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Conversation épineuse entre bonnes gens [Flashback : Owen Tyssier/Loras Tyrell]
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Année 297, Lune 6, Semaine 2 - Haujardin
La cour de Hautjardin avait de tout temps été la témoin discrète et silencieuse de l’entraînement des jeunes chevaliers et écuyer. Cela ne faisait pas longtemps qu'Owen pouvait se vanter d'avoir été adoubé. On lui donnait à présent du « Ser » à tout va. Cela ne changeait en rien son comportement si on exceptait le fait qu'il ne se sentait pas peu fier d'avoir eut la chance d'être écuyer du suzerain du Bief et d'avoir été jusqu'au bout du processus. Le Fief ds Tyrell était sa maison depuis des années même si celle-ci n'était pas sa réelle place. Elle se trouvait à Froide-Douve, le château dont il hériterait un jour ainsi que les titres qui y étaient liés. Pourtant, il se plaisait réellement à la cours des Tyrell. Il s'y sentait parfaitement à sa place et l'idée d'y rester quelques années ne lui déplaisait pas. Il y avait tout pour se plaire ! Un décor paradisiaque, des gens d'influences, le sourire de Margaery, pas mal de jeunes dames pour chauffer sa couche, le regard de Margaery, du bon vin et encore une multitude de choses extraordinaire. L'araignée ne pouvait que tisser sa toile au milieu des rôles. Pour l'heure cependant pas d'intrigue ou de réflexions profondes et philosophiques ! Juste de l'expression physique, des actes d'instincts et d'intelligence de décisions rapides. Même sous le cliquetis des armes qui s'entrechoquent, les cerveaux se devaient de toujours fonctionner et de se montrer prompt à la réaction. Un léger sourire aux lèvres, le Tyssier échangeait quelques passes en compagnie de Loras Tyrell.
« C'est tout ce qu'as dans le ventre notre bon Loras aujourd'hui ? Je t'ai connu plus vivace mon cher.»
Toucher le fils de Mace Tyrell dans son orgueil était sans doute la meilleure chance d'Owen de s'ouvrir une voie royale vers la victoire. Le Tyrell le surpassait au combat, c'était un fait indéniable. Non pas qu'Owen soit un mauvais combattant mais le dernier mâle né sous le blason de la rose était un combattant hors pair, digne de ceux qui méritaient de se voir écrire des chansons narrant leurs exploits. L'araignée appréciait la lame plus que la lance de joute mais il ne surpasserait probablement jamais Loras. La ruse était donc sa meilleure arme face au comportement de son adversaire.
« Faut-il que je sorte mon autre épée pour que tu te décides à me malmener un peu ? J'ai l'impression que tu essayes de ménager. Je ne suis pas en sucre, Chevalier des fleurs ! C'est une araignée sur mon blason et non une abeille !»
Le blesser dans son orgueil, l'amener à se découvrir pouvait être la clé de la victoire mais cela ne signifiait pas pour autant que cela suffirait. Loras ne se laisserait probablement pas avoir aussi facilement mais il ne s'agissait que d'un simple entraînement entre chevaliers de bonne compagnie. Dans le cas d'un duel à mort, le blondin tenterait sûrement de se montrer encore plus habile et retors dans ses manœuvres afin de jouer sur les faiblesses de son adversaire. Quant au Chevalier des fleurs, il tenterait également d'exploiter les points faibles de la jeune araignée. D'ailleurs, ce dernier commençait à sentir le poids des coups. Même si les épées étaient mouchetées, elles n'en restaient pas loin proches du poids des armes normales.Le temps était clément avec eux. Le soleil du Sud était bien présent sans pour autant les gratifier d'une chaleur étouffante ce qui leur permettait de se mouvoir à l'aise sans se retrouver à nager sous leur vêtement et la maille. La fin de ce duel amical approchait et nulle doute maintenant que Loras finirait par l'emporter. Owen n'allait cependant pas être blessé dans son amour propre pour si peu. Il s'agissait pour lui d'un entraînement et c'était en affrontant à chaque fois des Chevaliers plus forts ou plus réputés que lui qu'il progresserait. Garlan Tyrell par exemple qui bien qu'un excellent combattant était nettement moins divertissant que son jeune frère. Continuant à se montrer un peu narquois envers son adversaire, le Tyssier tenta une bote rapide pour essayer de le déséquilibrer.
« Je me prendrai bien une bonne coupe de vin, pas toi ? Juste pour savourer ma victoire bien entendu ! Et me mettre un peu de baume au cœur également ! Dire que je pourrais me vanter d'avoir vaincu le terrible Ser Loras ha ha ha !»
« C'est tout ce qu'as dans le ventre notre bon Loras aujourd'hui ? Je t'ai connu plus vivace mon cher.»
Toucher le fils de Mace Tyrell dans son orgueil était sans doute la meilleure chance d'Owen de s'ouvrir une voie royale vers la victoire. Le Tyrell le surpassait au combat, c'était un fait indéniable. Non pas qu'Owen soit un mauvais combattant mais le dernier mâle né sous le blason de la rose était un combattant hors pair, digne de ceux qui méritaient de se voir écrire des chansons narrant leurs exploits. L'araignée appréciait la lame plus que la lance de joute mais il ne surpasserait probablement jamais Loras. La ruse était donc sa meilleure arme face au comportement de son adversaire.
« Faut-il que je sorte mon autre épée pour que tu te décides à me malmener un peu ? J'ai l'impression que tu essayes de ménager. Je ne suis pas en sucre, Chevalier des fleurs ! C'est une araignée sur mon blason et non une abeille !»
Le blesser dans son orgueil, l'amener à se découvrir pouvait être la clé de la victoire mais cela ne signifiait pas pour autant que cela suffirait. Loras ne se laisserait probablement pas avoir aussi facilement mais il ne s'agissait que d'un simple entraînement entre chevaliers de bonne compagnie. Dans le cas d'un duel à mort, le blondin tenterait sûrement de se montrer encore plus habile et retors dans ses manœuvres afin de jouer sur les faiblesses de son adversaire. Quant au Chevalier des fleurs, il tenterait également d'exploiter les points faibles de la jeune araignée. D'ailleurs, ce dernier commençait à sentir le poids des coups. Même si les épées étaient mouchetées, elles n'en restaient pas loin proches du poids des armes normales.Le temps était clément avec eux. Le soleil du Sud était bien présent sans pour autant les gratifier d'une chaleur étouffante ce qui leur permettait de se mouvoir à l'aise sans se retrouver à nager sous leur vêtement et la maille. La fin de ce duel amical approchait et nulle doute maintenant que Loras finirait par l'emporter. Owen n'allait cependant pas être blessé dans son amour propre pour si peu. Il s'agissait pour lui d'un entraînement et c'était en affrontant à chaque fois des Chevaliers plus forts ou plus réputés que lui qu'il progresserait. Garlan Tyrell par exemple qui bien qu'un excellent combattant était nettement moins divertissant que son jeune frère. Continuant à se montrer un peu narquois envers son adversaire, le Tyssier tenta une bote rapide pour essayer de le déséquilibrer.
« Je me prendrai bien une bonne coupe de vin, pas toi ? Juste pour savourer ma victoire bien entendu ! Et me mettre un peu de baume au cœur également ! Dire que je pourrais me vanter d'avoir vaincu le terrible Ser Loras ha ha ha !»
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Le soleil était déjà haut dans le ciel. Pas un brin de vent venait gâcher cette belle journée. La chaleur actuelle incitait pas mal d'habitants à venir ce rafraîchir près des fontaines et des jardins. Certains en avaient même trouvé là l'occasion idéale pour improviser un pique-nique en famille. Loras en avait profité aussi. Non pas pour pique-niqué mais, plutôt pour convier son ami Owen à un petit exercice d'entraînement qui ferait du bien au jeune chevalier. Traversant la cour extérieure, le jeune Tyrell avait droit a de léger petits gloussements de la part de jeunes demoiselles bien trop timide pour l'aborder. Cela amusait particulièrement le blondinet qui en son fond intérieur espérait retarder un éventuel mariage. C'est libre comme l'air et sifflant gaiement, que notre chère rose rejoignit le point de rencontre qu'il s'était fixé la veille avec l'araignée fraîchement adoubé. Amusé le jeune Tyrell ne s'empêcherait pas de faire de légère remarques amicale à son ami sur son titre fraîchement obtenu. Après avoir échangé quelques légères passe histoire de se mettre dans le bain, l'affrontement entre les deux camarades pouvaient enfin avoir lieu. Inutile de préciser que la jeune rose avait largement le dessus sur son ami. Aussi, feintait-il à lui offrir une petite chance de le mettre sur les rosiers. Même s'il le voulait, Loras savait que la tricherie irait rapidement à son père, ce dernier le prendrait mal. Aussi, tâcha t-il de bien défendre ses couleurs comme le voulait le protocole. Sous l'amusement de son compagnon d'arme Loras enchaîna : « - Ce n'est que le début je préfère commencer en douceur, mais si tu y tiens voyons si notre cher Ser Owen sait si bien danser ? »
Le jeune blond, reprenait du service. Il ne supporterait pas à l'idée de se faire devancer ne serait-ce même par son ami. Loras accordait beaucoup d'importance à son titre de combattant hors pair. Bien que cela soit une partie de rigolade entre les deux jeunes gens, la jeune rose ne le laisserait pas si facilement le démonter. De part son titre fraîchement acquis, le blondinet comptait bien faire danser un tant soit peu son ami l'araignée histoire de voir de quoi il était capable. Le jeune homme savait que son ami était plus à l'aise avec la Philosophie que le maniement des armes mais, il n'en restait pas moins un adversaire redoutable. Redoutable en joute verbale également. Loras n'était pas dupe. Il avait vu d'avance la stratégie d'Owen à vouloir le faire pâlir par l'art de la parole. Mais le Tyrell n'allait pas entrer dans son petit jeu si facilement. Un léger sourire s'afficha sur le visage de ce dernier. « - Encore faudrait-il que tu sois capable de la sortir. Je te connais que trop bien pour savoir que tu ne le feras pas. Je ne tiens pas à abîmé un aussi beau visage. » Un rire léger cette fois-ci flotta dans l'air : « - Une araignée parmi les fleurs j'aurais plutôt pensées le contraire ? Étrange. »
La jeune rose souhaitait savoir de quoi était capable le jeune Tyssier. Il connaissait bien Owen mais, à chaque échanges le jeune homme progressait de façon spectaculaire. Il était clair qu'il pouvait assurer la victoire s'il le souhaitait vraiment. Ses mouvements étaient puissants et parfaits. L'affrontement entre les deux amis pris fin après une bonne demi-heure de lutte et d'acharnement. « - Avec plaisir, une victoire toutefois bien mérité. Tu tes bien battu je dois le reconnaître. » Pendant qu'il servait le vin le jeune blond offrait un sourire chaleureux à son ami : « - j'imagine que tu ne voulais pas seulement échangé quelques passes n'est-ce pas ? . Depuis quelques temps tu sembles plus .... discret. Souhaites-tu en parler ? » Loras connaissait bien Owen. Assez pour noter que le jeune homme semblait plus absent que d'ordinaire. Cependant, pour avoir retourné la question dans sa tête dans tous les sens, la jeune rose était bien incapable de dire pourquoi. Il espérait bien obtenir des réponses auprès de son confident.
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Le Tyssier avait dû faire mouche puis que Loras prétendit accélérer le rythme. Il constata que sa vanne sur sa seconde épée était tout aussi bien passé. Il savait qu'il devait jouer là dessus pour garder l'esprit de son adversaire hors de sa concentration optimale. C'était une manœuvre comme une autre. La guerre était aussi psychologique que physique ou stratégique. Assiéger une forteresse et faite jouer du tambour sans arrêt à proximité des murs et les assiégés finiraient par craquer plus rapidement non pas par peur ou par faim mais à cause du bruit usant qui leur vrillerait les tympans. L'astuce était une denrée précieuse sur le champ de bataille. Owen poussa un petit rire léger après la prononciation de la dernière phrase de Loras. Il lui offrait un trait d'humour et l'araignée s'en empara pour rebondir dessus et porter un coup mental de plus à son ami. Combien de temps la barrière mentale du Tyrell tiendrait-elle ? Il l'ignorait! Le blond parla alors sur un ton légèrement salace mais assez bas pour que personne d'autres que lui ne puisse l'entendre. Pour se faire il se rapprocha à grand coup d'épée pour lutter avec Loras à la force des bras, lame contre lame ! Une position peu évidente à maintenir !
« Tu parles trop de fleur mon cher. Est ce mon épée ou ma fleur que tu désires, Ser effronté. Fais attention, à force de penser à mon somptueux visage, tu risques de me laisser gagner. Ne m'oblige pas à te sortir mon sourire ravageur !»
Sa défaite encaissée, il fut le premier à se jeter sur le vin apporté par des servantes. Un vin de Haujardin nota t-il. Il avait apprit à la reconnaître en force d'en consommer. Le blond laissa le liquide se frotter contre sa langue quelques secondes avant de l'avaler. Tout en écoutant Loras lui parler, il réfléchit quelques instants. Il essaya d'abord de noyer le poisson pour éviter d'aborder un sujet qui lui tenait à cœur.
« Il y avait peut de chance pour que je parvienne à venir à bout de toi Loras. Je ne pourrai jamais gagner à la loyal contre ton talent et tes tes heures d’entraînements acharnées. Je suis cependant satisfait d'avoir réussi à tenir aussi longtemps. Je connais pas mal de chevalier de la Cours de ton père qui ne pourrait pas en dire autant.»
Éloigner du sujet un importun avec quelques compliments tout en en plaçant un sur soi-même pour éviter de passer pour un flagorneur. Voilà une façon d'agir intelligente et posée afin de ne pas entamer une conversation houleuse et difficile à aborder. Cependant après sa première coupe de vin, il s'en servit une deuxième et en contemplant le fond du liquide, il se demanda s'il ne devait pas aborder ce sujet, ne serait-ce qu'avec Loras ou Willos. Ne disposant pas du second sous la main mais bel et bien le premier, le temps était peut-être venu. Par contre, il ne comprenait pas en quoi il se se montrait plus discret que par le passé ? A son humble avis, il n'avait rien changé dans son comportement. Peut-être que vu de l'extérieur, il paraissait différent. Personne ne lui avait fait remarquer jusqu'ici. Tout cela lui demandait du courage mais il le prit à deux mains et déballa en partie son problème.
«Discret dis tu ? Tu es le premier à m'en faire la remarque. Je dirais plus simplement préoccupé. Rien de grave cela dit, ne t'inquiète pas inutilement. Juste les aléas des affaires de cœur, Loras. Rien d'extraordinaire ! Je me découvre juste des sentiments pour une dame dont je n'obtiendrais jamais la main, ni l'attention m'est avis. »
En résumé ce n'était pas vraiment quelque chose d'important pour Loras. Il ignorait l'identité de la dame en question et il serait sûrement surprit d'entendre son nom. Il s'agissait de sa sœur cadette, Margaery, rien de plus, rien de moins. Malheureusement pour Owen, il était de trop basse naissance et n'avait aucune chance de l'épouser un jour à moins d'un énorme concours de circonstances. Autant dire que ses chances de réussite étaient proches du néant. C'était une idée complètement stupide mais malheureusement, il n'arrivait pas à la réprimer. Pourquoi cela n'était pas arrivé avec l'une de ses cousines ? Avec n'importe laquelle, il aurait sa chance (sauf Desmera Redwyne bien entendu) mais la plupart n 'était encore que des enfants et ne disposait pas forcément de qualités ou de traits susceptibles de l'attirer.
« Tu parles trop de fleur mon cher. Est ce mon épée ou ma fleur que tu désires, Ser effronté. Fais attention, à force de penser à mon somptueux visage, tu risques de me laisser gagner. Ne m'oblige pas à te sortir mon sourire ravageur !»
Sa défaite encaissée, il fut le premier à se jeter sur le vin apporté par des servantes. Un vin de Haujardin nota t-il. Il avait apprit à la reconnaître en force d'en consommer. Le blond laissa le liquide se frotter contre sa langue quelques secondes avant de l'avaler. Tout en écoutant Loras lui parler, il réfléchit quelques instants. Il essaya d'abord de noyer le poisson pour éviter d'aborder un sujet qui lui tenait à cœur.
« Il y avait peut de chance pour que je parvienne à venir à bout de toi Loras. Je ne pourrai jamais gagner à la loyal contre ton talent et tes tes heures d’entraînements acharnées. Je suis cependant satisfait d'avoir réussi à tenir aussi longtemps. Je connais pas mal de chevalier de la Cours de ton père qui ne pourrait pas en dire autant.»
Éloigner du sujet un importun avec quelques compliments tout en en plaçant un sur soi-même pour éviter de passer pour un flagorneur. Voilà une façon d'agir intelligente et posée afin de ne pas entamer une conversation houleuse et difficile à aborder. Cependant après sa première coupe de vin, il s'en servit une deuxième et en contemplant le fond du liquide, il se demanda s'il ne devait pas aborder ce sujet, ne serait-ce qu'avec Loras ou Willos. Ne disposant pas du second sous la main mais bel et bien le premier, le temps était peut-être venu. Par contre, il ne comprenait pas en quoi il se se montrait plus discret que par le passé ? A son humble avis, il n'avait rien changé dans son comportement. Peut-être que vu de l'extérieur, il paraissait différent. Personne ne lui avait fait remarquer jusqu'ici. Tout cela lui demandait du courage mais il le prit à deux mains et déballa en partie son problème.
«Discret dis tu ? Tu es le premier à m'en faire la remarque. Je dirais plus simplement préoccupé. Rien de grave cela dit, ne t'inquiète pas inutilement. Juste les aléas des affaires de cœur, Loras. Rien d'extraordinaire ! Je me découvre juste des sentiments pour une dame dont je n'obtiendrais jamais la main, ni l'attention m'est avis. »
En résumé ce n'était pas vraiment quelque chose d'important pour Loras. Il ignorait l'identité de la dame en question et il serait sûrement surprit d'entendre son nom. Il s'agissait de sa sœur cadette, Margaery, rien de plus, rien de moins. Malheureusement pour Owen, il était de trop basse naissance et n'avait aucune chance de l'épouser un jour à moins d'un énorme concours de circonstances. Autant dire que ses chances de réussite étaient proches du néant. C'était une idée complètement stupide mais malheureusement, il n'arrivait pas à la réprimer. Pourquoi cela n'était pas arrivé avec l'une de ses cousines ? Avec n'importe laquelle, il aurait sa chance (sauf Desmera Redwyne bien entendu) mais la plupart n 'était encore que des enfants et ne disposait pas forcément de qualités ou de traits susceptibles de l'attirer.
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Le jeune Tyrell appréciait beaucoup la compagnie d'Owen. Le jeune homme avait tout pour lui. Il venait d'une maison respectable, il était charmant, et surtout, il avait de la répartie et un sens de l'humour qui lui était bien propre. Les Dieux l'avaient visiblement bien gâté. Il fallait le reconnaître. En plus de ces qualités-là, Owen était quelqu'un de très bien cultiver. Parler lui de quelque chose est, il savait vous faire de magnifiques discours sur le sujet évoqué. Loras comprenait désormais pourquoi sa grand-mère adorait particulièrement la compagnie de cette charmante araignée. Attirer, 'attention de mamie Tyrell était un art qui n'était pas destiné à tout un chacun. Avec le temps, Owen avait su se faire aimer de la famille. Il était devenu le protéger de la famille et pour Loras un frère au même titre que Willos ou Garlan. Bien qu'ils n'eurent tout deux pas le même sang. La chamaillerie était une chose que les deux amis privilégiés à chacune de leurs rencontres. Ce qui au fil du temps avait crée un lien unique entre les deux jeunes gens. Un lien qui était particulièrement sacré pour le jeune Tyrell tout comme il devait l'être également pour son compagnon.
Tout se jouait entre les deux frères d'armes durant les dernières minutes d'affrontement. Loras comptait bien percer les défenses du jeune Tyssier le tout avec grâce comme il savait si bien le faire. Inutile de préciser que l'araignée n'en restait pas tout de moins fragile. La sous-estimée aurait été une erreur que le jeune Tyrell ne se permettait pas de faire. Les deux hommes étaient maintenant proches. Assez pour que se confondent leurs respirations. Respiration qui se voulait accélérer, sous l'effort du combat. Le jeune blond avait déjà connu cette situation au cours d'un de ses duels. Deux forces parfaitement identiques en oppositions. Le blond savait que tout se jouait là, maintenant. Il ne fallait pas qu'il faiblisse. Simple satisfaction personnelle. Pendant que parlait l'araignée, la rose profita de son beau dialogue pour agir. Il n'aimait guère bavarder pendant les séances d'entraînement préférant perfectionné ses mouvements. « - Tu as encore beaucoup à apprendre cher amis, la séduction et le combat son des arts bien propre de l'homme qui ne peuvent faire qu'un. L'heure est pour le moment aux combats non à la séduction. » Bien qu'il parlât, Loras savait que son ami n'en ferait pas plus. Son sourire ravageur faisait certes chavirer les cœurs des jolies filles de Hautjardin mais, s'il en fallait beaucoup plus pour faire fondre le fils de Mace Tyrell.
Après l'effort, le réconfort. Les jeunes gens partirent donc à la conquête d'un des meilleurs vins que leur offraient des servantes. Une des meilleures crues que seul Hautjardin pouvait offrir. Un vin qui émoustillait tout vos sens, un mélange de douceur sucrée qui vous scotchait là. Tentateur, ce dernier vous invitait toujours à renouvelé le supplice d'une nouvelle gorgée. Loras adorait tout comme son père avant lui ce délicieux breuvage bénit des Dieux. Décidément, la journée serait exellente. La jeune rose écoutait son compagnon d'armes louer ses exploits mérités. Et tout un chacun sait qu'il ne faut pas faire de compliment à notre cher Tyrell. Très vantard de sa personne, le jeune homme pouvait parfois en faire un peu trop. Toutefois aujourd'hui, un simple sourire et une petite phrase simple serait la bienvenue. Notre jeune chevalier des fleurs n'était plus le même depuis qu'il avait croisé la route d'un jeune homme de la maison Baelish. Un jeune prostitué qui avait changé sa vision des choses. Mais ce secret Loras l'avait enterré au plus profond de lui car il savait que son père ne l'aurait pas pris aussi bien que sa cadette. Dans son attitude, la jeune rose commençait à se poser des questions douteuses sur son compagnon d'armes au sujet d'une demoiselle en question qui faisait sans doute battre son cœur mais, il savait que si Owen souhaitait lui parler de la personne en question, il le ferait. La rose attendait simplement le bon moment. La rose attendait simplement le bon moment. « Oui plus discret. Je l'ai remarquer depuis un temps .» Concernant les affaires de cœur le Tyrell s'y connaissait plutôt bien. Ses conseils étaient toujours sages et avisés. Il avait longtemps observé sa sœur pour comprendre le fonctionnement des Dames de la cours. Une position que beaucoup d'hommes lui enviait. Margy' faisait tourner bien des têtes. Avec un léger soupçon, la jeune rose ne pue faire le rapprochement avec sa petite sœur bien-aimée. « - Tu es un homme bien courageux Owen, est si tes sentiments sur cette femmes sont grand tu devrais les lui faire savoir. Surtout si cela te travaille. Tu es quelqu'un de bien ne l'oublie jamais. Quiconque est cette Lady.» En parlant avec son ami, le jeune Tyrell prit une nouvelle coupe de vin qu'il adorait puis poursuivit énigmatiquement : « - Les femmes aimes les roses, envoie-lui un bouquet avec une petite déclaration. Anonyme ou pas. Tu pourrais observer par la suite son comportement. » Un petit sourire aux lèvres, le jeune homme invita ensuite son ami à marcher dans les allées des jardins histoires de ce détendre.
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La séduction était un combat et le combat une séduction. Les deux pouvaient aller de pairs si on savait y faire. En combat, Owen n'atteignait pas les prouesses de Loras mais en séduction il savait s'y prendre. En témoigne plusieurs servantes de Hautjardin et des villageoises des environs. Peu importe l'issue des deux disciplines, une épée finissait souvent plantée dans le corps de l'adversaire au sens propre comme au figuré. Owen paru ennuyé. Ses traits se crispèrent à l'évocation du fait qu'il se faisait plus discret. Il n'aimait pas qu'on lui fasse remarquer quelque chose à son sujet qui lui échappait. Il se trouvait assez observateur pour voir ses changements chez les gens mais cela ne l'empêchait pas de laisser échapper ses propres changements. Loras semblait aussi bien connaître les pensées des femmes que leur intimité. Des fleurs c'était bien beau. Certes elles pouvaient apprécier le geste mais ce n'était pas vraiment ce qui le tracassait. Gagner le cœur d'une femme était une chose, gagner sa main en était une autre. L'entreprise était bien plus une séduction des parents que de la dame en question. Quand bien même, il pourrait se voir en cachette, la besogner et vivre une romance, ils vivraient toujours avec un couperet au dessus de la tête.
« Ce n'est pas si simple Loras. Si l'amour guide mes pas, je devrais soit gagner sa main soit vivre cet amour dans la clandestinité. Je ne t'apprendrai rien sur ce dernier sujet. Tu dois toi même emprunter ce genre de chemin mon ami. Je ne souhaite pas jeter l'opprobre sur la dame en question et je crains que son puissant Seigneur de père ne me considérera jamais assez bien né pour épouser sa précieuse rose.»
Laissé en place le mot rose suffisait à se faire comprendre à moins que Loras n'y voit aussi ses cousines cachées sous cette métaphore. Olenna serait sans doute plus enclin pour ce mariage sur le plan psychologique mais elle y mettrait également son opposition pour les mêmes raisons que Mace Tyrell. Margaery disposait entre ses cuisses d'un moyen d'unir le Bief à une autre région, voir même à la Couronne. Ce n'était pas un modeste vassal du Bief qui allait se faire accorder sa main à moins qu'elle ne se déshonore. S'il participait malheureusement à cela, il risquait fort bien de se faire raccourcir la tête où de finir par se les geler en haut d'un mur dans le Nord si lointain ce qui ne correspondait à aucune de ses ambitions. Ça ne devait être qu'une passade. Il essayait de s'en convaincre car il n'avait jamais ressenti cela auparavant et ça l'effrayait quelque peu. Le blond avait désirer plusieurs femmes mais tout cela tenait plus généralement d'une attirance physique mais dans ce cas-ci, il appréciait surtout la personnalité de la jeune dame (qui se couplait à un physique aguicheur ce qui ne gâchait strictement rien à la situation, que du contraire). Parlant sur un ton moins grave et beaucoup plus léger, Owen se permit un petit trait d'humour pour essayer de détendre l’atmosphère.
« Je crains que je ne deviendrai jamais ton beau-frère mon pauvre Loras. L'araignée devra trouver autre chose que les roses pour tisser sa toile. Mes parents ne m'ont toujours pas envoyé de corbeau à propos d'éventuels fiançailles. Si c'est mon père qui la choisi, je sens que je devrai m'attendre à tout sauf à quelqu'un qui me plaira un minimum.»
Il mit un doigt en direction de sa gorge pour imiter quelqu'un qui se faisait vomir. Il imaginait son père le mariant à une femme totalement stupide et indésirable dans le seul but de récupérer une dot colossale ou des terres intéressantes. Il voulait éviter tout cela à tout prix et il comptait sur sa mère pour arriver à ses fins. Ses enfants étaient aussi précieux pour elle que ne l'était Loras ou Margaery aux yeux de Mace Tyrell. Quant à Loras, avait-il trouvé chaussure à son pieds dernièrement ou courrait-il les jeunes garçons à la recherche d'une proie qui pourrait le satisfaire pour du long terme ? Lorsqu'ils en parlaient hors d'une sphère privée, Owen utilisait toujours des termes neutre ou féminin pour parler des amours de Loras.
«Et toi quand me présentes tu à une de tes conquêtes ? Il me tarde de rencontrer la personne qui te met de si bonne humeur et donne autant de vigueur à ton bras d'épée ! »
« Ce n'est pas si simple Loras. Si l'amour guide mes pas, je devrais soit gagner sa main soit vivre cet amour dans la clandestinité. Je ne t'apprendrai rien sur ce dernier sujet. Tu dois toi même emprunter ce genre de chemin mon ami. Je ne souhaite pas jeter l'opprobre sur la dame en question et je crains que son puissant Seigneur de père ne me considérera jamais assez bien né pour épouser sa précieuse rose.»
Laissé en place le mot rose suffisait à se faire comprendre à moins que Loras n'y voit aussi ses cousines cachées sous cette métaphore. Olenna serait sans doute plus enclin pour ce mariage sur le plan psychologique mais elle y mettrait également son opposition pour les mêmes raisons que Mace Tyrell. Margaery disposait entre ses cuisses d'un moyen d'unir le Bief à une autre région, voir même à la Couronne. Ce n'était pas un modeste vassal du Bief qui allait se faire accorder sa main à moins qu'elle ne se déshonore. S'il participait malheureusement à cela, il risquait fort bien de se faire raccourcir la tête où de finir par se les geler en haut d'un mur dans le Nord si lointain ce qui ne correspondait à aucune de ses ambitions. Ça ne devait être qu'une passade. Il essayait de s'en convaincre car il n'avait jamais ressenti cela auparavant et ça l'effrayait quelque peu. Le blond avait désirer plusieurs femmes mais tout cela tenait plus généralement d'une attirance physique mais dans ce cas-ci, il appréciait surtout la personnalité de la jeune dame (qui se couplait à un physique aguicheur ce qui ne gâchait strictement rien à la situation, que du contraire). Parlant sur un ton moins grave et beaucoup plus léger, Owen se permit un petit trait d'humour pour essayer de détendre l’atmosphère.
« Je crains que je ne deviendrai jamais ton beau-frère mon pauvre Loras. L'araignée devra trouver autre chose que les roses pour tisser sa toile. Mes parents ne m'ont toujours pas envoyé de corbeau à propos d'éventuels fiançailles. Si c'est mon père qui la choisi, je sens que je devrai m'attendre à tout sauf à quelqu'un qui me plaira un minimum.»
Il mit un doigt en direction de sa gorge pour imiter quelqu'un qui se faisait vomir. Il imaginait son père le mariant à une femme totalement stupide et indésirable dans le seul but de récupérer une dot colossale ou des terres intéressantes. Il voulait éviter tout cela à tout prix et il comptait sur sa mère pour arriver à ses fins. Ses enfants étaient aussi précieux pour elle que ne l'était Loras ou Margaery aux yeux de Mace Tyrell. Quant à Loras, avait-il trouvé chaussure à son pieds dernièrement ou courrait-il les jeunes garçons à la recherche d'une proie qui pourrait le satisfaire pour du long terme ? Lorsqu'ils en parlaient hors d'une sphère privée, Owen utilisait toujours des termes neutre ou féminin pour parler des amours de Loras.
«Et toi quand me présentes tu à une de tes conquêtes ? Il me tarde de rencontrer la personne qui te met de si bonne humeur et donne autant de vigueur à ton bras d'épée ! »
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Pour Loras, il était un temps pour chaque chose. Le combat et les sentiments étaient bien deux choses toutes deux différentes. Il suffisait à votre ennemi de connaître les pensés secrètes les plus profondes de votre cœur et s'en était fini de vous. Le jeune Tyrell c'était fait une promesse. De ne jamais dévoilée l'identité de ce jeune homme qui faisait battre son cœur. Il savait aussi bien que son ami cette liaison déjà interdite ne déboulerait sur rien. Alors pourquoi faire souffrir encore un malheureux ? Le jeune blond avait jugé bon pour les deux êtres qu'ils étaient de partir en douce au petit matin. Depuis il n'avait eu aucune nouvelle, mais ses pensées de chaque jour revenaient à cette unique, et même personne. Alors oui, il pouvait bien comprendre le ressentit de son jeune ami dans une situation si délicate voir presque irréalisable. Mais son amour n'était pas interdit. Voilà donc un point qui pourrait jouer en leurs faveurs. Le jeune Tyrell invitait son ami sur la confidence, et petit à petit, la personnalité de la jeune femme sortait de l'ombre. C'était bien ce que pensait la jeune rose. - Quelqu'un de haute importance qui fait bien tournée des têtes. Ma sœur ? -
Visiblement, la situation semblait délicate pour le jeune chevalier fraîchement adoubé. Mais son titre ne pourrait-il pas jouer en sa faveur lors d'un éventuel tournoi ? Bons nombres de Ser n'avait-il pas conquis le cœur de Lady de cette façon-là ? Il restait tout de même un espoir pour Owen de conquérir le cœur de sa belle. Surtout s'il s'agissait de Margy. Mace le portait dans son cœur. Alors pourquoi diable l'espoir ne se prêtait-il pas au rendez-vous. Certes, il savait que sa cadette était l'une des femmes les plus convoitées du royaume et cette dernière voulait le titre de reine, mais il pourrait peut-être la convaincre d'avoir qui plus est un amant fidèle en la compagnie d'Owen. Toutefois, il faudrait de bon argument pour convaincre sa frangine de renoncer à la couronne tant convoitée par cette dernière que pour l'amour d'un seul homme. Loras lui par chance n'était pas vraiment intéresser par le pouvoir. Ou du moins ne l'était-il pas à sa façon. Il préférait plutôt lui, rester dans l'ombre.
« - Tu peux le devenir ne part pas défaitiste. Mon père te porte en haute estime ainsi que ma grand-mère. Vois par là déjà un avantage que certains prétendants de Marg' non absolument pas. » Il offrit à son compagnon d'armes une accolade de réconfort puis enchaîna : « - Il n'est pas trop tard pour d'éventuelles fiançailles. Je pourrais parler à ma sœur et voir ce qu'il en est... »
Si le jeune chevalier détestait bien une chose, c'était les peines de cœur venant de ses proches. Il essayait de faire au mieux pour satisfaire tout un chacun. Mais ce travail n'était pas des choses les plus simples. Il ignorait toutefois si sa sœur avait déjà remarqué la douce araignée. Il savait que les projets de sa sœur étaient bien plus grand, mais il savait aussi au fond de lui que Margy possédait un cœur tendre que l'on pouvait facilement atteindre si l'on savait si prendre. Le blondinet ne put s'empêcher de sourire lorsque Owen imita un léger vomissement. Il savait également qu'en partant, il avait dû lui brisé le cœur. Bien que le jeune William occupât jours et nuit ses pensées, le Tyrell avait jugé bon de faire taire ses sentiments. Il savait également qu'en partant, il avait dû lui brisé le cœur. Il souhaitait simplement que le jeune homme s'en fût remis et qu'il vivait désormais heureux. « - C'est une affaire compliqué à laquelle j'ai du mètre un terme mon cher. Il n'est pas de noble naissance et de plus est si mon père l'apprenait son sort pourrait être des plus pénible. J'ai dû faire une croix sur cet amour, mais je pense chaque jour qui passe à lui. Est cela me rend heureux. »Parler de William restait encore difficile pour Loras. Il lui arrivait toutefois de courir après plusieurs lapins à la fois, mais le jeune Tyrell n'avait jamais ressentit cela pour qui que ce soit auparavant.
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Loras idéalisait trop la situation. Mace l’appréciait certes, Olenna encore plus mais il n'était pas non plus indispensable. Son futur titre de Lord ne représentait pas énormément à leurs yeux. Il ne serait que le vassal, d'un vassal. Rien de bien folichon. Il n'assouvirait jamais les ambitions des Tyrell. Le mariage était donc aussi improbable que de voir Loras se mettre à aimer subitement les femmes. La reine des épines veillerait à ce que sa petite fille soit en de bonnes mains. Elle le serait avec le Tyssier mais il ne répondait pas à la seconde condition : un rang prestigieux. La vie était ainsi faite. Une roturière pouvait l'aimer, jamais il ne l'épouserai. L'amour véritable dans les mariages n'existait que trop rarement. Il s'y était préparé. De toute manière, cette attirance pour Margaery n'était peut-être que passagère. Il n'avait jamais vraiment éprouvé des sentiments avant. Il espérait même que cela se dissiperait car l'amour chanté par les rhapsodes étaient certes un sentiment beau et prenant, digne de faire pleurer les pucelles, mais il était également une faiblesse bien trop importante. En parler à Margaery n'arrangerait rien. Sur ce point, il était intransigeant et parla sur un ton des plus sérieux à son ami.
« Ne confond pas défaitisme et réalisme Loras. Ta sœur est destinée à de plus grandes choses que devenir la Lady de Froide-Douve. J'apprécierai que tu ne lui en parles pas. Moins de personne sont au courant et moins de chance j'aurai de finir comme la risée d'Haujardin. Ce sont de toutes façon des pensées stupides. Cela passera. J'ai assez de ressources pour être la première araignée à retomber sur ses pattes !»
Ce genre de paroles ferait de lui un sujet de rire parmi les chevaliers du fief des Tyrell et Olenna Tyrell lui ferait peut-être même la morale sur ce genre d'informations qu'on ne devait dévoiler sous aucun prétexte. En soit, ce n'était pas un secret d'état mais si cela pouvait lui permettre d'éviter d'être le sujet de moqueries, il était preneur. Le fardeau que Loras portait lui sur ses épaules était bien plus lourd et dérangeant que le sien. Le fait que son amant soit noble ou pas ne changeait au final pas grand chose au fond du problème. Le Tyrell aimait la compagnie des hommes et ne pourrait lui non plus jamais réaliser son envie. Cela leur faisait un nouveau point commun. Le chevalier des fleurs et son acolyte l'arachnide n'étaient peut-être pas du même niveau au combat mais question « amours impossibles », ils faisaient en tout cas bien la paire ! Un jour, le cadet de la maison de la rose devrait prendre femme. Cela n'allait pas être une partie de plaisir mais il pourrait au moins conserver quelques amants à sa disposition, ce qui serait un moindre mal malgré le risque de se faire coincer.
« Un jour tu recevras peut-être des terres à moins que le mariage ne t'y amène. Alors tu pourras songer à le prendre à ton service. Le monde devient un peu plus simple, quand on est son propre seigneur Loras. D'ici là chérit ses pensées comme les biens les plus précieux que tu possèdes, mon ami.»
Que pouvait-il faire de plus pour lui ? Il l'avait déjà couvert, fais le guet pour lui. Il n'en parlait jamais à personne. D'une part pour préserver Loras mais également pour ne pas ternir l'honneur de la maison Tyrell. Il soupira en pensant à ce temps où il rentrerait chez lui. Hautjardin lui manquerait, comme tous ces gens qui étaient devenus comme une seconde famille. Cela finirait par arriver indubitablement mais cela pourrait être bénéfique en un sens. L'araignée se trouverait loin de Margaery et finirait sans doute par l'oublier plus vite. De plus, il pourrait courir la gueuse à Froide-Douve. Voir de nouvelles têtes lui changerait sans aucun doute les idées. Cela le guérirait-il ? Seul le temps permettrait de répondre à cette question. Continuant de boire un peu de vin, le jeune homme se coiffa d'une main adroite tout en reprenant la parole sur un ton un peu plus joyeux. Il valait mieux ne pas trop assombrir leurs pensées.
«Par la Jouvencelle, quand est ce que ton père se décidera à organiser une fête. Il y a trop longtemps que je n'ai plus bu et rigolé, ni même danser. Ce serait une bonne occasion de rencontrer une future épouse ha ha ha mais gare à toi si tu me la pique, Loras ! »
« Ne confond pas défaitisme et réalisme Loras. Ta sœur est destinée à de plus grandes choses que devenir la Lady de Froide-Douve. J'apprécierai que tu ne lui en parles pas. Moins de personne sont au courant et moins de chance j'aurai de finir comme la risée d'Haujardin. Ce sont de toutes façon des pensées stupides. Cela passera. J'ai assez de ressources pour être la première araignée à retomber sur ses pattes !»
Ce genre de paroles ferait de lui un sujet de rire parmi les chevaliers du fief des Tyrell et Olenna Tyrell lui ferait peut-être même la morale sur ce genre d'informations qu'on ne devait dévoiler sous aucun prétexte. En soit, ce n'était pas un secret d'état mais si cela pouvait lui permettre d'éviter d'être le sujet de moqueries, il était preneur. Le fardeau que Loras portait lui sur ses épaules était bien plus lourd et dérangeant que le sien. Le fait que son amant soit noble ou pas ne changeait au final pas grand chose au fond du problème. Le Tyrell aimait la compagnie des hommes et ne pourrait lui non plus jamais réaliser son envie. Cela leur faisait un nouveau point commun. Le chevalier des fleurs et son acolyte l'arachnide n'étaient peut-être pas du même niveau au combat mais question « amours impossibles », ils faisaient en tout cas bien la paire ! Un jour, le cadet de la maison de la rose devrait prendre femme. Cela n'allait pas être une partie de plaisir mais il pourrait au moins conserver quelques amants à sa disposition, ce qui serait un moindre mal malgré le risque de se faire coincer.
« Un jour tu recevras peut-être des terres à moins que le mariage ne t'y amène. Alors tu pourras songer à le prendre à ton service. Le monde devient un peu plus simple, quand on est son propre seigneur Loras. D'ici là chérit ses pensées comme les biens les plus précieux que tu possèdes, mon ami.»
Que pouvait-il faire de plus pour lui ? Il l'avait déjà couvert, fais le guet pour lui. Il n'en parlait jamais à personne. D'une part pour préserver Loras mais également pour ne pas ternir l'honneur de la maison Tyrell. Il soupira en pensant à ce temps où il rentrerait chez lui. Hautjardin lui manquerait, comme tous ces gens qui étaient devenus comme une seconde famille. Cela finirait par arriver indubitablement mais cela pourrait être bénéfique en un sens. L'araignée se trouverait loin de Margaery et finirait sans doute par l'oublier plus vite. De plus, il pourrait courir la gueuse à Froide-Douve. Voir de nouvelles têtes lui changerait sans aucun doute les idées. Cela le guérirait-il ? Seul le temps permettrait de répondre à cette question. Continuant de boire un peu de vin, le jeune homme se coiffa d'une main adroite tout en reprenant la parole sur un ton un peu plus joyeux. Il valait mieux ne pas trop assombrir leurs pensées.
«Par la Jouvencelle, quand est ce que ton père se décidera à organiser une fête. Il y a trop longtemps que je n'ai plus bu et rigolé, ni même danser. Ce serait une bonne occasion de rencontrer une future épouse ha ha ha mais gare à toi si tu me la pique, Loras ! »
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