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Le grand lion convoque le chat (Tywin Lannister / Myrielle Lannister)
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Le grand lion convoque le chat
Tywin Lannister et Myrielle Lannister
Les Gardes Rouges étaient une institution dans toutes les Terres de l'Ouest. Symbole de la puissance des Lannister, ils veillaient à l'ordre et à la protection du peuple, il est vrai, mais avant tout, ils obéissaient et veillaient surtout aux intérêts du plus puissant Seigneur de la région, Tywin Lannister.
Ils patrouillaient sans cesse dans Castral-Roc et dans Port-Lannis, et vu leurs nombres, ils faisaient de cette ville l'une des plus sûrs de tous Westeros. Les gens étaient heureux de la sécurité, mais c'était pour une raison bien précise.. Tywin rendait la vie plus que simple à ces hommes, les truand étant de minute en minute condamnés à une mort atroce. Myrielle en riait souvent avec passion, elle qui avait toujours aimé la sévérité de son oncle..
Elle marchait ce matin là comme les lions ,fières et soucieux, dont les pas s'entendaient tandis que la jungle entière ce mettait à frémir autour d'eux. Elle entamait sa promenade matinal lorsque l'une de ses camériste courut à sa rencontre.. C'est jeune fille avait toujours été mal luné, une imbécile que Myrielle n'avait jamais appréciée. L'air faussement intéressée, la jeune fille se tourna vers elle, un sourire niait et volontairement idiot sur le visage..
« Ma chère Vidia ! » dit t-elle avec éclat
« Lady Myrielle, votre oncle me fait demander auprès de vous, il ma dit de vous dire que c'est urgent et .. » Myrielle la poussa et partie, elle n'avait pas prit la peine d'écouter la fin de sa phrase ( y avait t-il seulement un intérêt à cela ?) Elle s'avait simplement que c'était urgent et il allait de soit qu'elle n'avait jamais été de celle à faire attendre son oncle. Vidia resta seule et poursuiva quelques marmonnement idiot en lui souhaitant la bonne journée. Myrielle était déjà loin , passant rapidement d'étage en étage pour aller dans le grand salon privé. De ses décors rouge, Myrielle vin assortir sa robe aux tapisserie et aux vins. Elle aperçu bien vite la silhouette du grand lion et sourit, elle le salua d'une révérence élégante, fort bien exécutée. Elle mettait du coeur à l'ouvrage, Myrielle avait toujours su répondre au attentes de la noblesse..
« Vous m'avez fait réclamer mon oncle ? »
Myrielle attendait tel un animal en alerte, si son oncle lui réclamait un service, il allait de paire que Myrielle sache y répondre.
codage de whatsername.
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Le Grand Lion convoque le Chat
Petite lionne tu seras grande
Tywin & Myrielle Lannister
Castral Roc, ma ville, ma maison, ma fierté. Cette ville était prospère. Le climat était généreux et ses terres riches. Il y avait tout pour être heureux. Nous n'avions pas le vin du Bief ou de Dorne. Nous n'avions pas tous les produits exotiques d'Essos. En revanche nous avions l'or pour les acheter. L'économie de Westeros se basait sur nos richesses, à nous, les ouestiens. Je n'avais pas besoin d'autres terres que celle-ci. Elle apportait tout ce que je pouvais demander à une terre. Je n'étais pas un ambitieux rêvant de conquête. Je voulais juste le pouvoir pour ma maison. Le pouvoir et la guerre allait souvent ensemble. Heureusement pour nous, l'argent était le nerf de la guerre. Or nous avions la guerre en abondance sous le règne de Rhaegar Targaryen. La troisième avait lieu en ce moment-même. Cependant, aucun ouestien, aucun de mes hommes n'allait mourir pour cela. J'avais donc augmenté l’effectif des gardes de chaque ville. Castral Roc, Port Lannis, même sur les routes près de la Dent d'Or. Je prétendais avoir des troubles à l'Ouest avec des bandits et des mercenaires turbulents. Cela était un jeu de dupe. L'Ouest attirait les mercenaires grâce à son argent. Les mercenaires n'avaient pas d'emploi car nous ne partions pas en guerre. Ils créaient donc des troubles, j'avais donc une raison d'augmenter la garde. Le jour où la guerre viendrait, il n'y aurait pas plus de trouble car ces même mercenaires seraient payé par mon or, les gardes seraient alors inutiles si nous partions en guerre.
Je soupirai. Je me perdais déjà dans des pensée de stratégie militaire et de bataille. Pourtant, ce jour-là, ce n'était ça le plus important. Je devais penser à ma famille. Tyrion était toujours mon héritier. Et même sans Tyrion, Cersei ou l'un de mes frères allait revendiquer ma place. Je n'avais rien contre mes frère, Kevan était sans doute le Lannister le plus capable, mais son fils Lancel était un incapable qui ne valait guère mieux que Lord Tytos lui-même. Je devais écarter Tyrion dans tous les cas. Néanmoins, si Tyrion venait à être écarté je devais alors m'arranger pour avoir un Lannister plus capable comme successeur avec un héritier descend. Daven était le candidat parfait vu qu'il aurait tout le loisir d'avoir des héritiers. Pourtant, je ne pouvais transgresser les lois de l'héritage sans une intervention du roi en ma faveur, il me fallait donc me remarier et avoir un fils, puis écarter le Lutin... Rien qu'à cette idée je frémi. Je m'étais promis de ne pas connaître d'autre épouse que Joanna. Certes, j'avais eu des... écarts après sa mort, mais jamais je n'aurais imaginer devoir la remplacer une bonne fois pour toute. A croire que les serments n'étaient pas le fort des Lannister.
Toutefois, ma famille passait avant mes promesses. L'honneur était pour les hommes de peu de valeurs. Après ma mort, seul mon nom resterait. Je regardai autour de moi dans mes appartements, bientôt il me faudrait quitter cette pièce et partir régler les affaires du royaume, encore une fois. Mon regard s'attarda sur la carte posée sur mon bureau. Les choses auraient été si simple si le jeu des trônes n'était qu'une partie d'échec... Malheureusement, il y avait bien plus d'un adversaire et chaque joueur n'avait pas les même pièces. Alors que mon regard s'attardait de plus en plus sur Port-Réal j'appelai l'un des mes gardes personnels.
« Mon Lord ? »
« Allez me chercher Myrielle. »
« Mon Lord... Je ne sais pas où elle se trouve »
« Et bien trouvez moi quelqu'un qui le sait, puis faîtes en sorte qu'elle soit ici. Vite. C'est compris ? »
« Oui Lord Tywin »
J'avais peut-être était trop dur avec ce garde. Je n'étais pas tendre par nature, mais il avait eu l’honnêteté de reconnaître son ignorance. Il n'était pas un espion, juste un garde sensé me protéger moi et non Myrielle. Il n'avait pas à savoir où elle était. Pourtant, je ne pouvais m'empêcher d'être irrité. Rien ne devait contrarier mes projets. Si une famille venait à le faire elle irait rejoindre les Reyne, aussi puissante était-elle. Je m'assi à mon bureau, regardant cette carte. Stannis à Harrenhal et Renly à l'Orage. Les Tyrell affaibli. Quelle couronne restait-il sur l'échiquier actuel ? Difficile à dire. Le Val sans aucun doute. Je regardai la carte, quelque chose m'échappait et je détestais ce sentiment. Pourquoi avoir marié une Targaryen à un Hightower... Pourquoi avoir marié une Targaryen à un Aryn qui n'était pas sensé hériter du Val... Les jours passaient et j'avais l'impression que soit Rhaegar était un plus fin stratège que moi, soit il avait perdu toute notion de politique. Le prince du tournoi d'Harrenhal n'aurait pas agit comme lui... Ou alors avait-il toujours été indigne de la couronne... Après tout, il avait provoqué la rébellion Barathéon avec l'enlèvement de la petite Stark. Si le Bief s'embrasait se serait encore à cause d'une père de cuisse, une paire de cuisse royale, mais une paire de cuisse, et encore à cause de Rhaegar.
Je sorti de mes pensées en étendant l'ouverture de ma porte. C'était Joa... C'était Myrielle. Elle ressemblait tant à ma Joanna. Une chose les différenciait pourtant. Joanna était bien moins dangereuse que Myrielle. Elle souri. Cela n'enlevait rien à son charme, au contraire. Elle fit sa révérence avec son énergie et sa grâce habituelle.
« Vous m'avez fait réclamer mon oncle ? »
Serais-tu ici s'il en était autrement, avais-je envie de rétorquer. Mais c'était la frustration qui aurait alors parlé. Non pas tourné vers elle, mais vers une tête couronnée située dans une autre ville. Je me levai, sans sourire, sans un mot. C'était ma façon d'être. J'étais fier de Myrielle, si Cersei avait eu son dévouement envers notre famille je ne serais pas obligé de faire des nuits blanches sur les problèmes de successions. Elle ne pensait qu'à son pouvoir à elle, alors que Myrielle se laissait aller au besoin de la famille, prenant bien entendu au passage son dû. Peut-être était-ce le fait qu'elle ne venait pas de la branche principale qui lui avait épargné cette ambition dévorante et égocentrique. Je regardais Myrielle. Je me perdis quelques instants à repenser à Joanna. Si elle avait été là, tout serait allé mieux. Peut-être que Jaime ne serait jamais parti, et au lieu de m'inquiéter du futur des Lannister, nous serions sur ce lit à essayer d'en créer un nouveau. Pourtant, elle n'était pas là. Myrielle l'était. Je regardai ma carte à nouveau avant de prendre la parole, d'un ton dur comme à mon habitude, mais sans agressivité.
« En effet. Comme tu le sais, le Lutin ne peut hériter de l'Ouest. S'il venait à perdre sa légitimité, sa sœur Cersei pourrait alors prétendre à me succéder. Ou alors Kevan qui aurait lui comme héritier Lancel. Il est inutile de te dire pourquoi je suis particulièrement hostile avec ces deux options. »
Je commençais à tourner autour de mon bureau, je me plantai devant elle alors que je m'appuyais contre mon bureau. Et alors que je posais mes mains sur le bureau afin d'avoir un meilleur appui, je la regardai droit dans les yeux. Un regard sans tendresse et qui ne trahissait nulltement la fierté ou l'admiration que j'avais envers Myrielle. C'était un regard qui trahissait une attente vis à vis d'elle. Comme d'habitude j'attendais beaucoup de cette Lannister.
« Ce qui veut dire que je dois avoir un autre enfant, un autre fils, dans le cas où Tyrion venait à perdre sa légitimité. Je t'ai fait venir ici, car contrairement à Cersei, tu es subtile quand il s'agit de politique. Tu sais ce qu'il y a bien pour notre maison. J'aimerais donc connaître ton avis. Qui devrais-je choisir comme épouse ? »
La question avait été directe, et prononcé sans aucune hésitation. Le ton restait ferme et faisait comprendre que j'attendais une réponse rapidement. Bien entendu, j'avais déjà une idée en tête, sinon je ne lui demanderais pas. Ce n'était qu'un test que j'avais l'habitude de lui faire passer. Elle n'avait jamais réellement échoué. J'espérai qu'elle n'échouerait pas à celui-ci.
Je soupirai. Je me perdais déjà dans des pensée de stratégie militaire et de bataille. Pourtant, ce jour-là, ce n'était ça le plus important. Je devais penser à ma famille. Tyrion était toujours mon héritier. Et même sans Tyrion, Cersei ou l'un de mes frères allait revendiquer ma place. Je n'avais rien contre mes frère, Kevan était sans doute le Lannister le plus capable, mais son fils Lancel était un incapable qui ne valait guère mieux que Lord Tytos lui-même. Je devais écarter Tyrion dans tous les cas. Néanmoins, si Tyrion venait à être écarté je devais alors m'arranger pour avoir un Lannister plus capable comme successeur avec un héritier descend. Daven était le candidat parfait vu qu'il aurait tout le loisir d'avoir des héritiers. Pourtant, je ne pouvais transgresser les lois de l'héritage sans une intervention du roi en ma faveur, il me fallait donc me remarier et avoir un fils, puis écarter le Lutin... Rien qu'à cette idée je frémi. Je m'étais promis de ne pas connaître d'autre épouse que Joanna. Certes, j'avais eu des... écarts après sa mort, mais jamais je n'aurais imaginer devoir la remplacer une bonne fois pour toute. A croire que les serments n'étaient pas le fort des Lannister.
Toutefois, ma famille passait avant mes promesses. L'honneur était pour les hommes de peu de valeurs. Après ma mort, seul mon nom resterait. Je regardai autour de moi dans mes appartements, bientôt il me faudrait quitter cette pièce et partir régler les affaires du royaume, encore une fois. Mon regard s'attarda sur la carte posée sur mon bureau. Les choses auraient été si simple si le jeu des trônes n'était qu'une partie d'échec... Malheureusement, il y avait bien plus d'un adversaire et chaque joueur n'avait pas les même pièces. Alors que mon regard s'attardait de plus en plus sur Port-Réal j'appelai l'un des mes gardes personnels.
« Mon Lord ? »
« Allez me chercher Myrielle. »
« Mon Lord... Je ne sais pas où elle se trouve »
« Et bien trouvez moi quelqu'un qui le sait, puis faîtes en sorte qu'elle soit ici. Vite. C'est compris ? »
« Oui Lord Tywin »
J'avais peut-être était trop dur avec ce garde. Je n'étais pas tendre par nature, mais il avait eu l’honnêteté de reconnaître son ignorance. Il n'était pas un espion, juste un garde sensé me protéger moi et non Myrielle. Il n'avait pas à savoir où elle était. Pourtant, je ne pouvais m'empêcher d'être irrité. Rien ne devait contrarier mes projets. Si une famille venait à le faire elle irait rejoindre les Reyne, aussi puissante était-elle. Je m'assi à mon bureau, regardant cette carte. Stannis à Harrenhal et Renly à l'Orage. Les Tyrell affaibli. Quelle couronne restait-il sur l'échiquier actuel ? Difficile à dire. Le Val sans aucun doute. Je regardai la carte, quelque chose m'échappait et je détestais ce sentiment. Pourquoi avoir marié une Targaryen à un Hightower... Pourquoi avoir marié une Targaryen à un Aryn qui n'était pas sensé hériter du Val... Les jours passaient et j'avais l'impression que soit Rhaegar était un plus fin stratège que moi, soit il avait perdu toute notion de politique. Le prince du tournoi d'Harrenhal n'aurait pas agit comme lui... Ou alors avait-il toujours été indigne de la couronne... Après tout, il avait provoqué la rébellion Barathéon avec l'enlèvement de la petite Stark. Si le Bief s'embrasait se serait encore à cause d'une père de cuisse, une paire de cuisse royale, mais une paire de cuisse, et encore à cause de Rhaegar.
Je sorti de mes pensées en étendant l'ouverture de ma porte. C'était Joa... C'était Myrielle. Elle ressemblait tant à ma Joanna. Une chose les différenciait pourtant. Joanna était bien moins dangereuse que Myrielle. Elle souri. Cela n'enlevait rien à son charme, au contraire. Elle fit sa révérence avec son énergie et sa grâce habituelle.
« Vous m'avez fait réclamer mon oncle ? »
Serais-tu ici s'il en était autrement, avais-je envie de rétorquer. Mais c'était la frustration qui aurait alors parlé. Non pas tourné vers elle, mais vers une tête couronnée située dans une autre ville. Je me levai, sans sourire, sans un mot. C'était ma façon d'être. J'étais fier de Myrielle, si Cersei avait eu son dévouement envers notre famille je ne serais pas obligé de faire des nuits blanches sur les problèmes de successions. Elle ne pensait qu'à son pouvoir à elle, alors que Myrielle se laissait aller au besoin de la famille, prenant bien entendu au passage son dû. Peut-être était-ce le fait qu'elle ne venait pas de la branche principale qui lui avait épargné cette ambition dévorante et égocentrique. Je regardais Myrielle. Je me perdis quelques instants à repenser à Joanna. Si elle avait été là, tout serait allé mieux. Peut-être que Jaime ne serait jamais parti, et au lieu de m'inquiéter du futur des Lannister, nous serions sur ce lit à essayer d'en créer un nouveau. Pourtant, elle n'était pas là. Myrielle l'était. Je regardai ma carte à nouveau avant de prendre la parole, d'un ton dur comme à mon habitude, mais sans agressivité.
« En effet. Comme tu le sais, le Lutin ne peut hériter de l'Ouest. S'il venait à perdre sa légitimité, sa sœur Cersei pourrait alors prétendre à me succéder. Ou alors Kevan qui aurait lui comme héritier Lancel. Il est inutile de te dire pourquoi je suis particulièrement hostile avec ces deux options. »
Je commençais à tourner autour de mon bureau, je me plantai devant elle alors que je m'appuyais contre mon bureau. Et alors que je posais mes mains sur le bureau afin d'avoir un meilleur appui, je la regardai droit dans les yeux. Un regard sans tendresse et qui ne trahissait nulltement la fierté ou l'admiration que j'avais envers Myrielle. C'était un regard qui trahissait une attente vis à vis d'elle. Comme d'habitude j'attendais beaucoup de cette Lannister.
« Ce qui veut dire que je dois avoir un autre enfant, un autre fils, dans le cas où Tyrion venait à perdre sa légitimité. Je t'ai fait venir ici, car contrairement à Cersei, tu es subtile quand il s'agit de politique. Tu sais ce qu'il y a bien pour notre maison. J'aimerais donc connaître ton avis. Qui devrais-je choisir comme épouse ? »
La question avait été directe, et prononcé sans aucune hésitation. Le ton restait ferme et faisait comprendre que j'attendais une réponse rapidement. Bien entendu, j'avais déjà une idée en tête, sinon je ne lui demanderais pas. Ce n'était qu'un test que j'avais l'habitude de lui faire passer. Elle n'avait jamais réellement échoué. J'espérai qu'elle n'échouerait pas à celui-ci.
base cracles bones, modification lawina
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Le grand lion convoque le chat
Tywin Lannister et Myrielle Lannister
Myrielle restait attentive. Plissant ses yeux de chat sur Tywin avec attention..
Il fallait d'hors et déjà savoir que le lion avait toujours été d'un naturel prévoyant ..Il n'était guère question de survit dans ce jugement. Juste de nom, d'élévation et de prestige. Plus que cela, Myrielle et Tywin était attaché à l'apparence. Prestige de circonstance, car il fallait savoir vendre ce nom avec éclat. La simple évocation du problème de son oncle affectionna le jeune chat. Il faut dire qu'elle ne comprenais que trop facilement son dilemme.
Myrielle écoutait, prenant même quelques instants pour réfléchir. Elle songeait ironiquement à une femme capable de convenir à son oncle. S'arrêtant vite sur la revu de quelques famille prestigieuse de l'Ouest..
« Je ne comprend que trop la situation mon oncle.. Il est évident que cet impaire n'avantage pas notre famille .. » Myrielle marcha quelques pas, l'allure distinguée. Sa longue chevelure encadrait un visage mignonnement réfléchie. Elle avait toujours été séduite par la distance de son oncle. Si ferme, si grand, il n'avait rien à envier au roi. Pour Myrielle il l'était déjà
« De mes modestes conseils, je ne puis que vous conseiller de garder votre choix sur notre si belle région.. Une digne dame de l'Ouest. De celle pouvant vous élever, vous offrir un fils de pure lignage. Je ne garde que peu d'estime sur le reste de nos voisins.. Surtout moins dû à la vassalité du roi qui semble au prise d'étrange complots » Nous aurions pu facilement dire que cela faisait bien des années que le lion préparait son oeuvre. Peut être même avait t-il eu le loisir de songer à impliquer Myrielle dans ses plans ? Peut être comptait t-il sur elle afin de trouver une dame de l'Ouest suffisamment estimable à ce rôle..
« De ma seconde patrie, les Lefford ne compte qu'Alysanne. Une femme plutôt vive, mais bien moins attachée à sa région que vous. Il est dit par ma grand mère que la douce enfant doit prendre mari sous peu. Un jeune chevalier de l'ouest ma ton dit.. La maison Brax ne compte aucune femme, mais elle aurait été d'un appuie bien maigre, même s'il s'agit de vos plus nobles représentants... »
Myrielle avait beau songer à quelques dames, nommer des noms, elle pensait intimement qu'aucun de ces noms ne saurait être légitime. Beaucoup trop fragile, même s'il en fallait. Myrielle connaissait toutes les dames de l'Ouest. La fragilité des femmes devait arriver à point pour sublimer la force de leurs époux, non leur faire honte en étant bien trop peureuses.. Myrielle s'osait à l'avouer, le choix serait long et probablement insatisfait.
« Pour être honnête, je doute qu'une grande partie de ces dames goûte de la même façon que vous aux principes de la suzeraineté.. Beaucoup restent propres à leurs nature : inexpérimentée, fragile et apeurée. Si minable petites créatures.. *soupire* Beaucoup n'enfante plus, trop vieille, ou bien trop jeune, n'ayant pas fleurie..
Si vous m'en faites demande, je puis encore les visiter afin des les juger pour vous .. » Myrielle sourit, mais n'avait que peut d'espoir de trouver une nouvelle Joanna digne et pouvant aussi bien s'inscrire dans le lignage de la famille..
Il fallait d'hors et déjà savoir que le lion avait toujours été d'un naturel prévoyant ..Il n'était guère question de survit dans ce jugement. Juste de nom, d'élévation et de prestige. Plus que cela, Myrielle et Tywin était attaché à l'apparence. Prestige de circonstance, car il fallait savoir vendre ce nom avec éclat. La simple évocation du problème de son oncle affectionna le jeune chat. Il faut dire qu'elle ne comprenais que trop facilement son dilemme.
Myrielle écoutait, prenant même quelques instants pour réfléchir. Elle songeait ironiquement à une femme capable de convenir à son oncle. S'arrêtant vite sur la revu de quelques famille prestigieuse de l'Ouest..
« Je ne comprend que trop la situation mon oncle.. Il est évident que cet impaire n'avantage pas notre famille .. » Myrielle marcha quelques pas, l'allure distinguée. Sa longue chevelure encadrait un visage mignonnement réfléchie. Elle avait toujours été séduite par la distance de son oncle. Si ferme, si grand, il n'avait rien à envier au roi. Pour Myrielle il l'était déjà
« De mes modestes conseils, je ne puis que vous conseiller de garder votre choix sur notre si belle région.. Une digne dame de l'Ouest. De celle pouvant vous élever, vous offrir un fils de pure lignage. Je ne garde que peu d'estime sur le reste de nos voisins.. Surtout moins dû à la vassalité du roi qui semble au prise d'étrange complots » Nous aurions pu facilement dire que cela faisait bien des années que le lion préparait son oeuvre. Peut être même avait t-il eu le loisir de songer à impliquer Myrielle dans ses plans ? Peut être comptait t-il sur elle afin de trouver une dame de l'Ouest suffisamment estimable à ce rôle..
« De ma seconde patrie, les Lefford ne compte qu'Alysanne. Une femme plutôt vive, mais bien moins attachée à sa région que vous. Il est dit par ma grand mère que la douce enfant doit prendre mari sous peu. Un jeune chevalier de l'ouest ma ton dit.. La maison Brax ne compte aucune femme, mais elle aurait été d'un appuie bien maigre, même s'il s'agit de vos plus nobles représentants... »
Myrielle avait beau songer à quelques dames, nommer des noms, elle pensait intimement qu'aucun de ces noms ne saurait être légitime. Beaucoup trop fragile, même s'il en fallait. Myrielle connaissait toutes les dames de l'Ouest. La fragilité des femmes devait arriver à point pour sublimer la force de leurs époux, non leur faire honte en étant bien trop peureuses.. Myrielle s'osait à l'avouer, le choix serait long et probablement insatisfait.
« Pour être honnête, je doute qu'une grande partie de ces dames goûte de la même façon que vous aux principes de la suzeraineté.. Beaucoup restent propres à leurs nature : inexpérimentée, fragile et apeurée. Si minable petites créatures.. *soupire* Beaucoup n'enfante plus, trop vieille, ou bien trop jeune, n'ayant pas fleurie..
Si vous m'en faites demande, je puis encore les visiter afin des les juger pour vous .. » Myrielle sourit, mais n'avait que peut d'espoir de trouver une nouvelle Joanna digne et pouvant aussi bien s'inscrire dans le lignage de la famille..
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Tywin & Myrielle Lannister
Je regardais Myrielle. Elle voulait vraiment donnaer le meilleur d'elle-même. Elle savait que mon respect ne lui était pas acquis, que chaque jour qui se levait était une nouvelle épreuve pour garder mon respect et sa place au sein des décisions pour la famille Lannister. Elle n'était pas ma fille. Cersei, même si elle me décevait, garderait toujours sa place au sein des décision de l'Ouest. En elle coulait mon sang, le sang de la branche principale des Lannister. Myrielle ne devait sa place qu'à son talent et uniquement cela. Les lords de l'Ouest l'aimaient pour son charme, et les ladys la redoutaient pour son intelligence. Seul moi, le chef des Lannister, ne la redoutait pas. Sa loyauté envers moi et surtout envers notre famille était sans faille. J'aurais presque pu regretter qu'elle ne soit pas ma fille, du moins jusqu'à ce jour. Aujourd'hui, son éloignement de la branche principale était crucial pour mes plans. C'était pourquoi, quand elle prit la parole, je l'écoutai attentivement.
« Je ne comprend que trop la situation mon oncle.. Il est évident que cet impaire n'avantage pas notre famille .. »
Je ne savais pas pourquoi, mais j'étais impatient. J'avais envie de lui dire d'oublier les formules qu'elle versait aux Lords pour s'attirer leurs faveurs et de me dire clairement ce qu'elle avait à répondre à ma question. Cependant, cela n'était pas naturel. J'étais quelqu'un de très patient. Je ne comprenais alors pas mon envie de clore cette affaire vite. Était-ce parce que je voulais partir m'occuper du Royaume dans les plus brefs délais ? Non, même pour cela j'étais patient. Puis je la vit marcher avec grâce... et d'une beauté remarquable. Je n'avais jamais été un homme à femme. Certes, j'avais des besoin comme tous les hommes, mais je n'avais connu qu'une femme dans ma vie : Joanna. Du moins c'était ce que je croyais. Myrielle n'était plus une enfant, mais une femme, digne de Joanna. Était-ce pour cela que j'avais envie de clore cette affaire si rapidement ? Pour Myrielle ?! Je devais me ressaisir. Il en allait de l'avenir des Lannister.
« De mes modestes conseils, je ne puis que vous conseiller de garder votre choix sur notre si belle région.. Une digne dame de l'Ouest. De celle pouvant vous élever, vous offrir un fils de pure lignage. Je ne garde que peu d'estime sur le reste de nos voisins.. Surtout moins dû à la vassalité du roi qui semble au prise d'étrange complots »
Elle n'avait pas tort dans son raisonnement. Pourtant, elle n'avait pas totalement raison. L'Ouest était une bonne solution pour garder la pureté de notre lignage. Cependant, écarter les familles prestigieuses de Westeros juste pour la pureté du lignage était idiot. Il ne restait que quatre familles prestigieuse sans compter les Lannister. Les Stark au Nord, les Aryn au Val, les Martell à Dorne et les Targaryen sur le Trône. Or aucune de ces familles n'avait de fille disponible ou ne serait disposée à en marier une avec moi. Cela n'avait rien de surprenant, marier une fille à un homme de 56 ans était la certitude d'avoir un second mariage moins prestigieux que le premier. Mieux valait un mariage d'un prestige moyen, mais durable, qu'un mariage très prestigieux, mais dont la durée ne serait que quelques années. Les Desdaings, les Tyrell, les Connington et les Greyjoy n'avaient aucun intérêt pour notre famille en terme de mariage. Ils n'étaient pas maître de leurs terres avant la conquête d'Aegon. Ils n'en valaient donc pas la peine pour la branche principale. Les Barathéon quant à eux, n'avaient aucune fille à marier et étaient en exil. Une alliance avec eux, qu'elle soit par le mariage ou même militaire ou politique serait une trahison directe envers le trône. Sa conclusion était donc bonne, il ne restait que l'Ouest.
« De ma seconde patrie, les Lefford ne compte qu'Alysanne. Une femme plutôt vive, mais bien moins attachée à sa région que vous. Il est dit par ma grand mère que la douce enfant doit prendre mari sous peu. Un jeune chevalier de l'ouest ma ton dit.. La maison Brax ne compte aucune femme, mais elle aurait été d'un appuie bien maigre, même s'il s'agit de vos plus nobles représentants... »
La maison Lefford avait toujours été fidèle à la maison Lannister. Leurs ancêtres avaient été fidèle à notre maison durant la première rébellion des Feunoyr. De plus sa position à la Dent D'Or était plus qu'intéressante. Cela permettrait un meilleur contrôle des mines et des routes menant à Castral Roc. Cependant ils restaient de simples et humbles bannerets de l'Ouest. Et Lord Leo Lefford n'était qu'un lâche parlant beaucoup de son courage inexistant. Un tel allié n'était pas fiable. Au mieux il se cacherait derrière moi, au pire ils se cacheraient derrière ses murailles en temps de guerre. Ils ne servaient donc à rien tant que Lord Leo restait maître des Lefford. Quant à la maison Brax, elle n'avait rien d'intéressant. Son prestige se basait sur sa lignée remontant aux premiers Hommes qui s'était mélangée par la suite avec les Andales. Elle n'avait aucun pouvoir et Lord Andros Brax n'était pas spécialement intéressant pour ma maison en tant qu'allié. Sa situation de simple banneret lui convenait comme un gant.
« Pour être honnête, je doute qu'une grande partie de ces dames goûte de la même façon que vous aux principes de la suzeraineté.. Beaucoup restent propres à leurs nature : inexpérimentée, fragile et apeurée. Si minable petites créatures.. *soupire* Beaucoup n'enfante plus, trop vieille, ou bien trop jeune, n'ayant pas fleurie.. Si vous m'en faites demande, je puis encore les visiter afin des les juger pour vous .. »
Je soupirai. Elle avait bien compris la situation, mais n'en avait pas tiré les bonnes conclusions. Je retournais derrière mon bureau plaçant des pions sur la carte. Un au Nord, un au Val, un à Dorne et un à l'Ouest. Je la regardai et de mon ton distant et dur habituel je lui dis :
« Tu n'as pas totalement tort. Il faut me marier à une famille prestigieuse ou à un de nos bannerets de l'Ouest. Pourtant, la solution des banneret n'est pas la meilleure solution. Un Lord Suzerain se mariant à une fille d'un de ses bannerets donnerais du pouvoir à cette maison durant sa vie, mais aussi après sa mort, au détriment de la famille suzeraine. »
Je faisais évidement référence à Lady Ellyn Reyne. En se mariant à Tion, second fils de Lord Gerolt et héritier de l'Ouest après la mort de Tywald, elle avait débuté ce que tout le monde avait appelé le règne des Reyne. J'avais dû exterminer deux familles bannerets pour ramener le pouvoirs aux Lannister. Je ne prendrais alors pas le risque de me marier à une fille d'un banneret pour qu'à ma mort cette même femme fasse perdre en puissance aux Lannister au profit de sa propre famille.
« Donc il me faut me marier à une fille d'une famille antérieure à la conquête d'Aegon. Les Stark ont des filles trop jeune. Les Aryn n'ont pas de fille à marier. Dorne n'accepteront jamais d'envoyer leurs fille pour la marier à un homme de mon âge. »
Je retirais un à un les pions des régions citées ne laissant que l'Ouest. Je levai mes yeux vers les siens, plongeon alors mon regard dans le sien. Si j'étais un homme plus faible, je me perdrais dans ses yeux tant elle était belle et son regard pouvait être meurtrier. Pourtant, je devais aller jusqu'au bout de mon raisonnement. Je lâchai d'une voix moins dure que d'habitude mais qui restait tout de même ferme :
« Ce qui nous laisse... »
Je ne fini pas ma phrase dans l'espoir qu'elle puisse enfin voir là où je voulais en venir. Ma future femme, c'était elle. Myrielle Lannister.
« Je ne comprend que trop la situation mon oncle.. Il est évident que cet impaire n'avantage pas notre famille .. »
Je ne savais pas pourquoi, mais j'étais impatient. J'avais envie de lui dire d'oublier les formules qu'elle versait aux Lords pour s'attirer leurs faveurs et de me dire clairement ce qu'elle avait à répondre à ma question. Cependant, cela n'était pas naturel. J'étais quelqu'un de très patient. Je ne comprenais alors pas mon envie de clore cette affaire vite. Était-ce parce que je voulais partir m'occuper du Royaume dans les plus brefs délais ? Non, même pour cela j'étais patient. Puis je la vit marcher avec grâce... et d'une beauté remarquable. Je n'avais jamais été un homme à femme. Certes, j'avais des besoin comme tous les hommes, mais je n'avais connu qu'une femme dans ma vie : Joanna. Du moins c'était ce que je croyais. Myrielle n'était plus une enfant, mais une femme, digne de Joanna. Était-ce pour cela que j'avais envie de clore cette affaire si rapidement ? Pour Myrielle ?! Je devais me ressaisir. Il en allait de l'avenir des Lannister.
« De mes modestes conseils, je ne puis que vous conseiller de garder votre choix sur notre si belle région.. Une digne dame de l'Ouest. De celle pouvant vous élever, vous offrir un fils de pure lignage. Je ne garde que peu d'estime sur le reste de nos voisins.. Surtout moins dû à la vassalité du roi qui semble au prise d'étrange complots »
Elle n'avait pas tort dans son raisonnement. Pourtant, elle n'avait pas totalement raison. L'Ouest était une bonne solution pour garder la pureté de notre lignage. Cependant, écarter les familles prestigieuses de Westeros juste pour la pureté du lignage était idiot. Il ne restait que quatre familles prestigieuse sans compter les Lannister. Les Stark au Nord, les Aryn au Val, les Martell à Dorne et les Targaryen sur le Trône. Or aucune de ces familles n'avait de fille disponible ou ne serait disposée à en marier une avec moi. Cela n'avait rien de surprenant, marier une fille à un homme de 56 ans était la certitude d'avoir un second mariage moins prestigieux que le premier. Mieux valait un mariage d'un prestige moyen, mais durable, qu'un mariage très prestigieux, mais dont la durée ne serait que quelques années. Les Desdaings, les Tyrell, les Connington et les Greyjoy n'avaient aucun intérêt pour notre famille en terme de mariage. Ils n'étaient pas maître de leurs terres avant la conquête d'Aegon. Ils n'en valaient donc pas la peine pour la branche principale. Les Barathéon quant à eux, n'avaient aucune fille à marier et étaient en exil. Une alliance avec eux, qu'elle soit par le mariage ou même militaire ou politique serait une trahison directe envers le trône. Sa conclusion était donc bonne, il ne restait que l'Ouest.
« De ma seconde patrie, les Lefford ne compte qu'Alysanne. Une femme plutôt vive, mais bien moins attachée à sa région que vous. Il est dit par ma grand mère que la douce enfant doit prendre mari sous peu. Un jeune chevalier de l'ouest ma ton dit.. La maison Brax ne compte aucune femme, mais elle aurait été d'un appuie bien maigre, même s'il s'agit de vos plus nobles représentants... »
La maison Lefford avait toujours été fidèle à la maison Lannister. Leurs ancêtres avaient été fidèle à notre maison durant la première rébellion des Feunoyr. De plus sa position à la Dent D'Or était plus qu'intéressante. Cela permettrait un meilleur contrôle des mines et des routes menant à Castral Roc. Cependant ils restaient de simples et humbles bannerets de l'Ouest. Et Lord Leo Lefford n'était qu'un lâche parlant beaucoup de son courage inexistant. Un tel allié n'était pas fiable. Au mieux il se cacherait derrière moi, au pire ils se cacheraient derrière ses murailles en temps de guerre. Ils ne servaient donc à rien tant que Lord Leo restait maître des Lefford. Quant à la maison Brax, elle n'avait rien d'intéressant. Son prestige se basait sur sa lignée remontant aux premiers Hommes qui s'était mélangée par la suite avec les Andales. Elle n'avait aucun pouvoir et Lord Andros Brax n'était pas spécialement intéressant pour ma maison en tant qu'allié. Sa situation de simple banneret lui convenait comme un gant.
« Pour être honnête, je doute qu'une grande partie de ces dames goûte de la même façon que vous aux principes de la suzeraineté.. Beaucoup restent propres à leurs nature : inexpérimentée, fragile et apeurée. Si minable petites créatures.. *soupire* Beaucoup n'enfante plus, trop vieille, ou bien trop jeune, n'ayant pas fleurie.. Si vous m'en faites demande, je puis encore les visiter afin des les juger pour vous .. »
Je soupirai. Elle avait bien compris la situation, mais n'en avait pas tiré les bonnes conclusions. Je retournais derrière mon bureau plaçant des pions sur la carte. Un au Nord, un au Val, un à Dorne et un à l'Ouest. Je la regardai et de mon ton distant et dur habituel je lui dis :
« Tu n'as pas totalement tort. Il faut me marier à une famille prestigieuse ou à un de nos bannerets de l'Ouest. Pourtant, la solution des banneret n'est pas la meilleure solution. Un Lord Suzerain se mariant à une fille d'un de ses bannerets donnerais du pouvoir à cette maison durant sa vie, mais aussi après sa mort, au détriment de la famille suzeraine. »
Je faisais évidement référence à Lady Ellyn Reyne. En se mariant à Tion, second fils de Lord Gerolt et héritier de l'Ouest après la mort de Tywald, elle avait débuté ce que tout le monde avait appelé le règne des Reyne. J'avais dû exterminer deux familles bannerets pour ramener le pouvoirs aux Lannister. Je ne prendrais alors pas le risque de me marier à une fille d'un banneret pour qu'à ma mort cette même femme fasse perdre en puissance aux Lannister au profit de sa propre famille.
« Donc il me faut me marier à une fille d'une famille antérieure à la conquête d'Aegon. Les Stark ont des filles trop jeune. Les Aryn n'ont pas de fille à marier. Dorne n'accepteront jamais d'envoyer leurs fille pour la marier à un homme de mon âge. »
Je retirais un à un les pions des régions citées ne laissant que l'Ouest. Je levai mes yeux vers les siens, plongeon alors mon regard dans le sien. Si j'étais un homme plus faible, je me perdrais dans ses yeux tant elle était belle et son regard pouvait être meurtrier. Pourtant, je devais aller jusqu'au bout de mon raisonnement. Je lâchai d'une voix moins dure que d'habitude mais qui restait tout de même ferme :
« Ce qui nous laisse... »
Je ne fini pas ma phrase dans l'espoir qu'elle puisse enfin voir là où je voulais en venir. Ma future femme, c'était elle. Myrielle Lannister.
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Le grand lion convoque le chat
Tywin Lannister et Myrielle Lannister
Un moment d'égarement et Myrielle scrutait les pions tout en venant de comprendre.. Serait-ce alors possible ? Oui, son esprit ne la trompais jamais. L'honneur était bien trop grand, Tywin lui faisait honneur. Le seul à avoir compris était lui, le plus puissant. Il était le seul à avoir vu ses atouts, oh combien Myrielle était dévouée à sa tâche ! Tantôt émue, même étonner, la lionne eu au moins le luxe de dire que Tywin fut le seul homme à lui faire ce cadeau.. Le cadeau de la confiance. Le grand lion aurait sa descendance, Myrielle y veillerait, elle était de celles à ne jamais faillir. Tant de chose se passait dans l'esprit de la lionne sans qu'elle ne puisse l'expliquer.. De la joie, de l'émotions, mais surtout, un choc, positif il était certains, mais de ceux qu'elle n'avait jamais envisagé de connaître. Son oncle était décidément de ceux qui l'étonnerait toujours, bien qu'elle n'en fut que plus conquise. Le visage remis de ses émotions, Myrielle sourit, gardant de son élégance un sourire brillant. « Mon oncle se pourrait t-il que.. » elle soupirait comme dans un songe posant ses courbes sur les cartes et plaçant son port à la hauteur du roi des lions.
Elle adoptait de ses visages mystérieux, divin, prenant l'allure des grandes dames de l'histoires qui avait forgé le monde.
Elle regarda Tywin, posant une main affective sur son visage et glissant le long comme un enchantement.
« Je vous donnerais vos fils.. Je vous donne tout ce que peut rêver un homme de gloire. Le monde est à vous, l'Ouest possède le monde. Je vous aiderais à en faire le vôtre.. »
Sa voix était éprise de conquête, il fallait dire que Myrielle oeuvrait depuis toujours pour la gloire des siens..
La confiance de son oncle était le fruit de ses efforts.. elle avait déjà su enfant combien leurs point communs les rapprochaient, combien ils les rapprochent encore.. Joanna avait peut être pris soin de reprendre vie en ses traits ? Ou le témoignage farceur des dieux qui jouait si bien avec la nature..
Ce mariage était son cadeau, un moyen de prouver encore mieux toute la valeur de ses travaux pour l'Ouest. Tywin ne le savait peut être pas, mais elle devenait des aujourd'hui l'épouse dévouée et alerte de ses ambitions. Nul besoin de serment, quand la valeur des actes parlait pour elle.. C'était d'ailleurs sans être arrêté par son air sérieux que Myrielle s'approchait du lion. La qualité qu'elle lui portait avait toujours éveillé en elle quelques pulsions bien étranges.. Pour l'heure, la féline les contenaient, de peur qu'il ne face fuir le roi dont la crinière brillait de milles éclats.. Mais elle gardait ces même gestes tendres et cette voix qui faisait rougir de beauté le moindre frémissement environnant.. Comme si leurs duo n'en serait devenu que plus redoutable.. Plus intence, ou même, plus évident..
Le regard de braise, la lionne caressait les doigts de son oncle inclinant son visage pour un nouveau regard de feu..
« Les maisons de l'Ouest entières plieront genoux devant vous, un mot dans l'heure et j'exécute. Par la voix que vous m'offrez, pour l'amour de tout ce que j'ai, je vous suis déjà fidèle.. »
Une danse bien étrange se dessinait entre lion et chat..
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Le Grand Lion convoque le Chat
Petite lionne tu seras grande
Tywin & Myrielle Lannister
Myrielle... Ce serait mentir que de dire que je m'intéressais à elle dès son plus jeune âge. A vrai dire je l'avais remarqué grâce à son frère, Daven. Ce jeune homme était un Lannister prometteur. Pas autant que Jaime à son âge, mais il se débrouillait très bien. Sa sœur était souvent avec lui, ce qui me permit de la connaître alors que j'observais son frère. Déjà jeune elle était dévouée à sa famille. Elle avait peu à peu gagné mon respect et mon affection. Certes, ce n'était pas une affection au sens commun du terme. Je n'étais pas le genre d'homme qui avait un cœur. Pourtant, ce que je ressentais envers cette jeune femme était ce qui se rapprochait le plus de l'affection au sens commun du terme. Je voulais qu'elle réussisse qu'elle me rende fier d'elle. Et d'année en année elle me rendait fier d'elle. Ses charmes s'étaient développés et tous les hommes lui courraient après. Pourtant, jamais je n'avais entendu qu'elle avait cédé, ou du moins elle avait eu le bon sens de ne pas y donner suite. Je revint à mes esprits quand elle sembla comprendre où je voulais en venir avec les pions...
« Mon oncle se pourrait t-il que.. »
Elle posa ses courbes sur les cartes. Je la désirais tant... Elle me faisait certes penser à Joanna, mon ancienne femme. Pourtant, elles étaient très différentes. En effet, Myrielle pouvait certes être douce, mais elle était très dangereuse. C'était une prédatrice. Sous ses airs parfois innocents, elle n'avait rien d'une femme naïve. Seul son âge et ses doux traits lui donnaient cet air naïf et doux. Au fond d'elle, c'était une lionne. Pas une lionne protectrice comme l'était Joanna, mais bien une lionne qui chassait et protégeait ce qu'elle avait. C'était la lionne dont j'avais besoin. La lionne que je voulais, là, maintenant sur ce bureau. Je pouvais être un homme froid et ferme... c'était d'ailleurs ma nature. Mais je restais un homme et en tant qu'homme je la désirais plus que toutes les femmes que je pouvais voir sur Westeros et Essos. Elle avait un charme naturel qui arrivait à faire renaître mes sens que j'avais perdu à la mort de Joanna.
« Je vous donnerais vos fils.. Je vous donne tout ce que peut rêver un homme de gloire. Le monde est à vous, l'Ouest possède le monde. Je vous aiderais à en faire le vôtre.. »
Peu importe ce qu'elle disait, cela ne changeait rien. Je n'écoutais presque plus tant j'étais perdu à contempler ses formes derrière mon regard qui était moins dur et moins glacial qu'à son habitude. Si l'on prêtait attention à mon regard on pouvait voir, derrière la glace, brûler la flamme du désir. C'était ce que disait Joanna du moins. Pourtant, je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'il faudrait que je lui explique que je ne voulais pas le monde. Juste une famille sur des bases solides et puissantes. Elle n'avait pas besoin de me donner Westeros, tant qu'elle me donnait son corps et un fils. La gloire nous allions l'avoir. Les temps troubles étaient toujours propices à la gloire des hommes.... ou à leur chute. Cependant, je ne voulais pas penser à ça. Je ne voulais qu'une chose, sentir son souffle contre ma peau alors que je la faisais mienne. Je me contenais néanmoins pour l'instant attendant qu'elle soit un peu plus proche.
Je voyais qu'elle était émue. Peut-être pensait-elle que c'était un honneur qui lui était fait. Cela n'était pas faux, être l'épouse du Lord Suzerain de l'Ouest n'était pas donné à toutes les femmes de Westeros. Néanmoins, elle l'avait plus que mérité par son dévouement et sa volonté d'aider notre famille à avancer... C'était la femme parfaite pour le contexte actuel. Je pouvait laisser derrière moi l'Ouest avec une femme attendant mon enfant afin d'aller m'occuper des affaires du Royaume. Cela était parfait, elle était parfaite, elle avait des courbes parfaites. Peu importait où allait mon esprit, il pouvait partir dans des pensées militaire, économique, religieuse... il revenait toujours vers elle et mon envie de son corps. Je devais attendre le mariage pour l'avoir... Cela me faisait enrager d'avance de devoir attendre. Je l'imaginais déjà nue dans notre lit recouverte juste par un drap blanc, fin, presque transparent laissant facilement imaginer les formes qu'il cachait. Je m'imaginais déjà la rejoindre... Non, je ne pouvais pas penser à cela maintenant. J'avais des obligations en tant que Lord Suzerain qui réclamait mon attention encore plus que son corps réclamait un homme fort.
Les instants entre chacun de ses mots semblaient durer des heures. Moi, Tywin Lannister, j'étais torturer de ne pouvoir lui céder. Je voulais qu'elle se taise. Je voulais la faire taire en collant ses lèvres contre les mienne, que nos langues s'entrechoquent. Je n'en pouvais plus d'attendre ce moment. Pourtant, petit à petit j'arrivais à me calmer. Il me fallait juste du temps pour m'habituer à ce supplice qu'était de la voir se tortiller dans mon bureau et devoir rester de marbre. Plus que quelques instants et elle partirait sans doute, satisfaite de l'annonce que je lui avais faite. Du moins, c'était ce que je pensais jusqu'à ce qu'elle continue dans sa lancée, caressant mes doigts et plongeant son regard ardent dans le mien.
« Les maisons de l'Ouest entières plieront genoux devant vous, un mot dans l'heure et j'exécute. Par la voix que vous m'offrez, pour l'amour de tout ce que j'ai, je vous suis déjà fidèle.. »
Les maisons de l'Ouest pliaient dé... Je n’arrivais plus à réfléchir. Un homme plus faible aurait déjà cédé à l'envie de la prendre dès qu'elle avait franchi le pas de la porte. Pourtant, j'étais Tywin Lannister. Je ne me laissais pas aller à la passion aussi rapidement... Et pourquoi ne pas lui donner ce qu'elle semblait tant vouloir ? Je m'installais confortablement sur la chaise. Malgré la gêne physique qu'elle m’imposait de par sa beauté, je l'attirai contre moi faisant tomber quelques objets placé sur le bureau. Je la plaçai à califourchon sur moi. J'approchais doucement mes lèvres de son oreille et d'un ton ferme et assuré, presque dénué de douceur je lui dis :
« Sois ma lionne Myrielle. Je ne demande rien de plus que toi aujourd'hui. »
« Mon oncle se pourrait t-il que.. »
Elle posa ses courbes sur les cartes. Je la désirais tant... Elle me faisait certes penser à Joanna, mon ancienne femme. Pourtant, elles étaient très différentes. En effet, Myrielle pouvait certes être douce, mais elle était très dangereuse. C'était une prédatrice. Sous ses airs parfois innocents, elle n'avait rien d'une femme naïve. Seul son âge et ses doux traits lui donnaient cet air naïf et doux. Au fond d'elle, c'était une lionne. Pas une lionne protectrice comme l'était Joanna, mais bien une lionne qui chassait et protégeait ce qu'elle avait. C'était la lionne dont j'avais besoin. La lionne que je voulais, là, maintenant sur ce bureau. Je pouvais être un homme froid et ferme... c'était d'ailleurs ma nature. Mais je restais un homme et en tant qu'homme je la désirais plus que toutes les femmes que je pouvais voir sur Westeros et Essos. Elle avait un charme naturel qui arrivait à faire renaître mes sens que j'avais perdu à la mort de Joanna.
« Je vous donnerais vos fils.. Je vous donne tout ce que peut rêver un homme de gloire. Le monde est à vous, l'Ouest possède le monde. Je vous aiderais à en faire le vôtre.. »
Peu importe ce qu'elle disait, cela ne changeait rien. Je n'écoutais presque plus tant j'étais perdu à contempler ses formes derrière mon regard qui était moins dur et moins glacial qu'à son habitude. Si l'on prêtait attention à mon regard on pouvait voir, derrière la glace, brûler la flamme du désir. C'était ce que disait Joanna du moins. Pourtant, je ne pouvais m'empêcher de me dire qu'il faudrait que je lui explique que je ne voulais pas le monde. Juste une famille sur des bases solides et puissantes. Elle n'avait pas besoin de me donner Westeros, tant qu'elle me donnait son corps et un fils. La gloire nous allions l'avoir. Les temps troubles étaient toujours propices à la gloire des hommes.... ou à leur chute. Cependant, je ne voulais pas penser à ça. Je ne voulais qu'une chose, sentir son souffle contre ma peau alors que je la faisais mienne. Je me contenais néanmoins pour l'instant attendant qu'elle soit un peu plus proche.
Je voyais qu'elle était émue. Peut-être pensait-elle que c'était un honneur qui lui était fait. Cela n'était pas faux, être l'épouse du Lord Suzerain de l'Ouest n'était pas donné à toutes les femmes de Westeros. Néanmoins, elle l'avait plus que mérité par son dévouement et sa volonté d'aider notre famille à avancer... C'était la femme parfaite pour le contexte actuel. Je pouvait laisser derrière moi l'Ouest avec une femme attendant mon enfant afin d'aller m'occuper des affaires du Royaume. Cela était parfait, elle était parfaite, elle avait des courbes parfaites. Peu importait où allait mon esprit, il pouvait partir dans des pensées militaire, économique, religieuse... il revenait toujours vers elle et mon envie de son corps. Je devais attendre le mariage pour l'avoir... Cela me faisait enrager d'avance de devoir attendre. Je l'imaginais déjà nue dans notre lit recouverte juste par un drap blanc, fin, presque transparent laissant facilement imaginer les formes qu'il cachait. Je m'imaginais déjà la rejoindre... Non, je ne pouvais pas penser à cela maintenant. J'avais des obligations en tant que Lord Suzerain qui réclamait mon attention encore plus que son corps réclamait un homme fort.
Les instants entre chacun de ses mots semblaient durer des heures. Moi, Tywin Lannister, j'étais torturer de ne pouvoir lui céder. Je voulais qu'elle se taise. Je voulais la faire taire en collant ses lèvres contre les mienne, que nos langues s'entrechoquent. Je n'en pouvais plus d'attendre ce moment. Pourtant, petit à petit j'arrivais à me calmer. Il me fallait juste du temps pour m'habituer à ce supplice qu'était de la voir se tortiller dans mon bureau et devoir rester de marbre. Plus que quelques instants et elle partirait sans doute, satisfaite de l'annonce que je lui avais faite. Du moins, c'était ce que je pensais jusqu'à ce qu'elle continue dans sa lancée, caressant mes doigts et plongeant son regard ardent dans le mien.
« Les maisons de l'Ouest entières plieront genoux devant vous, un mot dans l'heure et j'exécute. Par la voix que vous m'offrez, pour l'amour de tout ce que j'ai, je vous suis déjà fidèle.. »
Les maisons de l'Ouest pliaient dé... Je n’arrivais plus à réfléchir. Un homme plus faible aurait déjà cédé à l'envie de la prendre dès qu'elle avait franchi le pas de la porte. Pourtant, j'étais Tywin Lannister. Je ne me laissais pas aller à la passion aussi rapidement... Et pourquoi ne pas lui donner ce qu'elle semblait tant vouloir ? Je m'installais confortablement sur la chaise. Malgré la gêne physique qu'elle m’imposait de par sa beauté, je l'attirai contre moi faisant tomber quelques objets placé sur le bureau. Je la plaçai à califourchon sur moi. J'approchais doucement mes lèvres de son oreille et d'un ton ferme et assuré, presque dénué de douceur je lui dis :
« Sois ma lionne Myrielle. Je ne demande rien de plus que toi aujourd'hui. »
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Le grand lion convoque le chat
Tywin Lannister et Myrielle Lannister
La lumière se tamisait, on entendait désormais que les soupire voluptueux de la lionne près de l'oreille du lion. Séduisante comme jamais, le chat enlaça Tywin de ses bras de velours. Elle lécha finement ses doigts puis remonta près de son coup. Elle entamait quelques danse nuptiale, une sorte d'attirance réserver aux chat et autres félins magnifique. Une passion entama les yeux de la prédatrice, Myrielle sourit, arborant la plus belle de ses armes.
Elle avait toujours éprouver cela pour lui, Tywin. Son regard en disait d'avantage, comme s'il venait d'approuver ses sentiments. Myrielle aurait donc le droit de lui appartenir. Lui donner sa gloire et porter dignement ses projets. L'amour avait ses raisons, la lionne avait les siennes, mais elle ne jouait à rien avec le lion. Elle laissait vivre ses pulsions, de tel qu'on les auraient dit incestueuses par certains.. Mais qu'importe. La dynastie des Targaryen avait été fondé ainsi. Myrielle perdait en cela une seul fois le contrôle en se donnant à Tywin. Mais il était le roi, son roi. Celui qui écraserait le monde.
Une vision de satisfaction l'entamait.. Elle fermait déjà les yeux sur un avenir de drapeaux rouges flottant au vent de la capital. L'Ouest régnerait secrètement, ses couleurs seraient visible par ceux qui savent, qui connaisse la valeur des vainqueur..Quelques notes de safran, une touches de rose, les senteurs donnait une sensation mystique.
Myrielle laissait glissa sa robe rouge pour en dévoiler sa poitrine. Il ne fallut que peut de temps pour que son parfum satiné ne se glisse entre elle et le lion. Le tissu caressait sa peau, son visage lança quelques envies dans les yeux de son oncle. Elle aimait son air distant, ce qui ne l'empêchait pas de prendre main quelques gestes et autres paroles murmurer à son oreille.
« Je serais ce que vous voudrez my lord ... »
Myrielle continua, soufflant de mystérieuses phrases capables de charmer les hommes. Elle voulu poursuivre, lorsque, couper dans sa manoeuvre, un homme frappa à la porte voulant s'entretenir avec Tywin. Myrielle l'embrassa avec fougue. Elle voulait au moins qu'il se rappelle de se qu'il obtiendrais d'elle. Une femme, une vraie. Non de celles à rougir ou frémir. L'homme s'impatientait, mais Myrielle finit son ouvrage, souriant une nouvelle fois à Tywin. Elle attrapa sa robe, les affaires passant avant le reste. Elle se cachait comme une ombre derrière un meuble..
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Le Grand Lion convoque le Chat
Petite lionne tu seras grande
Tywin & Myrielle Lannister
Elle était belle. Si je n'étais pas ce que j'étais j'aurais sans doute fait une guerre pour sa beauté tant elle pouvait envoûter les cœurs. Mais les Sept avaient bien fait leur travail. Je n'avais pas de cœur. A la place de ça j'avais un nom. Un nom pour qui je ferais tout. Heureusement mon désir pour elle n'allait pas à l'encontre de ce nom. Bien au contraire. Et bien que le cœur était manquait je restais un homme avec des désirs, des envies... J'avais tellement envie d'elle. Pourtant, je ne pouvais me laisser aller, même en sentant sa langue sur mes doigts. Cette si vilaine langue qui s'amusait à me torturer. Il était perturbant d'imaginer un homme comme moi ressentir ce genre de besoin, d'envie. J'étais l'homme qui chiait de l'or, un homme qui était craint, un homme froid, en somme un homme de pouvoir. Personne ne disait de moi que j'étais un homme à femme. Pourtant, avec Joanna... j'étais l'homme de cette femme et j'avais envie d'être l'homme de Myrielle en plus d'être l'homme ayant mené les Lannister au sommet. Après tout, étant l'homme le plus riche de Westeros, il était normal que je possède le plus beau bijou du royaume. C'était elle ce bijou...
Elle fit glisser sa robe le long de son corps dévoilant ainsi sa poitrine. Je ne pouvais m'empêcher de la regarder et sentir son odeur. Cette odeur m'enivrait alors que la vue m'emplissait d'une chose qu'un homme comme moi ne connaissait que trop peu : le bonheur. Du bonheur et une envie violente de la prendre sur ce même bureau. Pourtant, je restais encore distant. On pouvait lire mon désir dans mes yeux, mais mes mains ne bougeaient pas. J'attendais. Je voyais la scène. Elle n'était pas continue, mais c'était succession d'image de moi en train de la plaquer sur ce même bureau alors qu'elle était totalement nue ne demandant que ma personne. Elle me donnerait un fils. Un fils courageux, avec du caractère et fort physiquement. Mais surtout un fils dévoué envers sa famille et loyale envers son père. Il ne pouvait y avoir meilleure mère que Myrielle pour cet enfant. Il ne pouvait y avoir meilleure épouse que Myrielle. Il ne pouvait y avoir meilleure amante que Myrielle. Et alors que j'imaginais encore ce qui allait se passer dans quelques instants elle me murmura quelques mots.
« Je serais ce que vous voudrez my lord ... »
Ces mots ne firent qu'ajouter de l'huile sur le feu de mon désir. Pourtant, ce moment fut interrompu par un individu tapant à la porte. Je ne pouvais l'ignorer et Myrielle le savait. Si c'était important il fallait que je réagisse vite. Elle m'embrassa alors fougueusement et je me surpris à lui rend son baiser. Je la désirais plus que tout en cet instant précis. J'avais besoin d'elle. Besoin d'assouvir ce désir avant d'avoir les idées au clair. Je ne serais pas suffisamment objectif tant que ces images me seraient en tête. Elle se cacha derrière un meuble prenant avec elle sa robe. Je pouvais néanmoins deviner ses courbes que j'enviais tant. Après quelques instants où je me remis en bonne position j'invitai l'individu à entrer.
« Mon lord, les Manderlly vous font savoir qu'il se rendront ici sous peu. Ils quittent Blancport à l'heure où je vous parle. »
Parfait, voilà un détail qui était réglé. Le temps qu'ils arrivent j'avais le temps de reprendre les discussions avec Forrester. Je me levai. L'individu restai sur place. Parfait. J'allais pouvoir m'amuser. Myrielle ,n'avait pas choisis la bonne place pour cacher. Je me dirigeais vers le meuble où elle était cachée. Sans que l'individu puisse voir ce qui se passait je collais mon corps contre celui de Myrielle pouvant sentir mon souffle chaud dans son cou. Je passai alors ma main le long de sa jambe droite remontant tout son corps d'une tendre caresse jusqu'à le quitter afin de prendre la lettre qui se trouvait plus haut. Je m'éloignai du corps de ma future femme et me rendit près du messager.
« Faîtes en sorte que ceci arrive à la famille Forrester. »
« Bien messire, vous faut-il autre chose ? »
« Dîtes au garde devant la porte que je ne veux plus être dérangé sous aucun prétexte aujourd'hui. »
Le messager parti. Je me remis sur ma chaise regardant Myrielle qui était toujours cachée. Je la regardais à nouveau. Je ne pouvais vraiment pas attendre le mariage. Son corps allait causer ma perte si je partais en guerre sans avoir profité d'elle... Et elle devait s'en douter.
« Ce que je veux Myrielle c'est toi. Maintenant. »
Je fis de mon mieux afin de garder mon ton habituel, pourtant je ne pouvais m'empêcher de remarquer que le désir que j’éprouvais pour elle était bien trop important pour qu'il reste neutre. [/color] »
Elle fit glisser sa robe le long de son corps dévoilant ainsi sa poitrine. Je ne pouvais m'empêcher de la regarder et sentir son odeur. Cette odeur m'enivrait alors que la vue m'emplissait d'une chose qu'un homme comme moi ne connaissait que trop peu : le bonheur. Du bonheur et une envie violente de la prendre sur ce même bureau. Pourtant, je restais encore distant. On pouvait lire mon désir dans mes yeux, mais mes mains ne bougeaient pas. J'attendais. Je voyais la scène. Elle n'était pas continue, mais c'était succession d'image de moi en train de la plaquer sur ce même bureau alors qu'elle était totalement nue ne demandant que ma personne. Elle me donnerait un fils. Un fils courageux, avec du caractère et fort physiquement. Mais surtout un fils dévoué envers sa famille et loyale envers son père. Il ne pouvait y avoir meilleure mère que Myrielle pour cet enfant. Il ne pouvait y avoir meilleure épouse que Myrielle. Il ne pouvait y avoir meilleure amante que Myrielle. Et alors que j'imaginais encore ce qui allait se passer dans quelques instants elle me murmura quelques mots.
« Je serais ce que vous voudrez my lord ... »
Ces mots ne firent qu'ajouter de l'huile sur le feu de mon désir. Pourtant, ce moment fut interrompu par un individu tapant à la porte. Je ne pouvais l'ignorer et Myrielle le savait. Si c'était important il fallait que je réagisse vite. Elle m'embrassa alors fougueusement et je me surpris à lui rend son baiser. Je la désirais plus que tout en cet instant précis. J'avais besoin d'elle. Besoin d'assouvir ce désir avant d'avoir les idées au clair. Je ne serais pas suffisamment objectif tant que ces images me seraient en tête. Elle se cacha derrière un meuble prenant avec elle sa robe. Je pouvais néanmoins deviner ses courbes que j'enviais tant. Après quelques instants où je me remis en bonne position j'invitai l'individu à entrer.
« Mon lord, les Manderlly vous font savoir qu'il se rendront ici sous peu. Ils quittent Blancport à l'heure où je vous parle. »
Parfait, voilà un détail qui était réglé. Le temps qu'ils arrivent j'avais le temps de reprendre les discussions avec Forrester. Je me levai. L'individu restai sur place. Parfait. J'allais pouvoir m'amuser. Myrielle ,n'avait pas choisis la bonne place pour cacher. Je me dirigeais vers le meuble où elle était cachée. Sans que l'individu puisse voir ce qui se passait je collais mon corps contre celui de Myrielle pouvant sentir mon souffle chaud dans son cou. Je passai alors ma main le long de sa jambe droite remontant tout son corps d'une tendre caresse jusqu'à le quitter afin de prendre la lettre qui se trouvait plus haut. Je m'éloignai du corps de ma future femme et me rendit près du messager.
« Faîtes en sorte que ceci arrive à la famille Forrester. »
« Bien messire, vous faut-il autre chose ? »
« Dîtes au garde devant la porte que je ne veux plus être dérangé sous aucun prétexte aujourd'hui. »
Le messager parti. Je me remis sur ma chaise regardant Myrielle qui était toujours cachée. Je la regardais à nouveau. Je ne pouvais vraiment pas attendre le mariage. Son corps allait causer ma perte si je partais en guerre sans avoir profité d'elle... Et elle devait s'en douter.
« Ce que je veux Myrielle c'est toi. Maintenant. »
Je fis de mon mieux afin de garder mon ton habituel, pourtant je ne pouvais m'empêcher de remarquer que le désir que j’éprouvais pour elle était bien trop important pour qu'il reste neutre. [/color] »
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Le grand lion convoque le chat
Tywin Lannister et Myrielle Lannister
C'est une Myrielle de toutes beauté qui venait de revenir dans les appartements du lion. La belle inspira profondément, réalisant l'inconfort de la situation, mais fermement décidée à faire vivre Tywin de volupté et de confort. Et tant pis si son innocence ne se relevait pas de voir sa distinction en périr.. Myrielle aurait été jursqu'au bout de ses envie et même de ses sentiments. Le corps de la jouvencelle se glissait alors au bras du grand prédateur lorsqu'elle voulut lui accorder quelques confidences.. Ces explications qui allaient suivre lui donneraient l'ébauche d'une raison quelconque qui légitimerait son acte, car la féline ne pensait pas à mal en s'accordant elle même le droit de lui offrir sa pureté..
De cela, elle était catégorique et n'y regretterais rien.
«Je vous est toujours aimée, toujours car vous avez été ce que personne n'a été pour moi.. Je vous aime Lord Tywin.. » souffla t-elle entre deux pulsions d'érotismes..
Elle s'assit à nouveau près du bureau et se pencha, posant ses ses mains sur le torse du grand écarlate auquel elle souffla quelques mots doux. Myrielle avait beaucoup aimée ce petit jeux, surtout de savoir que Tywin pensait exactement aux même choses qu'elles en renvoyant son généreux à l'oeuvre.. La jeune fille s'entendie sur le sublime bois de chêne qui la supportait, dévoilant une poitrine de toutes magnificence qu'elle laissa à la vue du prédateur. Elle papillonna des cils, soufflant quelques mots doux à Tywin
«Si vous me désirez my lord.. alors... Venez donc me prendre.. »
Myrielle écarta les cuisses, attrapant le superbe en croisant ses jambes autour de son torse. Elle se redressa alors pour l'embrasser et entamer les ébats qui se promettaient d'être aussi long que ces préliminaires.. La lionne sentit vibrer en elle,des émotions attisées, émoustillé par le visage fort et présent de son conquérant. Comment faire taire son appétit charnel ? Quand le lion mourrait de faim, il dévorait tout sur son passage..
Un dernier soupire et les crie de plaisirs laissèrent place à la parole..
codage de whatsername.
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