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:: La tanière de Westeros :: Derrière les flammes du passé :: Archives Dracarys 2.0 :: RP abandonnés
Des nouvelles d’une vieille connaissance (feat. Tytos Nerbosc)
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Des nouvelles d’une vieille connaissance
Port-Réal ᚋ An 300 – Lune 9
A Lord Tytos Nerbosc,
Lord Suzerain du Conflans,
Lord Suzerain du Conflans,
Voilà bien longtemps que l’Ouest n’a pris de nouvelles de son voisin le Conflans. Veuillez pardonner ce manquement. J’ai eu fort à faire et je gage qu’il en fut de même pour vous ; le Royaume du Nord ayant connu des jours plus calmes dans le passé que ces derniers temps.
Nos choix politiques nous ont malheureusement éloignés l’un de l’autre et aujourd’hui, ces terres que nous considérions comme accueillantes pour nous, Ouestriens, se montrent hostiles et peu engageantes pour nos caravanes commerciales ou nos gens. Je pense savoir la raison de cette rancœur et ne peux guère vous en tenir rigueur. Comme moi, vous êtes un homme droit et loyal et je soupçonne que cette hostilité provient de mon inclinaison envers Viserys III Targaryen, combiné certainement à mon changement d’alliance envers les Tyrell. Ces choix furent les miens, que vous les approuviez ou non.
Quoi qu’il en soit, j’espère que cette hostilité qui me fut déjà rapporté envers mes gens restera au stade où elle en est, c’est-à-dire dénuée de passage à l’acte. Qui plus est, j’ai l’intention d’honorer prochainement la parole que j’ai fait à votre Roi Régent et de le visiter, surtout à présent, en ma qualité de Main du Roi Aegon Targaryen, dans le but de renforcer les liens tant entre Nord et Sud, qu’entre le Lion et le Faucon. Peut-être me permettrez-vous de vous rendre visite à mon retour. Sachez cependant que vos gens et vous-mêmes êtes toujours les bienvenus sur les Terres de l’Ouest et à Castral-Roc, où mon frère, Ser Kevan Lannister, vous recevra avec tous les honneurs qui vous sont dus.
En attendant votre réponse, recevez, Lord Tytos, mes plus sincères salutations.
Nos choix politiques nous ont malheureusement éloignés l’un de l’autre et aujourd’hui, ces terres que nous considérions comme accueillantes pour nous, Ouestriens, se montrent hostiles et peu engageantes pour nos caravanes commerciales ou nos gens. Je pense savoir la raison de cette rancœur et ne peux guère vous en tenir rigueur. Comme moi, vous êtes un homme droit et loyal et je soupçonne que cette hostilité provient de mon inclinaison envers Viserys III Targaryen, combiné certainement à mon changement d’alliance envers les Tyrell. Ces choix furent les miens, que vous les approuviez ou non.
Quoi qu’il en soit, j’espère que cette hostilité qui me fut déjà rapporté envers mes gens restera au stade où elle en est, c’est-à-dire dénuée de passage à l’acte. Qui plus est, j’ai l’intention d’honorer prochainement la parole que j’ai fait à votre Roi Régent et de le visiter, surtout à présent, en ma qualité de Main du Roi Aegon Targaryen, dans le but de renforcer les liens tant entre Nord et Sud, qu’entre le Lion et le Faucon. Peut-être me permettrez-vous de vous rendre visite à mon retour. Sachez cependant que vos gens et vous-mêmes êtes toujours les bienvenus sur les Terres de l’Ouest et à Castral-Roc, où mon frère, Ser Kevan Lannister, vous recevra avec tous les honneurs qui vous sont dus.
En attendant votre réponse, recevez, Lord Tytos, mes plus sincères salutations.
Lord Tywin Lannister,
Main du Roi Aegon Targaryen
Lord Suzerain des Terres de l’Ouest
Bouclier de Port-Lannis
Main du Roi Aegon Targaryen
Lord Suzerain des Terres de l’Ouest
Bouclier de Port-Lannis
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Des nouvelles d'une vieille connaissance
Corneilla ᚋ An 300 lune 9
A Lord Tywin Lannister,
Main du Roi Aegon Targaryen
Lord Suzerain des Terres de l’Ouest
Bouclier de Port-Lannis
Permettez moi de commencer cette missive en vous exprimant mon plus profond étonnement de recevoir une missive du Lion de Castral-Roc. Car jamais, par les Anciens Dieux, je n'aurai imaginé que vous m'écririez pour prendre de mes nouvelles. Mais soit, tout peu arriver un jour, dit l'adage. Considérez donc que votre voisin le Conflans est bien aise de vous lire.
Le Royaume du Nord ayant connu des jours plus calmes, dites-vous ? Et bien je vous répond en vous demandant : Quand ? Il n'en a jamais connu depuis qu'il fut fondé voilà un an à la mort de votre Usurpateur. Permettez que je dise votre, car il l'a été. J'aurai bien dit jusqu'à sa mort, mais il n'en est rien comme nous le savons tout deux. Mais enfin, en ce qui concerne le Conflans : les hommes et les femmes qui y vivent sont forts et habitués à vivre difficilement, ils se relèvent toujours. Merci de vous en inquiéter.
Je n'ai pas eu vent d'une quelconque hostilité envers des Ouestriens. Soyez pourtant assuré que je me renseignerai et agirai si besoin. Je vous en donne ma parole car, bien que je puisse désapprouver certains de vos choix passés, nos maisons n'ont nulle raison de se faire la guerre actuellement. Et notre apparence à deux royaumes distincts n'est pas un fait qui pourrait compliquer nos relations, puisque ces deux Royaumes s'entendent si bien.
Si d'aventure, vous souhaitiez passer par le Conflans et Corneilla, vous y seriez reçu avec tout les honneurs que votre rang mérite. Par les Anciens Dieux, je respecterai les règles de l'hospitalité.
Mais je suis honoré d'apprendre que je puis me rendre à Castral-Roc si j'en éprouvais l'envie. Voilà une invitation qui, en plus de ne pas tomber dans l'oreille -ou l'oeil ?- d'un sourd, est tout à fait alléchante.
J'ose également aborder un nouveau sujet avec vous. Ma maison est grande et comporte nombre de valeureux jeunes hommes, éduqués dans les valeurs qui sont miennes et tout à fait disposés à se marier quand je le déciderai. Il me semble qu'un mariage pourrait rapprocher nos familles et oublier les actes du passé une bonne fois pour toute. Mon fils Edmund aura bientôt quatorze ans et est un bon écuyer chez les Frey, aux Jumeaux pour le moment. Je laisse à votre appréciation totale cette ouverture maritale.
En n'osant point trop m'impatienter de votre réponse, je me permet toutefois de vous saluer, Lord Tywin Lannister.
Lord Tytos Nerbosc
Lord suzerain du Conflans.
Lord suzerain du Conflans.
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Des nouvelles d’une vieille connaissance
Port-Réal ᚋ An 300 – Lune 9
A Lord Tytos Nerbosc,
Lord Suzerain du Conflans,
Lord Suzerain du Conflans,
Votre étonnement est partagé, car je m’attendais à ne pas recevoir de réponse de votre part, compte tenu de l’absence de nos relations depuis la prise de pouvoir de Viserys III Targaryen. Votre corbeau me prouve donc qu’il y a encore quelque espoir de reprendre et poursuivre nos bonnes relations, telles qu’elles le furent autrefois.
J’ai eu vent des ravages que les vôtres ont subi. Je suis profondément navré de ne pas avoir pu vous apporter quelque soutien, mon devoir m’ayant alors appelé dans d’autres villes et sur d’autres champs de batailles. Quant aux hostilités que j’évoquais dans ma précédente missive, il s’agissait là plus d’altercations verbales que d’effusions de sang. Toutefois, celles-ci étant de plus en plus fréquentes, il est de mon devoir de vous informer de cette situation afin que vous et moi ayons le temps d’y remédier rapidement, avant que nos gens en viennent à des actes plus violents que, je l’espère, vous condamnerez autant que je le ferai.
Comme je compte bientôt honorer ma promesse de visite faîte à votre Roi Régent, Elbert Arryn, aux Eyriés, je puis passer par Corneilla, à mon retour pour Port-Réal, ceci également afin de discuter de vive voix de ma proposition ci-après, faisant suite à votre propre évocation au sujet de votre fils Edmund. La haute naissance de votre fils et, en gage de ma bonne foi ainsi que notre promesse commune d’établir de meilleures relations à l’avenir, me conduit à vous parler de ma petite-nièce, Lady Rosamund Lannister, âgée de 10 ans et résidant à Port-Lannis. Lady Rosamund est une jeune fille raffinée qui deviendra j’en suis persuadé, une jeune femme de toute beauté. Certes plus jeune que votre fils, Lady Rosamund est celle qui conviendrait le mieux à un futur Lord Suzerain du Conflans tel que votre fils. S’il vous est possible de le faire venir à Corneilla lors de ma visite, je serais fort aise de voir de mes propres yeux celui qui potentiellement pourrait prendre pour femme une Lannister telle que ma petite-nièce.
En attendant votre réponse, recevez mes salutations, Lord Tytos Nerbosc.
J’ai eu vent des ravages que les vôtres ont subi. Je suis profondément navré de ne pas avoir pu vous apporter quelque soutien, mon devoir m’ayant alors appelé dans d’autres villes et sur d’autres champs de batailles. Quant aux hostilités que j’évoquais dans ma précédente missive, il s’agissait là plus d’altercations verbales que d’effusions de sang. Toutefois, celles-ci étant de plus en plus fréquentes, il est de mon devoir de vous informer de cette situation afin que vous et moi ayons le temps d’y remédier rapidement, avant que nos gens en viennent à des actes plus violents que, je l’espère, vous condamnerez autant que je le ferai.
Comme je compte bientôt honorer ma promesse de visite faîte à votre Roi Régent, Elbert Arryn, aux Eyriés, je puis passer par Corneilla, à mon retour pour Port-Réal, ceci également afin de discuter de vive voix de ma proposition ci-après, faisant suite à votre propre évocation au sujet de votre fils Edmund. La haute naissance de votre fils et, en gage de ma bonne foi ainsi que notre promesse commune d’établir de meilleures relations à l’avenir, me conduit à vous parler de ma petite-nièce, Lady Rosamund Lannister, âgée de 10 ans et résidant à Port-Lannis. Lady Rosamund est une jeune fille raffinée qui deviendra j’en suis persuadé, une jeune femme de toute beauté. Certes plus jeune que votre fils, Lady Rosamund est celle qui conviendrait le mieux à un futur Lord Suzerain du Conflans tel que votre fils. S’il vous est possible de le faire venir à Corneilla lors de ma visite, je serais fort aise de voir de mes propres yeux celui qui potentiellement pourrait prendre pour femme une Lannister telle que ma petite-nièce.
En attendant votre réponse, recevez mes salutations, Lord Tytos Nerbosc.
Lord Tywin Lannister,
Main du Roi Aegon Targaryen
Lord Suzerain des Terres de l’Ouest
Bouclier de Port-Lannis
Main du Roi Aegon Targaryen
Lord Suzerain des Terres de l’Ouest
Bouclier de Port-Lannis
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Corneilla ᚋ An 300 lune 9
A Lord Tywin Lannister,
Main du Roi Aegon Targaryen
Lord Suzerain des Terres de l’Ouest
Bouclier de Port-Lannis
Voyons voyons, cher voisin. Je ne pouvais pas laisser une lettre sans réponse. Les banales courtoisies par corbeau interposé sont si rares de nos jours ! Je me souviens encore de l'époque des Tully et des dizaines de courriers qui parvenaient à Vivesaigues quotidiennement. Deux hommes de notre âge peuvent se permettre d'appeler cela le bon vieux temps n'est-ce pas ?
Vous espérez bien Lord Tywin. C'est pour cette raison que je ferais savoir à mes vassaux qu'il faut tenir un peu leurs gens. Mais je ne doute pas que ce furent là quelques paroles paysannes, dignes des porchers et des garçons des champs. Je m'étonne que la Main du Roi ait suffisamment de temps pour le dépenser dans de telles banalités. Mais après tout, que sais-je de votre quotidien ? On dit facilement qu'un Lannister paye toujours ses dettes. Je suppose qu'elles recouvrent également les ouïs dires des malheureux du Conflans. Enfin enfin, j'arrête là mes circonvolutions pour me concentrer sur votre demande légitime.
Ma foi, oui il pourra tout à fait être présent lors de votre visite. Il vous suffira de me prévenir peu avant votre arrivée afin qu'il revienne auprès de moi. Et aussi, pour que nous ayons le temps de préparer Corneilla à vôtre arrivée. Les grandes visites sont rares dans le Conflans, je suis un peu rouillé en la matière. En plus d'avoir l'honneur de vous recevoir en mon fief, nous pourrons ainsi plus avant discuter de cette possible union entre mon fils et votre petite-nièce. En ce qui me concerne, il paraît tout d'abord évident de laisser la demoiselle devenir une dame. Nous pourrons toujours les fiancer d'ici là si nous parvenons à un accord qui convient aux deux parties.
En n'osant point trop m'impatienter de votre réponse, je me permet toutefois de vous saluer, Lord Tywin Lannister.
Lord Tytos Nerbosc
Lord suzerain du Conflans.
Lord suzerain du Conflans.
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