Au coeur de Port-Réal |-Roddrik

C'était bien ma veine. Me faire voler, alors que j'étais juste de passage. Remarque je devais être une proie de choix pour les mauvaise personnes ou les pauvres dans le besoin. Promis avant de partir je passerais dans un hospice ou un orphelinat pour faire un don. De quoi me m’agacer pour le reste de la journée. Bien que nos soldats étaient de bons gaillards qui tenait bien debout, avec ma petite taille et ma silhouette frêle, pour un attaquant je n'avais pas l'apparence de quelqu'un qui ce défend. Donc moins de risque. Hum, j'aurais mon faucon avec moi, il n'aurais plus d'yeux à l'heure qu'il est.

Alors qu'au bout de la ruelle je commençais à perdre de vu le voleur- bien qu'un garde en armure et avec un manteau au couleur des Royce ne passe inaperçue- je vis mon garde du corps s'arrêter brusquement. J’emboîtais alors le pas pour aller voir ce qui se passais. A son niveau, alors qu'il était essouffler – ce qui était compréhensible avec la chaleur et le poids de son armure- le voleur était au sol, sonné. Relevant les yeux, un jeune homme, en armure lui aussi se dresse devant moi. Une posture fière et droite, un noble à ne pas en douter. Il était grand, même un géant à côté de moi, avec un regard si bleu. C'était il devait faire chavirer plus d'une femme, enfin je m'égare. Le garde me redonna ma bourse, me sortant de ma torpeur. Je devais avoir l'air d'être bien gauche. Honte à moi.

-Enchanté Lord Forrester, dis-je avec une petite révérence, Ysilla Royce, du Val d'Arryn.

Si ma mémoire était bonne depuis mes leçon sur la géo-politique de Westeros, Les Forrester était une maison mineur du Nord. Cela devait être un sacré changement pour lui, la Capitale.  J'eus un sourie à sa phrase, mais je rougie aussi un peu. Au moins il était direct.

-Du commerce, une renne d'un de nos chevaux est usée et ne peu plus être utiliser. Si je veux rentré chez moi je dois la faire réparer. Vous êtes bien loin de votre Nord Lord Forrester, est-ce le mariage qui vous a conduis si loin de votre foyer ?

Je me sentais tellement minuscule face à cette home si grand et qui semblais a une armoire a glace dans son armure. Au moins ce qu'on disait était vrai : les hommes du nord, ce n'était pas des demi-portions.

Ysilla Royce du Val Arryn… Suprenant…La géographie du Val ne m’avais toujours intéressé. Quelle armer pourrais prendre un territoire dont les chênes de montagne protège presque l’entièreté du territoire. C’est un peu comme des gros remparts qui empêchent quiconque de rentrer sans autorisation. La famille Royce par contre c’était une maison majeur et pas n’importe quel…Cette maison priait encore les ancien dieux. Honnêtement, ça me fit sourire et penser a mon père lui qui ne jurait pratiquement que par eux. J’étais un peu intimider et à la fois honorer devant cette jeune femme. Normalement je ne démontrai aucun problème à confronter une maison ou quelque chose du genre, mais la s’était différent. Comment est-ce-que je pouvais vouloir confronter une jeune femme comme elle. Mon instinct fraternel, m’empêchais même de vouloir lui faire du mal. Elle ressemblait à ma sœur. Enfin si on remplaçait ses cheveux roux par des cheveux bruns. La chaleur continuais de nous taper dessus alors que moi je portais ma carapace métallique. Elle m’expliqua qu’elle venait remplacer une renne d’un de leur cheval. Je devrai faire de même quand je serai prêt à partir. Quoi que moi…je m’inquiétais d’avantage pour les fers de mon cheval. Après tout …j’avais presque le double de chemin à faire pour retourner chez moi. Elle sembla curieuse de savoir ce que je fessais si loin de chez moi . Elle avait raison j’étais loin du nord et ça m’agaçais, mais Mira avais demandé ma présence. Je m’étais alors exécuter. Je ne portais pas les dragons a cœur…Pourtant il avait fallu que je sois présent. Que ce soit parce que ma sœur me l’avais demandé ou parce que le nord comptais sur ma présence. Les raison étaient nombreuses. Semblant presque perdu dans mes penser mon regard était poser sur elle j’avais mis un léger silence sans le vouloir dans notre conversation. Je fini donc par me ressaisir et répondit d’une voix chaleureuse et aimable

- Effectivement je suis très loin de mon chez moi. Dans le nord je porte cette armure du matin aux soir et je n’ai jamais eu le besoin de l’enlever …Ici …c’est autre chose .

Un petit rire traversa mes lèvres et mon regards qui s’était détourner retourna se poser sur elle .

- De vous a moi…être un lord sans femme est légèrement mal vue alors ma sœur et ma mère on voulut que je vienne non pas seulement pour le mariage, mais également dans l’espoir que je trouve une femme un jour.

Le ciel commença à s’ombrager et les rue commençais à s’alimenter d’avantage deux personne était venue pour ramasser le corps inerte de leur amis. Je soupirai je n’aimais pas ce lieux j’examinai le regard des gens .Rien de rassurant a l’horizon. Je regardai la jeune femme puis lui proposa doucement ma main :

-Non que je n’ai aucune confiance en vos garde du corps, mais puis-je vous raccompagner aux donjon rouge. Les rue commence a s’agiter il serai dommage que des amis de notre voleur revienne.

Attrapant délicatement sa main malgré mon armure nous commencions a marcher vers le donjon rouge silencieux ma seconde mains sur mon arme dans son Foureau. Je semblais davantage préoccuper a la protéger que autre chose ,mais mon attention était toujours porter sur elle a la moindre de ces paroles.

J'avais pourtant déjà vu de nombreux chevalier au cours de ma vie. Enfin nombreux, je ne sais pas si cela est vraiment le bon terme. Déjà que j'en avais déjà vu et de toute sorte. Des massif qui se battais avec des armes à deux mains, des agiles et vif qui était aussi souple que des acrobates. Mais chez cet homme -Lord Forrester- c'est un vrai paradoxe. Il semblais si impressionnant par sa taille et son armure, si massif,  pourtant il y avait une douceur sur son visage. Des yeux si bleu, qui semblais vous sondé au plus profond de vous même. J'avais moi même mes les yeux bleus, mais son regards était fort, voir intense. Cela me gênais un peu. Qui plus est je n'avais pas du tout l'habitude de le retrouver en quasi tête-à-tête avec un homme. Je crois que le fais que j'étais un gêner, venait du fait que pour moi, la gente masculine était un territoire totalement inconnu. Et un jour je vais devoir m'y aventurer pour me trouver un prétendant et surtout me marié. Soufflant pour me ressaisir, je sourire à sa phrase.

-J'imagine. Je doute que de telles plates soient recommandé par cette chaleur. Je n'aurais ni la force ni l'endurance de supporter tout cela. Poids plus chaleur, une vrai torture pour la gente masculine.

C'est vrai que lorsqu'on voie les armure complète en plates, je plaignais sincèrement les hommes qui devaient les portées. On ne pouvais point douter de la force physique des combattants au moins. Je ne pus m’empêcher de sourire de plus belle en entendant ce qu'il disait. Au moins on été deux. A mon âge beaucoup de mes consœurs nobles étaient déjà mariés. Comme ma nouvelle cousine, Daenerys qui avait que 14 ans. Je me sentais presque comme une vieille fille et en même je craignais cela, car je savais que mon mariage serais arranger. Avec très peu de chance d'avoir des sentiments au bout.

-Je vous comprends totalement Lord Forrester. Moi même je passe pour une vieille fille, dis-je en riant, tout noble doit passer là je le crains. En tout cas je vous souhaite bonne chance, en espérant trouver une femme qui vous sera agréable à vous et votre famille.

Sa proposition me surpris. Je ne m'attendais pas à autant de gentillesse. On ma toujours répéter de ne pas faire confiance au étranger, et même si d'apparence il attise à la confiance il faut se méfier. On vivait dans un monde dangereux où les montres prenaient des visages d'anges. Mais étrangement je me sentais en sécurité avec lui, comme si on instinct me donnais son accord.

-Avec plaisir, dis-je en tenant sa mains et emboîtant le pas. Alors la capitale vous plaît-elle ? Est-ce que pour vu elle est digne de sa réputation, la bonne comme la mauvaises ?