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À l'ombre du dragon [Elbert Arryn/Daenerys Targaryen]
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À l'Ombre du Dragon
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Triste jour que celui-ci, Daenerys n'avait d'ailleurs pas beaucoup dormit en sachant le départ prévu pour demain. Un énième retour à Peyredragon afin d'éviter d'afficher les foudres de son aîné, Viserys. Tournée contre les rayons de soleils des vitres, on l'habillais déjà malgré sa détresse affichée.. Elle restait silencieuse et n'accordais que peu d'importance au vent chaud soufflant contre sa poitrine. Elle leva les bras, se tourna et redressa machinalement la tête. Tout ceci se déroula dans un silence inquiétant, trop peut être. L'une de ses suivantes toussa, faisant en cela le petit événement de la journée car il faut bien avouer que personne ,n'aurait à coeur de lui parler.. Après tout, qui aurait pu imaginer ces murs sans sa divine petite présence ? Si le doute avait été permis, aucun ne se serait risquer à braver l'interdit. La place de Daenerys n'était pas ici, selon les plus grands.
Elle était loin de la capitale, cacher, car après tout, elle n'avait rien, si cela n'était un nom et quelques beau raisonnement sur le monde. Bien futile pour être pleinement reconnue dans ce monde. C'était sans doute lier au phrasé de Rhaella qui disait souvent à sa petite fille que les larmes abîmes et creuse le visages pour nous punir de notre chagrin abondant. Pas de faiblesse donc, c'était interdit en public. Daenerys prenait souvent les mots de sa mère pour des réalités aux risques de ne parfois pas totalement en comprendre la vérité sur les règles de la duperie..
Daenerys gagna la salle du trône, parer de ses couleurs et attendant prude, l'heure du départ. Elle croisa les mains, baissa la tête et attendit .. Un petit fracas vers l'entrée et la princesse se redressa sur Lymon, son mestre ( Sans doute venu témoigner sa fierté pour une énième fois qu'il la voyait si rapidement quitter la capitale.) Ce dernier en profita d'ailleurs pour lui rendre quelques ouvrages d'astronomie..
« Encore un bien triste jour que de vous quitter ma lady, profiter bien de ses lectures, je sais combien elle vous seront précieuses.. »
L'heure fatidique approchait et Lymon quitta la pièce précédent un hommage respectueux à la jeune fille. La lumière de la salle glissa légèrement et Daenerys reprit sa mine pensive..
Un nouveau fracas de porte cependant, retentit à son oreille ..
Elle était loin de la capitale, cacher, car après tout, elle n'avait rien, si cela n'était un nom et quelques beau raisonnement sur le monde. Bien futile pour être pleinement reconnue dans ce monde. C'était sans doute lier au phrasé de Rhaella qui disait souvent à sa petite fille que les larmes abîmes et creuse le visages pour nous punir de notre chagrin abondant. Pas de faiblesse donc, c'était interdit en public. Daenerys prenait souvent les mots de sa mère pour des réalités aux risques de ne parfois pas totalement en comprendre la vérité sur les règles de la duperie..
Daenerys gagna la salle du trône, parer de ses couleurs et attendant prude, l'heure du départ. Elle croisa les mains, baissa la tête et attendit .. Un petit fracas vers l'entrée et la princesse se redressa sur Lymon, son mestre ( Sans doute venu témoigner sa fierté pour une énième fois qu'il la voyait si rapidement quitter la capitale.) Ce dernier en profita d'ailleurs pour lui rendre quelques ouvrages d'astronomie..
« Encore un bien triste jour que de vous quitter ma lady, profiter bien de ses lectures, je sais combien elle vous seront précieuses.. »
L'heure fatidique approchait et Lymon quitta la pièce précédent un hommage respectueux à la jeune fille. La lumière de la salle glissa légèrement et Daenerys reprit sa mine pensive..
Un nouveau fracas de porte cependant, retentit à son oreille ..
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Elbert était retourné dans le Val à cette époque afin de participer au convoi de son grand-oncle Jon Arryn en direction de Port-Real. Étant sans doute l'un des valois les plus proches de la Couronne, en dehors peut-être de Petyr Baelish, ce fut tout naturellement qu'il s'était proposer par courrier. Cela lui permettait à la fois de revoir sa patrie et le havre où il avait grandit et en même temps de prendre des nouvelles de son cousin Robert pour voir si la situation de ce dernier s'améliorait ou non. Le bébé n'était pas de première vigueur et même si le chérubin lui volait sa place, il restait néanmoins jusqu'à preuve du contraire de sa famille. C'était aussi l'occasion de revoir ce bon Denys et d'échanger quelques mots et bottes d'arme en sa compagnie. Le séjour fut cependant de courte durée et le Valois prit avec le cortège de son oncle la direction de la capitale. Arrivé sur place, il regagna ses appartements. Il ne fut cependant pas conviés à la réunion prévue avec le roi ce qui offusqua sa mère et sa propre personne. Sa mère lui monta le bourrichon à ce propos, lui indiquant à nouveau qu'il n'entrait plus dans les plans de son oncle depuis la naissance de son morpion. Cela lui fit grand mal et il se décida à choper l'homme dés la fin de son entrevue avec le roi Rhaegar. Ce fut donc d'un pas confiant et déterminé que le chevalier du Val pénétra dans la salle du trône mais tout ceci n'était qu'un souvenir. Le souvenir du jour où il avait rencontré pour la première fois une des personne la plus odieuse qu'il connaisse : Viserys Targaryen. Revenons plutôt à nos mouton ! En ce jour, il portait son armure de plate et d'écrevisse colorée au couleur de sa maison ornée d'une cape du même bleu que le blason des Arryn, agrafée par des broches en argent représentant un faucon.
Ses pas se répercutèrent en écho dans la salle presque vide. Que faisait-il exactement ici après s'être entraîné à quelques passe d'arme ? Rien de bien trépidant à vrai dire. Le jeune homme appréciait venir observer le trône de fer, symbole du pouvoir et de toutes les contraintes qu'il impliquait. Il n'était pas seule dans cette immense pièce, si on exceptait bien sûr les quelques gardes en faction qui ne faisaient que leur humble travail. Une jeune dame se tenait là seule. A en juger par la couleur de ses cheveux, il ne pouvait s'agir que d'une descendante de l'antique Valyria. Nulle autre qu'une princesse. Selon ses souvenirs il s'agissait de Daenerys Targaryen, petite sœur de sa majesté Rhaegar. La petite tenait des ouvrages dans ses bras et semblait perdue dans ses pensées. Elbert marcha jusqu'à elle et posa un genou à terre en guise de révérence. Il se devait de lui montrer le respect qui était dût à son rang. D'après sa mère, la Couronne était sa pièce maîtresse numéro un. Le Faucon de lumière se devait donc de montrer patte blanche avec les gens de la maison du dragon. Sa voix se fut douce et amicale lorsqu'il prit la parole, enrobant ses mots de sucre et de miel.
« C'est une joie que de vous croiser en ces lieux Princesse Daenerys. Il est si rare que je sois honoré de votre présence. Me voilà si chanceux que j'en oublie les bases de la politesse en omettant de me présenter à votre illustre personne. Je suis Elbert Arryn, Chevalier du Val et un humble serviteur de la Couronne.»
Le jeune Chevalier attendit qu'on lui permette de se relever pour se redresser et toiser l'enfant de toute sa hauteur. Les traits de la petites étaient fins et ses yeux d'améthyste se mariait à merveille avec ses cheveux d'argent. Un très beau brin de jeune dame qu'il avait là devant lui. Les yeux du jeune homme se posèrent alors sur les ouvrages que tenait l'enfant dragon. Elle devait sans doute recevoir l'une des meilleures éducations de Westeros. Le Faucon de lumière se permit de glisser un sourire à la princesse avant de reprendre la parole sur un ton calme qui se voulait aidant.
« Ses livres semblent bien lourds princesse. Désirez vous que je vous libère du fardeau de leur poids ? Je me ferai un plaisir de les porter pour vous et les amener à la destination que vous m'indiquerez. »
Chose futile mais pourtant sincère. La petite n'allait certainement pas pouvoir tenir des dizaines de minutes comme cela. Les femmes étaient de constitution plus faible que les hommes bien que certaines puissent aisément rivaliser avec le sexe fort. Seulement dans le cas de la petite princesse, elle n'était pas encore d'une forte constitution et sa carrure ne la présageait pas à prendre un jour les armes à l'image des sœurs d'Aegon le Conquérant. Tendant ses mains dans l'attente qu'on lui remette la charge, le Chevalier du Val patienta en attente de réponses.
Ses pas se répercutèrent en écho dans la salle presque vide. Que faisait-il exactement ici après s'être entraîné à quelques passe d'arme ? Rien de bien trépidant à vrai dire. Le jeune homme appréciait venir observer le trône de fer, symbole du pouvoir et de toutes les contraintes qu'il impliquait. Il n'était pas seule dans cette immense pièce, si on exceptait bien sûr les quelques gardes en faction qui ne faisaient que leur humble travail. Une jeune dame se tenait là seule. A en juger par la couleur de ses cheveux, il ne pouvait s'agir que d'une descendante de l'antique Valyria. Nulle autre qu'une princesse. Selon ses souvenirs il s'agissait de Daenerys Targaryen, petite sœur de sa majesté Rhaegar. La petite tenait des ouvrages dans ses bras et semblait perdue dans ses pensées. Elbert marcha jusqu'à elle et posa un genou à terre en guise de révérence. Il se devait de lui montrer le respect qui était dût à son rang. D'après sa mère, la Couronne était sa pièce maîtresse numéro un. Le Faucon de lumière se devait donc de montrer patte blanche avec les gens de la maison du dragon. Sa voix se fut douce et amicale lorsqu'il prit la parole, enrobant ses mots de sucre et de miel.
« C'est une joie que de vous croiser en ces lieux Princesse Daenerys. Il est si rare que je sois honoré de votre présence. Me voilà si chanceux que j'en oublie les bases de la politesse en omettant de me présenter à votre illustre personne. Je suis Elbert Arryn, Chevalier du Val et un humble serviteur de la Couronne.»
Le jeune Chevalier attendit qu'on lui permette de se relever pour se redresser et toiser l'enfant de toute sa hauteur. Les traits de la petites étaient fins et ses yeux d'améthyste se mariait à merveille avec ses cheveux d'argent. Un très beau brin de jeune dame qu'il avait là devant lui. Les yeux du jeune homme se posèrent alors sur les ouvrages que tenait l'enfant dragon. Elle devait sans doute recevoir l'une des meilleures éducations de Westeros. Le Faucon de lumière se permit de glisser un sourire à la princesse avant de reprendre la parole sur un ton calme qui se voulait aidant.
« Ses livres semblent bien lourds princesse. Désirez vous que je vous libère du fardeau de leur poids ? Je me ferai un plaisir de les porter pour vous et les amener à la destination que vous m'indiquerez. »
Chose futile mais pourtant sincère. La petite n'allait certainement pas pouvoir tenir des dizaines de minutes comme cela. Les femmes étaient de constitution plus faible que les hommes bien que certaines puissent aisément rivaliser avec le sexe fort. Seulement dans le cas de la petite princesse, elle n'était pas encore d'une forte constitution et sa carrure ne la présageait pas à prendre un jour les armes à l'image des sœurs d'Aegon le Conquérant. Tendant ses mains dans l'attente qu'on lui remette la charge, le Chevalier du Val patienta en attente de réponses.
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À l'Ombre du Dragon
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Daenerys trembla. Bien sur, elle l'avait déjà entendu cette voix, il y a de cela fort longtemps et avec la même douceur dans le tintement. Elbert Arryn, le seul homme qui, jusqu'ici, n'avait pas résolut Daenerys au désespoir en humiliant de sa voix son frère en public. Le temps avait pourtant finit de mettre un nom sur cet exploit que Daenerys nommait secrètement par "Miracle". Car oui, elle si invisible, qui eu crut faisable qu'un homme puisse indirectement venir en aide à sa petite personne ? Elle qui ne venait que si rarement parcourir la capitale .. Daenerys sourit, voyant quelques papillon parcourir son ventre au regard de la silhouette du faucon. Elle n'avait que dix ans lors des faits, mais Lymon lui rappelait souvent que les plus grands moments de nôtre vie se nommait par les souvenirs..
Pour la petite fille qu'elle était, Daenerys retrouvait la même élégance, le même honneur dû à ce qu'il était à ses dix ans. Et son regard aussi *si perturbant* qu'elle scruta avec attention lorsqu'il la salua.
S'il savait combien je me souviens de lui.. Disait d'ailleurs sa conscience.
« Un bien grand honneur pour moi messire, Elle s'inclina sans le moindre faux pas et parlant d'une voix à peine audible. Son visage lui, tenait un jolie sourire. C'est une bien triste réalité hélas, de me voir quitter ma maison alors qu'elle met si précieuse. Point de cérémonie mon ami, je n'est pas la prétention de mon aîné pour vous reprendre sur vos attentions» Son sourire s'illumina, embrassant la conversation pour l'enrober de sa bonté. Daenerys avait toujours été de ceux là, préférant la sympathie aux faux semblant et aux manières trop... "protocolaires". Il faut dire que ses leçons de philosophie auprès de Lymon l'en avait très tôt dissuader, car le respect d'un homme n'était que rarement gagner par le mensonges ou l'obligation.
La petite dragonne garda le visage conquit en serrant ses livres contre sa poitrine. Elle avait le dos droit et fit mine de ne pas trouver ses livres si lourd.. Seulement au regard du Faucon, le mensonge fut bien mal habile ..
« Oh hm.., fit t-elle en regardant ses ouvrages, vous êtes bien aimable, je ne voudrais pas vous imposer quoi que ce soit mais.. cela me serait d'un grand secours en effet. Daenerys eu un petit rire » Ses petits bras d'enfant n'avait aucunement l'allure et la force du faucon et cela ce voyait sans mal. Daenerys s'en amusait même lorsque sa mère la surnommait "Lady Twig" dit littéralement "madame brindille". Viserys lui même n'aurait d'ailleurs certainement pas eu le même égard, préférant mieux la frapper grâce à leurs coins que même en lire la moindre page. La petite fille avait toujours été lotie de forme fine et cela n'enchantait que trop sa beauté à défaut d'être un atout pour son quotidien.. Notre petit dragon lui tandis pourtant ses livres, les yeux brillants de rêve. Elle passa une main sur sa chevelure d'argent et pria le jeune homme de la suivre un nouveau sourire aux lèvres..
« Allons, fit t-elle la mine tinter d'un pétillement de voix, je ne voudrais pas vous garder sous ma coupe trop longtemps »
ria t-elle faiblement avant de se mettre en route
Pour la petite fille qu'elle était, Daenerys retrouvait la même élégance, le même honneur dû à ce qu'il était à ses dix ans. Et son regard aussi *si perturbant* qu'elle scruta avec attention lorsqu'il la salua.
S'il savait combien je me souviens de lui.. Disait d'ailleurs sa conscience.
« Un bien grand honneur pour moi messire, Elle s'inclina sans le moindre faux pas et parlant d'une voix à peine audible. Son visage lui, tenait un jolie sourire. C'est une bien triste réalité hélas, de me voir quitter ma maison alors qu'elle met si précieuse. Point de cérémonie mon ami, je n'est pas la prétention de mon aîné pour vous reprendre sur vos attentions» Son sourire s'illumina, embrassant la conversation pour l'enrober de sa bonté. Daenerys avait toujours été de ceux là, préférant la sympathie aux faux semblant et aux manières trop... "protocolaires". Il faut dire que ses leçons de philosophie auprès de Lymon l'en avait très tôt dissuader, car le respect d'un homme n'était que rarement gagner par le mensonges ou l'obligation.
La petite dragonne garda le visage conquit en serrant ses livres contre sa poitrine. Elle avait le dos droit et fit mine de ne pas trouver ses livres si lourd.. Seulement au regard du Faucon, le mensonge fut bien mal habile ..
« Oh hm.., fit t-elle en regardant ses ouvrages, vous êtes bien aimable, je ne voudrais pas vous imposer quoi que ce soit mais.. cela me serait d'un grand secours en effet. Daenerys eu un petit rire » Ses petits bras d'enfant n'avait aucunement l'allure et la force du faucon et cela ce voyait sans mal. Daenerys s'en amusait même lorsque sa mère la surnommait "Lady Twig" dit littéralement "madame brindille". Viserys lui même n'aurait d'ailleurs certainement pas eu le même égard, préférant mieux la frapper grâce à leurs coins que même en lire la moindre page. La petite fille avait toujours été lotie de forme fine et cela n'enchantait que trop sa beauté à défaut d'être un atout pour son quotidien.. Notre petit dragon lui tandis pourtant ses livres, les yeux brillants de rêve. Elle passa une main sur sa chevelure d'argent et pria le jeune homme de la suivre un nouveau sourire aux lèvres..
« Allons, fit t-elle la mine tinter d'un pétillement de voix, je ne voudrais pas vous garder sous ma coupe trop longtemps »
ria t-elle faiblement avant de se mettre en route
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La dragonne s'inclina ce qui montrait à quel point elle était bien élevée. Tout le contraire de son horrible grand-frère. Le Prince Viserys était une pauvre âme coléreuse dont il avait déjà dût calmer les ardeurs. Autant Elbert pouvait être fidèle à la couronne autant son impulsivité pouvait reprendre le dessus quand il était mit face à des comportements inadéquats et injustes infligés à des êtres innocents. La petite princesse se montrait ô combien sympathique envers lui ce qui plu assez au Chevalier. Il ne sentait pas de pointe d'hypocrisie ou de politesse simulée dans la voix de la jeune dame aux cheveux d'argent. Le faucon de lumière prit donc ces phrases comme des paroles sincères, chose qu'il appréciait particulièrement. Lorsqu'elle lui tendit les livres, le Aryn s'en empara. Les ouvrages paraissaient bien maigres dans ses propres bras comparé au moment où ils se trouvaient en possession de ceux de Daenerys. De sa voix la plus sincère et douce, Elbert exprima son opinion au sujet du fait de transporter ces précieux bouquins.
« Vous ne m'imposez rien princesse. Si je me suis proposé, c'est de bon cœur. Quel genre de chevalier serais-je si je laissais la sœur de notre souverain risquer de finir écraser par une bibliothèque entière ? Pas un très glorieux mes avis. »
A vrai dire lui non plus ne comptait pas se faire retenir longtemps pour ne pas manquer ce qu'il était venu faire ici. Jetant un coup d’œil vers l'arrière de la salle avant de démarrer, le jeune homme se dit que finalement, cette mission n'allait pas lui prendre bien longtemps et qu'elle serait un moment qui lui permettrait d'en apprendre plus sur cette mystérieuse petite princesse qui lui semblait fort sympathique et pleine de joie de vivre. Le Faucon se permit même de rire au petit trait d'humour formuler par la Typhon née. Le garder sous sa coupe pourrait s'avérer moins difficile qu'elle ne le croyait en réalité. Elbert cherchait du mieux qu'il le pouvait à montrer sa fidélité à la couronne. Pour ce faire, il devait se faire bien voir de la famille royal et peu importe le membre. Sauf ce maudit Viserys bien entendu. Celui-là, il pouvait se carrer sa fidélité dans son fondement et danser la gigue sur une table comme un bouffon avant qu'Elbert ne daigne lui proposer le moindre service. Tout en emboîtant le pas à la Targaryen, le jeune homme se permit de la contredire sur un ton qui se voulait plaisantin.
« Pourquoi ne voulez vous pas me garder sous votre coupe, votre altesse ? Suis-je un piètre porteur de livre ? Je promet de m'appliquer plus la prochaine fois. Ne me renvoyez pas. »
Elbert afficha une mine toute attristée et dépitée en y ajoutant un regard de chien battu avant d'esquisser un sourire léger et charmeur. La Typhon née avait indiquée qu'elle allait quitter sa maison. A ses yeux, le Donjon Rouge devait être sa maison à moins qu'elle ne parle de l'autre possession des Targaryens, Peyredragon. Ne cherchant pas trop à se triturer les méninges, Elbert préféra poser la question histoire de faire la conversation à la jeune princesse et ne pas l'affliger d'un ennui mortel le temps d'acheminer les livres à destination.
« Sans vouloir me montrer trop indiscret, pour quel destination nous quittez vous gente princesse ? »
Une question simplement posée. En l'observant à nouveau, il se remémora ce jour où il avait prit sa défense contre son stupide frère. Viserys était de presque dix ans l’aînée de sa sœur mais ce jour là, il avait prouvé que son comportement était le plus enfantin des trois rejetons d'Aerys. S'il était né roturier, il n'aurait certainement pas fait long feu. Il pencha sa tête sur le côté pour lire les titres des ouvrages. Certains ne semblaient pas en comporter mais il discerna entre autre le mot astronomie à plusieurs reprises. Des sujets qui ne passionnaient généralement pas les dames de son âge. Était-ce son éducation de princesse qui l'exigeait ou sa propre soif de savoir ? Elbert comptait pouvoir placer dans ce sujet anodin, une question sur le grand frère de Daenerys mais il se retint finalement préférant la garder pour plus tard.
« Vos livres ... ils parlent des étoiles, d'astronomie ? Vous aimez cela princesse ? Je suis peut-être trop curieux. Vous ne devriez pas répondre à mes questions. Je suis une incorrigible pipelette qui a tendance à oublier qu'il parle à une dame de la famille royale. J'espère que je ne vous importune pas. »
« Vous ne m'imposez rien princesse. Si je me suis proposé, c'est de bon cœur. Quel genre de chevalier serais-je si je laissais la sœur de notre souverain risquer de finir écraser par une bibliothèque entière ? Pas un très glorieux mes avis. »
A vrai dire lui non plus ne comptait pas se faire retenir longtemps pour ne pas manquer ce qu'il était venu faire ici. Jetant un coup d’œil vers l'arrière de la salle avant de démarrer, le jeune homme se dit que finalement, cette mission n'allait pas lui prendre bien longtemps et qu'elle serait un moment qui lui permettrait d'en apprendre plus sur cette mystérieuse petite princesse qui lui semblait fort sympathique et pleine de joie de vivre. Le Faucon se permit même de rire au petit trait d'humour formuler par la Typhon née. Le garder sous sa coupe pourrait s'avérer moins difficile qu'elle ne le croyait en réalité. Elbert cherchait du mieux qu'il le pouvait à montrer sa fidélité à la couronne. Pour ce faire, il devait se faire bien voir de la famille royal et peu importe le membre. Sauf ce maudit Viserys bien entendu. Celui-là, il pouvait se carrer sa fidélité dans son fondement et danser la gigue sur une table comme un bouffon avant qu'Elbert ne daigne lui proposer le moindre service. Tout en emboîtant le pas à la Targaryen, le jeune homme se permit de la contredire sur un ton qui se voulait plaisantin.
« Pourquoi ne voulez vous pas me garder sous votre coupe, votre altesse ? Suis-je un piètre porteur de livre ? Je promet de m'appliquer plus la prochaine fois. Ne me renvoyez pas. »
Elbert afficha une mine toute attristée et dépitée en y ajoutant un regard de chien battu avant d'esquisser un sourire léger et charmeur. La Typhon née avait indiquée qu'elle allait quitter sa maison. A ses yeux, le Donjon Rouge devait être sa maison à moins qu'elle ne parle de l'autre possession des Targaryens, Peyredragon. Ne cherchant pas trop à se triturer les méninges, Elbert préféra poser la question histoire de faire la conversation à la jeune princesse et ne pas l'affliger d'un ennui mortel le temps d'acheminer les livres à destination.
« Sans vouloir me montrer trop indiscret, pour quel destination nous quittez vous gente princesse ? »
Une question simplement posée. En l'observant à nouveau, il se remémora ce jour où il avait prit sa défense contre son stupide frère. Viserys était de presque dix ans l’aînée de sa sœur mais ce jour là, il avait prouvé que son comportement était le plus enfantin des trois rejetons d'Aerys. S'il était né roturier, il n'aurait certainement pas fait long feu. Il pencha sa tête sur le côté pour lire les titres des ouvrages. Certains ne semblaient pas en comporter mais il discerna entre autre le mot astronomie à plusieurs reprises. Des sujets qui ne passionnaient généralement pas les dames de son âge. Était-ce son éducation de princesse qui l'exigeait ou sa propre soif de savoir ? Elbert comptait pouvoir placer dans ce sujet anodin, une question sur le grand frère de Daenerys mais il se retint finalement préférant la garder pour plus tard.
« Vos livres ... ils parlent des étoiles, d'astronomie ? Vous aimez cela princesse ? Je suis peut-être trop curieux. Vous ne devriez pas répondre à mes questions. Je suis une incorrigible pipelette qui a tendance à oublier qu'il parle à une dame de la famille royale. J'espère que je ne vous importune pas. »
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