quand elle le voulait, parfois elle envoyait des corbeaux sur la route et arrivait avant ces corbeaux, parfois le corbeau arrivait quelque heures avant elle car elle avait décidé de presser le pas. Enfant pourrie gâtée, elle n'avait pas toujours eu conscience de ce qu'il convenait réellement de faire.

" Il me semblait avoir prévenu le roi régent, cela me semblait suffisant pour que sa main ne soit surprise de ma venue en ces lieux. Je ne serai point longue, ne vous en faites pas. "

Ou comment dire, sans le dire directement ; si le roi m'a accordé de fouler le sol de son royaume, alors pourquoi devrai-je demander son accord à un seigneur ? Un sourire plus mesquin sur ses lèvres, il en fallait plus pour la faire cesser de sourire, beaucoup plus. Si elle avait su subir Volantis pendant des mois, alors un seigneur valois ? Elle continuait à sourire en coin, se tenant droite, tenant sa robe aussi, comme si elle s'apprêtait à marcher. Une robe avec un pantalon en dessous, chose impensable autrefois pour l'aspic que mélanger ces tenues mais qu'elle trouvait nécessaire maintenant pour ne pas finir glacée.

" Mais c'est un honneur de vous rencontrer à nouveau, seigneur Royce. J'ai bon espoir que cette rencontre se passe mieux que la dernière fois. "
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Lies of the beautiful people.


Son faucon était posé sur son gant, de façon majestueuse, tandis que le seigneur de Roche-aux-runes tournait toujours le dos aux Dorniens. Il fallait dire que depuis ces derniers temps, les gens de cette région lui donnaient du fil à retordre. Entre le procès et maintenant la présence de la maîtresse de Rhaegar Targaryen en sa demeure, Andar ne pouvait que se demander ce qui l'avenir réservait. Finalement, d'un air froid, il informa la jeune femme qu'il était courant de se prévenir avant d'arriver dans un château. La main du roi était réputée pour son austérité et ce n'est pas avec elle qui ferait un moindre effort.

" Je suis toujours ravie d'apprendre comment les choses se passent dans des contrées qui ne sont pas les miennes. "

Il se retourna enfin, faisant face à ses trois personnes, pourquoi ne pas venir lui parler seul ? Les questions s'imposaient dans son esprit, tandis qu'il gardait un visage imperceptible. Pour le coup, il avait un gros doute que la Dornienne tienne à apprendre comment les choses se passaient dans les autres régions, car au final, depuis leur dernière rencontre, elle ne semblait pas avoir encore acquis les bonnes manières, en tout cas de son point de vue.

" Il me semblait avoir prévenu le roi régent, cela me semblait suffisant pour que sa main ne soit surprise de ma venue en ces lieux. Je ne serai point longue, ne vous en faites pas. "

Si Andar était le style d'homme à donner son avis à tort et à travers, il lui aurait facilement rétorqué qu'en ce lieu, il était le seigneur et que c'était à lui de choisir s'il voulait de sa présence et non le Roi, mais il resta stoïque face à elle. En tout cas, le soldat avait raison, Nymeria disait bien face à lui qu'Elbert avait été prévenu de son arrivée dans le val, quelle mouche l'avait piqué ?!

" Mais c'est un honneur de vous rencontrer à nouveau, seigneur Royce. J'ai bon espoir que cette rencontre se passe mieux que la dernière fois. "

Caressant le haut de la tête de son faucon, il admettait que la bâtarde avait un sacré culot. Ne voulant pas reparler de ce qui s'est passé lors de l'enterrement de Jon Arryn, il décida de ne pas rentrer dans ce sujet. De toute façon, lui n'avait pas regretté ses paroles, que la vérité était sortie de sa bouche, si Rhaegar Targaryen l'avait mal pris, c'est bien qu'il avait réalisé que tous les tord ne revenait pas à son père et Robert Baratheon.

- Il est bon d'avoir de l'espoir.

Laissant s'envoler de nouveau son oiseau, il s'approcha des groupes des trois Dorniens, tandis qu'ils étaient surveillés par les gardes du Royce. Une certaine tension était perceptible, tous se demandaient la raison de leurs présences à Roche-aux-runes?

- Vu que je dois bientôt repartir aux portes de la lune, je vous accorde le temps que je me suis gardé pour faire voler mes oiseaux.

Sortant un bout de viande, il le posa sur son gant pour que le faucon revienne et le confiât à son dresseur. Finalement, il n'aurait eu que peu l'occasion de pouvoir passer un moment apaisant, mais le devoir l'appelait. Toute en se débarrassant de son gant, il demanda :

- Est-ce que Rhaegar Targaryen vous envoie ? N'était-il pas capable de régler ses affaires lui-même ?

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