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Retour à Salvemer - Patrek

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Retour à Salvemer
« D'histoire en histoire, en cycle de légende. »


Qu'importe à quel point un guerrier est entraîné, à quel point sa lame est affûtée et à quel point son armure peut être solide, il y a des horreurs dans les guerres et les diverses batailles traversées qui nous hantent à tout jamais. Il y a de ses choses que l'on voit, que l'on ne pensait aucun homme capable de faire. Il y a des blessures qui ne guérissent jamais, il y a des personnes qui ne reviennent jamais chez eux et ceux qui doivent malencontreusement porter ces mauvaises nouvelles. Ces choses-là semblent être encore plus intenses lorsqu'il est question de fer-nés. Ces hommes et ses femmes ne semblent connaître ni la peur, ni la compassion, ni même la raison. Pillant, tuant, violant et massacrant tout ce qui peut se trouver sur son passage, ne laissant qu'une rivière de sang dans leur sillage. Les plus malheureux d'entre eux se voient même être enlevés par ces êtres abjects pour servir d'esclaves, selon les dires. L'on raconte que les hommes sont amenés dans leur mines jusqu'à leur mort. Les femmes quant à elles … Pauvres femmes. Ces guerriers emportaient avec eux toutes les belles femmes qui, malencontreusement, en arrivaient à se retrouver sur leur route. Je suppose que je n'ai nul besoin de vous détailler ce qu'il se passe par la suite.

Les fer-nés, Gawain en avait affronté un grand nombre, particulièrement durant ses différentes missions dans le Conflans et le Bief. Pour être tout à fait honnête, lorsqu'il les rencontra pour la première fois, il faillit perdre la vie. Relativement confiant après son séjour dans le Val à combattre ces guerriers des montagnes et autres brigands, notre cher ami ne s'attendait guère à observer une sauvagerie encore plus bestiale. D'aucuns disaient que ces hommes n'étaient que des brutes, mais, force est de constater que chacun d'eux était un excellent combattant. Expert dans le maniement des armes, mais aussi doté d'une force exceptionnelle, rendant toute épreuve de force brute impensable. De cette rencontre, le bieffois garda quelques cicatrices mais aussi d'horribles souvenirs. Malheureusement pour lui, le destin semblait lui réserver des choses bien plus difficiles à surmonter. Beaumarché. Il avait fait la connaissance d'un certain Alessander Desdaings sur les routes et avaient fini par voyager ensemble. Ce dernier l'avait invité à venir avec lui rendre visite à sa famille et ce, dans le plus mauvais timing inimaginable. Ce fut à ce moment-là que ces … Pirates décidèrent d'attaquer la cité, faisant un massacre, tout simplement. Il y eu un nombre de morts effrayant, mais aussi une vision d'horreur des plus grandes et des plus perturbantes. Les hommes ne cessaient de tomber autour de lui, il y avait des visages connus qui se déformaient dans la douleur et la mort. Ce jour-là, Westeros perdit de grands hommes et, Gawain, des amis. Alessander ne résista pas face à un des assauts brutaux, tout comme le seigneur de Salfalaise. Comme si cela ne suffisait pas, les continentaux ne purent empêcher leurs ennemis de prendre avec eux de futurs esclaves, dont lady Alyssa Desdaing, que notre ami venait de rencontrer.

Une fois de plus, le bieffois survécut à cet enfer, peut-être était-ce de la chance, peut-être était-ce le destin, ou tout simplement les dieux qui lui étaient favorables, mais, Gawain ne fut pas gravement blessé. Il était recouvert de plaies, d'écorchures, d'entailles et de sang – qui n'était pas toujours le sien – mais il tint debout jusqu'à la toute fin, avant de s'écrouler, pour ne se réveiller que quelques jours plus tard, bandé à de nombreux endroits, puant l'onguent d'on ne sait quelle plante, en nage. Ces blessures lui offrirent une fièvre qui faillait avoir raison de lui, ce qui le laissa un bon moment cloué au lit, chose que l'homme trouva insupportable. Il avait toujours été un homme d'action, l'inactivité ne lui  seyait guère, malheureusement. En plus de quoi, il y avait une chose que notre ami voulait absolument faire, rendre visite à un de ses amis, Patrek Mallister. Non … Le seigneur Patrek Mallister. Tout deux se ressemblaient beaucoup, aimant le voyage, et les aventures qui s'en découlaient. La différence la plus flagrante entre ces deux jeunes gens étaient que celui du Conflans était aîné de sa Maison. Il n'avait bien entendu aucune envie de reprendre les affaires de son père mais … Suite à cette attaque, l'homme semblait l'être devenu par obligation. Comment refuser quoi que ce soit à un mort ?

Ainsi, dès lors que le Risley fut en mesure de prendre la route, il enfourcha son cheval pour se diriger vers Salvemer, cette ville qu'il avait toujours tant aimé. Il y avait passé de nombreux mois par le passé, des souvenirs inoubliables pour la plupart. Les marchés innombrables, mais aussi le cadre de vie, les gens semblaient aussi tous chaleureux et bons, tant et si bien qu'un groupe de saltimbanques l'avait initié aux arts de la musique. Il n'était guère devenu un grand musicien, mais, le bieffois jouait régulièrement de la flûte qu'on lui avait offerte, jusqu'à devenir capable de reproduire quelques morceaux simples. Pour ne rien vous cacher, si l'on en était venu à lui demander s'il y avait un endroit où il aurait voulu vivre, sans conteste que notre ami aurait choisi cette cité.

C'est donc après un voyage relativement court, mais fort difficile que Gawain arriva enfin dans le berceau des Mallister, qui n'avait pas changé le moins du monde. Respirant joyeusement cet air marin qui lui était désormais devenu familier, le voyageur se dirigea doucement vers le château, évitant courageusement toutes les distractions de cet endroit, jusqu'à apercevoir quelques visages connus parmi la garde. Échangeant quelques mots, notre ami apprit bien vite que le nouveau seigneur était arrivé récemment pour prendre ses nouvelles fonctions, chose qui le fit quelques peu sourire. L'imaginer en train d'administrer un si grand domaine, alors qu'il n'aimait pas cela, ne pouvait que lui offrir un petit sourire moqueur. On le laissa rapidement entrer dans l'enceinte et, jaugeant de ses blessures visibles on l'aida même à descendre de son destrier avant qu'il ne chute malencontreusement et ne rouvre quelques plaies. Geste fort aimable qui étonna d'ailleurs un peu l'homme qui ne put que remercier chaleureusement ces hommes.

Arrivant enfin dans la grande salle, Gawain put apercevoir son ami, s'affairant à je ne sais quoi. Cela ne découragea pas celui qui avait tout ce chemin tortueux pour venir le voir, qui s'inclina respectueusement devant Patrek, un grand sourire sur les lèvres, pour lui présenter ses hommages, comme le protocole le voulait. Malheureusement, les courbettes et le protocole ne furent jamais la spécialité de notre ami, loin de là.

« Seigneur Patrek, c'est une grande joie que de vous revoir en ces lieux, vous avez l'air plutôt occupé, peut-être aurais-je dû prévenir de mon arrivée. Vous le savez sans doutes déjà, mais je n'ai jamais été des plus familier avec le protocole. »

Se relevant difficilement et, douloureusement de cette salutation, Gawain semblait quelques peu perplexe. Sans doutes qu'il ne pouvait plus tutoyer son ami comme il le faisait avant, sans doutes que les servants et autres personnes aux oreilles attentives n'auraient pas aimées pareille familiarité. Sans doutes auraient-ils encore moins apprécié une accolade fraternelle avec un homme en si piteux état. Alors, plutôt que de réfléchir encore et encore, le visiteur se lança simplement dans quelques explications peu ordonnées et pas forcément des plus claires.

« Je … A vrai dire, je ne sais pas vraiment quoi dire, ou quoi faire. Je … J'étais présent durant l'attaque et … J'ai appris. Je sais ce que ça fait que de perdre un père, je connais cette douleur, de fait … Je me suis dit que je pouvais peut-être aider, faire quelque chose. Quelle chose ? Voilà une bonne question, je voulais juste … Passer, prendre des nouvelles, discuter ou je ne sais quoi encore. J'aurais tout aussi bien pu rigoler que de vous savoir désormais seigneur mais … Il me semble que ce genre d'humour est à proscrire devant pareils événements. Dans tous les cas, je suis heureux d'être ici, une fois de plus. »

© Garrett
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Quel drôle de changement vivait le nouveau Lord de Salvemer. Après 16 ans à courir dans Westeros, sa course s'était arrêté par une claque énorme. Le décès du Lord Jason Mallister. Il avait du envoyer des corbeaux à son oncle, Commandant de la Tour Ombreuse, un frère juré de la garde de nuit respecté et implacable. Evidemment, avec ses voeux il ne pouvait bouger de la Tour Ombreuse pour se rendre aux funérailles de son neveu. Quoi qu'il en soit, Patrek avait du faire peau neuve, devenir l'homme qu'il aurait toujours du être. Un homme respectable qui ne courrait pas la gueuse, la seule chose qui lui restait de ces 16 années ? Des souvenirs, des amitiés, la fauconnerie. Il devait se faire une nouvelle réputation, celui d'un grand seigneur, bon, juste, mais ferme.

A Salvemer, les femmes avaient repris leur droits. Il avait déjà fais couper la main d'un homme ayant frappé sa femme, cela avait donné une leçon aux habitants alentours : Plus aucune femme ne sera maltraité à Salvemer, auquel cas d'autres mains tomberont. Parfois, il dépassait ce qu'il devait faire. Sans doute. Mais il faisait justice lui-même et n'attendait pas le suzerain du Conflans, on se demandait bien de qui il pouvait s'agir, d'ailleurs. Bracken ou Nerbosc. Autant dire qu'à cet instant, ça lui passait à des kilomètres au dessus de la tête.

Des hommes et des femmes venaient lui rendre visite, espérant s'attirer les bonnes grâces du nouveau Lord : étant nouveau Lord, ils le pensaient naïf, perdu, ils avaient tous les droits de croire cela. Mais il n'en était rien. Il avait très vite pris ses marques dans cette antique forteresse. Le jeune Lord passait finalement pour froid, austère, dur, l'on se demandait s'il écoutait vraiment ce qu'on lui disait, même. " Les choses iront à ma façon désormais. Je ne suis point le lord Jason Mallister, ne vous attendez pas à ce que je dirige à sa façon. " ils avaient acceptés, attendant de voir de quel bois le jeune Mallister était fait. Et à nouveau, on annonçait une présence. Un Biefois, disait-on. Qu'il entre.

Gawain Risley. Il retenait un léger rire et se frottait les yeux, il avait passé une longue nuit à lire et avait, du coup, peu dormi. Celui-ci s'inclinait, ce qui manquait presque de faire rire le Mallister, comme c'était ironique, eux qui avaient partagés tant de soirées à rire et à boire, de se retrouver dans un moment des plus sérieux, les deux ayant sûrement bien évolués, du moins le pensait-il.

" Voyons, entre vieux amis. Appelez moi Patrek. Soyez le bienvenue à Salvemer, mon ami. "

Mais il se perdait dans ses mots, Patrek voyait presque le visage du jeune homme se décomposer. Il fronçait alors ses sourcils bruns.

" Votre présence est déjà une bien belle preuve de votre soutien et je vous en remercie. Il est vrai qu'il est ironique de me savoir Seigneur à présent, hélas si je n'avais pas hérité de ce titre dans des conditions si désastreuse, il est vrai que nous aurions pu en rire avec un bon verre à la main. Allons, vous avez fait grand voyage pour venir jusque Salvemer. Vous devez avoir besoin de vous changer et de vous restaurer. Laissez donc les servantes s'occuper de tout cela et allons boire un verre au nom du bon vieux temps. "

Il donnait les papiers qu'il tenait à son vieux mestre, un vieil homme à la peau tombante qui peinait à tenir debout trop longtemps, son dos était voûté et le peu de cheveux restant sur son crâne semblaient se battre entre eux pour savoir lequel serait le dernier à tenir. Patrek posait une main sur l'épaule du Biefois et la serrait quelque peu.

" Quand était-ce la dernière fois que nous avons pris un verre ensemble, dites moi ? Cela doit remonter à quelque années ! Qu'avez-vous à me raconter ? Cela sera sûrement plus distrayant que les affaires qui traînent à Salvemer. "

Encore et toujours cette histoire d'allégeance aux Bracken ou Nerbosc qui traînait. Il n'était ni pour l'un, ni pour l'autre, là était son problème, toujours bien trop attaché aux valeurs des Tully. Sujet à éviter que la politique lorsqu'on retrouvait un vieil ami qui avait fait longue route, même lui savait cela. Son bon sens revenait peu à peu, à mesure qu'il restait à Salvemer. Il ne se souvenait par ailleurs pas être resté si longtemps ici depuis .... Depuis des années.

Sans plus tarder, le seigneur entraînait le jeune homme vers une autre salle, plus approprier pour discuter du bon vieux temps qu'une salle où les nobles allaient et venaient, ces nobles qui n'avaient aucunement besoin de savoir ce que leur nouveau Seigneur avait fait pendant ses années de fugues. Cette nouvelle salle était plus grande et comportait, surtout, une immense table en bois massif. Personne n'entrait dans cette salle à moins de boire ou dîner... Ou d'y être invité.
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Retour à Salvemer
« D'histoire en histoire, en cycle de légende. »


Ces retrouvailles, c'était comme si le nouveau seigneur de Salvemer n'y croyait pas. En effet, ce dernier se frottait les yeux, comme une personne ayant cru voir un quelconque fantôme ou illusion. La scène aurait pu être des plus amusantes si le bieffois n'était pas en si mauvaise situation. Non pas que se retrouver face à son ami lui déplaisait, bien au contraire. Comment le pouvait-il ? Le choix des mots était important et, la convenance dans pareille situation, tout comme le protocole n'avaient jamais étés une des aptitudes de prédilections de notre ami. Malgré tout, l'ancien voyageur ne put s'empêcher de relâcher un léger rire devant la gêne de son compagnon d'armes, sans doutes devait-il le voir ainsi pour la première fois. Lui qui était d'habitude si courageux et si souriant envers tous et toutes. Lui qui ne craignait pas d'affronter une horde de fer-né, venait de perdre tous ses moyens devant la dureté de la chose. Bien entendu, le Risley était fort bien placé pour connaître la douleur liée à la perte d'un père. Peut-être que tous deux n'avaient pas la même relation avec leur paternel, mais, le cœur qui se déchirait devant pareille annonce, Gawain l'avait vécu. Certes, il n'avait pas du tout abandonner pour se retrouver à la tête d'une des plus grandes maisons du Conflans, mais … Il ne pouvait que compatir. Cependant, devant ce spectacle des plus risibles, le Mallister se contenta de venir en aide à son ami, lui suggérant de ne l’appeler que par son prénom, après tout, ils étaient bons amis.

« Il me semble que, dans l'intimité, cela doit pouvoir se faire. Cependant, devant tant de personnes, qu'un étranger nomme le seigneur de ses terres par son unique prénom … Je doute que cela les ravisse. »

Souriant nerveusement, toujours peu enclin à apprécier ce genre d'échanges, notre ami se perdit dans des explications et des excuses. Une fois de plus, le conflanais vint au secours de son nouvel invité. Il le remerciait de sa sollicitude et de son soutien qu'il prouvait par sa seule présence. Il évoqua la chose sous un visage presque amusant, du moins il l'aurait été s'il n'était pas devenu seigneur dans de telles circonstances. Suite à cela, ce dernier invita Gawain à se restaurer, que la route dut être longue et fatigante. La proposition se finit en une invitation à aller boire en évoquant le bon vieux temps. Proposition qui plut grandement au jeune homme qui se targua d'un large sourire pendant que Patrek donna quelques papiers à l'un de ceux qui semblaient être des conseillers. Rapidement, il passa à côté de Gawain pour lui poser une main ferme sur l'épaule en lui demandant depuis combien d'années ils n'avaient pas bu ensembles avant de lui demander quelles étaient les nouvelles depuis, évoquant que celles-ci devaient être plus distrayantes que les affaires de son fieff, le tout avant de le conduire vers une grande salle, richement décorée, sans doutes propres à ce genre de retrouvailles ou encore faite pour les invités de marque.

« Oui, quelques années déjà. Malheureusement, sur la route, j'ai une curieuse tendance à perdre la notion du temps. Sans doutes est-ce parce que je suis tout le temps trop occupé. Pour ce qui est des nouvelles … J'ai combattu les fer-nés à Beaumarché, j'ai failli mourir. J'ai combattu les …. J'ignore s'ils ont un autre nom, mais … Les sauvageons des Montagnes Rouges, j'ai aussi failli mourir. J'ai pu m'entraîner avec des maîtres d'armes d'exceptions, tous plus doués les uns que les autres. Cela ne m'a fait que me rendre compte à quel point le chemin est encore long avant que mon nom soit gravé dans l'Histoire. J'ai aussi pu rencontrer des femmes toutes plus belles les unes que les autres. Une fer-né, farouche, mais au sourire aussi chaleureux qu'un lever de soleil. Une jeune femme blonde d'une beauté enivrante. Il y avait aussi cette femme de l'Orage, mariée à un vil héritier. Fort heureusement pour elle, ce dernier perdit la vie, lui donnant l'occasion de retrouver sa demeure. Une délicieuse brune. A ce sujet, je parierai que cette dernière vous aurait fortement plu mon ami, vous connaissant, elle n'aurait pu que vous plaire. »

Oui, notre ami avait beaucoup voyagé, découvrant monts et merveilles à chacune de ses haltes, merveilles tant humaines que naturelles. Chaque royaume disposait de paysages tous plus merveilleux les uns que les autres. Certes, rien ne pouvait égaler les vertes étendues chaleureuses du Bief, mais Gawain ne pouvait que s'extasier devant les décors incroyables des contrées qu'il visitait. A ce sujet, l'un des endroits qu'il avait préféré était bel et bien Salvemer et pas uniquement pour son amitié avec Patrek. La cité portuaire était des plus magnifiques et ses habitants tous plus chaleureux les uns que les autres. Pour tout vous dire, s'il avait pu choisir un endroit où vivre, cela aurait sans doutes été ici.

« L'endroit n'a pas changé depuis ma dernière visite. Cela peut paraître étrange mais … J'ai toujours été nostalgique de Salvemer. Voyez-vous, même après avoir parcouru une bonne partie des Sept Couronnes, je trouve toujours que votre cité est l'une des plus belles que j'ai vue. Peut-être est-ce un peu de sentimentalisme en rapport aux nombreux bons souvenirs que je garde ici, mais … Revenir me mets toujours du baume au cœur. Vous qui êtes désormais seigneur de ces lieux, cela ne me donnera que plus de raisons pour y revenir encore et encore, si vous m'y autorisez, bien entendu. Mais … Assez parlé de moi. Et vous alors, cette tragédie mise de côté, que me racontez-vous ? Quels voyages exceptionnels avez vous fait durant ces dernières années ? Quelles aventures avez-vous vécu ? »

© Garrett
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