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[Flashback] Le mariage ne sème jamais le bonheur (PV Malvina Sparr)

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Le mariage ne sème jamais le bonheur
«On a toujours assez de force pour supporter les peines d'autrui.»


   
       
Malvina & Merlon


299, 3ème lune, 3ème semaine, Port-Réal

La lune de Port-Réal disparaissait dans le linceul d'une fumée blanchâtre. Les corps les plus gracieux virevoltaient sur le son des harpes et des percussions ; les âmes s'affaissaient sous le plaisir des sens. Pour les moins subtils, un mariage princier, à cela prêt qu'il était toujours opulent et majestueux, ne dérogeait en rien à leurs habitudes des autres cérémonies. Ils s'empiffraient, se beurraient la gueule, et leurs mains, forcées par une sorte de magnétisme mystique, se dirigeaient vers le premier cul de serveuse qui passait pour l'empoigner. Le stéréotype du petit lord minable et tout le spectre - dans toutes ses nuances - de la petite bouse nobiliaire des Terres de la Couronne étaient représentés autour des tables. C'était la partie pénible de la soirée, les gens n'étaient plus portés par une sorte de dignité d'apparat conforme à leur fonction ; toute beauté objective de leur rang semblait avoir abandonné leurs traits, en même temps qu'ils eurent descendu leur second pichet de vin rouge. Et en même temps, les effluves d'alcool n'avaient pas assez embrumé leur esprit ni assez engourdi leurs membres pour que les plus fragiles ne fussent à quatre pattes par-terre en train de parler de leurs problèmes de plumard avec leur rombière. Un soupir chassa le filet de fumée qui passait devant le visage du jeune Garde-Royal. Droit et fier comme l'exigeaient les conventions de son nouveau rôle, ser Merlon veillait silencieusement dans un coin de la pièce. Ce soir-là, seul dans le coin d'une vaste salle, il était parvenu à devenir rien. Un rien décoré d'une belle armure et d'un drap blanc, qui ornait magnifiquement le mur derrière lui.

L'objet de désir atteint, il déçoit toujours. C'était pour cela qu'il ne s'était jamais donné à une femme qui aurait pu le désirer, mais il avait fait l'erreur de confondre son rêve d'enfant avec un simple désir. Le rêve, pur et enfantin relève du besoin, au même titre que la faim et le sommeil. Il relève, comme le besoin, d'une incapacité non pas à vivre heureux, même pas de vivre, mais simplement survivre. Le petit pendentif qu'il sortait de sous son armure lui rappelait que le bonheur aurait pu être ailleurs ; et son regard jeté aux alentours, qui dévoilait le halo d'inutilité et de solitude l'entourant lui fit penser que la gloire se trouvait peut-être dans d'autres contrées. Si être Garde Royal était un grand prestige ;  il ne s'attendait pas en acceptant cette fonction qui rompit de facto ses fiançailles, brisa le cœur de sa promise et rendit furieux son père, à ce que son rôle n'eut aussi peu d'impact sur le déroulement du monde. Un beuglement d'un lord qui aurait pu se confondre à celui d'un porcinet si l'on avait été dans une ferme, le fit revenir à lui. Il rangea son pendentif et avança vers le lieu du hurlement. Les gens chantaient, riaient, criaient à l'attention de l'individu à l'autre bout de la table, mais celui-ci détonna. Peut-être parce qu'il était le plus près, ou qu'inconsciemment il avait envie de se dégourdir les jambes et qu'il s'y était dirigé sans se maîtriser. Calmement, Merlon avança, poussant des gens de l'épaule, ils étaient bourrés pour certains et la vue d'un homme robuste en armure blanche les dissuadait de s'énerver.

Lorsqu'il arriva sur le lieu, un homme potelé était à califourchon sur un homme, plus jeune que lui, plus svelte mais visiblement moins riche au vu de ses vêtements. Détaillant la bedaine du grassouillet qui se fatiguait à gifler l'homme à terre Merlon s'aperçut que sa prémotion sur le porcinet venait de se vérifier. Ses joues étaient pourpres, son souffle court et les perles de transpiration qui descendaient le long de sa tempe jusqu'à sa bouche étaient sûrement la seule déshydratation non-alcoolisée qu'il avait eue de la soirée. Autour d'eux s'était formé un cercle de curieux et de vicieux qui éprouvait un plaisir ignoble à voir des minables se battre.
- Il a baisé ma femme, il a baisé ma femme cette petite ordure ! s'écriait le plus gros des deux.
Merlon saisit par le col ce-dernier et le souleva puis le plaqua sur la table. Les deux ennemis séparés, il le relâcha. Reprenant ses esprits après quelques instants de choc, le gros descendit lentement de la table, recouvert de sauce. Le regard las et glacial du garde, littéralement blasé de devoir s'occuper de querelles de demeurés, passait lentement d'un protagoniste à l'autre. C'est pour cela qu'il avait quitté sa maison ? Abandonné une partie de sa famille furieuse contre lui, brisé le cœur de la femme qu'il aimait, pour s'occuper d'un ivrogne cocu ?
- J'exige justice, c'est mon écuyer Dontos, je le soupçonne de se taper ma femme ! reprit le gros.
Tandis que l'écuyer bafouillait une défense incompréhensible tant il était intimidé de se retrouver pris à parti au milieu de tant de monde ; le présumé cocu s'élança à nouveau, il pensait prendre le manteau-blanc de vitesse et avoir assez de temps pour frapper son écuyer. Merlon avait anticipé le cou et c'est d'une droite dans la mâchoire qu'il stoppa l'élan du lord ou chevalier dodu.
- Tu n'as aucune preuve de ce que tu avances, le garçon n'a même pas ses couilles qui sont descendues, que veux-tu qu'il fasse à ta femme ? rétorqua Merlon. En revanche si tu perdais un peu de poids tu aurais peut-être assez de souffle pour satisfaire ta femme sans qu'elle passe par tous tes vassaux. Si je t'entends encore une fois gueuler je m'occupe de ta femme moi même et je la prête à des manteaux d'or, compris ?

Alors qu'il marchait vers la sortie, Merlon entendit un petit «Pardonne-moi Dontos, viens je vais te payer à boire». Le casque sous le bras, le garde avait besoin de prendre l'air. Intérieurement, avoir menacé de coucher avec une femme pour effrayer son mari le faisait rire. Il était le seul à connaître sa virginité et son manque de succès avec les femmes. Mais l'uniforme, les coups de poings, le côté renfermé faisaient facilement illusion. Au milieu il croisa une jeune femme blonde, ravissante mais avec un air rebelle, voire sauvage. Sans être physionomiste, il aurait juré sur un peu de sang fer-né coulant dans ses veines. En temps normal, il lui aurait souri par galanterie chevaleresque, mais il était trop las, il voulait simplement quitter cette atmosphère suffocante et prendre l'air pour se refaire les poumons et l'esprit. Ses yeux se posant sur la jeune femme à la chevelure, ne lui adressèrent par une sorte d'inadvertance qu'un regard froid et perçant. Souvent ce regard qu'il offrait sans le vouloir déstabilisait les femmes qui le croisaient ; mais celle-ci avait l'air forte à n'en pas douter, elle ne serait pas troublée pour un sou. Il continua ainsi son chemin, la porte semblait si lointaine. Les gens se heurtaient sans le vouloir à son armure comme une vague s'abat sur un récif. Ses poings se crispaient à chaque pas, combien de gueules il aurait eu besoin de casser pour faire passer son désarroi ? mieux valait ne pas compter. Par impatience, ses coups d'épaules se faisaient plus brutaux à chaque fois qu'il rencontrait quelqu'un ; l'escalade arriva atteignit son paroxysme au moment de sortir lorsqu'il fit tomber quelqu'un au moment de franchir la porte.

- Hé connard ! excuse-toi tout de suite ! lança un homme qui se relevait.
Merlon se tourna en expirant bruyamment, exaspéré, il voulait simplement se vider la tête, profiter un peu des sels marins apportés par l'air frais accompagnant la marée, pas se coltiner des cons toute la soirée. Les lords importants étaient partis, les autres gardes royaux aussi, il était le seul à avoir dû rester en place.
- Et si je le fais pas ? rétorqua le garde, fatigué mentalement par tous ces cas à gérer.
- Si tu le fais pas, dit-il en dégainant une épée, je te transperce jusqu'à ce que tu le fasses.
- Menaçant et éloquent dans ses menaces ? Je n'en demandais pas autant, répondit le jeune homme.
- Arrête tes conneries c'est un garde royal ! intervint le camarade de l'ivrogne.
- Et alors, y pourrait baiser la reine qu'je le défoncerais quand même, il est pas seul à être bon chevalier ici, s'entêta l'homme vexé l'arme au poing.
Avant que Merlon ait pu le dissuader d'attaquer, l'homme chargea le garde qui décida de ne pas dégainer son arme. D'un pas chassé souple il se déporta pour éviter le coup qui s'abattait verticalement sur sa face. L'adversaire, déséquilibré, partit à la renverse et s'effondra. Ne se démontant cependant pas, il se releva et repartit à l'attaque. Il réitéra la même attaque, cette fois-ci Merlon ne se déplaça pas ; il bougea simplement son buste pour éviter la lame, et profitant de la proximité, il enveloppa le bras de son adversaire pour le bloquer alors que son pied balayait sa jambe d'appui. Aussitôt il tomba sur la pierre dure dans un bruit sourd. Seule l'épée tintinnabula dans une multitude de bruits clairs et aigus. Mais avant que l'homme ait pris conscience de sa situation, Merlon enfonçait violemment son poing dans le nez de l'ivrogne, dans un craquement lugubre d'os cassé. Lorsqu'il retira sa main, le sang écumait le visage de son adversaire.
- Je ne t'ai rien cassé qui soit handicapant pour être un bon chevalier, juste assez pour que ça te serve de leçon, déclara le chevalier en se retournant.
Il laissait l'homme à terre, que son ami empressait d'aider, et marcha quelques mètres pour s'éloigner. Son sang avait chauffé toute la soirée à la vue de tous les invités alcoolisés puis avait dû, par respect pour ses valeurs - il ne tuait pas inutilement un misérable -, se glacer pour se contenir de réduire l'homme qui l'avait attaqué en bouillie. Merlon chercha à fuir tout ce boucan, il n'avait pas le droit de partir pour l'instant, alors il s'engouffra dans une petite ruelle non loin du lieu de la fête. Fulminant, expirant bruyamment pendant que ses yeux osaient défier la lueur des étoiles, il grogna d'énervement.
- PUTAIN ! hurla-t-il pour laisser sortir sa rage.  

             
base cracles bones, modification lawina

             
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Malvina♦ Merlon

Un mariage désastreux
L
e corset qui lui était autour de sa taille lui faisait mal mais malheureusement ce n'était pas ce qui la déchirait le plus en ce moment mais plutôt le fait de voir cet homme qu'elle aimait tant en épouser une autre tout ça parce qu'elle avait un nom intéressant. Dans un coin sombre de cette grande salle la jeune femme observait les gens qui souriaient tout en dansant pour faire semblant qu'ils étaient content de ce mariage alors qu'ils n'étaient content que pour le Vin et la nourriture mais tant qu'ils faisaient semblant tout allait bien. Malvina n'était pas faite pour faire semblant, c'était une femme franche et têtu c'était surement à cause de ça que son sourire était absent pendant cette cérémonie de malheur et que le visage froid de la guerrière avait prit le dessus pour montrer qu'elle n'était pas pour ce mariage arrangé. Tout ce qui l'entourait en ce moment la dégoutait et même si elle était là juste pour faire plaisir à cet homme qu'elle avait aimé pendant bien longtemps maintenant elle continuait à se demander pourquoi elle y était encore? Et pourquoi était elle dans cette tenue? Une robe! Une chose qu'elle n'avait jamais mis au monde et qui la gênait beaucoup mais elle avait voulu faire plaisir, plaisir à qui? Surement à Rowen mais à quoi bon étant donné qu'il était maintenant marié et que plus jamais elle ne pourrait partager sa couche comme elle le faisait avant, c'était ça qui la rendait triste, savoir qu'il ne serait plus jamais à elle et qu'elle ne pourrait plus jamais profiter des moments intimes.

Alors qu'elle était perdu dans ses pensées la jeune femme ne fit pas attention à l'homme qu'elle ne connaissait pas et qui venait de se planter devant elle sans rien dire, la fixant avec un petit sourire en coin sur son visage. Elle savait ce qu'il voulait au moment ou elle le vit lever la main pour l'inviter à danser, son visage froid ne changea pas d'un seul pouce se demandant si elle avait vraiment l'air d'une fille qui aimait danser ou même voulait danser, ce qui ne devait pas être le cas en ce moment même mais refuser une danse alors qu'elle ne savait même pas qui était en face de lui aurait été mal vu par les gens de la Noblesse et essayant de laisser sortir un rictus qui ressemblait plus à une grimace la jeune femme déposa sa main dans celle de cet homme qui avait l'air trop sur de lui avant de le suivre au milieu de la piste. Les Fer-nés n'étaient pas des bon danseur et Malvina ne délogeait pas à ce trait de caractère, on avait essayé de lui apprendre encore et encore mais elle n'était pas une bonne élève et préférait danser dans un duel avec une épée plutôt qu'avec un homme qui croyait qu'il allait faire succomber une femme juste avec quelques pas de danse. Malvina était une femme tactile, seulement quand ils étaient nues et sur le point de laisser un moment intime envahir la pièce mais dès que quelqu'un la touchait pour autre chose elle sentait des frissons parcourir son corps ce qui était exactement le cas au moment ou celui ci déposa sa main sur ses hanches et l'autre au creux de la main de la guerrière. Elle avait envie de lui décrocher une droite à chaque sourire satisfait qu'il lui lancait mais devant autant de monde ca ne se faisait pas vraiment pour une jeune femme qui était si proche de Rowen. Se retenir était dure pour la jeune femme qui voulait de l'action, d'adrénaline et de sang qui coule, ce genre de soirée ou tout se passait bien et ou tout le monde étaient heureux ne lui allait pas du tout, c'était comme ci elle se sentait pour la première fois de se vie prisonnière dans ce monde en voyant l'amour de sa vie partir avec une autre sans un regard pour la guerrière. Alors qu'elle était perdu dans ses pensées cherchant du regard l'homme qui avait fait battre son coeur toute ses années, la jeune femme sentit une main descendre un peu plus vers ses fesses à chaque pas qu'ils faisaient. Bloquant son regard froid dans les yeux hautain de son compagnon de danse la jeune femme laissa comme un murmure que seul lui pouvait entendre sortir d'entre ses lèvres.

"Si jamais ta main descend un peu plus je te promet de te couper la main et de te la faire bouffer."

Le visage surpris de cet homme la fit rire, alors il n'était donc pas au courant de qui il avait invité à danser et ce dont elle était capable si jamais il continuait à faire son homme sur de lui. C'est pour cela que Malvina n'aimait pas les gens Nobles, ils étaient trop sur d'eux et pensaient que les femmes devaient se laisser faire tout ça parce qu'ils avaient de l'argent et un nom, malheureusement pour celui ci il était tombé sur la mauvaise femme qui ne se laissait jamais faire et n'avait pas non plus sa langue dans sa bouche. Honnête et cru était ce qui lui allait le mieux, les hommes n'aimaient pas vraiment cette partie là de la guerrière mais en même temps elle n'était pas une femme à marier, les Fer-nées étaient mal vu alors pourquoi essayer de plaire à des gens qu'elle n'aimera jamais? Alors qu'il restait à la fixer comme ci il découvrait enfin qui il avait entre les mains la jeune femme entendit des bruits derrière elle et se tourna pour plonger son regard dans celui d'un garde qui traversait la pièce en bousculant des gens. Le regard du jeune homme croisa le sien et elle pouvait y lire de la colère et de la froideur ce qu'il aurait dut lire aussi sur son visage à ce moment là étant donné qu'elle n'était pas vraiment contente d'être dans cet endroit pour fêter un mariage dont elle ne voulait pas voir le jour. Alors qu'une femme normal aurait surement détournée les yeux pour éviter de voir ce regard empli de colère, la guerrière elle soutenait essayant de savoir qui il était et pourquoi il avait hâte de se diriger vers cette porte qui donnait vers l’extérieur.

Ce qu'elle attendait depuis le début allait enfin arriver au moment ou le garde allait atteindre la porte, une dispute s'échangea mais la jeune femme était trop loin pour entendre ce qu'il était entrain de se dire et elle sentait la main de l'homme avec qui elle avait dansé qui essayait de capter son regard mais la jeune femme était comme captivée par ce Chevalier qui était sorti de nul part et était en train de se battre avec un Noble complétement bourré. Le duel ne dura pas longtemps mais il suffit pour faire apparaitre un sourire en coin à Malvina au moment ou le Chevalier sortit de la pièce laissant le bourré au sol gisant dans son sang, voilà ce qu'elle voulait! De la bagarre! Alors qu'elle sentit la main du danseur se serrer sur son poignet la guerrière tourna rapidement la tête mais avant qu'elle puisse dire quelque chose il ouvrit pour la première fois de la soirée la bouche et sa voix était des plus agaçante décrochant une petite grimace à la jeune femme.

"On peut danser maintenant ou pas?"

La jeune femme laissa quelques instant de silence avant de s'approcher de ce Noble qui l'énervait depuis le début et lui donna un coup de poing au visage le regardant muni d'un petit sourire tomber au sol comme un sac de patate. Elle n'aimait pas que les gens lui parlent mal et qu'ils puissent se permettre d'essayer de toucher ses fesses, Malvina était une guerrière avant d'être une femme et ce côté ressortait souvent dans des moments comme celui là, malheureusement tout les regards se tournèrent vers elle au moment ou le corps toucha le sol et elle esquiva un petit sourire en direction de Rowen pour s'excuser avant de fuir par la même porte que le Chevalier avait emprunté il y a peu. Au moment ou la guerrière ouvrit la porte pour sortir elle sentit l'air frais fouetter son visage et savait déjà qu'elle se sentirait mieux à l’extérieur seule plutôt qu'avec des gens comme ça. Avançant doucement dans les ruelles essayant de respirer avec la robe qu'elle avait la jeune femme s'arrêta au moment ou une ombre s'arrêta dans une petite rue en criant une vulgarité, la jeune femme savait très bien que c'était l'homme qu'elle avait vu traverser la salle il y a peu et laissant échapper un petit rire pour qu'il puisse se retourner la jeune femme prit doucement la parole.

"Je n'aurais pas put dire mieux."

Si elle n'avait pas été une Fer-née elle aurait surement dut être choquée par ce qu'elle venait d'entendre mais elle en était une et les mots dans ce genre était comme une deuxième langue pour elle, s'approchant doucement du jeune homme avec un sourire en coin la jeune femme pouvait lire dans les yeux de cet homme que quelque chose n'allait pas et ce n'était surement pas la petite bagarre de tout à l'heure qui le mettait dans cet état. S'arrêtant à une certaine distance de lui ne sachant pas si il voulait passer ses nerfs ou pas la jeune femme plongea son regard dans le sien sans jamais détourner une seule fois montrant qu'elle n'était pas juste une femme et que la peur était un mot qu'elle ne connaissait pas.

"Frapper quelqu'un pendant un mariage Princier n'était pas une bonne idée mais si vous voulez passer vos nerfs je peux vous aider!"


GleekOut!