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[-18] Bienvenue aux îles ! [Pv Denys Timbal-Alyssa Desdaings]
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Bienvenue aux îles !
«Il n'y a qu'une chose de plus violente que la mort : la survie.»
Le regard de la Desdaings ne s'éclaircissait pas, de plus en plus noir à mesure que les secondes s'écoulaient. Elle avait envie de feuler, comme un chat, de planter ses griffes dans sa gorge et de regarder le sang s'écouler. petit à petit, l'innocence dans ses grands yeux s'envolaient. Le cygne gagnait une couleur aussi noire que celle de son frère avant elle. Si Alessander avait été maudit par les dieux, aimant une femme qu'il n'aurait jamais du désirer, elle avait été vendu à un monstre, capturée par un démon qu'elle rêvait de voir disparaitre. Beaumarché n'était peu être plus rien mais elle en était l'héritière. C'était elle la dernière Desdaings. Elle l'ultime enfant d'un couple qui s'était toujours haïe. Qu'importe Isendre. Chaque secondes lui donnaient envie de retrouver sa vie. Elle qui s'était toujours rêvée chevalier oubliait petit à petit tout ses idéaux et voulait redevenir une simple demoiselle. Une Lady avait du caractère qu'elle tairait quoi qu'il arrive. Un époux l'aurait sauvé. Cerenna avait eu raison. Mais où était sa mère aujourd'hui ? Où étaient-ils tous alors qu'elle pleurait sur le souvenir de leurs visages qui disparaissaient déjà derrière ses prunelles emplies de larmes ?
La gifle la secoua mais elle soutient un peu plus son regard. Ses prunelles se glissèrent sur ses doigts, s'attardant sur la ceinture. Elle savait ce qu'il allait faire. Elle savait qu'elle n'était plus grand chose à ses yeux. Mais la colère était toujours là. La peur n'avait pas encore remplacée sa haine. Il n'avait pas encore frappé. Ses mots étaient plus douloureux encore. Et pourtant, à l'instant même où la ceinture s'enroula autour de sa gorge, les yeux de la Desdaings se firent bien plus doux. Ses mains s'accrochèrent au morceau de cuir, essayant vainement de se libérer de son étreinte de fer. Si elle avait pu parler, elle aurait hurlé. Elle lui aurait crié de la lâcher mais l'air lui manquait un peu plus. Un râle s'échappa de ses lèvres alors qu'elle essayait de respirer, qu'elle cherchait, relevant le visage. Les larmes lui montèrent aux yeux, résultat du manque d'oxygène.
Il la lâcha et l'air s’infiltra dans ses poumons comme si elle revenait à la vie. Alyssa toussa, son cœur battant bien trop vite dans sa poitrine. Elle commençait à avoir peur et le regard qu'elle posa sur le fer né n'avait plus rien de la peur chronique. C'était la panique qui commençait à l'envahir. Elle devait se calmer. Elle devait réussir à calmer son coeur. Elle devait réussir à calmer la peur qui grimpait, serpent qui s'infiltrait dans ses veines.
Le bruit de son haut la fit frémir et elle tenta de cacher sa poitrine. Elle n'était plus une enfant et son corps lui prouvait un peu plus. Une femme. Elle devenait une adulte, capable de porter des enfants et de... Non ! plutôt mourir ! Jamais elle ne lui donnerait ce qu'il attendait de lui. plutôt se planter un couteau dans le ventre et charcuter sa chair que de lui offrir un bâtard. Sa chair était peut-être souillée par la présence du fer né mais elle ne donnerait un fils qu'à un noble. Son fils aurait un nom de famille et serait un chevalier aussi puissant qu'Alessander. Rien d'autre ne verrait le jour. Et pourtant. La menace... Il restait Isendre. Il restait sa mère. Il restait les siens. Il ne pouvait faire ça ! Non. Jamais.
Alyssa hurla alors que le cuir marquait sa chair, s'enfonçant dans sa peau. Elle hurla, la colère disparaissant. Il allait la tuer. Elle devait apprendre à se taire. Mais son caractère était celui des Desdaings. Son caractère était celui de la fureur de vivre, celui de la haine d'en découdre. Elle s'inclinerait. Et deviendrait comme sa mère. Une sorcière cachée sous un minois des plus aguicheurs. Les femmes étaient dangereuses et Alyssa devait apprendre à l'être à son tour. 14 ans en compagnie de sa génitrice. Elle n'avait qu'à imiter le moindre de ses gestes.
Arrête. Arrête pitié. Arrête...
Ses supplications étaient vaines. Denys ne l'écouterait pas. Et elle ne savait encore suffisamment jouer de son corps et des charmes de sa beauté pour essayer de l'amadouer. Elle n'était qu'une poupée de chiffon entre ses mains. Une poupée de chiffon intelligente. Dont la vengeance se créait déjà dans son esprit noircit par les sévices qu'elle subissait. Il comprendrait. Tous les fers nés comprendraient. On ne s'attaque pas si facilement au Conflans. Et si ici ils les disaient faibles, Alyssa savait qu'ils arriveraient. Et qu'ils la sauveraient. Alors elle devait se taire. Elle devait mordre jusqu'au sang dans la peau de ses poings. pour ne pas offrir le plaisir de ses larmes. En attendant que tout change.
© Garrett
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Elle implorait la pitié. Ce n'était pas le meilleur moyen de le faire arrêter. Elle avait jouer les fière à bras. Alyssa avait joué l'âme bravache, lançant des piques comme lui donnait des coups de haches. Elle pensait être honorable. Elle pensait incarner la résistance à l'état pure mais ce n'était pas le cas. Il lui avait démontré qu'elle était faible, non pas de corps mais d'esprit. Elle n'arrivait pas à lui résister. Il lui avait offert le monde sur un plateau. Elle n'avait besoin que de poser sa main sur le manche d'une hache pour se créer sa propre voie. Il fallait faire preuve d'honneur et de caractère pour y arriver et ce n'était pas en quémandant la pitié que l'on y arrivait. La Desdaings commettaient une grave erreur.
«Tu cries comme une truie et tu réclames la pitié. Je pensais que tu avais plus de caractère que cela petit cygne. Où est ton regard de défi et où sont tes phrases qui se veulent assassines ? N'y a t-il que faiblesse et couardise sous ton plumage ? Je t'ai peut-être vu trop belle et trop forte ha ha ha. Là où tu devrais apprécier, tu détestes. Là où tu devrais accepter, tu défies. Là où tu devrais combattre, tu fuis. Ais je vraiment besoin d'une femme comme toi ? Je commence à en douter. Nous verrons bien dans quelques temps. Si tu portes mon bâtard ou non ... »
Un dernier coup de fouet claqua sur les côtes d'Alyssa et Denys lui arracha le reste de ses vêtements, la laissant dans la nudité la plus totale. Même en le voulant, elle n'aurait pût lui résister. Il était plus fort, plus véloce qu'elle ne le serait jamais et elle avait déjà affiché les premiers signes de soumission. Des signes qu'il ne fallait jamais envoyé à un homme et encore moins à un mâle dominant. Il n'eut aucune once de respect pour la jeune fille ni pour son corps. Ses mains s'aggripèrent aux cheveux du cygne et il les tira pour l'attirer hors du lit. Elle ne pesait pas bien lourd. Il la jeta sur le sol avec force. Alyssa s'attendait sans doute à être prise sans ménagement mais ce ne fut pas le cas. Le Timbal lui attrapa les poignet et les joignit pour enrouler une bonne partie de sa ceinture autour de ceux-ci. Ensuite il referma la boucle sur l'un des piliers du lit à baldaquin, attachant par conséquent la jeune femme au lit. Elle était là debout, les bras tirés vers le haut par la ceinture. Alyssa avait encore l'air plus pitoyable. Attachée comme cela, Denys était convaincu qu'elle allait dévoiler sa vraie nature. Le Timbal dressé de tout son haut lui claqua les fesses à plusieurs reprises.
«J'ai vu comme mon frère te regardais. Je pourrais l'inviter à venir te voir ha ha ha. Où je pourrais appeler mon fidèle Longmât ? Tu aimerais goûter à son braquemart ha ha ha ? Tu es encore loin d'être prête à pouvoir l’accueillir ha ha ha. Je lis le mépris dans ton regard depuis que j'ai payer le fer-prix pour toi. Tu ne me désires pas pourtant j'ai eu ta vertu. A moins que le sang versé ne soit celui d'une antre bien trop douche pour mon membre ha ha ha. Ce soir je vais te faire plaisir. Il n'y aura aucun risque que tu portes un Timbal dans le creux de ton ventre. Non, il y a encore un pucelage que je ne t'ai pas pris. Je vais bientôt savoir si je me suis réellement trompé sur toi ou si tu es vraiment une coriace ha ha ha. Puisque tu étais réticente à t’asseoir à notre table, je vais te donner une bonne raison de te tenir debout en toute circonstance !»
«Tu cries comme une truie et tu réclames la pitié. Je pensais que tu avais plus de caractère que cela petit cygne. Où est ton regard de défi et où sont tes phrases qui se veulent assassines ? N'y a t-il que faiblesse et couardise sous ton plumage ? Je t'ai peut-être vu trop belle et trop forte ha ha ha. Là où tu devrais apprécier, tu détestes. Là où tu devrais accepter, tu défies. Là où tu devrais combattre, tu fuis. Ais je vraiment besoin d'une femme comme toi ? Je commence à en douter. Nous verrons bien dans quelques temps. Si tu portes mon bâtard ou non ... »
Un dernier coup de fouet claqua sur les côtes d'Alyssa et Denys lui arracha le reste de ses vêtements, la laissant dans la nudité la plus totale. Même en le voulant, elle n'aurait pût lui résister. Il était plus fort, plus véloce qu'elle ne le serait jamais et elle avait déjà affiché les premiers signes de soumission. Des signes qu'il ne fallait jamais envoyé à un homme et encore moins à un mâle dominant. Il n'eut aucune once de respect pour la jeune fille ni pour son corps. Ses mains s'aggripèrent aux cheveux du cygne et il les tira pour l'attirer hors du lit. Elle ne pesait pas bien lourd. Il la jeta sur le sol avec force. Alyssa s'attendait sans doute à être prise sans ménagement mais ce ne fut pas le cas. Le Timbal lui attrapa les poignet et les joignit pour enrouler une bonne partie de sa ceinture autour de ceux-ci. Ensuite il referma la boucle sur l'un des piliers du lit à baldaquin, attachant par conséquent la jeune femme au lit. Elle était là debout, les bras tirés vers le haut par la ceinture. Alyssa avait encore l'air plus pitoyable. Attachée comme cela, Denys était convaincu qu'elle allait dévoiler sa vraie nature. Le Timbal dressé de tout son haut lui claqua les fesses à plusieurs reprises.
«J'ai vu comme mon frère te regardais. Je pourrais l'inviter à venir te voir ha ha ha. Où je pourrais appeler mon fidèle Longmât ? Tu aimerais goûter à son braquemart ha ha ha ? Tu es encore loin d'être prête à pouvoir l’accueillir ha ha ha. Je lis le mépris dans ton regard depuis que j'ai payer le fer-prix pour toi. Tu ne me désires pas pourtant j'ai eu ta vertu. A moins que le sang versé ne soit celui d'une antre bien trop douche pour mon membre ha ha ha. Ce soir je vais te faire plaisir. Il n'y aura aucun risque que tu portes un Timbal dans le creux de ton ventre. Non, il y a encore un pucelage que je ne t'ai pas pris. Je vais bientôt savoir si je me suis réellement trompé sur toi ou si tu es vraiment une coriace ha ha ha. Puisque tu étais réticente à t’asseoir à notre table, je vais te donner une bonne raison de te tenir debout en toute circonstance !»
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C'était trop tard. Trop tard pour lutter, trop tard pour essayer la moindre chose. Il était maitre, maitre de son navire comme de ce corps qu'elle essayait vainement de protéger. Mais elle n'était pas son père. Elle n'avait la puissance du maitre de Beaumarché, elle n'avait la force de cet homme qu'elle avait tant aimé. De cet homme qui avait disparu sous l'attaque de fers nés, empoissé par un démon qu'elle avait dû nommer mère pendant tant d'année. Criston était mort et dans l'esprit d'Alyssa, Cerenna était la seule coupable. Lui et ses monstres à qui elle appartenait maintenant. Elle devait fuir. Elle devait disparaitre, loin, très loin. Retourner dans les ruines de Beaumarché, retrouver Isendre, lui parler, se serrer dans ses bras et oublier pour de bon. Oublier tout ce qu'il se passait. Se perdre dans un monde qui n'existait pas. Imaginer, disparaitre. Elle voulait mourir. Elle voulait tout quitter, abandonner. pour la première fois, elle se sentait impuissante. Elle qui s'était cru si forte n'était qu'un fétu de paille entre les mains d'un démon. Elle n'était qu'un morceau de chair qu'il se plaisait à dévorer sans la moindre pitié.
Elle ne répondit pas, gardant un silence qui n'avait jamais été sien. Gardant la bouche close, essayant de ne pas crier alors qu'elle soutenait son regard, faisant taire cet instant de faiblesse qui l'avait transpercé. Voilà ce qu'il lui manquait. Elle ne devait pas avoir peur de mourir. Elle devait faire disparaitre ce reflex de survie qui la consumait encore mais qui n'avait plus aucun but dans ce monde où elle n'était plus rien. Elle devait apprendre à vouloir mourir. A ne pas avoir peur, jamais. Il pouvait la tuer, voilà qui la ramenerait à la vie. Car rien ne pouvait être pire que d'être l'objet qu'elle était aujourd'hui. Rien ne pouvait être pire que d'être pire qu'une esclave. Elle n'était rien qu'une mère porteuse, si loin de tout ce qu'elle avait rêver. Mais elle mordit violement dans sa lèvre inférieure, le goût du sang emplissant sa bouche pour mieux empêcher les larmes de couler. Elle ne devait pas pleurer. Qu'aurait fait son père ? l n'aurait jamais lâché prise. Il n'aurait jamais fuit, n'aurait jamais pleuré. Il aurait lutté, jusqu'à en mourir, comme il l'avait fait pour protéger ses terres. Toujours fort. Ne parvenait donc -t-elle a comprendre leur devise alors qu'on lui avait tant et tant répétée ? Toujours fort. Jusqu'à hurler de douleur.
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Il la contempla dans la semi-obscurité de la chambre. Elle était pitoyable. Elle ne lui donnait plus cette impression de force et de candeur. Elle avait voulu se rire de lui, se jouer de lui et n'était plus maintenant que du gâchis. N'importe qui à bord de la Phalange savait que l'on ne devait surtout pas énerver Denys Timbal, même quand on était capable de jouer dans la même catégorie que lui. Alyssa venait d'en faire les frais et il espérait que ce traitement la remettrait à sa place. Son souffle était court et le silence s'était installé dans la pièce. Le Capitaine se leva calmement et ouvrit la porte de sa chambre. Il héla un garde et lui demanda de faire monter une servante et une bassine d'eau. Il devait nettoyer son engin mais il devait aussi rendre un peu plus propre la jeune femme qui lui avait servit de catin. Ce n'était pas à ses yeux une question d'hygiène mais seulement une façon de l'humilier à nouveau, un peu plus. Il plongea son regard dans le sien, cherchant à y déceler une trace de haine, de colère, de désir de vengeance ou de peur. Le Timbal avait du mal à comprendre ce qu'il y trouva.
«Tu manques de forme mais tu as un bon petit cul, petit cygne. A quoi tu penses à l'instant ? A me tuer ? A me le faire payer ? A moins que tu n'oses avouer honteusement que tu as aimés ça ha ha ha ? Tu penses à ton foyer, à tes ruines fumantes ? Tu les retrouveras un jour peut-être quand j'aurai terminé ton éducation.»
Les servantes entrèrent avec la bassine d'eau. Si l'une d'entre elle affichait un air étonné, l'autre, la brune venue précédemment dans la chambre ne sembla pas se sentir mal à l'aise face à pareil spectacle. L'eau fut versé et au moment où les domestiques se retirèrent, le Timbal prit la parole d'un ton autoritaire tout en s'immergeant dans l'eau.
«Falia tu peux rester. Je vais avoir besoin de toi.»
La deuxième servante quitta la pièce et entreprit de nouveau de laver Denys ce qui ne prit guerre de temps car une fois ses parties souillés nettoyées, il lui intima un nouvel ordre qui dût sans doute moins lui plaire. Dans sa totale nudité, il détacha la ceinture emprisonnant les poignes d'Alyssa et la laissa choir, à sa guise sur le sol.
«Lave moi cette catin de la tête au pied. Je veux qu'elle brille de mille feux.»
Le Capitaine de la Phalange laissa la jeune domestique prendre soin d'Alyssa. Il ignorait si cette dernière tenterait de se rebeller ou non mais il était dans son intérêt qu'elle ne tente rien car il serait à nouveau obligé de faire preuve de violence avec elle.
«Tu n'as pas froid aux yeux Falia. J'ai pût te jauger quand tu as partagé ma couche lors de mon précédent retour. Si je pouvais en dire de même de ce petit cygne, tu ne te trouverais pas avec nous en ce moment. Il y a deux différences fondamentales qui vous oppose. Tu n'es qu'une domestique mais si je te le demandais, tu passerais le reste de ta vie à me satisfaire. Elle est une fille bien née et elle ne rêve que de se trouver le plus loin possible de moi. La seconde différence réside dans le fait que toi Falia, tu sais contenter un homme. Elle ne le sait point. Une fois propre, tu lui apprendras comment faire. Si tu t'en sors bien, par le Dieu Noyé, je ne l'oublierai pas ha ha ha.»
« C'est que ... oui tout de suite m'sire ! »
Le Timbal se laissa sécher, attendant de voir comment la Desdaings allait réagir à cette nouvelle mise en scène.
«Tu manques de forme mais tu as un bon petit cul, petit cygne. A quoi tu penses à l'instant ? A me tuer ? A me le faire payer ? A moins que tu n'oses avouer honteusement que tu as aimés ça ha ha ha ? Tu penses à ton foyer, à tes ruines fumantes ? Tu les retrouveras un jour peut-être quand j'aurai terminé ton éducation.»
Les servantes entrèrent avec la bassine d'eau. Si l'une d'entre elle affichait un air étonné, l'autre, la brune venue précédemment dans la chambre ne sembla pas se sentir mal à l'aise face à pareil spectacle. L'eau fut versé et au moment où les domestiques se retirèrent, le Timbal prit la parole d'un ton autoritaire tout en s'immergeant dans l'eau.
«Falia tu peux rester. Je vais avoir besoin de toi.»
La deuxième servante quitta la pièce et entreprit de nouveau de laver Denys ce qui ne prit guerre de temps car une fois ses parties souillés nettoyées, il lui intima un nouvel ordre qui dût sans doute moins lui plaire. Dans sa totale nudité, il détacha la ceinture emprisonnant les poignes d'Alyssa et la laissa choir, à sa guise sur le sol.
«Lave moi cette catin de la tête au pied. Je veux qu'elle brille de mille feux.»
Le Capitaine de la Phalange laissa la jeune domestique prendre soin d'Alyssa. Il ignorait si cette dernière tenterait de se rebeller ou non mais il était dans son intérêt qu'elle ne tente rien car il serait à nouveau obligé de faire preuve de violence avec elle.
«Tu n'as pas froid aux yeux Falia. J'ai pût te jauger quand tu as partagé ma couche lors de mon précédent retour. Si je pouvais en dire de même de ce petit cygne, tu ne te trouverais pas avec nous en ce moment. Il y a deux différences fondamentales qui vous oppose. Tu n'es qu'une domestique mais si je te le demandais, tu passerais le reste de ta vie à me satisfaire. Elle est une fille bien née et elle ne rêve que de se trouver le plus loin possible de moi. La seconde différence réside dans le fait que toi Falia, tu sais contenter un homme. Elle ne le sait point. Une fois propre, tu lui apprendras comment faire. Si tu t'en sors bien, par le Dieu Noyé, je ne l'oublierai pas ha ha ha.»
« C'est que ... oui tout de suite m'sire ! »
Le Timbal se laissa sécher, attendant de voir comment la Desdaings allait réagir à cette nouvelle mise en scène.
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