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[MINI-EVENT] Deuil à Lonlac
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Chapitre 1
Des bruits venant de l'extérieur de ma chambre me réveille, j'ouvre un œil, puis un autre. Qu'est-ce qui se passe ? Je ne comprends pas ce qui se passe. Je me redresse dans mon lit puis je me lève de mon lit. J'entends des bribes de paroles, des hommes armés sont devant les portes du fief des Lake. Qui ? Je respire, je dois prévenir Lady Geneva, ma tante. Elle doit être informée de la situation, le plus rapidement possible.
Je quitte ma chambre pour me rendre à la destination de celle de ma tante. Je n'arrive pas à croire que quelqu'un puisse nous attaquer surtout en ce moment. En effet, mon oncle paternel est mort, nous sommes en deuil. Je respire et je continue d'avancer dans le château. J'arrive à la porte des appartements de ma tante puis je me toque à la porte. Je m'annonce et j'entre dans les appartements de Geneva. Je vois ma tante avec mon cousin, mon cœur se serre en voyant ce dernier. Son père est mort. Il est si petit pour comprendre cela. Je me promet que je prendrais soin de mon cousin et que je dirais que son père était un homme admirable, loyal et bon. Je regarde ma tante et je lui dis que des hommes armés sont devant nos portes mais que je ne sais pas leur identité. La jeune femme me demande alors de la suivre. Je dois être présente pour elle. Nous laissons les enfants à la charge de la nourrice puis nous partons pour chercher mon père.
Nous le trouvons en compagnie de Lady Maege. Je laisse lady Geneva parler, elle demande ce qui se passe. Elle parle ensuite à l'ourse. Je regarde mon père inquiète. Qui nous attaque ? Je fronce mes sourcils. Qu'allons-nous faire ? Et puis, mon père nous indique que notre attaquant est Ramsay Bolton. Mais, pourquoi ? Qu'avons-nous fait pour subir ce sort ? Nous n'avons jamais rien fait contre les Bolton. Je regarde lady Geneva.
Briony - Père, pardonnez-moi de m'interposer, mais je souhaite aider.
Mais qu'est-ce que je peux faire ? J'ai peur, il est vrai mais je ne veux pas qu'on fasse du mal à ceux que j'ai connu. Je me tourne en direction de ma tante. Je ne la laisserais pas. Mais, nous devons protéger les plus faibles, les enfants, les infirmes et les autres.
Briony- Ma tante, nous devons mettre à l’abri ceux qui ne peuvent pas se battre. Je réfléchis. Père, avons-nous un endroit où nous pouvons nous cacher ? Est-ce qu'on assez de vivres ? Voulez-vous que j'aille vérifier ? Demande-je inquiète, impuissante face à la situation.
Briony Lake ❧ deuil à Lonlac
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Mini-Event
An 302, Lune 3, semaine 4
Deuil à Lonlac
Maege avait rapidement rejoint la salle où se trouvait Lady Geneva. La m-re des Ourses ne quittait plus sa masse d’arme. La guerrière qu’elle était avait ses sens en alerte. Et cela ne s’arrangea pas lorsque le frère de Lady Geneva entra à son tour. La Mormont avait alors demandé s’il s’agissait d’une attaque. D’après l’homme ce n’en était pas encore une. Il affirma aussi que ses hommes étaient prêts et la mère des ourses voulait bien le croire. Elle afficha une mine déterminée et sereine malgré l’urgence. Hors de question d’inquiétez outre mesure. Quand bien même les assaillants étaient beaucoup plus nombreux qu’eux il ne fallait pas que le moral des gens baisse. « Daryn, savez-vous de qui il s’agit ? Si nous devons combattre autant savoir contre qui ? » demanda avec un pragmatisme à toutes épreuves l’Ourse. Puis elle se tourna vers Lady Geneva et lui sourit. « Il faut croire que les anciens dieux le voulaient Lady Geneva. De toute façon je me vois mal quitter les lieux alors que l’épouse de mon ami et ses gens sont en danger. » affirma Maegge Mormont.
Lady Mormont allait reprendre lorsque la nièce de Lady Geneva prit la parole. La demoiselle voulait aider et Maege comprenait sa position. Elle la laissa parler et passa une main dans ses cheveux pour réfléchir. Ce qu’elle disait n’était pas idiot et l’Ourse y avait pensé elle aussi. « Je suis d’accord avec les propos de Lady Briony. Les plus faibles ne nous seront d’aucune utilité pour la défense de la demeure. Pire…. Ils seront une gêne et nous n’en avons pas besoin. » lâcha la guerrière du Nord. Ses mots étaient durs, elle en était parfaitement consciente. Mais l’heure n’était pas au maternage des gens de Lonlac. L’Ourse était prête mais elle voulait s’assurer que Symond l’était aussi. Elle ne l’avait pas vu depuis son réveil. Lady Mormont fronça les sourcils et soupira. « Veuillez m’excuser, je dois retrouver mes hommes. Nous devons nous regrouper pour s’organiser. » Puis l’Ourse quitta la pièce et marcha dans les quelques couloirs de la demeure des Lake.
Maege s’engouffra ça et là pour retrouver Symond. Elle finit par le voir non loin d’une jeune silhouette. Elle s’approcha d’eux et posa une main sur son épaule. « Ah tu es là. Je vais avoir besoin de ton aide Symond. » fit la mère des ourses d’un ton qui n’appelait pas la contradiction. « Et vous êtes ? » ajouta-elle en direction de l’individu qui n’était autre qu’une gamine. Lady Momront ne lissa passer que quelques secondes et reprit. « Soit, vous partez tout de suite, soit vous nous suivez jeune fille. Mais faites vite votre choix nous y allons. » Et déjà l’Ourse rebroussait chemin. Elle marchait d’un pas vif, sa masse d’arme à la main prête à en découdre s’il le fallait. Maege fixait droit devant elle lorsqu’elle entendit un bruit sourd. Son regard chercha d’où cela venait et un cri lui glissa un instant les os. « Dépêchez-vous, qui que ce soit ils ont lancé l’attaque. » souffla de rage la Mormont qui se mit à courir vers l’intérieur puis la grande salle, Symond surement sur ses talons et peut-être la gamine. Elle entra pour la seconde fois dans la salle faisant claquer la porte. « Cette fois, c’est une attaque et nous avons déjà perdu des hommes, Ser Darryn. » lâcha froidement l’Ourse attendant la réaction du beau-frère de lady Gevena.
DRACARYS
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Deuil à Lonlac
An 302 - Lune 3 - Semaine 4
Schlingue
Un sourire abominable se dessina sur ses lèvres en entendant la promesse de Ramsay. Qu'on le traite de répugnant, même venant de Ramsay...Cela ne le dérangeait plus depuis bien longtemps. Il savait que son odeur était pestilentielle. Combien de fois avait-il voulu y remédier par lui-même, se rendant une fois si malade qu'il frôla la mort... Depuis, il l'avait accepté. Après tout, peut-être les Anciens Dieux avaient une raison de lui avoir donner cette odeur si particulière...Ou peut-être pas, d'ailleurs...Car à cette pensée, une autre lui vient "J'emmerde les Anciens Dieux d'toute façon...". Avant de répondre à celui qu'il avait longtemps appelé son gars et qu'il continuait d'ailleurs d'appeler ainsi lorsqu'ils étaient seuls mais à qui il devait désormais donner du Lord ou mon Seigneur:
ça m'va, lui répondit-il, son sourire dévoilant des dents plus jaunes de pourriture que blanches comme la neige. Il écouta ensuite en silence les ordres de Ramsay. Il resta jusqu'à ce qu'il eut terminé, même si la partie qui le concernait avait été énoncée en premier. Son regard torve et sadique tomba sur chaque visage auquel s'adressa Ramsay. Enfin quand il eut terminé, il prit fermement les rênes de son cheval dans ses mains et s'adressa à Ramsay autant qu'à sa bande:
Rapides et précis, hein. C'pas une chasse là. On n'est pas là pour prendre not' temps. Faut pas le leur laisser, sinon, c'pourrait bin qu'ils trouvent une astuce d'nous prendre par derrière... Mais ça, c'est mon truc, comme l'a dit Lord Bolton. On s'revoit dans la grand'salle d'Lonlac les gars. J'veux festoyer not' victoire avec les jambes d'une pucelle autour d'ma taille... dit-il en leur lançant un clin d'oeil entendu avant de se tourner vers Ramsay et de lui dire à voix basse: Fais attention à toi mon gars. J'srai pas là pour couvrir tes arrières. Que ceux-là y restent, j'men cogne... Mais toi, t'as pas le droit d'prendre de risques...
Puis il claqua de sa langue sur son palais et mena son cheval vers un groupe d'hommes à cheval. Il en désigna dix du doigt, comme demandé par Ramsay, puis il leur donna ses ordres:
Bon, on va d'abord aller faire un tour dans les parages. Faudrait pas qu'un fermier qui veut faire du zèle donne l'alerte à un ami des Lake, hein... On se disperse, tous, chacun dans une direction différente autour d'Lonlac. Prenez des torches avec vous, brûlez les fermes que vous verrez, tuez tous ceux que vous verrez. Pas de viols d'leurs femmes par contre, ni de leurs gamins. Vous tuez tout c'qui bouge et qui pourrait causer... C'est clair. On perd pas d'temps non plus. On va jusqu'à ce qu'on entende plus rien venant d'ici et que Lonlac soit à peine visible puis on revient. On s'donne rendez-vous ici, où on est là en c'moment et on surveillera le château ensemble.
Tous hochèrent la tête; ils avaient compris leur tâche. Schlingue en montra deux du doigt.
Toi et toi; vous restez avec moi. Faudrait pas qu'un des Lake s'échappe pendant qu'les autres partent à la chasse aux emmerdes dans les parages. Arc et flèches, vos épées et on reste en mouvement autour du château. Faudrait pas qu'on s'prenne une flèche d'leur part non plus. Vous tuez tout ce qui sort de cte batisse, c'est clair?
A nouveau, ils acquiescèrent puis chacun partit de son côté. Schlingue, quant à lui, alla patrouiller sur le versant opposé à celui où se trouvaient les troupes Bolton, espérant que son épée ne resterait pas propre trop longtemps. Il voulait la voir souiller de sang et d'éclats d'os.
ça m'va, lui répondit-il, son sourire dévoilant des dents plus jaunes de pourriture que blanches comme la neige. Il écouta ensuite en silence les ordres de Ramsay. Il resta jusqu'à ce qu'il eut terminé, même si la partie qui le concernait avait été énoncée en premier. Son regard torve et sadique tomba sur chaque visage auquel s'adressa Ramsay. Enfin quand il eut terminé, il prit fermement les rênes de son cheval dans ses mains et s'adressa à Ramsay autant qu'à sa bande:
Rapides et précis, hein. C'pas une chasse là. On n'est pas là pour prendre not' temps. Faut pas le leur laisser, sinon, c'pourrait bin qu'ils trouvent une astuce d'nous prendre par derrière... Mais ça, c'est mon truc, comme l'a dit Lord Bolton. On s'revoit dans la grand'salle d'Lonlac les gars. J'veux festoyer not' victoire avec les jambes d'une pucelle autour d'ma taille... dit-il en leur lançant un clin d'oeil entendu avant de se tourner vers Ramsay et de lui dire à voix basse: Fais attention à toi mon gars. J'srai pas là pour couvrir tes arrières. Que ceux-là y restent, j'men cogne... Mais toi, t'as pas le droit d'prendre de risques...
Puis il claqua de sa langue sur son palais et mena son cheval vers un groupe d'hommes à cheval. Il en désigna dix du doigt, comme demandé par Ramsay, puis il leur donna ses ordres:
Bon, on va d'abord aller faire un tour dans les parages. Faudrait pas qu'un fermier qui veut faire du zèle donne l'alerte à un ami des Lake, hein... On se disperse, tous, chacun dans une direction différente autour d'Lonlac. Prenez des torches avec vous, brûlez les fermes que vous verrez, tuez tous ceux que vous verrez. Pas de viols d'leurs femmes par contre, ni de leurs gamins. Vous tuez tout c'qui bouge et qui pourrait causer... C'est clair. On perd pas d'temps non plus. On va jusqu'à ce qu'on entende plus rien venant d'ici et que Lonlac soit à peine visible puis on revient. On s'donne rendez-vous ici, où on est là en c'moment et on surveillera le château ensemble.
Tous hochèrent la tête; ils avaient compris leur tâche. Schlingue en montra deux du doigt.
Toi et toi; vous restez avec moi. Faudrait pas qu'un des Lake s'échappe pendant qu'les autres partent à la chasse aux emmerdes dans les parages. Arc et flèches, vos épées et on reste en mouvement autour du château. Faudrait pas qu'on s'prenne une flèche d'leur part non plus. Vous tuez tout ce qui sort de cte batisse, c'est clair?
A nouveau, ils acquiescèrent puis chacun partit de son côté. Schlingue, quant à lui, alla patrouiller sur le versant opposé à celui où se trouvaient les troupes Bolton, espérant que son épée ne resterait pas propre trop longtemps. Il voulait la voir souiller de sang et d'éclats d'os.
DRACARYS
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An 302, Lune 3, semaine 4
Walton Jarret d’Acier
Lord Ramsay Bolton de Fort-terreur avait un plan pour attaquer Lonlac. Walton avait écouté avec attention, un éclair d’excitation dans les yeux. L’homme avait hâte d’y être, de pouvoir commencer son œuvre. Et avec ses protections, l’homme ne craignait pas grand-chose. Il n’avait pas peur de prendre une flèche mais il fut ravi d’apprendre que Lord Ramsay Bolton ainsi que Myranda et Damon assureraient ses arrières. Enfin il n’avait pas tellement confiance en la donzelle mais enfin, mourir pas la faute de Myranda n’était pas une sale mort non plus. « Ce château tombera. » lâcha simplement Waton comme toute réponse aux ordres de Ramsay Bolton. Oui le château tomberait, Walton y veillerait personnellement. Et il regarda les hommes qui l’entouraient pour choisir les meilleurs.
« Vous cinq avec moi. » fit Walton après avoir examiné les hommes. Un sourire carnassier aux coins des lèvres, Walton Jarret-d’acier fit volte-face et se dirigea vers la demeure des Lake. La maison Lake n’était pas une grande maison du Nord mais il ne fallait pas se fier aux apparences. Lady Lake pouvait avoir du soutient inattendu et Walton comptait bien sur l’adresse de Ramsay et Myranda à l’arc pour protéger ses fesses. Quant à Damon, il se ferait sûrement un plaisir de trousser quelques donzelles, à sa façon.
Fort heureusement pour les premières victimes qui tomberaient, Scllingue n’allait pas revenir de sitôt. Lui et ses hommes devaient veiller à ce que personne ne puisse donner l’alerte. Cette tâche allait le tenir éloigner de la demeure un certain temps. Walton n’avait pas de pitié pour les pauvres femmes qui allaient subir l’assaut mais tout de même, Schllingue c’était Schllingue et il portait son nom à merveille. Une grimace étira son visage lorsqu’il vit que des archers défendaient les lieux. « Personne ne recul, compris. » beugla Walton Jarret-d’acier par pure prévention aux gars qui l’accompagnaient. Et puis il y eu un doux bruit dans l’air, celui d’une flèche tirée en provenance de derrière lui. Le gars de Ramsay ne se retourna pas mais contempla d’un air satisfait la masse qui tomba d’en haut pour venir s’écraser par terre. Et puis il y eut une deuxième flèche tirée. « Le bal vient de commencer. » Souffla à lui-même Walton qui fit signe à ses hommes de poursuivre l’avancée.
« Aller, chargez moi ça » signala Walton en désignant les premiers obstacles devant eux. Rien ne pouvait leur résister. Ou plus exactement rien ne devait leur résister.
DRACARYS
Désolée c'est court