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FB - Les délices de Dorne PV Ulwyck Uller
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If this bloody hell looks like an heaven in your head. You're already lost. You think you are dragons, wolves or lions but the naked truth is you are just human with their own darkness, stupidity and weakness. This game is pure madness. All this is only the height of decadence. The world is burning in our eyes. The blood freezes in our veins.We all choose violence. Because we come to this world under tears and shouts. Dream, dream little thing but there is only nigthmare here. We all choose violence. I flew like an eagle, danced like a fire, fougth like a demon, galopped like a stallion and shone like a sun among the stars. The giants of the world crashing down. The end is near. I hear the trumpets sound. Orion & Ulwyck
Les délices de Dorne
Les rues de la capitale de la principauté sudière étaient animées d'une vie débordante sans pareille dans le reste des sept couronnes. L'activité humaine bourdonnante s'étalait telle une fresque dissonante devant mes yeux emplis d'une curiosité sans limite et d'un émerveillement non feint face à un tel spectacle. L'air était chargé d'une centaine de parfums et d'effluves différents, hypnotisant les sens et enivrant les esprits en cette brûlante journée estivale par laquelle la population de la vénérable cité portuaire s'égaillait ça et là, chacun vaquant à ses occupations sans se soucier des autres dans un fourmillement intense et bruyant. Une fine brise marine aussi douce que légère arrivait lentement presque paresseusement du port de Lancéhelion comme si elle aussi ne souhaitait rien d'autre que rester figé à l'ombre d'une telle chaleur.
A Dorne les deux plus formidables ennemis étaient la lance et le soleil. Mais, le plus dangereux et coriace des deux était indubitablement l'astre flamboyant. Aussi flamboyant que je pouvais l’être disaient parfois ceux qui me connaissaient. Pourtant, je n'atteignais pas le millième de ce dernier et aurais apprécié disposer de sa capacité à vaincre avec aisance même les plus déterminés. La transpiration mouillait les corps et rendait les cottes de lin et de tissus collantes. Mais les odeurs corporelles possiblement désagréables étaient masquées par celles des trésors de Dorne, les épices orientales et exotiques dans le reste de Westeros, les fruits aussi gros qu’appétissants gonflés de jus et de fraîcheur ainsi que les subtilités olfactives en provenance d'Essos. Le vent ne souhaitait pas se lever et le peuple devait se contenter de la brise marine aussi douce que légère en provenance du port. Mais les habitants de la plus grande ville de Dorne avaient l'habitude. Ce qui n'était nullement mon cas alors tout en tenant mon étalon noir par la bride, je grommelais dans ma barbe quelques insultes atypiques et typiques à l'encontre du souffle capricieux et inexistant dans les cieux d'un bleu éclatant plus pur que le cœur d'une pucelle.
Le fait de me prévaloir d'une ascendance dornienne du coté de ma chaleureuse mais néanmoins féroce mère n'avait aucune incidence sur le fait que j'avais grandi dans un climat bien plus tempéré. Un climat parfois brûlant et parfois glacial mais le plus souvent en équilibre délicat entre deux antagonismes. J’avançais ainsi en me fondant dans la foule nombreuse jusqu'à ce que j'atteigne une place marchande bondée au milieu de laquelle des étals étaient installés dans un souci d'organisation rigoureux et efficient. Mon oncle le seigneur et maître de la maison Wyl dans les osseux m'avait affirmé que je ne pouvais quitter la principauté avant d'avoir contemplé la magnificence architecturale de la capitale du sud de Westeros ni sans avoir emplit mes poumons de l'air chargé de milles senteurs des places marchandes. Mes cousins m'avait quant à eux affirmé que je ne pouvais retourner sur les terres de la couronne avant d'avoir plongé dans l'océan des plaisirs raffinés et d'avoir pleinement goûté aux charmes dorniens. C'est donc bien décidé à combler mes sens d'hédoniste averti que j'avais quitté la forteresse montagnarde située à moins de deux jours à cheval de la frontière avec les terres de l'orage. Oh, j'avais déjà commencé à les combler au sein du fief de ma famille néanmoins Dorne ne se résumait pas à sa frange nordienne plus habitué aux raids incessants et querelles sanglantes de voisinage étant devenues traditions il y a maintenant longtemps de cela. Les entraînements implacables auxquels m'avait soumis mon oncle et les maîtres d'armes de la maison Wyl m'avait laissé quelques cicatrices mais m'avait en retour tellement apporté.
Le maniement de la ghiavarina avait encore quelques secrets pour moi mais cette arme typique du sud Westrosi m'avait rapidement conquise et le perfectionniste que j'étais ne s’arrêterait pas avant d'en être devenu le maître. Les proverbes disaient que le dornien avait le sang chaud mais qui ne l'aurait pas en vivant sous un soleil de plomb, d'autres louaient la beauté sauvage de ses femmes libérées et les plus amoureux de cette contrée affirmait que bien que remplie de vipères lorsque l'on y venait on ne souhaitait plus en repartir. Tout cela n'était que le reflet de la vérité pourtant ma forteresse me manquait parfois et les visages familiers des miens également. Le sourire d'une jolie servante, les joues rougeoyantes d'une fille de cuisine, la mine sévère du maître d'arme, les yeux rieurs des enfants, les gestes précis et doux du palefrenier, le regard sage du mestre et le vent fouettant mon visage sur les murailles centenaires. Pour l'heure, j'arpentais la place très bruyante animée aux sons des cris des vendeurs et des affres de la négociation.
Mon épée au coté et mes vêtements légers mais de grande qualité au style des terres de la couronne plutôt qu'à celui de la principauté auraient pu me rendre atypique et faire de moi une source de curiosité ou une victime de larcin potentielle seulement mon teint proche de celui des gens autour de moi et ma capacité à me fondre dans la masse du peuple au lieu de m'en élever comme en avaient l'habitude les seigneurs m'évitait ce genre de désagrément. C'est au milieu d'un peuple que l'on apprend à connaître une nation et non pas derrière les murailles d'un palais. Olidan m'avait toujours affirmé que cela rabaissait ce que j'étais tandis que Sarreth me disait que cela me rendait plus humain à leurs yeux et qu'au lieu de me craindre ils m'aimeraient. L'amour est malgré les apparences un moteur bien plus puissant que la terreur. L'amour peut conduire à des actes insensés, la terreur nie la loyauté. Je m'approchais des étals recouverts de babioles, de bijoux, d'épices, de soieries et autres biens de belle valeur et observais, négociais, discutais avec les marchands et les clients tout en distribuant les sourires et les mots de sympathie.
Après avoir passé quelques temps au milieu de l'économie, je me tournais vers quelque chose de plus divertissant. Les femmes. La plus douce des distractions à mes yeux de noble adolescent et la plus délectable par bien des aspects. Mais les lieux n'étaient pas propices au jeu du charme et de la séduction. Car comme dans toutes les grandes villes, les gens étaient pour la plupart affairé à quelque tache ou trop pressé pour prendre le temps. Et voilà précisément ce que je souhaitais faire. Prendre mon temps. Je me mis donc en chemin vers un établissement renommé de la capitale. Renommé pour des raisons peu adaptées à la bienséance. Un établissement dont mes cousins Wyl m'avaient vantés les mérites avec un entrain certain. Traversant les rues, avenues et ruelles à dos de cheval je me dirigeais vers la cote. Une heure plus tard et non sans voir pris le temps d'admirer l'architecture sudière bien différente de celle du reste du continent, j'atteignis enfin ma destination. Les perles de Dorne. Confiant mon cheval à un employé de l'établissement, je pénétrais dans l'allée dallée et ouvrit la porte en bois massif. Je basculais dans un autre monde. Un monde fait de lumière tamisée, de soieries riches et colorées, de vapeurs entêtantes, de sièges confortables, de coussins impressionnants, d’arômes riches et capiteux de grand crus et de voix sensuelles et charmeuses. Des clients étaient éparpillés aux quatre coin d'une vaste pièce dans laquelle se trouvait un bar et un comptoir tenu par une sublime femme aux yeux charbon et aux cheveux tressés.
L'ensemble dégageait une impression de richesse et d'opulence sans pareille. Mais, là n'était pas le principal attrait. Non, les danseuses l'étaient. Belles, jeunes, âgés, souples, gracieuses, sensuelles, d'une beauté ténébreuse et expertes dans l'art de subjuguer et de capter les regards. Les perles de Dorne qu'ils disaient. M'approchant du comptoir, je commande un pichet de vin et vais m'installer dans un siège en osier de la cour intérieure ouverte. Déposant le pichet sur une petite table, je me verse une coupe de vin et la porte à mes lèvres avant de poser mon verre sur la table lorsqu'une danseuse entame un spectacle devant moi. Savourant cette vue à sa juste valeur, je récupère la coupe et la porte de nouveau à mes lèvres avec lenteur mais en tournant la tète je capte le regard d'un jeune homme de mon age, assurément dornien auquel j'adresse un sourire amical et auquel je lève ma coupe avant de reporter mon attention sur la sirène devant moi.
A Dorne les deux plus formidables ennemis étaient la lance et le soleil. Mais, le plus dangereux et coriace des deux était indubitablement l'astre flamboyant. Aussi flamboyant que je pouvais l’être disaient parfois ceux qui me connaissaient. Pourtant, je n'atteignais pas le millième de ce dernier et aurais apprécié disposer de sa capacité à vaincre avec aisance même les plus déterminés. La transpiration mouillait les corps et rendait les cottes de lin et de tissus collantes. Mais les odeurs corporelles possiblement désagréables étaient masquées par celles des trésors de Dorne, les épices orientales et exotiques dans le reste de Westeros, les fruits aussi gros qu’appétissants gonflés de jus et de fraîcheur ainsi que les subtilités olfactives en provenance d'Essos. Le vent ne souhaitait pas se lever et le peuple devait se contenter de la brise marine aussi douce que légère en provenance du port. Mais les habitants de la plus grande ville de Dorne avaient l'habitude. Ce qui n'était nullement mon cas alors tout en tenant mon étalon noir par la bride, je grommelais dans ma barbe quelques insultes atypiques et typiques à l'encontre du souffle capricieux et inexistant dans les cieux d'un bleu éclatant plus pur que le cœur d'une pucelle.
Le fait de me prévaloir d'une ascendance dornienne du coté de ma chaleureuse mais néanmoins féroce mère n'avait aucune incidence sur le fait que j'avais grandi dans un climat bien plus tempéré. Un climat parfois brûlant et parfois glacial mais le plus souvent en équilibre délicat entre deux antagonismes. J’avançais ainsi en me fondant dans la foule nombreuse jusqu'à ce que j'atteigne une place marchande bondée au milieu de laquelle des étals étaient installés dans un souci d'organisation rigoureux et efficient. Mon oncle le seigneur et maître de la maison Wyl dans les osseux m'avait affirmé que je ne pouvais quitter la principauté avant d'avoir contemplé la magnificence architecturale de la capitale du sud de Westeros ni sans avoir emplit mes poumons de l'air chargé de milles senteurs des places marchandes. Mes cousins m'avait quant à eux affirmé que je ne pouvais retourner sur les terres de la couronne avant d'avoir plongé dans l'océan des plaisirs raffinés et d'avoir pleinement goûté aux charmes dorniens. C'est donc bien décidé à combler mes sens d'hédoniste averti que j'avais quitté la forteresse montagnarde située à moins de deux jours à cheval de la frontière avec les terres de l'orage. Oh, j'avais déjà commencé à les combler au sein du fief de ma famille néanmoins Dorne ne se résumait pas à sa frange nordienne plus habitué aux raids incessants et querelles sanglantes de voisinage étant devenues traditions il y a maintenant longtemps de cela. Les entraînements implacables auxquels m'avait soumis mon oncle et les maîtres d'armes de la maison Wyl m'avait laissé quelques cicatrices mais m'avait en retour tellement apporté.
Le maniement de la ghiavarina avait encore quelques secrets pour moi mais cette arme typique du sud Westrosi m'avait rapidement conquise et le perfectionniste que j'étais ne s’arrêterait pas avant d'en être devenu le maître. Les proverbes disaient que le dornien avait le sang chaud mais qui ne l'aurait pas en vivant sous un soleil de plomb, d'autres louaient la beauté sauvage de ses femmes libérées et les plus amoureux de cette contrée affirmait que bien que remplie de vipères lorsque l'on y venait on ne souhaitait plus en repartir. Tout cela n'était que le reflet de la vérité pourtant ma forteresse me manquait parfois et les visages familiers des miens également. Le sourire d'une jolie servante, les joues rougeoyantes d'une fille de cuisine, la mine sévère du maître d'arme, les yeux rieurs des enfants, les gestes précis et doux du palefrenier, le regard sage du mestre et le vent fouettant mon visage sur les murailles centenaires. Pour l'heure, j'arpentais la place très bruyante animée aux sons des cris des vendeurs et des affres de la négociation.
Mon épée au coté et mes vêtements légers mais de grande qualité au style des terres de la couronne plutôt qu'à celui de la principauté auraient pu me rendre atypique et faire de moi une source de curiosité ou une victime de larcin potentielle seulement mon teint proche de celui des gens autour de moi et ma capacité à me fondre dans la masse du peuple au lieu de m'en élever comme en avaient l'habitude les seigneurs m'évitait ce genre de désagrément. C'est au milieu d'un peuple que l'on apprend à connaître une nation et non pas derrière les murailles d'un palais. Olidan m'avait toujours affirmé que cela rabaissait ce que j'étais tandis que Sarreth me disait que cela me rendait plus humain à leurs yeux et qu'au lieu de me craindre ils m'aimeraient. L'amour est malgré les apparences un moteur bien plus puissant que la terreur. L'amour peut conduire à des actes insensés, la terreur nie la loyauté. Je m'approchais des étals recouverts de babioles, de bijoux, d'épices, de soieries et autres biens de belle valeur et observais, négociais, discutais avec les marchands et les clients tout en distribuant les sourires et les mots de sympathie.
Après avoir passé quelques temps au milieu de l'économie, je me tournais vers quelque chose de plus divertissant. Les femmes. La plus douce des distractions à mes yeux de noble adolescent et la plus délectable par bien des aspects. Mais les lieux n'étaient pas propices au jeu du charme et de la séduction. Car comme dans toutes les grandes villes, les gens étaient pour la plupart affairé à quelque tache ou trop pressé pour prendre le temps. Et voilà précisément ce que je souhaitais faire. Prendre mon temps. Je me mis donc en chemin vers un établissement renommé de la capitale. Renommé pour des raisons peu adaptées à la bienséance. Un établissement dont mes cousins Wyl m'avaient vantés les mérites avec un entrain certain. Traversant les rues, avenues et ruelles à dos de cheval je me dirigeais vers la cote. Une heure plus tard et non sans voir pris le temps d'admirer l'architecture sudière bien différente de celle du reste du continent, j'atteignis enfin ma destination. Les perles de Dorne. Confiant mon cheval à un employé de l'établissement, je pénétrais dans l'allée dallée et ouvrit la porte en bois massif. Je basculais dans un autre monde. Un monde fait de lumière tamisée, de soieries riches et colorées, de vapeurs entêtantes, de sièges confortables, de coussins impressionnants, d’arômes riches et capiteux de grand crus et de voix sensuelles et charmeuses. Des clients étaient éparpillés aux quatre coin d'une vaste pièce dans laquelle se trouvait un bar et un comptoir tenu par une sublime femme aux yeux charbon et aux cheveux tressés.
L'ensemble dégageait une impression de richesse et d'opulence sans pareille. Mais, là n'était pas le principal attrait. Non, les danseuses l'étaient. Belles, jeunes, âgés, souples, gracieuses, sensuelles, d'une beauté ténébreuse et expertes dans l'art de subjuguer et de capter les regards. Les perles de Dorne qu'ils disaient. M'approchant du comptoir, je commande un pichet de vin et vais m'installer dans un siège en osier de la cour intérieure ouverte. Déposant le pichet sur une petite table, je me verse une coupe de vin et la porte à mes lèvres avant de poser mon verre sur la table lorsqu'une danseuse entame un spectacle devant moi. Savourant cette vue à sa juste valeur, je récupère la coupe et la porte de nouveau à mes lèvres avec lenteur mais en tournant la tète je capte le regard d'un jeune homme de mon age, assurément dornien auquel j'adresse un sourire amical et auquel je lève ma coupe avant de reporter mon attention sur la sirène devant moi.
(c) crackle bones
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Les délices de Dorne
Lancehélion - Dorne
Orion Staunton & Ulwyck Uller
Quand on aime on ne compte pas ! Les Sept avaient sans doute arrêter de compter le nombre de fois, échappant à leur comptabilité divine, où Ulwyck Uller s'était rendu dans un établissement où de jeunes femmes, que l'on surnommait catins, vendaient leurs charmes contre monnaie sonnante et trébuchante ! Ulwyck avait toujours eu ce côté imprévisible et même si ses visites dans ce genre d'établissement pouvait s'assurer routinières, il variait les plaisirs. Parfois, il entrait, commandait et prenait une femme. Des fois, il alternait ses plaisirs. D'autres il prenait simplement le temps de s’enivrer, de jouer ou de s'amuser avec d'autres clients avant de choisir une fille et de l'emmener pour de grandes chevauchées. Sa tête était connue ici. Le fait de multiplier les conquêtes ne l'empêchait pas de profiter des bordels. Si certains à l'étranger pourraient décrier sa conduite, elle émanait en fait d'une certaines démarche scientifique inconsciente. Si certains aimaient se faire passer la corde au cou et que les mestres pouvaient se vanter de porter de nombreuses chaînes, il pouvait se targuer d'avoir sans doute connu plus de femme que toutes la Citadelle réunie. Chaque femme était différentes, possédait un parfum particulier et c'était toujours un réel plaisir de les emmener au Sept paradis en trouvant le moyen de leur faire atteindre des sommets. C'était une recherche perpétuelle, tel un explorateur, découvrant des terres déjà conquises mais qui ne demandait qu'à être entièrement pillé par ses talents.
Il avait déjà fait le tour de toutes les sublimes créatures de l'établissement et celle certes moins attirantes mais plus expérimentée. En ce jour, le jeune appréciait un vin dornien de qualité moyenne mais qui lui satisfaisait le palais. Il n'avait pas envie de s’enivrer jusqu'à rouler par terre. Non, aujourd'hui il préférait simplement s’enivrer quelque peu pour laisser les effets de l'alcool se manifester et désinhiber le peu d'inhibition qu'il possédait encore naturellement (qui l'eût cru ?). Il avait savouré une coupe couché sur les cousins posé sur le sol, calmement installé à discuter de tout et de rien avec certaine prostituée. Il adorait parler avec elle de leur vie de tous les jours, de leurs clients en toute discrétion. C'était une façon de leur montrer qu'il s'intéressait à elle et qui les rendait particulière à ses yeux ce qui était faux pour la plupart, sauf pour quelques rares élues bénies par les Sept. Se faisant resservir un pichet au comptoir, il remarqua un jeune homme portant des vêtements de trop bonnes qualités et loin des tissus habituels de la douce et sensuelle Dorne. Il avait quelques traits du pays mais il y avait aussi cette touche étrangère en lui. Les gens qui essayaient de se faire passer pour des enfants de Dorne, on pouvait les sentir à des kilomètres.
«Toi t'es pas d'ici ! C'est la première fois que je te vois traîner dans ce bordel et pourtant j'y ai déjà passé pas mal de temps ! T'as jeté ton dévolu sur laquelle ?»
Chaque client était différent mais pourtant Ulwyck demeurait le même, égal à sa personnalité fière, impulsive et parfois fantasque. On ne change pas un dornien, encore moins le jeune chien fou qui avait vu le jour à Denfert.
© DRACARYS
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If this bloody hell looks like an heaven in your head. You're already lost. You think you are dragons, wolves or lions but the naked truth is you are just human with their own darkness, stupidity and weakness. This game is pure madness. All this is only the height of decadence. The world is burning in our eyes. The blood freezes in our veins.We all choose violence. Because we come to this world under tears and shouts. Dream, dream little thing but there is only nigthmare here. We all choose violence. I flew like an eagle, danced like a fire, fougth like a demon, galopped like a stallion and shone like a sun among the stars. The giants of the world crashing down. The end is near. I hear the trumpets sound. Orion & Ulwyck
Les délices de Dorne
Le soleil se trouvait haut dans le ciel estival et ses rayons filtraient à travers les fenêtres de l'établissement aux activités peu liée à la lumière des sept. Les minces rais de lumière dorée balayaient la vaste pièce principale du bâtiment entièrement dédié à l'assouvissement des plaisirs charnels dans ce qu'ils avaient de plus brûlant et délectable. La volupté des dames et demoiselles habituées à deviner les désirs de leurs clients et à les anticiper ravissait les yeux à l'instar de la décoration éclectique mais agréable aux accents dorniens fortement prononcés. Ce qui était somme toute parfaitement logique vu la localisation de cette maison de plaisir néanmoins quelques touches d'exotisme ne pouvant que provenir de l'autre coté du détroit étaient décelables ça et là comme autant de ravissements délicats et harmonieux. Le point commun de ces diverses œuvres peintes, sculptées, dessinées ou cousues affichés sur les murs avec le plus grand des soins ou installés à des endroits susceptibles de mettre en valeur l'ensemble était la raison même de l'existence d'un tel lieu de débauche exquis. La luxure était représentée sous bien des formes avec une précision saisissante et disposée de telle sorte que le moindre mouvement de tète, le moindre alignement du regard se retrouve attiré par une de ces représentations érotiques, véritables odes à l'amour libertin et aux parties de jambe en l'air endiablées.
Dans l'air flottait des effluves aux zestes capiteux et suaves, arômes de vins et d'alcools en tout genre mêlés à celle de senteurs musqués et boisés. Ainsi tout les sens des clients étaient émoustillés dès le pas de la porte franchi. Les mettant ainsi dans les dispositions adéquates pour succomber à ce sublime appel au vice. L'air extérieur apporté par l'ouverture de la cour intérieure donnant vue sur l'océan rafraîchissait les corps et chassait les relents de transpiration. La lourde porte d'entrée gravée semblait faire office de verrou de coffre fort et de manifestation extérieure de la prospérité de l'établissement local. La fièvre de la sensualité émanait du moindre recoin des Perles de Dorne et des scènes à faire psalmodier les sœurs du silence sur la répugnance du péché et la bassesse de l’âme humaine se multipliait aux quatre coins du bâtiment aussi ancien que la fierté des enfants du soleil de la principauté. Des sons laissant peu de place à l'imagination étaient audibles pour peu que l'on tende l'oreille et se mélangeaient aux sonorités tumultueuses et entêtantes des instruments locaux. Une voix rauque épousait la mélodie avec harmonie comme un fourreau épouse les courbes d'une belle femme et chantait les louanges des filles du soleil. Ce chant était le point d'orgue de cet endroit conçu, pensé et orienté vers une seule et unique chose la sexualité monnayée. Et par les sept les Perles de Dorne représentaient bel et bien la quintessence du plaisir et ce à tout les niveaux. Un exemple qualitatif d'une rare intensité dans un monde ou les bordels étaient aussi nombreux que et bien ma foi que les auberges ou n'importe quel autre établissement d'artisanat. Si ce n'était plus nombreux que ces derniers. La vie est courte que diable ! Pourquoi se priver d'un peu de bon temps ?
C'est complètement imprégné de cette ambiance sulfureuse et de cette essence même de l'hédonisme à la dornienne que j'avais acheté un pichet d'un vin fruité et riche avant d'opter pour une place dans la petite cour pavée au milieu de laquelle un modeste bassin dans lequel des poissons rares s'égayaient sous le flamboiement de l'astre orangé. Une statue de sirène prouvait que même ici les charmes s'étalaient gracieusement et sensuellement aux su et à la vue des clients et habitués en tout genre. En soit les bordels étaient sûrement de très bons endroits pour mener des études sociologiques tant la population les fréquentant était éparse et diversifiée. Des plus jeunes aux plus vieux, de ceux n'assumant pas un tel loisir et ceux le revendiquant haut et fort et bien d'autres. Mais je n'étais pas là pour cela. Comme il était aisé de le deviner. Payer pour profiter des charmes de la compagnie féminine pouvait paraître paradoxal pour un séducteur dans mon genre qui aimait les défis et s'enivrer de la sensation grisante du chasseur ayant capturé sa proie lorsque la demoiselle ou dame s'abandonnait à mes soins.
Mais cela ne l'était pas le moins du monde. En effet, les filles de joie étaient des expertes dans leur domaine et l'expertise était parfois bien plus délicieuse que l'inexpérience insouciante. Je m'étais donc ensuite installé sur un siège confortable et m'était versé une lampée de ce bon vin fort appétissant sans prendre la peine de jeter mon dévolu sur l'une des prostitués bien conscient que l'une d'entre elles viendrait à moi. J'avais décidé d'accepter ce que le destin m'apporterait comme une sorte de jeu. La femme pouvait tout à fait être à mon goût ou ne pas l’être mais dans tout les cas je serais satisfait. L'attrait de la nouveauté est un aphrodisiaque puissant et Dorne était nouvelle pour le jeune homme que j'étais. La fille de joie qui était venue à moi était jeune mais nettement plus âgé que moi. Du haut de mes dix sept ans, je lui en donnais au moins une vingtaine. Ses long cheveux noirs étaient bouclés, sauvages et rebelles mais cela n’ôtait rien à son charme bien au contraire.
Elle avait de grands et jolis yeux marrons comme des noisettes foncés au soleil. Son nez était de taille moyenne, ni trop grand ni trop petit. Quant à ses lèvres pulpeuses, elles étaient un véritable appel au crime. Sa peau tannée par les éclats de l'astre solaire était semblable à du caramel et ne donnait qu'une seule envie celle de la toucher, pétrie, caresser, embrasser et bien plus. Ses formes étaient admirables mais pas excessives et attiraient naturellement l’œil avide d'un tel spectacle. Elle était d'une beauté simple mais éclatante. Elle était réellement et férocement désirable et le savait. Les yeux fixés sur son corps en train de se déhancher sur le nouvel air joué dans le bordel je savourais cette danse aguicheuse comme un homme instruit savoure un bon livre ou un chevalier le poids parfait d'une arme. Mais, un coup d’œil vers un dornien de mon âge qui semblait être un fidèle habitué des lieux me fit me désintéresser de la fille de joie qui esquissa une moue boudeuse m'arrachant un sourire amusé. Après avoir levé mon verre au dornien, je reporte mon attention sur la beauté sauvage qui s'assoit sur mes genoux et joue avec mes cheveux. Je pose ma coupe de vin sur ces lèvres et lui fait boire quelques gorgées avant de fondre sur sa bouche comme un aigle sur sa proie tandis que ses mains caressent mon torse avec ferveur. Quoi ? On a oublié l'étape faisons connaissance. Nous sommes dans un bordel voyons.
Mais une fois que nos lèvres se séparent et qu'un sourire se peint sur les lèvres de la dornienne le dornien de tout à l'heure m'interpelle et je me détourne de ma belle du jour pour adresser un sourire franc et sincère au jeune homme avant de lui répondre d'une voix amusée : Cela est il si flagrant que je ne suis pas un fils de Dorne ? Moi qui pensais faire illusion. Je comprends pourquoi tu es un habitué. Ce lieu est divinement exaltant.
Je marque une pause pour me tourner vers la dornienne sur mes genoux et lui demande son nom qui se révèle être Thalma. Je me tourne une nouvelle fois vers l'habitué impétueux et sans me départir de mon sourire reprends : Thalma est parfaitement à mon goût.
Pour ajouter le geste à la parole, je dépose un baiser fleuri sur le cou de la jeune femme dont l'une des mains continue de jouer avec mes cheveux. Et je conclue : Et toi tu ne peux pas être seul ? Je ne te connais pas mais je pense pouvoir affirmer que cela ne te ressemble pas.
Dans l'air flottait des effluves aux zestes capiteux et suaves, arômes de vins et d'alcools en tout genre mêlés à celle de senteurs musqués et boisés. Ainsi tout les sens des clients étaient émoustillés dès le pas de la porte franchi. Les mettant ainsi dans les dispositions adéquates pour succomber à ce sublime appel au vice. L'air extérieur apporté par l'ouverture de la cour intérieure donnant vue sur l'océan rafraîchissait les corps et chassait les relents de transpiration. La lourde porte d'entrée gravée semblait faire office de verrou de coffre fort et de manifestation extérieure de la prospérité de l'établissement local. La fièvre de la sensualité émanait du moindre recoin des Perles de Dorne et des scènes à faire psalmodier les sœurs du silence sur la répugnance du péché et la bassesse de l’âme humaine se multipliait aux quatre coins du bâtiment aussi ancien que la fierté des enfants du soleil de la principauté. Des sons laissant peu de place à l'imagination étaient audibles pour peu que l'on tende l'oreille et se mélangeaient aux sonorités tumultueuses et entêtantes des instruments locaux. Une voix rauque épousait la mélodie avec harmonie comme un fourreau épouse les courbes d'une belle femme et chantait les louanges des filles du soleil. Ce chant était le point d'orgue de cet endroit conçu, pensé et orienté vers une seule et unique chose la sexualité monnayée. Et par les sept les Perles de Dorne représentaient bel et bien la quintessence du plaisir et ce à tout les niveaux. Un exemple qualitatif d'une rare intensité dans un monde ou les bordels étaient aussi nombreux que et bien ma foi que les auberges ou n'importe quel autre établissement d'artisanat. Si ce n'était plus nombreux que ces derniers. La vie est courte que diable ! Pourquoi se priver d'un peu de bon temps ?
C'est complètement imprégné de cette ambiance sulfureuse et de cette essence même de l'hédonisme à la dornienne que j'avais acheté un pichet d'un vin fruité et riche avant d'opter pour une place dans la petite cour pavée au milieu de laquelle un modeste bassin dans lequel des poissons rares s'égayaient sous le flamboiement de l'astre orangé. Une statue de sirène prouvait que même ici les charmes s'étalaient gracieusement et sensuellement aux su et à la vue des clients et habitués en tout genre. En soit les bordels étaient sûrement de très bons endroits pour mener des études sociologiques tant la population les fréquentant était éparse et diversifiée. Des plus jeunes aux plus vieux, de ceux n'assumant pas un tel loisir et ceux le revendiquant haut et fort et bien d'autres. Mais je n'étais pas là pour cela. Comme il était aisé de le deviner. Payer pour profiter des charmes de la compagnie féminine pouvait paraître paradoxal pour un séducteur dans mon genre qui aimait les défis et s'enivrer de la sensation grisante du chasseur ayant capturé sa proie lorsque la demoiselle ou dame s'abandonnait à mes soins.
Mais cela ne l'était pas le moins du monde. En effet, les filles de joie étaient des expertes dans leur domaine et l'expertise était parfois bien plus délicieuse que l'inexpérience insouciante. Je m'étais donc ensuite installé sur un siège confortable et m'était versé une lampée de ce bon vin fort appétissant sans prendre la peine de jeter mon dévolu sur l'une des prostitués bien conscient que l'une d'entre elles viendrait à moi. J'avais décidé d'accepter ce que le destin m'apporterait comme une sorte de jeu. La femme pouvait tout à fait être à mon goût ou ne pas l’être mais dans tout les cas je serais satisfait. L'attrait de la nouveauté est un aphrodisiaque puissant et Dorne était nouvelle pour le jeune homme que j'étais. La fille de joie qui était venue à moi était jeune mais nettement plus âgé que moi. Du haut de mes dix sept ans, je lui en donnais au moins une vingtaine. Ses long cheveux noirs étaient bouclés, sauvages et rebelles mais cela n’ôtait rien à son charme bien au contraire.
Elle avait de grands et jolis yeux marrons comme des noisettes foncés au soleil. Son nez était de taille moyenne, ni trop grand ni trop petit. Quant à ses lèvres pulpeuses, elles étaient un véritable appel au crime. Sa peau tannée par les éclats de l'astre solaire était semblable à du caramel et ne donnait qu'une seule envie celle de la toucher, pétrie, caresser, embrasser et bien plus. Ses formes étaient admirables mais pas excessives et attiraient naturellement l’œil avide d'un tel spectacle. Elle était d'une beauté simple mais éclatante. Elle était réellement et férocement désirable et le savait. Les yeux fixés sur son corps en train de se déhancher sur le nouvel air joué dans le bordel je savourais cette danse aguicheuse comme un homme instruit savoure un bon livre ou un chevalier le poids parfait d'une arme. Mais, un coup d’œil vers un dornien de mon âge qui semblait être un fidèle habitué des lieux me fit me désintéresser de la fille de joie qui esquissa une moue boudeuse m'arrachant un sourire amusé. Après avoir levé mon verre au dornien, je reporte mon attention sur la beauté sauvage qui s'assoit sur mes genoux et joue avec mes cheveux. Je pose ma coupe de vin sur ces lèvres et lui fait boire quelques gorgées avant de fondre sur sa bouche comme un aigle sur sa proie tandis que ses mains caressent mon torse avec ferveur. Quoi ? On a oublié l'étape faisons connaissance. Nous sommes dans un bordel voyons.
Mais une fois que nos lèvres se séparent et qu'un sourire se peint sur les lèvres de la dornienne le dornien de tout à l'heure m'interpelle et je me détourne de ma belle du jour pour adresser un sourire franc et sincère au jeune homme avant de lui répondre d'une voix amusée : Cela est il si flagrant que je ne suis pas un fils de Dorne ? Moi qui pensais faire illusion. Je comprends pourquoi tu es un habitué. Ce lieu est divinement exaltant.
Je marque une pause pour me tourner vers la dornienne sur mes genoux et lui demande son nom qui se révèle être Thalma. Je me tourne une nouvelle fois vers l'habitué impétueux et sans me départir de mon sourire reprends : Thalma est parfaitement à mon goût.
Pour ajouter le geste à la parole, je dépose un baiser fleuri sur le cou de la jeune femme dont l'une des mains continue de jouer avec mes cheveux. Et je conclue : Et toi tu ne peux pas être seul ? Je ne te connais pas mais je pense pouvoir affirmer que cela ne te ressemble pas.
(c) crackle bones
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Les délices de Dorne
Lancehélion - Dorne
Orion Staunton & Ulwyck Uller
Il était vrai que l'endroit était intéressant mais de là à le considérer comme totalement exaltant, il y avait un pas à ne pas franchir. Le Uller avait déjà passé de délicieux moments dans d'autres endroits du genre et certains méritaient sans doute plus de considération que celui-ci. Après tout, tout était une question de période, de lieu et d'ivresse. C'était un tout qui faisait d'un bordel un lieu attrayant. Le néophyte, le profane lui se basait sur les artifices plutôt que sur le véritable fond de l'établissement. Difficile de devenir dans quelle catégorie se classait le jeune homme près de lui. A vrai dire, cette simple pensée sorti aussi vite de ses pensées qu'elle n'y était arrivée.
«Vous avez des traits d'ailleurs. Quelque chose dans votre visage qui ne colle pas avec celui des locaux. Puis quand vous parlez, vous n'avez pas le même accent que nous. Ça se voit, ça s'entend. Vous devez cependant avoir peut-être du sang de notre région, ce n'est pas impossible. Au moins vous savez apprécier les saveurs essentielles de la vie. »
Sa coupe fut remplie à nouveau et il s'abreuva calmement. Le vin était à la fois un liquide qui excitait le sens ou les atténuait. Cela dépendant de la forme du buveur et surtout de sa capacité à doser et supporter ce breuvage. Ulwyck éclata d'un rire franc lorsqu'il entendit le jeune homme vanter la prostituée sur ses genoux.
«Et le vérole qu'elle te refilera, le sera très certainement aussi. Si j'étais toi je n'aurai pas posé ma bouche à cet endroit.
Le Uller éclata à nouveau de rire, un rire franc et taquin plein d'entrain. Il se payait la tête de l'homme. Aucune maquerelle ne serait assez folle pour laisser une de ses filles avec une maladie visible et un véritable risque pour ses clients. Du moins dans ce genre d’établissement. Dans des endroits plus glauques, on était jamais à l'abri.
«Je rigole, je rigole. Toutes les fille ici sont en parfaite santé. C'est un établissement sérieux, vous ne risquez pas de perdre la vie ici. La seule chose que vous risquez de voir disparaître c'est l'argent dans votre bourse, tellement vous aurez envie de dépenser toutes vos pièces. Vous ressortirez alors avec toutes vos bourses bien plus légères ha ha ha.»
Il n'était jamais seul. Ulwyck trouvait toujours un lit où dormir et une femme voir plusieurs avec qui passé la nuit même si cela lui arrivait de se poser quelques temps. Sa quête éternelle des plus belles femmes de Dorne ne cesserait probablement jamais. Tel était sa vie, son histoire.
Il vida sa coupe d'une traite et demanda à ce qu'on le serve à nouveau. Le vin lui plaisait de plus en plus et il se pencha alors pour voler un langoureux baiser à la prostituée qui retenait l'attention de l'étranger. Ce n'était pas une façon de marquer son territoire mais simplement d'illustrer le fait qu'il prenait ce qu'il avait envie et qu'il laissait ce qui ne l'intéressait pas. Les actes parlaient bien souvent plus que les paroles.
«Je ne suis jamais seuls. J'appartiens à toutes les femmes qui me désirent, qu'elle soit catin ou reine. J'offre au femme mon charme, le bonheur de ma présence et de mes performances. Parfois, certains rigolent, en disant que ce sont les filles de cet établissement qui devrait me payer et non l'inverse ha ha ha.»
Reprenant un peu de vin, il contempla la jeune femme qui venait de le prendre par la taille et de déposer de chauds baiser dans son cou. Il ne paraissait nullement décontenancé, comme si ces gestes étaient totalement naturel pour lui.
«Et vous qu'est ce qui vous amène dans cet endroit ? L'appel de la chaire fraîche ? Il y a des endroits similaires là d'où vous venez ?»
© DRACARYS
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