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(même les petits)![[FB] I'm be back [Solo] 3725701551](/users/1815/27/49/46/smiles/3725701551.gif)
[FB] I'm be back [Solo]
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I’m be Back
Le mariage de la princesse Ariane Martell avait pris fin. La jeune femme, enceinte de plusieurs lunes n’avaient pas quitté tout de suite Lancehélion. Son époux avait jugé plus profitable et plus sûr pour sa femme de prendre le temps de se reposer avant de reprendre la route pour La Grâcedieu. Le couple Allyrion avait fait le voyage avec le prince Quentyn Martell. Ce dernier avait séjourné quelques jours à La Grâcedieu avant de poursuivre sa route le menant à Ferboys chez le père de la Lady. Les quelques jours où le prince fut présent à au domaine des Allyrion rappela de doux souvenirs à la mère qu’Ynys était devenue. Lorsqu’elle l’avait vu pour la première fois, elle était sur le point de quitter Ferboys pour rejoindre son futur époux. Un époux qui lui faisait peur, elle devait le reconnaitre. Mais un époux avec lequel elle avait vécu des événements aussi douloureux que magiques.
Le voyage retour se fit en partie par le fleuve. Cela avait pour unique but de réduire le temps de trajet et ainsi permettre à la future mère de retrouver son confort personnel au plus vite. Elle allait aussi rapidement revoir son fils, ce qui lui avait tiré un large sourire sur son visage fatigué. Elle avait légèrement somnolé pendant la traversée et ne s’était que pleinement réveillée que lorsque ses yeux virent la silhouette rassurante au loin de sa forteresse. Un sentiment de plénitude et de soulagement s’empara alors d’elle. Qui aurait cru qu’elle aurait un jour autant apprécié voir se découper à ‘horizon les murs blancs de La Grâcedieu. Et à peine furent-ils arrivés aux portes de la forteresse que leur fils s’élançait à leur rencontre de son pas chancelant. Rapidement la mère prit dans ses bras protecteurs l’enfant fragile qu’était Altaï Allyrion. Elle le présenta évidemment au prince Martell qui ne souffla mot. Seul son regard parlait pour lui. Un mélange de joie et de tristesse que la jeune femme interpréta bien rapidement. Le garçon, devenu chevalier avait-il donc encore des sentiments à son égard ? Cela était fort possible au vu de sa réaction première. Mais la Allyrion prit le parti de laisser penser qu’elle n’avait rien vu de tout cela. C’était parfaitement inutile de faire remarquer à son époux que le prince Quentyn avait des sentiments pour elle et il était parfaitement hors de question qu’elle puisse laisser penser quoi que ce fut à Quentyn Martell. C’était autant par respect pour le prince qu’il était que pour l’ami et le jeune garçon qu’elle avait connu autrefois.
Rentrée chez elle, Ynys Allyrion reprit rapidement le cours de sa vie. Elle avait un fils dont elle devait s’occuper avec l’aide de sa nourrice et de sa suivante Lady Boisleau. Mais elle devait aussi prendre soin d’elle et se ménager pour permettre à l’enfant qui grandissait en elle de s’épanouir pleinement. Elle ne pouvait imaginer qu’elle le perde lui aussi. Pourtant les mestres restaient sur la réserve quant à la survie du petit être. Sans doute ne souhaitaient-ils point à revivre la douloureuse expérience de l’An 297. La perte e sa fille avait touché durement le cœur de la Lady. Yns avait mis bien longtemps avant de s’en remettre pleinement. Et lorsqu’elle avait finalement accepter la réalité. Elle avait fini par faire d’étranges propositions à son époux ; Des propositions dont elle avait réellement songé depuis déjà plusieurs années. Mais Lord Ryon ne l’avait pas entendu de cette manière et après une âpre dispute, voilà e résultat. Elle portait à nouveau la vie en son sein. Une chance tout autant qu’une crainte car les mestres étaient formels. Le multiples fausses couches de la jeune femme avaient endommager son corps qui devenaient de plus en plus fragile.
️Ambrose
Le voyage retour se fit en partie par le fleuve. Cela avait pour unique but de réduire le temps de trajet et ainsi permettre à la future mère de retrouver son confort personnel au plus vite. Elle allait aussi rapidement revoir son fils, ce qui lui avait tiré un large sourire sur son visage fatigué. Elle avait légèrement somnolé pendant la traversée et ne s’était que pleinement réveillée que lorsque ses yeux virent la silhouette rassurante au loin de sa forteresse. Un sentiment de plénitude et de soulagement s’empara alors d’elle. Qui aurait cru qu’elle aurait un jour autant apprécié voir se découper à ‘horizon les murs blancs de La Grâcedieu. Et à peine furent-ils arrivés aux portes de la forteresse que leur fils s’élançait à leur rencontre de son pas chancelant. Rapidement la mère prit dans ses bras protecteurs l’enfant fragile qu’était Altaï Allyrion. Elle le présenta évidemment au prince Martell qui ne souffla mot. Seul son regard parlait pour lui. Un mélange de joie et de tristesse que la jeune femme interpréta bien rapidement. Le garçon, devenu chevalier avait-il donc encore des sentiments à son égard ? Cela était fort possible au vu de sa réaction première. Mais la Allyrion prit le parti de laisser penser qu’elle n’avait rien vu de tout cela. C’était parfaitement inutile de faire remarquer à son époux que le prince Quentyn avait des sentiments pour elle et il était parfaitement hors de question qu’elle puisse laisser penser quoi que ce fut à Quentyn Martell. C’était autant par respect pour le prince qu’il était que pour l’ami et le jeune garçon qu’elle avait connu autrefois.
Rentrée chez elle, Ynys Allyrion reprit rapidement le cours de sa vie. Elle avait un fils dont elle devait s’occuper avec l’aide de sa nourrice et de sa suivante Lady Boisleau. Mais elle devait aussi prendre soin d’elle et se ménager pour permettre à l’enfant qui grandissait en elle de s’épanouir pleinement. Elle ne pouvait imaginer qu’elle le perde lui aussi. Pourtant les mestres restaient sur la réserve quant à la survie du petit être. Sans doute ne souhaitaient-ils point à revivre la douloureuse expérience de l’An 297. La perte e sa fille avait touché durement le cœur de la Lady. Yns avait mis bien longtemps avant de s’en remettre pleinement. Et lorsqu’elle avait finalement accepter la réalité. Elle avait fini par faire d’étranges propositions à son époux ; Des propositions dont elle avait réellement songé depuis déjà plusieurs années. Mais Lord Ryon ne l’avait pas entendu de cette manière et après une âpre dispute, voilà e résultat. Elle portait à nouveau la vie en son sein. Une chance tout autant qu’une crainte car les mestres étaient formels. Le multiples fausses couches de la jeune femme avaient endommager son corps qui devenaient de plus en plus fragile.
️Ambrose Invité
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La grossesse lui allait bien, c’était ce que ne cessait de répéter Ryon. Son époux semblait des plus ravi à l’idée d’être à nouveau père. Et si Ynys l’était tout autant à l’idée d’être mère une nouvelle fois, elle n’oubliait pas la déception et la tristesse de la perte de sa fille. Une épreuve qu’elle ne souhaitait pas revivre. Alors elle allait prier régulièrement les Sept. Entre deux prières, Lady Allyrion passait beaucoup de temps auprès de son fils Altaï. Altaï, son dernier enfant encore en vie qu’elle chérissait tant. Elle ferait tout pour lui, elle était prête à tout pour cet héritier. Alors d’une démarche un peu moins assurée que d’ordinaire, une main sur son ventre qui ne cessait de s’arrondir au fil des lunes qui passaient, Ynys Allyrion déambulait dans les couloirs de La Gracedieu pour rejoindre la terrasse, son fils, Lady Boisleau et sa nourrice tant aimée.
« Altaï fait attention ! » souffla la mère alors que son fils courrait vers elle après l’avoir vue. Compréhensive, sa suivante pris les devant et intercepta le petit sauvageon maladroit. On venait d’éviter une catastrophe à n’en pas douter. Ynys soupir et s’approcha d’un pas lent auprès de son fils. Elle passa une main douce et affectueuse dans sa tignasse blonde. Le garçon sourit à sa mère et retourna jouer. La mère alla s’asseoir non loin de lui et garda un œil protecteur sur son héritier, son sang, la chaire de sa chaire. Lady Boisleau pris place à ses côtés et sa nourrice s’installa non loin de l’héritier de La Gracedieu. Ynys perdit son regard dans l’horizon alors qu’elle savait son fils en sécurité. Sa grossesse avançait et pour l’heure tout se passait bien. Peut-être finirait-elle par la mener à terme et elle espérait que cette fois son enfant soit bien vivant contrairement à la pauvre Elia Allyrion, mort-née. « La rumeur prend de l’ampleur, Madame. » fit sa suivante à voix basse. « Je sais, je sais, cela m’inquiète. J’ai entendu dire que le prince Doran Martell n’a pas encore pris position. » répondit Ynys Allyrion. Avec son époux qui faisait de plus en plus d’aller-retour à la capitale, la jeune femme n’avait pas de mal à prendre la température des rumeurs et de ce qu’on disait à Lancehélion. Si le prince ne prenait pas position par rapport à la rumeur qui avait pour cible son nouveau beau-fils, la née Ferboys était prête elle, à demander une entrevue au futur prince consort de Dorne et époux de la princesse Arianne Martell. « Vous voulez bien aller me chercher un parchemin, une plume et de l’ancre ? Je dois écrire un pli à son Altesse le prince Viserys Targaryen. » fit la jeune femme en se tournant vers sa suivante. Lady Boisleau sourit à la dame des lieux et se leva. Un bruit de tissus se fit entendre alors qu’elle s’ne retirait vers l’intérieur des appartements de Lady Ynys Allyrion. La nourrice de Lady Ynys en profita alors pour se rapprocher de sa protégée et posa une main délicate sur son ventre. « N’en faites pas trop Ynys. Vous savez que vous devez vous reposer pour le bien de votre enfant, et le vôtre. »
️Ambrose
« Altaï fait attention ! » souffla la mère alors que son fils courrait vers elle après l’avoir vue. Compréhensive, sa suivante pris les devant et intercepta le petit sauvageon maladroit. On venait d’éviter une catastrophe à n’en pas douter. Ynys soupir et s’approcha d’un pas lent auprès de son fils. Elle passa une main douce et affectueuse dans sa tignasse blonde. Le garçon sourit à sa mère et retourna jouer. La mère alla s’asseoir non loin de lui et garda un œil protecteur sur son héritier, son sang, la chaire de sa chaire. Lady Boisleau pris place à ses côtés et sa nourrice s’installa non loin de l’héritier de La Gracedieu. Ynys perdit son regard dans l’horizon alors qu’elle savait son fils en sécurité. Sa grossesse avançait et pour l’heure tout se passait bien. Peut-être finirait-elle par la mener à terme et elle espérait que cette fois son enfant soit bien vivant contrairement à la pauvre Elia Allyrion, mort-née. « La rumeur prend de l’ampleur, Madame. » fit sa suivante à voix basse. « Je sais, je sais, cela m’inquiète. J’ai entendu dire que le prince Doran Martell n’a pas encore pris position. » répondit Ynys Allyrion. Avec son époux qui faisait de plus en plus d’aller-retour à la capitale, la jeune femme n’avait pas de mal à prendre la température des rumeurs et de ce qu’on disait à Lancehélion. Si le prince ne prenait pas position par rapport à la rumeur qui avait pour cible son nouveau beau-fils, la née Ferboys était prête elle, à demander une entrevue au futur prince consort de Dorne et époux de la princesse Arianne Martell. « Vous voulez bien aller me chercher un parchemin, une plume et de l’ancre ? Je dois écrire un pli à son Altesse le prince Viserys Targaryen. » fit la jeune femme en se tournant vers sa suivante. Lady Boisleau sourit à la dame des lieux et se leva. Un bruit de tissus se fit entendre alors qu’elle s’ne retirait vers l’intérieur des appartements de Lady Ynys Allyrion. La nourrice de Lady Ynys en profita alors pour se rapprocher de sa protégée et posa une main délicate sur son ventre. « N’en faites pas trop Ynys. Vous savez que vous devez vous reposer pour le bien de votre enfant, et le vôtre. »
️Ambrose Invité
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Ynys attendait que sa suivante revienne avec ce qu’elle lui avait demandé. Sa nourrice se tenait à ses côtés et veillait avec elle sur le petit Altaï. Lady Allyrion regardait son fils jouer et une larme glissa le long de sa joue. Son aîné aussi jouait avant de les quitter. Les dieux étaient cruels, tellement cruels avec le couple Allyrion. Mais la jeune femme ne voulait pas perdre espoir et se refusait à se rappeler ce qui s’était passé lors de sa dernière grossesse. Elle revoyait encore parfois le sang et ressentait la douleur comme si le drame venait de se produire. Cela faisait pourtant plus de deux ans qu’elle avait mis au monde une petite fille morte dès la naissance. Souvent elle se demandait ce qu’elle avait pu leur faire pour subir tout cela. Mais elle finissait toujours par oublier ces événements et espérait que cette grossesse, elle la mènerait jusqu’au bout et qu’elle ne se terminerait pas comme les précédentes.
Lady Boisleau revint avec ce que lui avait demandé la Dame de la Grâcedieu. Elle déposa le tout non loin d’elle et trouva une place sur un petit coussin. Aussitôt assise, aussitôt le jeune Altaï vint vers elle La suivante de Lady Allyrion s’entendait à merveille avec le fils de sa maîtresse. C’était une bonne chose, il aurait été bien compliqué si la Boisleau ne s’était pas entendue avec l’héritier de la maison Allyrion. Ynys pos une main protectrice sur son ventre et s’empara de tout ce que lui avait apporté sa suivante. La mère sourit à son fils pour l’inciter à rester auprès de la jeune femme. La Lady de La Grâcedieu ferma un peu les yeux et se concentra sur le début de sa missive pour le prince consort de Dorne, Viserys Targaryen. La jeune femme aimerait avoir une audience avec l’époux de la princesse Arianne Martell. L’Allyrion et surtout son sang Ferboys voulait parler à cœur ouvert avec celui qui serait son futur prince à Dorne. Avec le passé des Targaryen et des Martell, la mère voulait s’assurer que sa princesse n’avait pas épouser un home mauvais.
Le bruit de la plume sur le parchemin commença à se faire entendre. Ynys Allyrion écrivait avec délicatesse. Elle choisissait avec soin ses mots pour ne point froisser son Altesse. Elle ne cherchait pas à contrarier le prince Viserys avec des propos malheureux ; Elle voulait simplement réussir à obtenir une entrevue avec lui. Ynys ne savait si elle parviendrait à ses fins. Lorsqu’elle eut fini d’écrire, elle relut sa missive plusieurs fois avant de se tourner vers sa suivante. D’un simple hochement de tête, Lady Boisleau acquiesça la demande silencieuse de la maîtresse de maison. Elle confierait le corbeau à un coursier qui se chargerait de le transmettre à son altesse. Soulagée d’avoir ainsi pu coucher sur le papier ses désirs, lady Allyrion prit dans ses bras son fils qu’elle cajola de longues minutes. Des jours meilleurs s’annonçaient pour la maison Allyrion et Ynys en était heureuse. Si les sept restaient cléments avec elle, son fils aurait un petit frère ou une petite sœur sur qui veiller, si à terme ce n’était pas l’inverse.
️Ambrose
Lady Boisleau revint avec ce que lui avait demandé la Dame de la Grâcedieu. Elle déposa le tout non loin d’elle et trouva une place sur un petit coussin. Aussitôt assise, aussitôt le jeune Altaï vint vers elle La suivante de Lady Allyrion s’entendait à merveille avec le fils de sa maîtresse. C’était une bonne chose, il aurait été bien compliqué si la Boisleau ne s’était pas entendue avec l’héritier de la maison Allyrion. Ynys pos une main protectrice sur son ventre et s’empara de tout ce que lui avait apporté sa suivante. La mère sourit à son fils pour l’inciter à rester auprès de la jeune femme. La Lady de La Grâcedieu ferma un peu les yeux et se concentra sur le début de sa missive pour le prince consort de Dorne, Viserys Targaryen. La jeune femme aimerait avoir une audience avec l’époux de la princesse Arianne Martell. L’Allyrion et surtout son sang Ferboys voulait parler à cœur ouvert avec celui qui serait son futur prince à Dorne. Avec le passé des Targaryen et des Martell, la mère voulait s’assurer que sa princesse n’avait pas épouser un home mauvais.
Le bruit de la plume sur le parchemin commença à se faire entendre. Ynys Allyrion écrivait avec délicatesse. Elle choisissait avec soin ses mots pour ne point froisser son Altesse. Elle ne cherchait pas à contrarier le prince Viserys avec des propos malheureux ; Elle voulait simplement réussir à obtenir une entrevue avec lui. Ynys ne savait si elle parviendrait à ses fins. Lorsqu’elle eut fini d’écrire, elle relut sa missive plusieurs fois avant de se tourner vers sa suivante. D’un simple hochement de tête, Lady Boisleau acquiesça la demande silencieuse de la maîtresse de maison. Elle confierait le corbeau à un coursier qui se chargerait de le transmettre à son altesse. Soulagée d’avoir ainsi pu coucher sur le papier ses désirs, lady Allyrion prit dans ses bras son fils qu’elle cajola de longues minutes. Des jours meilleurs s’annonçaient pour la maison Allyrion et Ynys en était heureuse. Si les sept restaient cléments avec elle, son fils aurait un petit frère ou une petite sœur sur qui veiller, si à terme ce n’était pas l’inverse.
️Ambrose [4]
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Ynys avait près d’elle son fils. Altaï avait longtemps été le cadet des Allyrion. Mais avec la mort de son aîné, il avait été propulser à la place d’héritier. Ni Ynys ni Ryon ne l’avaient préparé à cela. Ils avaient manifestement eu tort. Personne ne pouvait prédire ce que les Sept réservaient aux hommes. Le couple Allyrion aurait dû anticiper cette perte. Mais comment le faire lorsque l’idée même de perdre son enfant est insupportable. Ynys avait crié haut et fort qu’elle ne voulait pas revivre cela lorsqu’elle avait donné naissance à sa fille Elia. Mais elle avait dû accepter la mort de son aîné. Et elle ne pouvait pas dire qu’elle ne s’y attendait pas. Silas comme Altaï avait toujours eu une santé fragile. C’était de notoriété publique et par conséquent, personne ne s’en était étonné plus que cela. Une larme amère roula sur les joues de la mère. Altaï la regarda avec inquiétude et le Soleil du matin lui offrit un sourire rassurant.
Ynys finit par embrasser son fils et le confia à sa suivante. Elle suivit du regard son fils et Lady Boisleau. Elle, elle resta assise à contempler l’horizon. Avait-elle bien fait d’écrire cette missive au prince Viserys Targaryen ? Avait-elle eu tort ? Elle venait de l’achever et elle commençait à douter de son geste. Et puis, prise un peu de panique à l’idée d’avoir commis un imper, elle fit appeler une servante auprès d’elle. Elle lui ordonna d’intercepter son corbeau pour le prince. Pourquoi avait-elle la désagréable sensation que l’homme n’était pas fiable mais que sa princesse n’ouvrirait jamais complètement les yeux à son sujet. La servante revint rapidement avec le message et le tendit à sa maîtresse. Lady Ynys chiffonna sa lettre et finalement la déchira en de nombreux confettis de papier. Elle laissa alors le vent se charger du reste et éparpiller ce qui restait de sa demande envers le prince consort de Dorne.
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Ynys finit par embrasser son fils et le confia à sa suivante. Elle suivit du regard son fils et Lady Boisleau. Elle, elle resta assise à contempler l’horizon. Avait-elle bien fait d’écrire cette missive au prince Viserys Targaryen ? Avait-elle eu tort ? Elle venait de l’achever et elle commençait à douter de son geste. Et puis, prise un peu de panique à l’idée d’avoir commis un imper, elle fit appeler une servante auprès d’elle. Elle lui ordonna d’intercepter son corbeau pour le prince. Pourquoi avait-elle la désagréable sensation que l’homme n’était pas fiable mais que sa princesse n’ouvrirait jamais complètement les yeux à son sujet. La servante revint rapidement avec le message et le tendit à sa maîtresse. Lady Ynys chiffonna sa lettre et finalement la déchira en de nombreux confettis de papier. Elle laissa alors le vent se charger du reste et éparpiller ce qui restait de sa demande envers le prince consort de Dorne.
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