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Carry on my wayward son. ft. RENLY BARATHEON
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Carry on my wayward son
Renly et Gudrún
Les choses étaient devenues si compliquées depuis son allée à Dorne. Elle avait adoré ce pays du soleil mais trop de soleil, ce n'était point pour elle. Mina n'arrêtait pas de parler sur la route et Gudrún finissait par ne plus l'écouter, comme un bruit de fond auquel on ne prête plus trop attention, une musique répétitive. Oh, elle adorait Mina, sinon il y a bien longtemps que la Freux lui aurait arraché la langue. Mais à la longue... Et bien à la longue, elle en avait marre. Elle lui avait dit plusieurs fois mais Mina n'en avait rien à faire, si elle voulait faire quelque chose, elle le faisait, même si on la grondait. Alors la Freux avait laissé tomber.
Le souci des Montagnes Rouges, c'est qu'elle les avait traversé tout du long mais qu'à chaque fois, des gardes lui barraient la route. Au départ elle voulait bien comprendre mais à force, la Freux enrageait, se sentant comme un ours enfermé en cage. Une cage géante certes, mais cuisante et certainement pas pour elle, fille de la pierre et de la neige.
Mina lui était tout de même utile, elle connaissait bien la région pour l'avoir connu toute sa vie et elle savait comment faire pour trouver des lieux où dormir. Et surtout, Mina était incroyablement douée pour piquer de l'argent lorsqu'elles croisaient des personnes sur la route.
Et la route, elle avait été compliquée, car après avoir abandonnée les montagnes rouges, loin de s'avouer vaincue, Gudrún les avait emmené pour longer les montagnes. Les montagnes, Gudrún les avait connu toute sa vie, gravir, escalader, courir, se cacher, elle connaissait bien ça et ses mains avaient beau être rugueuses, elles connaissaient les lieux et comment s'accrocher. Mais dans ces horizons, ce n'était plus le même désert cuisant, elle aurait juré qu'il y avait des forêts. Mais encore là à cette frontière : des gardes.
" Putain de merde. J'en ai ras le cul, ils sont partout ou quoi ?! Quelqu'un les a prévenu ?! "
" Mais non Gud, soit pas bête. Je te l'ai dis, c'est le Prince qui a fait fermer les frontières alors il y a des gardes partout pour surveiller. "
" Faut bien qu'on passe ! "
" Je t'ai déjà proposé la mer, Gud... "
" Et je t'ai déjà dis qu'on pourrait pas aller sur un bateau parce qu'on avait pas l'argent et que même si on arrivait à en voler un, on irait pas bien loin, même moi j'le sais !"
Mina levait les yeux au ciel. Elle, n'avait pas l'habitude de marcher autant et elle était souvent essoufflée.
" Viens là p'tit chat. "
Mina lui faisait penser à un petit chat, la plupart du temps. Alors Gudrún passait un bras autour de son amie et l'attirait contre elle.
" J'suis fière de toi, t'as bien marché. Mais hors d'questions qu'on parte de là. J'sais que tu veux pas que j'me batte avec eux mais on a plus l'choix si on veut sortir, va falloir leur sortir les boyaux du bide. "
" Il y a peut-être encore un autre moyen que ça Gudrún... "
Mais Gudrún n'en voyait aucun. C'était pour cela qu'elle avait reprit sa lance après avoir relâché son amie. Gudrún avait plus d'armes par le passé mais les voyages l'avaient forcés à se séparer de tout son attirail, elle n'avait plus que son épée, sa lance et une dague et c'était encore parfois très lourd et encombrant sur les longues distances.
" Gud, fais pas ça, je suis sûre qu'on peut trouver un autre moyen, ils sont trop nombreux, tu vas juste te faire massacrer, allez viens, il y a bien un endroit où ils ne seront pas, on a pas fais tout ce chemin pour crever là. "
Mais Gudrún semblait décidée tout de même en s'avançant. Et comme à chaque fois, les soldats leur demandaient de repartir. Mais Gudrún n'en avait aucunement envie.
Le souci des Montagnes Rouges, c'est qu'elle les avait traversé tout du long mais qu'à chaque fois, des gardes lui barraient la route. Au départ elle voulait bien comprendre mais à force, la Freux enrageait, se sentant comme un ours enfermé en cage. Une cage géante certes, mais cuisante et certainement pas pour elle, fille de la pierre et de la neige.
Mina lui était tout de même utile, elle connaissait bien la région pour l'avoir connu toute sa vie et elle savait comment faire pour trouver des lieux où dormir. Et surtout, Mina était incroyablement douée pour piquer de l'argent lorsqu'elles croisaient des personnes sur la route.
Et la route, elle avait été compliquée, car après avoir abandonnée les montagnes rouges, loin de s'avouer vaincue, Gudrún les avait emmené pour longer les montagnes. Les montagnes, Gudrún les avait connu toute sa vie, gravir, escalader, courir, se cacher, elle connaissait bien ça et ses mains avaient beau être rugueuses, elles connaissaient les lieux et comment s'accrocher. Mais dans ces horizons, ce n'était plus le même désert cuisant, elle aurait juré qu'il y avait des forêts. Mais encore là à cette frontière : des gardes.
" Putain de merde. J'en ai ras le cul, ils sont partout ou quoi ?! Quelqu'un les a prévenu ?! "
" Mais non Gud, soit pas bête. Je te l'ai dis, c'est le Prince qui a fait fermer les frontières alors il y a des gardes partout pour surveiller. "
" Faut bien qu'on passe ! "
" Je t'ai déjà proposé la mer, Gud... "
" Et je t'ai déjà dis qu'on pourrait pas aller sur un bateau parce qu'on avait pas l'argent et que même si on arrivait à en voler un, on irait pas bien loin, même moi j'le sais !"
Mina levait les yeux au ciel. Elle, n'avait pas l'habitude de marcher autant et elle était souvent essoufflée.
" Viens là p'tit chat. "
Mina lui faisait penser à un petit chat, la plupart du temps. Alors Gudrún passait un bras autour de son amie et l'attirait contre elle.
" J'suis fière de toi, t'as bien marché. Mais hors d'questions qu'on parte de là. J'sais que tu veux pas que j'me batte avec eux mais on a plus l'choix si on veut sortir, va falloir leur sortir les boyaux du bide. "
" Il y a peut-être encore un autre moyen que ça Gudrún... "
Mais Gudrún n'en voyait aucun. C'était pour cela qu'elle avait reprit sa lance après avoir relâché son amie. Gudrún avait plus d'armes par le passé mais les voyages l'avaient forcés à se séparer de tout son attirail, elle n'avait plus que son épée, sa lance et une dague et c'était encore parfois très lourd et encombrant sur les longues distances.
" Gud, fais pas ça, je suis sûre qu'on peut trouver un autre moyen, ils sont trop nombreux, tu vas juste te faire massacrer, allez viens, il y a bien un endroit où ils ne seront pas, on a pas fais tout ce chemin pour crever là. "
Mais Gudrún semblait décidée tout de même en s'avançant. Et comme à chaque fois, les soldats leur demandaient de repartir. Mais Gudrún n'en avait aucunement envie.
Nymeria. ♕ avatar de nymeria. & avengedinchains ♕ 0000 mots.
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Marches de Dorne
Gudrun & Renly Baratheon
Les Terres de l’Orage… Cette région aux motifs si variés, riche de bois foisonnant de gibiers au Nord, à la frontière des Terres de la Couronne, fleuri et agricole dans sa frontière ouest donnant sur le Bief, là où siégeait Séréna, l’antique demeure des Caron, maison éteinte depuis la guerre qui opposa les forces du Cerf Couronné à celles du Connington de la Griffonnière, une guerre qui avait déchiré les maisons de l’Orage, chaque maison prêtant allégeance à l’un ou l’autre des deux camps. Du côté du Jeune Cerf de bronze, les Staedmon, les Estremont ou encore les Grandison, cette maison au Lion noir sur un champ jaune, des armes très proches de celles des Cerfs. L’Orage était de nouveau sous le contrôle du Cerf, dans les mains de Stannis Baratheon, cet homme austère au visage fermé et fuyant la jovialité depuis le décès de son épouse Selyse. Une terre durement gagnée qui avait été donnée sans aucune équité à l’aîné de la famille alors que c’était au cadet que revenait tout le mérite. En seule récompense pour tout le travail fournis, Stannis avait bien vouvu partager une partie de ses prérogatives avec so nfrère cadet, malgré le fait que les deux Cerfs ne s’entendent pas vraiment. Ainsi, alors que Stannis se tenait dans la forteresse présumée inviolable d’Accalmie, à l’abri des regards indiscrets mais aussi des plus violentes tempêtes qui se déchainaient sur les côtes de l’Orage, Renly tenait le poste de conseiller spécial et gouverner une partie des Terres de l’Orage, notamment la partie ouest de la région.
Néanmoins, Stannis avait bien vite remercié comme il se fallait l’ancienne Reine du Sud Rhaenys Targaryen. La Jeune Reine lui avait donné la suzeraineté de l’Orage, en échange de quoi il lui obéissait comme un chien de chasse obéit à son maître. Affligeant et surprenant de la part de Stannis, cet homme si sévère et austère. Suite au procès du bâtard de LaGrâcedieu, au cours du tournoi d’Harrenhal auquel avait assisté Renly, la reine avait décidé la fermeture des frontières entre le Royaume du Sud et la principauté de Dorne, ce qui voulait tout simplement dire entre l’Orage et Dorne. Empressé d’obéir à sa Reine, Stannis avait tout de suite fermé ses frontières, dépêchant des hommes armés près des Marches de Dorne. Au retour de Renly, il avait dû prendre le relais car bien que Stannis ait envoyé les ordres, il ne coordonnait pas lui-même les opérations. C’est ainsi que Renly avait fait le voyage jusque Séréna avant de gérer lui-même la surveillance de la frontière, le temps que des équipes efficaces soient mises en place.
C’est dans ce contexte que le Jeune Cerf se retrouvait, encapé de bronze sur un pourpoint vert forêt et une armure de bronze, en train de chevaucher en compagnie de plusieurs hommes fidèles et loyaux vers les Marches de Dorne, une région montagneuse où la roche rouge était omniprésente. Plusieurs troupes surveillaient les frontières, et justement, Renly passait ses journées à aller à leur rencontre. Il s’approchait d’ailleurs d’une de ces troupes quand il entendit des cris. Alarmé, il pressa sa monture, obligeant ses compagnons à accélérer la cadence eux aussi. De loin, Ser Renly vit une troupe de huit chevaliers de l’Orage en train de se faire invectiver par une jeune femme aux allures de guerrière. Jamais le Baratheon n’avait vu une telle femme guerrière sur Westeros – en tout cas depuis son retour -, tout au plus il avait pu en observer de semblables sur Essos, où la condition féminine était toute autre. Cette guerrière était accompagnée d’une autre femme du même style, et à entendre les cris, elles semblaient vouloir traverser la frontière ce que les Orageux les empêchaient de faire. La première femme sortit une arme au moment où Renly arriva à distance suffisante pour se faire entendre. Il sortit sa propre épée, Noirsoeur, au cas où.
- Chevaliers, gardez vos épées rangées je vous prie. Lady, que souhaitez-vous faire ? Vous savez bien que les frontières entre Dorne et les Terres de l’Orage sont fermées non ?
…
© DRACARYS
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Renly et Gudrún
Il n'y avait plus rien d'intéressant pour la Freux - ou l'affreuse - à Dorne. Elle avait fait les grands lieux, elle avait même traversé le désert et avait failli y laisser sa peau, on lui avait dit qu'heureusement elle l'avait traversé lors des périodes les moins rudes auquel cas, vu la décharnée, elle y aurait laissée la vie. Encore une fois, la Freux avait eu de la chance et encore une fois, elle mettait ça sur le compte des anciens dieux qui la regardaient, veillaient sur elle, mieux que ses parents ne l'avaient jamais fais.
Ses habits étaient déchirés, laissant facilement apercevoir sa peau, tout aussi décharnée. La peau sur les os mais elle restait impressionnante par sa carrure et son allure agressive. Tout en elle transpirait la violence. Cela n'avait pourtant pas empêché Mina de s'approcher d'elle et de rester avec elle en permanence, pour preuve. Et cela lui avait beaucoup servi lorsqu'elle était passée à Dorne avec des marchands ambulants. Mais cela remontait maintenant et elle ne pouvait plus espérer sortir comme elle était rentrée, même elle l'avait compris.
Alors face à ses gardes, après des semaines à marcher sous le soleil cuisant et dans les montagnes, la Freux ne voulait plus continuer à faire le tour et espérer un passage et voir qu'au final, il y avait plein de gardes à chaque fois, elle ne connaissait pas bien ces lieux, elle connaissait bien les montagnes, mais pas celles-ci, elle ne connaissait donc pas encore tous les recoins - mais elle espérait bien y arriver. Ou vivre assez longtemps pour trouver un chemin. C'est vraiment ce qu'elle avait cru en empruntant celui-ci, avoir trouvé un chemin non surveillé par les gardes.
Alors en les voyant, elle avait sortie sa lance. Une arme qu'on disait courante à Dorne, mais cette arme avait toujours été son arme fétiche. Elle les faisait elle-même, ses lances.
Et encore d'autres gardes arrivaient. Elle fronçait les sourcils d'avantage.
" Reste derrière, p'tite. "
Disait-elle à Mina, mais Mina était peu décidée à laisser Gudrún sauter dans le tas. L'un des homme se mettait alors à parler, bien habillé il semblait, mais ils étaient tous bien habillés à côté d'elles deux. Lady ? Elle regardait autour d'elle, des fois que des personnes qu'elle n'ait pas vu se soient incruster, mais rien.
" C'moi qu't'appelle la lady ? "
Il se moquait d'elle ou quoi ? Elle le prenait ainsi et raffermissait sa prise sur sa lance.
" J'm'en tape de vos frontières ! "
Elle crachait au sol.
" J'veux partir et emm'ner la d'moiselle avec moi ! "
Elle défiait les gardes du regard, même si Mina s'était approché et lui tenait le bras, comme pour la tirer pour partir, reculer, peu franche sur ce coup-là.
" J'suis pas d'ici moi ! J'suis pas une femme de Dorne et j'refuse d'y rester coincée maintenant ! "
C'était surtout l'idée de lui mettre une barrière qui l'énervait, car en soi, elle s'en moquait bien de rester à Dorne. C'était le principe de lui dire qu'elle ne pouvait pas qui la bloquait là, sur cette idée qu'il fallait partir. Mina lui tenait toujours le bras, ce bras tenant sa lance, comme pour l'empêcher de façon plus physique de commettre une bourde.
Ses habits étaient déchirés, laissant facilement apercevoir sa peau, tout aussi décharnée. La peau sur les os mais elle restait impressionnante par sa carrure et son allure agressive. Tout en elle transpirait la violence. Cela n'avait pourtant pas empêché Mina de s'approcher d'elle et de rester avec elle en permanence, pour preuve. Et cela lui avait beaucoup servi lorsqu'elle était passée à Dorne avec des marchands ambulants. Mais cela remontait maintenant et elle ne pouvait plus espérer sortir comme elle était rentrée, même elle l'avait compris.
Alors face à ses gardes, après des semaines à marcher sous le soleil cuisant et dans les montagnes, la Freux ne voulait plus continuer à faire le tour et espérer un passage et voir qu'au final, il y avait plein de gardes à chaque fois, elle ne connaissait pas bien ces lieux, elle connaissait bien les montagnes, mais pas celles-ci, elle ne connaissait donc pas encore tous les recoins - mais elle espérait bien y arriver. Ou vivre assez longtemps pour trouver un chemin. C'est vraiment ce qu'elle avait cru en empruntant celui-ci, avoir trouvé un chemin non surveillé par les gardes.
Alors en les voyant, elle avait sortie sa lance. Une arme qu'on disait courante à Dorne, mais cette arme avait toujours été son arme fétiche. Elle les faisait elle-même, ses lances.
Et encore d'autres gardes arrivaient. Elle fronçait les sourcils d'avantage.
" Reste derrière, p'tite. "
Disait-elle à Mina, mais Mina était peu décidée à laisser Gudrún sauter dans le tas. L'un des homme se mettait alors à parler, bien habillé il semblait, mais ils étaient tous bien habillés à côté d'elles deux. Lady ? Elle regardait autour d'elle, des fois que des personnes qu'elle n'ait pas vu se soient incruster, mais rien.
" C'moi qu't'appelle la lady ? "
Il se moquait d'elle ou quoi ? Elle le prenait ainsi et raffermissait sa prise sur sa lance.
" J'm'en tape de vos frontières ! "
Elle crachait au sol.
" J'veux partir et emm'ner la d'moiselle avec moi ! "
Elle défiait les gardes du regard, même si Mina s'était approché et lui tenait le bras, comme pour la tirer pour partir, reculer, peu franche sur ce coup-là.
" J'suis pas d'ici moi ! J'suis pas une femme de Dorne et j'refuse d'y rester coincée maintenant ! "
C'était surtout l'idée de lui mettre une barrière qui l'énervait, car en soi, elle s'en moquait bien de rester à Dorne. C'était le principe de lui dire qu'elle ne pouvait pas qui la bloquait là, sur cette idée qu'il fallait partir. Mina lui tenait toujours le bras, ce bras tenant sa lance, comme pour l'empêcher de façon plus physique de commettre une bourde.
Nymeria. ♕ avatar de nymeria. & avengedinchains ♕ 0000 mots.
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