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J'entend le son de la mort, le soir, au fond des bois. [FB] Elyana et Guyard
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Le midi allait sonner sur Nid-de-Corbeaux, Ser Rodrick l'accompagnait vers les écuries.
- D'après nos paysans, les bandits devraient se trouver dans la forêt, vers le nord de la vielle scierie. De là, ils attaquent les convois commerciaux et les fermes isolées. Une putain de vraie plaie. Lord Morrigen veux les voir pendus hauts et cours avant demain. Ils sont cinq ou six, ça ira, j'te dit.
Guyard ne répondit pas tout de suite. Son seigneur de père venait de lui confié sa première mission de chevalier. Plus exactement, venait de confier à un autre chevalier le commandement d'une mission, et voulait que son fils en fasse partie pour "apprendre à se battre dans les règles de l'art".
Rodrick lui tapa sur l'épaule de sa grosse patte d'ours.
- Tu t’inquiètes trop Guyard, Ser Orys est à même de les massacrer tout seul. Et vous serez dix pour les buter comme il se doit !
Le jeune Morrigen secoua la tête.
- Je n'ai pas peur. Ce sont les informations des paysans... Elles étaient contradictoires. Certains parlaient d'une dizaine de coupe-gorges, et bien équipés. Ce ne sont pas de simples bandits.
Rodrick émis un bruit à mi-chemin entre le rot et le grognement. L'homme avait beaucoup de qualités. Mais la politesse n'était pas de celle-ci. Sans être bas du front, c'était surtout une brute joviale et efficace, qui savait se battre et comment se battre. En plus de pouvoir supporter le Corbeau de Sang ; ce n'était pas une épreuve à la portée de n'importe qui.
- Pffah, j'te dis que vous en ferez qu'une bouchée.
- Richard était d'accord avec moi. Même Lester et notre Mestre ont relevé la chose.
Rodrick leva les yeux aux ciel en soupirant. Le conseil de la matinée n'aurait dû être selon lui qu'une formalité : un aller simple pour réduire à rien une poche de criminels. Et il a fallu que les trois fils du Seigneur eut osé mettre en doute le jugement de leurs suzerain et père. Même Fen, le Mestre, son plus proche conseillé, était de leurs côté. Lord Morrigen, comme son surnom le laissait penser, avait vu rouge.
- Lorsque Lord Morrigen ordonne, on obéit. Point. Vous irez. Vous serez assez. Et vous aller leurs botter le cul avant de les passer par l'épée. Point !
Le jeune homme se relevait péniblement. Du sang venait de couler, beaucoup de sang. L'humus de la forêt en était imprégné. Il avança, se tenant le bas ventre. Son armure avait pris une teinte rouge à cet endroit. Son casque était en partie défoncée au niveau de la tempe, et sa vision avait pris une teinte pourpre du côté gauche. D'autres tâches sanglantes parsemait son armure et son épée. Celui d'autres personnes, autant amis qu'ennemis.
Il chercha son arme, et se rendit compte qu'il la serrait encore dans son poing. Combien de temps était-il resté évanouie ?
Un pas. Il buta contre un corps en cotte de maille et s'effondra en grognant de douleur. Il se tira avec un bras. Sa tête lui tournait. L'odeur de l'hémoglobine lui faisait une atroce migraine. A moins que ce soit le manque de sang, ou ce coup qui lui lançait le crâne. Il utilisa son arme comme canne de fortune, se releva après de pénibles efforts. Il resta plié en deux, comme un vieillard et avança, cherchant sa monture du regard.
Ils fonçaient sur la route boueuse sous la pluie battante. La scierie n'était qu'à quelque heures de cheval. Ser Orys imposait à tous une allure d'enfer malgré le temps. Remonté comme il était par Lord Morrigen, il ne pouvait en être autrement. Faire cela vite et bien. Mais surtout vite. Le groupe bifurqua dans la forêt après avoir patauger sur la grande route. Ce fut un miracle qu'aucun cheval ne se cassa une cheville, tout ce temps.
Malgré son envie d'en découdre, Ser Orys fit ralentir le groupe. Lui aussi, était une brute efficace. Lord Morrigen n'en demandait pas moins à ses chevaliers. Une fois dépassé le bâtiment, le sous-bois se fit tellement resserrer qu'il ne fut plus possible de continuer à cheval. Pour Guyard, c'était un lieu idéal pour éviter une charge des chevaliers qui assuraient l'ordre dans les terres de l'Orage.
Le chevalier fit faire une halte à son groupe. Par signe, il amena tout le monde à mettre pied à terre. Ici, ils étaient largement à l'abri de la pluie, et donc, plus facilement repérable par le bruit.
Ser Orys s'adressa a eux sans élevé la voix, mais son expression dure démentait le calme apparent de ses propos :
- Nous sommes plus très loin à présent. On va continuer à pied, et leurs tomber dessus à bras raccourcis. Toi, toi et toi, vous allez passer par là. Je vous donne une minute d'avance pour les prendre à revers, vous connaissez le signe quand vous serez prêt. Nous autres, nous allons leurs foncés dessus, directement.
Guyard auraient voulu dire : et on ne s'assure pas qu'ils soient bien là où on les attend, et de leurs nombre ? A peine a-t'il fait mine de vouloir parler que Ser Orys coupa court d'un geste brusque.
- Vous savez ce que vous avez à faire. "Ser" Guyard, tu me suis de près.
Ce "ser" un peu trop appuyé avait le don de l'énerver. Il se retint, et se contenta de mettre son casque, afin que Ser Orys ne puissent pas prendre pour une insulte les éclairs que le jeune Morrigen lui lançait par le regard.
Les trois vétérans hochèrent la tête et partirent sans un mot dans le sous-bois. Une minute passa. Le signe en question retenti trois fois. Les hommes dégainèrent les armes, et avancèrent en silence vers le lieu supposé de la villégiature de cette lie d'humanité.
Il ne souvenait plus de comment il avait réussit à rejoindre son cheval. Mais il n'avait pas pu y monter. Il voyait les sabots de Tonnerre de beaucoup trop près, à présent. Sa blessure au flanc droit n'était pas si profonde bien qu'assez large. C'était l'hémorragie inhérente à celle-ci qui le laissait ainsi à humer les racines des conifères.
Il sentait la douleur tambouriner encore sa tempe, et l'acide lactique lui laissait la gorge sèche et la musculature rêche. Il avait soif.
Sa main appuyait sur son flanc -tiens, il avait perdue son épée ?-, un geste instinctif pour s’empêcher de se vider comme une outre percée.
Il avait tout le temps de penser à cette merveilleuse journée.
L'orage s'était arrêté, et de mince rayons de lumière filtraient à travers la canopée. Peut-être était-ce son imagination, mais il entendait le chant des oiseaux et une brise légère soufflait doucement, apportant avec elle l'odeur ambré des pins, et un peu de fraîcheur sur la sueur qui le baignait.
Son regard se posa sur son arme, étendue tout comme lui sur le sol de la forêt. Hors de portée de bras. Et plus la force de lever ne serait ce que le petit doigt.
Le calme se fit dans sa tête.
C'était vraiment une magnifique journée.
- D'après nos paysans, les bandits devraient se trouver dans la forêt, vers le nord de la vielle scierie. De là, ils attaquent les convois commerciaux et les fermes isolées. Une putain de vraie plaie. Lord Morrigen veux les voir pendus hauts et cours avant demain. Ils sont cinq ou six, ça ira, j'te dit.
Guyard ne répondit pas tout de suite. Son seigneur de père venait de lui confié sa première mission de chevalier. Plus exactement, venait de confier à un autre chevalier le commandement d'une mission, et voulait que son fils en fasse partie pour "apprendre à se battre dans les règles de l'art".
Rodrick lui tapa sur l'épaule de sa grosse patte d'ours.
- Tu t’inquiètes trop Guyard, Ser Orys est à même de les massacrer tout seul. Et vous serez dix pour les buter comme il se doit !
Le jeune Morrigen secoua la tête.
- Je n'ai pas peur. Ce sont les informations des paysans... Elles étaient contradictoires. Certains parlaient d'une dizaine de coupe-gorges, et bien équipés. Ce ne sont pas de simples bandits.
Rodrick émis un bruit à mi-chemin entre le rot et le grognement. L'homme avait beaucoup de qualités. Mais la politesse n'était pas de celle-ci. Sans être bas du front, c'était surtout une brute joviale et efficace, qui savait se battre et comment se battre. En plus de pouvoir supporter le Corbeau de Sang ; ce n'était pas une épreuve à la portée de n'importe qui.
- Pffah, j'te dis que vous en ferez qu'une bouchée.
- Richard était d'accord avec moi. Même Lester et notre Mestre ont relevé la chose.
Rodrick leva les yeux aux ciel en soupirant. Le conseil de la matinée n'aurait dû être selon lui qu'une formalité : un aller simple pour réduire à rien une poche de criminels. Et il a fallu que les trois fils du Seigneur eut osé mettre en doute le jugement de leurs suzerain et père. Même Fen, le Mestre, son plus proche conseillé, était de leurs côté. Lord Morrigen, comme son surnom le laissait penser, avait vu rouge.
- Lorsque Lord Morrigen ordonne, on obéit. Point. Vous irez. Vous serez assez. Et vous aller leurs botter le cul avant de les passer par l'épée. Point !
Le jeune homme se relevait péniblement. Du sang venait de couler, beaucoup de sang. L'humus de la forêt en était imprégné. Il avança, se tenant le bas ventre. Son armure avait pris une teinte rouge à cet endroit. Son casque était en partie défoncée au niveau de la tempe, et sa vision avait pris une teinte pourpre du côté gauche. D'autres tâches sanglantes parsemait son armure et son épée. Celui d'autres personnes, autant amis qu'ennemis.
Il chercha son arme, et se rendit compte qu'il la serrait encore dans son poing. Combien de temps était-il resté évanouie ?
Un pas. Il buta contre un corps en cotte de maille et s'effondra en grognant de douleur. Il se tira avec un bras. Sa tête lui tournait. L'odeur de l'hémoglobine lui faisait une atroce migraine. A moins que ce soit le manque de sang, ou ce coup qui lui lançait le crâne. Il utilisa son arme comme canne de fortune, se releva après de pénibles efforts. Il resta plié en deux, comme un vieillard et avança, cherchant sa monture du regard.
Ils fonçaient sur la route boueuse sous la pluie battante. La scierie n'était qu'à quelque heures de cheval. Ser Orys imposait à tous une allure d'enfer malgré le temps. Remonté comme il était par Lord Morrigen, il ne pouvait en être autrement. Faire cela vite et bien. Mais surtout vite. Le groupe bifurqua dans la forêt après avoir patauger sur la grande route. Ce fut un miracle qu'aucun cheval ne se cassa une cheville, tout ce temps.
Malgré son envie d'en découdre, Ser Orys fit ralentir le groupe. Lui aussi, était une brute efficace. Lord Morrigen n'en demandait pas moins à ses chevaliers. Une fois dépassé le bâtiment, le sous-bois se fit tellement resserrer qu'il ne fut plus possible de continuer à cheval. Pour Guyard, c'était un lieu idéal pour éviter une charge des chevaliers qui assuraient l'ordre dans les terres de l'Orage.
Le chevalier fit faire une halte à son groupe. Par signe, il amena tout le monde à mettre pied à terre. Ici, ils étaient largement à l'abri de la pluie, et donc, plus facilement repérable par le bruit.
Ser Orys s'adressa a eux sans élevé la voix, mais son expression dure démentait le calme apparent de ses propos :
- Nous sommes plus très loin à présent. On va continuer à pied, et leurs tomber dessus à bras raccourcis. Toi, toi et toi, vous allez passer par là. Je vous donne une minute d'avance pour les prendre à revers, vous connaissez le signe quand vous serez prêt. Nous autres, nous allons leurs foncés dessus, directement.
Guyard auraient voulu dire : et on ne s'assure pas qu'ils soient bien là où on les attend, et de leurs nombre ? A peine a-t'il fait mine de vouloir parler que Ser Orys coupa court d'un geste brusque.
- Vous savez ce que vous avez à faire. "Ser" Guyard, tu me suis de près.
Ce "ser" un peu trop appuyé avait le don de l'énerver. Il se retint, et se contenta de mettre son casque, afin que Ser Orys ne puissent pas prendre pour une insulte les éclairs que le jeune Morrigen lui lançait par le regard.
Les trois vétérans hochèrent la tête et partirent sans un mot dans le sous-bois. Une minute passa. Le signe en question retenti trois fois. Les hommes dégainèrent les armes, et avancèrent en silence vers le lieu supposé de la villégiature de cette lie d'humanité.
Il ne souvenait plus de comment il avait réussit à rejoindre son cheval. Mais il n'avait pas pu y monter. Il voyait les sabots de Tonnerre de beaucoup trop près, à présent. Sa blessure au flanc droit n'était pas si profonde bien qu'assez large. C'était l'hémorragie inhérente à celle-ci qui le laissait ainsi à humer les racines des conifères.
Il sentait la douleur tambouriner encore sa tempe, et l'acide lactique lui laissait la gorge sèche et la musculature rêche. Il avait soif.
Sa main appuyait sur son flanc -tiens, il avait perdue son épée ?-, un geste instinctif pour s’empêcher de se vider comme une outre percée.
Il avait tout le temps de penser à cette merveilleuse journée.
L'orage s'était arrêté, et de mince rayons de lumière filtraient à travers la canopée. Peut-être était-ce son imagination, mais il entendait le chant des oiseaux et une brise légère soufflait doucement, apportant avec elle l'odeur ambré des pins, et un peu de fraîcheur sur la sueur qui le baignait.
Son regard se posa sur son arme, étendue tout comme lui sur le sol de la forêt. Hors de portée de bras. Et plus la force de lever ne serait ce que le petit doigt.
Le calme se fit dans sa tête.
C'était vraiment une magnifique journée.
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Guyard ♦Elyana
Une soigneuse du Nord
E
lyana était assise dans cette vaste forêt seule sur une tronc tombé, son amie qui était parti chercher à manger et des chevaux lui avait demandée de rester sagement ici ne sachant pas si c'était risqué pour une femme comme Elyana et qui ne savait pas se battre d'aller dans un village qu'elles ne connaissaient pas. L'orage était un endroit étonnant et magnifique, ca faisait seulement quelques semaines qu'elles étaient arrivées pour aider un village qui étaient tous tombé malade en même temps et une fois sa mission réussi la jeune femme avait voulu rester sans vraiment savoir pourquoi mais le Nord ne lui manquait pas ca c'était sur et pour le moment la seule chose qu'elle avait envie de faire c'était de marcher dans cette forêt pour y découvrir pleins de merveilles et des nouvelles plantes mais si jamais elle n’obéissait pas aux ordres la soigneuse savait très bien que son amie allait la réprimander encore une fois. Le chant des oiseaux, la douce brise qui touchait sa peau si blanche et l'odeur du bois lui donnait le sourire, tout ce qu'elle aimait au monde était réuni dans cette magnifique forêt elle n'avait donc pas à se plaindre. Malheureusement la paix à Westeros était un mot que peu de gens connaissaient et au moment ou des cris se firent entendre, l'acier contre l'acier et des chevaux qui gémissaient la jeune femme se leva d'un coup sachant qu'ils étaient assez loin et qu'ils ne la verraient donc pas mais Elyana réfléchissait en silence, elle ne savait pas du tout se battre et encore moins tenir une lame tranchante alors que pourrait elle faire là bas? Essayant de tendre l'oreille elle n'entendit plus le bruit du combat au bout d'un certain temps se demandant si ils étaient tous parti ou si tout le monde étaient mort, attrapant son sac rempli d'herbe médicinal la jeune femme couru jusqu'à l'endroit d’où les bruits étaient venu un peu plus tôt, le sol était tout retourné mais il n'y avait aucun signe de quelqu'un qui serait vivant ou même blessé, s'arrêtant de temps en temps quand elle voyait un cadavre la jeune femme allait repartir quand elle entendit un léger souffle, tellement léger que si elle n'avait pas fait attention jamais la soigneuse n'aurait put l'entendre. Se retournant doucement la jeune femme avança d'un pas léger jusqu'à un homme qui était allongé sur le sol les yeux fermés. Un Cheval était debout juste à côté de cet homme et elle savait qu'il n'était pas un sauvageon mais plutôt un homme de l'orage, le laisser là était impossible pour la soigneuse qui avait un grand coeur mais le porter jusqu'à un endroit moins dangereux allait être tout autant difficile étant donné qu'elle n'avait aucune force. Observant le cheval et s'approchant doucement de lui la jeune femme posa délicatement sa main sur son encolure lui chuchotant des paroles apaisante et se mit en tête de fabriquer un brancard pour arriver à l'évacuer de cet endroit qui sentait la mort, quelqu'un pourrait revenir à tout moment et il fallait mieux partir de suite. Attachant avec un peu de peine sa si belle cape rouge à deux morceau de bois assez grand pour supporter le poids du souffrant, la jeune femme l'accrocha au cheval puis avec le peu de force qu'elle avait tira le blessé jusque sur sa cape n'oubliant pas de prendre au passage la lame qui était à ses côtés. Tout ça allait être parfait étant donné qu'elle ne comptait pas faire un long voyage ca c'était sur. Alors qu'elle conduisait le cheval pour éviter que le jeune homme ne passe sur des roches la jeune femme s'arrêta à l'endroit ou elle n'aurait pas dut bouger et détacha l'homme du cheval pour l'observer. Il n'y avait aucune blessure mortel ca c'était sur mais il allait falloir enlever tout ce tissu pour examiner un peu plus et laissant ses doigts faire le travail la jeune femme en profita légèrement pour observer le torse musclé du souffrant. Après tout les yeux étaient fait pour ça et elle ne se cachait jamais de profiter des bonnes choses, son regard s'arrêta sur la plaie qui n'était pas très profonde mais saignait beaucoup, si jamais elle n'arrêtait pas ça il allait se vider de son sang petit à petit, farfouillant dans son sac la jeune femme en sortit un petit flacon avec à l'interieur une herbe très rare mais qui pouvait arrêter tout le sang du monde, la broyant délicatement dans ses mains la jeune femme l'applique doucement sur la plaie essayant de ne pas trop lui faire de mal et prenant sa gourde la jeune femme versa doucement de l'eau sur les feuilles, n'ayant pas grand chose sur elle la jeune femme ne pouvait pas faire grand chose de plus. Attrapant une feuille assez odorante qui pouvait ramener n'importe qui à la réalité elle la passa sous le nez du guerrier qui se réveilla d'un coup. Elyana laissa un jolie sourire apparaitre sur son visage pour essayer de lui montrer qu'elle n'était pas un danger bien au contraire et avant qu'il puisse dire quoi que ce soit sur le fait qu'il était torse nu avec une inconnue elle l'aida tout simplement à relever la tête pour l'aider à
boire.
"Vous ne craigniez rien ici."
Ce qui en soit était faux étant donné qu'ils étaient dans la même forêt que là ou il c'était fait attaquer et qu'elle ne savait pas du tout se battre mais remonter le moral des gens qui étaient blessés c'est ce qu'elle savait faire de mieux après soigner bien entendu, déchirant le bas de sa robe la jeune femme mouilla le tissu pour le déposer sur les herbes qu'elle venait de poser sur la plaie du jeune homme et replongeant son regard dans le sien elle laissa un autre sourire apparaitre sur son visage.
"Je m'appelle Elyana je suis une soigneuse de Westeros et je me suis permise de m'occuper de cette plaie. J'espère que... ca ne vous dérange pas!"
GleekOut!
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