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Event 2 ♦ La tempête de Fer
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La fin était proche. Les Fer-nés ne tarderaient pas à ouvrir les portes du château, ce pourquoi Isendre avait pris la décision de se rapprocher de sa jeune sœur. Il voulait lui apporter une présence rassurante et lui montrer qu'il serait toujours là pour elle, même s'il devait mourir pour la protéger. Le bâtard savait que Alyssa avait une certaine force de caractère et qu'elle était bien loin d'être l'une de ces demoiselles en détresse qu'un prince devait défendre le cœur vaillant, mais elle n'était encore qu'une adolescente, et un tel événement pouvait aisément la perturber. Le rôle d'un grand-frère, même illégitime, était de veiller sur les plus jeunes de la fratrie, et c'était bien ce que comptait faire le jeune homme.
Les mains sur le pommeau de son épée, Isendre pensait à celle qui faisait battre son cœur. Il espérait que les Dieux seraient cléments avec elle et qu'elle était à l'abri, loin de toutes batailles. Le bâtard savait, pour l'avoir suivie un jour, que sa maison était dans une ruelle suffisamment reculée pour ne pas être inquiétée, mais les Fer-nés ne s'arrêteraient peut-être pas à l'allée principale qui menait chez le suzerain du Conflans... Le regard perdu dans le vide, le jeune homme ne vit pas son demi-frère approcher, et il ne leva les yeux que lorsqu'il entendit le son de la voix d'Alessander. Bien que sa réponse était déjà réfléchie, Isendre sentit son estomac se nouer. Un peu plus tôt, il avait osé défier sa belle-mère et son demi-frère pour aller se battre afin d'aider ceux qui donnaient leur vie pour le Conflans, et maintenant qu'il était proche de s'engager dans la bataille, il prit pleinement conscience que la mort était une issue envisageable et que la réalité était bien différente de tous ces rêves de gloire qu'un garçon peut avoir à son âge.
- Je suis avec toi, répondit Isendre en regardant son frère droit dans les yeux. Le bâtard lisait, dans le regard de son frère, toute la détermination que ce-dernier avait à défendre les siens. Si je dois mourir aujourd'hui, autant que ce soit en combattant nos ennemis, poursuivit le garçon, aussi déterminé que son frère à protéger le peuple de Beaumarché, ou du moins ce qu'il en restait. Les Dieux se montreraient peut-être favorables avec celui qui n'a pas toujours eu une vie facile à l'intérieur de ces murailles...
Même s'il n'était pas particulièrement attaché à Beaumarché, le jeune homme s'interdisait de rester entre les murs de ce donjon, à attendre que d'autres se battent pour eux. Il ne voulait pas que l'on se souvienne de lui comme d'un lâche qui était caché parmi les femmes, ce pourquoi il avait accepté de suivre l'héritier du Conflans. En allant se battre pour le peuple, il partait se battre, d'une certaine manière, pour Camelya et pour toutes les personnes avec qui il s'était lié d'amitié. Des personnes toutes aussi importantes les unes que les autres qui l'avaient aidé à traverser des moments difficiles générés par la Vipère.
Le jeune homme échangea un regard avec sa jeune sœur qui bouillonnait de l'intérieur et qui n'avait nulle autre envie que de se battre comme ses frères. Le regard d'Isendre était plein de bienveillance, et Alyssa le comprendrait mieux que personne. Le garçon voulait lui faire comprendre sans lui dire qu'elle devait écouter Alessander et lui obéir, que tout se passerait bien pour eux. Il lui accorda même un léger sourire rassurant, pour lui faire savoir qu'il reviendrait et qu'il ne l'abandonnerait pas.
Ce après quoi il tourna les talons, son épée dans les mains, suivant les pas de son frère. Il demanda, d'une voix parfaitement audible, qu'on fasse en sorte d'informer leurs alliés que les cygnes interviendraient et qu'ils auraient besoin de toutes les forces présentes pour cette ultime attaque.
Les mains sur le pommeau de son épée, Isendre pensait à celle qui faisait battre son cœur. Il espérait que les Dieux seraient cléments avec elle et qu'elle était à l'abri, loin de toutes batailles. Le bâtard savait, pour l'avoir suivie un jour, que sa maison était dans une ruelle suffisamment reculée pour ne pas être inquiétée, mais les Fer-nés ne s'arrêteraient peut-être pas à l'allée principale qui menait chez le suzerain du Conflans... Le regard perdu dans le vide, le jeune homme ne vit pas son demi-frère approcher, et il ne leva les yeux que lorsqu'il entendit le son de la voix d'Alessander. Bien que sa réponse était déjà réfléchie, Isendre sentit son estomac se nouer. Un peu plus tôt, il avait osé défier sa belle-mère et son demi-frère pour aller se battre afin d'aider ceux qui donnaient leur vie pour le Conflans, et maintenant qu'il était proche de s'engager dans la bataille, il prit pleinement conscience que la mort était une issue envisageable et que la réalité était bien différente de tous ces rêves de gloire qu'un garçon peut avoir à son âge.
- Je suis avec toi, répondit Isendre en regardant son frère droit dans les yeux. Le bâtard lisait, dans le regard de son frère, toute la détermination que ce-dernier avait à défendre les siens. Si je dois mourir aujourd'hui, autant que ce soit en combattant nos ennemis, poursuivit le garçon, aussi déterminé que son frère à protéger le peuple de Beaumarché, ou du moins ce qu'il en restait. Les Dieux se montreraient peut-être favorables avec celui qui n'a pas toujours eu une vie facile à l'intérieur de ces murailles...
Même s'il n'était pas particulièrement attaché à Beaumarché, le jeune homme s'interdisait de rester entre les murs de ce donjon, à attendre que d'autres se battent pour eux. Il ne voulait pas que l'on se souvienne de lui comme d'un lâche qui était caché parmi les femmes, ce pourquoi il avait accepté de suivre l'héritier du Conflans. En allant se battre pour le peuple, il partait se battre, d'une certaine manière, pour Camelya et pour toutes les personnes avec qui il s'était lié d'amitié. Des personnes toutes aussi importantes les unes que les autres qui l'avaient aidé à traverser des moments difficiles générés par la Vipère.
Le jeune homme échangea un regard avec sa jeune sœur qui bouillonnait de l'intérieur et qui n'avait nulle autre envie que de se battre comme ses frères. Le regard d'Isendre était plein de bienveillance, et Alyssa le comprendrait mieux que personne. Le garçon voulait lui faire comprendre sans lui dire qu'elle devait écouter Alessander et lui obéir, que tout se passerait bien pour eux. Il lui accorda même un léger sourire rassurant, pour lui faire savoir qu'il reviendrait et qu'il ne l'abandonnerait pas.
Ce après quoi il tourna les talons, son épée dans les mains, suivant les pas de son frère. Il demanda, d'une voix parfaitement audible, qu'on fasse en sorte d'informer leurs alliés que les cygnes interviendraient et qu'ils auraient besoin de toutes les forces présentes pour cette ultime attaque.
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Event 2
Fight for your lives
La tempête de Fer
Malvina souffrait beaucoup à cause de la flèche qui c'était enfoncée très profondément dans sa cuisse, mais étant une fer-née elle ne comptait pas abandonner si vite et encore moins retourner au bateau tranquillement en abandonnant ses hommes dans cette bataille. Arrivant elle vit très vite la batailler arriver en tranchant la gorge d'un soldat qui courrait vers elle avec un cri de guerre peu viril il fallait l'avouer, s'arrêtant un petit moment pour reprendre son souffle elle ordonna à ses hommes d'aller aider les fer-nées pour tuer les soldats. Entendant crier le nom de Asha il se tourna vers le jeune homme qui n'était pas non plus en très bonne position, il venait de se prendre une flèche dans la cuisse et l'autre soldat Conflans était en train d'avancer vers l'homme fer-née. Observant autour d'elle, elle vit Denys qui essayait d'ouvrir seul les portes mais y arriva par miracle, personne n'avait besoin d'aide dans son entourage et décida donc d'aller aider ce jeune homme. Avançant d'un grand pas et évitant de penser à la douleur de sa cuisse elle se posta devant l'homme qui avait une flèche dans la cuisse et sortit son épée en plongeant son regard droit dans celui du soldat qui arrivait droit sur elle un regard de vengeance planté sur ce visage hideux!
Il n'attendit pas très longtemps pour foncer sur elle comme un barbare et lever son épée en essayant de lui donner un coup à l'épaule, sans beaucoup d'effort elle se mit sur le côté et dévia son coup avec une grand facilité, cet homme devait être plus agile avec une flèche et un arc plutôt qu'à l'épée mais elle se méfiait toujours et ne se laissait jamais faire. Les coups suivirent pendant quelques minutes, Malvina commençait à fatiguer mais avec de la chance il laissa un instant son flanc droit sans protection et Malvina en profita pour enfoncer son épée bien profondément dans ses côtes en ne quittant pas une seule fois le regard de celui qui venait de s'écrouler au sol. Elle se baissa doucement pour essuyer l'épée pleine de sang sur le mort avant de se tourner vers l'homme qui saignait beaucoup.
"Ca va aller?"
Elle c'était retourné vers lui avec toujours le même air un peu strict mais un petit sourire en coin c'était affichée sur son petit minois. Elle ne le connaissait pas et en même temps elle était pas revenu aux Iles de fer depuis tellement longtemps qu'elle ne connaissait personne dans cette guerre a part Denys bien sur, déchirant le bout de sa tunique elle le tendit à l'homme, c'était pas génial mais mieux que rien!
"Ca arrêtera le sang!"
Il n'attendit pas très longtemps pour foncer sur elle comme un barbare et lever son épée en essayant de lui donner un coup à l'épaule, sans beaucoup d'effort elle se mit sur le côté et dévia son coup avec une grand facilité, cet homme devait être plus agile avec une flèche et un arc plutôt qu'à l'épée mais elle se méfiait toujours et ne se laissait jamais faire. Les coups suivirent pendant quelques minutes, Malvina commençait à fatiguer mais avec de la chance il laissa un instant son flanc droit sans protection et Malvina en profita pour enfoncer son épée bien profondément dans ses côtes en ne quittant pas une seule fois le regard de celui qui venait de s'écrouler au sol. Elle se baissa doucement pour essuyer l'épée pleine de sang sur le mort avant de se tourner vers l'homme qui saignait beaucoup.
"Ca va aller?"
Elle c'était retourné vers lui avec toujours le même air un peu strict mais un petit sourire en coin c'était affichée sur son petit minois. Elle ne le connaissait pas et en même temps elle était pas revenu aux Iles de fer depuis tellement longtemps qu'elle ne connaissait personne dans cette guerre a part Denys bien sur, déchirant le bout de sa tunique elle le tendit à l'homme, c'était pas génial mais mieux que rien!
"Ca arrêtera le sang!"
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La flèche était partie, presque venue de nulle part si Quenton n'avait pas vu l'archer, du coin de l'oeil, la décocher en sa direction. Pas bon, pas bon, pas bon! La flèche qu'il avait décocher avait peut-être manquée sa cible, mais le chevalier s'avancait désormais a grands pas vers le jeune fer-né, qui n'eut aucun choix. En l'espace d'une fraction de seconde, elle fendit l'air, pointée vers lui. Mouvement de recul, reflex de protection, le choc est sourd, la douleur, tardive. Un grognement guttural, une flaque de sang. Pendant quelque secondes, il n'entend plus rien, de comprend pas. L'homme qui se s'apprête a se jeter sur lui n'est que bibelot de plus pour décorer cette étrange agitation qu'il n'arrive même plus a nommer. Puis le mot revient. Guerre. Bataille. La plume de cette longue flèche, trônant dans sa cuisse, le ramène à la réalité comme une enclume vers le fond. Une dame aux cheveux pâles, une guerrière qu'il n'avait jamais vu, s'était interposée.
Ignorant de son mieux la douleur, le fer-né se débarrassa vite-fait de son arc, préférant de loin sortir son véritable mode de combat: le lancé. Ses yeux firent le tour, virent un fer-né téméraire près du mécanisme des portes, Asha, mise en retrait par tes hommes. Le sang gicla et son attention revint sur la guerrière, un peu plus tachée de sang qu'elle ne l'était avant, mais tout aussi fière et imposante. Quenton se surprit a l'envier, la prestance qu'elle avait sur le champs de bataille alors même qu'elle lui tendait un bout de tissus qu'il utilisa rapidement pour un garrot.
Seul les yeux du jeune fer-né trahissaient son admiration, car la voix avec laquelle il lui répondit restait de fer, comme si rien ne s'était passé.
«Ça ira mieux... Quand on aura ouvert ces foutus portes.»
Appuyant ses dires d'un crachat, il n'eut presque pas le temps de pousser la dame pour envoyer, d'un revers vif, une lame dans l'oeil d'un soldat trop téméraire qui l'avait prise pour cible. Mais d'autres arrivaient. Cette porte devait s'ouvrir, et maintenant. Pas le temps de remonter, la guerrière allait devoir te couvrir.
«Couvres-moi, j'ai une idée.»
Le jeune homme s'élance vers la porte non sans faire un maximum de bruit, envoyant une lame dans le gosier de l'un, égorgeant le suivant, tentant de ramener un max de fer-nés pour l'aider dans sa cause. Si cette porte ne s'ouvre pas, l'attaque est finie avant même d'avoir commencée. Et c'était hors de question. La plaie qui hantait sa jambe le faisait souffrir, se crisper a chaque pas, et soulever une chose pareille risquerait d'être dangereux. Et c'était sans compter les archers.
Avertissant le fer-né posté sur la porte avant de se mettre en position, il attrape le bas de la porte de ses deux bras, compte, un, deux, trois. La force fait son chemin sur cette gigantesque porte.
- dé:
Lancé 1 :
1 à 50 : Quenton est aidé par d'autres fer-nés
51 à 100 : Quenton doit ouvrir la porte seul
Lancé 2
si 1 :
1 à 60 : Quenton et Denys parviennent a ouvrir la porte avec l'aide des fer-nés
61 à 75 : Quenton et Denys parviennent a ouvrir la porte, mais Quenton est blessé
76 à 100 : Quenton, Denys et les fer-nés n'arrivent pas a ouvrir la porte
si 2 :
1 à 50 : Quenton et Denys parviennent a ouvrir la porte mais Quenton est blessé
51 à 100 : Quenton et Denys n'arrivent pas a ouvrir la porte et Quenton est blessé.
Valar Dohaeris
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#1 'Dé 100' : 38
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#2 'Dé 100' : 9
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#2 'Dé 100' : 9
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Le Fer-né ne devait compter que sur lui même pour ouvrir cette porte. Bandant ses muscles, il força comme un véritable bœuf. La sueur perlait sur son front et sous son armure, ses veines devaient sans aucun doute ressortir contre le tissus qui enveloppait son corps car l'effort était énorme. Il cru d'abord qu'il n'allait pas arriver. Puis finalement petit à petit la porte commença à s'ouvrir. Pas totalement non. Au prix d'un travail surhumain, il parvint à l'ouvrir à moitié ce qui offrait aux Fer-Nés une possibilité d'entrer mais en nombre limité puisque le passage ne leur permettait pas de passer impeccablement.
«Par le Dieu Noyé, je vais devoir l'ouvrir seul cette catin. Je l'aurai mérité ma jeune cygne !»
Reprenant son mouvement, le Capitaine de la Phalange fut finalement rejoint par un autre Fer-Né. Un Greyjoy, il lui semblait. Dur de remettre un nom sur son visage quand on essayait de dégager toute sa puissance musculaire. Un homme qui servait Asha, ça il en était sûr. Avec son heaume, il ne remarqua pas sa blessure à la jambe, mais ce n'était qu'un détail dans l'action. Poussant un soupir, le Timbal éructa à travers l'acier quelques paroles.
«C'est pas trop tôt, petit gars. J'ai vraiment cru que j'allais devoir me coltiner la besogne tout seul. Allez pousse de toutes tes forces. Nous allons montrer à ces Desdaings qu'ils ne peuvent rien contre nous sur mer comme sur terre !»
Denys commença à pousser. La porte commença à s'ouvrir de plus en plus et d'autres Fer-nés vinrent se joindre à l'effort. Le Timbal avait autant envie de les encourager que de leur gueuler dessus pour ne pas être arrivé plus tôt. Avec l'addition de toute leur forces, la porte ne résista plus très longtemps et s'ouvrit totalement, laissant ainsi le champ libre aux hommes rassemblés à l'extérieur de déferler dans la cours du château pour un véritable massacre sanglant. C'était déjà une victoire en soit. Maintenant, il fallait poster quelques hommes à la protection des portes, le temps d'assurer l'arrivée des troupes.
«Il faut des hommes pour garder cette porte. Vous cinq vous la garder. Le temps que les autres arrive. Moi et le petit gars on va surveiller les alentours pour que personne ne tente de venir vous causer des problèmes. T'es prêt petit gars ?»
Le Timbal lui mit une tape sur l'épaule avant de ramasser sa hache ainsi que son bouclier. Le Capitaine se mit à scruter les alentours. Il s'avança et un garde tenta de le stopper dans sa progression. Sans plus attendre, Denys lui trancha une partie du bras avec sa hache avant de l'assommer d'un coup puissant de bouclier et de s'assurer que son crâne finisse en bouillie après de nouveaux coups de haches. Il avait réussit un grand coup en ouvrant la porte mais cela ne voulait pas dire que la bataille était déjà jouée d'avance, loin de là. Dans ce merdier, il n'avait toujours aperçu aucun signe de Malvina. Ou donc cette bougresse blonde pouvait-bien se trouver. Denys commença à prier le Dieu Noyé afin que celui-ci accélère le mouvement de leur troupe. Et pendant qu'il croisait à nouveau le fer avec un garde, il sentit monter en lui à nouveau la ferveur du guerrier. Sans vergogne, il repoussa l'homme contre le mur adjacent à la porte et le molesta de coup de hache avant de se retourner attendant la suite de l'assaut sa hache maculée de sang, laissant derrière lui un mort.
«Par le Dieu Noyé, je vais devoir l'ouvrir seul cette catin. Je l'aurai mérité ma jeune cygne !»
Reprenant son mouvement, le Capitaine de la Phalange fut finalement rejoint par un autre Fer-Né. Un Greyjoy, il lui semblait. Dur de remettre un nom sur son visage quand on essayait de dégager toute sa puissance musculaire. Un homme qui servait Asha, ça il en était sûr. Avec son heaume, il ne remarqua pas sa blessure à la jambe, mais ce n'était qu'un détail dans l'action. Poussant un soupir, le Timbal éructa à travers l'acier quelques paroles.
«C'est pas trop tôt, petit gars. J'ai vraiment cru que j'allais devoir me coltiner la besogne tout seul. Allez pousse de toutes tes forces. Nous allons montrer à ces Desdaings qu'ils ne peuvent rien contre nous sur mer comme sur terre !»
Denys commença à pousser. La porte commença à s'ouvrir de plus en plus et d'autres Fer-nés vinrent se joindre à l'effort. Le Timbal avait autant envie de les encourager que de leur gueuler dessus pour ne pas être arrivé plus tôt. Avec l'addition de toute leur forces, la porte ne résista plus très longtemps et s'ouvrit totalement, laissant ainsi le champ libre aux hommes rassemblés à l'extérieur de déferler dans la cours du château pour un véritable massacre sanglant. C'était déjà une victoire en soit. Maintenant, il fallait poster quelques hommes à la protection des portes, le temps d'assurer l'arrivée des troupes.
«Il faut des hommes pour garder cette porte. Vous cinq vous la garder. Le temps que les autres arrive. Moi et le petit gars on va surveiller les alentours pour que personne ne tente de venir vous causer des problèmes. T'es prêt petit gars ?»
Le Timbal lui mit une tape sur l'épaule avant de ramasser sa hache ainsi que son bouclier. Le Capitaine se mit à scruter les alentours. Il s'avança et un garde tenta de le stopper dans sa progression. Sans plus attendre, Denys lui trancha une partie du bras avec sa hache avant de l'assommer d'un coup puissant de bouclier et de s'assurer que son crâne finisse en bouillie après de nouveaux coups de haches. Il avait réussit un grand coup en ouvrant la porte mais cela ne voulait pas dire que la bataille était déjà jouée d'avance, loin de là. Dans ce merdier, il n'avait toujours aperçu aucun signe de Malvina. Ou donc cette bougresse blonde pouvait-bien se trouver. Denys commença à prier le Dieu Noyé afin que celui-ci accélère le mouvement de leur troupe. Et pendant qu'il croisait à nouveau le fer avec un garde, il sentit monter en lui à nouveau la ferveur du guerrier. Sans vergogne, il repoussa l'homme contre le mur adjacent à la porte et le molesta de coup de hache avant de se retourner attendant la suite de l'assaut sa hache maculée de sang, laissant derrière lui un mort.
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Tempête de fer
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ASHA GREYJOY
Une flèche arriva pour atteindre le chevalier. Asha tourna la tête pour voir son cousin avec son arc. Bravo petit homme mais maintenant il allait avoir le géant sur le dos. Cependant la fer-née qui avait dû battre en retraire, profita de l’inattention du chevalier pour l’abattre en l’attaquant pas derrière. Lent, il n’eut pas le temps de répliquer et s’effondra sur le sol. Les combats régnaient de tous les côtés, il en fallait énormément pour tenter de discerner ce qu’il se passait. Un véritable capharnaüm régnait. Plus proche de la citadelle que de la porte d’entrée, Asha décida de faire le passage jusque-là en tuant le plus de garde possible pour laisser ensuite la masse de fer-né pénétrer à l’intérieur et faire un joli massacre. Elle taillada, fit gicler le sang à profusion autour d’elle. La rage des fers-nés n’avaient pas d’égale.
Tournant la tête vers la lourde porte, elle vit Quenton et Denys ouvrit la porte avec l’aide d’autres fers-nés. Voilà une bonne chose de faites. Désormais l’armée des Iles de Fer pouvaient se déferler aux cœurs même de Beaumarché. Cependant au loin, Asha vit des fumées noires monter dans le ciel. Ce n’était pas bon. Elle remarqua également qu’Harras manquait à l’appel des hommes qui entrait. Elle attrapa un de ses hommes. « Toi, file donnez un coup de main à Harras, et dit Qarl de protéger le boutre où il aura le droit à deux lunes d’abstinence totale ! » Il hocha la tête et déguerpis en direction du fleuve. Elle finit donc d’achever un homme qui vint à sa rencontre pour l’insulter. Sa hache siffla et vint terminer dans les entrailles du soldat. « TIMBAL ! RAMENE TES FESSES OU JE GARGE LA JOUVENCELLE POUR MOI ! » Elle éclata de rire seule et lança sa hache sur un homme voulant la prendre par surprise. Elle jouait la provocation avec Denys. « Quenton ! Malvina ! On se bouge avant que ça ne se taire à l’intérieur comme de vulgaire lapin ! » Un soldat tenta de fermer la porte d’accès à la citadelle mais un homme d’Asha décocha une flèche qui vint s’enfoncer dans la gorge de l’homme. « Vous deux à l’intérieur en éclaireur ! Nous autres, on garde cette foutue porte pour les empêcher de se cacher ! »
Les fers-nés se déployèrent attendant les renforces, tenant la porte de l’intérieur et de l’extérieur. Finalement tout se passait plutôt bien.
***
Du côté du fleuve les choses se gâtaient. Des riverains menaient par Lord Mallister commencèrent à brûler les Snekkars. L’homme envoyé par Asha trouva Harras. « Asha m’envoie vous dire que tout ce passe bien la haut ! Je viens vous prêter main forte pour botter les fesses à ceux brûlant nos boutres ! j’ai des hommes vers le fleuve en renfort également ! » Il fallait vite organiser les défenses avant que cela ne soit trop tard et qu’ils ne puissent plus rentrer chez eux après ce pillage.
Tournant la tête vers la lourde porte, elle vit Quenton et Denys ouvrit la porte avec l’aide d’autres fers-nés. Voilà une bonne chose de faites. Désormais l’armée des Iles de Fer pouvaient se déferler aux cœurs même de Beaumarché. Cependant au loin, Asha vit des fumées noires monter dans le ciel. Ce n’était pas bon. Elle remarqua également qu’Harras manquait à l’appel des hommes qui entrait. Elle attrapa un de ses hommes. « Toi, file donnez un coup de main à Harras, et dit Qarl de protéger le boutre où il aura le droit à deux lunes d’abstinence totale ! » Il hocha la tête et déguerpis en direction du fleuve. Elle finit donc d’achever un homme qui vint à sa rencontre pour l’insulter. Sa hache siffla et vint terminer dans les entrailles du soldat. « TIMBAL ! RAMENE TES FESSES OU JE GARGE LA JOUVENCELLE POUR MOI ! » Elle éclata de rire seule et lança sa hache sur un homme voulant la prendre par surprise. Elle jouait la provocation avec Denys. « Quenton ! Malvina ! On se bouge avant que ça ne se taire à l’intérieur comme de vulgaire lapin ! » Un soldat tenta de fermer la porte d’accès à la citadelle mais un homme d’Asha décocha une flèche qui vint s’enfoncer dans la gorge de l’homme. « Vous deux à l’intérieur en éclaireur ! Nous autres, on garde cette foutue porte pour les empêcher de se cacher ! »
Les fers-nés se déployèrent attendant les renforces, tenant la porte de l’intérieur et de l’extérieur. Finalement tout se passait plutôt bien.
***
Du côté du fleuve les choses se gâtaient. Des riverains menaient par Lord Mallister commencèrent à brûler les Snekkars. L’homme envoyé par Asha trouva Harras. « Asha m’envoie vous dire que tout ce passe bien la haut ! Je viens vous prêter main forte pour botter les fesses à ceux brûlant nos boutres ! j’ai des hommes vers le fleuve en renfort également ! » Il fallait vite organiser les défenses avant que cela ne soit trop tard et qu’ils ne puissent plus rentrer chez eux après ce pillage.
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- dé:
Lancé 1 :
1 à 50 : le groupe d’Asha tient la porte aisément
51 à 100 : les deux hommes de l’intérieur se font tuer et tentent d’en finir avec le petite groupe de l’extérieur.
Lancé 2 :
1 à 25 : Les hommes d’Asha protégeant les boutres se font massacrer
26 à 75 : la bataille est équilibrée.
76 à 100 : les fers-nés massacrent une cinquantaine de riverains.
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La Tempête de Fer
Shade of the evening
Alors que la ville était dévorée par les flammes, Harras essayait de se faire entendre alors que de plus en plus d’hommes se réunissaient autour de son commandement, l’obligeant à monter sur un chariot retourné afin de gueuler des ordres. Il avait chargé l’un de ses hommes de trouver un cheval afin d’avoir un point de vu plus agréable de la situation qui s’annonçait hélas précaire, il fallait l’avouer. La prise du château ne semblait pas trop mal se dérouler, il n’y avait pas de retour d’hommes ce qui était bon signe, mais par contre en-dehors de la ville, ses éclaireurs lui signalait que les riverains ne se gênaient pas pour commencer à incendier la flotte et un Fer-Né sans boutre, c’était un tableau qui avait de quoi inquiéter le Harloi. Putain de plan de merde ! Les Greyjoy n’avaient visiblement pas pensé à tout et maintenant, cette expédition pouvait se transformer en déroute si rien n’était fait pour sauver la flotte.
Alors qu’il était en pleine réflexion, un homme arriva du château qui fut prompt à donner les ordres d’Asha et Harras eut un léger rire avant de cracher par terre. “Ouais… Dépêchons-nous de réparer les conneries des autres…” Il haussa les épaules et regarda un homme à la gueule cassée et d’un signe, l’homme compris et il gueula plus fort que n’importe qui, faisant taire la plupart des hommes qui piaffaient d’impatience et tous les yeux se braquèrent sur Harras. “Bon ! Il semble qu’ils ont enfin arrêté de jouer avec les riverains dans le château.” Des acclamations fusèrent ici et là avant que le calme relatif ne revienne. “Mais d’autres sont en train de brûler nos navires, est-ce que nous sommes aussi faibles que ça pour laisser nos boutres prendre l’eau ? Ne sommes-nous pas des Fer-Nés ?” Un grondement dans la foule, le Harloi pouvait voir que l’insulte ne passerait pas et qu’ils préféraient mourir sur le pont de leurs navires plutôt que de voir ceux-ci sombrer aussi bêtement. “Mais y aller comme des soudards qui veulent en découdre ne fera que faire couler notre sang inutilement alors vous allez me faire le plaisir d’écouter mes putains d’ordres sinon je jure par le Dieu Noyé que je m’occuperais de vous fourrer votre propre épée dans le cul !” Une nouvelle acclamation et Harras fut satisfait. Au même moment, on lui présenta un cheval, pas un destrier hélas, mais il semblait robuste, c’était toujours mieux que rien et il grimpa sur la selle, dégainant Crépuscule, la levant bien haut avant d'éperonner sa monture, à la guerre maintenant.
Le petit groupe quitta la sécurité de la ville, ce que le chevalier n’aimait pas, mais alors pas du tout, au moins, ils avaient l’avantage, mais maintenant, à terrain découvert, ce serait plus difficile et puis, en regardant le nombre d’hommes, à peine plus d’une centaine, il commençait à douter qu’il puisse arriver à quelque chose. Il organisa la petite troupe comme il pouvait, essayant de former grossièrement un arc de cercle, boucliers relevés afin d’éviter les flèches mortelles, la première ligne se composait d’hommes armés de piques, derrière eux, ceux possédant une épée, une hache et enfin, derrière les quelques archers. Cette formation était simple mais efficace, avec si peu d’hommes, ils allaient rapidement se faire déborder et l’arc de cercle permettait de rapidement former un cercle protégeant de façon unilatérale la troupe, comme un gros hérisson, c’était une tactique défensive, mais Harras avait trop peu de Fer-Nés, il devait attendre les renforts.
Juché sur son cheval, Harras se démarquait de nombreux Fer-Nés, chevalier, il savait monter un cheval sans difficulté et son armure montrait son rang. Sa tactique était simple, attirer le gros de l’armée riveraine afin que les boutres puissent se dégager de la berge, au pire des cas, remonter plus haut jusqu’à Beaumarché et pour Harras, il fallait trouver les ou le meneur, car une armée sans tête, c’était une armée en quasi déroute. Il espérait avoir des renforts et pourquoi pas quelques marins débarquer sur les flancs adverses.
Il recommanda son âme, son poing serrant Crépuscule, gueulant parfois des ordres afin que la formation reste cohérente. Mais plus que tout, il maudit les Greyjoy de ce plan fumeux, ce n’était pas l’habitude de son peuple que de mener une bataille rangée et voilà qu’il était obligé d’affronter une troupe disciplinée. Lentement, mais sûrement, ils avancèrent et en face, les riverains étaient déjà déployés. Harras leva bien haut son arme afin de se faire remarquer et à la fois en signe de défi envers le commandant adverse, s’il était un chevalier avec le sens de l’étiquette, il accepterait certainement le gant, mais ça, c’était une autre histoire. Enfin, s’il devait crever, il le ferait avec suffisamment de panache pour que son nom résonne pendant quelques années… Putain de merde, ils étaient vraiment nombreux. Il calcula rapidement, il devait y avoir plus de sept cent hommes en face… Contre cent et quelques de son côté et encore, si le commandant d’en face n’était pas un idiot, il avait une réserve que Harras ne voyait pas… Ici et là, il y avait de petites bandes de Fer-Nés qui allaient aussi vers les boutres, mais ils étaient trop désorganisés et le reste des troupes étaient au château… Harras gueula afin de les rallier avant d’affronter la force ennemie, il fallait montrer un front uni… C’était vraiment une journée de merde...
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La tempête de Fer
Beaumarché, An 299, lune 4, semaine 4, 2 semaine après la prise de pouvoir de Viserys
Les troupes des Mallister constitué de riverain étaient rangées de façon ordonnée, bien que les fers nés qui étaient complètement désordonnés. Le seigneur de Salvemer avait détaché trois cents hommes pour massacrer les fers nés près des boutres. Mais que valaient des riverains face à des guerriers féroces des Îles de Fer ? Pas grand-chose, mais leur courage ne déméritait pas. Ils étaient peut-être piètre combattant mais leur nombre et l’effet de surprise, leur rent de massacrer les fers nés présents et prendre l’avantage. Ils commencèrent à mettre le feu aux boutres, criant d’allégresse face à leur petite victoire. Mais Lord Jason ne s’attarda pas sur ces hommes, mais plus sur la centaine de fers nés menés par Harras Harloi contre les autres riverains. Les ordres fusèrent et les défenseurs du Conflans se rangèrent en ligne, leur pique et lance tendu vers l’ennemi. Le chevalier du clan adverse semblait vouloir un duel. Cela fit doucement rigoler le seigneur qui n’accordait aucune confiance à l’honneur de ce peuple qui pillait régulièrement sa ville. Il avait l’avantage du nombre, pas de l’expérience et de l’armement mais si ses troupes restaient unies, il y avait de grande chance pour que les chances de victoire se dessinent. Alors il fit un dernier discours d’encouragement.« Ces hommes face à vous, n’ont aucun honneur. Ils pillent vos villages, violent vos femmes et tuent vos enfants. Ils n’auront aucune pitié à vous saigner alors n’en ayez aucune. Pas de quartier ! Vous êtes plus nombreux ! Ce sont des chiens galeux qui ne connaissent que la barbarie. Apprenons-leur la solidarité du Conflans ! CHARGEZ ! »
Les hommes s’élancèrent à grands cris vers les fers nés. Leur courage les portait mais leur inexpérience des combats leur faisait grandement défaut. Rien n’était gagné, rien n’était perdu. Seul l’avenir pouvait dire ce qui allait se passer par la suite.
**********
Au cœur de la ville, les fers nés avaient réussi à pénétrer. Un flot continu de barbare mené par Victarion entrait au centre de Beaumarché tuant et massacrant tout sur leur passage. Asha Grejoy avait tenté de tenir la porte mais derrière, des archers avaient abattu ses deux chiens de garde. Les renforts finirent de massacrer les hommes présents dans la cour. L’avenir des Desdaings était plus qu’incertain. On pouvait se demander ce que faisaient Criston Desdaings et son héritier. Les fers nés entrèrent en trombe dans la demeure de la famille régnant sur le Conflans. Les archers furent submergés par le nombre. Se battre et mourir ou fuir et vivre était les dernières possibilités tandis que la demeure commençait à mettre à sac.
**********
Dans le Conflans, la présence des fers nés avait vite fait jasé. Le Roi Rhaegar avait royalement ignoré les appels des Desdaings et continué à guerroyer contre ses opposants. Stannis lui, profita de l’inattention générale pour filer en douce sans aucune opposition. Mais deux grandes maisons virent une opportunité de reprendre ce qui leur avait été volé plusieurs centaines d’années plus tôt. L’est et l’Ouest allaient se faire la guerre comme aux temps des Andals. Tytos Nerbosc de Cornelia accompagné de 600 hommes fidèles partisans du Roi Rhaegar et Jonos Bracken fidèle au nouveau roi Viserys III, était lui accompagner de 500 hommes. Les deux nobles marchaient sur Beaumarché pour prendre le pouvoir, soutenir les fers nés pour les Bracken et faire semblant de soutenir les Desdaings pour les Nerbosc.
Alors Jonos arriva par le nord et put prendre les hommes de Mallister par-derrière, venant en soutien à Harras Harloi. Tandis que les Nerbosc attaquaient par le Sud, en soutenant les Harlton et tentant d’entrer dans Beaumarché qui était aux proies des flammes de la guerre.
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La demeure Desdaings, ses verts jardins et sa jolie fontaine en ruine. La demeure Desdaings, en proie aux flammes, en proie au désespoir face a la puissance incontestable de la flotte de fer. De son peuple, de sa nation. Au milieu de cette véritable marrée humaine qui déferlait dans la cours, massacrant, tuant et détruisant tout sur son passage se tenait un jeune homme d'une poignée d'année, regardant vers l'avenir, ou le jour de sa vingtaine approchant. Quenton avait mal partout, chacun de ses muscles, jusqu'aux orteils, lui était pénible a bouger. Son souffle était court et sa peau, enduite de sueur. La bataille faisait rage mais bientôt, il n'eut plus d'archers pour lui causer blessure similaire a ce qui lui martyrisait la jambe. Il se tenait là, debout, dans l'embrasure de la porte, au milieu des troupes déferlantes. Et il admirait Beaumarché tomber.
Toutefois près a réagir, le jeune fer-né s'était élancé vers les portes du château pour les empêcher de se refermer, s'arrêtant mi-chemin pour contempler l'échec auquel était voué telle action. Les hommes retenant ces lourdes portes furent cueillis par une volée venant de l'intérieur, laissant la famille régnante le luxe d'une poignée de minutes supplémentaires. Les colonnes de fumées étaient déjà bien haute dans le ciel quand la demeure des Desdaings fut finalement atteinte, Quenton rameuta les hommes pour un discours. Une motivation de plus pour accroître leur soif de sang.
«Voyez donc, compagnons, ce que valent ces putains Riveraines!»
Cris d'exclamation pendant lequel il en profite pour se hisser sur un escalier, bénéficiant de chacun des regards.
«DES RATS! Tous des rats, des nobles en jolie robes tout juste bons pour des courbettes, ou pour lécher le cul des nobles au-dessus!»
Nouvelles exclamation ou il entend chacun des cognements sur la lourde porte qui ne tardera pas a être enfoncée.
«Ses petites merdes n'avaient pas un semblant de courage menés par les Tully. Ils n'en auront pas plus une fois gouverné par les Desdaings.» Exclamation nouvelle ou il s'apprête a redescendre, seulement pour en ajouter un peu «OH. Et une dernière chose.»
Le silence s'installe l'espace de quelque secondes, moment ou les hommes attendent la suite qui tarde a venir. Qu'ils l'entendent, qu'ils le rugissent et que les lapins terrés dans leurs terriers ne salissent leurs jolis apparats en l'entendant. Les fer-nés ont gagnés cette guerre. Couteau ensanglanté en main et rage au ventre, c'est avec la force d'un lion que Quenton rugis.
«DE SEL ET DE FER!»
«DE SEL ET DE FER!»
Boom. La porte vole a ce moment en éclat et les cris de guerres se multiplient. La marrée fer-née pénètre dans la demeure, saccage tout et s'occupe des gardes qui tentent vainement de les retenir. Pendant ce temps, c'est toujours plus éreinté que le jeune homme descend des escaliers, parcoure la cour désormais sécurisée pour venir a la rencontre d'une poignée d'hommes restés derrière.
«Rassemblez tout les prisonniers, tout ceux ayant survécu, blessés ou non. Montez-les sur les remparts.»
Tu te diriges vers l'intérieur a ton tour, seulement pour être interrompu a mi chemin.
«Et ensuite, capitaine?»
«Préparez des cordes et attendez mon signal.»
Et Quenton disparu dans le domaine.
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La tempête de Fer
Malvina ne sentait plus son corps tout entier mais il fallait continuer, ils y étaient presque et ce n'était pas du tout le moment de flancher en se laissant aller, elle avait une mission et elle comptait bien aller jusqu'au bout! Entendant Asha parler elle attendit que les deux gros molosses ouvrent la porte et que le cri de guerre se fit entendre pour foncer dans le domaine parmi tout ses frères et soeurs d'armes. Les cris faisaient froid dans le dos et on pouvait entendre les servantes des Desdaings crier de peur mais Malvina ne faisait pas attention à ça et plutôt aux derniers soldats qui restaient dans cet endroit, sans attendre la jeune guerrière trancha la gorge d'un coup d'épée à l'homme qui avait foncé sur elle, un combat allait lui prendre tout sa force et elle ne se sentait pas du tout le courage d'en faire un, abréger les souffrances de ses hommes qui avaient dut être entrainé dans cette guerre sans avoir d'entrainement avant et ayant un autre boulot que soldat.
Le sang coulé, la sueur coulait et les cris sortaient de la bouche des attaquant comme des blessés, elle sentait de frissons d'excitation monter en elle et en voyant arriver derrière tout ses soldats Criston Desdaings elle sentit un petit sourire illuminer son visage, tout le monde étaient pris dans la bataille et personne ne l'avaient vu arriver avec sa magnifique armure qui scintillait au soleil, si elle n'était pas venu pour le tuer elle l'aurait sûrement trouvée très beau mais son sang chauffa à l’intérieur de son corps et sans vraiment s'en rendre compte elle commença à marcher d'une vive allure jusque lui qui venait de planter ses yeux bleu dans les siens en attendant que cette guerrière vienne à lui.
Les soldats essayaient de lui barrer le passage mais Malvina n'avait qu'une chose en tête, le tuer! Tuer le plus grand de ce territoire et mettre fin à cette petite gueguerre d'enfant, le sang coulait autour d'elle à chaque fois qu'elle levait son épée mais son sourire était toujours sur ce jolie visage, plus rien ne comptait autour d'elle, même savoir ou était Denys n'était plus important ou sa douleur à sa cuisse, le principal était d'arriver jusqu'à lui sans se faire couper la tête. Des minutes passèrent avant qu'elle n'arrive à tuer les deux gardes qui avaient essayés de garder en vie leur souverain mais la jeune femme n'avait eu aucun remord en leur tranchant la gorge.
Elle était face à cette homme dont elle avait entendu beaucoup d'histoire sur lui et savait que c'était un grand guerrier mais aucun doute ne trônait en elle car au fond elle savait qu'elle avait déjà tuée des hommes bien plus redoutable que lui, l'épée en garde elle sauta sur lui en criant un petit cri de guerre, les coups étaient rapide et à chaque fois il arrivait à stopper son épée mais elle ne perdait jamais espoir et repartait de plus belle sans jamais se soucier de sa jambe qui saignait sans s'arrêter. Le Desdaings avait très bien vu sa blessure et lui donna un coup à la cuisse qui lui fit perdre l'équilibre, sans s'y attendre elle se retrouva au sol avec l'homme qui était au dessus d'elle en train de lever son épée pour la terminer mais Malvina n'avait pas fini et attrapant le manche d'une hache qu'un fer né avait dut laisser tomber pendant le combat, elle l'attrapa des deux bras et le plongea le plus fort possible dans le torse de ce souverain, ses yeux descendirent vers l'arme qui venait de le transpercer et l'observant lâcher l'épée qui avait faillit la tuer elle se releva en essayant de ne pas montrer sa douleur et en plongeant ses yeux dans celui de cet homme, elle attrapa la hâche pour la planter encore plus profond dans la plaie qui saignait de plus en plus. La vie était en train de quitter Criston Desdaings et elle ne voulait pas quitter cette scène du regard, elle n'en revenait toujours pas de ce qu'elle avait fait mais voulait être sur qu'il était bel et bien en train de mourir, le voyant tomber au sol elle s'agenouilla devant lui et lui ferma les yeux avant de retirer la hache d'un coup sec en la levant au ciel en poussant un cri de guerre qui lui donna des frissons.
"LE FER A VAINCU" Et Criston Desdaings venait de tomber de sa main..
Le sang coulé, la sueur coulait et les cris sortaient de la bouche des attaquant comme des blessés, elle sentait de frissons d'excitation monter en elle et en voyant arriver derrière tout ses soldats Criston Desdaings elle sentit un petit sourire illuminer son visage, tout le monde étaient pris dans la bataille et personne ne l'avaient vu arriver avec sa magnifique armure qui scintillait au soleil, si elle n'était pas venu pour le tuer elle l'aurait sûrement trouvée très beau mais son sang chauffa à l’intérieur de son corps et sans vraiment s'en rendre compte elle commença à marcher d'une vive allure jusque lui qui venait de planter ses yeux bleu dans les siens en attendant que cette guerrière vienne à lui.
Les soldats essayaient de lui barrer le passage mais Malvina n'avait qu'une chose en tête, le tuer! Tuer le plus grand de ce territoire et mettre fin à cette petite gueguerre d'enfant, le sang coulait autour d'elle à chaque fois qu'elle levait son épée mais son sourire était toujours sur ce jolie visage, plus rien ne comptait autour d'elle, même savoir ou était Denys n'était plus important ou sa douleur à sa cuisse, le principal était d'arriver jusqu'à lui sans se faire couper la tête. Des minutes passèrent avant qu'elle n'arrive à tuer les deux gardes qui avaient essayés de garder en vie leur souverain mais la jeune femme n'avait eu aucun remord en leur tranchant la gorge.
Elle était face à cette homme dont elle avait entendu beaucoup d'histoire sur lui et savait que c'était un grand guerrier mais aucun doute ne trônait en elle car au fond elle savait qu'elle avait déjà tuée des hommes bien plus redoutable que lui, l'épée en garde elle sauta sur lui en criant un petit cri de guerre, les coups étaient rapide et à chaque fois il arrivait à stopper son épée mais elle ne perdait jamais espoir et repartait de plus belle sans jamais se soucier de sa jambe qui saignait sans s'arrêter. Le Desdaings avait très bien vu sa blessure et lui donna un coup à la cuisse qui lui fit perdre l'équilibre, sans s'y attendre elle se retrouva au sol avec l'homme qui était au dessus d'elle en train de lever son épée pour la terminer mais Malvina n'avait pas fini et attrapant le manche d'une hache qu'un fer né avait dut laisser tomber pendant le combat, elle l'attrapa des deux bras et le plongea le plus fort possible dans le torse de ce souverain, ses yeux descendirent vers l'arme qui venait de le transpercer et l'observant lâcher l'épée qui avait faillit la tuer elle se releva en essayant de ne pas montrer sa douleur et en plongeant ses yeux dans celui de cet homme, elle attrapa la hâche pour la planter encore plus profond dans la plaie qui saignait de plus en plus. La vie était en train de quitter Criston Desdaings et elle ne voulait pas quitter cette scène du regard, elle n'en revenait toujours pas de ce qu'elle avait fait mais voulait être sur qu'il était bel et bien en train de mourir, le voyant tomber au sol elle s'agenouilla devant lui et lui ferma les yeux avant de retirer la hache d'un coup sec en la levant au ciel en poussant un cri de guerre qui lui donna des frissons.
"LE FER A VAINCU" Et Criston Desdaings venait de tomber de sa main..
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Tempête de fer
we can survive
L’air qui fouettait son visage était semblable à une paire de gifles qu’elle aurait pu prendre de la main de son oncle. Le mal l’accaparait de toute part, si bien que les larmes se mirent à couler le long de ses joues. Silencieuses, elles paraissaient comme perdues dans ce méandre de douleurs, de cris et de tristesse. L’espoir que Torvald aille mieux, derrière ce tissu qui servait de tente, ne cessait de grandir, alors que la jeune fille prenait conscience que plus jamais il ne garderait la vision qu’il avait voulu entretenir d’elle. Peut être deviendrait-elle son ennemi alors qu’elle lui avait fait du mal en le soignant ? Peut être qu’il aurait perçu ses gestes comme une atteinte à sa dignité ? La noirceur des volutes éloignées arrivaient à étouffer l’âme de la jeune Harlton. Elle payait les conséquences du choix de son oncle. Feignant d’éternuer, la jeune fille en profita pour sécher ses larmes alors que Roanney se tenait droit à ses côtés. « Ma Lady, si je peux me permettre, ne soyez pas trop sévère envers vous-même. » Le regard de la jeune Harlton se porta directement en direction du chevalier qu’elle considérait comme l’un de ses pères alors que son conseil touchait son âme entièrement. « Nous n’en ressortions pas vainqueurs. » Ce constat lui brûlait la gorge. « Je le crains… Mais vous avez fais preuve d’un véritable sang froid. Maintenez le pour quelques temps encore, du moins jusqu’à notre départ. » Lady Harlton acquiesça d’un signe de tête avant que ses yeux ne se posent sur le sol. Il fallait qu’elle relève son regard et savait qu’elle ne pouvait le faire qu’avec deux hommes présents sur ce campement. Un était à ses côtés et l’autre derrière le drap qu’elle venait tout juste de quitter. Et pour eux, mais aussi pour son amie Camelya qui devait probablement fonder ses espoirs sur elle, la jeune Harlton remonterait son regard. Inspirant bruyamment, la jeune fille releva ses yeux et remarqua un mouvement un peu plus éloigné. « Des troupes ? » « Il semblerait que le Conflans bouge enfin ses miches. » Marianne regarda en direction de Roanney avec un air quelque peu exaspéré. Duquel se mit à rire avant d’emboîter son pas pour ainsi se rendre un peu plus en avant sur le campement de fortune. Le bruit sourd de pas rythmés en cadence ne cessait de résonner de plus belle. Laissant ainsi présager d’une menace grandissante qui venait tout droit vers leur direction. « L’arbre noir parsemé de corbeaux, les Nerbosc… » Ancienne maison prestigieuse du Conflans, Marianne gardait le souvenir d’une entrevue entre son oncle et le gardien de cette lignée. Ancienne maison vassale des Tully, les sourcils de la jeune fille se froncèrent alors qu’elle comprenait pourquoi leur présence avait tardé mais surtout pour quelles raisons elle se trouvait ici maintenant. Néanmoins, il valait mieux laisser de côté des réticences passer et compter ainsi sur l’aide de tout un chacun. Leur union ferait leur force et discourir des allégeances seraient à faire plus tard.
Le chef des armées de cette maison finit par se présenter devant la jeune fille. Un homme d’une carrure imposante qui reflétait plus que de coutume un profond respect quant à sa prestance digne d’un caractère hautain et dédaigneux. S’avançant vers ce dernier, la jeune Harlton n’exprima ni contentement, ni désagrément quant à cette rencontre. Aussi stoïque que le marbre, elle se contenta juste de le regarder de bas en haut sans ployer. « Votre soutien permettra notre survie face à cette bande de sauvage. Castel-Bois n’oubliera pas. » Ses mots lui arrachaient la langue, mais elle devait se rendre à l’évidence. « Nos troupes ont été touchés et amoindries par la bataille. Je ne peux permettre à l’ensemble de mes hommes de partir rejoindre vos rangs tant cela serait dangereux pour notre retour. Aussi, vous accorderai-je le tiers de mes soldats, puissent-ils vous offrir l’aide nécessaire quant à la survie de nos suzerains actuels. L’idée même de récupérer la place forte n’est qu’utopie, néanmoins trouver Alessander Desdaings et sa famille pour leur offrir asile semble être la meilleure alternative. » Les yeux de la jeune fille ne dévièrent pas de ceux de cet homme, révélant d’une réelle volonté quant à sa détermination. « Il est agréable de voir le Conflans unifié face à une menace extérieure. » Peut être enterraient-ils une haine passée par cette bataille ? Peut être pourraient-ils trouvaient une nouvelle alliance pour ainsi permettre une meilleure pérennité au Conflans ? Le temps leur dirait ce qu’il en serait. Mais en attendant, Marianne s’inclinait et prenait congé de Tytos Nerbosc pour retrouver la route des siens et attendre l’issu de ce combat. Ses choix étaient tout tracés, elle pouvait dès à présent se permettre de retrouver les siens.
Le chef des armées de cette maison finit par se présenter devant la jeune fille. Un homme d’une carrure imposante qui reflétait plus que de coutume un profond respect quant à sa prestance digne d’un caractère hautain et dédaigneux. S’avançant vers ce dernier, la jeune Harlton n’exprima ni contentement, ni désagrément quant à cette rencontre. Aussi stoïque que le marbre, elle se contenta juste de le regarder de bas en haut sans ployer. « Votre soutien permettra notre survie face à cette bande de sauvage. Castel-Bois n’oubliera pas. » Ses mots lui arrachaient la langue, mais elle devait se rendre à l’évidence. « Nos troupes ont été touchés et amoindries par la bataille. Je ne peux permettre à l’ensemble de mes hommes de partir rejoindre vos rangs tant cela serait dangereux pour notre retour. Aussi, vous accorderai-je le tiers de mes soldats, puissent-ils vous offrir l’aide nécessaire quant à la survie de nos suzerains actuels. L’idée même de récupérer la place forte n’est qu’utopie, néanmoins trouver Alessander Desdaings et sa famille pour leur offrir asile semble être la meilleure alternative. » Les yeux de la jeune fille ne dévièrent pas de ceux de cet homme, révélant d’une réelle volonté quant à sa détermination. « Il est agréable de voir le Conflans unifié face à une menace extérieure. » Peut être enterraient-ils une haine passée par cette bataille ? Peut être pourraient-ils trouvaient une nouvelle alliance pour ainsi permettre une meilleure pérennité au Conflans ? Le temps leur dirait ce qu’il en serait. Mais en attendant, Marianne s’inclinait et prenait congé de Tytos Nerbosc pour retrouver la route des siens et attendre l’issu de ce combat. Ses choix étaient tout tracés, elle pouvait dès à présent se permettre de retrouver les siens.
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Tout c'était enchaîné très vite. L'ouverture des portes, la mort des chiens de garde d'Asha, l'arrivée des renforts et le tumulte d'autres combats qui leur parvenaient de l'extérieur de l'enceinte du château. Impossible de savoir ce qui se passait là bas, quant bien même Denys n'en avait cure. Ce qu'il se passait ici était déjà bien trop prenant en action pour avoir à se soucier d'autre chose. Il pénétra lui aussi dans le bâtiment de vie des Desdaings. Les portes avaient cédées et les gardes devaient se faire de plus en plus rare en comparaison à la vague de Fer-Né qui déferlait sur eux. La fatigue se faisait légèrement sentir et il avait perdu Malvina et le petit gars de vue. Pour l'heure, il avançait avec une troupe de gars à l'intérieur du hall d'entrée et prit des marches qui menaient vers la gauche. Son objectif n'était pas de tout pillé ou de tout saccager. Il était un peu plus prestigieux que tout cela. Asha lui avait fait une promesse et le Capitaine comptait bien la voir honorée. Il avait combattu vaillamment, était l'un des premiers à s'être lancé dans la prise du château et avait ouvert ces fichues portes. Une prise de choix lui revenait donc de droit et personne ne pourrait le contredire là dessus.
«Asha m'a promis une nobliote pour réchauffer ma couche et on ne repartira pas d'ici sans que je n'en ai trouvé une. La jeune est ma priorité mais si nous tombons sur la plus âgée et qu'elle est bien conservée, elle fera l'affaire ha ha ha. Allez y mes braves, débusquez moi ces Cygnes et enfumons les si besoin est ha ha ha !»
Il y avait certes des objets de valeurs dans le château mais Denys ne lui accordait pas tant d'importance que cela. S'il venait à détruire ce château, ils marqueraient un grand coups et chaque riverain pourrait à nouveau redouter le peuple Fer-Né. Ces Seigneurs des rivières à la bottes d'Aegon avaient capitulés et ce dernier avec son dragon avait brûlé Harrenhal. Denys ne disposait pas de dragons mais il était peut-être temps de leur rendre la monnaie de leur pièce en faisant connaître un sort similaire à l'un de leur château. Un juste retour des choses. Une vengeance qui allait s'accomplir après presque 300 ans. Les Chenu devaient sans doute s'amuser de la situation dans la Demeure du dieu Noyé. Les hommes qui l'accompagnaient étaient joyeux et renversaient des meubles, décrochaient des tableaux. Il en vit même un uriner sur un blason de la maison Desdaings. De temps à autres ils croisaient des civils ou des gardes mais rien de fâcheux à déplorer à l'horizon bien que l'un des hommes s'arrêta pour tenter de chevaucher une donzelle qui s'échappa de son étreinte avec la souplesse d'un félin et prit ses jambes à son coups, le Fer-né sur ses talons, déclenchant un fou-rire général et collectif.
«Quand on aura trouver ma nouvelle donzelle, vous me ferez le plaisir de bouter le feu à ses tapisseries. Leur Cygne me débecte. On va leur montrer qu'on a pas besoin de dragon pour brûler l'une de leur forteresse. La pierre ne brûlera peut-être pas mais elle se noircira et tout ce que les flammes dévoreront restera visibles pour les prochaines générations ha ha ha. Jamais les Desdaings ne se relèveront mes braves. On chantera nos noms pendant des siècles pour fêter la chute de Beaumarché !»
«Asha m'a promis une nobliote pour réchauffer ma couche et on ne repartira pas d'ici sans que je n'en ai trouvé une. La jeune est ma priorité mais si nous tombons sur la plus âgée et qu'elle est bien conservée, elle fera l'affaire ha ha ha. Allez y mes braves, débusquez moi ces Cygnes et enfumons les si besoin est ha ha ha !»
Il y avait certes des objets de valeurs dans le château mais Denys ne lui accordait pas tant d'importance que cela. S'il venait à détruire ce château, ils marqueraient un grand coups et chaque riverain pourrait à nouveau redouter le peuple Fer-Né. Ces Seigneurs des rivières à la bottes d'Aegon avaient capitulés et ce dernier avec son dragon avait brûlé Harrenhal. Denys ne disposait pas de dragons mais il était peut-être temps de leur rendre la monnaie de leur pièce en faisant connaître un sort similaire à l'un de leur château. Un juste retour des choses. Une vengeance qui allait s'accomplir après presque 300 ans. Les Chenu devaient sans doute s'amuser de la situation dans la Demeure du dieu Noyé. Les hommes qui l'accompagnaient étaient joyeux et renversaient des meubles, décrochaient des tableaux. Il en vit même un uriner sur un blason de la maison Desdaings. De temps à autres ils croisaient des civils ou des gardes mais rien de fâcheux à déplorer à l'horizon bien que l'un des hommes s'arrêta pour tenter de chevaucher une donzelle qui s'échappa de son étreinte avec la souplesse d'un félin et prit ses jambes à son coups, le Fer-né sur ses talons, déclenchant un fou-rire général et collectif.
«Quand on aura trouver ma nouvelle donzelle, vous me ferez le plaisir de bouter le feu à ses tapisseries. Leur Cygne me débecte. On va leur montrer qu'on a pas besoin de dragon pour brûler l'une de leur forteresse. La pierre ne brûlera peut-être pas mais elle se noircira et tout ce que les flammes dévoreront restera visibles pour les prochaines générations ha ha ha. Jamais les Desdaings ne se relèveront mes braves. On chantera nos noms pendant des siècles pour fêter la chute de Beaumarché !»
- Spoiler:
- Lancé de Dés : Rencontre de Denys
Si nombre pair : il se dirige vers Alyssa Desdaings
Si nombre Impair : il se dirige vers Cerenna Desdaings
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'Dé 6' : 4
'Dé 6' : 4
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La Tempête de Fer
Shade of the evening
La bataille allait être très serrée, Harras essayait tout en haranguant ses hommes de trouver une faille dans la ligne de bataille adverse, mais il fallait avouer que celui qui menait cette armée ne prenait pas de risques. Il se plaça derrière ses hommes et le cortège guerrier ne s’arrêtait pas malgré les flèches qui fusèrent, les carreaux s’incrustaient dans les boucliers et parfois dans la chair, mais pour l’instant, le Harloi était satisfait de constater que sa formation tenait, il fallait juste tenir jusqu’à la ligne de bataille des riverains et ensuite, le massacre arriverait.
“Tenez cette foutue formation bande de bâtards !” Les hommes beuglèrent leurs approbations et ils continuèrent encore et toujours. L’homme regarda autour de lui, les navires pour certains étaient en proie aux flammes, derrière lui, la ville brûlait-elle aussi, marque des hommes d’Harras et il était satisfait. Il espérait que le château était sous contrôle, cela servirait de ligne de repli si jamais tout partait de travers. Mais alors que les deux formations allaient enfin se rencontrer, quelque chose attira le regard d’Harras, à l’arrière de la force du Conflans, de nouvelles bannières arrivèrent et le Fer-Né commença à jurer en se disant qu’il allait avoir encore plus d’ennemis, il réfléchit à la meilleure tactique à accomplir et il décida de tenter le tout pour le tout. “Tuez-les ! Pas de quartiers!”
Le mot d’ordre fut comme une gifle, le mur de boucliers s’avança jusqu’à la ligne de bataille riveraine, les piques des hommes du Conflans étaient menaçantes oui, mais ce n’était pas le problème, Harras positionna son destrier derrière et alors, le choc eu lieu.
Face aux piques, le mur s’ouvrit, provocant la surprise des défenseurs avant que l’effroi ne soit lisible dans leurs yeux, des haches volèrent depuis les rangs Fer-Nés, fauchant les riverains et les flèches claquèrent également. C’était la force des hommes des Iles de Fer, ils savaient combattre au corps-à-corps, les attaques de navires était l’art des fils de sel et de roc, frapper avec force, hargne, ce n’était pas une armée ordonnée, habituée aux formations, eux brisaient les règles et c’était toujours quelque chose de surprenant. Une brèche apparut dans les rangs ordonnés et les hommes d’Harras en profitèrent pour s’y engouffrer semant le chaos mais pas encore la panique, haches contre piques, cela pouvait sembler inégal, mais il était difficile pour un homme de manier une pique dans une mêlée et les Fer-Nés le savaient fort bien et ils en profitèrent pour frapper au coeur , essayant de briser la ligne avant qu’elle ne puisse se reformer, le cercle de défense était devenue une flèche offensive qui continuait sa progression dans les viscères et les cris. Pour un Fer-Né de tué, plusieurs riverains, c’était une boucherie.
Mais même si cela s’annonçait bien, la différence numérique allait tôt ou tard pencher en faveur des soldats de Mallister alors Harras chargea, donnant des coups d’éperon, son cheval se mit alors à galoper en direction du combat et à pleine vitesse, le Harloi fendit la foule guerrière, Crépuscule pour alliée, Harras abattit son bras, fendant les crânes, le sang maculant la lame valyrienne, le Fer-Né sentait le plaisir parcourir son bras dans un long frisson, il pouvait parfois sentir la résistance d’un os, mais jamais bien longtemps face à une lame si ancienne. Dans le fracas des armes, Harras ne fit pas attention à l’armée qui arrivait, que c’était en réalité des alliés qui allaient fort bien l’aider et c’était déjà le cas, car l’armée riveraine essayait de pivoter pour faire face à la nouvelle approche, mais l’épine Fer-Né était maintenant profonde et elle ne serait pas en place pour le choc qui allait arriver très vite.
Le Harloi vit alors celui qui commandait et il remarqua son blason et Harras se porta alors vers lui. “MALLISTER !” Son cri porta suffisamment pour que l'intéresser le remarque, enfin, il allait avoir son combat, lançant son cheval, ignorant les piétons et l’aide de ses hommes qui lui ouvrait difficilement la voie, le Ser de sel et de roc arriva sur son adversaire, cheval contre cheval et alors il abattit sa lame alors qu’il déboulait sur le Mallister, le combat devait être rapide, décapiter le commandement adversaire était une priorité, mais dans l’enfer d’une bataille, rien ne se passait comme prévu.
Voilà la raison de la vie d’Harras, le combat, vivre ou mourir, peut lui importait du moment que c’était Crépuscule à la main.
- C'est ton destin:
- ☒ Affrontement face à Mallister :
☑De 1 à 40 : Le Mallister arrive à parer la première attaque d'Harras, le combat s'annonce plus tendu que prévu...
☑De 41 à 80 : Le mallister est sauvé par un de ses chevaliers qui prend le coup pour lui, agonisant de façon horrible, sa chute entraîne celle du Mallister qui est à pied maintenant.
☑De 81 à 100 : L'assaut d'Harras prend par surprise le Mallister, le coup est terrible et le harloi décapite son adversaire avec Crépuscule.
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