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la garce et le mystique (Alyx Lefford)
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La garce et le mystique
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Lancel & Alyx
« Père ! Cela ne peut continuer ainsi ! » La brunette entra dans le bureau privé de son père. Le conseillé privé du seigneur de la Dent d’Or s’inclina et disparut derrière la porte. « Et tu ne peux continuer à débouler dans mon bureau ainsi ! » Alyx baissa la tête devant le regard de son père. « Laisse-les faire leur misérable guerre. Quand ils auront fini, ils seront fouettés et quatre verront leur tête sur une pique. Il faut leur laisser miroité qu’ils possèdent un peu de liberté pour mieux les écraser ensuite. » Les yeux bleus de la jeune femme reflétait l’incompréhension. Elle se demandait à quoi pouvait bien jouer son père. « Quelle image renvoyons-nous à nos ennemis ? Ils vont nous penser faible ! » Leo Lefford ricana. « Tu as encore bien des choses à apprendre ma fille en matière de manœuvre politique. Il faut mieux qu’un ennemi te sous-estime que tu sur estimes. » Il s’appuya contre le dossier de son fauteuil. « Et cela te permettra d’exercer ta langue fourchu contre les Farman encore une fois. » La belle regarda son paternel sans comprendre. « Ils sont envoyés en renfort pour la frontière, en plus de Clegane. Et Sebaston, nous envoie un fils et une fille. De quoi te divertir avant que je ne les envoie dans un coin pauvre au nord de nos frontières. » Le sourire d’Alyx s’agrandit. « Va te préparer à les accueillir. Soyons des hôtes exemplaires jusqu’à ce qu’ils commettent une faute. » La brune inclina respectueusement la tête et disparut dans la seconde. Les prochains jours promettaient d’être plus qu’intéressant.
« Tante Alysanne ! » Alyx parcouru les derniers mètres la séparant de la jeune sœur de son père. « Oui ma douce ? » La belle, passa son bras sous celui de son aîné. « Qu’elles sont les festivités prévus aujourd’hui ? Il ne faudrait pas que nos hôtes s’ennuient. Des catins ont été envoyées à Clegane, je pense que cela lui suffira. Mais tu sais comme moi, que les Farman ont des gouts plus que raffiné. » La Lefford éclata d’un rire cristallin. « Ma chère nièce, ton esprit ressemble tant à celui de ton père. Je suis sure que tu as des idées en tête. » Le regard de la fille de la Dent d’Or se fit plus que malicieux. « Je pensais à quelques choses pouvant les pousser à la faute… Histoire que je puisse me divertir et leur rappelé qui sont leur maître…» Une moue innocente passa sur le visage de la jeune fille. « Excellent idée…J’ai entendu dire que Sircea aimait être le centre de l’attention…Une petite compétition de danse, de musique ou de poésie pourraient fortement la divertir. Et dire que ces messieurs départagent leur dame...mais la prévenir aux derniers moments et faire en sorte que tu sois au centre de l’attention avant son arrivée, pourrait la pousser à la faute…Qu’en dis-tu ? » Un sourire plus satisfait illumina le visage de la dernière des Lefford. « C’est fort parfait ! Je sens que cela va être fort réjouissant. »
La salle de réception était bondée. Le petit tour des filles Lefford semblaient fort bien fonctionner. Le seigneur de la Dent d’Or était entouré de nombreux bourgeois et notable venu lui graisser la patte afin de passer la frontière. Tandis qu’Alyx, était entourée de leur femme et fille voulant entendre les récits sur Port Réal de la fille de la Dent d’Or. D’ordinaire la brune les méprisait et elle les méprisait tout autant aujourd’hui, alors qu’elle gloussait avec stupidité et naïveté. Elle leur parlait de façon distraite, sirotant un vin de Dorne. Elle attendait que son jouet n’arrive pour la divertir. Que Sircea Farman passe à la faute et déchaîne sur elle, la dent du lion. Les gens ne cessaient d’affluer dans cette salle et finalement la blonde arriva. S’apercevant que tous les Lefford étaient captivant auprès des autres, elle commença à se donner en spectacle. Cela n’échappa pas à l’œil d’Alyx. Qui fit en sorte d’être facilement atteignable par la sulfureuse blonde. Au fond, apparu sa tante Alysanne qui retenait un sourire. La brune inclina doucement la tête. Elle continua de faire semblant de converser et ce qu’elle souhaitait plus que tout au monde arriva. Sircea lui déroba son verre avec un sourire victorieux. La salle retint alors son souffle. La fille du seigneur de la Dent d’Or pouvait enfin entrer en action.
« Sircea ! Qu’elle plaisir de vous voir si rayonnante en ce jour. Je crois bien que vous m’avez dérobé mon verre…Puis je le reprendre ? » La Farman toisa la brune, de trois ans son aîné elle prenait un air supérieur. « Oh…votre verre… » Elle le vida d’une traite avant de le lui rendre. « Le voici ! Oh et gardé vos compliments pour une oreille plus réceptive que les miennes que je ferme au son de votre voix pour ne point être blesser par votre poison comme ma très chère sœur. » Alyx devait le reconnaître, elle était bien plus doué que sa cadette. Mais cela lui plaisait plus que tout. « Votre sœur ? Oh ce n’était nullement pour la blesser. Je ne faisais juste que mon devoir, en évitant au seigneur mon oncle de commettre une terrible erreur qui aurait plongé sa maison dans d’affreux problème. Je suis sure que vous pouvez comprendre cela. » Les hommes également étaient devenus silencieux. Leo Lefford fixait sa fille du regard, une lueur d’amusement brillait dans ses prunelles bleues. « Comprendre ?! Vous avez ridiculisé ma maison sale petite garce pourrie gâté ! » Erreur. Alyx priait désormais les Sept pour que son père rentre dans son jeu. Mais quand la jeune fille jeta un regard vers lui et qu’elle vit son air, elle pouvait aisément deviné qu’il n’avait point apprécié l’insulte fait à sa fille. Alors dans un rire moqueur et parlant bien fort afin que toute l’assemblée l’entende aisément. « Oh mais aurait-il fallu pour cela, ne point insulté mon très cher père il y a huit années de cela. Dois-je vous rappeler que mon père, ici présent, avait généreusement proposé ma main à votre frère héritier ? Un mariage avec une Lefford aurait à coup sûr élevé votre maison et vous aurez ramené dans les bonnes grâces des Lannister. Mais eu lieu de cela, votre père a préféré rejeter cette offre si généreuse. » Les notables présent murmurèrent alors appuyant avec des signes de tête les paroles de la Lefford. « Et mon père, tire un trait sur cet affront que vous lui avez fait en vous hébergeant dans notre forteresse vous et votre frère Daario. Je doute qu’il est apprécié que vous m’insultiez de quoi déjà… » « Sale petite garce pourrie gâté, madame. » Annonça la servante personnelle d’Alyx.
La Farman pâlit s’apercevant qu’elle s’était laissé emporter par ses désirs débordants d’attirer l’attention sur elle. Et quand elle observa le regard du seigneur des lieux, elle comprit que son erreur pourrait lui couter cher. Insulté la fille de la Dent d’Or n’était jamais conseillé dans cette forteresse contrôlant la route de la rivière. Et de même que dans les lois, il n’était guère conseillé d’insulter la fille de son hôte. Le silence avait empli les lieux, le malaise régnait. Désormais c’était Alyx qui avait un air supérieur et satisfait. Ce fut Leo Lefford qui brisa le silence, en se levant. « En effet… Je n’apprécie guère qu’on insulte ma fille sous mon toi, en particulier quand j’offre l’hospitalité. » Il se rapprocha des deux jouvencelles. « Lady Sircea, je vous serez grès d’aller annoncer à votre frère votre nouvelle destination. J’ai trouvé le lieu parfait où ses hommes et votre présence seraient utiles en c’est temps troublé par la guerre. Le guet de la Culbute à fort besoin de renfort. Vous partez demain dès l’aube. Et je vous conseille de ne plus insulter mon enfant en ma présence. » La blonde prit un air pincé et tourna les talons dans un grand froissement de tissu. Le maître des lieux claqua des doigts et des musiciens se mirent rapidement en place. Le père abandonna sa fille à sa sœur tandis que les pimbêches qui avaient entouré la brunette s’éloignait. « Ma petite Alyx…tu as été remarquable. » Les deux femmes pouffèrent en se remémorant la tête de la blonde. « Qui sont ses gens pauvrement vêtu ? Si ce sont des travailleurs de la mine, je veux qu’ils soient mis à la porte rapidement ! »
« Tante Alysanne ! » Alyx parcouru les derniers mètres la séparant de la jeune sœur de son père. « Oui ma douce ? » La belle, passa son bras sous celui de son aîné. « Qu’elles sont les festivités prévus aujourd’hui ? Il ne faudrait pas que nos hôtes s’ennuient. Des catins ont été envoyées à Clegane, je pense que cela lui suffira. Mais tu sais comme moi, que les Farman ont des gouts plus que raffiné. » La Lefford éclata d’un rire cristallin. « Ma chère nièce, ton esprit ressemble tant à celui de ton père. Je suis sure que tu as des idées en tête. » Le regard de la fille de la Dent d’Or se fit plus que malicieux. « Je pensais à quelques choses pouvant les pousser à la faute… Histoire que je puisse me divertir et leur rappelé qui sont leur maître…» Une moue innocente passa sur le visage de la jeune fille. « Excellent idée…J’ai entendu dire que Sircea aimait être le centre de l’attention…Une petite compétition de danse, de musique ou de poésie pourraient fortement la divertir. Et dire que ces messieurs départagent leur dame...mais la prévenir aux derniers moments et faire en sorte que tu sois au centre de l’attention avant son arrivée, pourrait la pousser à la faute…Qu’en dis-tu ? » Un sourire plus satisfait illumina le visage de la dernière des Lefford. « C’est fort parfait ! Je sens que cela va être fort réjouissant. »
La salle de réception était bondée. Le petit tour des filles Lefford semblaient fort bien fonctionner. Le seigneur de la Dent d’Or était entouré de nombreux bourgeois et notable venu lui graisser la patte afin de passer la frontière. Tandis qu’Alyx, était entourée de leur femme et fille voulant entendre les récits sur Port Réal de la fille de la Dent d’Or. D’ordinaire la brune les méprisait et elle les méprisait tout autant aujourd’hui, alors qu’elle gloussait avec stupidité et naïveté. Elle leur parlait de façon distraite, sirotant un vin de Dorne. Elle attendait que son jouet n’arrive pour la divertir. Que Sircea Farman passe à la faute et déchaîne sur elle, la dent du lion. Les gens ne cessaient d’affluer dans cette salle et finalement la blonde arriva. S’apercevant que tous les Lefford étaient captivant auprès des autres, elle commença à se donner en spectacle. Cela n’échappa pas à l’œil d’Alyx. Qui fit en sorte d’être facilement atteignable par la sulfureuse blonde. Au fond, apparu sa tante Alysanne qui retenait un sourire. La brune inclina doucement la tête. Elle continua de faire semblant de converser et ce qu’elle souhaitait plus que tout au monde arriva. Sircea lui déroba son verre avec un sourire victorieux. La salle retint alors son souffle. La fille du seigneur de la Dent d’Or pouvait enfin entrer en action.
« Sircea ! Qu’elle plaisir de vous voir si rayonnante en ce jour. Je crois bien que vous m’avez dérobé mon verre…Puis je le reprendre ? » La Farman toisa la brune, de trois ans son aîné elle prenait un air supérieur. « Oh…votre verre… » Elle le vida d’une traite avant de le lui rendre. « Le voici ! Oh et gardé vos compliments pour une oreille plus réceptive que les miennes que je ferme au son de votre voix pour ne point être blesser par votre poison comme ma très chère sœur. » Alyx devait le reconnaître, elle était bien plus doué que sa cadette. Mais cela lui plaisait plus que tout. « Votre sœur ? Oh ce n’était nullement pour la blesser. Je ne faisais juste que mon devoir, en évitant au seigneur mon oncle de commettre une terrible erreur qui aurait plongé sa maison dans d’affreux problème. Je suis sure que vous pouvez comprendre cela. » Les hommes également étaient devenus silencieux. Leo Lefford fixait sa fille du regard, une lueur d’amusement brillait dans ses prunelles bleues. « Comprendre ?! Vous avez ridiculisé ma maison sale petite garce pourrie gâté ! » Erreur. Alyx priait désormais les Sept pour que son père rentre dans son jeu. Mais quand la jeune fille jeta un regard vers lui et qu’elle vit son air, elle pouvait aisément deviné qu’il n’avait point apprécié l’insulte fait à sa fille. Alors dans un rire moqueur et parlant bien fort afin que toute l’assemblée l’entende aisément. « Oh mais aurait-il fallu pour cela, ne point insulté mon très cher père il y a huit années de cela. Dois-je vous rappeler que mon père, ici présent, avait généreusement proposé ma main à votre frère héritier ? Un mariage avec une Lefford aurait à coup sûr élevé votre maison et vous aurez ramené dans les bonnes grâces des Lannister. Mais eu lieu de cela, votre père a préféré rejeter cette offre si généreuse. » Les notables présent murmurèrent alors appuyant avec des signes de tête les paroles de la Lefford. « Et mon père, tire un trait sur cet affront que vous lui avez fait en vous hébergeant dans notre forteresse vous et votre frère Daario. Je doute qu’il est apprécié que vous m’insultiez de quoi déjà… » « Sale petite garce pourrie gâté, madame. » Annonça la servante personnelle d’Alyx.
La Farman pâlit s’apercevant qu’elle s’était laissé emporter par ses désirs débordants d’attirer l’attention sur elle. Et quand elle observa le regard du seigneur des lieux, elle comprit que son erreur pourrait lui couter cher. Insulté la fille de la Dent d’Or n’était jamais conseillé dans cette forteresse contrôlant la route de la rivière. Et de même que dans les lois, il n’était guère conseillé d’insulter la fille de son hôte. Le silence avait empli les lieux, le malaise régnait. Désormais c’était Alyx qui avait un air supérieur et satisfait. Ce fut Leo Lefford qui brisa le silence, en se levant. « En effet… Je n’apprécie guère qu’on insulte ma fille sous mon toi, en particulier quand j’offre l’hospitalité. » Il se rapprocha des deux jouvencelles. « Lady Sircea, je vous serez grès d’aller annoncer à votre frère votre nouvelle destination. J’ai trouvé le lieu parfait où ses hommes et votre présence seraient utiles en c’est temps troublé par la guerre. Le guet de la Culbute à fort besoin de renfort. Vous partez demain dès l’aube. Et je vous conseille de ne plus insulter mon enfant en ma présence. » La blonde prit un air pincé et tourna les talons dans un grand froissement de tissu. Le maître des lieux claqua des doigts et des musiciens se mirent rapidement en place. Le père abandonna sa fille à sa sœur tandis que les pimbêches qui avaient entouré la brunette s’éloignait. « Ma petite Alyx…tu as été remarquable. » Les deux femmes pouffèrent en se remémorant la tête de la blonde. « Qui sont ses gens pauvrement vêtu ? Si ce sont des travailleurs de la mine, je veux qu’ils soient mis à la porte rapidement ! »
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Lancel & Alyx
Un des mendiants, du moins ce qu’Alyx pensait être un mendiant, l’approcha. La surprise fut grande quand il se présenta pour être le fils de Kevan Lannister. Cependant elle lui accorda sa requête. La brune le fit monter dans un petit cabinet où dans son enfance, elle avait passé plusieurs heures avec le mestre sur la géographie et les héraldiques de Westeros. Elle s’assit dans le fauteuil et fit un geste de la main pour inviter le jeune homme à faire de même. Elle attrapa une prune et mordit allègrement dedans, dégustant sa chair sucré et juteuse. Visiblement Lancel voulait être debout. La fille de la Dent d’Or ne fit aucune remarque, elle le laissa parler, écoutant ce pourquoi il était venu jusqu’ici. La requête était assez risible pour Alyx, elle se retint d’éclater de rire mais esquissa un sourire moqueur. « Vous savez sans nulle doute, que ce septon a été nommé par le Grand Septon de notre belle capitale à la demande du seigneur mon père. Je doute qu’il revienne sur sa décision. Ces activités ne regardent que lui du moment qu’il fait ce pourquoi il est là au moment venu. Ce septon qui est visiblement à vos yeux un hérétique a fini mon éducation par rapport aux Sept. Vous comprendrez que je suis attachée à ce vieil homme. De plus si cela peut vous rassurez, il ne restera point longtemps. Il a contracté la vérole en forniquant. Les Sept l’ont puni pour sa débauche. Cela ne suffit point comme punition ? Il va mourir dans la souffrance. Laissez-le donc finir sa misérable vie. Et peut-être que le seigneur mon père daignera à vous écouter pour le prochain septon de la Dent d’Or. » Ce qui surprenait fort Alyx c’était qu’il lui demandait une chose que seul son père avait le pouvoir d’accepter.
La suite ne plut absolument pas à la jeune femme. Il tentait une menace caché, un moyen de pression, il tentait de l’impressionnait. Chose qu’elle ne supportait pas. « Tenteriez-vous de m’impressionnait avec de beau mensonge. Auriez-vous oublié que j’ai passé deux ans à Castral Roc en tant que pupille de Lord Stafford ? Qu’une part de ma famille est Lannister ? Que mon père a les faveurs de Lord Tywin depuis qu’il est seigneur de la Dent d’Or ? Et pensez-vous que j’ignore que votre père est certes un grand stratège mais qui je pense n’apprécie pas qu’un Lannister s’abaisse à la mendicité et encore moins sont propres fils. » Le sourire s’élargit sur les lèvres d’Alyx. « Le problème des Farman est réglée, ils vont être envoyé au nord de nos frontières et ils ne nous importuneront d’aucune sorte. Les Clegane sèment la terreur à la frontière et empêche quelconque ennemi tenter de nous envahir. »La Lefford se redressa et se pencha légèrement en avant. « Rappelez-vous que nous sommes en guerre. Les Lannister ont autre chose à faire que d’envoyer deux cents chevaliers pour régler les problèmes de la Foi. Et rappelez-vous également que sans nos armées de dépravée en tant de guerre…la foi, les moineaux…seraient les premières victimes dans les saccages… »
Quelqu’un frappa à la porte et Alyx lança un entrer fort et froid. Une petite servante entra et chuchota quelques choses à l’oreille de la jeune femme. Elle hocha la tête et fit un signe de la main pour lui dire de déguerpir. La Lefford se recala dans son fauteuil et croisa ses mains sur son ventre. « Revenez après la guerre avec votre demande. Vous aurez des oreilles surement plus réceptives à vos demandes, et demandez à mon père plutôt qu’à moi. Je ne suis pas régente de la Dent d’Or, seulement son héritière et mon père n’est pas mourant pour que je puisse prendre de telle décision à sa place. »
La suite ne plut absolument pas à la jeune femme. Il tentait une menace caché, un moyen de pression, il tentait de l’impressionnait. Chose qu’elle ne supportait pas. « Tenteriez-vous de m’impressionnait avec de beau mensonge. Auriez-vous oublié que j’ai passé deux ans à Castral Roc en tant que pupille de Lord Stafford ? Qu’une part de ma famille est Lannister ? Que mon père a les faveurs de Lord Tywin depuis qu’il est seigneur de la Dent d’Or ? Et pensez-vous que j’ignore que votre père est certes un grand stratège mais qui je pense n’apprécie pas qu’un Lannister s’abaisse à la mendicité et encore moins sont propres fils. » Le sourire s’élargit sur les lèvres d’Alyx. « Le problème des Farman est réglée, ils vont être envoyé au nord de nos frontières et ils ne nous importuneront d’aucune sorte. Les Clegane sèment la terreur à la frontière et empêche quelconque ennemi tenter de nous envahir. »La Lefford se redressa et se pencha légèrement en avant. « Rappelez-vous que nous sommes en guerre. Les Lannister ont autre chose à faire que d’envoyer deux cents chevaliers pour régler les problèmes de la Foi. Et rappelez-vous également que sans nos armées de dépravée en tant de guerre…la foi, les moineaux…seraient les premières victimes dans les saccages… »
Quelqu’un frappa à la porte et Alyx lança un entrer fort et froid. Une petite servante entra et chuchota quelques choses à l’oreille de la jeune femme. Elle hocha la tête et fit un signe de la main pour lui dire de déguerpir. La Lefford se recala dans son fauteuil et croisa ses mains sur son ventre. « Revenez après la guerre avec votre demande. Vous aurez des oreilles surement plus réceptives à vos demandes, et demandez à mon père plutôt qu’à moi. Je ne suis pas régente de la Dent d’Or, seulement son héritière et mon père n’est pas mourant pour que je puisse prendre de telle décision à sa place. »
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Lancel & Alyx
Lancel flatta la jeune femme qui rigola face à cela. Tout n’était pas faux mais elle n’avait pas autant d’influence que le seigneur son père sur certains sujets. Alyx était peut-être chéri par son père au plus haut point mais il ne fallait pas exagéré sur certains points. Il ne laissait pas sa fille empiété sur toutes ses affaires et il n’hésitait pas à la remettre sévèrement à sa place quand elle débordait un peu trop. Et la fille de la Dent d’Or n’avait nullement envie de se faire sermonnait par son père pour avoir pris une décision importante à sa place. Et ce sujet faisait surement partie des affaires que Leo souhaitait régler lui-même et où sa fille ne pouvait avoir d’influence. Elle pourrait surement lui murmurer quelques mots doux et agréables à son oreille mais rien de plus. Au final il prendrait sa propre décision. « Vous me flattez mais je n’ai nullement d’influence sur des affaires aussi importante. La Foi des Sept a une place importante dans notre vie à tous, et je suis sure que nous nous rejoignons sur cette avis, mais je ne peux décider de telle chose. J’ai certes l’oreille du seigneur mon père mais il n’écoute pas mes conseils. Je n’ai nul conseil à lui prodiguer, c’est plutôt l’inverse. Mais il écoute mon avis. Sur ce sujet je ne pourrais lui donner que mon avis d’héritière. Rien de plus. Et je vous rappelle que vous me demandez expressément de faire tomber quelqu’un qui a une place particulière dans mon cœur. Certes les sentiments sont à proscrire en politique. Mais quand il concerne la foi et nos croyances…je crois que l’on nous autorise à laisser parler notre cœur qui lui est pure de toute corruption de l’esprit. » Alyx adorait ça, jouer à ce jeux quand elle savait qu’elle ne pouvait nullement prendre de décision. Juste jouer et profiter.
Lancel amusait profondément la Lefford. Si innocent, si pur…si extrémiste dans ses idées sur la Foi. La jeune femme sourit face à une telle chose. Il voyait certaines choses et il n’en voyait pas d’autres. Oh Alyx ne pensait pas tout voir, mais en matière de politique et relation diplomatique, elle voyait surement plus de chose que ce fanatique religieux venu de Castral Roc. Elle le laissa parler grignotant des grains de raisin. Quand il eut fini, elle fit mine de réfléchir avant de parler. « Certes je n’apprécie pas les Farman, mais je crois que cela n’est un secret pour personne. Et ils ne sont plus au centre de nos préoccupations car le seigneur mon père les a envoyé au nord de nos territoires où il y a…rien…Pas de catin, pas de vin mais de la boue et de la terre à perte de vue. C’est suffisamment humiliant pour eux d’être relégué à une vulgaire tâche, qui, tout le monde le sait, ne sert à rien. » La jeune femme fit une pause, savourant ce souvenir où son père avait donné l’ordre au Farman d’aller patrouiller au Nord de leur territoire. « Concernant les Cleganes, ce n’est pas moi qu’ils importunent, ni nos paysans pour le moment. Seules les catins s’en plaignent mais vous savez quoi. » Elle se pencha vers Lancel comme pour lui confier un secret. « Je me fous de ce que penses une catin. »
Alyx éclata d’un rire cristallin à sa phrase et se redressa. Elle s’amusait comme une folle. « Et vous savez, nous n’avons rien à gagner à humilier ou énerver la Montagne. Il a été envoyé par votre oncle. Il est donc par conséquent notre hôte et mon père ne souhaite se mettre lord Tywin à dos. Les pluies de Castamere résonneraient si mal dans notre forteresse. Alors oui notre armée peut gérer en partie le flux entre le Conflans et l’Ouest. Mais nous n’avons pas le nombre pour tenir si Rhaegar Targaryen vient à nous attaquer car Lord Tywin a choisi de soutenir Viserys III. Nous sommes ses loyaux sujets. Nous obéissons. Nous sommes à flanc de montagne où les roches dominent. Les champs sont dans les plaines pas sur le relief. Alors pour le moment, Clegane ne nous import… » La porte s’ouvrit ne laissant point la jeune femme finir sa phrase. Leo Lefford entra dans la pièce. Alyx alla pour se lever mais son père lui fit signe de rester assis. Le seigneur de lieu alla se mettre à côté de sa fille. Il parla d’une voix froide, implacable et lentement ce qui aurait pu en faire trembler plus d’un. « On m’a signifié que vous discutiez avec ma fille, d’un sujet épineux qui devrait requérir mon attention. » d’un geste de main, il chassa le garde et la servante qui était à l’entrée de la pièce. La porte se referma. « Je vous écoute. »
Lancel amusait profondément la Lefford. Si innocent, si pur…si extrémiste dans ses idées sur la Foi. La jeune femme sourit face à une telle chose. Il voyait certaines choses et il n’en voyait pas d’autres. Oh Alyx ne pensait pas tout voir, mais en matière de politique et relation diplomatique, elle voyait surement plus de chose que ce fanatique religieux venu de Castral Roc. Elle le laissa parler grignotant des grains de raisin. Quand il eut fini, elle fit mine de réfléchir avant de parler. « Certes je n’apprécie pas les Farman, mais je crois que cela n’est un secret pour personne. Et ils ne sont plus au centre de nos préoccupations car le seigneur mon père les a envoyé au nord de nos territoires où il y a…rien…Pas de catin, pas de vin mais de la boue et de la terre à perte de vue. C’est suffisamment humiliant pour eux d’être relégué à une vulgaire tâche, qui, tout le monde le sait, ne sert à rien. » La jeune femme fit une pause, savourant ce souvenir où son père avait donné l’ordre au Farman d’aller patrouiller au Nord de leur territoire. « Concernant les Cleganes, ce n’est pas moi qu’ils importunent, ni nos paysans pour le moment. Seules les catins s’en plaignent mais vous savez quoi. » Elle se pencha vers Lancel comme pour lui confier un secret. « Je me fous de ce que penses une catin. »
Alyx éclata d’un rire cristallin à sa phrase et se redressa. Elle s’amusait comme une folle. « Et vous savez, nous n’avons rien à gagner à humilier ou énerver la Montagne. Il a été envoyé par votre oncle. Il est donc par conséquent notre hôte et mon père ne souhaite se mettre lord Tywin à dos. Les pluies de Castamere résonneraient si mal dans notre forteresse. Alors oui notre armée peut gérer en partie le flux entre le Conflans et l’Ouest. Mais nous n’avons pas le nombre pour tenir si Rhaegar Targaryen vient à nous attaquer car Lord Tywin a choisi de soutenir Viserys III. Nous sommes ses loyaux sujets. Nous obéissons. Nous sommes à flanc de montagne où les roches dominent. Les champs sont dans les plaines pas sur le relief. Alors pour le moment, Clegane ne nous import… » La porte s’ouvrit ne laissant point la jeune femme finir sa phrase. Leo Lefford entra dans la pièce. Alyx alla pour se lever mais son père lui fit signe de rester assis. Le seigneur de lieu alla se mettre à côté de sa fille. Il parla d’une voix froide, implacable et lentement ce qui aurait pu en faire trembler plus d’un. « On m’a signifié que vous discutiez avec ma fille, d’un sujet épineux qui devrait requérir mon attention. » d’un geste de main, il chassa le garde et la servante qui était à l’entrée de la pièce. La porte se referma. « Je vous écoute. »
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