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Deux filles dans les couloirs |- Marianne

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Ysilla & Marianne




Le mariage était passer. C'était fait, la cérémonie qui avait uni Rowen Hightower et Rhaenys Targaryen était terminée depuis plusieurs heures. Mais c'était toujours la fête. C'était le premier mariage princier que je voyais à Port-Réal, j'avais l'impression qu'ici que tout durait plus longtemps. Que cette fête allait duré pendants des jours. Peut-être que cela serait le cas. Il était vrai qu'ici tout semblais bien plus grand, plus immense. Rien que le palais du Donjons Rouge était disproportionner face à celui de Roches-Aux-Runes. Je n'osais pas imaginer la ville tout autour. De quoi se perdre pendant des heures. C'était en avoir le tournis rien que d'y pensé.

Mais pour le moment je ne pensais pas à cela. La journée avait bien avancée, et il y avait encore beaucoup de monde au palais, cela grouillait encore bien comme il faut. Malgré l'heure qui commençait à être tardive c'était toujours une fourmilière. Pourtant je commençais vraiment à me sentir mal.

Autant je n'aime pas être isolé, être ignoré est mise de côté. C'est pour cela que j'adorais être avec ma famille et ceux qui m'était proche. Mais là autant de monde dans le même endroit, je n'en pouvais plus. Avec le brouhaha que cela créait j'avais l'impression d'étouffer, d'être confinée. Il fallait que je sorte. Que je prenne l'air, histoire de mieux respirer et me sentir mieux. Mais aussi être un peu en solitaire, de plus avoir autant de personnes autour de moi, loin de ces fourmis qui grouillaient partout à le recherche de je ne sais quoi . J'avais quitter la salle en douce. Mon frère aurait été capable de me demander de qui allait en voyait mon visage de renfermé. C'était le moment qu'il me retienne à l'intérieur.  Il devait profite lui aussi de la f^te cela lui fera le plus grand bien. D'ailleurs je l'avais aperçu plusieurs fois dans la journée avec la même jeune femme comme compagnie. Est-ce qu'il s’intéresserait enfin aux femmes ? Le fait devenir seigneur l'avait un peu hâter à fondé une famille ? Il était tant,à son âge. J'eus un sourire en imaginant Andar marié.

Me faufilant vers l'extérieur de la pièce, il a un escalier à descendre qui rejoins les jardins plus loin dehors. Pourquoi pas. Cela me fera marché en même temps.
Mais dans mes pas, mon pieds droit butte mon pieds gauche et je rate les deux dernière marche, tomber bruyamment sur mes fesse. Le bruit sourd sur le sol en pierre résonna. Posant ma main sur ma cheville gauche je grimace. Par tous les dieux je mettais fait mal. Qu'importe que je soit par terre, j'allais attendre que la douleur ce dissipe avant de me relevée.


© Méphi.


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Trois filles dans les couloirs

Jamais la jeune Harlton n’aurait pu croire en une telle nouvelle. Jamais, elle n’aurait même osé songer en une telle chose alors que le temps ne parvenait à effacer les douleurs les plus vives de son être. Désorientée, alors que le mariage venait à peine de toucher à sa fin, la jeune fille n’avait eu d’autre comportement que celui de dissimuler ce qu’elle ressentait aux yeux de tous. Son regard n’en devenait que des plus fuyants, alors que la conscience d’une telle survie émanait en son sein une sensation qui lui était totalement inconnue. Était t-elle heureuse ? Était t-elle en colère ? Elle n’avait aucune idée de la manière dont elle devait appréhender les choses, tant la surprise avait été pleine. Bien entendu, le Seigneur des Eyriés n’avait certainement pas voulu agir farouchement dans ses propos, peut être même ne s’était t-il pas rendu compte qu’il avait réussi à la déstabiliser. Tout se mélangeait dans son esprit, si bien que l’envie de retourner sur ses terres se faisait de plus en plus évidente. Cette nouvelle n’avait qu’encourager sa détermination et l’heure des départs se devait d’être rapide. Encore une fois, la jeune fille n’avait eu de cesse que de retourner aux bras du seigneur des Roches aux Runes, non seulement pour le remercier de sa bonté vis-à-vis de la journée, mais il avait réussi à instaurer en elle une sorte de calme et d’apaisement qu’elle-même ne saurait s’expliquer. Néanmoins, elle resta secrète sur son avenir, ne préférant pas entrer dans le vif du sujet pour l’instant. Peut être auraient-ils l’opportunité de croiser leurs chemins une nouvelle fois. Auquel cas, ce serait avec une réelle amitié qu’elle se plairait à lui conter les troubles qui commençaient à hanter son esprit. Rentrer était le maître mot de cet instant. Elle ne pouvait se permettre de passer une heure de plus dans ces lieux, dans cette atmosphère, dans ce sentiment de suffoquer qui ne cessait de grandir encore et encore. Ce fut donc avec bienveillance et sincérité qu’elle présenta ses au revoir à Andar . Mais alors que ses pas la menèrent tout droit vers ses appartements, la jeune fille se trouva nez-à-nez avec quelques gardes royaux un peu éméchés. « La Lady du Conflans seule ? Ne craignez-vous pas une quelconque menace madame ? » Le regard de la jeune fille se fit plus sombre, alors qu’elle préférait continuer son chemin sans même daigner ouvrir la bouche. A quoi cela aurait t-il servi si ce n’était envenimer les choses ? Les hommes et l’alcool n’étaient généralement que de pauvres enfants devant un jouet qu’ils convoitaient. Aussi, lorsqu’ils fuyaient entre leurs doigts s’en trouvaient –ils silencieux. Cependant, la jeune fille ne s’attendait pas à ce que l’un d’eux se mette face à elle et lui bloque son chemin alors qu’elle essayait de l’esquiver. « Êtes-vous sourde madame ? » Quelle impudence ! Mais surtout quel affront ! Marianne releva ses yeux noirs alors que ses poings commençaient à se serrer. « Et vous, seriez-vous idiots au point de risquer votre solde ou pi encore en menaçant une personne d’un rang plus élevé que le votre ? » Le franc parler de la jeune fille ne plaisait pas et elle en avait conscience. Mais comment agir d’une autre manière alors qu’on se moquait ouvertement de sa région et pire encore de ses allégeances en se tenant ainsi contre elle. « Je tairai votre impudence, mettant cette dernière sur le compte des breuvages dont vous avez gracieusement abusé au cours de vos services. Qui sait ce qu’une telle erreur pourrait causer pour un garde royal. » Le dégout pouvait s’entendre dans la voix de la jeune lady, un dégout accompagné d’une réelle colère qui ne cessait de grandir en elle encore et encore. L’autre garde sur son côté vint toucher l’épaule de celui qui la menaçait tout en commençant à s’excuser sur leurs comportements. Soupirant, Marianne n’en garda pas moins ses yeux mauvais en direction de son assaillant. Quelques secondes s’épuisèrent, jusqu’à ce qu’il ne daigne enfin se dégager du couloir afin de permettre à la jeune fille de retrouver un passage convenable. Sans dire un mot, elle s’avança d’un pas décidé, jusqu’à ce qu’un son ne vienne à attiser sa curiosité.

Ce dernier paraissait lourd et quelque peu inattendu, comme si il était le résultat d’une chute. Déportant ses yeux vers la direction de ce dernier, la jeune fille pencha sa tête en premier lieu avant d’oser étendre sa voix. « Il y a quelqu’un ? » Un léger gémissement lui laissa croire en la présence d’une personne, ce qui l’encouragea à descendre les escaliers de façon méfiante tout en hâtant sa course. Et plus elle avançait plus ses yeux parvenaient à reconnaitre la chevelure flamboyante et délicate de la jeune sœur du lord Royce. En prenant conscience de cette dernière, Marianne ne réfléchit pas plus et se hâta de plus belle. « Ma Lady ? Venez-vous de choir ? Je viens vous aider. » Ses pas l’amenèrent enfin à la hauteur de la jeune lady et sans prier garder la jeune Harlton s’accroupit devant elle tout en veillant à capter son regard pour prendre conscience des peines qu’elle devait probablement endurer. « Quel mal vous ronge ? » s’enquit t-elle, alors que l’une de ses mains vint caresser doucement la joue de la petite Lady. « Auriez-vous cogné la tête contre l’une de ses marches ? Votre Seigneur frère est t-il dans les alentours ? » Marianne regarda de part et d’autre de cette scène et ne reconnut la silhouette imposante du chevalier. Par ailleurs, elle reconnu sans hésitation celle de sa maîtresse qui s’avançait vers elles.

AVENGEDINCHAINS
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Ysilla & Marianne & Alyssa




Tenant toujours ma cheville gauche, je souffle. Je n'avais pas louper mon coup. Je n'avais rien de caser, je l'aurais sentie sinon. Mais je devais avoir une belle entorse. Je vais sûrement devoir aller voir le mestre. Hum même le soir d'un mariage j'allais le faire travailler. Prêt à aider son prochain même quand la situation ne s'y prête pas. J'espérais qu'il n'allais pas m'en vouloir de demander ses services un jour pareil. Mais avant je devais me relever. Pour le moment le couloir était totalement vide. Pas un invité, ni même de servantes ou de soldats. Je ne sais pas si c'était un mal ou un bien. Pourtant je n'étais pas fière au point d'avoir honte de tomber en public. On est humain et donc imparfaits. Et puis quelqu'un aurait pus m'aider alors que là j'étais seule dans ce couloir, où la lumière des bougies dansait sur les murs. J'allais prendre mon mal en patience, attendre de pouvoir me relever seule, ou bien que quelqu'un passe.
Tiens en parlant de ça, j'attends une voix, qui vient du sommet de l'escalier qui a eu raison de ma cheville. Je voie alors descendre à toute vitesse  celle qui avait tenue compagnie à Andar durant tout le mariage. Pendant un moment j'ai même cru qu'elle allait faire la même chute que moi, vu comment elle descendait. Heureusement non. Cela aurais été cocasse.

Alors qu'elle était a mon niveau et me demandais si j'allais bien. Je me mis à rire. Tant de mondanité !! Je n'étais pas la reine mère quand même ! Qui plus est, si elle savait qui j'étais, elle devrait savoir que ce genre de surplus d'apparat n'étais pas mon genre. Je me rendis compte que de rire ainsi sans lui répondre pouvais la froisser.

-Je suis désoler. Mais autant de mondanité ne passe pas inaperçue. Je ne suis pas la reine mère voyons. Je n'en mérite pas tant. En tout cas garder cela pour Andar.

J'avais un grand sourire en lui parlant. Je me rendis compte qu'elle savais qui j'étais mais moi je ne savais pas qui elle était.

-Je vais bien ce n'est qu'une foulure. Je suis intriguée, vous avez passer toute la fête avec mon frère, pourtant je ne vous connais point. Désoler d'être si directe, mais quand cela concerne mon frère je suis à la fois intriguée et méfiante. Sans vouloir vous froisser bien sûre, ce n'est point mon intention.


© Méphi.


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