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Je te jure que si tu es venu te moquer de moi .... Feat Ulwyck
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Je poussai un grognement de douleur et me laissai tomber de tout mon long sur mon lit. J'avais actuellement mal partout. Je venais de passer une journée entière d'entraînement avec mon père qui ne m'avait absolument pas ménagé. Étirement, combats, pause, assouplissements, étirement, combats et j'en passe. J'étais couverte de bleue et le moindre de mes muscles me faisait mal. Me battre avec mon père épée mouchée ou non c'était épuisant. Et j'avais beau me défendre et frapper autrement qu'avec mes dagues je n'arrivais jamais à le surpasser.
Loki me toucha du museau je grognai et elle recula lentement. Je dénouais lentement les cordons de mon ceinturon et le laissais glisser au sol. J'enfouis ma tête dans mon oreiller. Ma virginité pour un massage ! Non ... D'accord quand même pas. Mais j'aurais voulus vraiment un massage. J'avais les muscles endolorie et même un bain brûlant ne suffirait pas. À part pour l'odeur et la saleté. Le reste. Ah … je n'osais même pas imaginer demain matin. Je n'allais pas pouvoir bouger. Passer une journée au lit était hors de question j'allais déguster. Je poussai un nouveau grognement de douleur en bougeant mes bras. Mes épaules ! Mon dos !
On toqua à ma porte. Je grognai de douleur. Je n'avais envie de voir personne. Et Ulwyck Uller encore moins. Aucune idée s'il avait vu l'entraînement. Mais je n'avais pas la tête à l'entendre se moquer de moi. Je soupirai longuement. Redressant la tête je lançais l'autorisation pour rentrer dans ma chambre et renfouis mon visage dans mon oreiller.
Loki me toucha du museau je grognai et elle recula lentement. Je dénouais lentement les cordons de mon ceinturon et le laissais glisser au sol. J'enfouis ma tête dans mon oreiller. Ma virginité pour un massage ! Non ... D'accord quand même pas. Mais j'aurais voulus vraiment un massage. J'avais les muscles endolorie et même un bain brûlant ne suffirait pas. À part pour l'odeur et la saleté. Le reste. Ah … je n'osais même pas imaginer demain matin. Je n'allais pas pouvoir bouger. Passer une journée au lit était hors de question j'allais déguster. Je poussai un nouveau grognement de douleur en bougeant mes bras. Mes épaules ! Mon dos !
On toqua à ma porte. Je grognai de douleur. Je n'avais envie de voir personne. Et Ulwyck Uller encore moins. Aucune idée s'il avait vu l'entraînement. Mais je n'avais pas la tête à l'entendre se moquer de moi. Je soupirai longuement. Redressant la tête je lançais l'autorisation pour rentrer dans ma chambre et renfouis mon visage dans mon oreiller.
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Je te jure que si tu es venu te moquer de moi ...
An 298, Lune 10 - La Gracedieu
Boadicée & Ulwyck Uller
Le fantastique Uller avait pris le temps d'observer Boadicée au cours de son entraînement. Elle avait fait quelques progrès mais ses coups étaient encore un peu trop faibles à son goût. Ils manquaient cruellement de précision. Il y avait également un autre problème qu'il relevait. Elle frappait certes mais Ulwyck n'était pas convaincu qu'elle serait capable de tuer un homme. Il ne parlait pas de capacité physique mais bien plutôt de son mental ! Pour la plupart des hommes, la première fois où ils fauchaient une vie déterminait leur avenir aux yeux de Ulwyck. Il y avait ceux qui étaient marqués à vie et ceux qui passaient rapidement le cap. Lui faisait partie de cette seconde catégorie. Il avait l'âme et le corps d'un guerrier. Il avait toujours apprécié ce terme. Chevalier était certes plus appropriés pour certains mais il n'avait jamais été de ceux qui plaçait l'honneur sur un piédestal !
Il l'avait regardé regagner sa chambre et l'avait suivie d'un pas léger. Il se demandait si elle se sentait harassé par la tâche ? Après un véritable entraînement, il était bon de se sentir exténué. Un bain frais faisait alors le plus grand bien avec une petite coupe de vin dornien frais. Il n'avait jamais vraiment eu de retenue et quand sa curiosité le démangeait, il faisait en sorte de l'assouvir. Frappant à la porte de Boadicée, il s'apprêtait à entrer lorsqu'elle lui donna l'autorisation. D'un pas de conquérant, il pénétra alors dans les appartements de la bâtarde rouquine. Boadicée était couchée sur son lit comme si elle venait de mener une guerre à elle toute seule. Ce n'était pas étonnant. Elle s'était démenée comme une diablesse mais n'avait jamais parvenu à inquiéter son père. Croisant les bras, le fantastique Ulwyck Uller prit la parole sur un ton où l'on pouvait déceler une pointe d'amusement.
«Déjà fatiguée ? Je pensais que tu étais plus résistante que cela ? Ce n'est pas trop difficile de passer son temps à gesticuler tout en arrivant pas à toucher un vieil homme ? »
Le jeune homme afficha un sourire taquin et posa son postérieur sans vergogne sur le lit de Boadicée. Elle était en position de faiblesse, encore plus qu'à l'accoutumée. Il était donc normal pour lui qu'il fasse en sorte de marquer son territoire. Il lui lança un regard de défi et prit ses aises sur son lit. A peu de chose prêt on aurait pût croire qu'il s'agissait de sa propre chambre plutôt que celle de la rouquine.
«T'es tu au moins endurcie avec tes entraînements ? Sens tu ton souffle de moins en moins court lorsque tu portes un coup ? As tu moins mal au muscles lorsque tu frappes ? Tes jambes sont elles moins ankylosées à force de les remuer ? Ton corps doit se renforcer pour pouvoir supporter les entraînements et le feu du combat sinon tu ne seras jamais qu'un petit chaton au lieu d'être une prédatrice !»
La provocation était gratuite et elle était fondée sur des vérités et la propre expérience du Uller. Boadicée devait se montrée motivée pour progresser et se devait d'encaisser les douleurs sinon tout ce pourquoi elle travaillait ne servirait jamais à rien. Si elle voulait être à même de se défendre elle devait jouer à la fois de son apparence de femme et apprendre à dissimuler ses dons de combattantes. Encore fallait-il en posséder !
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Je relevais la tête pour voir que rentrait dans ma chambre. Je poussais un nouveau grognement te laissais ma tête retomber dans mes bras en voyant qu'il s'agissait d'Ulyck. Pas lui … Tout mais pas lui … Même mon père pour une remontrance sur ces duels, aurais été mieux accueillis : je me serais au moins assise. Là, je restais couché sur mon lit de tout mon long. Je poussais simplement un grognement quant le Uller parla. Je savais que j'étais meilleur au tir à l'arc. Je touchais toute mes cibles mouvantes ou non. Immobile ou en mouvement quelque soit ma position. Je l'avais prouvé déjà à mon père face à d'autres Wells, ou bien quand nous allions à Edaid et que des bandits voulaient venir se frotter à nous. Déjà les crocs de Loki faisaient du dégâts, mais je tirais de loin et avec précision. Bon et en plus ici, je me battais contre mon père adoré. J'avais du mal à vraiment vouloir lui porter de coups.
Ceci n'était pas une excuse je savais. Je poussais un nouveau grognement quand Ulwyck s'assit sur mon lit. Si j'en avais en état, je l'aurais poussé sans vergogne. Mais j'étais sans défense actuellement. Je le foudroyais du regard quand il s'installa sur mon lit comme sur le sien. J'essayai vaguement de le pousser de la jambe. Oui, bon. Il dût à peine ressentir le choc contre son bras. Mais il allait me foutre la paix oui ? Bien sûr que je m'étais endurcie pendant les entraînements ! Il croyait quoi lui ! Mais j'avais beaucoup trop de progrès à faire encore. Je retiens de grogner encore une fois. Il était capable de me comparer à Loki. Je redressais légèrement la tête en essayant de parler d'une voix aussi claire que possible :
« Je travaille autant que possible. Mais la route est très longue avant la perfection. Et je n'en suis qu'au début. »
Je la laissais retomber sur mes bras. Rien que ce simple mouvement me tirait une grimace de douleur. Plus jamais … Plus jamais je ne laissais mon père se mêlait de ma souplesse … Je disais ça mais … Au prochain entraînement ça recommencerait exactement comme celui là. Je bougeais de nouveau légèrement la tête en essayant de voir si il y avait une coupe pour boire un peu. Du lait, de l'eau n’importe. Même du vin ! Je m'en fichais. Non … Pas de coupe. Pas de bain rien … Je retiens un soupire en marmonnant contre les serviteurs. Les pauvres, ils n'y étaient absolument pour rien. Je n'aimais pas avoir de serviteurs, je n'avais eut une dame de compagnie qu'une fois : lorsque j'étais allé dans le Nord. Et encore … C'était plus une garde-du-corps. Loki tendit le museau mais je ne lui fis aucune caresse : mon corps était beaucoup trop lourd. Je marmonnais contre le tissu de mon oreiller contre mes muscles nouaient et contre le besoin vif de quelque chose pour me détendre. Et si Ulwyck pouvait partir aussi … Me détendre serait plus facile. Je n'avais que faire de ses moqueries et autres … Je n'étais pas en état de répliquer. Il allait s'en donner à cœur joie.
Ceci n'était pas une excuse je savais. Je poussais un nouveau grognement quand Ulwyck s'assit sur mon lit. Si j'en avais en état, je l'aurais poussé sans vergogne. Mais j'étais sans défense actuellement. Je le foudroyais du regard quand il s'installa sur mon lit comme sur le sien. J'essayai vaguement de le pousser de la jambe. Oui, bon. Il dût à peine ressentir le choc contre son bras. Mais il allait me foutre la paix oui ? Bien sûr que je m'étais endurcie pendant les entraînements ! Il croyait quoi lui ! Mais j'avais beaucoup trop de progrès à faire encore. Je retiens de grogner encore une fois. Il était capable de me comparer à Loki. Je redressais légèrement la tête en essayant de parler d'une voix aussi claire que possible :
« Je travaille autant que possible. Mais la route est très longue avant la perfection. Et je n'en suis qu'au début. »
Je la laissais retomber sur mes bras. Rien que ce simple mouvement me tirait une grimace de douleur. Plus jamais … Plus jamais je ne laissais mon père se mêlait de ma souplesse … Je disais ça mais … Au prochain entraînement ça recommencerait exactement comme celui là. Je bougeais de nouveau légèrement la tête en essayant de voir si il y avait une coupe pour boire un peu. Du lait, de l'eau n’importe. Même du vin ! Je m'en fichais. Non … Pas de coupe. Pas de bain rien … Je retiens un soupire en marmonnant contre les serviteurs. Les pauvres, ils n'y étaient absolument pour rien. Je n'aimais pas avoir de serviteurs, je n'avais eut une dame de compagnie qu'une fois : lorsque j'étais allé dans le Nord. Et encore … C'était plus une garde-du-corps. Loki tendit le museau mais je ne lui fis aucune caresse : mon corps était beaucoup trop lourd. Je marmonnais contre le tissu de mon oreiller contre mes muscles nouaient et contre le besoin vif de quelque chose pour me détendre. Et si Ulwyck pouvait partir aussi … Me détendre serait plus facile. Je n'avais que faire de ses moqueries et autres … Je n'étais pas en état de répliquer. Il allait s'en donner à cœur joie.
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Je te jure que si tu es venu te moquer de moi ...
An 298, Lune 10 - La Gracedieu
Boadicée & Ulwyck Uller
La rouquine ne semblait pas ravie de le voir arriver. C'était le moins qu'il puisse dire mais cela pouvait se comprendre de par sa fatigue et la frustration qu'elle ressentait générées par son entraînement des plus risibles. Il émit un rire amusé par la phrase de Boadicée. Certes l'entraînement pouvait améliorer les qualités d'un combattant mais il fallait aussi posséder des prédispositions ainsi qu'un certains talents. Sans cela, l'entraînement n'était jamais optimal. Il voyait bien aux mouvements lourds et à l'attitude général de Boadicée qu'elle n'était pas en pleine forme. Lui même savait ô combien une arme pouvait peser à force de frapper. Il n'y avait aucune honte à cela. Des hommes bien plus costauds que la rouquine avaient souffert tout autant qu'elle en s'entraînant.
«Tu as une mauvaise mine ! Qu'est ce qu'il y a ? Râlerais tu parce que tu n'es pas arrivée à toucher ton père avec ton arme ? Ou ... peut-être qu'il y autre chose ? Tes geste sont devenus lents. Tu dois avoir les muscles lourds et certains doivent te tirailler au moindre de tes mouvements. »
Le dornien était convaincu d'avoir raison. Il avait suffisamment passé de temps dans la cours du château à s'entraîner, à répéter ses bottes, même sous un soleil de plombs. Il lui était arrivé d'être complètement épuisé ensuite mais il avait tenu le coup et était devenu le combattant accompli qu'il incarnait aujourd'hui. Il avait sentit que Boadicée avait tenter de le frapper mais en vain et il ne s'en formalisa pas. Le Uller préféra prendre la parole sur un ton assuré et plein d'entrain qui lui ressemblait tant.
«Un bon bain te feras certainement du bien. Un massage prodigué par des mains expertes sera néanmoins tout aussi efficace. Les miennes feront amplement l'affaire crois moi. J'ai massé plus de femmes dans ma vie que tu n'as lu de livre ce qui est peu dire ha ha ha !»
Ce n'était un secret pour personne que le Uller était un coureur de jupon invétéré aux charmes indéniables. Le pire ou le meilleure dans cette attitude était qu'elle enrichissait son orgueil. Il était fier de ses conquêtes. Et la rouquine avait le malheur de ne pas encore en faire partie. Il proposait un massage de bon cœur mais également pour tenter d'arriver à ses fins. Combien de fois de simples gestes comme ceux là avaient suffit à le conduire entre les cuisses d'une jeune femme ? Boadicée était encore verte, si cela n'avait pas encore changé. Bien que peureuse, il savait que s'il parvenait à allumer le feu qui sommeillait en elle, il pourrait s'offrir sa vertu sans problème. Elle était jolie et loin d'être désagréable même si son comportement lui valait souvent les moqueries du chevalier de Denfert.
«Dis toi que c'est un honneur pour ta personne et un cadeau que je te fais. Tu vas tellement apprécier mon massage que tu m'en redemanderas dés que l'occasion se présenteras.»
Le jeune homme se pencha vers elle et du bout des doigts effleura les parties dénudées de son bras avant de poser une main délicate et tendre sur l'épaule de la jeune femme. Il n'attendait qu'un signal positif pour mettre sa manœuvre en marche et lui offrir un moment qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Il était temps pour elle de découvrir des talents propres aux Uller auxquels elle n'avait pas encore eu la chance de goûter ! Savoure bien Boadicée !
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Je retiens un grognement pour faire fuir Ulwyck. Je doutais déjà de son utilité, puis il avait quelque part raison. Un petit ricanement, étouffait par le tissu des draps, m'échappa quand il parla des nombreuses femmes qu'il avait massé. Plus que le nombre des livres que j'avais lu ? J'en doutais fortement ! Je lisais depuis que j'avais neuf ans. Tout ce qu'il me passait sous la main je le lisais. J'avais donc quelques années d'avances sur ce petit Ulwyck Uller. Je poussais pourtant un soupire de désir en entendant le mot « massage ». Je fermais lentement les yeux en sentant une caresse sur mon bras puis le poids de sa main sur mon épaule.
« Je dois avouer que même me faire piétiner par un chat m'irait du moment que cela soulage un peu mes muscles endoloris … »
Je bougeais lentement pour étendre mes bras le long de mon corps et calais ma tête contre mes oreillers sur le côté pour voir du coin de l'œil Ulwyck. Il était déjà penché sur moi. Il devait encore une fois chercher à coucher avec moi. Je rougis légèrement à cette pensée mais mon visage étant à moitié caché par les draps et mes cheveux je doutais qu'il remarque quelque chose. Il fallait vraiment que j'arrête de rougir pour un rien !
Surtout que pour masser il fallait mieux que se soit directement sur la peau. Et mon haut était lacé dans le dos. Rien de bien compliqué à mettre et à ôter seule. Alors avec un Ulwyck « connaisseur » des vêtements de femme. Je le savais parfaitement capable de tout dénouer pour le « massage ». Aujourd'hui je m'en fichais royalement s'il pouvait soulager mes muscles. C'était tout ce que je lui demandais pour le moment. Rien de plus. Ou si … Une coupe de lait au citron en plus. Ou un massage dans un bain bine chaud. Voilà quelque chose qui serait bien agréable. Impossible à avoir. Et me mettre nue devant Ulwyck ! Et puis quoi encore … Je sentis une pointe de rancune au creux de mon estomac. Je fermais les yeux avant de murmurais distinctement, du moins au début de ma phrase sur la seconde partie ma voix ne devait pas être très compréhensible :
« Je ne savais pas que les femmes sortant de l'entraînement puante, couverte de bleue et de sable t’attiraient Ulwyck … De toute manière, tu ne t’intéresse à moi que parce que je te dis non … Quand tu auras ce que tu voulais … je ne serais qu'une conquête de plus … »
Je me tus. Je doutais fortement qu'il ait entendu. Et même, je m'en fichais royalement. J'étais persuadée que j'avais raison. Une fois que j'aurais cédé il partirait. C'était peut-être aussi en partie pour ça que je me refusais toujours à lui : j'étais sûre qu'il revenait me voir comme ça. Je sentis mes yeux me piquaient. J'enfonçais ma tête dans l'oreiller pour qu'il ne remarque rien. Oui j'avais peur. Peur d'être seule. Peur de l'abandon. Peur oui de la solitude. Peur de ne pas être aimé. Je ne sais pas pourquoi … Cela avait toujours été comme ça. Et cela allait le rester pendant longtemps.
« Je dois avouer que même me faire piétiner par un chat m'irait du moment que cela soulage un peu mes muscles endoloris … »
Je bougeais lentement pour étendre mes bras le long de mon corps et calais ma tête contre mes oreillers sur le côté pour voir du coin de l'œil Ulwyck. Il était déjà penché sur moi. Il devait encore une fois chercher à coucher avec moi. Je rougis légèrement à cette pensée mais mon visage étant à moitié caché par les draps et mes cheveux je doutais qu'il remarque quelque chose. Il fallait vraiment que j'arrête de rougir pour un rien !
Surtout que pour masser il fallait mieux que se soit directement sur la peau. Et mon haut était lacé dans le dos. Rien de bien compliqué à mettre et à ôter seule. Alors avec un Ulwyck « connaisseur » des vêtements de femme. Je le savais parfaitement capable de tout dénouer pour le « massage ». Aujourd'hui je m'en fichais royalement s'il pouvait soulager mes muscles. C'était tout ce que je lui demandais pour le moment. Rien de plus. Ou si … Une coupe de lait au citron en plus. Ou un massage dans un bain bine chaud. Voilà quelque chose qui serait bien agréable. Impossible à avoir. Et me mettre nue devant Ulwyck ! Et puis quoi encore … Je sentis une pointe de rancune au creux de mon estomac. Je fermais les yeux avant de murmurais distinctement, du moins au début de ma phrase sur la seconde partie ma voix ne devait pas être très compréhensible :
« Je ne savais pas que les femmes sortant de l'entraînement puante, couverte de bleue et de sable t’attiraient Ulwyck … De toute manière, tu ne t’intéresse à moi que parce que je te dis non … Quand tu auras ce que tu voulais … je ne serais qu'une conquête de plus … »
Je me tus. Je doutais fortement qu'il ait entendu. Et même, je m'en fichais royalement. J'étais persuadée que j'avais raison. Une fois que j'aurais cédé il partirait. C'était peut-être aussi en partie pour ça que je me refusais toujours à lui : j'étais sûre qu'il revenait me voir comme ça. Je sentis mes yeux me piquaient. J'enfonçais ma tête dans l'oreiller pour qu'il ne remarque rien. Oui j'avais peur. Peur d'être seule. Peur de l'abandon. Peur oui de la solitude. Peur de ne pas être aimé. Je ne sais pas pourquoi … Cela avait toujours été comme ça. Et cela allait le rester pendant longtemps.
« I'M SUN AND ICE'S DAUGHTER »
~ When the lights go out, and the night is falling. I’ll be standing tall, with the whole world watching. When the fight goes down, and every eye is on me. I’ll be standing strong. Watch me fight like a warrior. endlesslove. MUSIC.
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Boadicée & Ulwyck Uller
Il éclata d'un rire franc après la répartie de Boadicée. Elle ne le repoussait pas et le jeune homme entreprit donc de délasser le haut de Boa pour libérer son dos et ses épaules. Sa chaire était ainsi exposée à ses yeux et le Uller se rinça allègrement l’œil. La rouquine continua de lui parler pendant qu'il se penchait. Elle avançait des arguments assez amusants. Allait-il passer à autre chose une fois qu'il l'aurait détroussée ? Probablement. Rares étaient les femmes qui avaient réussis à garder son attention mais découvrir si cela serait le cas ou non avait quelque chose d'amusant et d'excitant. Boadicée ne possédait pas une nature aussi aventureuse que lui.
«Par ce que tu crois que tu ne seras pas transpirante si tu goûtes à Ulwyck Uller, Boadicée ? Tu seras en nage, complètement déboussolée et exténuée mais contrairement à cet instant, tu auras le sourire aux lèvres. Par les Sept, tu as encore beaucoup à apprendre, jeune fille ! »
Il retira complètement le vêtement avant de poser ses mains sur les épaules de Boadicée. Ses gestes étaient précis et peu appuyée au début pour prendre la température de la rouquine mais également pour mesurer son seuil de douleur. Au fil des minutes, ses gestes se firent plus appuyés. Il y allait en douceur et progressivement pour ne pas lui faire mal et permettre aux muscles de la jeune femme de s'adapter à la pression qu'il exerçait sur eux. Il continua ainsi sans rien dire, s'amusant de ses gestes et de la douceur de la peau de la rouquine. Il finit par rompre le silence lui même d'une voix quelque peu suave et amusé.
«Ça te plaît ? Ce n'est qu'un échantillon de mes talents. Je dispose de toute une palette qui ne demande qu'à s'exprimer. »
Il prenait un malin plaisir à jouer avec elle et ses doigts se mirent à caresser ses côtes calmement et à remonter le long du dos de la jeune femme, se promenant avec sensualité et souplesse comme s'il avait fait ça toute sa vie. Dans l'esprit de Boadicée, cela devait sans doute être des gestes d'amoureux unit par le lien du grand amour mais dans la vraie vie cela se passait autrement ! Ces gestes pouvaient laisser présager la passion. Il arrêta quelques secondes lui même ses caresses pour faire choir son propre haut et se pencher à nouveau sur la rouquine. Il lui murmura alors quelques mots à l'oreille.
«As tu déjà eu un homme si proche de toi dans ton lit Boadicée ? Serais je le premier à y être invité de la sorte ? Ferme les yeux, ne pense plus à rien et laisse mon art s’exprimer. Savoure simplement les douceurs que t'offrent la vie !»
Il reprit alors ses caresses calmement avant de descendre son visage et de poser ses lèvres dans le cou de Boadicée. C'était un geste qu'il accomplissait naturellement comme s'ils étaient ensemble depuis un moment alors que ce n'était pas le cas. Le Uller comptait bien profiter de la position de Boadicée pour bouter le feu à son corps et faire naître en elle l'envie et le désir. Le jeune homme était sûr d'arriver à ses fins aujourd'hui. Jamais il n'avait été en aussi bonne position. Il était temps que Boadicée découvre les joies des plaisirs charnels et qu'elle s'ouvre une porte vers un nouveau monde plein de possibilités et de découvertes !
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Je levais les yeux au ciel sans rien dire. Il n'avait pas perdu de temps pour ôter complètement mon haut. Il croyait quoi ? Que le bas allait suivre aussi ? Même pas en rêve. Surtout que je portais encore mes bottes et que j'avais besoin de massage au dos et aux épaules. Pas au niveau des jambes. Je ne bougeais pas, profitant de ses mains qui parcourraient mon dos en dénouant lentement les nœuds que mes muscles avaient noué. J'aurais presque pu avouer qu'il était doué mais … il posa sa question en appuyant sur un endroit très douloureux.
" Actuellement tu appuie sur une des zones les plus nouées et douloureuses donc : non ! "
J'avais quand même un peu la chair de poule. Un petit rire m'échappa quand il se mit à caresser mes côtes et mon dos. J'étais très chatouilleuse et particulièrement dans cette zone. Même si j'avais plus l'impression d'être un chien qu'il caressait. J'entendis le bruit d'un tissu qu'on ôte. Redressant la tête ne rougis jusqu'aux oreilles. Je replongeai aussitôt la tête dans l'oreiller en me mordant la lèvre. Mais il ne savait pas garder ses vêtements ou quoi ?! Je frémis quelques peu hum … je ne sais pas … entre le baiser d'Ulwyck, sa phrase, et le ton employé.Je me mis une claque mentale avant de frapper sans douceur l'épaule du soit disant chevalier.
" Je ne crois pas qu'être torse nu et embrasser le cou aide à détendre les muscles de la personne réclamant un massage "
J'avais beau faire la fière, je ne voulais que me blottir contre le torse du chevalier, sentir autre part ses mains tout comme ses lèvres … Mais non. Pas aujourd'hui. C'était clair et net. Pas aujourd'hui. J'étais trop fatiguée et trop courbaturée. Peut-être demain. Je n'avais pas envie qu'il reparte seul. Je m'étais décidée de l'accompagner. J'avais prévenu mon père qui avait donné son accord sans rien demandé en plus. Ce qui était étrange puisqu'il avait refuse que je parte avec William. Bah ... Il ne devait pas trop vouloir que je me mélange aux Wells. Alors que les Ullers, pas de problèmes. D'ailleurs ....
" Ulwyck ? Quand pars tu ? "
" Actuellement tu appuie sur une des zones les plus nouées et douloureuses donc : non ! "
J'avais quand même un peu la chair de poule. Un petit rire m'échappa quand il se mit à caresser mes côtes et mon dos. J'étais très chatouilleuse et particulièrement dans cette zone. Même si j'avais plus l'impression d'être un chien qu'il caressait. J'entendis le bruit d'un tissu qu'on ôte. Redressant la tête ne rougis jusqu'aux oreilles. Je replongeai aussitôt la tête dans l'oreiller en me mordant la lèvre. Mais il ne savait pas garder ses vêtements ou quoi ?! Je frémis quelques peu hum … je ne sais pas … entre le baiser d'Ulwyck, sa phrase, et le ton employé.Je me mis une claque mentale avant de frapper sans douceur l'épaule du soit disant chevalier.
" Je ne crois pas qu'être torse nu et embrasser le cou aide à détendre les muscles de la personne réclamant un massage "
J'avais beau faire la fière, je ne voulais que me blottir contre le torse du chevalier, sentir autre part ses mains tout comme ses lèvres … Mais non. Pas aujourd'hui. C'était clair et net. Pas aujourd'hui. J'étais trop fatiguée et trop courbaturée. Peut-être demain. Je n'avais pas envie qu'il reparte seul. Je m'étais décidée de l'accompagner. J'avais prévenu mon père qui avait donné son accord sans rien demandé en plus. Ce qui était étrange puisqu'il avait refuse que je parte avec William. Bah ... Il ne devait pas trop vouloir que je me mélange aux Wells. Alors que les Ullers, pas de problèmes. D'ailleurs ....
" Ulwyck ? Quand pars tu ? "
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Boadicée & Ulwyck Uller
Elle s'amusait à le contredire. La vilaine rouquine cherchait toujours à aller dans l'autre sens pour essayer de se préserver et de se protéger mais il fallait parfois se laisser aller et apprécier les choses simples de la vie. Il sentait les frissons de la peau de Boadicée et c'était bon signe. Lorsqu'elle fit sa remarque désobligeante, il se contenta d'afficher un sourire des plus narquois et hautain. Elle commettait une grave erreur à nouveau, essayant de résister au Uller alors que tout son corps envoyait les signaux positifs signifiant qu'elle désirait plus que tout lui céder.
« Je me sens plus à mon aise comme cela et ne dit pas que cela ne te plaît pas. Tu me dévores des yeux depuis trop longtemps. J'ai bien vu comment tu t'es comportée hier quand j'étais presque torse nu. Tu ne cessais de rougir en te rinçant l’œil telle une jouvencelle. Tu serais bien surprise par ce qui pourrait te faire oublier ta fatigue et la douleur. Je pourrais te changer les idées simplement et te faire ressentir des choses qui te transporteront dans un monde encore inconnu pour toi. Si tu me faisais confiance pour une fois, tu ne serais pas déçue du voyage. »
Elle lui demanda quand il allait quitter la Gracedieu. Pour tout avouer, il n'en avait aucune idée. Cela pouvait très bien être le jour même, le lendemain ou dans une semaine. Avec le Uller, il n'y avait pas grand chose de sûre puisqu'il agissait toujours au grès de ses envies. Le soir il pouvait avoir envie de rester une semaine entière dans un lieu et le lendemain matin sur un coup de tête il décidait de s'en aller.
«Je ne sais pas encore. Je n'ai encore rien décidé. Pourquoi cela t'intéresse tant ? Tu as peur de ne pas pouvoir profiter suffisamment de moi ? Je peux être entièrement à toi si tu le désires, tu n'as qu'un mot à dire, un seul !»
Ses caresses reprirent et se joignirent à ses paroles. Il reprit ses caresses pour qu'elle oublie et se laisse aller. Elle avait besoin de comprendre qu'il pouvait lui offrir bien plus qu'une simple chevauchée à deux. Boadicée avait la chance de pouvoir goûter au met le plus succulent de Dorne et elle se devait de l'accepter et de céder à ce plaisir divin. Comment pouvait-elle encore le nier. Il perdit son visage dans les cheveux roux de la jeune femme, humant leur odeur mêlée à celle de l'effort qu'elle avait fournie pendant son entraînement. Elle avait besoin d'un bon bain mais pas toute de suite. Le Uller avait un meilleur programme à lui proposer et elle pourrait ensuite se laver en la compagnie du plus incroyable des hommes de Dorne si elle le désirait. Il se colla à elle, et caressa de nouveau ses côtes avant de commencer à la chatouiller. Il procéda de la sorte pour pouvoir voir son visage du quel il rapprocha le sien et déposa un baiser un sur ses lèvres. Il le fit avec une certaine sensualité et douceur, frôlant ses lèvres d'une simple pression aussi douce que la soie. Il glissa une main dans son dos et descendit vers le pantalon de Boadicée, se montrant de plus en plus explorateur et entreprenant. Elle devait lui céder. C'était maintenant ou jamais. Il le savait et elle le savait tout aussi bien que lui. Il n'avait jamais été aussi proche du but. Allait-il réussir son entreprise ?
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