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Event 2 ♦ La tempête de Fer

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Event 2
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La tempête de Fer


Beaumarché, An 299, lune 4, semaine 4, 2 semaine après la prise de pouvoir de Viserys

Souvent les grands hommes voient le monde divisé en deux catégories. Les prédateurs et les proies. Les loups et les moutons en somme. Or, les loups ne pactisent pas avec les moutons. Tel était l'explication de la devise Greyjoy : Nous ne semons pas. Ils payaient le fer-prix afin d'avoir ce qu'ils veulaient. Ils ne faisaient pas de commerce, ils ne travaillaient pas leur terre, ils pillaient et prenaient ce qui leur revenait de droit. De quel droit pourrait-on se demander ? Le droit de la force. Le droit du fer et du sang. C'était par ailleurs sur cet excès d'orgueil que Balon Greyjoy avait emmené les Îles de Fer dans une rébellion courte, mais sanglante, contre le trône de fer. Cette leçon que reçurent les Îles de Fer resta gravé dans la mémoire du chef Fer-Né, mais Balon n'était plus. C'était l'ambitieux Euron Greyjoy qui était désormais à la tête des îles, bien décidé à profiter du chaos en Westeros pour rétablir la puissance de son peuple.
Cela avait commencé par un ralliement à la cause de Viserys Targaryen en échange du retour aux traditions des Fer-nés. C'est ainsi qu'Euron, aidé de son frère Victarion, étaient à la tête de la flotte de Fer près des côtes de Westeros. Un sourire se dessina sur les lèvres du Suzerain des îles. Il était temps. Balon avait défié le continent entier. Lui n'allait défier qu'une petite partie. Et après ? Qui pouvait savoir ? La flotte de Fer était réunie et prête. Il ne manquait plus qu'une cible.

Le Conflans... Ancienne terre des Tully et une cible de choix pour des pilleurs comme les Fer-Nés. Quelques siècle auparavant, avant la conquête d'Aegon premier du nom, les Fer-Nés menés par les Chenu, étaient à la tête du Conflans et des Îles de Fer. Tout Westeros les craignait. Mais les dragons étaient arrivés et les Fer-Nés perdirent ces terres. La truite avait remplacé les Chenu. Pourtant, la truite n'était plus. Les Desdaings étaient les nouveaux dirigeant du Conflans, qui étaient les ennemis du roi Viserys. Euron jubilait à l'idée de reprendre ces terres et les rendre à son peuple. Après tout, il était venu le temps de la fin des dragons.

Beaumarché était la première cible. Un premier pillage. Les défenses étaient presque inexistantes. Aucun danger n'avait menacé cette ville depuis la rébellion. Les riverains allaient réapprendre à craindre les maîtres des mers. Les riverains allaient devoir apprendre à se battre pour protéger ce qu'ils aimaient.
     

         
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Piller Beaumarché c'était révélé aussi simple que de voler sa vertu à une catin. Malheureusement pour le peuple des îles de fer, le butin s'était révélé plus que maigre. Des réserves de nourritures, quelques babioles et femmes et hommes pris mais rien de mirobolant. A vrai dire, aucune des femmes qu'il pût prendre ne l'intéressa si bien qu'il laissa son équipage se servir. Attaquer cet endroit avait peut-être été une erreur. Les langues se déliaient déjà. Plusieurs avaient pesté sur les promesses du Choucas mais très peu osait le lui dire en face sous peine de finir très probablement exécuté. Parmi ceux là, il y avait ceux qui pensaient que Vicatrion ferait très certainement un meilleur dirigeant. A vrai, dire ces conflits internes n'intéressait pas Denys car pour lui les Fer-nés ne devaient pas se battre entre eux mais conserver leur effort pour les autres peuples. Ceci dit en y regardant plus près, Euron avait droit d'aînesse sur Victarion mais l'Oeil de Choucas avait été exilé, si bien qu'en toute logique le plus jeune devrait l'emporter à ses yeux. Sans compter que les hauts faits de Victarion était connu de tous. Cependant, la suzeraineté devait revenir à Theon Greyjoy. Encore fallait-il savoir si ce dernier n'était pas devenu une chiffe-molle en étant élevé par les Stark. Le genre à porter de beaux vêtements et à monter à cheval ! Si cette situation ne se décantait pas alors mieux valait revenir au bon vieux temps des états généraux.

Ses hommes s'occupaient de relayer les prises pour charger les navires bien qu'il gardait les plus dangereux et les plus fidèles à proximité. S'il fallait vraiment donner l'assaut sur la forteresse des Desdaings, il les prendrait avec. A vrai dire, il n'en voyait pas une réelle utilité dans l'immédiat. Son peuple n'avait pas recourt à des machines pour prendre d'assaut une forteresse ni n'utilisait des méthodes dîtes de siège. A quoi bon perdre son temps à tenter de le prendre d'assaut ? Il s'agirait là d'une perte d'homme et de temps totalement inutile. Les avoir par la ruse, avec des cordes munies de crochets au cour de la nuit, peut-être mais il n'était pas convaincu de trouver plus de richesse dans leur château que dans leur foutue agglomération. On disait les Desdaings riche mais Denys n'en était pas convaincu pour autant. On disait leurs femmes belles et c'était peut-être au final l'un des points les plus importants pour exciter les gars. Ce fut donc accoudé à un mur, occupé à aiguiser la lame de sa hache entouré de membre de son équipage que nous retrouvons le Capitaine de la Phalange.


"Vous croyez qu'on va encore poireauter longtemps ici ? Le butin était plus maigre qu'un mendiant et on perd trop de temps à ramener nos prises jusqu'à nos bateaux. Ça sent pas bon. Combien de temps il faudra pour que les autres Lords de ces contrées viennent nous montrer leur façon de penser ? Notez que s'ils sont aussi couards que les cygnes, on ne risque pas de les voir de si tôt ha ha ha"
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Tempête de fer
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ASHA GREYJOY

Asha regardait son second motivé ses hommes. Des cris de guerre, des hurlements de joie. Beaumarché était en vue et les navires fers-nés de la flotte de fer fondait vers la ville où la famille suzeraine du Conflans régnait. Il soutenait le Roi qu’Euron n’avait pas choisi de soutenir. Bien que la fer-née aurait préféré ne pas voir son oncle prendre la place de son père car elle estime que cela lui revient de droit, l’idée de piller, massacrer et violer ce village l’enchantait. Mais visiblement à la tête Victarion et Euron n’était pas forcément d’accord sur les méthodes à utiliser. Son regard acier balayait le pont et un petit sourire satisfait parcourait ses lèvres. Vêtu de son armure, de sa hache et de son épée, Asha était prête à livre bataille.

Le pillage fut loin d’être rapide. Entre ordre et contre ordre, ses oncles n’arrivaient point à se mettre d’accord. Alors la fer-née n’écouta pas le ordre, ou du moins juste pour ceux concernant la place forte de la cité. Elle rassembla ses hommes et avec un sourire mauvais sur le visage elle avait lancé « Pas de quartier ! » Aussitôt dans des hurlements à glacé le sang, ses guerriers s’élancèrent dans la ville. Bientôt la moitié de la ville était en flamme et ils amassaient leur butin. Maigre car la ville n’était si riche que cela ou alors tout se caché derrière les murs qui protéger les seigneurs des Conflans. Les prises humaines furent faibles. Trop pauvre pas assez solide. Deux femmes-sels furent capturer par ses hommes qui avait hâte de les faire leur lors du voyage de retour aux îles. Quant à Asha, elle se dégota un joli puceau à la gueule d’ange qui avait un peu de caractère. Un forgeron qui lui donna du fil à retord mais qu’elle assomma d’un coup de revers de hache dans la tempe.

De retour au Vent-Noir, ils commencèrent à charger le butin. Les captifs humains avaient tous reprit connaissance et se débattait tous espérant vainement de reprendre leur liberté. La fille de Balon Greyjoy, se tourna vers la cité où d’épaisse couche de fumé envahissait l’air. Les ordres concernant la place forte de ce misérable village étaient toujours intacts et les Desdaings étaient toujours terré dedans. La jeune femme en avait marre d’attendre. « Capitaine. Tout est chargé on fait quoi ? » « On attaque et on finit le boulot. Laisse les blessés et dix valides protéger le vent noir. Les autres suivaient moi. » Elle se dirigea vers la Phalange. « Timbal. Suis-moi si t’en as marre d’attendre des ordres qui ne viennent pas. On va aller te chercher une jolie femme sel. La fille des Desdaings est magnifique et tout juste fleuris à ce qu’on dit. Ou alors pour Longtmat. » La capitaine n’attendit pas la réponse de Denys et repartit au pas de course vers la ville. Un peu plus tôt elle avait envoyé deux éclaireurs pour déloger un passage quel qu’il soit vers le centre de la place fort. Elle les retrouva mais ils puaient à dix lieux à la ronde. « Trouvé. Les égouts. Mais ils ne s’y attendront pas. ». D’un signe de tête et de façon silencieuse, ils se mirent en route pour ouvrir une brêche.

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Tempête de fer
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Des volutes noires et épaisses ne cessaient de s’élever dans les airs, désireuses de pactiser avec les nuages qui ne cessaient de s’étendre de plus en plus dans le ciel assombri de la région. Néanmoins, cette compétition ou du moins cet essai de fusion entre les deux substances ne parvint à se révéler satisfaisante aux yeux des Sept, qui devaient très probablement admirer le spectacle de part leurs psychismes. L’angoisse, la peur, mais surtout la pression ne cessait de se faire ressentir dans l’être de la jeune lady Harlton. A peine arrivée, au sein de ce camp de fortune, établi en retrait du chef lieu de bataille, il avait été préférable d’ainsi se poser pour élaborer au mieux une meilleure tactique de survie. La bataille serait compliquée, probablement vaine, tant les forces du Conflans s’en trouvaient affaiblies en comparaison à celles des Fer-Nés.  Aussi devraient t-ils prendre garde à ne pas se faire repérer par un quelconque éclaireur du camp adverse. Autant ne pas se leurrer d’avantage, quant à cette attaque qui arrive au moment le plus opportun pour une victoire de ce peuple de sauvages. La rage parvenait même à se répandre dans les veines de Marianne, si bien qu’elle lui laissait un goût amer dans la bouche : celui d’une vengeance qu’elle ne pouvait laisser plus longtemps reposer. Ses yeux regardèrent de part et d’autres de son camp, trop faible pour tenter une quelconque attaque. De toute manière là n’était pas la question, leur présence n’était pas le fruit d’une bataille en devenir, mais plutôt celle de survies bien précises. « Les Desdaings sont nos suzerains ainsi que nos amis. Aussi dussent t-ils compter sur notre présence de l’autre côté de leurs murailles. Nous ne pouvons décevoir de tels maîtres. » Pieds à terre, la jeune fille regardait l’ensemble de ses chevaliers dont le nombre était on ne peut plus amoindri de part ses richesses mais également de part le passé de sa maison et les pertes qui en résultèrent, néanmoins chacun d’eux étaient dotés d’une vaillance et d’un courage sans égale. Probablement la fierté même de la jeune fille. « Je ne vous quémanderai pas de partir en guerre et de livrer bataille à ces forcenés. Je vous demanderai juste de ramener un maximum de survivants avec vous, dès lors que vous jugerez le moment adéquat pour prendre retraite et ainsi revenir vers nous. »

Droite et emplie d’une fierté bien fidèle à celle des grandes ladys, Marianne toisa du regard chacun de ses chevaliers, jusqu’à ce que ce son regard ne s’arrête sur ses deux favoris. D’un pas plus décidé, la jeune fille se rapprocha des deux et parla d’une voix beaucoup plus basse de manière à ce qu’ils puissent l’entendre. « Soyez le frère l’un de l’autre. » Le plus ancien des deux, Roanney, où celui qui l’avait toujours accompagné et avait veillé sur elle depuis sa plus tendre enfance lui adressa un sourire tout en se penchant sur l’encolure de son cheval. « N’ayez crainte ma Dame, je saurai ramener sa fouge au bercail. » Cette remarque eut tendance à faire sourire la jeune fille qui regarda Roanney s’éloigner avant que son attention ne se tourne cette fois vers Torvald. « Prends garde à lui, il est comme un oncle pour moi. » Elle ne doutait pas de la valeur de Torvald, bien au contraire, il s’agissait là d’une attention lui permettant de comprendre qu’elle voulait lui faire confiance. « J’ai une autre requête pour toi. » Ses yeux devinrent beaucoup plus sérieux, alors qu’elle rapprochait son visage du haut de l’encolure de sa monture pour prendre un air plus grave. « L’une de mes anciennes servantes, Camelya est à Beaumarché. Tu dois probablement te souvenir d’elle. Retrouve la et ramène moi la, elle et sa famille. Elle sera bien plus en sécurité chez nous, qu’elle n’a jamais pu l’être dans ce lieu. »

Se reculant de quelques pas, la jeune fille donna un signe de tête autoritaire à Torvald avant de rajouter sur ce même ton sérieux mais sincère. « Allez chevalier ! Montrez à ces barbares que le Conflans ne ploie jamais devant la menace et revenez-moi sauf de votre mission. » Ses yeux ne parvinrent à quitter ceux de Torvald que lorsqu’il décida de rompre le contact et qu’il lui tournait le dos pour ainsi rejoindre le petit convois, qui elle l’espérait serait bien vite rejoint par d’autres alliés à cette même cause.  Mais alors qu’elle détournait le regard, elle n’hésita pas une seconde de plus pour envoyer l’un de ses hommes se poster en haut d’une bute pour ainsi les avertir d’une quelconque attaque ou autre venue. Leur positionnement se devait de rester secret un maximum de temps afin de pouvoir permettre à ces quelques hommes partis en mission de pouvoir remplir cette dernière comme il le fallait.

         

             
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Beaumarché sombrait dans le chaos. Isendre n'avait jamais connu rien de tel depuis qu'il vivait dans cette cité. Des cadavres de citoyens recouvraient les pavés de la grande place, alors que les commerces étaient la proie des flammes. Il s'agissait probablement de commerçants qui avaient tenté en vain de protéger leurs bien. Certains continuaient de lutter avec le peu de moyens qu'ils avaient à leur disposition, mais ils n'étaient clairement pas de taille face à de véritables guerriers bien supérieurs en nombre. Les cloches de la ville sonnaient l'alerte, mais rien n'y changeait. Certaines femmes avaient été débusquées et étaient ainsi violées en place publique avant d'être poignardé, alors que d'autres rejoignaient de petits cortèges de prisonniers. Le bâtard, qui n'avait pourtant pas hérité du caractère tempétueux de son père, sentait l'adrénaline prendre peu à peu possession de son corps. Ces scènes épouvantables qu'il observait depuis la forteresse bien sécurisée de son père éveillèrent en lui une certaine animosité contre ces barbares. Le jeune homme était d'un tempérament calme, au point d'exaspérer sa chère belle-mère qui voyait parfois en cela une certaine forme de provocation de sa part, mais ce qu'il voyait suffisait à le sortir de ses gonds, à tel point que sa timidité maladive habituelle pourrait voler en éclat l'espace d'un instant. Le bâtard observait son demi-frère, le responsable de la forteresse et de Beaumarché en l'absence de leur père. Alessander était un grand chevalier selon les récits qu'il avait entendu dans la cité, et Isendre avait fais de lui son idole, un exemple à suivre s'il devenait chevalier à son tour. Le jeune homme n'espérait rien de tel, lui qui n'était qu'un bâtard, et même si son demi-frère ne lui montrait aucune affection du fait de son statut, il avait confiance en lui. Alessander avait forcément un plan. Leur père ne lui avait pas confié une telle responsabilité sans garantie, même s'il serait amené à lui succéder un jour. C'était tout du moins ce qu'espérait Isendre, qui porta à nouveau son regard sur les ruelles enflammées de Beaumarché, le poing serré sur son épée. Le silence était tellement pesant qu'Isendre aurait aimé en cet instant que l'épouse de son père l'insulte comme elle le faisait si bien, ne serait-ce que pour briser cette tranquillité presque dérangeante aux yeux du bâtard.

- Resterons-nous encore longtemps ici à observer ces bandits massacrer notre peuple ou allons-nous enfin faire quelque chose pour soutenir ceux qui se battent ? Lâcha Isendre, qui brisait ainsi le silence sans le moindre bégaiement, osant même défier du regard son demi-frère et sa belle-mère, avant de rompre les rangs pour se diriger vers la bataille. Si le jeune homme avait posé là une question pour réveiller toute l'assemblée, il n'attendait aucune réponse de leur part. Isendre avait déjà pris sa décision...
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Beaumarché, An 299, lune 4, semaine 4, 2 semaine après la prise de pouvoir de Viserys

Ce qui est mort ne saurait mourir.. Tel était les maître mots de ceux qui prenaient escale pour la région des eaux douces. Victarion scrutait l'horizon, perçant de toutes les flammes qui venait de ses yeux. Beaumarché fut bien en dessous de ses attentes, lui qui ne jurait que part l'inutilité de ce racolage à la hauteur de la maigre fortune de ce continent. Une autre guerre était passer sur ces terres, la rébéllion des Baratheon avaient entiché les meilleurs atoux du Conflans et les Desdaings entamaient une partie de l'idée qu'il se faisait de l'ennemi.  Les navires alignés montraient la seule et unique manière de Victarion de "résoudre" un conflit. Le sang chaud qui l'animait n'en n'était pas moins épris de haine pour son frère bien que son allégeance lui soit intact.

Devant lui, dix autres hommes se préparaient à aller à terre, Victarion avait juger bon de montrer une force d'attaque minimum. Sous estimant la valeur des forces de défenses aux mieux de ce qu'il jugeait. Euron avait été plus gourmand,  réclamant un armement digne d'une siège des force de l'Ouest.. Mais la mauvaise gestion avait entamer autant ses hommes que les marins qui se dénuait depuis longtemps de patience.. Le capitaine tenait pourtant sa garde et la pleine satisfaction de son jugement.. Le flans gauche du conflans serait bien plus rapidement conquis, mais le butin  lui, ne changerait rien aux beaux discours de son frère.  L'un de ses second s'avança d'ailleurs, surement inquiet et venant lui rendre compte..

Ton frère à mise à sac une bonne partie de la ville, je te conseil d'envoyez le mieux de notre armement afin de les finir  comme des chiens !  
Le chef des armées se mura dans un visage austère et critique. Il se tourna vers lui l'allure menaçante
Tu pourra dire à Euron que mes meilleurs atouts se réservent pour les ennemis que je juge suffisamment dangereux pour mourir sous leurs épées.. Il scruta les côtes, le regard plus défiant,  Des paysans, des gueux, voici devant vous la riposte digne du Lord Suzerain du Conflans par le dieux noyé ! il ria avec méprit.

Dit à mon frère que cette région n'entamera pas mes meilleurs épées pour tuer des vieillards. Je pourrais moi même faire ce siège et en revenir seul si cela m'était une priorité ! Le second ne dit rien, comprenant l'avis de Victarion. Il roula des yeux et repartit, hurler par les hommes du commandant qui vendait la bonne parole de leur chef. Le prétexte de la guerre ne fut qu'un pretexte pour en masquer un autre.. La rivalité des deux frères n'était un secret pour personne malgré leurs soutiens.

La plupart des forces Fer nés avaient au moins réussie à pénétrer le domaine. Le déséquilibres des force du flans droit en revanche, soulignait aux grands yeux de tous la discorde des deux Greyjoy..
     

         
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ranquillement installée dans son petit atelier de couture à croiser ses fidèles aiguilles, Camelya tentait tant bien que mal de terminer une pièce qui était censée partir de cet endroit le soir même pour une riche personne. Pour elle ne savait quelle raison pourtant, la demoiselle n’avait véritablement pas la tête à finir ce pénible travail. L’exigence de cet individu qui allait s’en vêtir était sans limite si bien que depuis deux longues nuits, il lui était tout simplement impossible de trouver le sommeil. C’était comme si quelque chose l’empêchait de s’endormir, comme si elle sentait que quelque chose allait bientôt chambouler son quotidien. Une sorte d’inconfort qui la tirait nonchalamment vers le bas. Autant dire que son visage n’était pas des plus frais, ses yeux bruns contrastaient étrangement avec son habituel sourire. Aux rares personnes qui déchiffraient son état, la brune répondait simplement qu’elle croulait sous le travail, chose qui la maintenait éloignée de son oreiller. Ce qui n’était en soi, pas réellement faux. Comble du malheur, la petite brune n’avait plus assez de tissu pour achever sa besogne. Elle devait se rendre chez son grand ami le tisserand pour chercher ce qui lui manquait. Un peu de dentelle, suffisamment de tissu soyeux pour les manches et cela devrait suffire pour cette fois. Le plus gros du travail était fait, bien heureusement.

Alors qu’elle marchait d’un pas décidé et plutôt rapide malgré cette fatigue qui la rongeait doucement, mais surement, Camelya ne prêtait aucune attention à ce qui pouvait se passer autour d’elle en gardant bien en tête la raison de cette expédition dans les rues de Beaumarché. La brunette allait devoir marcher un bon moment avant de refaire le chemin en sens inverse, les bras chargés de rouleaux de soieries tout en essayant de ne rien laisser tomber. Une tâche qui se révélait parfois ardue pour ses frêles épaules. Une fois arrivée, elle fut accueillie comme toujours -et pour son plus grand désespoir-, par le fils du maître des lieux et son sourire qui n’avaient que le seul pouvoir de mettre la demoiselle dans une certaine gêne tellement elle trouvait certaines de ses paroles dérangeantes. Mais, alors qu’ils parlaient des coupes des étoffes désirées, de gros bruits sourds commencèrent à se faire entendre au loin, suivi rapidement par des cris. Une réelle panique semblait venir de l’entrée de la ville qui était, par chance, assez éloignée de là où se trouvait la petite conteuse.

Ne sachant pas ce qu’il pouvait bien se passer même en jetant un œil par les fenêtres où seules des personnes détalaient en tout sens, la porte de la bâtisse s’ouvrit alors brusquement. Un habitant de la ville, essoufflé et le regard fou annonça alors la terrible nouvelle : la ville était attaquée.

Tout s’assombrissait dans sa tête, elle perdait pieds. Même si elle n’avait aucune idée de ce qui se passait exactement, la brunette savait que ce n’était pas de bon augure pour eux. Elle était si fébrile en cet instant, complètement assommée par son état et cet affolement qui gagnait l’ensemble des habitants. Complètement déconnectée de la réalité ne prenant pas conscience des choses, ce fût le fils du tisserand qui la tira de son obscurité croissante en se mettant face à elle.

« Camelya.. Regardes moi, écoutes moi. » Lui disait-il en la regardant droit dans les yeux pour essayer de capter son attention, d’une voix si posée malgré les faits. « Tu vas te cacher ici. » Il se mit ainsi à la tirer par le bras pour l’amener vers une cachette. « Ne bouge pas, tu m’entends ? »

Acquiesçant d’un petit signe de tête, la brunette se fit une place dans cet antre pas si improvisée que cela. C’était comme si elle était là depuis un moment attendant simplement de pouvoir être utilisée. S’adossant le plus confortablement possible malgré l’étroitesse de l’endroit, Camelya commençait à réaliser que la tranquillité de la ville était bousculée. Un flot de questions venait la tourmenter au sujet des personnes qui lui étaient chères alors que les cris à l’extérieur ne semblaient ne jamais vouloir s’arrêter. La jeune femme était également loin d'imaginer que sa chère amie Marianne n'allait pas tarder à venir en renfort et qu'Isendre ne trainerait pas à prendre les armes. Elle entendit le fils du tisserand et son père échanger quelques mots sans en détecter la signification. La seule chose qu’elle comprenait était qu’ils allaient prendre les armes pour se défendre et donc, pour la protéger elle aussi..

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Malvina avait pris la mer avec le bateau que Rowen lui avait offert, accompagné de fer né qui l'avait rejoins au fil et à mesure de ses arrêts dans ses terres natale! Tout les Biefois qui avaient fait naviguer son navire jusqu'ici étaient reparti très vite en voyant ou elle les avait amenés. Pour elle c'était la première fois qu'elle partait à l'aventure sans son sauveur et il fallait avouer qu'elle avait peur mais en même temps était très excitée de savoir comme tout ça allait se passer. Arrivant à l'endroit de la bataille la jeune femme remarqua qu'il y a avait déjà beaucoup de fer né au sol en train de tout saccager et sans attendre elle se jeta à l'eau avec ses compagnons pour arriver sur les terres du Conflans. La fumer pénétrait dans les narines de la jeune femme et les cris des habitant se faisait ressentir partout dans la ville. Malvina avançait sans sourciller avec un visage neutre et impassible, tuant des soldats qui essayaient de la prendre par surprise elle arriva très vite à l'endroit du rassemblement, beaumarché! La place était une scène macabre et certaine personne encore vivante criait contre les fer nés qui étaient en train de les amener loin surement pour profiter d'eux mais Malvina n'était pas comme ces gens, elle aimait faire couler le sang mais violer était quelque chose qui pour elle ne coulait pas dans son sang!

Son regard de vautour passait sur tout les gens qui était là et au loin elle pouvait admirer Asha Grejoy, la femme la plus courageuse qu'elle connaissait mais aussi celle qui avait fait que Malvina était comme ça maintenant, dure et féroce! Mais tout les fer nées étaient comme ça et elle pouvait l'affirmer rien qu'en regardant tout ces hommes et femmes des Iles de fer qui étaient en train d'abattre de sang froid un vieillard dans défense ou une fillette fragile. Détournant le regard elle laissa ses hommes du navire faire ce qu'il voulait, après tout elle n'avait pas besoin de sécurité ici et se débrouillerait très bien seule contre des gens non armé!

Malvina marchait attendant des ordres qui ne venait pas, elle égorgeait les soldats qui n'était pas encore mort et qui baignait dans leur sang. S'approchant d'un bateau qu'elle connaissait bien elle se rendit très vite compte que Denys était là, Toujours aussi droit et fière. La dernière fois qu'elle l'avait quittée elle ne savait pas si un jour il reviendrait la voir et voilà que maintenant c'était elle qui était là. Elle ne voulait pas le perturber dans cette bataille surtout que Asha Grejoy était en train de lui parler. Malvina garda sa dague à la main en parcourant les morts qui étaient au sol à la recherche de survivant!



     

         
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La nouvelle avait déjà fait grand bruit dans tout Westeros et la prise de pouvoir de Viserys avait ébranlé la légitimité des Desdaings ayant choisi de soutenir Rhaegar. Si les vassaux de Beaumarché avaient pour la plupart suivis leur Suzerain dans cette démarche, cela n’était pas le cas des Iles de Fer qui avaient vu en cette tentative de prise de pouvoir, une occasion parfaite pour sceller une alliance avec le dangereux dragon. Le Roi tombé, il ne restait plus qu’à attendre le jugement de Viserys. Cerenna était confiante car elle savait très bien que ce dernier ne pourrait gouverner les Sept Couronnes qu’en laissant les Seigneurs en place. Malheureusement, ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était les libertés laissées aux Fer-nés. Ceux-ci ne tardèrent pas à piller et raser de nombreux villages dans le Conflans, forçant les Lords à renforcer leurs défenses.

La Vipère commençait à sentir le danger s’approcher et immédiatement, elle ordonna de faire transporter provisions et eau dans l’enceinte de la forteresse des Desdaings afin de tenir en cas d’attaque. Son fils était aux commandes de Beaumarché pour la première fois et on pouvait dire que ce n’était pas des plus faciles pour lui.

Assemblés dans la grande salle, les personnages illustrent de Beaumarché décidaient de la marche à suivre après les rapports inquiétants témoignant de l’approche des Fer-nés. Il n’y avait plus aucun doute possible, c’est vers eux que ces barbares se dirigeaient. Le bâtard de son mari sembla encore vouloir adopter une posture de Desdaings cependant, il se heurta aux regards noirs et meurtriers de la Vipère. Le peuple n’était pas important pour l’heure, surtout qu’il fallait préparer les défenses de Beaumarché. Chuchotant à l’oreille d’Alessander, elle lui conseilla de lever l’ost du Conflans afin de leur tenir tête et en finir ici même, dans leur fief. Une victoire sur l’envahisseur sur les terres même du Suzerain du Conflans, était un fait qui marquerait les esprits.

Une fois les décisions prisent, tout se mit en place pour défendre Beaumarché et appeler leurs vassaux en renfort pour écraser les barbares fer-nés qui n’allaient pas tarder à apparaître devant leur porte. Les rapports s’intensifièrent sur les attaques des villages jusqu’à ce que finalement, l’ennemi soit en vue.

Cerenna observa la scène de la tour de la forteresse, les hordes barbares semblant laisser libre cours à leur soif de sang. Agrippant le bras de son fils, la Vipère resta silencieuse, son regard ne semblant pas s’émouvoir des paysans qui se faisaient massacrer. En effet, elle ne voyait qu’en cette bataille, l’occasion pour sa progéniture de briller. Si le Conflans sortait victorieux de cet affrontement, son mari ne servirait plus à rien et il lui serait donc grand temps d’envisager sa mort prochaine. En attendant, la forteresse des Desdaings était bouclée, préparée à un siège et surtout, prête à en découdre. Les archers avaient déjà pris place sur les remparts, prêts à transpercer l’ennemi. L’infanterie et la cavalerie se tenaient dans la cour, prêt à charger dès le moindre signe de faiblesse de la porte. L’huile bouillante continuait de chauffer devant les entrées et la Vipère avait même empoisonné l’eau du puit du village. Même si les effets n’apparaîtraient que trois jours après l’absorption, permettant ainsi aux paysans contaminés de se faire tuer avant de dévoiler ce petit secret, les Fer-nés ne seraient plus trop en état de combattre lorsque la lourde fièvre et les hallucinations feraient leur effet.
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Le fil de sa hache aurait pût trancher un cheveux tellement il venait de l'aiguiser. Il portait son armure de combat, celle qu'il arborait fièrement à chaque pillage ou abordage. Sur la mer, porté une armure était signe de mort si vous tombiez à l'eau mais les Fer-nés n'en avait cure. Sur terre en revanche le risque était largement diminué. C'était une pièce de couleur rouge sombre et le heaume avait été travaillé de manière à former un crâne humain, donnant l'impression qu'un mort vous assaillait. Asha Greyjoy vint le trouver et bien qu'étant une femme, elle fut la seule à se comporter comme une véritable suivante de l'Antique Voie. Bien qu'il ne voyait pas l'utilité première de prendre la place forte, il devait reconnaître qu'elle ne manquait pas de cran. Pendant que les hautes-sphères débattaient, elle prenait le taureau par les cornes et décidaient de mener sa propre offensive. Sans tarder il lui répondit.a hache entouré de membre de son équipage que nous retrouvons le Capitaine de la Phalange.

«Si c'est une pucelle, elle risque de ne plus jamais marcher si je la laisse à Longmat ha ha ha. J'ai entendu dire que leur Lady était bien conservée aussi. Laisse moi le temps de rassembler des hommes et je te rejoins. Oh Longmat, suis Asha et vient m'indiquer le chemin une fois qu'elle aura atteint son but.» 

Le Capitaine alla chercher ses hommes, laissant les blessés se reposer et laissant une escouade pour garder les navires et quelques uns pour continuer à charger les prises. Une fois ceci fait, l'homme remarqua la présence d'un nouveau navire. Pas le genre de navire qu'il s'était attendu à trouver en ce lieux. Pareil pour la femme qu'il croisa à proximité. Belle comme une sirène et sauvage comme la mer déchaînée. Il la rejoignit et lui parla calmement à travers son heaume. Au même instant Longmat vint le trouver pour lui faire son rapport. Le Fer-né s'exprima alors de sa voix légendaire afin d'exprimer sa joie de voir Malvina en ces lieux.

«Ha ha ha Malvina. T'es bien la dernière personne que je pensais trouvé ici. Je suis ravi de te voir. Tu n'as rien perdu de tes charmes à ce que je vois. Asha m'a invité à la rejoindre pour agir contre les Desdaings ! Si le cœur t'en dis, joins toi à nous avec quelques uns de tes hommes mais laisse en pour surveiller les navires. On est à l'abri de rien avec ces couards des contrées vertes. » 

Sans ménagement il la serra brièvement contre lui et lui mit une petite claque sur les fesses pour lui donner envie de le suivre. Il ne comptait plus perdre de temps et suivit le chemin indiqué par Longmat en compagnie de ses hommes. Il la trouva en face de ce qui semblait être des égouts. Ça puait à des mètres à la ronde. Empoignant sa hache, le jeune homme aida les autres pour faire céder l'entrée sans faire trop de vacarme. Au bout de moult efforts, cela finit par céder et ils purent tenter de s'y engouffrer. Le Tymbal y alla de son petit commentaire tout en montrant son courage, étant le premier à pénétrer à l'intérieur, ses pieds pataugeant dans un liquide dont il préférait ignorer la provenance et la constitution.

«Çà pue la merde là dedans, j'espère que les Desdaings sentent la rose, sinon ils vont nous sentir arriver ha ha ha. Nous faudrait peut-être des torches, ça m'a l'air d'être sombre là dedans !» 
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Event 2
Fight for your lives



   
La tempête de Fer


Torvald dans son armure scintillante au soleil et sa main posée sur le pommeau de son épée observait la scène macabre qui était devant ses yeux, la fumée noir montait dans le ciel et il se sentait impuissant face à cette triste réalité! Il ne connaissait pas les gens des Iles de fer mais avait entendu des histoires horrible sur eux et sur ce qu'ils faisaient aux ennemies. Un frisson parcouru son corps, non de peur mais d'excitation de pouvoir enfin affronter un ennemie digne de ce nom et prouver qu'il était un bon chevalier! Montrer à sa dame qui il était vraiment et qu'il y arriverait! Essayant de reprendre ses esprits il se concentra sur Dame Marianne qui était en train de motiver ses troupes et d'expliquer ce qu'ils avaient à faire, ça technique était parfaite et les affronter de front était impossible ça elle le savait mais sauver les gens ça c'était de leur ressort en attendant plus de troupes! Torvald laissa un petit sourire en coin s'afficher sur son visage quand la Jeune femme s'approcha de lui et de Roanney qui était son chevalier et qu'elle tenait dans son coeur tout comme lui! Entendant ses paroles il ne répondit rien et fit un geste de la tête pour montrer qu'il allait tout faire pour revenir ensemble de cette mission. Pensant que c'était tout ce qu'elle voulait il allait faire tourner son cheval pour partir à l'endroit ou la fumée commençait à monter de plus en plus haut dans le ciel. Entendant ce qu'elle venait de dire il lui lança un petit sourire avant de répondre d'une voix neutre.

"Ma Dame je le ramènerais à vos côtés sain et sauf soyez en sure!"

Et il y comptait bien car il savait comment elle tenait à lui et il ne comptait pas perdre encore quelqu'un à la guerre, surtout que lui aussi l'aimait bien c'était quelqu'un avec qui il s'entendait bien et il pouvait rire de tout et n'importe quoi sans avoir peur d'être jugé par celui ci! Entendant l'autre requête qu'elle lui demanda Torvald réfléchi dans son esprit à quoi ressemblait cette jeune femme et c'est vrai qu'il se souvenait de son visage même si après tout ce temps elle avait surement dut changer mais il ferait tout son possible pour réussir ce que lui avait demandé sa Dame!

"Je la ramenerais Dame Marianne et montrerais ce que les Chevaliers du Conflans sont capable!"

Il laissa ses yeux se poser sur le doux visage de Marianne, il était triste de la laisser sur sans savoir ce qui allait se passer en son absence mais il fallait qu'il parte, pour elle, pour le conflans et bien sur pour son honneur! Avec une petite mine renfermée il fit tourner son cheval pour avancer doucement et rejoindre la petite troupe qui était déjà parti en direction de la place. Se tournant encore une dernière fois pour observer le visage de sa Dame, il respira un bon coup avant de partir au trot.

Arriver aux abords de la ville Torvald descendit de son cheval et l'accrocha sans bruit à un arbre non loin de là. Il savait qu'il en aurait surement besoin pour partir vite de cette ville une fois trouvée la jeune femme et sa famille mais la fuite n'était pas encore dans sa tête et tout ce qu'il devait faire pour le moment était de la trouver! Arrivant à Beaumarché il observa derrière un mur la place qui grouillait de fer né à la recherche de gens encore en vie. Il pouvait voi au loin quelques soldats qui essayaient encore de se battre mais en voyant cette scène il savait qu'il serait trop tard pour eux et que leur destin était fait.... Une petit geste au reste du groupe et tout le monde parti dans différente direction, Torvald savait qu'elle devait être ici dans un des bâtiments mais lequel? S'approchant a petit pas d'un petit bâtiment il cassa doucement une fenêtre et entra à l’intérieur il faisait noir et l'odeur était insupportable mais sans broncher il inspecta la pièce sans faire de bruit en passant des coups d'oeil vers la porte pour une simple sécurité! Il fit la même chose avec plusieurs bâtiments sans donner aucun signe de la jeune femme, les heures étaient en train de passer et Torvald commençait à perdre espoir avant d'entrer dans une maison et à peine poser les pieds au sol il la vit accroupi essayant de se cacher comme elle pouvait. Sans faire du bruit il se bissa vers elle en déposant un doigt sur ses lèvres et lui demandant de garder le silence pour le moment. L'aidant à se relever il commença à marcher jusque la fenêtre qu'il venait de briser et se stoppa net en observant la porte s'ouvrir doucement, sans crier gare Torvald poussa légèrement la jeune femme derrière lui et sortit une dague, malheureusement le fer né l'avait déjà vu et bondit sur lui. Soupirant un bon coup il fit de même sur le jeune homme et planta sa dague dans son oeil, avant même que le corps de tape le sol il l'attrapa et en silence le fit s'allonger par terre. Attrapant la main de la jeune femme il l'aida à passer la fenêtre et en fit de même.

L'air libre lui faisait beaucoup de bien et il avait l'impression de pouvoir enfin respirer, gardant toujours le silence il amena la jeune fille loin de cet endroit et s'arrêta derrière un arbre, enfin il ouvrit la bouche pour lui parler.

"J'espère que vous vous souvenez de moi, Torvald... Enfin Seer Torvald maintenant."


Il avait dit ça comme un enfant fière de son jouet, des cris se firent entendre dans la ville, ils avaient dut découvrir le corps dans le bâtiment et les patrouilles allaient commencer à partir de maintenant, il n'avait pas de temps à perdre.

"Je dois retrouver votre famille, savez vous on nous pouvons les trouver?"


     

         
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Malvina Sparr a écrit:

         
Event 2
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La tempête de Fer



Malvina sentit que quelqu'un était en train de l'observer mais sachant qui c'était elle ne tourna pas la tête et attendit d'entendre sa voix avant de plonger ses yeux dans ceux de Denys, un sourire venait de s'afficher sur son visage et dire qu'elle n'était pas sur qu'il revienne à elle un jour, voilà que c'était elle qui venait à lui directement. L'écoutant parler toujours avec la même voix forte et neutre elle lui répondit doucement.

"Et toi Denys tu n'as rien perdu de ton charme non plus dit donc, même avec ce heaume ridicule tu reste sexy!" Elle lui envoya un petit clin d'oeil avant de réfléchir à sa proposition. "Laisse moi le temps de rappeler mes hommes et je te suivrais dans ce cas!"

Malvina ne pouvait pas refuser une offre comme celle ci c'était sur, le laissant la prendre dans ses bras et rigola en sentant sa main claquer ses fesses, il n'avait pas changé et c'est ce qu'elle aimait chez lui, sans prononcer quoi que ce soit elle se tourna vers ses hommes en désignant ceux qui resteraient au bateau et ceux qui allaient la suivre, sans attendre une minute de plus elle chercha du regard Denys et le suivit de loin accompagnée de ses hommes qui était content de participer à quelque chose d'important.

Arrivant sur les lieux elle observait les guerriers qui étaient en train de faire tomber l'entrer des égouts, l'odeur était nauséabonde et elle se retient de justesse de vomir, les odeurs étaient difficile en ce moment pour la jeune femme et elle ne comprenait pas pourquoi. Denys entra le premier dans cet endroit et elle envoya trois de ses hommes chercher des torches pour éclairer le passage.

"Denys cette odeur ne change pas de tes habitudes au moins."


Lui envoyant un petit clin d'oeil elle laissa échapper un petit rire avant de se tourner vers les hommes qui revenaient avec des torches, elle ne donna une à Asha et à Denys pendant que les autres prenaient les restante. Elle n'avait pas vraiment envie de rentrer dans cette merde immense mais elle n'avait pas le choix et au fond d'elle elle sentait que l'aventure commençait enfin!

     

         
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   La tempête de Fer

T
out semblait irréel, contrastant d’une étrange manière avec la sérénité de la ville que Camelya connaissait juqu’alors. Une véritable hécatombe se tenait à l’extérieur de la bâtisse qui l’hébergeait, elle en était consciente malgré son état. Cachée au  mieux, la demoiselle était très loin d’être rassurée. Elle pouvait, certes, compter sur la protection que lui offraient le tisserand et son fils, mais elle n’était pas aussi naïve que cela. Ces deux personnes allaient très certainement perdre la vie au pire ou au mieux, avec beaucoup de chance, finir amochés à vie. Tout cela pour essayer de lui épargner le pire. Si tous trois s’en sortaient vivants, la brunette s’était juré de les remercier tel qu’ils le méritaient même si rien n’était plus précieux que la vie elle-même. Elle serait donc toujours endettée envers ces personnes. Mais pour le coup, seule la survie comptait. La tête basse, sa capacité à être attentive sur l’extérieur et à écouter ce qui pouvait se passer avait littéralement décuplé. Les bras croisés sur ses genoux, la brunette attendait. Quoi ? Elle n’en avait aucune idée, certainement un miracle. Mais la petite conteuse prenait son mal en patience, retenant ses larmes de couler le long de ses joues. Ce n’était pas le moment de craquer après tout, mais sa lutte était presque veine sans doute désavantagée par toute cette fatigue qu’elle trainait sur ses frêles épaules. Ses joues devinrent rapidement humides, les larmes coulant silencieusement malgré son interdiction. Camelya se refusait à trahir sa présence en restant le plus calme possible malgré tout.

C’est alors qu’une silhouette masculine se rapprochait d’elle, lui faisant relever son regard embrumé. Une légère appréhension l’envahissait, un stress que cette personne réduisait en silence par ce simple geste du doigt, l’invitant au calme. Trop préoccupée par les événements, la demoiselle n’avait pas eu la chance de reconnaitre ce visage venu la sauver, mais elle se doutait de ses bonnes volontés. Sortant de cette petite cachette avec son aide, la brunette se releva rapidement, mais sans faire le moindre bruit. Ce si long moment replié sur elle-même rendait son corps sensiblement plus douloureux qu’à l’habitude, ne la faisant pester qu’intérieurement puisqu’elle ne voulait pas compliquer la tâche de cet homme déjà suffisamment ardue et dangereuse. Elle le suivait sans un mot. De toute façon, à ce moment-là, elle aurait été incapable d’aligner trois mots cohérents les uns avec les autres. Cet homme venu la sauvé stoppa sa marche sans prévenir. Aussi vite cet arrêt avait-il été donné, aussi vite la demoiselle se retrouvait mise en retrait alors qu’un homme aux intentions bien moins sympathiques fit son entrée. Camelya se mordait la lèvre pour s’empêcher toute parole ou effet de surprise, laissant l’homme anéantir le nouvel arrivant. N’ayant jamais pris part à une pareille scène, la petite couturière aux rêves si doux fut propulsée dans un autre monde, bien plus sanglant et dangereux. Un monde qui lui était si étranger et dont elle ne connaissait rien. Cet homme coupa alors court aux sombres pensées de la demoiselle en s’emparant de sa petite main pour la faire sortir de cette bâtisse qui ne tarderait certainement pas à être envahie à son tour.

A l’extérieur, les larmes silencieuses de la demoiselle ne coulaient plus, seules ses joues humides et son regard brumeux la trahissaient. La conteuse était certainement bien trop déboussolée par le spectacle qui s’offrait à ses yeux pour pouvoir être elle-même. Jamais elle n’avait imaginé Beaumarché ainsi, tombant en ruine face à l’assaut ennemi. Une profonde tristesse l’envahissait peu à peu de même qu’une rage essayait de l’animer. Après tout, s’il leur arrivait quelque chose … Ne faisant pas attention à l’endroit où le jeune homme la menait, elle fut surprise de le voir s’arrêter non loin d’un arbre pour s’adresser à elle.

« J'espère que vous vous souvenez de moi, Torvald... Enfin Seer Torvald maintenant. »

Son visage s’illumina soudain. Enfin, Camelya se souvenait de qui était cette personne et elle se surprit à lui adresser un bien timide sourire malgré le chaos. Torvald. Bien entendu, elle se souvenait de lui. Si elle n’avait pas été aveuglée par le désastre des alentours, nul doute que la brunette l’aurait reconnu bien plus tôt. D’ailleurs, elle s’en voulait même, à cet instant, de n’avoir pas pu replacer de nom sur cette personne. Et s’il était là.. Marianne ne devait pas être bien loin.

« Et bien, Seer Torvald. A la vue de la situation, ce titre est amplement mérité. » Lâcha-t-elle, sincèrement. Sa voix était basse, presque dans un murmure la peur étant toujours bien trop ancrée en elle. Camelya s’en excusa d’ailleurs par un nouveau sourire de la même trempe, toujours bien léger mais bel et bien présent. « Je me souviens de vous. »

Toute cette ambiance si pesante accompagnée de ces cris, de ces odeurs de brûlé glaçait le sang de la petite brune qui se crispait par moment. Pour le coup, cet homme était devenu son repère sur lequel elle se fiait. Elle n’allait pas hésiter à écouter ce qu’il pouvait bien lui dire. En l’entendant parler de sa famille, les yeux brumeux de la conteuse ne pouvaient que lâcher de nouvelles larmes muettes. Camelya avait tellement peur pour eux et d’autres personnes encore..

« Ils.. Ne sont pas partis de notre demeure. Enfin, je ne crois pas. » Avoua-t-elle le regard perdu, avant d’ajouter dans un murmure. « Enfin, je n’espère pas. » Sa mère et sa grand-mère devaient certainement être restées sur place. Par contre, en ce qui concernait son jeune frère à l'esprit aventureux et en quête de grandeur..

Savoir que ce valeureux Torvald allait essayer de les retrouver pour les sauver, sans doute missionner par Marianne, la rassurait. La jeune femme se sentait alors presque en sécurité et entourée. Se doutant qu’il ne sût pas où habitait sa petite famille, elle lui dit..

« Nous habitons à quelques rues. En partant d’ici, notre maison est à deux intersections sur la droite puis une à gauche d’ici. » Camelya se disait qu’ils avaient de la chance de ne pas habiter aux portes de la ville. Peut-être que les chances de les retrouver vivants étaient plus importantes ?


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La Tempête de Fer

Shade of the evening

Beaumarché n’avait été que déception, Harras regardait la prise se faire piller sans vergogne par les Fer-Nés mais ce qu’il voyait n’avait pas vraiment de valeur à ses yeux. Mais il était venu, car c’était tout de même, il fallait l’avouer un projet audacieux de la part des Greyjoy bien que l’organisation se soit, au final, soldée par des erreurs grossières, cela montrait fort bien que les deux seiches ne pouvaient s’entendre et Harras devait avouer que cela allait très certainement mal finir entre eux. Mais après tout, c’était leurs soucis, le Harloi lui en avait un autre et il s’agissait de celui qui avait son cul posé sur le trône des Dix-Tours. Mais aujourd’hui, il ne devait pas penser à cela. Aujourd’hui, il fallait piller cette ville et ensuite repartir avec les maigres butins. Juché sur son cheval, il regardait la ville en proie au chaos, un terrain de prédilection pour les hommes de sel et de roc, pourtant, dans cet assaut audacieux, il n’y avait nulle trace des hommes de Harras Harloi et pour cause, il avait ordonné à son second de faire voile au château des Grell qui donnait sur la Baie du Fer-né. Il y avait peut-être un coup à jouer justement là-bas et ce serait une bonne occasion de voir si les hommes étaient toujours aussi coriaces.
Ainsi, Harras avait suivi les autres hommes que Rodrik Harloi avait envoyé avec la flotte, lui et son équipage n’ayant pas besoin de piller après leur retour d’Essos, il avait estimé que c’était raisonnable que juste lui participe au pillage de Beaumarché.

Il faisait aller et venir son cheval dans les rues et ruelles de la ville, parfois, Crépusule sortait de son fourreau pour abattre un homme un petit peu trop effronté à son égard même si généralement, la surprise était plutôt de mise en voyant un Fer-né sur un canasson, mais en sa qualité de chevalier, Harras pouvait se targuer d’en posséder un et aussi d’être sûrement le meilleur cavalier des Iles de Fer, même si ce n’était pas vraiment difficile. Il remarqua une petite bande avancée avec à sa tête Asha Greyjoy mais il ne poussa pas son destrier vers eux. Il regarda par contre le second du Pendu des Mers, qui avait été attaché à ses services ainsi qu’une dizaine d’hommes d’équipage de ce boutre appartenant aux Harloi, et descendit de son cheval avant de lui donner les rênes. En face d’eux, il y avait ce qui devait être une rue commerçante, ici et là, des Fer-nés sortaient des boutiques en riant des méfaits qu’ils avaient commis. Attendez ici. Les hommes ne bronchèrent pas alors que Harras s’approcha d’un bâtiment collé à un autre, la devanture était simple et indiquait qu’il s’agissait d’un apothicaire et c’était exactement ce que voulait le Harloi mais avant qu’il ne puisse entrer, un jeune homme sortit tel un fou, brandissant une épée de piètre qualité et obligea Harras à faire un bond de côté tandis que ses hommes se mirent en cercle autour des deux hommes, tous une arme à la main.
Et bien alors, j’ai failli me faire fracasser le crâne par une pucelle. Les rires fusèrent alors que le jeune homme s'empourpra et se mit en position de combat, Harras dégaina alors Crépuscule dans un bruit sinistre et rien qu’à la vue de l’arme, le jeune garçon devint subitement plus blême ce qui n’échappa pas au Maitre de Grisjardin. “Ha un connaisseur ! Tu sais ce que je tiens à la main ?” Hésitant, le jeune homme se lança pourtant à l’assaut que Harras esquiva facilement, faisant tinter les deux lames l’une contre l’autre. Le petit jeu dura quelques secondes, le chevalier Fer-né laissant l’assaut au riverain qui n’arrivait même pas à effleurer son adversaire.
Rapidement fatigué de ce combat qui n’offrait aucun intérêt, Harras fit un pas vers le jeune garçon et alors que ce dernier leva son épée pour parer le coup de l’épée valyrienne qui allait arriver sur son crâne, le chevalier donna un lourd coup de botte dans le bas-ventre de son ennemi qui s’écroula de douleur, lâchant par la même son épée qui tinta sur la pierre. De nouveaux rires s'échappèrent des hommes d’Harras qui fit alors le tour, tel un vautour, du jeune homme, levant les bras au ciel et puis d’un geste rapide, il abattit son épée d’un seul coup sur sa nuque, détachant sa tête de son corps sans que Harras ne soit vraiment éprouvé…. Encore une déception, mais en même temps, un pauvre gosse n’avait aucune chance.

Il laissa les hommes ensuite et entra dans la boutique mal éclairée et commença à fouiller, cassant fioles et autres pots, à la recherche d’Ombre-du-soir, les pillages avaient été épargnés à la boutique, il n’y avait pas grand chose de valeur pour un Fer-né… Enfin si l’on ne connaissait pas les herbes et autres poudres des apothicaires. Il resta là à fouiller encore et encore, au moins il avait fait boire à Crépuscule un peu de sang.
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Tempête de fer
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ASHA GREYJOY

Les lampes s’allumèrent et Asha regarda les petites troupes de guerrier qui les suivait. Denys et Malvina étaient les deux capitaines qui l’accompagnaient. L’odeur était nauséabonde et plus que désagréable mais l’appât du gain et de mise à sac était plus fort. Apprendre la vie au Desdagins, leur rappeler qu’avant la Conquête d’Aegon, les Chenu régnait sur les Iles de Fer mais aussi sur le Conflans. C’était un ancien territoire fer-né et ils faillaient leur rappeler. Le groupe de guerrier avançait doucement, les pieds dans la merde, des odeurs affreuses leur montant aux narines. Les flammes éclairaient les murs froids et humides et la fille de Balon Greyjoy se forçait à ne pas regarder sur quoi elle marchait. Mais finalement le bout du tunnel sombre et puant arriva à son bout. D’un signe sec, la jeune femme fit signe au groupe de ce la fermer. Ils sortirent des égouts et se terrèrent dans un coin sombre.

Asha observa les alentours. Dans la cours, des guerriers avertis s’étaient regroupés attendant les ordres. Les murs étaient aussi surement protéger par des archers et autres armes que les fers-nés n’utilisaient guère. Elle se retourna vers les guerriers. « Ils sont nombreux et bien armés. C’est couard ont rassemblés une petite armée et à tous les coups les murs sont protégés. Ouvrir la porte et impossible sans plan. » Elle jeta un nouveau coup d’œil. Un sourire naquit sur ses lèvres, elle aimait élaborer des plans de ce genre pour mieux s’en prendre à leur ennemi. L’héritier des Desdaings n’était même pas en vue, sans chef militaire ils seraient plus simples de les mettre en déroute. Elle dégaina sa dague et sur le sol meuble dessina rapidement la cour et les murailles.

« Bon, l’héritier des Desdaings ne semble pas en vue. Sans leader militaire ses hommes d’armes seront facilement mis en déroute quand nos soldats pénétrant ici. Les seuls soucis c’est d’ouvrir sans tous crever. On va devoir se séparer pour mieux agir. » Elle désigna la porte sur son schema. « Qarl, tu repars et tu vas chercher Victarion et le maximum de fer-né pouvant se rendre à la porte mais sans s’approcher des murs et en restant hors de portée d’éventuel archer. Entrez que lorsque la porte et complètement ouverte. » Qarl Pucelle hocha la tête et tourna les talons pour retourner dans les égouts et aller avertir Victarion. « Malvina, tu vas t’occuper des murailles avec quelqu’un de mes hommes. Soyez discrets, tuer tous les soldats et s’il y a des pièges, faites en sorte qu’ils ne fonctionnent plus quand les autres arriveront. » Puis sa dague se tourna vers le centre de la cour. « Et pour éviter que vous vous fassiez tirer comme des lapins avec Denys et le reste des hommes on fait un maximum de dégâts pour détourner l’attention. Malvina quand les murs sont sécurisés cris une devise fer-nés et Denys tu iras ouvrir la porte. Je te couvrirais. » Les yeux sombres de la guerrière balaya les hommes présents. « Ça vous va ? »

         

             
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