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Que les Sept m'en soient témoins [RP solo]

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Que les Sept m'en soient témoins
An 302, Lune 8, Semaine 3,
Le vent salé de Midburg gifflait le visage de la Bieffoise. Debout sur le ponton, elle regardait le port déballait ses maisons boisées enneigées. Le visage fermé, on ne pouvait pas dire si la dame de Midburg était heureuse de rentrer chez elle après ces lunes d’absence. Encapuchonnée, l’équipage ne pouvait pas lire l’ampleur de la tristesse dans ses yeux. Elle regardait cette ville qui n’était pas sienne et qui allait, encore, se faire le cercueil de sa mélancolie.
Les cris des marins tentaient de se coordonner afin d’amarrer l’embarcation venue d’Herbeval. Les cordages semblaient voler et se déplacer dans un ballet macabre. Et ce vent… Ce vent salé spécifique au détroit. Il mettait à mal son corps amaigrie et affaiblie. La pâleur de l’hiver marqué le visage de cette dame qui n’en avait pas l’air, car seul son nom et son titre permettait de rappeler cette réalité. « Ma Lady, vous allez pouvoir débarquer d’ici quelques instants. »

Non. Se dit-elle. Non. Durant le voyage, elle avait eu cette insatiable impression d’être dans un lieu de flottement, une irréalité malsaine qui flottait hors du temps. Cette arrivée à Midburg n’avait rien de tangible lors de ce voyage sur les eaux glacées du Mander. Herbeval et Midburg s’étaient convertis, le temps d’un trajet, en des lieux chimériques sans aucune réalité. Clarysse, comme à son habitude depuis quelques lunes, avaient passé son temps à dormir et à écrire. Elle laissait ses plateaux repas de côté, et ils étaient partagés entre les plus gourmands de l’équipage. Jamais la passagère de marque ne demandait l’état de la navigation, la date prévue d’arrivée ou aucune autre information. Elle se muait dans un silence morbide depuis son départ d’Herbeval. « Ma chère belle-sœur… Mia… Je vous en prie, prenez mon jardin comme votre. Son sort m’avait hanté le temps où j’étais à Midburg car je sais qu’Elbois connaît mon attachement pour cette parcelle de terre. Mais, il vaut mieux qu’il ne soit pas laissé à l’abandon, ni entretenu mécaniquement par le reste des jardiniers. Je vous en prie. Faites-en un lieu où vous aimez amener mes neveux et nièces. C’est à vous, désormais, de décider de sa nouvelle fonction. Je sais que votre décision sera sage. »
Puis, elle s’était tournée vers les portes du château pour partir durant une période qui n’allait pas avoir de fin. Pas d’effusion, pas de larmes, que des paroles qui ne ressemblaient pas à la vivace et candide Clarysse. Elle donnait l’impression de partir pour un long voyage vers la mort, et non de retourner à l’autre-bout du Bief.

« Prenez mon bras, ma lady, nous allons descendre. »
D’un geste machinal, Clarysse attrapa l’appui que lui offrait le marin et s’avança vers le débarquement. La tête baissée, elle prenait garde à ne pas glisser sur la planche qui lui permettait de regagner la terre. Une fois que son pied se posa sur le quai, elle leva les yeux et le vit.

Ethan Varnier se tenait droit, colossal, élégant et respirant une autorité naturelle. Clarysse se paralysa. Il ne souriait pas. Que pensait-il de ses retrouvailles entre mari et femme ? Etait-il désespéré du retour d’une épouse trop prude et trop fragile ? Que de complications pour rien, pourtant, on lui avait dit qu’épouser une Bieffoise bien éduquée et à la tête bien faite, serait le mariage le plus aisé de sa famille. Une de la Nouë n’avait pas l’esprit rebelle ni même une culture trop différente de la sienne. Il ne lui tendit pas la main et ne se laissa pas aller, non plus, à des embrassades. Une inclination de la tête marqua le salut froid et poli qu’il offrait à son épouse. La jeune femme le lui rendit, sans oser lever de nouveau les yeux vers lui. Le marin lâcha le bras de la noble Bieffoise qui aurait pu s’envoler sous les bourrasques. Lord Ethan Varnier se trouvait obliger de lui tendre le bras. Clarysse le saisit, plus par nécessité qu’envie de se trouver porter par son mari. Elle avait l’impression de revivre son mariage. Sur le quai de Midburg, elle repassait dans les bras d’Ethan Varnier. Quelques banalités sur le voyage furent échangées. Ils sembleraient qu’ils avaient tous deux fait bon voyage. Rien de plus ne serait révéler. La rencontre avec Tavish Cafferen, le mariage à Bourgfaon, l’entretien avec Tyrion Lannister, son profond désespoir, rien de cela ne sera dit à son époux. Ils avancèrent vers le château avec pour seule musique le vent glacé de l’hiver.

Le dîner se passa tout machinalement. Seule la belle-mère de Clarysse eut le courage, ou la forte impression, de soulever le fait que l’épouse de son fils était d’une pâleur extrême. « Herbeval ne vous a pas fait du bien ? »
« Si, je vous l’assure, ma Lady. Revoir ma famille a été le meilleur des remèdes. L’hiver ne me convient peut-être pas. Je prie les Sept pour qu’il trouve une fin. »
 « Que les Sept vous entendent, mon enfant, que les Sept vous entendent. »
« Mon épouse a conscience qu’il faut qu’elle se ménage aux principales tâches de son rang, et rien de plus, car l’hiver lui arrache pas mal d’énergie déjà.  Vous resterez à Midburg, le temps de vous remettre de ces voyages qui ont l’air de ne pas vous avoir guéri. »
« N’ayez aucune crainte. Je me sens mieux. Ces voyages n’ont pas été réalisés en vains. »
« Si vous le dites, ma lady. Vous m’en voyez ravi. »

Le soir arriva plus vite que Clarysse ne l’aurait voulu. Elle était assise dans un fauteuil près de la fenêtre de sa chambre. Sur ses genoux se trouvaient un parchemin sur lequel elle espérait répondre à son amie de Castral-Roc, Félicité Hill, lorsque les coups tant redoutés retentirent dans la pièce. La bougie qu’elle avait allumée dès qu’elle s’était retirée après le dîner était déjà bien consumée. Il avait attendu un certain temps avant de se décider à venir réclamer son dû. Il l’avait dit… Dès leurs retours respectifs, ils allaient devoir accomplir leur devoir d’époux héritiers de la famille Varnier. Elle ferma les yeux et laissa s’échapper un long soupir. Son corps tout entier se crispait sous la pression. Elle avait eu quelques lunes pour se préparer à l’évènement, mais la réalité est qu’elle n’avait pas pensé un seul instant à son retour à Midburg. Cette pensée insupportable de devoir s’offrir, se laisser toucher, se laisser … souiller… par Ethan Varnier. Désormais, elle ne pouvait plus y échapper. Elle posa, d’un geste extrêmement lent, son parchemin et sa plume. Elle se levait, tremblante. Les coups retentirent de nouveau. Clarysse s’arrêta net. Sa voix chancelante rétorqua :

« Oui… Oui, j’arrive. »
D’un pas hésitant, elle se dirigea vers la porte de sa chambre. Sa main se saisit de la poignée. La peur l’envahissait davantage plus les secondes avançaient. Elle poussa un dernier soupir et ouvrit la porte.
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Que les Sept m'en soient témoins
1 & 2 & 3 :: Ethan Varnier avait pensé toute la journée à cette femme à l’air d’un moineau qui devait s’en retourner à lui aujourd’hui. Il avait craint cette retrouvaille car cette Clarysse, aussi déconcertante qu’elle fusse-t-elle, lui inspirait de la pitié. Il savait qu’elle n’avait pas eu de mère pour lui enseigner les secrets du mariage. Au départ, il avait pris pour un avantage la pudeur et le côté cérémonieux de la jeune de la Nouë. Il se trouve que les jeunes femmes bien éduquées avaient les qualités de leurs défauts. Elle craignait à être bousculée dans l’amour charnel. Le jeune homme qui avait connu bon nombre de femmes avant cette délicate fleur du Bief, était très touchée par cette situation.

Ce soir, il devait accomplir son devoir. Cela faisait des lunes que les époux Varnier n’avaient pu se voir et l’absence de descendance deviendrait une problématique plus le temps passait. L’hiver allait peut-être avoir raison de plusieurs vies et il craignait que la lignée des Varnier s’en retrouve affaiblie. Il devait accomplir son devoir et ce n’était pas forcément son choix. Comment approcher cette petite fleur recroquevillée ?
Lorsqu’il vit son visage apparaître dans l’entrebâille de la porte, il comprit que son épouse n’était pas dans un autre état d’esprit. Il craignait pour son moral et sa santé, même s’il ne le montrait à personne. Il n’était pas du genre à laisser ses émotions le trahir en public. Cependant, les époux n’avaient pas le choix. Ils devaient se retrouver les soirs qui allaient marquer leurs retrouvailles. Il se mordit les lèvres et laissa pour une fois parler son cœur.
« Ma chère, en réalité, je n’ai pas été honnête avec vous. Je comprends votre malaise et… peu importe les convenances. Vous pouvez me claquer la porte au nez, mais sachez que cela vous sera reprocher et un jour se saura. Je pourrais venir chaque soir frapper à votre porte que vous me refusez catégoriquement, probablement parce que je n’ai pas pris le temps de briser la glace avec vous. Mais, même pour votre bien, je vous l’assure, il faudrait que nous essayions. Je l’avoue, lors de notre nuit de noces, je n’ai pas pensé à ce que cet acte pouvait posséder de cruel pour quelqu’un qui n’avait pas pu l’imaginer auparavant. J’aurais dû vous expliquer et vous guider, sans agir mécaniquement. J’étais moi-même très nerveux de me lier à une personne pour la vie. Laissez-moi entrer et je vous promets que je n’y verrais pas un consentement de votre part. Nous prendrons le temps. Mais au moins, essayons de de faire connaissance et d’accomplir notre devoir. »

Clarysse fut très touchée par ces paroles. Elle le laissa entrer. Ils discutèrent un temps et l’inévitable dû s’accomplir. Il sut la convaincre que, même si cela la répugnait, qu’il fallait honorer leur promesse devant les Sept. Elle se laissa faire et Ethan se montra beaucoup plus doux et compréhensif que lors de leur nuit de noces. Il lui offrit un livre et une robe, ils apprennent à se connaître, sans pour autant qu'il y ait une véritable complicité. Compréhensif, il ne l’embête pas avec cela tous les soirs, mais au moins deux ou trois fois par semaine. Il lui est arrivé de s’endormir à ces côtés, à quelques reprises.

4 & 5 & 6 & 7 :: Ethan Varnier avait pensé toute la journée à cette femme à l’air d’un moineau qui devait s’en retourner à lui aujourd’hui. Il avait craint cette retrouvaille car cette Clarysse, aussi déconcertante qu’elle fusse-t-elle, lui inspirait de la pitié. Il savait qu’elle n’avait pas eu de mère pour lui enseigner les secrets du mariage. Au départ, il avait pris pour un avantage la pudeur et le côté cérémonieux de la jeune de la Nouë. Il se trouve que les jeunes femmes bien éduquées avaient les qualités de leurs défauts. Elle craignait à être bousculée dans l’amour charnel. Le jeune homme qui avait connu bon nombre de femmes avant cette délicate fleur du Bief, était très touchée par cette situation.

Ce soir, il devait accomplir son devoir. Cela faisait des lunes que les époux Varnier n’avaient pu se voir et l’absence de descendance deviendrait une problématique plus le temps passait. L’hiver allait peut-être avoir raison de plusieurs vies et il craignait que la lignée des Varnier s’en retrouve affaiblie. Il devait accomplir son devoir et ce n’était pas forcément son choix. Comment approcher cette petite fleur recroquevillée ?
Lorsqu’il vit son visage apparaître dans l’entrebâille de la porte, il comprit que son épouse n’était pas dans un autre état d’esprit. Il craignait pour son moral et sa santé, même s’il ne le montrait à personne. Il n’était pas du genre à laisser ses émotions le trahir en public. Cependant, les époux n’avaient pas le choix. Ils devaient se retrouver les soirs qui allaient marquer leurs retrouvailles. Il se mordit les lèvres et entra sans y être invité :
« Je vous l’avais dit, ma chère. Nous n’avons désormais plus le choix. Je… Je vous prie de m’excuser pour l’incompréhension que j’ai eu à votre égard lors de notre nuit de noces. Il est vrai que je n’ai peut-être pas mis les formes pour quelqu’un qui… ne connaissait pas. Malheureusement, cela me désole autant que vous, mais nous devons le faire. Je ne vous demande pas en échange de m’apprécier. »
Il s’approcha de Clarysse qui eut un mouvement de recul. Il secoua la tête et réitéra ses excuses dans un regard larmoyant.
« Je sais qu’un jour vous me pardonnerez et comprendrez. En attendant, je vous assure que vous ne manquerez de rien et qu’apprécierez, un jour, peut-être, votre vie d’épouse. Je la rendrais douce… Cela n’est qu’un passage obligé. »
Il se saisit des hanches de la jeune femme et l’approcha contre lui.
Il rendait la vie à Clarysse agréable, tentant de ne pas trop la bousculer, et se montrant aimable avec elle quand ils se rencontraient. Sinon, il se faisait discret, connaissant le mal de son épouse en sa présence. Cela ne l’empêchait pas d’avoir quelques attentions à son égard, il lui avait offert un livre et une robe magnifique. Deux à trois fois par semaine, il lui rendait visite la nuit, tentant de se montrer doux avec elle, conscient que cela est un devoir qui ne fait plaisir à aucun d’entre eux. Il ne passe jamais la nuit auprès d’elle.

8 & 9 & 10 :: Ethan Varnier avait pensé toute la journée à cette femme à l’air d’un moineau qui devait s’en retourner à lui aujourd’hui. Il avait craint cette retrouvaille car cette Clarysse, aussi déconcertante qu’elle fusse-t-elle, lui inspirait de la colère. Au départ, il avait pris pour un avantage la pudeur et le côté cérémonieux de la jeune de la Nouë. Il se trouve que les jeunes femmes bien éduquées avaient les qualités de leurs défauts. Elle craignait à être bousculée dans l’amour charnel. Le jeune homme qui avait connu bon nombre de femmes avant cette délicate fleur du Bief, était très affecté par cette situation. Il savait qu’il aurait peut-être dû faire attention à elle le premier soir, pour éviter ce genre de déconvenue, mais habitué à avoir des femmes qui s’offrent à lui, il n’avait pas imaginé le malaise de Clarysse.

Néanmoins, il n’avait pas le choix désormais. Il était agacé par cette patience, l’hiver tuait bon nombre de personnes, et il était hors de question que la famille Varnier ne pense pas à sa descendance avant de se trouver dans une situation délicate pour l’héritage. Elle refusait de parler et se morfondre sur son sort, alors qu’il n’était pas des plus terribles… et bien tant pis pour elle. Il y avait le devoir avant les sentiments. Ces derniers, il les avait laissés derrière lui avec son innocence. Le monde était dur, il fallait le saisir de pleine main pour honorer sa condition. Il en était de même pour sa femme. Même si cela ne le réjouissait pas, sinon il l’aurait fait bien avant et ne l’aurait pas laissé partir pour Herbeval, il était obligé de passer à l’acte de gré ou de force.

Il frappa à la porte de la chambre de son épouse, attendit qu’elle lui ouvre, et il entra en trombe sans y être invité.
« Je vous l’avez dit, ma chère, nous y sommes obligés. Pensons à notre devoir et finissons-en. »
Il se saisit de Clarysse, sans lui laisser le temps de reculer.
« Ne résistez pas… Il vaut mieux que cela se passe vite pour nous deux. Je le fais à contre-cœur, croyez-moi, mais… Je ne peux laisser un mariage si longtemps sans descendance. »

La journée, il évitait cette femme attristée qui ne correspondait pas aux femmes de caractère et pleine de sensualité qu’il convoitait. La nuit, il entrait dans sa chambre espérant qu’elle lui offre enfin la possibilité de la délaisser, car, lui non plus, ne supportait pas cette situation. Il ne dormait jamais à ses côtés et exécutait l’acte telle une besogne.
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Que les Sept m'en soient témoins
Clarysse était bousculée par cette nouvelle intimité avec Ethan. Il la répugnait toujours autant et elle était effrayée à chaque fois qu’elle le croisait. Néanmoins, elle avait fait une promesse à son frère : Elbois. Jamais elle ne jetterait le déshonneur sur la famille de la Nouë. Alors, bien que mélancolique, Clarysse acceptait ces visites nocturnes affreuses, humiliantes et compliquées pour elle. Elle serrait les dents et fermait les yeux. N’arrivant pas à changer son point de vue sur un mari absent qui, elle en est persuadée, l’évitait… Bien entendu, elle a reçu les deux cadeaux qui lui avait fait parvenir. A une époque, elle aurait été particulièrement touchée par ces attentions. Elle se souvenait comment elle était émoustillée quand ses amies de Hautjardin recevaient de tel présent de la part de leur promis. Désormais, dans le froid de l’hiver, elle n’avait plus goût à rien et la joie semblait avoir quitté à jamais son cœur. Comment se reconstruire ?
Le souvenir de cette nuit de noce désastreuse l’empêchait de passer outre et de s’accoutumer à l’acte. A Midburg, Clarysse s’isolait de tout et méditait beaucoup. Rêveuse ou éteinte, les avis divergeaient sur la dame Varnier. Qui était Ethan Varnier ? Pourquoi autant de solitude ?
C’était un sentiment qui l’habitait jusqu’à ce qu’elle reçoive une invitation pour un bal à Castral-Roc. Bien que le sceau Lannister y était apposé, Clarysse reconnût l’intrigue de son amie de l’Ouest : Félicité. Ethan et elle allaient enfin paraître en société ensemble et cette perspective n’enchantait pas la jolie fleur du Bief. Seule l’idée de revoir une amie la réjouissait.
« Je suis sûre de pouvoir faire ce voyage, mon cher Ethan. Je me sens vraiment mieux et je vous obéis… Il n’y aucune raison que je ne fasse pas ce voyage. Si vous m’en donnez l’autorisation, je suis prête à répondre à l’invitation des Lannister. »
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