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(même les petits)
Don't cry tonight. ft. Daenerys Targaryen.
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« Lonely is the night when you find yourself alone...Your demons come to light and your mind is not your own. Lonely is the night when there's no one left to call.»
Don't cry tonight.
La soirée était vite arrivée, le mariage de la princesse avait été fort en émotion et la journée était passée bien plus vite que Nymeria ne l'imaginait. Elle avait rencontré beaucoup de beau monde, danser, de bras en bras, ne pouvant refuser de danse en ce jour si particulier, en ce jour de fête. Forte en émotion, oui. Fière Dornienne, lorsqu'il s'agissait d'amour et de plaisir, Nymeria ne se refusait jamais rien, elle agissait naturellement.
Allez savoir s'il s'agissait de son instinct à cet instant qui parlait pour elle mais quelque chose l'avait poussé à aller vers un lieu particulier. Elle n'avait pas encore eu l'occasion de visiter seule certains coins de Port-Réal, accessible en ce jour. Elle avait besoin d'un peu de calme, pour une fois. Visiter quelque lieux, connaître un peu plus l'endroit où elle avait élu domicile sans que pour une fois quelqu'un ne la prenne de haut, ou l'éconduise tout simplement. Mais c'était aussi l'une des rare fois où elle ne voyait pas un Targaryen, se disait-elle. Toujours proche d'Aegon lorsqu'il était là - ça avait peu duré mais elle avait profité de son aller à Port Réal pour le voir - puis toujours un oeil sur Viserys qu'elle essayait de déchiffrer, mais surtout, toujours proche de Rhaegar, le pauvre roi épuisé par le siège. Elle n'avait pas réellement vu Rhaenys en dehors de ce jour qui était le sien, pas plus qu'elle n'avait discuté avec elle. Elle avait aussi rencontré une jolie et jeune demoiselle aujourd'hui : Daenerys Targaryen. La première chose qu'elle s'était dit en la voyant, c'était ô combien elle était belle avec cette chevelure blonde argentée et ses yeux lila. Nymeria avait été subjuguée. Et pourtant elle était jeune, si jeune. Bien plus jeune qu'elle. Et déjà mariée. Et enceinte. Quel âge avait-elle ? 13, 14, 15 voir 16 ans ? Nymeria en avait déjà 23 et était très loin d'être enceinte, et bien plus loin encore de se marier : elle en était persuadée. Elle bénissait son père une fois encore, de ne jamais lui faire pareil affront que la forcer à se marier à un homme qu'elle ne connaissait pas, qu'elle n'aimait pas. Elle avait aimé un homme à Dorne, elle lui avait refusé de se marier. Non pas qu'aujourd'hui elle l'ait entièrement oublié, son coeur était juste tourmenté par tout autre chose. Mais elle ne pouvait que remercier son père à nouveau de ne pas lui faire un affront pareil, de lui faire subir un mariage forcé.
Elle pensait à beaucoup de chose, sauf une qui aurait pu lui être utile : sa destination. Elle marchait, marchait sans penser à où ses pas pouvaient la mener. Mais elle vit au loin cette chevelure argentée et ondulée, cette longue chevelure que Nymeria enviait. Sans gêne aucune, sans timidité, Lady Nym s'approchait de cette demoiselle.
Elle se présentait, d'une voix douce, restant à quelque pas pour ne pas effrayer la demoiselle occupée à elle-ne-savait-quoi. Elle n'était pas du genre brutale, ni du genre à sauter sur les gens à la première occasion. Cette demoiselle était sûrement elle aussi perdue dans ses pensées et ce n'est qu'après avoir parler que Nymeria se dit qu'elle avait probablement besoin de solitude pour être venu ici sans personne et que, par conséquent, elle n'avait peut-être pas sa place ici avec elle. Mais il était déjà trop tard, elle s'était avancée et elle s'était annoncée au petit bout de femme.
Allez savoir s'il s'agissait de son instinct à cet instant qui parlait pour elle mais quelque chose l'avait poussé à aller vers un lieu particulier. Elle n'avait pas encore eu l'occasion de visiter seule certains coins de Port-Réal, accessible en ce jour. Elle avait besoin d'un peu de calme, pour une fois. Visiter quelque lieux, connaître un peu plus l'endroit où elle avait élu domicile sans que pour une fois quelqu'un ne la prenne de haut, ou l'éconduise tout simplement. Mais c'était aussi l'une des rare fois où elle ne voyait pas un Targaryen, se disait-elle. Toujours proche d'Aegon lorsqu'il était là - ça avait peu duré mais elle avait profité de son aller à Port Réal pour le voir - puis toujours un oeil sur Viserys qu'elle essayait de déchiffrer, mais surtout, toujours proche de Rhaegar, le pauvre roi épuisé par le siège. Elle n'avait pas réellement vu Rhaenys en dehors de ce jour qui était le sien, pas plus qu'elle n'avait discuté avec elle. Elle avait aussi rencontré une jolie et jeune demoiselle aujourd'hui : Daenerys Targaryen. La première chose qu'elle s'était dit en la voyant, c'était ô combien elle était belle avec cette chevelure blonde argentée et ses yeux lila. Nymeria avait été subjuguée. Et pourtant elle était jeune, si jeune. Bien plus jeune qu'elle. Et déjà mariée. Et enceinte. Quel âge avait-elle ? 13, 14, 15 voir 16 ans ? Nymeria en avait déjà 23 et était très loin d'être enceinte, et bien plus loin encore de se marier : elle en était persuadée. Elle bénissait son père une fois encore, de ne jamais lui faire pareil affront que la forcer à se marier à un homme qu'elle ne connaissait pas, qu'elle n'aimait pas. Elle avait aimé un homme à Dorne, elle lui avait refusé de se marier. Non pas qu'aujourd'hui elle l'ait entièrement oublié, son coeur était juste tourmenté par tout autre chose. Mais elle ne pouvait que remercier son père à nouveau de ne pas lui faire un affront pareil, de lui faire subir un mariage forcé.
Elle pensait à beaucoup de chose, sauf une qui aurait pu lui être utile : sa destination. Elle marchait, marchait sans penser à où ses pas pouvaient la mener. Mais elle vit au loin cette chevelure argentée et ondulée, cette longue chevelure que Nymeria enviait. Sans gêne aucune, sans timidité, Lady Nym s'approchait de cette demoiselle.
« Dame Daenerys... Je suis Nymeria Sand, nous nous sommes vu plus tôt... »
Elle se présentait, d'une voix douce, restant à quelque pas pour ne pas effrayer la demoiselle occupée à elle-ne-savait-quoi. Elle n'était pas du genre brutale, ni du genre à sauter sur les gens à la première occasion. Cette demoiselle était sûrement elle aussi perdue dans ses pensées et ce n'est qu'après avoir parler que Nymeria se dit qu'elle avait probablement besoin de solitude pour être venu ici sans personne et que, par conséquent, elle n'avait peut-être pas sa place ici avec elle. Mais il était déjà trop tard, elle s'était avancée et elle s'était annoncée au petit bout de femme.
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Daenerys Targaryen et Nymeria Sand
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Une brise légère se levait, la lueur du soir semblait annoncer le début d'une nuit froide..
Alors que le banquet se poursuivait jusqu'à point d'heure, Daenerys avait pris la liberté de se retirer. Quelques temps déjà qu'elle n'avait pas parcourue ces mûrs.. Cela lui paraissait comme révolu ou prenant son essor dans un souvenir lointain. Il fallait qu'elle s'y ennuie à nouveau, mieux, qu'elle s'y lamente. Un peu à la manière d'une tombe ou d'un passage obligé.
De cette journée de bonheur, Daenerys en tirait une journée riche en souvenirs et même en émotions. En vérité aussi. Car elle venait de réaliser tardivement qu'elle ne reverrais plus Rhaenys à Port-Réal.
Quelle triste vérité de se sentir comme un petit coeur abandonné..
Daenerys souriait facilement à la vu du bonheur pour savoir ignorer le siens. Mais il ne fut comblée que par la présence de la belle Nymeria aujourd'hui. Si belle et si impressionnante à la fois.. Captivante aussi surement !.. Car Nymeria lui était apparue comme un mystère ou une énigme. Une beauté redoutables dont Daenerys n'avait que faiblement l'étoffe..
Elle avait sans doute dû lui paraître bien pauvre, elle, la petite Targaryen sans courage.. Le feu de Daenerys était invisible pour l'oeil de ceux qui cherchait les flammes. Une rencontre riche, dont la petite avait au moins eu loisir de parler avec son coeur.
Ici, à une telle heure. Le bonheur avait fait place à la mélancolie. Rhaenys loin, Aegon serait un jour avisé à reprendre les responsabilités de son frère. Il ne resterait alors plus personne. Les Targaryen perdaient assurement de leurs superbes avec tout ces départs..
Le petit ère arrêta sa triste marche près de la grande salle aux crânes de dragons. Elle les contempla, l'oeil humide, tenant difficilement le chagrin. Daenerys aurait pu trouver plaisir à s'endormir parmi eux. Les dragons l'avait toujours apaisées, même si elle ne les découvrait que par ses lectures..
Une autre larme perla, elle était cette fois ci plus claire. Un bruit faible et la princesse se tourna. Une voix douce, ni trop forte ni inaudible. Elle contemplait Nymeria..
Daenerys se pressa de sécher ses larmes. Elle se redressa le coeur tremblant et lui envoyant quelques coups de panique. Elle savait qu'une dames de sa conditions devait se tenir aux normes de la bienséance. Son âge lui, ne devait certainement pas être une excuse pour se laisser divaguer ou meurtrir ..
« Lady Nymeria.. » Fit t-elle tremblante en inclinant joliment son visage. Une révérence polie et ayant peine à trouver son souffle, elle replaça son port de tête et retrouva sa voix. « Pardonner cette égarement, je.. le vin surement .. » Daenerys mentait mal, Nymeria se doutait forcément qu'elle n'avait pas bu de coupe ce soir. Daenerys enceinte, il allait de paire qu'Elbert lui même y veillait avec attention ! Demasquée, l'oisillon regardait tristement le sol. La voir ainsi aurait laisser penser qu'elle attendait sagement sa sentence..
Alors que le banquet se poursuivait jusqu'à point d'heure, Daenerys avait pris la liberté de se retirer. Quelques temps déjà qu'elle n'avait pas parcourue ces mûrs.. Cela lui paraissait comme révolu ou prenant son essor dans un souvenir lointain. Il fallait qu'elle s'y ennuie à nouveau, mieux, qu'elle s'y lamente. Un peu à la manière d'une tombe ou d'un passage obligé.
De cette journée de bonheur, Daenerys en tirait une journée riche en souvenirs et même en émotions. En vérité aussi. Car elle venait de réaliser tardivement qu'elle ne reverrais plus Rhaenys à Port-Réal.
Quelle triste vérité de se sentir comme un petit coeur abandonné..
Daenerys souriait facilement à la vu du bonheur pour savoir ignorer le siens. Mais il ne fut comblée que par la présence de la belle Nymeria aujourd'hui. Si belle et si impressionnante à la fois.. Captivante aussi surement !.. Car Nymeria lui était apparue comme un mystère ou une énigme. Une beauté redoutables dont Daenerys n'avait que faiblement l'étoffe..
Elle avait sans doute dû lui paraître bien pauvre, elle, la petite Targaryen sans courage.. Le feu de Daenerys était invisible pour l'oeil de ceux qui cherchait les flammes. Une rencontre riche, dont la petite avait au moins eu loisir de parler avec son coeur.
Ici, à une telle heure. Le bonheur avait fait place à la mélancolie. Rhaenys loin, Aegon serait un jour avisé à reprendre les responsabilités de son frère. Il ne resterait alors plus personne. Les Targaryen perdaient assurement de leurs superbes avec tout ces départs..
Le petit ère arrêta sa triste marche près de la grande salle aux crânes de dragons. Elle les contempla, l'oeil humide, tenant difficilement le chagrin. Daenerys aurait pu trouver plaisir à s'endormir parmi eux. Les dragons l'avait toujours apaisées, même si elle ne les découvrait que par ses lectures..
Une autre larme perla, elle était cette fois ci plus claire. Un bruit faible et la princesse se tourna. Une voix douce, ni trop forte ni inaudible. Elle contemplait Nymeria..
Daenerys se pressa de sécher ses larmes. Elle se redressa le coeur tremblant et lui envoyant quelques coups de panique. Elle savait qu'une dames de sa conditions devait se tenir aux normes de la bienséance. Son âge lui, ne devait certainement pas être une excuse pour se laisser divaguer ou meurtrir ..
« Lady Nymeria.. » Fit t-elle tremblante en inclinant joliment son visage. Une révérence polie et ayant peine à trouver son souffle, elle replaça son port de tête et retrouva sa voix. « Pardonner cette égarement, je.. le vin surement .. » Daenerys mentait mal, Nymeria se doutait forcément qu'elle n'avait pas bu de coupe ce soir. Daenerys enceinte, il allait de paire qu'Elbert lui même y veillait avec attention ! Demasquée, l'oisillon regardait tristement le sol. La voir ainsi aurait laisser penser qu'elle attendait sagement sa sentence..
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Don't cry tonight.
Les dorniens étaient-ils capable de ressentir quelconque gêne à un moment de leur vie ? C'était une véritable question qu'il fallait se poser. Avec le temps, Nymeria s'était dit que les dieux avaient dispensés les dorniens de ce calvaire pour leur faire plutôt comprendre que lorsqu'il y avait de la gêne, il n'y avait pas de plaisir. Pourtant, en voyant la petite princesse dans tous ses états, elle ne ressentit ni gêne, ni plaisir. Ce petit bout de femme devant elle craquait. On ne pouvait dire que c'était à cause de la pluie, il ne pleuvait pas ici. Elle s'approchait donc un peu plus, se voulant rassurante elle posait d'abord l'une de ses main chaude sur l'épaule de la petite dame.
Nymeria, elle, ne pleurerait sans doute pas. Ou pas de la manière dont les gens pleurent, car elle garderait tout cela pour elle, ou resterait dans un bain chaud. Mais la dame qui était là était encore si jeune, si frêle, si fragile, cela sautait aux yeux. C'était encore un tout petit dragon qui peinait à sortir de sa coquille, un petit dragon qu'il fallait aider. Nymeria se permettait alors un geste plus familier en glissant son bras autour des épaules de la petite dame, puis elle contemplait à son tour ces ossements gigantesques. Elle se sentait petite à cet instant. C'était sûrement la première fois qu'elle voyait pareille chose.
Ces gestes étaient familier et peut-être le prendrait-elle mal, mais peut-être en avait-elle besoin. Nymeria pensait surtout qu'une dame enceinte jusqu'aux yeux, qui plus est une princesse, ne devait pas rester seule même dans son château. Elle n'avait pas confiance, toujours pas. Même à ce mariage, elle avait des lames sous sa robe et une discrète sous sa chevelure. Quelque images lui revenaient, des gens dansant, des gens heureux, du roi, surtout, dont elle se souvenait peiner à sourire lui aussi. Elle inspirait un bon moment puis elle caressait doucement le bras de la petite dame.
Elle riait légèrement et approchait sa main libre du crâne mais elle restait interdite. Sa main retombait contre son flanc.
« Allons, allons. Tout le monde pleure à un mariage. Peu importe les raisons. »
Nymeria, elle, ne pleurerait sans doute pas. Ou pas de la manière dont les gens pleurent, car elle garderait tout cela pour elle, ou resterait dans un bain chaud. Mais la dame qui était là était encore si jeune, si frêle, si fragile, cela sautait aux yeux. C'était encore un tout petit dragon qui peinait à sortir de sa coquille, un petit dragon qu'il fallait aider. Nymeria se permettait alors un geste plus familier en glissant son bras autour des épaules de la petite dame, puis elle contemplait à son tour ces ossements gigantesques. Elle se sentait petite à cet instant. C'était sûrement la première fois qu'elle voyait pareille chose.
« Avez-vous passé une agréable journée, petite dragonne ? »
Ces gestes étaient familier et peut-être le prendrait-elle mal, mais peut-être en avait-elle besoin. Nymeria pensait surtout qu'une dame enceinte jusqu'aux yeux, qui plus est une princesse, ne devait pas rester seule même dans son château. Elle n'avait pas confiance, toujours pas. Même à ce mariage, elle avait des lames sous sa robe et une discrète sous sa chevelure. Quelque images lui revenaient, des gens dansant, des gens heureux, du roi, surtout, dont elle se souvenait peiner à sourire lui aussi. Elle inspirait un bon moment puis elle caressait doucement le bras de la petite dame.
« Connaissez-vous l'histoire de ces dragon ? Je souhaiterai en apprendre un peu plus sur ces lieux mais je n'ai pas encore trouvé quelqu'un pour m'en parler... Il est dommage de rester à un endroit et ne rien en savoir. »
Elle riait légèrement et approchait sa main libre du crâne mais elle restait interdite. Sa main retombait contre son flanc.
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Daenerys Targaryen et Nymeria Sand
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Daenerys sourit, tentant si maladroitement de faire bonne figure. Sa voix se tassait, tant elle avait si peur. Les dorniens plus que les autres, savaient comment rendre la petite dragonne soumise. Plus qu'un aura, Nymeria était de ces femmes, qu'on respect quand on demeure un oisillon. Une bien petite confrontation, car Daenerys n'avait jamais eu l'étoffe de rivalisé avec qui que se soit ! Gênée, Daenerys passa une main innocente dans sa chevelure d'argent. Elle respira profondément et apprécia la délicatesse de Nymeria qui venait par son geste d'apaiser un peu plus ses petits tracas. Mise en confiance, Daenerys sourit, prenant soin de mieux retirer les quelques perles d'eau rester sous ses yeux.
« L'émotion oui, surement » trembla t-elle tendrement devant la jolie Dornienne. La petite princesse se redressa, appréciant l'attention de Nymeria qui était bien l'une des seule à se soucier de savoir si cette journée lui avait été agréable ! Cette question, pourtant si évidente, que Daenerys aurait rêver d'entendre venant de sa nièce.. Un vent chaud entama son ventre, Daenerys se sentit presque protégée par l'attention de Nymeria. Soulagée, bien qu'elle demeurait toujours impressionnée, elle fut sincère, comme un remerciement à sa question..
« Je le croit, du moins, j'essaye de m'en convaincre. Rhaenys me manquera beaucoup.. Je.. Les choses sont ainsi, le temps passe, c'est si cruel.. » Daenerys garda ses petits yeux plongés dans ceux de la dornienne, se confiant comme à une soeur. Elle resta prude, et anima la conversation de sourire et de politesses. Daenerys avait toujours été ainsi, emploie au bon savoir, même si elle était loin d'être trop inconsciente. C'était son petit drame, la peur..
La princesse avait cependant sourit à la simple évocation des dragons et de leurs histoires. Daenerys avait toujours été une enfant cultivée et alerte à défaut d'être très courageuse.. Elle reprit sa joie et son entrain, passant une main sur l'un des crâne tout comme Nymeria. Ce crâne si, était celui du dragon de Jaehaerys.. Son préféré..
« Celui ci s'appelait Vermithor, on le surnommait aussi la furie d'airain. Il était monté par le grand roi Jaehaerys. Mon préféré.. » Daenerys illumina un peu plus son visage « Je ne suis jamais allée à Dorne, l'on ma dit tant de chose sur les paysage de Lancehélion .. Ce doit être un endroit fabuleux »
« L'émotion oui, surement » trembla t-elle tendrement devant la jolie Dornienne. La petite princesse se redressa, appréciant l'attention de Nymeria qui était bien l'une des seule à se soucier de savoir si cette journée lui avait été agréable ! Cette question, pourtant si évidente, que Daenerys aurait rêver d'entendre venant de sa nièce.. Un vent chaud entama son ventre, Daenerys se sentit presque protégée par l'attention de Nymeria. Soulagée, bien qu'elle demeurait toujours impressionnée, elle fut sincère, comme un remerciement à sa question..
« Je le croit, du moins, j'essaye de m'en convaincre. Rhaenys me manquera beaucoup.. Je.. Les choses sont ainsi, le temps passe, c'est si cruel.. » Daenerys garda ses petits yeux plongés dans ceux de la dornienne, se confiant comme à une soeur. Elle resta prude, et anima la conversation de sourire et de politesses. Daenerys avait toujours été ainsi, emploie au bon savoir, même si elle était loin d'être trop inconsciente. C'était son petit drame, la peur..
La princesse avait cependant sourit à la simple évocation des dragons et de leurs histoires. Daenerys avait toujours été une enfant cultivée et alerte à défaut d'être très courageuse.. Elle reprit sa joie et son entrain, passant une main sur l'un des crâne tout comme Nymeria. Ce crâne si, était celui du dragon de Jaehaerys.. Son préféré..
« Celui ci s'appelait Vermithor, on le surnommait aussi la furie d'airain. Il était monté par le grand roi Jaehaerys. Mon préféré.. » Daenerys illumina un peu plus son visage « Je ne suis jamais allée à Dorne, l'on ma dit tant de chose sur les paysage de Lancehélion .. Ce doit être un endroit fabuleux »
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Don't cry tonight.
La douce Targaryen la faisait sourire, elle lui faisait penser à l'une de ses jeune soeur... Mais douce. Les aspics n'étaient pas vraiment connu pour leur douceur, elles s'assagissaient avec le temps disait-on. La réalité était autre, avec le temps elles apprenaient à manier les armes et inspiraient la crainte grâce à cela, elles n'avaient plus besoin de leur excès de colère pour obtenir ce qu'elles désiraient, du moins, les 4 grandes aspics avaient ainsi grandie, Elia Sand, elle, c'était tout autre, une petite teigne, une vipère qui mordait encore. Mais Nymeria l'adorait, elle avait toujours adoré s'occuper d'elle, elle était le fruit de l'amour entre son père et d'une femme qu'elle adorait. Elle aussi s'assagirait avec le temps. Nymeria avait des liens si fort avec ses soeurs que personne ne saurait se mettre en travers de cela, aucun homme ni femme. Oberyn Martell avait fait un excellent travail en élevant ses filles, c'était le moins que l'on puisse dire, il avait crée 8 vipères, et même la plus jeune était fort caractérielle. Touchez à Oberyn Martell, Nymeria deviendra votre pire cauchemar. Touchez aux soeurs de Nymeria et vous ne fermerez plus les yeux sans crainte de ne plus savoir les rouvrir. Mais si douce soit Daenerys, Nymeria eut comme étrange instinct de la prendre sous son aile. Quiconque connaissait Nymeria douterait qu'elle soit pourvue d'instinct maternelle, et pourtant. Quelque chose en elle la poussait à enlacer Daenerys Targaryen. Son affection profonde pour le roi, peut-être, se disait-elle, la poussait à enlacer cette petite soeur qui paraissait bien triste, puisque lui ne pouvait le faire : ça n'était pourtant en rien dans ses droits ni ce qu'elle avait à faire. C'était d'instinct, c'était tout. Nymeria ne la jugerait pas parce qu'elle pleurait, les dorniens étaient eux-même forts émotifs.
La vie pouvait être cruelle pour les gens sans nom, pour les bâtards condamnés à aimer de tout leur coeur un être qu'ils ne pourront jamais épouser, le destin était cruel que de faire s'enticher deux êtres, les faire s'aimer et se rendre dépendant l'un de l'autre et les priver pour de nombreuses raisons de se lier jusqu'à la mort, un nom, un titre, un âge, un sexe, qu'en savait-elle encore, les raisons étaient si nombreuses. Mais elle se devait de reconnaître que cela pouvait aussi être cruel pour des nobles de devoir se marier sans affection quelconque, une chose que tout dornien ne peut concevoir, une vie sans amour et sans passion : ça, c'était cruel. Arianne Martell avait bien vécu, Nymeria comprenait l'envie et besoin de Doran de faire marier son héritière, et à quel homme allait-il la marier ? A quel nom ? Nymeria même n'en savait rien. C'était rude. Mais Arianne saurait sans doute mieux que quiconque comment vivre d'amour et de passion malgré son mariage, elle l'avait toujours su, Nymeria doutait qu'une bague y changerait quoi que ce soit. Elle se reconcentrait sur les dragons, s'imaginant quelle vie trépidante ils avaient pu avoir, ce qu'ils avaient pu voir en volant...
La Lady passait, entre autre, ses journées à longer les jardins, inlassablement, aller près de la mer respirer l'air pur du large, attendant (im)patiemment que la nuit tombe. Nymeria se reculait quelque peu, jetant un regard à la demoiselle à qui elle offrit un sourire chaleureux.
Et c'était bien vrai. Ils avaient de grandes similitudes. Nymeria aurait tue ce genre de remarque en présence d'autres personnes, mais elle sentait qu'elle pouvait faire confiance à cette dame, qu'elles pouvaient discuter. Daenerys ne l'avait pas jugée pour son titre de bâtarde de dorne, pour ses attraits d'Aspic. Elle ne l'avait pas regardée de haut ni parler sur un ton supérieur. Il est vrai que les rumeurs sur l'aspic allaient bon train à la capitale et ceux depuis l'instant même où elle avait posé le pied au sol, et la façon dont elle s'était approchée du roi au mariage de la princesse, elle savait déjà que les gens le répéteraient et s'amuseraient à grossir cette histoire. "Avez-vous vu ? Elle lui a pris la main !" "Elle s'est assise à côté de lui, vous imaginez ? S'asseoir à côté du roi, une bâtarde !" "Vous avez vu la façon dont ils se regardaient ? Dont il la regardait ? Dont elle le regardait ?" ça n'était que ça, constamment : c'était épuisant. Nymeria optait pour un tout autre sujet.
Elle n'en voulait plus à Rhaegar, à Dorne, on lui avait appris à lui en vouloir, presque à le détester, ce prince qui avait osé abandonner Elia Martell, la grande femme dornienne, la grande princesse au coeur énorme, celle qu'il avait tant désiré et qu'il avait abandonné pour une louve. Mais elle avait appris à le connaître, elle lui avait parlé, elle l'avait compris bien vite, elle ne lui en voulait plus. Mais à Dorne c'était tout autre. La rancoeur était encore belle et bien présente : Oberyn lui-même se serait présenter sinon, et non pas sa lady de fille. Mais si Doran en voulait réellement à Rhaegar, il aurait envoyé Obara : la princesse ne se mariait-elle pas avec un homme de Vieilleville, l'endroit détesté d'Obara qu'elle aurait volontiers mis à sac ? Il aurait pu envoyer Tyerne l'empoisonneuse. Sarella, même. Mais non, c'était Lady Nym. Il y avait une raison à tout cela, Nymeria cherchait encore laquelle, la véritable raison.
Elle prenait la main de la demoiselle et l'entraînait avec elle vers d'autres crânes.
« Le temps passe vite, il est bien vrai. J'ai perdu toute notion du temps depuis mon arrivée à Port-Réal. Est-ce que cela fait deux semaines, un mois ou bien deux, peut-être même trois... Je ne saurais vous dire. C'est écrit, je suppose. La princesse Rhaenys a grandi et devra s'en aller au Bief... Ce sera sans doute le devoir du prince Aegon dans peu de temps... Ce n'est point cruel, la vie est ainsi faite. La princesse aura sûrement de beaux enfants et ils joueront avec les votre, il faut voir cela sous un bon oeil. J'ai toujours plains la vie des grandes gens je dois le reconnaître, être forcé d'épouser quelqu'un que l'on ne connait, pour qui nous n'éprouvons aucune affection... Et bénis soit mon père de me priver d'un tel fardeau. Cependant le destin a l'air clément, votre époux semble bon avec vous, vous semblez heureuse à ses côtés et vous aurez bientôt un beau bébé qui sera votre rayon de soleil. Est-ce si cruel ma douce dame ? »
La vie pouvait être cruelle pour les gens sans nom, pour les bâtards condamnés à aimer de tout leur coeur un être qu'ils ne pourront jamais épouser, le destin était cruel que de faire s'enticher deux êtres, les faire s'aimer et se rendre dépendant l'un de l'autre et les priver pour de nombreuses raisons de se lier jusqu'à la mort, un nom, un titre, un âge, un sexe, qu'en savait-elle encore, les raisons étaient si nombreuses. Mais elle se devait de reconnaître que cela pouvait aussi être cruel pour des nobles de devoir se marier sans affection quelconque, une chose que tout dornien ne peut concevoir, une vie sans amour et sans passion : ça, c'était cruel. Arianne Martell avait bien vécu, Nymeria comprenait l'envie et besoin de Doran de faire marier son héritière, et à quel homme allait-il la marier ? A quel nom ? Nymeria même n'en savait rien. C'était rude. Mais Arianne saurait sans doute mieux que quiconque comment vivre d'amour et de passion malgré son mariage, elle l'avait toujours su, Nymeria doutait qu'une bague y changerait quoi que ce soit. Elle se reconcentrait sur les dragons, s'imaginant quelle vie trépidante ils avaient pu avoir, ce qu'ils avaient pu voir en volant...
« Quel drôle de nom pour un dragon... Peut-être devrais-je profiter de mes longues après-midi d'ennuie à lire quelque ouvrages sur les dragons, ils sont tout à fait fascinant... »
La Lady passait, entre autre, ses journées à longer les jardins, inlassablement, aller près de la mer respirer l'air pur du large, attendant (im)patiemment que la nuit tombe. Nymeria se reculait quelque peu, jetant un regard à la demoiselle à qui elle offrit un sourire chaleureux.
« Vous ressemblez beaucoup à votre frère, le roi. C'est un homme bon, sûrement l'une des meilleure personne qu'il m'ait été donné de rencontrer. J'ai presque l'impression de le voir lorsque je vous regarde. »
Et c'était bien vrai. Ils avaient de grandes similitudes. Nymeria aurait tue ce genre de remarque en présence d'autres personnes, mais elle sentait qu'elle pouvait faire confiance à cette dame, qu'elles pouvaient discuter. Daenerys ne l'avait pas jugée pour son titre de bâtarde de dorne, pour ses attraits d'Aspic. Elle ne l'avait pas regardée de haut ni parler sur un ton supérieur. Il est vrai que les rumeurs sur l'aspic allaient bon train à la capitale et ceux depuis l'instant même où elle avait posé le pied au sol, et la façon dont elle s'était approchée du roi au mariage de la princesse, elle savait déjà que les gens le répéteraient et s'amuseraient à grossir cette histoire. "Avez-vous vu ? Elle lui a pris la main !" "Elle s'est assise à côté de lui, vous imaginez ? S'asseoir à côté du roi, une bâtarde !" "Vous avez vu la façon dont ils se regardaient ? Dont il la regardait ? Dont elle le regardait ?" ça n'était que ça, constamment : c'était épuisant. Nymeria optait pour un tout autre sujet.
« Quant à Dorne, je serais ravie de vous y emmener. Oh, ils ne sont pas amateurs de Targaryen après l'incident de votre frère mais je suis sûre qu'à deux nous pourrons les convaincre de votre bonne foi. »
Elle n'en voulait plus à Rhaegar, à Dorne, on lui avait appris à lui en vouloir, presque à le détester, ce prince qui avait osé abandonner Elia Martell, la grande femme dornienne, la grande princesse au coeur énorme, celle qu'il avait tant désiré et qu'il avait abandonné pour une louve. Mais elle avait appris à le connaître, elle lui avait parlé, elle l'avait compris bien vite, elle ne lui en voulait plus. Mais à Dorne c'était tout autre. La rancoeur était encore belle et bien présente : Oberyn lui-même se serait présenter sinon, et non pas sa lady de fille. Mais si Doran en voulait réellement à Rhaegar, il aurait envoyé Obara : la princesse ne se mariait-elle pas avec un homme de Vieilleville, l'endroit détesté d'Obara qu'elle aurait volontiers mis à sac ? Il aurait pu envoyer Tyerne l'empoisonneuse. Sarella, même. Mais non, c'était Lady Nym. Il y avait une raison à tout cela, Nymeria cherchait encore laquelle, la véritable raison.
« Les jardins aquatiques seraient le lieu rêvé pour élevé un enfant. Mes petites soeurs ne sont jamais aussi heureuse que lorsqu'elles y sont. Je les revois courir, riant aux éclats. Lorsque tout sera calmé, je vous invite vraiment à y séjourner. »
Elle prenait la main de la demoiselle et l'entraînait avec elle vers d'autres crânes.
« Et eux, qui sont-ils, vous le savez ? »
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Daenerys Targaryen et Nymeria Sand
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Les mots de la Dornienne raisonnait en elle comme une vérité inaltérable et droite. Elle songea bien à se livrer, mais n'y ferait pas sans une certaine idée de confiance qu'elle lisait dans ses yeux.. Les secrets ne se confiaient jamais, ils étaient donné parmi quelques mensonges. Il fallait avouer qu'il y avait un certain plaisir à rencontrer une dame du même avis qu'elle sur le monde.. Les hommes aux combats, les femmes en étaient réduite aux parlotes et autres complots de bas étages. Daenerys aima la tendresse de Nymeria, cette manière si douce et admirable qu'elle avait de lui parler ! Daenerys se sentait bien durement toucher par le cliché de la jouvencelle sans expérience. Elle avait au moins eu le luxe de mûrir un peu, du moins suffisamment pour comprendre ces choses là, même si cela l'effrayait encore.
« Oh vous connaissez Rhaegar ? » Fit joyeusement Daenerys de ses yeux brillant. Il était évident que la petite préférait cette comparaison à celle de Viserys.
« On me le dit souvent, mon frère est pourtant plus courageux que moi dans bien des manières. Je le sent si mélancolique depuis la mort d'Elia.. Il semble grandement vous apprécier, je ne l'avais pas vu ainsi depuis fort longtemps ! »
Un pas subtile puis un autres, les deux femmes parcouraient aisément le couloirs.. Un vent glacé se leva et retomba aussitôt. Ses cheveux se mirent à flotter, le vent engendra une larme près de ses yeux. Elle la sécha et retrouva le jolie minois de Nymeria auquel elle ne faisait désormais que sourire avec tendresse. Il était d'évidence que beaucoup au banquet avait remarquer cette attachement auprès de son frère..
Daenerys brillait de bonheur de le voir ainsi. Personne n'était dupe quant à la mort de son épouse, la reine Elia... Nymeria lui avait rendu sourir au moment ou sa fille lui était enlever à son tour. Daenerys la suiva, Nymeria l'entraînait vers un autre crâne. Les deux jeune femmes semblaient avoir été faites pour converser et se comprendre !
« Lui c'est Caraxes, le dragon préféré de ma mère, c'était un superbe dragon rouge, il vécu entre la période de la conquête et la danse des dragons. C'était un mâle, il était monté par Daemon Targaryen. Et cet autre, Vif-Argent ! Un dragon blanc dû à son nom, il mourut lors de la bataille de sous l'Œildieu »
Daenerys garda la main de la Dornienne, elle souriait, semblant retrouver une soeur dans ses traits et ses paroles.
« Vous semblez fortement attachée à mon frère, l'aimez vous .. Plus que de simple amitié ? » Daenerys s'osa à poser la question, elle voulait savoir, au moins le savoir..
« Oh vous connaissez Rhaegar ? » Fit joyeusement Daenerys de ses yeux brillant. Il était évident que la petite préférait cette comparaison à celle de Viserys.
« On me le dit souvent, mon frère est pourtant plus courageux que moi dans bien des manières. Je le sent si mélancolique depuis la mort d'Elia.. Il semble grandement vous apprécier, je ne l'avais pas vu ainsi depuis fort longtemps ! »
Un pas subtile puis un autres, les deux femmes parcouraient aisément le couloirs.. Un vent glacé se leva et retomba aussitôt. Ses cheveux se mirent à flotter, le vent engendra une larme près de ses yeux. Elle la sécha et retrouva le jolie minois de Nymeria auquel elle ne faisait désormais que sourire avec tendresse. Il était d'évidence que beaucoup au banquet avait remarquer cette attachement auprès de son frère..
Daenerys brillait de bonheur de le voir ainsi. Personne n'était dupe quant à la mort de son épouse, la reine Elia... Nymeria lui avait rendu sourir au moment ou sa fille lui était enlever à son tour. Daenerys la suiva, Nymeria l'entraînait vers un autre crâne. Les deux jeune femmes semblaient avoir été faites pour converser et se comprendre !
« Lui c'est Caraxes, le dragon préféré de ma mère, c'était un superbe dragon rouge, il vécu entre la période de la conquête et la danse des dragons. C'était un mâle, il était monté par Daemon Targaryen. Et cet autre, Vif-Argent ! Un dragon blanc dû à son nom, il mourut lors de la bataille de sous l'Œildieu »
Daenerys garda la main de la Dornienne, elle souriait, semblant retrouver une soeur dans ses traits et ses paroles.
« Vous semblez fortement attachée à mon frère, l'aimez vous .. Plus que de simple amitié ? » Daenerys s'osa à poser la question, elle voulait savoir, au moins le savoir..
codage de whatsername.
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« Lonely is the night when you find yourself alone...Your demons come to light and your mind is not your own. Lonely is the night when there's no one left to call.»
Don't cry tonight.
Bien souvent, les personnes de la couronne avaient comparés - à tort - Nymeria Sand à Doran Martell, se demandant si elle n'était pas sa fille à celle d'Oberyn Martell. C'était son charisme qui faisait cela, sans doute. Le fait qu'elle n'avait pas besoin de hausser le ton ou devenir vulgaire pour obtenir ce qu'elle voulait, si bien qu'elle pouvait paraître imposante aux yeux de certains moins avisés. L'aspic passait pour une femme douce mais aucun jusqu'ici n'avait osé lui poser de réelles questions quant à sa possible relation avec le roi. Aucun n'avait jusqu'ici osé allait au delà du fameux «couchez-vous avec le roi?» et pourtant Daenerys avait été innovante quand bien même sa question la prise au dépourvu. En effet, elle avait, par loyauté, toujours niée quelconque relation physique avec son roi. Mais maintenant qu'ils s'étaient affichés en public, qu'elle lui avait tenue la main, l'avait couvé du regard, la question pouvait se poser... Mais aucun n'avait poussé à lui demander cela «aimez-vous le roi». Et qu'aurait-elle pu répondre à cela ? Nymeria était une Dornienne qui vivait d'amour et laissait parler son cœur plus qu'autre chose, à un étranger elle aurait répondu «Il est mon roi, il est normal de lui être loyale et sympathique» mais la dragonne avait été plus subtile «plus que de l'amitié» avait-elle dit. L'aspic bloquait quelque secondes sa respiration, cherchant quoi dire, quoi répondre, comment. Elle regardait d'abord autour d'elles, personne. Elle riait alors légèrement et regardait le crâne de dragon en se mordillant la lèvre inférieur. Avait-elle été si peu discrète ou était-ce simplement le fait que Daenerys Targaryen connaissait son frère mieux que quiconque ? Les mots «je ne l'avais pas vu ainsi depuis fort longtemps» raisonnaient encore. Elle avait laissé la petite princesse parler sans s'interposer, ne sachant quoi dire. Elle ne débloquait sa respiration que pour prendre une nouvelle bouffée d'air et ainsi lui répondre, ses pommettes étrangement... Rougis.
Mais Daenerys l'avait désarçonnée. Les questions de personnes lambdas étaient simple à nier, mais Daenerys était la petite sœur de Rhaegar. Pourquoi lui demandait-elle cela ? Pour lui rapporter ? Non. Nymeria ne pensait être qu'une occupation nocturne, le roi avait mieux à penser que cela. Elle se mordillait à nouveau la lèvre puis elle reprenait.
Elle regardait leurs mains, puis à nouveau les crânes de dragon. C'était dit, c'était presque un poids en moins sur les épaules. Elle riait bêtement et détournait son regard vers la jeune femme à côté d'elle.
Nymeria comprenait la curiosité d'une sœur pour son grand frère, elle aurait sans doute réagis de la sorte si elle avait été à sa place, bien qu'elle aurait été bien moins douce. Elle changeait néanmoins de sujet pour un autre qu'elle pensait plus intéressant, le bébé qui arrivait.
Nymeria se risquait à glisser sa main libre contre la joue de Daenerys, lui faisant à présent face. Elle essuyait une larme, un sourire tendre se dessinant sur ses lèvres. Les femmes enceintes pouvaient être forts émotives, elle se rappelait avec affection des grossesses d'Ellaria Sand et de ses crises passagères.
La réputation de Rhaegar n'était pas au beau fixe, roi mou, lent, indécis, elle avait l'impression de faire face à Doran et ses rumeurs. Nymeria était l'inverse, toujours l'arme au poing, en toute occasion, prête à attaquer si l'on mettait ses proches en danger. Mais ça n'était pas tant pour s'attirer les bonnes grâces de son roi qu'elle dit cela la princesse Daenerys. Elle semblait frêle, sans de réelles défenses et ce monde était rude pour les personnes de cet acabit, ils pouvaient facilement se faire manger, chose que Nymeria refusait avec cette dame à la chevelure argentée.
« Il est vrai, oui, que je suis très attachée à Rhaegar Targaryen... Mais il est mon roi, n'est-ce pas normal ...? »
Mais Daenerys l'avait désarçonnée. Les questions de personnes lambdas étaient simple à nier, mais Daenerys était la petite sœur de Rhaegar. Pourquoi lui demandait-elle cela ? Pour lui rapporter ? Non. Nymeria ne pensait être qu'une occupation nocturne, le roi avait mieux à penser que cela. Elle se mordillait à nouveau la lèvre puis elle reprenait.
« Oui. Je pense que oui, je l'aime au-delà d'une simple amitié. Mais vous savez, les dorniennes sont parfois un peu idiote lorsqu'il s'agit d'amour. On s'entiche plus vite qu'on ne le devrait et parfois pas aux "bonnes personnes". Cela n'est pas forcément réciproque mais nous fonçons. Ce qu'il en est de votre frère je l'ignore. Mais il a su faire chanter mon cœur comme personne ne l'avait fait auparavant. Je suppose donc que la réponse est oui. »
Elle regardait leurs mains, puis à nouveau les crânes de dragon. C'était dit, c'était presque un poids en moins sur les épaules. Elle riait bêtement et détournait son regard vers la jeune femme à côté d'elle.
« Alors ce bébé dites moi. Lui avez-vous déjà trouvé un prénom ? L'on dit que les enfants arrivent parfois si vite qu'on ne sait toujours pas comment les nommer. »
Nymeria comprenait la curiosité d'une sœur pour son grand frère, elle aurait sans doute réagis de la sorte si elle avait été à sa place, bien qu'elle aurait été bien moins douce. Elle changeait néanmoins de sujet pour un autre qu'elle pensait plus intéressant, le bébé qui arrivait.
« Avez-vous reçus les félicitations nécessaire ? N'avez vous pas été presqu'étouffée ? Il m'a fallu un petit temps avant de pouvoir venir vous parler. »
Nymeria se risquait à glisser sa main libre contre la joue de Daenerys, lui faisant à présent face. Elle essuyait une larme, un sourire tendre se dessinant sur ses lèvres. Les femmes enceintes pouvaient être forts émotives, elle se rappelait avec affection des grossesses d'Ellaria Sand et de ses crises passagères.
« Si jamais malheur vous arrive, princesse, n'hésitez pas à m'envoyer un corbeau même s'il s'agit d'une fausse alerte. N'hésitez pas. Je serai là. Ne craignez pas la distance. Que votre mari se trouve être moins sympathique qu'à ses débuts ou que l'on vous manque de respect. Un corbeau. Ne craignez pas d'importuner ce ne sera jamais le cas. »
La réputation de Rhaegar n'était pas au beau fixe, roi mou, lent, indécis, elle avait l'impression de faire face à Doran et ses rumeurs. Nymeria était l'inverse, toujours l'arme au poing, en toute occasion, prête à attaquer si l'on mettait ses proches en danger. Mais ça n'était pas tant pour s'attirer les bonnes grâces de son roi qu'elle dit cela la princesse Daenerys. Elle semblait frêle, sans de réelles défenses et ce monde était rude pour les personnes de cet acabit, ils pouvaient facilement se faire manger, chose que Nymeria refusait avec cette dame à la chevelure argentée.
Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia
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Daenerys Targaryen et Nymeria Sand
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Rhaegar pouvait séduire ou agacer, mais il fallait le voir gouverner. Absolument. Au moins une fois . Cela pour l'admirer, le connaître, le cerner.. De quoi rendre fou, oui, car les matinées d'un roi étaient autant tinté de rigidité que dans la vie d'un homme de science. Mais ce roi aux yeux visionnaire avait de quoi fasciner ces gens. Rhaegar avait langage littéraire glané au fil de ses amours, une passion spontanée pour la chanson, une intelligence vorace, l'art de dire les choses comme personne. Et un don d'observation stupéfiant qui débouche sur l'une de ses principal qualité, le don de protection. Lorsqu'il lit, lorsqu'il chante, on découvre d'une oreille nouvelle ce que l'on croyait pourtant connaître par coeur !
Si Nymeria sembla avoir remarquer ses talents, l'évidences se lisait sur la sincérité de ses sentiments.
Rhaegar avait toujours été acquis de cette poésie vivante et enivrante. C'est bien tout l'art de la mise en scène de sa vie qui, en plus d'être digne d'un conte ou d'une légende du siècle, arrive encore à nous captiver à l'heure des conflits..
« Nous hésitons beaucoup . » Fit Daenerys souriante en posant une main sur son ventre « Elbert aimerait que nous choisissions un prénom Targaryen, je trouve que c'est assez amusant. » l'oiselle sourit, émue par les intentions poignantes de Nymeria. « Vous êtes gentille, je croit que c'était à ma nièce d'être la reine ce soir, c'est une chose normal , beaucoup de mes félicitations se sont arrivée plus tard . »
La petite fille contemplait la dornienne.. La conversation devenait intime, quasiment de soeur à soeur. Daenerys se laissa bercer par les gestes maternelle de Nymeria. Elle se sentait protégée, voire, plus en sécurité qqu'avec une garde ! Il était bien révélé que les dorniens avait se talent, mais Daenerys insufflait d'une confiance plus pprofonde envers celle qui était élue par son aîné..
« Vous êtes si gentille ., sourit l'enfant en versant malgré elle une petite larme,Je n'y manquerais jamais, votre amitié m'honore, il en viendra de même si je puis vous aider de quelque manière que ce soit.., » L'oiseau joyeux osa un tendre regard sur elle..
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