Le feu est une douce caresse sur les écailles d'un dragon... ft. Viserys Targaryen
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« Look in the mirror and tell me, who do you see ? Is it still you? Or is it me?
Become the beast, we don’t have to hide, do I terrify you or do you feel alive? Do you feel the hunger, does it howl inside? Does it terrify you? Or do you feel alive? So embrace the darkness and I will help you see, that you can be limitless and fearless if you follow with me. We are the lions in a world of lambs. We are the predators, the hunters.»
Become the beast, we don’t have to hide, do I terrify you or do you feel alive? Do you feel the hunger, does it howl inside? Does it terrify you? Or do you feel alive? So embrace the darkness and I will help you see, that you can be limitless and fearless if you follow with me. We are the lions in a world of lambs. We are the predators, the hunters.»
Le feu est une douce caresse sur les écailles d'un dragon...
Melisandre, prêtresse rouge. Elle pouvait se montrer redoutable. Mais parfois, elle avait besoin de prendre des risques, elle l'avait bien compris depuis son échec à Port-Réal, l'échec de ses visions. Elle ne pouvait que se fier à son instinct, persuadée qu'il était guidé par R'hllor lui-même. Il lui avait parlé, il lui avait montré Port-Réal, il lui avait montré des flammes jaillissantes dans les hauteurs, il lui avait montré que quelqu'un d'important se trouvait là-bas.
Maintenant que le roi Rhaegar était exilé, c'était l'occasion ou jamais d'entrer dans Port-Réal et rencontrer ce nouveau roi. Viserys III Targaryen lui avait-on soufflé. Elle était, comme à son habitude, accompagnée de Bronn et Sigurd, ses gardes personnels. Bronn la servait encore au nom de Stannis Baratheon, elle n'avait pas pris la peine de se demander pourquoi il avait pu la suivre jusqu'à Port-Réal lorsqu'il était tenu de la protéger au Conflans et dans l'Orage mais elle ne demandait pas mieux : sa fidélité venait. Sigurd, lui, était totalement soumis à son bon vouloir et celui du seul et unique dieu, cela se voyait dans son regard : il y croyait. Ainsi donc, Melisandre avait dans l'idée de parler au roi Viserys III Targaryen. La politique n'était pas tant son affaire, les hommes allaient et venaient sur ce trône, nombreux avaient été ceux s'étant assis dessus, nombreux avaient été les rois et les prétendants au trône. Pour elle, ils n'étaient que de la chair, des personnes guidées par un destin particulier. Ils n'étaient que de la chair obéissant à leur propre besoin.
Elle était consciente de faire parti de ces tas de chair, mais elle était aussi consciente que son devoir était de servir le dieu lumière et prêcher la bonne parole. Qui de mieux pour cela qu'un roi dragon dont la folie avait été de prendre le trône de son frère Rhaegar Targaryen ? C'était risqué, elle le savait, Viserys III était peut-être bien aux faits de qui avait attaqué Port-Réal et qu'elle pouvait en être la cause, ils n'avaient jamais vu son visage mais si bien des hommes de sa trempe avaient été pendus, alors qu'est-ce que Viserys pouvait bien lui faire. La brûler ? Au moins, cette mort serait la plus pure et la plus délicieuse qui soit.
Il lui paraissait soudain comme une évidence qu'il ne pouvait être qu'un dragon pour croire au culte de R'hllor. Comme deux choses liées étroitement, le dragon n'aurait qu'un mot à dire et les flammes du dieu lumière s'étendraient par delà les horizons. Exactement ce qu'elle désirait. Pour connaître l'individue, il lui suffisait d'un regard. Par chance, il avait accepté une entrevue avec la prêtresse rouge. Elle s'avançait gracieusement jusqu'à lui, elle portait en ce jour une longue robe rouge et sa longue chevelure de feu était parfaitement brossée, elle désirait faire bonne impression, c'est par cela que tout commençait. La chair attirée par la chair. Ses gardes restaient derrière elle, l'un dépassant les deux mètres avaient les allures d'un ours, son odeur n'était pas des plus agréables et ses lames n'étaient pas les plus belles mais elle n'avait aucun doute sur ses capacités au combat : c'était un véritable ours. Bronn, lui, n'était certes pas très grand, pas fort musclé mais elle n'avait aucun doute non plus sur ses capacités de combat. Mais ils n'étaient guère là pour la protéger, les mots et son apparence si belle qu'inquiétante la protégeait suffisamment. Elle aimait cet effet qu'elle faisait aux hommes, cette présence, ce fait que nombre d'homme la désirait mais sa beauté pouvait se trouver être très dérangeante. Ses yeux rouge, sûrement. Une rareté, une particularité bien à elle, au même titre que les Targaryen avaient les yeux lilas. Elle offrit un léger sourire à Viserys III Targaryen, lui offrit une révérence puis attendait qu'il lui donne la parole pour s'annoncer.
En un regard, elle avait compris qui était Viserys III Targaryen. C'est donc avec bien plus d'assurance qu'elle reprit.
Mentir quelque peu n'avait rien de mauvais en soit. Elle manipulait les mots avec subtilité, sa voix était assurée, elle se tenait droite tout en regardant l'homme face à elle. Peut-être n'était-il pas celui qu'elle recherchait mais l'idée qu'un roi puisse entendre ce qu'elle et le dieu lumière avaient à dire serait d'une très grande aide.
Maintenant que le roi Rhaegar était exilé, c'était l'occasion ou jamais d'entrer dans Port-Réal et rencontrer ce nouveau roi. Viserys III Targaryen lui avait-on soufflé. Elle était, comme à son habitude, accompagnée de Bronn et Sigurd, ses gardes personnels. Bronn la servait encore au nom de Stannis Baratheon, elle n'avait pas pris la peine de se demander pourquoi il avait pu la suivre jusqu'à Port-Réal lorsqu'il était tenu de la protéger au Conflans et dans l'Orage mais elle ne demandait pas mieux : sa fidélité venait. Sigurd, lui, était totalement soumis à son bon vouloir et celui du seul et unique dieu, cela se voyait dans son regard : il y croyait. Ainsi donc, Melisandre avait dans l'idée de parler au roi Viserys III Targaryen. La politique n'était pas tant son affaire, les hommes allaient et venaient sur ce trône, nombreux avaient été ceux s'étant assis dessus, nombreux avaient été les rois et les prétendants au trône. Pour elle, ils n'étaient que de la chair, des personnes guidées par un destin particulier. Ils n'étaient que de la chair obéissant à leur propre besoin.
Elle était consciente de faire parti de ces tas de chair, mais elle était aussi consciente que son devoir était de servir le dieu lumière et prêcher la bonne parole. Qui de mieux pour cela qu'un roi dragon dont la folie avait été de prendre le trône de son frère Rhaegar Targaryen ? C'était risqué, elle le savait, Viserys III était peut-être bien aux faits de qui avait attaqué Port-Réal et qu'elle pouvait en être la cause, ils n'avaient jamais vu son visage mais si bien des hommes de sa trempe avaient été pendus, alors qu'est-ce que Viserys pouvait bien lui faire. La brûler ? Au moins, cette mort serait la plus pure et la plus délicieuse qui soit.
Il lui paraissait soudain comme une évidence qu'il ne pouvait être qu'un dragon pour croire au culte de R'hllor. Comme deux choses liées étroitement, le dragon n'aurait qu'un mot à dire et les flammes du dieu lumière s'étendraient par delà les horizons. Exactement ce qu'elle désirait. Pour connaître l'individue, il lui suffisait d'un regard. Par chance, il avait accepté une entrevue avec la prêtresse rouge. Elle s'avançait gracieusement jusqu'à lui, elle portait en ce jour une longue robe rouge et sa longue chevelure de feu était parfaitement brossée, elle désirait faire bonne impression, c'est par cela que tout commençait. La chair attirée par la chair. Ses gardes restaient derrière elle, l'un dépassant les deux mètres avaient les allures d'un ours, son odeur n'était pas des plus agréables et ses lames n'étaient pas les plus belles mais elle n'avait aucun doute sur ses capacités au combat : c'était un véritable ours. Bronn, lui, n'était certes pas très grand, pas fort musclé mais elle n'avait aucun doute non plus sur ses capacités de combat. Mais ils n'étaient guère là pour la protéger, les mots et son apparence si belle qu'inquiétante la protégeait suffisamment. Elle aimait cet effet qu'elle faisait aux hommes, cette présence, ce fait que nombre d'homme la désirait mais sa beauté pouvait se trouver être très dérangeante. Ses yeux rouge, sûrement. Une rareté, une particularité bien à elle, au même titre que les Targaryen avaient les yeux lilas. Elle offrit un léger sourire à Viserys III Targaryen, lui offrit une révérence puis attendait qu'il lui donne la parole pour s'annoncer.
« Mon roi, je me nomme Melisandre. Je tiens tout d'abord à vous féliciter pour votre règne, nul doute que les choses à Westeros seront désormais plus active, bien différentes. »
En un regard, elle avait compris qui était Viserys III Targaryen. C'est donc avec bien plus d'assurance qu'elle reprit.
« Je viens vers vous aujourd'hui, car je pense qu'un roi tel que vous saurez entendre ce que j'ai à dire. Votre frère n'a jamais tenu rigueur aux personnes tel que moi, mais vous, vous êtes différent. Quelque chose me dit qu'un si grand dragon a besoin de montrer sa puissance. Oh, vous le faites parfaitement depuis votre prise de pouvoir, je ne remets pas cela en doute un seul instant. Mais je viens vous proposer la flamme qui manque au puissant dragon. Le feu puissant, la grande lumière du seul et unique dieu R'hllor. J'ai vu à travers les flammes que votre heure viendrait, que votre tour sur le trône viendrait. Me voilà donc face à vous pour vous offrir la chose la plus pure qui soit en ce monde, vous communiquer la parole du dieu lumière. »
Mentir quelque peu n'avait rien de mauvais en soit. Elle manipulait les mots avec subtilité, sa voix était assurée, elle se tenait droite tout en regardant l'homme face à elle. Peut-être n'était-il pas celui qu'elle recherchait mais l'idée qu'un roi puisse entendre ce qu'elle et le dieu lumière avaient à dire serait d'une très grande aide.
« Qu'est-ce qu'un dragon sans flamme, roi Viserys III Targaryen ? Votre frère n'en avait pas. Vous, vous pouvez l'avoir. »
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Melissandre & Viserys
Ce matin est le commencement d'une journée s'annonçant très intéressante. A peine sortie de mon lit, ma servante m'annonce la venu d'une sorcière rouge nommée Melissandre. Sa demande d'audience pour me rencontrer attise mon attention et, depuis, j'admet que ma curiosité me démange. J'ai déjà entendu parlé de cette femme. On dit qu'elle fut, à une époque, au service de Stannis. Je suis impatient de savoir pourquoi elle l'a si soudainement abandonné, et surtout ce qu'elle a de si important à me dire.
Je suis fièrement assis sur le trône de fer. Les épées de ce dernier forme une immense couronne au dessus de ma tête. Les crânes de dragon accrochés de part et d'autre de la grande salle semblent veiller à ma sécurité d'un œil sournois et sombre. D'un silence macabre. Personne n'aurait cru que j'incarnerai le rôle de roi de cette manière. Je ne ressemble ni à mon frère, ni à mon père. Je semble être au dessus de tout ça. Au dessus de sa cruauté. Au dessus de sa folie. Il faut sans aucun doute se méfier du dragon qui sommeil.
Je lève les yeux lorsque la dame entre en compagnie de ces deux gorilles. Voici d'ailleurs la première chose qui attire mon attention. Ce géant de plus de deux mètres et ce petit homme semblant d'une agilité avancé. Je souris un peu, amusé par leur sérieux qui, pour ma part, me semble peu crédible. Mes yeux d'améthystes se posent ensuite sur la jeune femme avançant d'un pas sur devant eux. Je suis surpris de voir aujourd'hui une merveille d'une telle rareté. Ses cheveux rouges ondules comme des flammes ardentes tandis que ses lèvres et ses yeux s'embrasent au cœur d'un volcan. Ma curiosité est nourrit par ce mystère qu'elle traine derrière elle. J'ai hâte de découvrir ce qu'elle prépare.
J'exécute un bref geste de la tête en guise de salut et d'autorisation de prendre la parole. Elle se présente alors en faisant l'éloge de ma prise de pouvoir. Je l'écoute attentivement, sans l'interrompre. Aussi mystérieux et impassible que possible. Je laisse ce masque inexpressif sur mon visage afin quelle n'ai aucune idée de mes sentiments. J'admets que ses paroles sont très attrayante puisque ce qui manque à notre famille sont les flammes des dragons autrefois si puissante. Cependant, est-elle sincère ou s'amuse t-elle à me raconter ses mots aguicheurs pour m'embarquer en ruse? Est-elle vraiment capable de communiquer avec ce soit disant dieux? Je me laisse le bénéfice du doute.
Je m'arrête alors juste devant elle, sans même porter la moindre attention aux deux hommes derrière. Étant plus grand qu'elle, je baisse légèrement la tête. Mes yeux lilas sont plantés dans ses surprenant yeux rouges sangs. Je les contemple tout en ajoutant.
Je suis fièrement assis sur le trône de fer. Les épées de ce dernier forme une immense couronne au dessus de ma tête. Les crânes de dragon accrochés de part et d'autre de la grande salle semblent veiller à ma sécurité d'un œil sournois et sombre. D'un silence macabre. Personne n'aurait cru que j'incarnerai le rôle de roi de cette manière. Je ne ressemble ni à mon frère, ni à mon père. Je semble être au dessus de tout ça. Au dessus de sa cruauté. Au dessus de sa folie. Il faut sans aucun doute se méfier du dragon qui sommeil.
Je lève les yeux lorsque la dame entre en compagnie de ces deux gorilles. Voici d'ailleurs la première chose qui attire mon attention. Ce géant de plus de deux mètres et ce petit homme semblant d'une agilité avancé. Je souris un peu, amusé par leur sérieux qui, pour ma part, me semble peu crédible. Mes yeux d'améthystes se posent ensuite sur la jeune femme avançant d'un pas sur devant eux. Je suis surpris de voir aujourd'hui une merveille d'une telle rareté. Ses cheveux rouges ondules comme des flammes ardentes tandis que ses lèvres et ses yeux s'embrasent au cœur d'un volcan. Ma curiosité est nourrit par ce mystère qu'elle traine derrière elle. J'ai hâte de découvrir ce qu'elle prépare.
J'exécute un bref geste de la tête en guise de salut et d'autorisation de prendre la parole. Elle se présente alors en faisant l'éloge de ma prise de pouvoir. Je l'écoute attentivement, sans l'interrompre. Aussi mystérieux et impassible que possible. Je laisse ce masque inexpressif sur mon visage afin quelle n'ai aucune idée de mes sentiments. J'admets que ses paroles sont très attrayante puisque ce qui manque à notre famille sont les flammes des dragons autrefois si puissante. Cependant, est-elle sincère ou s'amuse t-elle à me raconter ses mots aguicheurs pour m'embarquer en ruse? Est-elle vraiment capable de communiquer avec ce soit disant dieux? Je me laisse le bénéfice du doute.
- « Pardonnez moi si je vous importune, mais vous venez me voir aujourd'hui avec de bien belle parole milady. Qui me dit que ce discours n'a pas déjà était dicté à Stannis Baratheon ? Ce dernier est, il me semble, dans une mauvaise posture en ce moment même. » Dis je avant de me lever et de descendre doucement les escaliers. « Je ne vous cache pas que je suis intéressé par votre... Dieu. La description que vous me faites de lui m'interpelle. Mais est il capable de me prouver que j'ai quelque chose à gagner avec lui?... »
Je m'arrête alors juste devant elle, sans même porter la moindre attention aux deux hommes derrière. Étant plus grand qu'elle, je baisse légèrement la tête. Mes yeux lilas sont plantés dans ses surprenant yeux rouges sangs. Je les contemple tout en ajoutant.
- « ... Êtes vous seulement capable de me prouver qu'il existe? » Demandais je malicieusement. « Je crains malheureusement de ne pas être le genre d'homme qui crois ce qu'on lui dit. Je préfère voir de mes propres yeux avant d'y consacrer ma foi. » Ajoutais je.
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« Look in the mirror and tell me, who do you see ? Is it still you? Or is it me?
Become the beast, we don’t have to hide, do I terrify you or do you feel alive? Do you feel the hunger, does it howl inside? Does it terrify you? Or do you feel alive? So embrace the darkness and I will help you see, that you can be limitless and fearless if you follow with me. We are the lions in a world of lambs. We are the predators, the hunters.»
Become the beast, we don’t have to hide, do I terrify you or do you feel alive? Do you feel the hunger, does it howl inside? Does it terrify you? Or do you feel alive? So embrace the darkness and I will help you see, that you can be limitless and fearless if you follow with me. We are the lions in a world of lambs. We are the predators, the hunters.»
Le feu est une douce caresse sur les écailles d'un dragon...
Melisandre regardait longuement le dragon face à elle, qui, lui répondant, descendait de ses escaliers. Elle ne baissait pas les yeux ni la tête un seul instant, pas une seule seconde. Il parlait alors de Stannis Baratheon, ce qui la fit presque sourire. Mais, polie, elle attendait qu'il ait fini son discours pour lui répondre, piquée par ses dernières répliques, il s'agissait d'un roi, voilà pourquoi elle se gardait de certaines paroles et se contentait d'un sourire narquois.
Elle le regardait dans les yeux à son tour, souriant malicieusement.
Elle sortait quelque chose de sa poche. Une petite fiole. Elle la montrait alors au roi, un nouveau sourire sur ses lèvres rouges se dessinant.
Elle prit sans gêne aucune l'une des main du Targaryen, sa propre main était chaude, sa peau était des plus douce mais bien plus chaude que la normale, elle déposait dans sa main la petite fiole bleu foncé et la refermait. Un brasero, un feu de cheminé, un feu unique suffisait.
Sigurd jusque là discret se permettait alors d'émettre un mot.
« Ce discours a été prononcé à Stannis Baratheon, mais Stannis Baratheon ne m'a pas écouté et voilà où il en est. Stannis Baratheon a préféré suivre ses envies et ses idées que suivre mes conseils et il a été défait ici-même. Rhaegar Targaryen n'a accordé aucun crédit au dieu R'hllor et il a été défait ici-même. »
Elle le regardait dans les yeux à son tour, souriant malicieusement.
« Tout homme réfléchit devrait agir ainsi. Vous faites bien de vous y intéresser. Mais il n'a rien à prouver, c'est à vous de le voir à travers les flammes. C'est à vous de trouver les réponses à vos questions à travers le feu. Et je suis là pour cela, vous aider à voir, à lire. Peut être y lirez vous vos victoires, où se trouvent vos ennemis et comment les défaire. Le dieu lumière peut vous aider à beaucoup de chose si vous décidez de lui ouvrir les yeux et le cœur. »
Elle sortait quelque chose de sa poche. Une petite fiole. Elle la montrait alors au roi, un nouveau sourire sur ses lèvres rouges se dessinant.
« Vous êtes un homme avisé. Prenez cette fiole. Quelque gouttes dans les flammes et contemplez, cher roi. N'ayez pas peur des flammes. Vous êtes un dragon, vous êtes fais pour cela. Voyez et comprenez, les flammes danseront et vous guideront, et là vous saurez. Mon but est de vous aider à voir la vérité. Les Targaryen ont toujours su que le feu était pur mais ils n'ont jamais été guidés comme il le fallait. Je suis de votre côté maintenant. »
Elle prit sans gêne aucune l'une des main du Targaryen, sa propre main était chaude, sa peau était des plus douce mais bien plus chaude que la normale, elle déposait dans sa main la petite fiole bleu foncé et la refermait. Un brasero, un feu de cheminé, un feu unique suffisait.
« Les flammes vous montreront tout ce que vous désirez voir. Il suffit juste de voir au delà de ce que les communs des mortels voient. Plus loin que le bout de leur nez. Eux, ne sont pas prêt à cela. Ils n'ont pas tous ces capacités mais vous les avez mon roi, je n'aurais pas fais tout ce déplacement et quitté Stannis Baratheon si je n'en étais pas sûre. »
Sigurd jusque là discret se permettait alors d'émettre un mot.
« Messire, je me refusais à y croire mais Lady Melisandre avait raison depuis le début et maintenant je vois. »
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Melissandre & Viserys
Le regard rougeoyant de Melisandre qui me fixe est très agréable. Il m'apporte étrangement une source de chaleur. Cette femme dégage un aura mystérieux et attractif. Étant en parfaite admiration devant elle, j'ai hâte d'en savoir plus sur sa personne et sur le dieu à qui elle a dévoué sa vie entière.
Sa réponse me surprend agréablement. Cette fanatique a un sacré répondant. Mon sourire ne cache pas que je suis satisfait de ce qui me parait être une qualité chez une femme. Je bois ses paroles comme une source d'eau fraiche. Mes yeux d'améthyste l'observent sortir cette petite fiole de sa poche, intrigué. Sa main s'empare ensuite de la mienne tandis que nos peaux étrangement chaudes, l'une comme l'autre, s'échangent d'incontrôlables frissons. Je suis entièrement conquis par ses paroles mais laisse très peu de sentiment traverser mon visage. Je ne dois en aucun cas m'emballer. Je dois voir moi aussi. Pour être sur. Pour croire.
Je jette un bref coup d'œil à l'un des hommes de main de la dame rouge qui s'adresse à moi, pour ensuite poser mes yeux sur cette dernière avant de refermer mes doigts sur la fiole.
Mon regard se lève vers une servante, un peu plus loin. Il n'a suffit qu'un geste de la tête pour qu'elle s'éloigne. En attendant, je laisse mon esprit vagabonder dans mes pensées troublantes. J'admet que toute cette histoire m'intrigue, me laisse perplexe. J'ai du mal a y croire, mais je sais que je suis capable de croire à tout. Si, et uniquement si, on me prouve la réalité.
La domestique revient quelque instant plus tard muni d'une torche, suivit de deux gardes portant un brasero. Une fois ce dernier posé prêt de moi, elle l'enflamme sans plus tarder. Je m'avance en observant les flammes puis ouvre doucement le bouchon de la petite fiole pour y verser quelques gouttes.
En l'espace d'un instant, mes yeux s'illuminent d'une splendeur bouillonnante. Je vois. Je vois cet homme au milieu des flammes. Je vois sa puissance. Son pouvoir. Je le vois étendre ses bras vers le ciel. Je le vois avaler les flammes et grandir. Encore et encore. Il se recouvre d'écailles aussi sombre que de la suie. Je vois cette lueur rougeoyante entre chacune d'entre elles, tel un brasier recouvert de cendre, prêt a s'enflammer de nouveau. Brutalement. Violement. Je le vois s'envoler haut dans le ciel. ... Je le vois dominer le monde.
Mes yeux d'améthystes, ébahi, se relèvent sur la prêtresse rouge. Je la regarde un instant. Les mots me manque. Le souffle me manque. Je respire alors de nouveau tandis qu'un sourire apparaît sur mes lèvres, conquis par ce qui vient de se produire. Conquis par les mots et les images que Melisandre me donnent.
Sa réponse me surprend agréablement. Cette fanatique a un sacré répondant. Mon sourire ne cache pas que je suis satisfait de ce qui me parait être une qualité chez une femme. Je bois ses paroles comme une source d'eau fraiche. Mes yeux d'améthyste l'observent sortir cette petite fiole de sa poche, intrigué. Sa main s'empare ensuite de la mienne tandis que nos peaux étrangement chaudes, l'une comme l'autre, s'échangent d'incontrôlables frissons. Je suis entièrement conquis par ses paroles mais laisse très peu de sentiment traverser mon visage. Je ne dois en aucun cas m'emballer. Je dois voir moi aussi. Pour être sur. Pour croire.
Je jette un bref coup d'œil à l'un des hommes de main de la dame rouge qui s'adresse à moi, pour ensuite poser mes yeux sur cette dernière avant de refermer mes doigts sur la fiole.
- « Alors moi aussi je veux voir, sans plus tarder. » Dis je malicieusement, un sourire en coin.
Mon regard se lève vers une servante, un peu plus loin. Il n'a suffit qu'un geste de la tête pour qu'elle s'éloigne. En attendant, je laisse mon esprit vagabonder dans mes pensées troublantes. J'admet que toute cette histoire m'intrigue, me laisse perplexe. J'ai du mal a y croire, mais je sais que je suis capable de croire à tout. Si, et uniquement si, on me prouve la réalité.
La domestique revient quelque instant plus tard muni d'une torche, suivit de deux gardes portant un brasero. Une fois ce dernier posé prêt de moi, elle l'enflamme sans plus tarder. Je m'avance en observant les flammes puis ouvre doucement le bouchon de la petite fiole pour y verser quelques gouttes.
- « Dois je réciter une incantation... ou quelque chose de ce genre? » Demandais je dans l'ignorance, sans quitter des yeux la danse ardente du feu.
En l'espace d'un instant, mes yeux s'illuminent d'une splendeur bouillonnante. Je vois. Je vois cet homme au milieu des flammes. Je vois sa puissance. Son pouvoir. Je le vois étendre ses bras vers le ciel. Je le vois avaler les flammes et grandir. Encore et encore. Il se recouvre d'écailles aussi sombre que de la suie. Je vois cette lueur rougeoyante entre chacune d'entre elles, tel un brasier recouvert de cendre, prêt a s'enflammer de nouveau. Brutalement. Violement. Je le vois s'envoler haut dans le ciel. ... Je le vois dominer le monde.
Mes yeux d'améthystes, ébahi, se relèvent sur la prêtresse rouge. Je la regarde un instant. Les mots me manque. Le souffle me manque. Je respire alors de nouveau tandis qu'un sourire apparaît sur mes lèvres, conquis par ce qui vient de se produire. Conquis par les mots et les images que Melisandre me donnent.
- « Et bien ma dame, je crois qu'a présent il me faut vous installer confortablement dans ma demeure. Ainsi, nous pourrons converser selon nos désirs. » Dis je alors en l'invitant à sortir de la salle du trône. M'apprêtant à lui présenter des appartements.
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Become the beast, we don’t have to hide, do I terrify you or do you feel alive? Do you feel the hunger, does it howl inside? Does it terrify you? Or do you feel alive? So embrace the darkness and I will help you see, that you can be limitless and fearless if you follow with me. We are the lions in a world of lambs. We are the predators, the hunters.»
Le feu est une douce caresse sur les écailles d'un dragon...
Il était conquis. Elle le savait, elle le voyait. Il buvait ses paroles à peine les avait-elle prononcée. Elle tenait le dragon, elle et son culte. Etait-ce si étonnant que cela ? Non, pas tant, mais c'était agréable. Nul doute que Viserys voulait changer de son frère et ses manières d'agir - si l'on pouvait appeler ça agir - pour quelque chose qui changerait Westeros entièrement. Changer son conseil aurait été une bonne chose, ceux qui avaient trahis son frère seraient sans doute capable de se retourner contre lui, notamment si ces personnes avaient déjà par le passé trahi Aerys Targaryen mais cela, elle en toucherait mot plus tard lorsqu'elle serait sûre à 100% d'avoir conquis le coeur et l'esprit du roi. Il fallait qu'il lui fasse confiance, qu'il voit qu'elle était sincère, qu'elle ne lui mentait pas - quelle crédibilité aurait-elle, elle et son culte sinon ?
Sigurd parlait et peut-être n'aurait-il pas du, et pourtant Viserys sentait - avait-elle l'impression - que si un bougre comme Sigurd voyait à travers les flammes, il ne pouvait qu'être de même pour lui, pourquoi un homme de si petite importance verrait et pas lui ? C'est ainsi qu'elle ressentait les choses quant à Viserys Targaryen. Il ordonnait et les choses allaient bien vite, chose qu'elle appréciait, que les servants fassent à la manière du roi et non pas à leur tête, qu'ils aient tout simplement peur de Viserys et de ses réactions si on ne faisait pas ce qu'il espérait quand il l'espérait. Cela commencerait donc par là, par la crainte et par la peur.
Melisandre fût sûrement la plus surprise des deux des réactions si vive des flammes face à Viserys, si les flammes étaient ses alliées elle ne s'était pas attendu à ce qu'elles répondent si vite à leur appel, ni même que Viserys, sans expérience pour ces choses là, réussissent à voir clairement ce qu'il fallait voir. Etait-ce là un autre signe ? Elle se postait derrière lui, regardant par dessus son épaule ce que les flammes désiraient lui montrer : les personnes autour d'eux devaient bien se demander ce qu'ils pouvaient voir dans ses flammes, pour eux -hormis Sigurd- tout ça n'était jamais que du feu. Elle appréciait néanmoins que pour une fois, Bronn se taise et s'évite certaines de ses réflexions qui aurait pu déranger le roi dans ses visions. Elle fût surprise que pour la première fois de Viserys, il puisse voir quelque chose de concrets. Elle sentait ses muscles se tendre, alors qu'elle s'était permise de le toucher, collant presque son dos. Son souffle chaud se répercutait contre le cou de Viserys, tout comme sa peau était bouillante son souffle paraissait presque incandescent : mais elle savait que pour un dragon cela ne serait qu'une caresse.
Elle se reculait lorsque sa vision fût terminer et lui-même se tournait vers elle, elle lui offrait un sourire - malicieux, certes - alors qu'il semblait tout à fait épris, fasciné. Il l'invitait à sortir de la salle pour la guider ailleurs et elle acceptait alors l'entrevue, sûrement aurait-il bon nombre de questions à lui poser sur son culte, et elle avait déjà de nombreuses réponses à lui donner, peut-être même des noms à lui donner, s'il était partant. Il fallait commencer quelque part, elle se permettait même une légère réflexion.
Un regard à Sigurd, elle voulait lui faire comprendre qu'il n'avait pas à s'inquiéter outre mesure et qu'il pouvait, lui et Bronn, rester là ou même partir dans la ville jusqu'à recevoir un signe de la prêtresse rouge. Elle n'avait peur de rien, si ce n'est la nuit noir loin des étoiles et de la moindre lumière. Elle avait de tout temps était persuadée que son apparence suffisait aux plus fous de la laisser en paix mais le roi ne semblait guère pris d'un quelconque effrois, d'un quelconque frisson. Mais ça n'était qu'un début, il apprendrait, elle lui apprendrait de quoi elle était capable, de quoi la lumière était capable... De quoi le feu était capable.
Sigurd parlait et peut-être n'aurait-il pas du, et pourtant Viserys sentait - avait-elle l'impression - que si un bougre comme Sigurd voyait à travers les flammes, il ne pouvait qu'être de même pour lui, pourquoi un homme de si petite importance verrait et pas lui ? C'est ainsi qu'elle ressentait les choses quant à Viserys Targaryen. Il ordonnait et les choses allaient bien vite, chose qu'elle appréciait, que les servants fassent à la manière du roi et non pas à leur tête, qu'ils aient tout simplement peur de Viserys et de ses réactions si on ne faisait pas ce qu'il espérait quand il l'espérait. Cela commencerait donc par là, par la crainte et par la peur.
« Laissez les flammes vous guider mon Roi. »
Melisandre fût sûrement la plus surprise des deux des réactions si vive des flammes face à Viserys, si les flammes étaient ses alliées elle ne s'était pas attendu à ce qu'elles répondent si vite à leur appel, ni même que Viserys, sans expérience pour ces choses là, réussissent à voir clairement ce qu'il fallait voir. Etait-ce là un autre signe ? Elle se postait derrière lui, regardant par dessus son épaule ce que les flammes désiraient lui montrer : les personnes autour d'eux devaient bien se demander ce qu'ils pouvaient voir dans ses flammes, pour eux -hormis Sigurd- tout ça n'était jamais que du feu. Elle appréciait néanmoins que pour une fois, Bronn se taise et s'évite certaines de ses réflexions qui aurait pu déranger le roi dans ses visions. Elle fût surprise que pour la première fois de Viserys, il puisse voir quelque chose de concrets. Elle sentait ses muscles se tendre, alors qu'elle s'était permise de le toucher, collant presque son dos. Son souffle chaud se répercutait contre le cou de Viserys, tout comme sa peau était bouillante son souffle paraissait presque incandescent : mais elle savait que pour un dragon cela ne serait qu'une caresse.
Elle se reculait lorsque sa vision fût terminer et lui-même se tournait vers elle, elle lui offrait un sourire - malicieux, certes - alors qu'il semblait tout à fait épris, fasciné. Il l'invitait à sortir de la salle pour la guider ailleurs et elle acceptait alors l'entrevue, sûrement aurait-il bon nombre de questions à lui poser sur son culte, et elle avait déjà de nombreuses réponses à lui donner, peut-être même des noms à lui donner, s'il était partant. Il fallait commencer quelque part, elle se permettait même une légère réflexion.
« Ce n'est pas cette religion des 7 ou même ces anciens dieux qui vous aurez permis de prouver ainsi leur existence, car ils n'existent simplement pas. Le maître de la lumière lui existe bel et bien. Les ombres autour de nous sont ses plus fidèles serviteurs mon roi. Ainsi, plus personne n'aurait à craindre la nuit et ses ombres dansante s'ils connaissaient leur signification. »
Un regard à Sigurd, elle voulait lui faire comprendre qu'il n'avait pas à s'inquiéter outre mesure et qu'il pouvait, lui et Bronn, rester là ou même partir dans la ville jusqu'à recevoir un signe de la prêtresse rouge. Elle n'avait peur de rien, si ce n'est la nuit noir loin des étoiles et de la moindre lumière. Elle avait de tout temps était persuadée que son apparence suffisait aux plus fous de la laisser en paix mais le roi ne semblait guère pris d'un quelconque effrois, d'un quelconque frisson. Mais ça n'était qu'un début, il apprendrait, elle lui apprendrait de quoi elle était capable, de quoi la lumière était capable... De quoi le feu était capable.
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« Le feu est une douce caresse sur les écailles d'un dragon. »
Melissandre & Viserys
Tandis que les flammes m'offrent leur réponse, une source de chaleur viens s'attacher à moi dans mon dos. Mes muscles frissonnent et se tendent à la l'admiration de ce qui se passe face à moi. La chaleur glisse dans mon cou et, sans lâcher des yeux le spectacle, devine que s'est en réalité Melisandre qui s'est glissée derrière moi. Les frissons s'emparant d'avantage de moi. Dieu seul sait qu'aucun être sur terre n'aurait pu me toucher de cette manière alors que je viens de le rencontrer. Là, ça me semble être différent. En plus d'être agréable, la prêtresse semble tout savoir de moi et est l'une des rare personne qui semble croire en moi. En ma régence.
Alors que les flammes cessent de danser, la chaleur s'éloigne et je me retourne. Mes yeux d'améthystes de plantent dans ses yeux rougeoyant. Je ne rate pas ce sourire malicieux apparu sur ses lèvres. Si melisandre est venu, sous ordre de R'hllor, pour conquérir mon esprit et mon coeur, elle est sur la bonne voix. Peut être ignore t'elle qu'elle me conquis également d'une autre manière. Son charme naturelle, ce mystère... Tout m'attire irrésistiblement vers elle. Comme un moustique s'approchant trop prêt de la lumière. Trop prêt du feu.
Je l'invite ensuite a rester dans le château et a lui montrer des appartement. Elle congédie ses hommes dont je ne me préoccupe pas. Nous marchons dans les longs couloirs du palais en croisant des courtisans, surpris de me voir en compagnie du telle femme. Effrayés.
Je ris alors doucement avant d'ajouter.
Nous arrivons devant une porte que j'ouvre. A la suite de la prêtresse, j'entre et m'avance dans les appartements. Ils sont grand et plutôt communs, mais semble très confortable.
Alors que les flammes cessent de danser, la chaleur s'éloigne et je me retourne. Mes yeux d'améthystes de plantent dans ses yeux rougeoyant. Je ne rate pas ce sourire malicieux apparu sur ses lèvres. Si melisandre est venu, sous ordre de R'hllor, pour conquérir mon esprit et mon coeur, elle est sur la bonne voix. Peut être ignore t'elle qu'elle me conquis également d'une autre manière. Son charme naturelle, ce mystère... Tout m'attire irrésistiblement vers elle. Comme un moustique s'approchant trop prêt de la lumière. Trop prêt du feu.
Je l'invite ensuite a rester dans le château et a lui montrer des appartement. Elle congédie ses hommes dont je ne me préoccupe pas. Nous marchons dans les longs couloirs du palais en croisant des courtisans, surpris de me voir en compagnie du telle femme. Effrayés.
- « Comment votre dieu est apparu la première fois devant vous? » Demandais je alors, curieux, l'esprit débordant de question. « Et, qu'à vu Stannis Baratheon dans les flammes? Comment avez vous... » Dis je avant de m'arrêter de parler brutalement.
Je ris alors doucement avant d'ajouter.
- « Je suis navré. Je m'aperçois que je vous assaille avec toute mes questions. Je vous les poserais plus tard... En attendant d'en apprendre plus sur votre culte, je souhaite vous connaître vous. » Dis je en la regardant. « Vous êtes une femme hors du commun melisandre. Je suppose ne pas être le premier a vous le dire. » Ajoutais je l'air malicieux.
Nous arrivons devant une porte que j'ouvre. A la suite de la prêtresse, j'entre et m'avance dans les appartements. Ils sont grand et plutôt communs, mais semble très confortable.
- « Voilà les appartements que je propose à mes invites de marques. Évidement, et si vous décidez de rester, je vous en ferait préparer des plus personnel. » Dis je avant d'ajouter. « Et je suppose que vos chiens de garde ne dorment pas sur le tapis. Ils auront leur place parmi mes serviteurs. »
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« Look in the mirror and tell me, who do you see ? Is it still you? Or is it me?
Become the beast, we don’t have to hide, do I terrify you or do you feel alive? Do you feel the hunger, does it howl inside? Does it terrify you? Or do you feel alive? So embrace the darkness and I will help you see, that you can be limitless and fearless if you follow with me. We are the lions in a world of lambs. We are the predators, the hunters.»
Become the beast, we don’t have to hide, do I terrify you or do you feel alive? Do you feel the hunger, does it howl inside? Does it terrify you? Or do you feel alive? So embrace the darkness and I will help you see, that you can be limitless and fearless if you follow with me. We are the lions in a world of lambs. We are the predators, the hunters.»
Le feu est une douce caresse sur les écailles d'un dragon...
La prêtresse rouge avait devant elle deux choix. Soit elle acceptait l'accueil de Viserys III Targaryen, une modeste chambre sans ses gardes à ses pieds, soit elle commençait dès à présent à montrer au roi quel genre de femme elle était. Elle se décidait à l'option numéro deux.
Elle voulait effectivement une belle chambre, luxueuse. Si elle avait grandi dans la douleur et la boue, sous les coups de fouets et la faim, Melisandre avait décidé que sa vie adulte serait bien meilleure. Elle ne voulait donc pas une chambre où ces "invités de marques" avaient passés leur temps mais une grande chambre où ses deux gardes pourraient veiller devant sa porte, prêt à égorger quiconque entrerait sans son accord.
Elle lui offrait un nouveau sourire : elle ne comptait pas rester dans cette pièce. Elle avait opté pour la solution la plus claire, montrer à Viserys III Targaryen qu'elle était effectivement de son côté mais qu'elle n'accepterait pas pour autant de loger n'importe où et que si elle devait remplacer ces fameux septons et ce "grand homme de la foi" elle prendrait réellement sa place. Il lui semblait que cet homme avait ses propres appartements. Elle les désirait. Chasser cet homme qui n'avait que trop fait son temps ici. Elle ne demanderait pas immédiatement à le brûler, chaque chose en son temps. En général elle obtenait tout ce qu'elle désirait. Des grandes chambres, souvent dans les plus hautes tours. Tout comme elle aimait les beaux vêtements et les bons vins. Il lui fallait surtout une grande chambre pour poser toutes ses fioles et elle exigeait surtout à avoir accès à ce qu'elle désirait : le feu. Des braseros, des torches, un pallier pour voir le ciel la nuit. Il comprendrait sûrement.
Elle sortait donc, sans cesser de sourire à un seul instant. Elle reprenait ensuite.
Brûler nombre de choses, faire de grands sacrifices. Il était temps, il était l'heure. Le seul et unique culte devait être reconnu de tout Westeros comme il l'était à Essos. Les choses bougeaient et quelque chose arrivait, elle le sentait au fond de son coeur. Quelque chose de puissant qu'il fallait contrôler au plus vite. Faire naître cette crainte dans les coeurs des Andals semblait une bonne étape pour les amener par la suite à faire confiance aux plus puissants. L'amour et le respect par la crainte, cela n'apportait pas toujours ce que l'on désirait. Mais il fallait y aller par étape. Le roi suivrait, il était plus que nécessaire pour cela.
« C'est une bien belle chambre mon roi, mais une prêtresse de mon rang mérite mieux qu'une chambre où bien des personnes ont séjourner, ne croyez-vous pas ? »
Elle voulait effectivement une belle chambre, luxueuse. Si elle avait grandi dans la douleur et la boue, sous les coups de fouets et la faim, Melisandre avait décidé que sa vie adulte serait bien meilleure. Elle ne voulait donc pas une chambre où ces "invités de marques" avaient passés leur temps mais une grande chambre où ses deux gardes pourraient veiller devant sa porte, prêt à égorger quiconque entrerait sans son accord.
« Mes deux "chiens de garde" comme vous dites viendront à tour de rôle devant la porte de ma chambre. Ils sont débrouillards, ne vous en faites pas mon roi. »
Elle lui offrait un nouveau sourire : elle ne comptait pas rester dans cette pièce. Elle avait opté pour la solution la plus claire, montrer à Viserys III Targaryen qu'elle était effectivement de son côté mais qu'elle n'accepterait pas pour autant de loger n'importe où et que si elle devait remplacer ces fameux septons et ce "grand homme de la foi" elle prendrait réellement sa place. Il lui semblait que cet homme avait ses propres appartements. Elle les désirait. Chasser cet homme qui n'avait que trop fait son temps ici. Elle ne demanderait pas immédiatement à le brûler, chaque chose en son temps. En général elle obtenait tout ce qu'elle désirait. Des grandes chambres, souvent dans les plus hautes tours. Tout comme elle aimait les beaux vêtements et les bons vins. Il lui fallait surtout une grande chambre pour poser toutes ses fioles et elle exigeait surtout à avoir accès à ce qu'elle désirait : le feu. Des braseros, des torches, un pallier pour voir le ciel la nuit. Il comprendrait sûrement.
« Ce lieu ne peut m'offrir ce que je recherche. Je désire voir le ciel la nuit. Je désire avoir un brasero mais une chambre seule voilà qui serait inconscient. Je ne veux pas un simple appartement, mon roi. Je suis sûre que vous comprenez pourquoi. »
Elle sortait donc, sans cesser de sourire à un seul instant. Elle reprenait ensuite.
« Votre hospitalité envers ma personne est appréciée et sera reconnue. Lorsque la lune sera pleine mon roi, nous devrons faire bien des choses. Je sais que vous y êtes prêt. Vous l'avez attendu toute votre vie sans pour autant l'avoir avouer, aux autres ou à vous même. Il est temps que les choses changent et que les gens comprennent qui est leur vrai roi et comment les choses fonctionnent sous son règne. »
Brûler nombre de choses, faire de grands sacrifices. Il était temps, il était l'heure. Le seul et unique culte devait être reconnu de tout Westeros comme il l'était à Essos. Les choses bougeaient et quelque chose arrivait, elle le sentait au fond de son coeur. Quelque chose de puissant qu'il fallait contrôler au plus vite. Faire naître cette crainte dans les coeurs des Andals semblait une bonne étape pour les amener par la suite à faire confiance aux plus puissants. L'amour et le respect par la crainte, cela n'apportait pas toujours ce que l'on désirait. Mais il fallait y aller par étape. Le roi suivrait, il était plus que nécessaire pour cela.
Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia
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« Le feu est une douce caresse sur les écailles d'un dragon. »
Melissandre & Viserys
Ce sont des yeux ampli d'étonnement qui se pose sur la dame rouge. Viens t'elle vraiment de me demander d'autres appartements? Refuse t'elle ce que je lui offre en me demandant mieux? Il est risqué pour elle de faire cela. Selon mes humeurs, ma réaction aurait pût être poussée a l'extrême. Je souris néanmoins, amusé par l'audace de la prêtresse qui semble être une femme pleine d'assurance. Cela ne fait que nourrir mon admiration, ainsi que le feu qui vient de naitre en moi. Je la suis dans le couloir en fermant la porte derrière nous. Mes yeux pétillent d'une délicieuse impatiente, prouvant mon engouement pour ce qu'elle me raconte. J'ai hâte de voir ce que me réserve la prêtresse. Vraiment. Et je lui souris en guise de réponse.
Une servante s'approche. Je pose mes yeux d'améthystes sur elle. Elle baisse la tête, intimidée, et se courbe respectueusement avant de murmurer.
Les appartements sont libre depuis mon coup d'état, et ils le resteront sûrement encore un moment. J'estime aujourd'hui que nul personne de mon entourage ne mérite cette place. Si il le faut, je porterai seul le poids de mon règne sur les épaules.
Mon attention embrasé se reporte sur la prêtresse, je souris gentiment. J'espère avoir acquis sa satisfaction car je ne peux faire mieux. En tout cas, pour ce désir là.
Tandis qu'elle accepte mon bras et ma proposition, nous nous dirigeons donc en direction des jardins. Les courtisans qui nous croisent nous regarde, certain sont a la fois surpris et effrayé. D'autres sont évidement admiratifs, ravie du lien que je semble entreprendre avec la fidèle servante de R'hllor.
Nous arrivons dans les somptueux jardins du Donjon Rouge, à l'écart du château. Les couleurs fusent de tout les cotés. Il n'y a personne a l'horizon, les gens sont trop occupés a minutieusement remplir leur tache. Seul une légère brise chante en compagnie des oiseaux. Je souris, satisfait, avant de rompre le silence.
- « Bien, je pensais réserver ces appartements pour un membre du conseil... Mais aujourd'hui ils sont a vous. » Dis je avant de lever la main.
Une servante s'approche. Je pose mes yeux d'améthystes sur elle. Elle baisse la tête, intimidée, et se courbe respectueusement avant de murmurer.
- « Mon seigneur? »
« Faites préparer les appartements libres dans le couloir royal. »
« Les appartements de la main? » Dit elle, surprise, sans néanmoins relevée les yeux.
« Est ce le dernier libre dans ce couloir? » Dis je sévèrement tandis qu'elle hoche la tête. « Donc oui, c'est bien de cela que je parle! » Lançais je donc, agacé par cette question inutile. « Faites y mener des brasero et veiller a ce que la grande fenêtre soit entièrement dégagé. Au retour de dame Melissandre, je veux que vous soyez présente pour répondre au moindre de ses désirs. C'est bien compris? »
« Oui majesté. » Dit elle avant de se courber et de s'éloigner rapidement.
Les appartements sont libre depuis mon coup d'état, et ils le resteront sûrement encore un moment. J'estime aujourd'hui que nul personne de mon entourage ne mérite cette place. Si il le faut, je porterai seul le poids de mon règne sur les épaules.
Mon attention embrasé se reporte sur la prêtresse, je souris gentiment. J'espère avoir acquis sa satisfaction car je ne peux faire mieux. En tout cas, pour ce désir là.
- « En attendant ma dame, puis je vous faire visiter les jardins? Nous pourrons en apprendre plus l'un sur l'autre tout en profitant des bienfaits de l'air fraie. » Dis je alors en lui offrant mon bras.
Tandis qu'elle accepte mon bras et ma proposition, nous nous dirigeons donc en direction des jardins. Les courtisans qui nous croisent nous regarde, certain sont a la fois surpris et effrayé. D'autres sont évidement admiratifs, ravie du lien que je semble entreprendre avec la fidèle servante de R'hllor.
Nous arrivons dans les somptueux jardins du Donjon Rouge, à l'écart du château. Les couleurs fusent de tout les cotés. Il n'y a personne a l'horizon, les gens sont trop occupés a minutieusement remplir leur tache. Seul une légère brise chante en compagnie des oiseaux. Je souris, satisfait, avant de rompre le silence.
- « Je suis curieux de savoir ce que vous me réservez pour m'aider Melissandre. Je ne vous cache pas qu'il n'est pas aisé pour moi de me faire une place. » Dis je avant de détourner mon regard et de souffler, légèrement dépité, même si ça ne change rien a mon ambition.