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Le prince et la princesse [PV Arianne]
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Il était encore très tôt le matin, mais pourtant, Gideon ne ressentait nul fatigue. La perspective de rencontrer enfin la beauté qu'était Arianne Martell l'enchantait, le stimulait, faisant de lui une boule de nerfs. Il n'était pas stressé, seulement impatient. Tant de vantardises et de louanges sur les qualités physiques et intellectuelles de sa promise... cela ne pouvait qu'être vrai. Il devait y avoir la vérité dans tout ça, car jamais Doran ne mentirait sur ce point. Il lui avait assuré, cependant, que ce ne serait sans doute pas facile de conquérir le cœur de sa fille et de lui faire accepter le mariage. De cela, Gideon n'en doutait point.
Le mariage, bon, elle n'aurait pas trop le choix. Mais l'amour qu'il pouvait lui procurer, et qu'il aimerait qu'elle lui rende...bon, c'était une toute autre affaire. Il n'avait pas la moindre idée de comment s'y prendre. Trois fois il avait prié le Père de l'eau de lui accorder la chance de pouvoir charmer la demoiselle, trois fois il en était ressorti persuadé qu'il échouerait. D'où lui venaient ces funestes sentiments ? Lui qui n'avait jamais eu autant de succès auprès des femmes que depuis sa majorité ? Il ne pouvait décemment pas être déjà épris d'une femme qu'il n'avait encore jamais vu.
Il rôda encore quelques temps dans les Jardins Aquatiques, torturé par ses sombres pensées. Arianne était normalement au courant qu'il lui avait donné rendez-vous ici, afin de pouvoir se rencontrer et parler. Elle était au courant du projet de son père, si ce dernier avait fait sa part du marché.
« Donc, désormais, soit vous acceptez, soit vous me fuyez. Evitez de me fuir, belle dame. » murmura-t-il pour lui-même.
Il s'intéressa une énième fois à tout ce qu'il pouvait voir dans les Jardins Aquatiques. C'était véritablement un endroit magnifique, voir l'un des plus beaux endroits du monde. Il avait vu pas mal de choses, durant sa courte vie, mais il avouait être époustouflé par ce qu'il découvrait ici. Les plantes, les arbres, l'air doux du matin, la légère brise qui faisait onduler ses cheveux, le ciel d'un bleu magnifique. Tout ici était magnifique. Dorne était une contrée superbe, regorgeant de merveilles. Il se retourna alors, avec l'intention de retourner se placer sur un banc près des fontaines.
Et alors il la vit, belle et... par les dieux, tous autant qu'ils étaient. Il s'avança d'un pas vif à sa rencontre, un sourire chaleureux aux lèvres. Arrivé à sa hauteur, il fit une révérence, ne manquant pas de fixer ses yeux des siens.
« Ma Dame, vous êtes encore plus ravissante que je n'aurais pu l'imaginer. Mais permettez-moi de me présenter comme il se doit. Gideon Antaryon, prince de Braavos. »
Il ne manqua pas, au milieu d'une nouvelle courbette, de parcourir du regard les formes de la femme en face de lui. Il sentit son cœur faire des bonds dans sa poitrine, chose déstabilisante au possible. Ce corps, ce visage... et ces yeux. Comment ne pas succomber à pareille beauté ? Pareille majesté ?
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Le prince et la princesse
Arianne n’avait su comment réagir face à la décision de son père, ou du moins sa proposition. Elle était libre, à prendre ou à laisser. Mais l’enjeu était plus grand que les dernières fois. L’homme n’était pas vieux, l’homme était jeune et son héritage était en jeu. Son père savait qu’elle savait. Comment ? Elle l’ignorait mais son comportement irréprochable ces dernières lunes avaient surement intrigué le prince de Dorne. La belle princesse avait donc presque réussi son pari, attirer l’attention de son père, lui prouver qu’elle était digne de régner sur leur région, qu’elle était digne d’être héritière. Mais désormais le prix pour l’assurer c’était d’épouser ce prince venu de Braavos. Sa région avait besoin d’alliance, de soutien avec le monde extérieur. Leur indépendance avait des conséquences et il fallait désormais affirmer son importance et ses alliances.
La discussion entre le prince régent et sa fille avait été légèrement houleuse et Arianne avait préféré réfléchir seule, à tête reposer et non sous le coup de la nouvelle. Et rapidement elle s’était aperçue qu’elle était à deux doigts de toucher ce dont elle rêvait depuis tant d’année. Affirmé sa position d’héritière avec sureté, ne pas laisser son frère lui voler son droit d’ainesse. Elle allait donc accepter la proposition de son père. Mais elle souhaitait rencontrer l’homme qu’elle devait épouser avant les fiançailles. Savoir à qui elle allait avoir à faire tout au long de sa vie si les dieux étaient cléments. Alors elle avait donné sa réponse à son père qui avait donc organisé une rencontre aux jardins aquatiques.
La princesse partit la veille au soir à cheval pour profiter de la fraîcheur de la nuit pour voyager. Elle était arrivée tard dans la soirée et avait donc peut dormit. Mais c’était le bruit clair de l’eau et des enfants commençant à jouer qui l’avait tiré du sommeil. Elle s’était donc levé et préparer à l’aide de sa servante qui l’aida à mettre une robe vaporeuse bleu et légèrement transparente, à la mode de Dorne. Ses longues boucles brunes furent légèrement disciplinées et elle mit quelques bijoux avant de sortir à la recherche d’un étranger dans ce palais qu’Arianne affectionnait tant depuis son enfance. En circulant dans les couloirs son regard ne cessait de regarder les bassins d’eau où des enfants jouaient insouciant en riant. Un vent doux matinal venait apporter un peu de fraîcheur dans la chaleur déjà bien présente.
Finalement ce fut l’accent qu’elle cherchait qui la trouva. Elle se tourna pour voir un homme ayant une noble allure. Au moins son père ne lui demandait pas d’épouser un homme laid, non ce braavien était plutôt belle homme. Des yeux verts, des cheveux bruns, le teint légèrement pâle mais qui s’habituerait surement bien vite au soleil brûlant de Dorne. Arianne fit donc une légère révérence élégante comme on lui avait enseigné il y a bien longtemps. Il se présenta en faisant une courbette. La princesse lui sourit charmeuse comme à son habitude.
« Je suis ravie de pouvoir vous rencontrer Prince Gideon. Mon père m’a fait beaucoup d’éloge à votre encontre. »
Maintenant que les présentations étaient faites, la jeune femme allait le tester doucement, savoir qu’il était et avoir un avis sur son futur fiancé.
« Marchons pour profiter des secrets que peuvent offrir les Jardins Aquatiques. Je ne m’en lasse guère et je ne doute que cela vous éblouira. N’êtes-vous pas trop dépaysé ? On dit que Braavos est une ville humide où l’on circule sur des canaux ? »
La discussion entre le prince régent et sa fille avait été légèrement houleuse et Arianne avait préféré réfléchir seule, à tête reposer et non sous le coup de la nouvelle. Et rapidement elle s’était aperçue qu’elle était à deux doigts de toucher ce dont elle rêvait depuis tant d’année. Affirmé sa position d’héritière avec sureté, ne pas laisser son frère lui voler son droit d’ainesse. Elle allait donc accepter la proposition de son père. Mais elle souhaitait rencontrer l’homme qu’elle devait épouser avant les fiançailles. Savoir à qui elle allait avoir à faire tout au long de sa vie si les dieux étaient cléments. Alors elle avait donné sa réponse à son père qui avait donc organisé une rencontre aux jardins aquatiques.
La princesse partit la veille au soir à cheval pour profiter de la fraîcheur de la nuit pour voyager. Elle était arrivée tard dans la soirée et avait donc peut dormit. Mais c’était le bruit clair de l’eau et des enfants commençant à jouer qui l’avait tiré du sommeil. Elle s’était donc levé et préparer à l’aide de sa servante qui l’aida à mettre une robe vaporeuse bleu et légèrement transparente, à la mode de Dorne. Ses longues boucles brunes furent légèrement disciplinées et elle mit quelques bijoux avant de sortir à la recherche d’un étranger dans ce palais qu’Arianne affectionnait tant depuis son enfance. En circulant dans les couloirs son regard ne cessait de regarder les bassins d’eau où des enfants jouaient insouciant en riant. Un vent doux matinal venait apporter un peu de fraîcheur dans la chaleur déjà bien présente.
Finalement ce fut l’accent qu’elle cherchait qui la trouva. Elle se tourna pour voir un homme ayant une noble allure. Au moins son père ne lui demandait pas d’épouser un homme laid, non ce braavien était plutôt belle homme. Des yeux verts, des cheveux bruns, le teint légèrement pâle mais qui s’habituerait surement bien vite au soleil brûlant de Dorne. Arianne fit donc une légère révérence élégante comme on lui avait enseigné il y a bien longtemps. Il se présenta en faisant une courbette. La princesse lui sourit charmeuse comme à son habitude.
« Je suis ravie de pouvoir vous rencontrer Prince Gideon. Mon père m’a fait beaucoup d’éloge à votre encontre. »
Maintenant que les présentations étaient faites, la jeune femme allait le tester doucement, savoir qu’il était et avoir un avis sur son futur fiancé.
« Marchons pour profiter des secrets que peuvent offrir les Jardins Aquatiques. Je ne m’en lasse guère et je ne doute que cela vous éblouira. N’êtes-vous pas trop dépaysé ? On dit que Braavos est une ville humide où l’on circule sur des canaux ? »
AVENGEDINCHAINS
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Charmé par la beauté stupéfiante d'Arianne Martell, Gideon se sentit redevenir un adolescent qui découvre la beauté des femmes et leurs atours pour le moins excitant. Certes, il ne doutait pas qu'Arianne le trouverait lui-même séduisant, mais ce n'était rien comparé à ce qu'il ressentait lui-même. En croisant son regard, en admirant l'éclat de sa peau, la magnificence de son visage et le sublime contour de ses formes, il sut que jamais il ne désirerait une autre femme avec autant d'ardeur. Il était amoureux, dès le premier regard. Il n'aimerait personne d'autre, il le savait. Comme un poing du destin enserrant son cœur, il sut dès cet instant que jamais il ne pourrait aimer une autre femme. Arianne Martell était son destin, ou rien du tout.
Il prit son bras dans le sien, et ils se mirent à marcher doucement dans les Jardins Aquatiques. Gideon profita de ce court instant de silence pour se remettre de ses émotions. Il était à peu près persuadé qu'Arianne sentirait son émoi, s'il le montrait trop, et même pire : qu'elle saurait immédiatement ce qu'il pensait d'elle, et n'hésiterait pas à en jouer. Cela dit... cela ne le décevrait pas beaucoup.
« J'ose espérer que le seigneur votre père ne vous a pas tout dit à mon sujet. Qu'il me reste quelques secrets à garder, et d'autres à vous confesser. »
Dorne changeait radicalement de Braavos, oui. Mais il s'y plaisait beaucoup. Le soleil tapait plus fort, les gens étaient différents, la nourriture et leurs mœurs également. Mais il s'y sentait bien. Pas encore chez lui, mais cela viendrait probablement un jour.
« Braavos est gigantesque, et oui, on peut s'y déplacer sur les canaux. Toutes sortes d'individus s'y croisent, se rencontrent, communiquent, s'ignorent, se trompent, se battent. C'est l'endroit le plus cosmopolite de ce monde, et pourtant il garde un charme propre à la cité. Braavos n'est pareille à nulle autre, et ce n'est pas seulement grâce au Titan qui nous protège, à la multitude de religions présentes officiellement ou non, à la masse d'individus de toutes origines qui s'y pressent. C'est avant tout car les Braavosi, qu'ils soient d'origine ou non, ont un sens aiguë de la survie. Il en faut, pour résister aux dangers d'une cité si dangereuse. »
Ils passèrent devant une fontaine. Cela arracha une pensée pour la religion à laquelle se rattachait Gideon.
« Mais Dorne... est loin d'être sûre. Le danger y est invisible, beaucoup moins présent dans l'atmosphère. Vos mœurs et vos coutumes font de vous des gens civilisés, agréables, fêtards, joyeux, mais prompts à la rancune et lents à pardonner. Néanmoins, vous êtes fidèles. Vous vous accrochez à vos demeures, à vos traditions, à ce qui fait de vous des Dorniens avant d'être des Westriens. Je m'y plais beaucoup, et si je suis évidemment dépaysé, j'en apprécie déjà toutes les saveurs. »
Il lui adressa un sourire chaleureux, avant de tourner, avec elle, à un coin des Jardins. Ils étaient grands, mais le Braavosi ne doutait pas qu'Arianne l'arrêterait s'ils tombaient sur un des fameux secrets dont elle avait parlé.
« Et vous, ma belle Dame ? Connaissez-vous Braavos ? Et le vaste monde ? »
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Le prince et la princesse
L’homme était charmeur, Arianne ne pouvait dire le contraire. Ils se mirent à marcher tranquille dans la palais des Jardins Aquatiques, profitant de l’ombre porteuse de fraîcheur avec une petite brise fort agréable qui venait de temps à autre faire virevolter les mèches rebelles de la sombre chevelure de la princesse. Elle eut un faible sourire face à l’air mystérieux de Gideon et elle devait avouer que cela l’intriguait et lui plaisait à la foi, il savait donc vraisemblablement parler à la gente féminine et avoir pas mal de succès. Bel homme, beau parleur, charmeur, son père avait bien choisit pour le coup, et cela confirmait à Arianne qu’elle devait accepter afin de récupérer son héritage. Doran ne s’était pas moquer d’elle comme les fois précédente et la fougueuse princesse accepterait de bonne foi. On ne pouvait après tout par dire non à un homme séduisant.
« Je l’espère aussi, sinon notre première entrevue serait bien ennuyeuse. Je pense que mon père ne m’a dit que le strict nécessaire pour attiser ma curiosité et éviter un refus catégorique de ma part. »
Arianne jouait la carte de la franchise. Elle ne voulait pas lui laisser l’illusion qu’elle serait facile à séduire et qu’il était bien le premier parti qu’elle acceptait de rencontrer. Il devait donc être prudent et tout faire pour éviter un refus de la part de la jeune femme, bien que pour le moment tout penchait vers l’acceptation de ces fiançailles entre le fils du Seigneur de la Mer et le Soleil de Dorne. Gideon lui décrivit Braavos, et ses mœurs diverses et variés. Une ville qui devait être riche de connaissance, et de curiosité à découvrir. Arianne n’était jamais sortie de Dorne et cela ne l’a dérangeait nullement à vrai dire, mais peut-être qu’un jour elle pourrait aller à Braavos en sa compagnie et découvrir cette ville visiblement assez dangereuse.
« Alors vous n’aurez aucun mal à survivre à Dorne et ses dangers. Il est vrai que le danger est subtil et imprévisible. En particulier les femmes, ne vous fier pas aux dorniennes messire. Nous sommes redoutables et cachons bien des lames ou des poisons sur nous. Mais je vous ferais découvrir tous les secrets de Dorne afin que vous puissiez au mieux les affronter. Et vous sentir plus dornien… »
La fin de la phrase d’Arianne était pleine de sous-entendu. Les fiançailles et le mariage. Il serait dornien et prince de Dorne. Le peuple devrait l’accepter et il devrait se comporter en dornien pour bien s’intégrer. Même si les étrangers étaient toujours les bienvenus, ceux voulant restait dans la région devait vivre comme un dornien afin que tout ce passe pour le mieux. Sinon il était victime de la fourberie dornienne et se faisait avoir rapidement. Heureusement le Antaryon serait bien préparer à tout affronter, il aurait la princesse héritière de Dorne à ses côtés et elle le guiderait pas à pas. Elle tourna son visage vers celui du braavien afin de répondre à sa question.
« Je n’ai malheureusement jamais eu ce plaisir. Le monde extérieur m’est inconnu, j’ai entendu maints et maints récits de mes cousines et de mon oncle, Oberyn que vous devez connaître sous le nom de Vipère Rouge. Mais peut-être me feriez-vous découvrir votre cité plus tard ? »
« Je l’espère aussi, sinon notre première entrevue serait bien ennuyeuse. Je pense que mon père ne m’a dit que le strict nécessaire pour attiser ma curiosité et éviter un refus catégorique de ma part. »
Arianne jouait la carte de la franchise. Elle ne voulait pas lui laisser l’illusion qu’elle serait facile à séduire et qu’il était bien le premier parti qu’elle acceptait de rencontrer. Il devait donc être prudent et tout faire pour éviter un refus de la part de la jeune femme, bien que pour le moment tout penchait vers l’acceptation de ces fiançailles entre le fils du Seigneur de la Mer et le Soleil de Dorne. Gideon lui décrivit Braavos, et ses mœurs diverses et variés. Une ville qui devait être riche de connaissance, et de curiosité à découvrir. Arianne n’était jamais sortie de Dorne et cela ne l’a dérangeait nullement à vrai dire, mais peut-être qu’un jour elle pourrait aller à Braavos en sa compagnie et découvrir cette ville visiblement assez dangereuse.
« Alors vous n’aurez aucun mal à survivre à Dorne et ses dangers. Il est vrai que le danger est subtil et imprévisible. En particulier les femmes, ne vous fier pas aux dorniennes messire. Nous sommes redoutables et cachons bien des lames ou des poisons sur nous. Mais je vous ferais découvrir tous les secrets de Dorne afin que vous puissiez au mieux les affronter. Et vous sentir plus dornien… »
La fin de la phrase d’Arianne était pleine de sous-entendu. Les fiançailles et le mariage. Il serait dornien et prince de Dorne. Le peuple devrait l’accepter et il devrait se comporter en dornien pour bien s’intégrer. Même si les étrangers étaient toujours les bienvenus, ceux voulant restait dans la région devait vivre comme un dornien afin que tout ce passe pour le mieux. Sinon il était victime de la fourberie dornienne et se faisait avoir rapidement. Heureusement le Antaryon serait bien préparer à tout affronter, il aurait la princesse héritière de Dorne à ses côtés et elle le guiderait pas à pas. Elle tourna son visage vers celui du braavien afin de répondre à sa question.
« Je n’ai malheureusement jamais eu ce plaisir. Le monde extérieur m’est inconnu, j’ai entendu maints et maints récits de mes cousines et de mon oncle, Oberyn que vous devez connaître sous le nom de Vipère Rouge. Mais peut-être me feriez-vous découvrir votre cité plus tard ? »
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