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Sous le soleil de Dorne, les araignées dansent !
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Lancehélion, An 298, Lune 12, Semaine 1
Le sable, le sable et encore du sable. De ce qu'en avait vu Owen, si le sable était de l'or, Dorne serait plus riche que Castral Roc et la Banque de Fer réunis. Malheureusement pour son peuple, l'eau était la denrée la plus vitale de la région et par conséquent la plus rare. Cette région inhospitalière et aride était vraiment particulière, tout comme dangereuse. Le plus à craindre cependant ,d'après la plupart des Biefois, n'était pas ces conditions mais bien les habitants de cette contrée. Fourbes, jaloux, querelleurs, de mœurs légers, empoisonneurs ! Tant de défauts qui leur collaient à la peau comme le soleil collait à un Martell ! « Ne bois jamais avec un dornien à la pleine lune » disait le vieux proverbe mais comment éviter cela lorsqu'on était constamment entouré de gens de ce peuple ? Un petit rire intérieure parcouru Owen Tyssier à cette pensée. Pour certains, se rendre ici était du suicide pour lui il s'agissait plutôt d'un geste à la fois imprévus et amical. Le plus dur avait été de faire avaler la pilule à son paternel. Le Tyssier y avait mit en avant une visite à Hautjardin afin de présenter Gwynesse à la cours dans l'espoir qu'elle y trouve un bon parti. Il avait ensuite parler de rejoindre Dorne très brièvement afin que son épée lige puisse s'acquitter de quelque tâche au sein de sa famille. Ensuite, il rentrerait ou s'attarderait peut-être dans les Terres de l'Orage si sa sœur voir lui même n'avait pas trouvé chaussure à leur pied dans le Bief.
A vrai dire, il brûlait de visiter Dorne depuis des années. Depuis qu'il était en âge de lire « La Conquête de Dorne » par Daeron Targaryen. Oh bien sûr enfant, il portait un avis négatif et péjoratif sur les indigènes de cette contrées mais en grandissant il y avait réfléchi avec plus d'attrait. De plus Willos entretenait toujours une correspondance avec l'homme qui l'avait estropié, le prince Oberyn. Si un biefois victime d'un dornien était en mesure de converser amicalement, il pensait être en mesure de faire de même. Une autre des raisons de sa venues ici était qu'il souhaitait raffermir les liens entre sa région natale et celle où il se trouvait actuellement. Se faire des amis aux quatre coins de Westeros lui serait profitable. On pouvait également ajouter qu'avec le caractère de sa sœur et ses petits problèmes de boissons, il serait sûrement plus simples de lui trouver un parti intéressé dans cette patrie plus « ouverte d'esprit ». Lions à cela l'occasion pour Orys Santagar, son épée lige de revenir sur la terre qui l'a vu naître et on obtient de solides raisons de venir se jeter en plein dans ce nid de vipère.
En ce jour le Tyssier portait des vêtements légers où se mêlait de l'orange et du bleu vif. Il avait opté pour des vêtements locaux à la fois pour passer un peu plus inaperçu mais aussi pour des raisons pratiques : la chaleur régnait en maître à Dorne. C'était un début de soirée, le soleil commençait tout doucement à laisser place à la nuit et il profitait d'un coin d'ombre, assit sur une chaise, une coupe posée sur la table devant lui. Du vin dornien, aigre et corsé. Particulier comme boisson mais il s'y accommodait aisément. Il avait laissé sa sœur en compagnie de Mezzara ne sachant pas s'il s'agissait là d'une bonne idée ou non. Il espérait que Gwynesse se sociabilise un peu avec les dames de la cours du Prince Doran. Quant à ses gardes, ils n'étaient jamais bien loin et ne le quittait pas du regard. Même s'il pensait qu'il ne courrait probablement aucun danger en ce lieux, les gardes préféraient rester prudent. Il voyait de temps à autres des Dorniens le regarder avec une gêne parce qu'il connaissait son lieu d'origine mais il en faisait fit. De temps à autres, il croisait l'une ou l'autre servantes. Il pouvait accorder à ce peuple une chose au moins : leurs dames étaient belles comme le jour ! Il pourrait se plaire assurément ici malheureusement le blond ne s'était pas rendu à Dorne pour prendre des vacances mais il profitait tout de même quelque peu de sa soirée. En y repensant, il séduirait bien une servante pour s'occuper ce soir à moins qu'il ne suggère à Mezzara de venir le rejoindre une fois son époux assoupi. Des bruits de pas se firent entendre au sud de sa position mais adossé au mur, il ne pût voir de qui il s'agissait !
Le sable, le sable et encore du sable. De ce qu'en avait vu Owen, si le sable était de l'or, Dorne serait plus riche que Castral Roc et la Banque de Fer réunis. Malheureusement pour son peuple, l'eau était la denrée la plus vitale de la région et par conséquent la plus rare. Cette région inhospitalière et aride était vraiment particulière, tout comme dangereuse. Le plus à craindre cependant ,d'après la plupart des Biefois, n'était pas ces conditions mais bien les habitants de cette contrée. Fourbes, jaloux, querelleurs, de mœurs légers, empoisonneurs ! Tant de défauts qui leur collaient à la peau comme le soleil collait à un Martell ! « Ne bois jamais avec un dornien à la pleine lune » disait le vieux proverbe mais comment éviter cela lorsqu'on était constamment entouré de gens de ce peuple ? Un petit rire intérieure parcouru Owen Tyssier à cette pensée. Pour certains, se rendre ici était du suicide pour lui il s'agissait plutôt d'un geste à la fois imprévus et amical. Le plus dur avait été de faire avaler la pilule à son paternel. Le Tyssier y avait mit en avant une visite à Hautjardin afin de présenter Gwynesse à la cours dans l'espoir qu'elle y trouve un bon parti. Il avait ensuite parler de rejoindre Dorne très brièvement afin que son épée lige puisse s'acquitter de quelque tâche au sein de sa famille. Ensuite, il rentrerait ou s'attarderait peut-être dans les Terres de l'Orage si sa sœur voir lui même n'avait pas trouvé chaussure à leur pied dans le Bief.
A vrai dire, il brûlait de visiter Dorne depuis des années. Depuis qu'il était en âge de lire « La Conquête de Dorne » par Daeron Targaryen. Oh bien sûr enfant, il portait un avis négatif et péjoratif sur les indigènes de cette contrées mais en grandissant il y avait réfléchi avec plus d'attrait. De plus Willos entretenait toujours une correspondance avec l'homme qui l'avait estropié, le prince Oberyn. Si un biefois victime d'un dornien était en mesure de converser amicalement, il pensait être en mesure de faire de même. Une autre des raisons de sa venues ici était qu'il souhaitait raffermir les liens entre sa région natale et celle où il se trouvait actuellement. Se faire des amis aux quatre coins de Westeros lui serait profitable. On pouvait également ajouter qu'avec le caractère de sa sœur et ses petits problèmes de boissons, il serait sûrement plus simples de lui trouver un parti intéressé dans cette patrie plus « ouverte d'esprit ». Lions à cela l'occasion pour Orys Santagar, son épée lige de revenir sur la terre qui l'a vu naître et on obtient de solides raisons de venir se jeter en plein dans ce nid de vipère.
En ce jour le Tyssier portait des vêtements légers où se mêlait de l'orange et du bleu vif. Il avait opté pour des vêtements locaux à la fois pour passer un peu plus inaperçu mais aussi pour des raisons pratiques : la chaleur régnait en maître à Dorne. C'était un début de soirée, le soleil commençait tout doucement à laisser place à la nuit et il profitait d'un coin d'ombre, assit sur une chaise, une coupe posée sur la table devant lui. Du vin dornien, aigre et corsé. Particulier comme boisson mais il s'y accommodait aisément. Il avait laissé sa sœur en compagnie de Mezzara ne sachant pas s'il s'agissait là d'une bonne idée ou non. Il espérait que Gwynesse se sociabilise un peu avec les dames de la cours du Prince Doran. Quant à ses gardes, ils n'étaient jamais bien loin et ne le quittait pas du regard. Même s'il pensait qu'il ne courrait probablement aucun danger en ce lieux, les gardes préféraient rester prudent. Il voyait de temps à autres des Dorniens le regarder avec une gêne parce qu'il connaissait son lieu d'origine mais il en faisait fit. De temps à autres, il croisait l'une ou l'autre servantes. Il pouvait accorder à ce peuple une chose au moins : leurs dames étaient belles comme le jour ! Il pourrait se plaire assurément ici malheureusement le blond ne s'était pas rendu à Dorne pour prendre des vacances mais il profitait tout de même quelque peu de sa soirée. En y repensant, il séduirait bien une servante pour s'occuper ce soir à moins qu'il ne suggère à Mezzara de venir le rejoindre une fois son époux assoupi. Des bruits de pas se firent entendre au sud de sa position mais adossé au mur, il ne pût voir de qui il s'agissait !
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La journée a été longue et pourtant malgré des occupations en tout genre, je n'avais encore que la mort de ma sœur en tête, Elia Martell. Cela faisait maintenant un bon moment qu'elle avait rejoint les rives de l'au-delà, à la seule différence que je n'ai pas encore été lui rendre hommage sur sa tombe, un geste honteux selon moi. Partir pour Port-Réal fut donc la première chose à faire en plus de certains préparatifs. Il est vrai que j'aurai pu y aller plus tôt, le courage et l'envie n'y étaient pas d'où mon comportement reculs de toutes autres civilisations passant ainsi mon temps avec des putains et à me battre pour me libérer de toute cette colère pour ne pas avoir été là. Un autre jour sur le point de s'achever fut synonyme de bonnes nouvelles, un sorte de nouveau départ qui allait mettre en place une nouvelle ère. Elia étant ma sœur et la femme du roi, il était donc grand temps que je représente la maison Martell ainsi qu'à l’âme pure de ma défunte sœur en l'absence de mon frère Doran qui a cause de sa santé se voit obligé de rester à Dorne. Il y a néanmoins quelque chose qui pourrait continuer à placer notre famille en haute estime et ainsi instaurer une nouveau régime. Le trône, le conquérir par n'importe quel moyen.
On va pas se mentir, je me fous royalement de ce statut, mais ce trône a une certaine valeur pour certaines personnes ne méritant même pas une once d'attention et le conquérir est un acte mettant à mal ces derniers. Je suis un tantinet sur de moi et peut-être égoïste, mais au fond ce n'est rien d'autre qu'une preuve que Dorne et ses habitants sont les plus aptes à avoir une place dessus. Regardez Dorne, en paix avec elle-même, depuis combien de temps n'y a t-il pas eu une bataille ici-même ? Cela se compte en année car nous sommes maître de nous-même en comparaison à d'autres maisons se soumettant à des règles extérieurs. Dans le bordel de Lancehélion, la chaleur y régnait en maitre et malgré la présence de femmes divines, le devoir m'interpella mettant ainsi fin à plusieurs étreintes. Des gardes vinrent me voir pour m'annoncer la fameuse bonne nouvelle. Les préparatifs pour le départ à Port-Réal étaient enfin prêt, je pourrais partir demain matin à la première lueur du jour. Un sourire satisfait s'afficha sur mon visage tandis que je remis mes habits représentant Dorne, d'une couleur Dorée pouvant être représentait également par le soleil et le sable chaud de cette cité. " Mesdames, je vous prie de m’excuser, nous reprendrons nos ébats une prochaine fois si vous le voulez bien" Une simple marque de politesse vu que dans tout les cas je reprendrai là où nous nous étions arrêtés.
Je sortis donc du bordel tout en adoptant une allure et une démarche déterminé avec un seul et unique objectif en tête. Le garde m'accompagnant se positionna à mes cotés, marchant à la même allure que moi. Je ne lui adressa aucun mot sur le moment, restant silencieux comme un mort tout en observant tout ce qui se trouvait autour de moi. Je salua par politesse certains passant jusqu'à passer un mur faisant office de tournant. Néanmoins, à la place continuer je me stoppa petit à petit jusqu'à finir net, relevant la tête avec un sourire au coin. Je sentis une présence derrière moi, d'où la raison d'avoir stoppé mon avancée. Je me retourna quelques secondes après pour faire face à un jeune homme adossé contre le mur. " Vous cherchez quelque chose peut-être ?" Toujours avec le visage détendu pour pas laisser paraître ses préoccupations ne faisant même pas attention à s'il connaissait ou non la personne, peu importe.
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L'idée de retourner au Palais Vieux lui traversa l'esprit mais il ne pût pas s'éterniser sur cette dernière car un homme l'interpella. A en juger par son physique, il s'agissait d'un dornien ! L'homme portait des vêtements d'un jaune doré. Ce n'était pas le genre de tissus que pouvait se permettre les gens du commun. Il devait donc s'agir d'un noble ou d'un riche marchand. L'homme paraissait détendu, air qu'il semblait lui même afficher sur son visage. Qui était-il ? Nulle ne pouvait le découvrir à vrai dire à moins de le connaître. Ses vêtements n'affichaient aucun blason distinct et donc il était impossible de le rattacher à telle ou telle famille ce qui était en soit dommage, Owen avait réviser son héraldique de la région avant d'entamer le voyage qui l'avait conduit jusqu'à Lancehélion. Le Tyssier ne répondit pas de suite et porta la boisson aigre à sa bouche pendant quelques secondes avant de prendre finalement la parole sur un ton détendu et calme qui lui allait comme un gant.
« Je cherche bien des choses. La présence de femmes moins que celle d'un homme mais je ne m'en formaliserai pas pour autant. Quoi qu'il y a un homme que j'apprécierai rencontré. On m'a dit qu'il pourrait se trouver dans ce coin de la ville mais je crains que l'on m'ait fourvoyé. Mon pichet est presque vide, j'allais bientôt m'en aller. Désirez vous jouir de ma place quand je m'en irai ?»
Peu de personne lui parlait depuis qu'il était arrivé dans cette ville. Le peu de gens qui s'y réduisait le faisait par politesse ou par intérêt. Cet homme faisait-il partie d'une de ses deux parties ? Assurément ! Même une Septa innocente vous adressait la parole pour bonne et simple raison. Aucun acte en ce monde n'était purement gratuit. Posant à nouveau sa main sur sa coupe, le jeune homme vida celle-ci calmement avant de faire un signe à ces deux gardes postés un peu plus loin. Ils portaient des tissus rouges par dessus leur tissus frappés du blason des Tyssier. Les deux hommes approchèrent calmement et le Tyssier se leva. Il désigna son siège d'une main adroite pour l'indiquer à l'homme. Il était vrai que la position qu'il occupait était des plus agréables et offrait une vue assez imprenable sur la rue.
« Si c'est ma place que vous désirez, elle est à vous. La nuit commence à tomber et les rues sont de moins en moins sûr d'après ce que les gardes du Palais Vieux m'ont raconté. Avec de la chance, j'y croiserai peut-être le Prince Oberyn. Le prince Doran n'a pas jugé bon de me le présenter.»
Si l'homme était un noble, il devait sans aucun doute connaître, ne serait-ce même que de nom, le deuxième homme le plus important de Dorne (si pas le premier). S'il était un marchand, cela irait de même sauf que dans ce cas, il chercherait peut-être un moyen comme un autre de rentrer en contact avec cette noble maison qu'était celle des Martell. Peu importait à Owen au final mais ce genre d'information qu'il laissait échapper pouvait lui en apprendre bien plus sur la nature de son interlocuteur au vu de ses réactions que ces simples informations enseignaient sur le Tyssier. Ses gardes postés à ses côtés, Owen s'inclina légèrement pour saluer l'homme et n'oublia cependant plus de se présenter. Noblesse oblige et un peur par fierté personnel également. L'araignée n'était pas un paon mais il aimait que son nom laisse un souvenir pour le moins positif.
«J'en oublierai presque de me présenter. Sachez que celui qui vous laisse la place chaleureusement n'est autre qu'Owen, de la maison Tyssier. J'espère que vous me ferez honneur et que vous passerez ici une agréable soirée.»
Le jeune homme vit des femmes sortir d'un établissement de passe et aguicher le client. Il savait qu'au moins un de ses gardes se laisserait facilement tenter. Lui même, si ce n'était sa fierté qui le retenait, aurait bien été y faire un tour afin de profiter des charmes de Dorne. Dans une autre contrée, il les aurait laissé aller s'amuser mais ici, il ne pouvait se le permettre. En pleine ville, il suffisait d'une simple phrase mal interprété pour qu'on leur plante entre leurs ompoplates de Biefois une lame mortelle. Voulant se montrer bon prince, le jeune home sortit quelques pièces de sa bourse et les déposa sur la table.
«Buvez en un en mon honneur. Par cette chaleur, je ne puis permettre qu'un homme n'ait le gosier sec !»
« Je cherche bien des choses. La présence de femmes moins que celle d'un homme mais je ne m'en formaliserai pas pour autant. Quoi qu'il y a un homme que j'apprécierai rencontré. On m'a dit qu'il pourrait se trouver dans ce coin de la ville mais je crains que l'on m'ait fourvoyé. Mon pichet est presque vide, j'allais bientôt m'en aller. Désirez vous jouir de ma place quand je m'en irai ?»
Peu de personne lui parlait depuis qu'il était arrivé dans cette ville. Le peu de gens qui s'y réduisait le faisait par politesse ou par intérêt. Cet homme faisait-il partie d'une de ses deux parties ? Assurément ! Même une Septa innocente vous adressait la parole pour bonne et simple raison. Aucun acte en ce monde n'était purement gratuit. Posant à nouveau sa main sur sa coupe, le jeune homme vida celle-ci calmement avant de faire un signe à ces deux gardes postés un peu plus loin. Ils portaient des tissus rouges par dessus leur tissus frappés du blason des Tyssier. Les deux hommes approchèrent calmement et le Tyssier se leva. Il désigna son siège d'une main adroite pour l'indiquer à l'homme. Il était vrai que la position qu'il occupait était des plus agréables et offrait une vue assez imprenable sur la rue.
« Si c'est ma place que vous désirez, elle est à vous. La nuit commence à tomber et les rues sont de moins en moins sûr d'après ce que les gardes du Palais Vieux m'ont raconté. Avec de la chance, j'y croiserai peut-être le Prince Oberyn. Le prince Doran n'a pas jugé bon de me le présenter.»
Si l'homme était un noble, il devait sans aucun doute connaître, ne serait-ce même que de nom, le deuxième homme le plus important de Dorne (si pas le premier). S'il était un marchand, cela irait de même sauf que dans ce cas, il chercherait peut-être un moyen comme un autre de rentrer en contact avec cette noble maison qu'était celle des Martell. Peu importait à Owen au final mais ce genre d'information qu'il laissait échapper pouvait lui en apprendre bien plus sur la nature de son interlocuteur au vu de ses réactions que ces simples informations enseignaient sur le Tyssier. Ses gardes postés à ses côtés, Owen s'inclina légèrement pour saluer l'homme et n'oublia cependant plus de se présenter. Noblesse oblige et un peur par fierté personnel également. L'araignée n'était pas un paon mais il aimait que son nom laisse un souvenir pour le moins positif.
«J'en oublierai presque de me présenter. Sachez que celui qui vous laisse la place chaleureusement n'est autre qu'Owen, de la maison Tyssier. J'espère que vous me ferez honneur et que vous passerez ici une agréable soirée.»
Le jeune homme vit des femmes sortir d'un établissement de passe et aguicher le client. Il savait qu'au moins un de ses gardes se laisserait facilement tenter. Lui même, si ce n'était sa fierté qui le retenait, aurait bien été y faire un tour afin de profiter des charmes de Dorne. Dans une autre contrée, il les aurait laissé aller s'amuser mais ici, il ne pouvait se le permettre. En pleine ville, il suffisait d'une simple phrase mal interprété pour qu'on leur plante entre leurs ompoplates de Biefois une lame mortelle. Voulant se montrer bon prince, le jeune home sortit quelques pièces de sa bourse et les déposa sur la table.
«Buvez en un en mon honneur. Par cette chaleur, je ne puis permettre qu'un homme n'ait le gosier sec !»
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La chaleur de la nuit était quelque peu supportable pour un homme ayant l'habitude de côtoyer cette boule de chaleur qu'on n'appelle le soleil. Après tout, un Dornien est un être familier de cette étoile qui est également un élément que comporte le blason de cette cité, mais également de la maison Martell, ma maison. Une lance y est également, le feu et le poison, deux éléments perturbateurs pour des amateurs et des ignorants. Combien sont tombés sous mes armes ? Un bon nombre qui ne sont malheureusement plus là pour témoigner de l'honneur qu'ils ont eus de se faire tuer par moi-même. Et cette homme aussi détendu paraissait-il sur le visage devait probablement en faire partie, sinon il ne se permettrait pas de parler de suppositions mensongères qui sont en réalités véridiques. Si j'en crois mon expérience personnelle, toutes personnes venant à Dorne souhaite rencontre le prince Doran, mon frère et ce jeune homme devait faire partie du lot. Enfin, une simple supposition qu'il me tarderait d'éclaircir. J'opta pour le silence, laissant passer l'observation au premier plan. Mon interlocuteur se permit de faire un geste à des gardes dérrière moi, probablement les siens étant donné que personne d'autres n'obéiraient aux ordres émanant de quelqu'un en dehors d'un Dornien. Je ne jugea pas utile de me retourner, laissant le jeune homme continuer sur sa lancée, jusqu'à ce qu'il prononce mon prénom pour ma plus grande surprise. Ce n'est pas mon frère qu'il est venu voir, mais moi ? Dans quel but ? Je n’attendais personne. " Donc vous êtes venu ici pour voir le Prince Oberyn ?" Je laissa bien paraître un ton amusé par cette situation étant donné l'ignorance du jeune homme. Personne n'a osé daigner lui faire une description de moi ? Bande d'ingrats.
Il se présenta comme Owen Tyssier, un nom qui me rappela une famille de noble provenant de Bief. Qu'est-ce qu'un Tyssier viendrait faire ici ? Nous sommes peut-être en bon terme, mais ça s’arrête là à ma connaissance, personne n'a eu vent de sa visite. Jetant un bref regard vers la place qu'il me céda, je soupira brièvement avant de me tourner vers le garde à mes cotés. " Laissez-nous." Le garde fut réticent à ma demande. Je rajouta avec une certaine assurance tout en fixant le jeune blond. " Aucune crainte à avoir, sa présence n'est pas un synonyme de danger." Je n'ai pas peur de rester seul dans cette cité qui est autant la mienne que celle de mon frère. Finalement le garde continua sa route pour se diriger vers le palais, là où est sa place. Me concentrant à nouveau sur l'arrivant, je lui annonça tout en lui adressant un très léger et bref signe de la tête en guise de salutation. " Je suis le Prince Oberyn en personne." Un sourire fier commença à s'élargir sur mes lèvres.
" Gardez votre argent et parlons plutôt de votre présence dans cette cité qui n'est pas sans me surprendre. Je n'ai pas eu vent de votre venu et cela m'intrigue également. Que me voulez-vous exactement." N'hésitant pas à entrer direct dans le vif du sujet, je ne lui laissa pas le temps de répondre que je lui fis déjà signe de me suivre pour marcher un peu. Il allait devoir faire vite s'il voulait quelque chose de ma part, parce que demain je serai en route pour Port Réal et je n'aurai pas que ça à faire, bien d'autres préoccupations plus importantes m'habitai.
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Il hocha simplement de la tête pour confirmer les dires de l'homme. Oui il avait envie de rencontrer le Prince par simple curiosité. Il voulait voir quel genre d'homme était celui que l'on nommait la Vipère Rouge. Il voulait connaître ce qui le motivait à correspondre avec Willos et voir ce qu'il avait de si intéressant. De plus se mettre un homme avec une telle réputation dans la poche pourrait s'avérer intéressant pour le long terme. De toute manière, en bon Biefois qui le soupçonnerait de se lier d'amitié avec des sommités dorniennes ? C'était une couverture à la fois habile et parfaite. Agir là où s'y attendait le moins était somme toute le principe de la toile d'araignée invisible dans laquelle venait se coincer les insectes pour servir de repas à la propriétaire des lieux. L'homme chassa ses propres gardes et Owen ne fit pas de même pour la simple et bonne raison qu'il désirait connaître l'identité de l'homme avant d'agir tout simplement. Une simple mesure de précaution ! Un rictus de satisfaction s'afficha au coin des lèvres du fils de Froide-Douve lorsque l'homme lui annonça être Oberyn Martell. Un prince de Dorne en personne. Difficile de savoir s'il s'agissait à coup sûr de lui ou non. Le fait qu'il possédait des gardes allait dans l'idée qu'il était noble. De ce qu'il en savait, il correspondait à la description physiques ... comme pas mal d'autres dorniens. Le hasard faisait bien les choses à moins que sa présence ne soit pas une coïncidence. Pourtant jusqu'à présent, il n'avait pas trop laissé entendre qu'il souhaitait rencontré cette homme de légende. Une voix neutre n'affichant que très peu de surprise sortit de sa bouche.
« La chance me sourit comme une pucelle le jour de son mariage. La célèbre Vipère rouge, en chaire et en os ? Vraiment ? Je me sens tout d'un coup honoré. Je dois être en veine ce soir ha ha ha ! Votre frère n'a sûrement pas juger bon de vous informer de ma venue dans votre ville. Je ne suis qu'un petit noble sans trop d'importance pour le Prince de Dorne et mon arrivée à Lancehélion est toute récente.»
Reprenant ses pièces qu'il rangea avec précaution dans sa bourse, le Tyssier se demanda s'il n'était pas plus simple de retourner au Palais Vieux en compagnie du prétendu Oberyn pour s'assurer qu'il s'agissait bien du Prince en question. Fourbe était peut-être le dornien qui tentait de lui jouer un mauvais tour. Il marcha à la suite du prétendu prince tout en prenant le temps de répondre aux interrogations de l'homme à la chevelure noire. Ses gardes les suivaient de derrière sans manifester la moindre inquiétude.
« La présence d'un noble du Bief à Dorne vous intriguerait-elle ? Je visite simplement cher Prince et j'accompagne par la même occasion Ser Orys de la maison Santagar, mon épée lige, en visite dans sa famille. J'en profite également pour visiter votre région. Tout ce que j'en avais vu jusqu'à présent l'était par le biais de l'écriture de Daemon Targaryen. Je dois vous avouer que jusqu'à maintenant, je suis plutôt conquis par votre région, sans mauvais jeux de mots historiques, Prince Oberyn.»
Il marqua une courte pause pendant leur marche, observant les gens passant à leur côté et adressant des regards au Prince de Dorne. Le petit peuple semblait l'apprécier ce qui semblait confirmer l'identité de l'inconnu. Voilà les raisons, du moins officielles, de sa venue ici. Pour le reste et les questions d'épousailles, il les aborderait en temps utile si cela s'avérait nécessaire. Il se devait maintenant de répondre à l'interrogation de la Vipère Rouge. Pourquoi vouloir le rencontrer ? La réponse n'était pas complexe à vrai dire. S'adressant au frère de Doran Martell sur un ton amusé, le jeune homme affichait un air calme et détendu.
«J'espère ne pas passer pour un vil flagorneur mais mon désir de vous rencontrer est bien assez simple. Votre réputation vous précède, Prince Oberyn. Est un crime de désirer rencontrer une légende vivante ? Sans oublier que nous disposons tous les deux d'un ami en commun, un ami que vous avez blessé il y a des années. Willos Tyrell ne vous en tient pas rigueur, pourquoi le ferais je d'avantage ? Des raisons bien futiles en somme, sans doute conseiller par la fougue de la jeunesse.»
« La chance me sourit comme une pucelle le jour de son mariage. La célèbre Vipère rouge, en chaire et en os ? Vraiment ? Je me sens tout d'un coup honoré. Je dois être en veine ce soir ha ha ha ! Votre frère n'a sûrement pas juger bon de vous informer de ma venue dans votre ville. Je ne suis qu'un petit noble sans trop d'importance pour le Prince de Dorne et mon arrivée à Lancehélion est toute récente.»
Reprenant ses pièces qu'il rangea avec précaution dans sa bourse, le Tyssier se demanda s'il n'était pas plus simple de retourner au Palais Vieux en compagnie du prétendu Oberyn pour s'assurer qu'il s'agissait bien du Prince en question. Fourbe était peut-être le dornien qui tentait de lui jouer un mauvais tour. Il marcha à la suite du prétendu prince tout en prenant le temps de répondre aux interrogations de l'homme à la chevelure noire. Ses gardes les suivaient de derrière sans manifester la moindre inquiétude.
« La présence d'un noble du Bief à Dorne vous intriguerait-elle ? Je visite simplement cher Prince et j'accompagne par la même occasion Ser Orys de la maison Santagar, mon épée lige, en visite dans sa famille. J'en profite également pour visiter votre région. Tout ce que j'en avais vu jusqu'à présent l'était par le biais de l'écriture de Daemon Targaryen. Je dois vous avouer que jusqu'à maintenant, je suis plutôt conquis par votre région, sans mauvais jeux de mots historiques, Prince Oberyn.»
Il marqua une courte pause pendant leur marche, observant les gens passant à leur côté et adressant des regards au Prince de Dorne. Le petit peuple semblait l'apprécier ce qui semblait confirmer l'identité de l'inconnu. Voilà les raisons, du moins officielles, de sa venue ici. Pour le reste et les questions d'épousailles, il les aborderait en temps utile si cela s'avérait nécessaire. Il se devait maintenant de répondre à l'interrogation de la Vipère Rouge. Pourquoi vouloir le rencontrer ? La réponse n'était pas complexe à vrai dire. S'adressant au frère de Doran Martell sur un ton amusé, le jeune homme affichait un air calme et détendu.
«J'espère ne pas passer pour un vil flagorneur mais mon désir de vous rencontrer est bien assez simple. Votre réputation vous précède, Prince Oberyn. Est un crime de désirer rencontrer une légende vivante ? Sans oublier que nous disposons tous les deux d'un ami en commun, un ami que vous avez blessé il y a des années. Willos Tyrell ne vous en tient pas rigueur, pourquoi le ferais je d'avantage ? Des raisons bien futiles en somme, sans doute conseiller par la fougue de la jeunesse.»
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