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(même les petits)
Melior Vouyvère - Liens de la Vouivre de Darkdell
The White Wyvern
→ Dorian Hightower : Lien en cours de discussion.
→ Galladon Oldflowers : Lien en cours de discussion.
→ Shedda : Lien proposé.
The White Wyvern
Aladore Costayne. Aladore, l’écuyer de son oncle Andrew. Aladore, son fiancé. Aladore, son époux. Aladore a été bien des choses dans sa vie, depuis leur première rencontre. Les deux Bieffois ne se sont jamais quittés, pour ainsi dire. Là où Andrew allait, Aladore allait également, tandis que Melior suivait son oncle. Une réelle amitié ne tarda pas à naître entre les deux jeunes gens. Une amitié qui aurait pu ne rien être de plus, qui aurait du n’être rien de plus, peut-être ? Le Destin en décida autrement et Aladore et Melior s’unirent avec la bénédiction des Sept. Dès lors, leurs sentiments ne pouvaient que s’amplifier. Couple uni et heureux, Melior ne peut que se rendre compte de la chance qui fut la sienne. Ce n’est pas un inconnu qu’elle a épousé, mais un ami. Son plus proche ami, son soutien, le seul amour qu’elle ait jamais eu. Un ami qu’elle cru bien perdre lors de la guerre et qui n’en revint pas indemne. Prise de doutes durant de longues lunes face à ce constat qui ne lui rappelait que trop le destin de son frère Lorent, Melior est cependant apaisée aujourd’hui. Si Aladore a beaucoup souffert, il reste toujours l’homme qu’elle a épousé et qu’elle a juré de soutenir qu’importe ce que l’avenir peut bien leur réserver.
( Gif de simonalvarez. )
La relation entre Melior et Alysane n’a pas toujours été au beau fixe. Durant les jeunes années de la Vouivre, ils furent même des plus houleux, de part leurs différences notables de caractère ou de centres d’intérêt. La Vouivre a conscience que sa mère a fait de son mieux pour l’éduquer, pour l’élever comme il se devait. De son affection également. Le fait de ne pas réussir à s’entendre avec elle était un véritable crève-cœur pour Melior. Les annnées mirent un point final à la distance qui se trouvait entre elles, cependant. La perte de Lorent, puis de Delena, ne purent que prouver à Melior l’importance qu’elle accordait à sa mère, au besoin qu’elle avait l’une et l’autre de se retrouver. Le retour de Melior à Darkdell en tant que héritière marqua une nouvelle étape dans leur relation, plus apaisée, plus chaleureuse également. Si son nouveau statut de Seigneuresse fut complexe à appréhender pour Alysane, mère et fille ont désormais trouvé leur équilibre. Un équilibre qu'il leur a fallut retrouver suite à la trêve et surtout à l'arrivée d'Owen et Clarisse à Darkdell. Il n'en reste pas moins que Melior a trouvé une alliée bien précieuse en sa mère concernant l'éducation de toute cette marmaille.
(Gif de connienielsendaily.)
A bien des égards, Melior a sans doute été plus proche de son oncle que de son père. En effet, un certain écart s’était déjà creusé entre le Seigneur de Darkdell et ses enfants, la faute aux conséquences macabres de la rébellion. Ce fut le chevalier qui enseigna le tir à l’arc à sa nièce, qui l’emmena parcourir le Bief à la découverte de leurs voisins, du vaste monde d’une certaine manière. Leurs relations auraient pu évoluer dans le sens inverse, Melior ayant remplacé son oncle en tant qu’héritière puis Seigneuresse de Darkdell. Il n’en fut rien cependant. La Vouivre eut la joie de voir son oncle se tenir à ses côtés comme il avait pu le faire par le passé avec son père. Vouant à son oncle une grande confiance, partagée qui plus est, c’est naturellement que Melior accepta de lui confier des responsabilités, notamment celles de leurs troupes. Malgré leurs rangs respectifs, une réelle affection les lient, bien que tous deux ne soient pas des plus expansifs à ce sujet. Melior est consciente de l'importance qu'Andrew a eu pour Darkdell. A présent que son oncle se fait vieillissant, Melior tâche de lui trouver un remplaçant digne de ce nom et de cette empreinte qu'il a laissé dans leur famille et leur demeure.
(Gif de calebbrewster.)
Comme Melior a pu détester Igon par le passé. Elle se souvient encore de sa manière qu’il avait de se pavaner à Darkdell à la suite de la disparition de son dernier frère. Il se voyait déjà hériter de son père à elle alors même qu’Andrew passait en premier dans la ligne de succession dans ce cas. Durant des années, le cousin et la cousine échangèrent des coups fourrés et des remarques acerbes. Tout était bon pour faire enrager l’autre, pour le pousser dans ses derniers retranchements. Tout était bon pour venger Lorent aux yeux de Melior, bien qu’Igon n’ait été qu’une variable parmi tant d’autres dans son déclin. Si rien ne pouvait annoncer cette finalité, Melior gagna ce combat. Ce fut elle qui hérita de Willem, de son propre père, en vertu de la nouvelle loi sur l’héritage. Ses rapports envers Igon n’en devinrent que plus froids encore. Il ne fallut pas moins qu’une guerre pour les rapprocher. Car s’il y avait bien une chose qui pouvait lier Melior et Igon, c’était l’affection qu’ils pouvaient porter à Elissa Vouyvère, devenue Nègrebar puis Sœur du Silence. Alors, Melior invita Igon à la rejoindre, à rejoindre Darkdell. Elle ne peut savoir si la disparition d’Elissa suffit à expliquer la réponse positive qu’elle reçu d’Igon. Il n’en resta pas moins que son cousin lui revint, lui prêtant allégeance et reprenant la place qui lui revenait de droit parmi les siens. Le temps pouvait soigner bien des blessures, après tout.
(Gif de bunchofgifhunts.)
Trente-sept ans. Bertram aurait du avoir trente-sept ans. La rébellion de Robert Baratheon en décida autrement, cependant. Du haut de ses seize ans, Bertram y était l’écuyer d’un de ses oncles Shermer. Jamais il ne fut adoubé, fauché dans sa jeunesse par les affres de la guerre. Melior garde précieusement ses souvenirs de ce frère perdu il y a maintenant un peu plus de deux décennies. Elle se souvient de leurs jeux, parfois du son de sa voix. Il arrive parfois à la Vouivre de songer ce à quoi leurs existences auraient pu ressembler, si Bertram avait survécu. Les choses auraient été bien différentes, c’est un fait. Melior a parfois ressenti une vive colère à l’égard de la disparition de son frère qui brisa tant de choses dans sa famille. Aujourd’hui, il n’en reste plus que des regrets et des souvenirs.
(Blason de Evrach.)
Son plus grand regret. Comme Melior aurait voulu faire plus. Plus pour lui faire oublier le deuil de son jumeau, de son double. Plus pour lui rendre le sourire, pour lui permettre d’avancer comme elle-même et Elissa avaient du le faire de leur côté. Ses efforts restèrent vains, cependant. Lorent était revenu brisé de la Rébellion et rien ne semblait pouvoir recoller les morceaux de son esprit désormais lésé. Melior assista, impuissante, à sa disparition partielle puis totale. Le choc fut tel qu’elle en perdit Delena, sa première fille, peu de temps après sa naissance. A son grand désarroi, et encore à l’heure actuelle, la Vouivre ne parvient que difficilement à occulter les dernières années de vie de son frère de son esprit. La douleur a cependant disparu, aujourd’hui. Ne restent que des regrets, à moins que cela ne soit des remords…
(Blason de Evrach.)
Melior a toujours eu d’avantage de respect que d’affection pour son père. Il était le Seigneur de leurs terres, veillaient à leur protection, à ce qu’ils ne manquent de rien. A ce qu’ils puissent vivre heureux d’une manière ou d’une autre. La rébellion, de même que la mort de Bertram, achevèrent de séparer le père et la fille, le père et ses enfants de manière générale. Alysane avait alors fait en sorte d’entourer davantage ses enfants, remplaçant ce père qui avait tant à faire. Melior est cependant consciente de ce que son père a fait pour elle et l’a toujours remercié pour cela. Il lui a permis de découvrir le Bief dans ses jeunes années, lui a offert un mariage heureux, puis le titre d’héritière et de Seigneuresse. Sans doute est-ce là la plus belle preuve de confiance, d’affection, qu’elle pouvait obtenir de Willem.
(Blason de Evrach.)
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Les femmes seigneurs ne sont que trop rares, plus encore dans le Bief. Aussi, lorsqu’il fut rapporté à Melior qu’Alyce Graceford se trouvait dans une situation identique à la sienne, la Vouivre eu à cœur de se rapprocher davantage d’elle. Leur monde est bien dangereux pour des femmes seigneuresses et au-delà de l’amitié, l’union ne peut que faire la force. Dès lors, Melior ne peut que faire de son mieux pour montrer son soutien à sa consœur, tâchant de lui faire ouvrir les yeux sur la rudesse de certaines des affaires qu’elles ont à traiter, mais toujours en douceur. A croire qu’au fond d’elle, Melior voit dans les traits d’Alyce ce qu’Elissa aurait pu devenir, si elle n’avait pas emprunté le chemin de la traîtrise… Une amitié que les deux seigneuresses renouvelèrent au cours de ces dernières années, la Vouivre confiant sa fille Melessa à la Graceford, tandis que cette dernière faisait de même avec son fils Orryn qui devenait écuyer à Darkdell.
(Gif de evagrecn.)
Au commencement, Celia fut présentée à Melior comme l’une des filles de Melantha Ryger, durant le Tournoi de Lestival. Si les deux femmes échangèrent quelque peu, leur relation prit un réel tournant après la mort de la matriarche des Ryger. Les funérailles de l’estimée mère ou amie fut une occasion pour elles d’échanger à nouveau, de renouveler les vœux d’amitié entre leurs deux familles. Entre les deux femmes qu’elles étaient également, aussi bien en souvenir de Melantha Ryger, que pour elles-mêmes. A Bois-de-Saule, Melior découvrit en effet en Celia une femme d’une trempe proche de celle de Melantha. Dès lors, depuis le Bief, Melior espère désormais que la distance ne sera pas un frein à cette amitié, hélas tissée dans une certaine tristesse. Elle espère également recevoir à nouveau les corbeaux des Ryger dans sa roukerie, à l’instigation de Celia Van.
(Gif de beedelia.)
Melior n’a plus souvenance de l’exacte période à laquelle elle a rencontré la fille de leur ancien suzerain. Elle en garde cependant le souvenir d’une enfant, puis d’une jeune fille charmante, une rose d’or parmi les roses rouges, roses et blanches des jardins de Hautjardin. Une enfant qu’elle surprenait souvent dans son sillage, que cela soit aux tournois auxquels elle a pu assister ou lors de ses séjours à Hautjardin. Une enfant qu’elle a vu grandir, s’embellir comme la fleur qu’elle était. Comme les Sept se sont montrés cruels à son égard par la suite. La Vouivre ne doute cependant pas du courage de cette jeune femme qu’elle a vu grandir, de cette jeune femme qu’elle apprécie et qu’elle ne peut que respecter. Après tout, n’est-elle pas bien placée pour savoir que toutes les fleurs ont des épines ?
(Gif de gifsharing.)
Naerys fait partie de ces enfants Bieffois que Melior a vu grandir au gré des rencontres et des évènements mondains. Fille de Saera, avec qui la Vouivre entretenait de bonnes relations avant que la guerre ne les séparent, de part leurs enfants proches en termes d’âge, Melior a toujours fait en sorte de ménager aussi bien la mère que la fille. De rassurer la première tout en encourageant la seconde dans certaines de ses « fantaisies », comme son oncle avait pu le faire avec elle par le passé. Les temps changent et le Bief ne pourra que profiter de filles, devenues des femmes, prêtes à suivre le chemin que sa propre génération aura commencé à tracer. Hélas, la guerre a bouleversé bien des choses, et si Aladore garde de profondes marques de son affrontement contre les troupes des Des Essaims durant la reprise de Trois-Tours, la Vouivre ne peut se résoudre à détester Saera et ses enfants. Ils ne sont que des victimes de plus dans cette histoire et elle espère sincèrement que Naerys, sa fratrie et leur mère se portent pour le mieux, au même titre que pour ses propres neveux et nièce et que la guerre n'a pas laissé trop de marques dans leurs esprits.
(Gif de vesnaproduction.)
Melior a toujours porté un grand intérêt aux femmes, plus ou moins jeunes, qui se retrouvaient héritières ou seigneuresses par la force des choses. Elle sait à quel point ce statut est fragile pour des personnes comme elles, qu’un cousin ou un neveu un peu trop zélé pourrait très bien essayer de leur arracher ce qui leur revient pourtant de droit. Dès lors, Rhoane n’a pu que retenir son attention. Impertinente, fougueuse pour ne pas dire hargneuse, la Vouivre s’est aisément reconnue dans la Tarly. Sa curiosité piquée au vif, Melior put l’étancher en partie au cours d’une rencontre à Lestival. Les Tarly venaient de perdre leur héritier légitime et… cette lueur. Cette lueur, Melior l’a tout de suite remarquée dans le regard de Rhoane, alors qu’elle lui présentait ses condoléances quant à la mort de son frère, arraché par la peste rouge. De l’ambition, oui. Une volonté, une énergie qui, née dans le cœur d’une femme, ne pourrait que faire jaser. Que pouvait-elle dire ? Attiser ce feu ou l’étouffer un peu ? Melior prit le chemin de la tempérance à cette époque, conseillant à Rhoane la prudence. Ce chemin était bien plus tortueux que l’adolescente ne pouvait l’imaginer et la Vouyvère se devait de l’en avertir. Aux yeux de la Vouivre, la Tarly a suivi ses avertissements lorsqu’elle apprit que Lord Randyll avait fait de sa deuxième fille son héritière. Depuis, Vouivre et Chasseresses échangent des missives de temps à autre. Il y a des destins qu’il convient de suivre avec toute la diligence nécessaire et Melior est certaine que celui de Rhoane en fait partie.
(Gif de catherinesvalois.)
Au cours de son enfance, Selyse n’était qu’une sœur cadette d’Olene Houëtt, aux yeux de la Vouyvère. Une sœur cadette que Melior eu à cœur de connaître, d’introduire dans leurs conversations après s’être rendue compte des points communs qui pouvaient les lier. Leur intérêt et l’amour qu’elles pouvaient porter aux animaux en tous genres, aussi exotiques pouvaient-ils être, suffit à les rapprocher, au fil des ans. Melior avait ses faucons et ses aigles. Selyse avaient ses tortues. Une passion extravagante aux yeux de certains. Une passion chère aux yeux de la Vouivre, qui pouvait désormais la partager avec une autre personne sans craindre son regard. Les années passant, leurs correspondances et leurs échanges se firent cependant plus sérieux, plus éloignés de leur passion commune. Selyse se devait faire face à des difficultés insoupçonnables dans son rôle d’épouse et de gestionnaire. Dès lors, Melior ne pouvait que lui tendre une main secourable, en souvenir de leur longue amitié.
(Gif de eternalroleplay.)
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(Gif de nat111love.)
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Entre Liane et Melior, tout a débuté à Lestival. L’une de ces amitiés née de part l’engouement lié au tournoi, mais aussi de part la présence de Lady Melantha Ryger. Fort est de constater que la défunte avait eu le nez fin, en lui présentant Lady Vance. Leurs points communs étaient en effet nombreux, le premier étant d’être des femmes dans un monde d’hommes. Des femmes qui avaient du s’imposer, prendre en main leur destin, bien que celui de Liane était sans doute plus clair que le sien pendant des années. Une correspondance ne tarda pas à les lier à la suite de ce tournoi. Correspondance que Melior entretenait également avec Lady Melantha, se réjouissant d’établir de telles relations avec le Conflans par la même occasion. Hélas, tout cela n’a pu prendre qu’un goût de cendres, lorsqu’il fut rapporté à la Vouivre que la Seigneuresse de Bel Acceuil avait été exécutée. Exécutée pour trahison, qui plus est. Dès lors, Melior ne sait que penser de cette femme, qu’il lui semblait pourtant connaître.
(Gif de may0osh.)
Aux yeux de Melior, Melantha était semblable à ce blason qui était le sien. Un vénérable saule, solide, qui aurait pu sembler éternel. Hélas, les Sept lui rappelèrent bien rapidement la funeste réalité dans laquelle ils vivaient. Car les lettres venues de Bois-de-Saule cessèrent d’arriver à Darkdell. Lady Melantha s’en était allée. Une grande femme comme leur monde n’en comptait que trop peu s’était éteinte. Une grande femme dont il ne reste désormais plus que des souvenirs ainsi qu’une œuvre à poursuivre.
(Gif de LittleWomenMovie.)
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Lorsqu’Ashter et Melior se sont rencontrés pour la première fois à Hautjardin, le premier n’était que l’écuyer de son frère alors que la seconde portait toujours le nom de Costayne. Si leurs liens n’étaient que des plus cordiaux au départ, tout changea lorsque Melior apprit le décès du frère du jeune homme. Aussi chercha-t-elle à lui apporter son soutien dans son nouveau rôle d’héritier, rôle dont elle était elle-même devenue la dépositaire auprès de son père. Deux héritiers qu’ils n’auraient jamais du être au demeurant. C’est surtout par lettres que Melior apporta son soutien au jeune Yarwyck quand c’était nécessaire, l’aidant comme elle le pouvait, se rassurant mutuellement. Aujourd’hui encore, tout deux s’entendent assez bien. De ce fait, Melior n’a pu que s’inquiéter du départ pour le Nord d’Ashter et prie pour qu’il en revienne en vie. S’ils ne sont pas de la même famille ni de la même Couronne, cela n’a que peu d’importance. Ashter ne peut que trop lui rappeler ses propres frères déjà disparus avant même d’avoir pu régner sur leurs terres. Aussi espère-t-elle recevoir encore longtemps des corbeaux en provenance de Bulwark.
(Gif de dailyjacklowden.)
On pourrait croire que tout oppose la pieuse Melior et le sulfureux Clifford. Il est vrai que leurs vues religieuses sont bien différentes et que bien d’autres personnes en seraient déjà venues aux mains. Ou à la simple ignorance de l’autre parti. C’était sans compter sur la verve et la fierté que partageaient la Bieffoise et l’Orageois, ou encore sur le fait que tous deux se connaissaient depuis des années au point de ne pouvoir se détester. Phrases provocantes, piques pour le moins bien ajustées, fort est de constater que tous deux se sont souvent amusés aux dépens de l’autre mais sans grande méchanceté. Fort est de constater que le Swann et la Vouyvère sont devenus amis au fil du temps et que ces débats enflammés qui peuvent être les leurs de vive voix ou sur le papier sont leur manière de l’entretenir. Car amis, la Vouivre et le Cygne le sont. Les coups qu’ils ont pu se porter ne sont rien en comparaison au soutien qu’ils ont pu s’apporter au cours de la guerre, alors qu’ils se trouvaient désormais avec leurs familles déchirés entre deux camps différents. Alors que la trêve suit son cours, leur amitié s'est concrétisé par le pupillage de leurs enfants respectifs. En son for intérieur, Melior espère que sa fille saura tirer des leçons importantes de sa vie à Sacrelieu aussi bien de la part d'Alyce, que de la part de Clifford.
(Gif de mmcnultys.)
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Durran était sans aucun doute plus proche des frères aînés de Melior, que d’elle-même. De son enfance, la Vouivre garde cependant quelques souvenirs de Durran, issus des quelques visites que leurs familles respectives se rendirent au cours du temps. Les deux cousins se rapprochèrent davantage alors que les années s’écoulaient. La Vouyvère trouva en effet un certain réconfort dans les lettres qu’elle partagea avec Durran, qui acceptait de lui parler de Bertram là où son père évitait consciencieusement ce sujet. A bien des égards, les Sept en soient témoins, ces lettres permirent à Melior de faire ce deuil si douloureux pour elle. Leurs échanges épistolaires se tarirent cependant durant des années, Durran s’embarquant en Essos. De Durran, Melior n’a désormais plus que des souvenirs. Des lambeaux de souvenirs d’un homme qui n’est plus celui qu’elle a connu. Des lambeaux qui dessinent un portrait qui n'est plus d'actualité depuis la bataille de Trois-Tours. Car désormais, la traîtrise de Durran ne fait plus aucun doute. Une traîtrise que Melior ne saura oublier, enfant de l'été qu'elle n'est plus.
(Gif de ddlovatosrps.)
D’Elias, Melior ne connaissait tout d’abord que le portrait que Cyrenna lui en avait dressé. Une femme d’une grande douceur, à laquelle la toute jeune Vouyvère s’attacha très aisément. Hélas, les Sept la rappelèrent à eux bien trop tôt, laissant derrière elle, un époux plus que marqué. Une marque que la jeune fille qu’elle était alors ne connaissait que trop bien. Celle d’un deuil profond, une esquisse que la petite Vouivre avait déjà remarquée auprès du dernier frère qui lui restait. Alors, malgré le caractère bougon, attristé, d’Elias, Melior tenta d’échanger avec lui, tout en se rapprochant de certaines de ses filles par la même occasion. Les années passèrent, s’égrainèrent petit à petit, les deux Bieffois devenant tous deux Seigneurs de leurs terres respectives alors que rien ne pouvait les y préparer. Des destins si semblables ne pouvaient que les rapprocher, malgré les années qui les séparaient. Melior resta cependant plus proche de Mylena, la fille aînée d’Elias, au point de la conseiller quant au remariage de son père. Leurs quelques années d’écart permettaient de tisser des liens plus aisément. Il n’en reste pas moins que la Vouivre de Dardkell éprouve un profond respect, teinté d’une amitié toute aussi importante, pour le seigneur de la Baëre.
(Gif de balfecaitriona.)
Le Bief est une terre de fêtes et de tournois. C’est sans doute à l’une de ces occasions que Melior a rencontré Galladon pour la première fois. Des souvenirs lointains et devenus brumeux au fil du temps. Dans les faits, tous deux se sont davantage côtoyés après son mariage et son arrivée parmi les Costayne, les Oldflowers leur étant liés par le sang. Suite à la disparition de l’ancien seigneur, Melior a gardé de lui l’image d’un chevalier digne, bien que souffrant d’une affliction proche de celle qui pouvait ronger Lorent de son vivant. Son retour ne manqua pas de faire naître un certain nombre de questions chez la Vouivre, bien qu’en définitive, elle fut heureuse de le savoir en bonne santé. L’avenir lui dira quoi penser de cet homme.
(Gif de demelza.)
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Comment ne pas connaître les Redwyne ? Melior a croisé des représentants de cette noble famille à plusieurs reprises, issue du sud du Bief tout comme la sienne. Leurs relations auraient pu s’arrêter à cette cordialité de mise entre deux familles comme les leurs. Il n’en fut cependant rien. Alors que Lord Willem avait rendu son âme aux Sept, Melior eu la surprise d’apprendre qu’une missive de la Treille leur était parvenue. Une missive écrite de la main de l’héritier des lieux, une missive qui lui était destinée, l’une des premières qu’elle reçu en tant que Seigneur de Darkdell. Au-delà des condoléances, Melior y vit le signe que son nouveau statut avait été reconnu. Les deux nobles se rencontrèrent ensuite à Lestival, qu’ils quittèrent en bons termes également. A présent que la guerre fait partie de leur quotidien, la Vouivre de Darkdell espère trouver à nouveau en Horas un allié. Un allié dans ce Bief plus déchiré que jamais.
(Gif de rupelover.)
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Melior pense bien des choses des Dorniens. Sans doute l’image qu’elle a d’eux est assez sombre, qui plus est, ses ancêtres ayant déjà combattu plusieurs fois contre eux. Le Prince Oberyn sut cependant lui faire revoir sa vision des choses. Naturellement venu à son secours, bien que la Vouivre ait au final fait fuir elle-même ses pleutres opposants, la Vipère Rouge ne pouvait qu’attirer l’attention de la Vouivre. Aussi accepta-t-elle d’échanger quelques mots avec lui, au-delà de ce que requerrait le plus simple et basique des respects. Une rencontre pour le moins enrichissante, qui permit par ailleurs à la Vouivre de remercier indirectement la Princesse Rhaenys pour ce changement dans la loi de l’héritage. Une rencontre qui permis à Melior d’obtenir un nouvel éclairage de cet ennemi qu’elle considérait pourtant comme héréditaire.
(Gif de malecharactergifs.)
De William, Melior n’a tout d’abord connu que le portrait que pouvait en dresser son frère, Duncan Mossegonde. Elle ne rencontra son aîné qu’au cours du tournoi de Corcolline, où le comportement du jeune chevalier ne put que l’agacer. Si les Bieffois pouvaient faire preuve d’une certaine suffisance, William Mossegonde tenait sans peine la comparaison ! La mésentente fut partagée et n’évolua guère par la suite, l’Orageois et la Bieffoise n’ayant guère l’opportunité de discuter à nouveau. Le tournoi de Lestival changea la donne. De chevalier sûr de lui jusqu’à la suffisance et fougueux, William semblait s’être assagi. Seigneur tout comme elle, ils purent échanger pour la première fois d’une manière apaisée, se redécouvrant mutuellement sous un jour bien plus agréable. Proches dans leurs valeurs, dans leur caractère à bien y songer, l’entente semble désormais de mise entre eux. Duncan avait raison, William a bien changé au fil des ans et Melior est heureuse d’avoir revu son jugement au sujet de celui qui se fait appeler le Chevalier Noir.
(Gif de historyrph.)
Les Sept seuls furent à l’origine de sa rencontre avec Meliodas, selon Melior. Alors qu’Aladore et elle-même se préparaient à quitter Trois-Tours pour l’une des missions d’émissaire de son époux, l’un de leurs hommes ne put les accompagner, sa santé l’empêchant de mener à bien sa mission de protecteur. Un voyage qui ne pouvait pourtant être retardé. Le choix des époux se porta alors sur une autre solution, engageant un mercenaire afin de pouvoir se mettre en route au plus vite. Un choix que tous deux auraient pu regretter. Il n’en fut rien. Meliodas, dont le nom n’avait pu que leur inspirer confiance, se révéla être doté d’une âme secourable et d’une fidélité pour laquelle Melior ne pouvait qu’être reconnaissante. Leurs chemins se croisèrent à nouveau quelques années plus tard, alors que l’Orageois se trouvait à Hautjardin, au service de Lady Cersei Lannister. Ainso, les Sept avaient reconnu ses capacités et lui avaient permis de trouver sa voie ce bas monde ! Melior garde donc une bonne image de Meliodas, ainsi qu’un certain amusement lorsqu’elle songe à nouveau au voyage qu’elle partagea en sa compagnie, pour bien des raisons. Dès lors, les missives du Trant ne peuvent qu’être bien accueillies, lorsqu’elles arrivent dans la roukerie de Darkdell. Aussi, c'est avec une certaine tristesse que la Vouivre apprit la mort du Trant. Cette guerre aura décidément fait disparaître bien des personnes d'exception...
(Gif de Aslaug.)
The White Wyvern
Invité
Elys ayant pas mal joué dans le Bief durant sa jeunesse, je me dis qu'un lien entre les deux est peut-être trouvable
The White Wyvern
Elys a écrit:Cocou @Melior Vouyvère
Elys ayant pas mal joué dans le Bief durant sa jeunesse, je me dis qu'un lien entre les deux est peut-être trouvable
Mais je vais me rattraper de suite ! 
Pour répondre à ton message précédent, je suppose qu'Elys et Melior ont pu se croiser, oui. Ils ont l'air d'avoir pas mal voyagé dans les deux cas donc j'imagine qu'ils ont pu se croiser à Hautjardin ou chez un autre noble du Bief lorsqu'ils étaient plus jeunes ? Je viens de remarquer qu'ils ont quasiment le même âge, en plus donc il y a moyen qu'ils aient pu discuter un peu, quelque chose comme ça j'imagine. Melior n'est pas connue pour avoir un don pour la musique mais elle sait l'apprécier tout de même. Bien qu'elle soit seigneur maintenant, ce n'était pas du tout prévu au départ donc danser et avoir quelques notions de musique, ça ne me semble pas étonnant pour elle. Après, si Elys l'a croisée quand elle était plus jeune, il aurait pu remarquer qu'elle avait déjà beaucoup de caractère et qu'elle était plus intéressée par l'arc que par l'archet.
Invité
The White Wyvern
Elys a écrit:Alors petite question parce qu'une idée m'est venu mais pas sur que ça soit possible ça dependra beaucoup de ta famille. Les Vouyère, ils sont plutôt sympa de base ou pas ? Sachant que,, dans l'histoire de famille, à la période du Bief il était accompagné toujours de Claire sa plus ou moins petite amie (un peu obscur ça xD)
Elle a été violée puis tuée par un Lord qui a donné à Elys quelque pièce d'or en dédommagement de la vie de la demoiselle. Je ne sais pas si tu penses que se serait cohérent avec ta famille ?
A la base, le background des Vouyvère est assez pauvre. Ce que tu peux voir sur le forum, c'est surtout de ma patte ou de celle d'Aladore, voire de nous deux. Pour ainsi dire, c'est une famille noble un peu sans histoire, de petite noblesse, très proche des Costayne et de leurs autres petits voisins. Leur dernier coup d'éclat en date, si on peut parler d'un coup d'état, c'est Melior qui devient seigneur. 
Ils sont aussi proches des Tyrell (le cousin de Melior est le chef de la garde de Hautjardin) donc je ne pense pas que ça puisse aller avec ton idée. 
Cependant, si tu veux discuter d'un passage pour Elys à Trois-Tours ou Darkdell, cela peut s'entendre je pense. Les deux fiefs en question sont situés dans les environs de Villevieille, donc c'est peut-être possible selon ta chronologie ?
Je pense qu'Elys (voire Claire) auraient été assez bien accueilli dans les deux cas, dans les faits. Ca n'aurait pas été très fastueux mais ça leur aurait offert le gîte et le couvert en échange de leur musique et de quelques chansons. Lady of Light
Tu te souviens de l'époque où on a failli être brulée pour sorcellerie ?
┗ lady of light ┛
The White Wyvern
Randa Baratheon a écrit:
Tu te souviens de l'époque où on a failli être brulée pour sorcellerie ?
Je persiste à croire que c'était une erreur judiciaire.
Les gens sont si influençables parfois. 
J'espère qu'on pourra se trouver un lien un peu plus calme. 
l'abeille rêveuse
┗ Grace and Fury ┛
Le seigneur déchu
♛ by wiise
The White Wyvern
Bonsoir Naerys des Essaims et Galladon Oldflowers !
Veuillez m’excuser pour mon délai de réponse, je ne pensais pas que vous attendiez depuis aussi longtemps.
Je vais de ce pas régler ce problème, encore désolée pour l'attente. 
Naerys Des Essaims a écrit:Entre deux familles vassales des Highto, je pense qu'on peut se trouver un petit lien
Un lien serait de bon aloi, en effet !
Alors, en regardant nos chronologies Naerys et Melior ont effectivement pu se croiser plusieurs fois. Déjà, il y a toutes les festivités qui ont eu lieu à Hautjardin pour ainsi dire. A cela, on peut ajouter le mariage de Margaery et Aegon à Port-Réal et aussi le tournoi de Lestival ! Que dire de plus... Il semblerait que Melior et Saera soient de la même génération. Je me dis qu'il est peut-être possible de trouver un début de liens à partir de ça ? Comme tu le dis, les Des Essaims et les Vouyvère sont des vassaux des Highto. Leurs fiefs sont assez proches donc j'imagine que les Vouyvère/Costayne ont du croiser assez souvent les Des Essaims (avant que tout ne dégénère, bien sûr.
) ? Je propose ça comme ça mais Melior pourrait peut-être bien s'entendre avec la mère de Naerys ? Ça pourrait expliquer pourquoi elle s'est intéressée à Naerys ensuite. Après, je pense que Melior se reconnaîtrait pas mal en Naerys, quand elle avait son âge. Entre le fait qu'elle soit aussi une bonne cavalière, qu'elles aient toutes les deux pas mal de caractère... Je pense que ça pourrait coller assez facilement en vrai.
La seule différence que je vois dans leur parcours, c'est que Melior a eu le droit d'apprendre les ''armes'' en tirant à l'arc. 
En vrai, lors de leurs rencontres, je vois bien Melior essayer de donner quelques conseils à Naerys pour qu'elle reste elle-même... tout en rassurant Saera dans le cas où elle serait effectivement proche de la mère de ta demoiselle. 
Galladon Oldflowers a écrit:Lady Melior, j'ai disparu alors que vous n'étiez qu' « épouse de », je réapparais, vous êtes seigneuresse. C'est intrigant, il faut que nous parlions de ça. xDD
Effectivement, c’est certain qu’une telle nouvelle à de quoi surprendre.
Quant à moi, je n’ai guère l’habitude des morts qui reviennent à la vie. A croire que les Sept tiennent parfois de R’hllor ! Plus sérieusement, nous devons discuter en effet ! Melior et Galladon ont pu se croiser pas mal de fois. Si je compare nos chronologies, ils ont pu se voir durant le tournoi d’Harrenhal (Melior était encore jeune mais elle y était donc voilà). Vu l'âge de Melior a cette époque, c'est sans doute même la première occasion pour qu'ils puissent s'apercevoir même de loin. Ensuite, j'imagine qu'ils ont pu se revoir à Hautjardin notamment si Galladon y allait de temps en temps. Melior y allait avec son oncle assez souvent (puis ils y allaient avec Aladore après leur mariage), mais je ne t'apprends rien à ce sujet.
Après, on peut même envisager une rencontre chez Galladon étant donné que sa demeure n'est pas si loin que ça de Hautjardin. 
Et bien sûr, on a Lestival ! Je ne sais pas ce que tu as prévu avec Galladon à ce niveau, notamment pour les personnages qu'il a pu croiser. Après, je me dis qu'entre les années qui se sont écoulées et le mode de vie de Galladon qui n'a pas du l'épargner, Melior ne l'aurait pas reconnu tout de suite (et inversement, Melior a du changer pas mal depuis leur dernière rencontre). Je ne m'avance pas plus sur Lestival vu que c'est un peu un cas particulier mais si ça te dit, une rencontre est possible ! Ou alors, Melior a juste pu apercevoir Galladon de loin et avoir l'impression de voir un fantôme, à toi de me dire ce que tu en penses.
Pour la teneur du lien en lui-même, je me dis que vu leurs caractères, ça aurait pu donner des discussions quand même assez animées quand Melior est devenue adulte. Ou même un peu avant, ils ont quand même dix ans de différence donc il n'est pas impossible que Galladon se soit rendu compte que Melior avait quand même un caractère bien trempé même dans ses jeunes années.
Après, au-delà de ça, j'imagine qu'il y a quand même pas mal de respect vu que Galladon était quand même seigneur avant de disparaître et que c'est pas non plus quelqu'un de mauvais. l'abeille rêveuse
Alors Melior peut être proche de Saera oui
(et les des Essaims sont aussi lié par le mariage au Costayne avec Janna ) Melior a pas mal d'enfant, Saera aussi du coup pourquoi pas s'échanger des tips pour gérer toute cette marmaille ? Et du coup s'intéresser aux enfants de l'une et de l'autre ? Et du coup retomber sur ce que tu proposes ? ┗ Grace and Fury ┛
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