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La douce froideur du Sud - Aegon
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Douce froideur du sud
Le mariage avait été des plus sublime, des plus magnifiques. Franchement ? Je ne connaissais pas énormément mon frère, mais je pouvais voir dans son regard qu'il était ou du moins qu'il semblait amoureux de Dacey, cette merveilleuse jeune femme brune, qui ressemblait à une princesse guerrière. Arya était complètement sous le charme, ma mère semblait l'aimée aussi. Moi aussi mais j'étais plus réservée car les femmes qui se battaient, c'était pas forcément quelque chose que je pouvais concevoir. Non, je n'étais pas contre, mais cela me paraissait..étrange. Pour moi une femme forte n'avait pas forcément à manier l'épée mais manié l'art du langage, de la politique, de la puissance par son raisonnement et pas par la barbarie. Mais certaines étaient plus à agir qu'à réfléchir. Sans doute. Ou certaines étaient carrément les deux, mais c'était extrêmement rare, vraiment rare. Mais bref.
Nous étions donc rentrés à la maison, j'avais donc pu me reposer un peu, exténué par les festivités mais aussi ayant tout un tas d'émotions qui m'avais traversé , en partie à cause d'une personne : toi. Je n'avais qu'entendus des histoires à ton sujet, je n'avais jusqu'à présent, jamais eu le plaisir de te rencontrer. Mais quand j'avais vue ce visage fin, aux traits doux et mystérieux, ses yeux d'un bleu profond et d'un sourire bien que parfois forcé, des plus adorables. Arya m'avais traité d'idiote amoureuse transit, un truc qui n'avait aucun sens mais en tout cas elle c'était moquée de moi en partie et j'aurais réellement souhaité la tuer sur place, à ce moment. Mais c'était toujours comme ça, entre nous. Donc un jour de plus ou de moins encore en vie, ça n'allait pas changer. En tout cas, j'étais tombé sous ton charme et surtout, tu étais un personnage d'importance, un futur roi. C'était vraiment une chance de te rencontrer et bien que j'avais souvent été muette en ta compagnie par pure timidité, je me sentais super stupide après, quand je songeais à mes paroles, à tes paroles. Mais bon...Tant que je restais moi-même et surtout convenable, c'était l'essentiel.
Je m'étais donc donné pour objectif, dés le lendemain, d'être moins sotte, d'être plus ouverte avec toi. Je voulais paraître bien et surtout bien élevée à tes yeux, je savais que je ne pouvais pas rivaliser avec les belles femmes du Sud, nous n'avions rien de particulier nous, les gens du Nord. Il suffisait de voir Winterfell qui n'était pas particulièrement radieux et rayonnant. Les lieux étaient froids, humides... Ma fois. Ce matin, il faisait bien brumeux quand je m'éveillais donc. Je devais faire mes leçons avec ma gouvernante. Nous étions en train de faire de la broderie, elle m'apprenait à faire un point assez complexe quand mon idiote de sœur vint à râler qu'elle en avait marre de faire ça car oui, elle devait faire pareil que moi et bien sûr, elle ne faisait jamais rien jusqu'au bout puisqu'elle détestait la couture en général. Et bien sûr en faisant l'idiote en jouant à un combat d'épée fictif, elle donna un coup d'aiguille à broder dans la lampe à huile proche de moi qui tomba directement sur ma broderie et s'enflamma. Et bien évidemment, les ennuis commençaient..
Après m'être violemment pris le bec avec cette idiote, ma mère avait donc débarqué et autant grondé l'une que l'autre. J'en avais marre de prendre pour les bêtises de cette idiote, vraiment je me demandais si c'était vraiment ma sœur, car elle était stupide, vraiment stupide. J'avais donc quitté la salle, les larmes aux yeux, brillants de colère mais aussi de tristesse car elle avait fichu en l'air une broderie que j'avais mis des semaines à bien faire et que je comptais offrir à Dacey. Je m'étais donc accoudé à un rebord d'une des tourelles donnant sur un petit jardin et le bois, rageant intérieurement en essuyant mes larmes quand j'entend soudainement un bruit de pas dans mon dos et je fus un peu mal à l'aise en voyant ta personne assez surpris de me voir comme ça. J'essuie vite mon visage en regardant sur le côté avant de m'incliner :
« Prince Aegon. J'espère que vous avez passé une bonne nuit à Winterfell.. » Disais-je en essayant de pas paraître déconfite ou autre, voyant que j'avais été remarqué par la seule personne que je ne voulais pas croiser dans ce genre de moment.
AVENGEDINCHAINS
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Il y avait à Winterfell une ambiance assez particulière qu'il était très difficile de clairement évaluer. Tout semblait s'y dérouler avec une sorte de lenteur, une légère torpeur, comme si le château entier manquait de sommeil. On était loin des couloirs du Donjon Rouge où il n'était pas rare de croiser un page courant à perdre allène ou une septa courant après sa jeune maîtresse elle même en train d'essayer d'attraper un chaton en pleine chasse à la souris. Ici tout le château semblait plus calme et plus serein. Cela aurait dut faire du bien à l'esprit quelque peu tourmenter du jeune prince Targaryen, mais il n'en était rien. Cette lenteur et ce calme lui tapait passablement sur les nerfs. Impossible de se concentrer sur autre chose que des dangers mortels ou d'antiques prophéties des plus lugubres. Lorsque aucun événement ne vous permet de faire autrement.
Le mariage de Robb avait été une très agréable distraction et, si ce n'était ce fauteur de trouble de Ramsay Snow, la fête aurait été très agréable. Les Stark avaient mit les petits plats dans les grands et lord Eddard avait fait des efforts louables pour se montrer un bon hôte compte tenu de l'animosité qui régnait encore entre lui et Rhaegar. C'était peut-être pour cela que le roi avait à tout prix cherché à éviter Winterfell et n'était pas resté pour le mariage. C'était une chose de vivre en bonne intelligence avec le loup lorsque tout se qu'on lui demandait c'était de bien gérer ses terres et qu'on était à l'autre bout du royaume. C'était autre chose d'aller le titiller directement dans son antre.
Et puis, l'une des bonnes surprise avait été Sansa Stark. Elle était un peu plus jeune que lui, mais plutôt jolie à regarder. Elle avait été plutôt gentille, mais distante. Sans doute une marque d'un grande timidité. En tout cas, la demoiselle semblait être une personne qui gagnait à être connue malgré son style vestimentaire.
En posant quelques question aux serviteurs, Aegon avait apprit que la demoiselle fabriquait elle même ses robes depuis plusieurs années déjà. Bien sur, quant on voyait le côté frustre de Winterfell, on comprenait sans peine qu'ici, les dames étaient leurs propre couturières. Et Aegon devait bien avouer que les vêtements étaient réussi. Il n'était pas un expert, mais la jeune femme avait apparemment un certain talent pour manier l'aiguille. Pour autant... par les sept que ces tenues étaient tristes.
Les cols fermés, les robes rembourrés, les manches très longues... au Donjon Rouge, il fallait être une septa pour qu'on vous pardonne un tel goût vestimentaire. Sans quoi vous auriez tôt fait de faire siffler toutes les langues de vipère de la cour. Pour autant, après avoir passé deux jours dans la citadelle du nord, Aegon comprenait ce choix de vêtement. C'était là une question de survie. Pas question de se balader avec une chemise ouverte ou avec les robes à décolleté de Port-Réal sans attraper une pneumonie.
Lui même n'avait jamais autant porté de cape, d'hermines et de moufles de laine avant de venir à Winterfell.
C'est d'ailleurs en se débattant avec sa paire de moufles tout en cherchant à retrouver son chemin dans la forteresse qu'il tomba sur la jeune femme.
Visiblement quelque chose s'était mal passé dans sa journée. Malgré l'air calme qu'elle tentait d'afficher, elle avait visiblement passé un mauvais moment. Et puis, sa révérence et ses efforts ne purent pas dissimuler les quelques traces qui brunissait sa robe. Est-ce qu'elle s'était trop approchée d'une cheminée ? C'est bien possible en effet.
« Bonjour lady Sansa, fit Aegon en lui rendant son salut. »
Difficile de savoir quoi dire à la jeune femme. D'autant plus qu'il avait toujours son problème de moufles qu'il cherchait à résoudre sans en avoir trop l'air pour ne pas paraître ridicule.
« J'ai passé une excellente nuit, dit-il. Et j'avoue que je n'avais jamais autant aimer disposer d'une couverture de fourrure. »
Pendant la nuit, un pieds aventureux s'était écarté de la couverture, cherchant à savoir se qui se trouvait au dehors. Il était rapidement rentré à l’abri de ce froid humide contre lequel les flammes de la cheminée tentait tant bien que mal de lutter.
Il jeta un petit coup d’œil par la fenêtre en se demandant ce qu'elle était en train de regarder et en cherchant un moyen de continuer cette conversation fortuite, mais tout de même prometteuse.
« Dites moi lady Sansa, est-ce que vous savez vous adresser aux barral ? »
une question somme toute stupide. Bien sur qu'elle savait comment on pouvait le faire. Comment pourrait-il en être autrement. Elle avait beau plus ressembler à une Tully qu'à son père, elle n'en restait pas moins une Stark, descendante des Rois du Nord, héritière des Premiers Hommes et de leurs croyances. Le doute n'était pas permis quant au fait qu'elle sache s'adresser aux anciens dieux.
« Voilà lady Sansa, j'aurais une question à pauser aux dieux. Mais nous sommes ici dans le Nord, le domaine des Anciens Dieux, je ne voudrais pas les offenser en posant la question aux Sept. Et puis, je crains également que les Sept ne soient pas assez anciens pour détenir la réponse à ma question. »
Il doutait d'obtenir une réponse de toute façon. Personne n'était assez âgés pour la lui donner si ce n'était les dieux. Et ceux-ci avaient toujours la salle habitude de rester parfaitement muet. Quant bien même les barrals avaient des bouches et les statues des Sept également, ils ne répondaient jamais. Mais à défaut d'une réponse, il pourrait au moins passer un peu de temps avec la jeune Stark et c'était déjà cela de gagné pour lui.
« Pourriez vous me montrer comment on s'adresse aux Anciens Dieux ? »
Le mariage de Robb avait été une très agréable distraction et, si ce n'était ce fauteur de trouble de Ramsay Snow, la fête aurait été très agréable. Les Stark avaient mit les petits plats dans les grands et lord Eddard avait fait des efforts louables pour se montrer un bon hôte compte tenu de l'animosité qui régnait encore entre lui et Rhaegar. C'était peut-être pour cela que le roi avait à tout prix cherché à éviter Winterfell et n'était pas resté pour le mariage. C'était une chose de vivre en bonne intelligence avec le loup lorsque tout se qu'on lui demandait c'était de bien gérer ses terres et qu'on était à l'autre bout du royaume. C'était autre chose d'aller le titiller directement dans son antre.
Et puis, l'une des bonnes surprise avait été Sansa Stark. Elle était un peu plus jeune que lui, mais plutôt jolie à regarder. Elle avait été plutôt gentille, mais distante. Sans doute une marque d'un grande timidité. En tout cas, la demoiselle semblait être une personne qui gagnait à être connue malgré son style vestimentaire.
En posant quelques question aux serviteurs, Aegon avait apprit que la demoiselle fabriquait elle même ses robes depuis plusieurs années déjà. Bien sur, quant on voyait le côté frustre de Winterfell, on comprenait sans peine qu'ici, les dames étaient leurs propre couturières. Et Aegon devait bien avouer que les vêtements étaient réussi. Il n'était pas un expert, mais la jeune femme avait apparemment un certain talent pour manier l'aiguille. Pour autant... par les sept que ces tenues étaient tristes.
Les cols fermés, les robes rembourrés, les manches très longues... au Donjon Rouge, il fallait être une septa pour qu'on vous pardonne un tel goût vestimentaire. Sans quoi vous auriez tôt fait de faire siffler toutes les langues de vipère de la cour. Pour autant, après avoir passé deux jours dans la citadelle du nord, Aegon comprenait ce choix de vêtement. C'était là une question de survie. Pas question de se balader avec une chemise ouverte ou avec les robes à décolleté de Port-Réal sans attraper une pneumonie.
Lui même n'avait jamais autant porté de cape, d'hermines et de moufles de laine avant de venir à Winterfell.
C'est d'ailleurs en se débattant avec sa paire de moufles tout en cherchant à retrouver son chemin dans la forteresse qu'il tomba sur la jeune femme.
Visiblement quelque chose s'était mal passé dans sa journée. Malgré l'air calme qu'elle tentait d'afficher, elle avait visiblement passé un mauvais moment. Et puis, sa révérence et ses efforts ne purent pas dissimuler les quelques traces qui brunissait sa robe. Est-ce qu'elle s'était trop approchée d'une cheminée ? C'est bien possible en effet.
« Bonjour lady Sansa, fit Aegon en lui rendant son salut. »
Difficile de savoir quoi dire à la jeune femme. D'autant plus qu'il avait toujours son problème de moufles qu'il cherchait à résoudre sans en avoir trop l'air pour ne pas paraître ridicule.
« J'ai passé une excellente nuit, dit-il. Et j'avoue que je n'avais jamais autant aimer disposer d'une couverture de fourrure. »
Pendant la nuit, un pieds aventureux s'était écarté de la couverture, cherchant à savoir se qui se trouvait au dehors. Il était rapidement rentré à l’abri de ce froid humide contre lequel les flammes de la cheminée tentait tant bien que mal de lutter.
Il jeta un petit coup d’œil par la fenêtre en se demandant ce qu'elle était en train de regarder et en cherchant un moyen de continuer cette conversation fortuite, mais tout de même prometteuse.
« Dites moi lady Sansa, est-ce que vous savez vous adresser aux barral ? »
une question somme toute stupide. Bien sur qu'elle savait comment on pouvait le faire. Comment pourrait-il en être autrement. Elle avait beau plus ressembler à une Tully qu'à son père, elle n'en restait pas moins une Stark, descendante des Rois du Nord, héritière des Premiers Hommes et de leurs croyances. Le doute n'était pas permis quant au fait qu'elle sache s'adresser aux anciens dieux.
« Voilà lady Sansa, j'aurais une question à pauser aux dieux. Mais nous sommes ici dans le Nord, le domaine des Anciens Dieux, je ne voudrais pas les offenser en posant la question aux Sept. Et puis, je crains également que les Sept ne soient pas assez anciens pour détenir la réponse à ma question. »
Il doutait d'obtenir une réponse de toute façon. Personne n'était assez âgés pour la lui donner si ce n'était les dieux. Et ceux-ci avaient toujours la salle habitude de rester parfaitement muet. Quant bien même les barrals avaient des bouches et les statues des Sept également, ils ne répondaient jamais. Mais à défaut d'une réponse, il pourrait au moins passer un peu de temps avec la jeune Stark et c'était déjà cela de gagné pour lui.
« Pourriez vous me montrer comment on s'adresse aux Anciens Dieux ? »
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