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Fire cannot kill a dragon. ft. Aegon Targaryen
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Le feu ne peut pas tuer un dragon. Mais il peut caresser langoureusement sa peau jusqu'à ce que le dragon cède à ses charmes.
Peyredragon était agréable aux yeux de la prêtresse. Sombre, mais agréable et d'une architecture sans pareille. Les lieux étaient propices à l'enchantement selon elle et l'obscurité des lieux pouvait toujours être utile à instaurer le feu et la chaleur partout. Durant l'hiver qui s'annonçait, les lieux leur seraient utiles. L'hiver atteindrait plus difficilement Peyredragon que Port-Réal.
Son dragon, Balerion, n'avait de cesse de grandir. Il était assez grand pour faire cuir sa propre viande et serait bientôt assez grand pour manger la moitié d'un mouton à lui seul. Lorsque la mer était trop agité, on pouvait entendre ses cris à travers les lieux et cela avait quelque chose d'effrayant pour beaucoup. Balerion n'était pas stable, il n'était pas calme.
L'hiver arrivait et Melisandre devait enfin faire comprendre au seigneur de ces lieux ce qui viendrait avec l'hiver. Le danger, la nuit, la mort. Il devait l'entendre, il devait le comprendre. Melisandre avait un rôle à tenir sur Terre et c'était bien celui-ci.
Elle était partie rejoindre Aegon, enfin revenu de Port-Réal. Elle l'avait retrouvée et tenait à discuter avec lui, seul à seule. Elle n'avait guère confiance en l'entourage du jeune prince, pas plus qu'elle n'avait confiance au reste des êtres humains, ils avaient prouvés tous tour à tour qu'ils ne méritaient pas qu'on leur fasse confiance. Mais le jeune prince méritait qu'on lui accorde attention et respect, car Melisandre était sûre des bienfaits qu'il pouvait accomplir. Encore fallait-il qu'il soit à même de le comprendre.
Aux yeux de la prêtresse, il ne pouvait s'agir que d'un ou d'une Targaryen, qui pourrait préparer à la longue nuit les autres du peuple. Il n'y avait qu'un Targaryen pour protéger le reste du monde, avec le feu, la lumière. Même si elle n'avait guère confiance aux humains, son dieu lui demandait de faire en sorte que tous soient sauf et c'est bien ce qu'elle comptait faire. Melisandre avait regardé dans les flammes des jours et des nuits durant. Melisandre ne dormait pratiquement plus, ne mangeait pratiquement plus : elle n'en avait pas besoin.
Melisandre vivait ainsi grâce aux dons que lui avait accordé le maître de la lumière. Il existait, il était bien réel et il lui avait demandé de trouver le Prince qui fût promis, car il serait le seul apte à protéger de la longue nuit, autant de monde que possible. Elle devait y arriver. Elle devait convaincre Aegon de ce qui allait se passer. Le convaincre de joindre la bonne religion était fait. Il fallait désormais aller plus loin, mais le plus dur était derrière elle. Le plus dur avec ce jeune prince Aegon. S'il était prince et non pas roi, c'était un autre signe pour Melisandre, on disait Prince qui fût promis, non pas Roi qui fût promis. S'il était relayé au rang de prince, c'était un signe suffisant pour la prêtresse pour croire que le jeune homme était le bon. Viserys avait échoué mais elle ne s'était pas attendu à des miracles, il avait été son moyen de garder l'oeil sur la situation et sur les peuples, un moyen d'étendre son culte, un moyen de garder sa tête sur ses épaules. Il avait été le moyen de rester en vie et de regarder autour d'elle cet appel qu'elle avait entendu à la capitale, ce qui avait mené Stannis à sa perte lors du siège.
La prêtresse était convaincue, c'était un premier point. Et Aegon ?
" Mon prince. "
Elle s'inclinait respectueusement.
Son dragon, Balerion, n'avait de cesse de grandir. Il était assez grand pour faire cuir sa propre viande et serait bientôt assez grand pour manger la moitié d'un mouton à lui seul. Lorsque la mer était trop agité, on pouvait entendre ses cris à travers les lieux et cela avait quelque chose d'effrayant pour beaucoup. Balerion n'était pas stable, il n'était pas calme.
L'hiver arrivait et Melisandre devait enfin faire comprendre au seigneur de ces lieux ce qui viendrait avec l'hiver. Le danger, la nuit, la mort. Il devait l'entendre, il devait le comprendre. Melisandre avait un rôle à tenir sur Terre et c'était bien celui-ci.
Elle était partie rejoindre Aegon, enfin revenu de Port-Réal. Elle l'avait retrouvée et tenait à discuter avec lui, seul à seule. Elle n'avait guère confiance en l'entourage du jeune prince, pas plus qu'elle n'avait confiance au reste des êtres humains, ils avaient prouvés tous tour à tour qu'ils ne méritaient pas qu'on leur fasse confiance. Mais le jeune prince méritait qu'on lui accorde attention et respect, car Melisandre était sûre des bienfaits qu'il pouvait accomplir. Encore fallait-il qu'il soit à même de le comprendre.
Aux yeux de la prêtresse, il ne pouvait s'agir que d'un ou d'une Targaryen, qui pourrait préparer à la longue nuit les autres du peuple. Il n'y avait qu'un Targaryen pour protéger le reste du monde, avec le feu, la lumière. Même si elle n'avait guère confiance aux humains, son dieu lui demandait de faire en sorte que tous soient sauf et c'est bien ce qu'elle comptait faire. Melisandre avait regardé dans les flammes des jours et des nuits durant. Melisandre ne dormait pratiquement plus, ne mangeait pratiquement plus : elle n'en avait pas besoin.
Melisandre vivait ainsi grâce aux dons que lui avait accordé le maître de la lumière. Il existait, il était bien réel et il lui avait demandé de trouver le Prince qui fût promis, car il serait le seul apte à protéger de la longue nuit, autant de monde que possible. Elle devait y arriver. Elle devait convaincre Aegon de ce qui allait se passer. Le convaincre de joindre la bonne religion était fait. Il fallait désormais aller plus loin, mais le plus dur était derrière elle. Le plus dur avec ce jeune prince Aegon. S'il était prince et non pas roi, c'était un autre signe pour Melisandre, on disait Prince qui fût promis, non pas Roi qui fût promis. S'il était relayé au rang de prince, c'était un signe suffisant pour la prêtresse pour croire que le jeune homme était le bon. Viserys avait échoué mais elle ne s'était pas attendu à des miracles, il avait été son moyen de garder l'oeil sur la situation et sur les peuples, un moyen d'étendre son culte, un moyen de garder sa tête sur ses épaules. Il avait été le moyen de rester en vie et de regarder autour d'elle cet appel qu'elle avait entendu à la capitale, ce qui avait mené Stannis à sa perte lors du siège.
La prêtresse était convaincue, c'était un premier point. Et Aegon ?
" Mon prince. "
Elle s'inclinait respectueusement.
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