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Hello Cold World. ft. Boadicée
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Hello Cold World
I feel happy, I feel sad, I feel like running through the walls, I'm overjoyed, I'm undecided, I don't know who I am. Well maybe I'm not perfect, at least I'm working on it. It's such a cold, cold world and I can't get out, so I'll just make the best with everything I'll never have, it's such a cold, cold world and it's got me down, but I'll get right back up, as long as its spins around. Hello cold world.
Voilà quelque jours que l'aspic était à Goëville. Le Val d'Arryn semblait plutôt calme, l'on parlait partout du mariage du roi régent et de Sansa Stark, du monde passait par le Port du Val, mais Nymeria et son époux n'avaient guère été conviés, ce qui n'était pas un mal quand on y pensait.
Elle attendait son père avec l'impatience qui caractérisait les Martell, ou plus simplement... Son propre père. Père et fille étaient si similaire que cela en était parfois effrayant. Il semblerait que les deux aimaient se faire attendre, un autre défaut qui leur causait bien souvent du tort mais qu'ils ne parvenaient jamais à corriger, il fallait aussi dire qu'ils n'avaient jamais essayé de rectifier le tir.
Ce jour-ci, Nymeria avait décidé de confier la prunelle de ses yeux, son fils, Rhaeryn, au père de cet enfant. Rares étaient les fois où Nymeria laissait son fils, à se demander si les deux n'étaient pas collés, à se demander si le prêtre de Volantis avait vraiment coupé le cordon entre la mère et le fils. Mais cette fois-ci, elle avait confié son fils à Rhaegar, que son fils reste au chaud et au sec autant que possible. Elle avait enfilé tant de fourrure, elle détestait cela, les robes lui manquaient terriblement. Ces par-dessus en fourrure, elle s'en sentait moins féminine même si ceux-ci étaient très beaux et visiblement, si c'était ce que les femmes ici portaient, Nymeria n'était pas une Valoise, loin de là. Ses robes légères, colorées et quasi transparente lui manquaient. Dorne lui manquait.
Elle était sortie prendre l'air, espérant par la même occasion voir son père arriver. Elle ne savait pas réellement quand le mariage d'Elbert Arryn devait avoir lieu, juste qu'elle et son époux ne devaient pas s'approcher du lieu-dit durant cette période, ils avaient donc élus domicile à Goëville pour la lune 8 entière pour ne prendre aucun risque. En scrutant l'horizon, après quelque minutes, Nymeria avait l'impression d'apercevoir des silhouettes, mais elle ne parvenait pas à les déterminer avec exactitude. Nymeria les regardait juste au loin, avancer. La route était incontournable, avait-elle l'impression, pour quiconque désirait se rendre au Port, pourtant, ces personnes faisaient le sens inverse des personnes qu'elle avait croisée jusque là. Partaient-ils ? Le mariage avait-il déjà eu lieu ? Ou n'y allaient-ils tout simplement pas ?
Nymeria continuait à fixer l'horizon, si cela avait été son père, elle l'aurait reconnu derechef. Si cela avait été son père, il l'aurait reconnu et n'aurait pas gardé cette allure lente. Son père lui manquait, la dernière fois qu'ils s'étaient vus, elle avait un ventre énorme et peu fière allure sous ses traits de femme enceinte. Aujourd'hui, tout était différent.
Qui étaient ces personnes ? Elle ne voyait aucune bannière. En cas de danger, l'aspic avait garder ces lames, qu'elle cachait sous les fourrures de ses vêtements, à défaut de les cacher dans les plis de sa robe. Elle restait toujours au fond d'elle Nymeria Sand, l'aspic guerrière, elle n'était pas devenue une épouse mollassonne, une mère fade. A dire vrai, elle en venait à espérer un peu d'action avec ces personnes, elle en venait à s'imaginer de qui il pouvait s'agir et ce qu'ils pourraient faire si cela tournait mal. On l'avait prévenu sur les clans des montagnes, mais ils semblaient un peu trop loin de ces fameuses montagnes pour tomber sur eux. Nymeria avançait sur la route, toujours, ne ralentissant pas son rythme. S'éloigner un peu des autres lui permettait de souffler, être un peu seule faisait aussi du bien, elle n'en avait pas eu l'occasion depuis très longtemps.
Elle attendait son père avec l'impatience qui caractérisait les Martell, ou plus simplement... Son propre père. Père et fille étaient si similaire que cela en était parfois effrayant. Il semblerait que les deux aimaient se faire attendre, un autre défaut qui leur causait bien souvent du tort mais qu'ils ne parvenaient jamais à corriger, il fallait aussi dire qu'ils n'avaient jamais essayé de rectifier le tir.
Ce jour-ci, Nymeria avait décidé de confier la prunelle de ses yeux, son fils, Rhaeryn, au père de cet enfant. Rares étaient les fois où Nymeria laissait son fils, à se demander si les deux n'étaient pas collés, à se demander si le prêtre de Volantis avait vraiment coupé le cordon entre la mère et le fils. Mais cette fois-ci, elle avait confié son fils à Rhaegar, que son fils reste au chaud et au sec autant que possible. Elle avait enfilé tant de fourrure, elle détestait cela, les robes lui manquaient terriblement. Ces par-dessus en fourrure, elle s'en sentait moins féminine même si ceux-ci étaient très beaux et visiblement, si c'était ce que les femmes ici portaient, Nymeria n'était pas une Valoise, loin de là. Ses robes légères, colorées et quasi transparente lui manquaient. Dorne lui manquait.
Elle était sortie prendre l'air, espérant par la même occasion voir son père arriver. Elle ne savait pas réellement quand le mariage d'Elbert Arryn devait avoir lieu, juste qu'elle et son époux ne devaient pas s'approcher du lieu-dit durant cette période, ils avaient donc élus domicile à Goëville pour la lune 8 entière pour ne prendre aucun risque. En scrutant l'horizon, après quelque minutes, Nymeria avait l'impression d'apercevoir des silhouettes, mais elle ne parvenait pas à les déterminer avec exactitude. Nymeria les regardait juste au loin, avancer. La route était incontournable, avait-elle l'impression, pour quiconque désirait se rendre au Port, pourtant, ces personnes faisaient le sens inverse des personnes qu'elle avait croisée jusque là. Partaient-ils ? Le mariage avait-il déjà eu lieu ? Ou n'y allaient-ils tout simplement pas ?
Nymeria continuait à fixer l'horizon, si cela avait été son père, elle l'aurait reconnu derechef. Si cela avait été son père, il l'aurait reconnu et n'aurait pas gardé cette allure lente. Son père lui manquait, la dernière fois qu'ils s'étaient vus, elle avait un ventre énorme et peu fière allure sous ses traits de femme enceinte. Aujourd'hui, tout était différent.
Qui étaient ces personnes ? Elle ne voyait aucune bannière. En cas de danger, l'aspic avait garder ces lames, qu'elle cachait sous les fourrures de ses vêtements, à défaut de les cacher dans les plis de sa robe. Elle restait toujours au fond d'elle Nymeria Sand, l'aspic guerrière, elle n'était pas devenue une épouse mollassonne, une mère fade. A dire vrai, elle en venait à espérer un peu d'action avec ces personnes, elle en venait à s'imaginer de qui il pouvait s'agir et ce qu'ils pourraient faire si cela tournait mal. On l'avait prévenu sur les clans des montagnes, mais ils semblaient un peu trop loin de ces fameuses montagnes pour tomber sur eux. Nymeria avançait sur la route, toujours, ne ralentissant pas son rythme. S'éloigner un peu des autres lui permettait de souffler, être un peu seule faisait aussi du bien, elle n'en avait pas eu l'occasion depuis très longtemps.
Nymeria.
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Un peu de fraîcheur ! Hein ? Comment ça fraîcheur ? Et bien ! Oui ! J'avais enfin quitté ce tournoi avec un contrat ! Et un excellent ! Ulwyck Uller m'avait engagé en tant qu'escorte pour aller à Goéville. Il devait vouloir me ramener à Dorne ! Peut-être allais-je accepter. Peut-être. Ce chevalier était un bon compagnon de route et de couche ! Bah quoi ? C'est toujours agréable. Et en dehors du fait qu'il se plaigne parfois du froid je n'avais rien à dire. Nous avions été attaqué par des brigands. Les idiots. J'avais pus montrer mon habilité au combat rapproché ou à distance à Ulwyck. Tout comme Loki avait montré la puissance de ses mâchoires en se déchaînant sur mon ordre sur les bandits. Certains s'en étaient pissés dessus. Enfin, voir une énorme bestiole, de la taille d'un loup, même si elle commencer sérieusement à grossir, vous fondre dessus pour vous planter ses crocs dans le corps ou dans la gorge avant de repartir en étant couverte de sang : cela n'a rien de rassurant.
Enfin, bientôt ma mission toucherait à sa fin et je serais obliger de dire au revoir à ce chevalier fort sympathique et fort doué au lit. Ne me regardez pas comme ça ! Enfin il nous restait quelques kilomètres avant Goéville. Mais nous n’avancions pas très vite et il fut décider de s'arrêter à l'auberge avant la ville. Je n'écoutai même pas la raison. La logistique moi vous savez … Levant la tête vers le soleil je calculai grossièrement l'heure. Milieu d'après-midi. Au loin, près de l'auberge je vis une silhouette dressée. Étrange. Un guetteur pour prévenir l'aubergiste ? Étrange enfin … Il nous fallut une bonne heure pour arriver devant l'auberge. Ah non ! C'était une jeune femme, très belle, et sûrement de Dorne au vus de certaines ressemblance physique avec Ulwyck. Et riche, au vus de la qualité de ses fourrures. Personnellement je ne portais qu'une cape légère avec encore des manches courtes en-dessous. Elle était très belle cette femme. Je la suivis du regard au travers d'un rideau de cheveux roux où pendaient trois petites tresses. Je n'avais pas refais ma coiffure depuis longtemps. Enfin …
Je mis pieds à terre et remerciai d'un hochement de tête Ulwyck qui m'informa que j'allais avoir une chambre et non dormir dans des tas de foins. Si je pouvais loger au frais de la princesse je dis pas non ! J'attendis quelques instants avant de pouvoir rentrer Glinka et la panser avec soin. Elle en avait bien besoin. J'entendis soudain Loki se redressait et grognait alors que j'étais entrain de câliner Glinka après m'avoir lavé les mains. Oh ?! C'était la belle dame de toute à l'heure. D'un mot j'ordonnai à Loki de se coucher. Je fis une courbette
« Pardonnez ma chienne. Elle n'aime pas ne pas m'avertir de la présence des gens. Elle ne vous toucheras pas. Je suis Boadicée. »
Que dire d'autre ? SI la noble se fichait de moi elle partirait sinon elle poursuivrait la conversation. Je sentis Glinka posait son nez sur mon épaule et je lui caressais distraitement le chanfrein guettant la réaction de la noble
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Enfin, bientôt ma mission toucherait à sa fin et je serais obliger de dire au revoir à ce chevalier fort sympathique et fort doué au lit. Ne me regardez pas comme ça ! Enfin il nous restait quelques kilomètres avant Goéville. Mais nous n’avancions pas très vite et il fut décider de s'arrêter à l'auberge avant la ville. Je n'écoutai même pas la raison. La logistique moi vous savez … Levant la tête vers le soleil je calculai grossièrement l'heure. Milieu d'après-midi. Au loin, près de l'auberge je vis une silhouette dressée. Étrange. Un guetteur pour prévenir l'aubergiste ? Étrange enfin … Il nous fallut une bonne heure pour arriver devant l'auberge. Ah non ! C'était une jeune femme, très belle, et sûrement de Dorne au vus de certaines ressemblance physique avec Ulwyck. Et riche, au vus de la qualité de ses fourrures. Personnellement je ne portais qu'une cape légère avec encore des manches courtes en-dessous. Elle était très belle cette femme. Je la suivis du regard au travers d'un rideau de cheveux roux où pendaient trois petites tresses. Je n'avais pas refais ma coiffure depuis longtemps. Enfin …
Je mis pieds à terre et remerciai d'un hochement de tête Ulwyck qui m'informa que j'allais avoir une chambre et non dormir dans des tas de foins. Si je pouvais loger au frais de la princesse je dis pas non ! J'attendis quelques instants avant de pouvoir rentrer Glinka et la panser avec soin. Elle en avait bien besoin. J'entendis soudain Loki se redressait et grognait alors que j'étais entrain de câliner Glinka après m'avoir lavé les mains. Oh ?! C'était la belle dame de toute à l'heure. D'un mot j'ordonnai à Loki de se coucher. Je fis une courbette
« Pardonnez ma chienne. Elle n'aime pas ne pas m'avertir de la présence des gens. Elle ne vous toucheras pas. Je suis Boadicée. »
Que dire d'autre ? SI la noble se fichait de moi elle partirait sinon elle poursuivrait la conversation. Je sentis Glinka posait son nez sur mon épaule et je lui caressais distraitement le chanfrein guettant la réaction de la noble
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