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(même les petits)
Retrouvailles des Lions (Avec Tyrion)
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Retrouvailles des Lions
An 301 Lune 12 Semaine 2
Margot Lannister & Tyrion Lannister
Le tournoi de Lestival se déroulait très bien, Lorimar était assez gentil et elle avait rencontrée quelques personnes intéressantes. Margot avait décidée de retrouvée son cousin détesté Tyrion, car il était l’héritier des Lannister. Alors, Margot se sentait obligée de le voir surtout pour voir s'il avait changer avec la naissance de ses deux paires de jumeaux. L'homme enfin si on pouvait le qualifié d'homme était aussi au tournoi alors c'était une bonne raison de le revoir et tâter le terrain. Surtout qu'il fut celui qui tua sa mère de cœur Joanna Lannister et depuis il n'a rien fait pour se faire apprécier avec sa débauche. Margot avait trois mère, Ella Lannister qui lui donna la vie, Joanna qui lui donna l'amour et Genna Lannister qui lui donna ses leçons pour devenir une vrai dame. Margot avait revêtue une robe rouge sang assez simple et un collier avec un pendentif de lion. Ses cheveux furent coiffées avec un chignon agrémenter de perles. La lionne entra dans les appartement des Lannister ou se trouvait son cousin nain. Tyrion, quel joie de te revoir. Comment vas tu ? Déjà quatre enfants, ta femme est très fertile. Tout était assez hypocrite, elle se fichait un peu que le nain aille bien mais c'était pour être courtoise. Margot n'avait pas emmener Lorimar, elle ne voulait pas qu'il rencontre Tyrion, il n'était pas fait pour être connue. Désolée que tu ne puisse voir mon petit Lorimar, son père voulait lui montrer les chevaux de plus prêt. Mon fils sera un grand chevalier. Ce n'était pas vraiment un mensonge mais Margot l'avait juste demandée à son cher Titus et son époux aussi ne voulait pas que son héritier rencontre le nain. Ces retrouvailles allaient lui permettre d'en savoir plus sur son cousin et s'il avait vraiment changer. DRACARYS
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An 301- Lune 12 - Semaine 2
Tyrion & Margot
Le tournoi de Lestival était un formidable divertissement, mais aussi une formidable épreuve pour moi. Pour un homme qui autrefois buvait du vin comme s’il s’agissait d’eau claire, prendre part à une telle manifestation où le vin coule à foison était une horrible tentation. Certes, j’étais guéri de mon addiction et n’avais plus aucun symptôme lié au manque d’alcool, mais je ne pouvais décemment dire que la simple vue de ce liquide rouge aux reflets chatoyants ne me faisait pas envie. J’avais l’impression d’être écorcher vif lorsque mes yeux se posaient sur ceux qui se délectaient de son goût et de ses arômes… Alors, mis à part les journées de joute, les balades quotidiennes avec mon épouse et nos filles et les diverses rencontres avec nos amis et connaissances communs, je préférais rester dans nos appartements, jouant avec mes filles ou lisant près du feu. Cependant, je ne voulais pas imposer cela à Walda, qui a été suffisamment privée de sorties avec ses grossesses successives, dont la dernière lui fut suffisamment éprouvante comme cela. Alors, si l’occasion d’une invitation se présentait pour la Dame de Castral-Roc, je ne l’empêchais pas de sortir…quoique toujours sous bonne escorte. Je restais soucieux de son bien-être et ne voulais pas qu’un homme ne l’approche de trop près, ou même ne la regarde avec trop d’insistance. Elle est jeune et belle ; une telle femme plaît aux hommes…j’en sais quelque chose. Etait-ce donc cela, la jalousie ? Ou n’est-ce qu’un simple sentiment de protection vis-à-vis de l’être aimé ?
Assis dans un fauteuil près de la cheminée, un livre ouvert sur mes jambes, je n’eus pas le temps d’aller jusqu’au bout de ma réflexion car les portes de nos appartements s’ouvrirent puis se refermèrent sur une femme blonde tout de rouge vêtue. Je tournais vivement la tête vers cette entrée impromptue et ne pus m’empêcher de soupirer tant j’aurais pu me passer d’une telle visite :
Ma chère cousine. Mais je t’en prie, entre ! dis-je sur le ton de l’ironie, cachant difficilement mon exaspération de la voir. Visiblement, elle aussi usait de cette même expression pour s’adresser à moi. Son sourire et sa joie de me revoir puent l’hypocrisie… pensais-je en la voyant en face de moi.
Je vais fort bien, merci de t’en soucier. Prends place. dis-je en désignant le fauteuil libre à ma gauche sans relever l’allusion à Dame mon épouse. Et toi ? Je ne te savais pas ici mais plutôt dans le Bief…ou auprès de ma douce sœur, de retour dans notre demeure familiale…
Je l’écoutais parler de son fils et de son époux, qui avaient également fait le déplacement jusqu’à Lestival. Je fis un petit signe à un domestique pour qu’il nous apporte de quoi boire et manger, sachant que désormais, le vin était exclu pour le Lutin de Castral-Roc.
Je suis heureux pour toi. lui répondis-je d’un ton poli pour ne pas laisser son commentaire sans réponse, ce qui avait été ma première intention. Dis-moi Margot, que fais-tu ici ? Pas ici, à Lestival, mais ici avec moi ? Nous savons pourtant tous les deux que plus loin nous sommes l’un de l’autre, mieux nous nous portons… ne pus-je m’empêcher de lui demander.
Assis dans un fauteuil près de la cheminée, un livre ouvert sur mes jambes, je n’eus pas le temps d’aller jusqu’au bout de ma réflexion car les portes de nos appartements s’ouvrirent puis se refermèrent sur une femme blonde tout de rouge vêtue. Je tournais vivement la tête vers cette entrée impromptue et ne pus m’empêcher de soupirer tant j’aurais pu me passer d’une telle visite :
Ma chère cousine. Mais je t’en prie, entre ! dis-je sur le ton de l’ironie, cachant difficilement mon exaspération de la voir. Visiblement, elle aussi usait de cette même expression pour s’adresser à moi. Son sourire et sa joie de me revoir puent l’hypocrisie… pensais-je en la voyant en face de moi.
Je vais fort bien, merci de t’en soucier. Prends place. dis-je en désignant le fauteuil libre à ma gauche sans relever l’allusion à Dame mon épouse. Et toi ? Je ne te savais pas ici mais plutôt dans le Bief…ou auprès de ma douce sœur, de retour dans notre demeure familiale…
Je l’écoutais parler de son fils et de son époux, qui avaient également fait le déplacement jusqu’à Lestival. Je fis un petit signe à un domestique pour qu’il nous apporte de quoi boire et manger, sachant que désormais, le vin était exclu pour le Lutin de Castral-Roc.
Je suis heureux pour toi. lui répondis-je d’un ton poli pour ne pas laisser son commentaire sans réponse, ce qui avait été ma première intention. Dis-moi Margot, que fais-tu ici ? Pas ici, à Lestival, mais ici avec moi ? Nous savons pourtant tous les deux que plus loin nous sommes l’un de l’autre, mieux nous nous portons… ne pus-je m’empêcher de lui demander.
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An 301 Lune 12 Semaine 2
Margot Lannister & Tyrion Lannister
La conversation des deux cousins commença comme toute leur discussion avec une grande hypocrisie et de belles remarques piquantes. Il y avait trop de mauvais sang entre eux pour qu'ils s'entendent mieux. Margot n'était là que pour voir si les rumeurs sur le nouveau sérieux du nain était vraies. Je vais fort bien merci de t'en soucier, cher cousin. Si sa phrase ressemblait à celle de son cousin, c’était fait exprès pour montrer que cette conversation était le jeu du plus hypocrite. Je n’aie pas suivie ta sœur, je suis restée avec mon époux et mon fils. Nous avons décider de venir au tournoi. Quand, j'aie sut que tu étais là, il fallait que je vienne te saluer. Ceci était un mensonge et tout deux le savaient très bien, mais Margot fut surprise de la question très franche et sans arrière pensée de son cousin sur sa venue ici. Je n'aie plus le droit de te voir Tyrion ? L'utilisation de son prénom était pour le surprendre un peu bien qu'il allait encore plus se méfier. Alors qu'elle réfléchissait, le domestique revint avec de la nourriture et bizarrement aucun alcool, juste des jus ou de l'eau. Les rumeurs étaient elles vraies ? Margot n'y croyait pas mais peut être qu'elle avait un fond de vérité. Plus de vin, mon cher cousin, comment fais tu pour survivre ? Peut être, était ce sa femme qui l''obligeait bien qu'elle ne pense pas qu'une Frey soit plus autoritaire que le lion. Il fallait bien voir tante Genna avec son imbécile de mari, un Frey pure-souche. Et ou est donc ta femme ? J'aurais adorée la rencontrer peut être pas maintenant mais plus tard durant le tournoi. Margot voulait voir la femme qui avait potentiellement changer son cousin peut être en mieux et qui avait donner un futur aux Lannister.
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An 301- Lune 12 - Semaine 2
Tyrion & Margot
Mes mains plaquées sur les accoudoirs de mon fauteuil, je plaçais toute la tension de cette conversation dans celles-ci, faisant jouer mes doigts sur le tissu meuble. Pourquoi était-elle donc là ? Pour s’amuser et m’humilier même lorsque j’étais seul ? Pour jauger de mon état et faire ensuite son rapport à Cersei ? Ou par pure méchanceté ? Je n’étais pas surpris de constater que chacune de ces trois raisons était totalement valable la concernant. Je répondis un vague « trop aimable… » à sa gentille mais fausse attention de venir saluer son cher cousin. Et pourtant, mon effrontée cousine ne répondit pas non plus à ma question, pourtant directe, et préféra y répondre par une autre question, tout aussi évasive. Mes doigts se crispèrent sur l’accoudoir et ma mâchoire se contracta. Une vive envie de l’écorcher sur place fulgura dans mon esprit mais aussi vite était-elle apparue, aussi vite était-elle partie et je dus faire mon possible pour la tenir loin de mes pensées car l’arrivée du domestique ne m’aida pas à me calmer intérieurement. Plus de vin…Et oui cousine… L’amour fait chuter tous les obstacles, même les plus insurmontables, une chose que tu ne connaitras sans doute jamais… eu-je envie de lui répondre, mais ces mots sortirent à leur place :
J’en consommais bien trop. Cela devenait dangereux pour ma santé et je n’aurais pas voulu privé Père, ma chère sœur, ma chère cousine ici présente et l’Ouest tout entier de leur Nain d’héritier…Mais si tu en veux, je t’en fais chercher…Margot. finis-je sur le même ton et en utilisant son prénom, comme elle l’avait fait pour moi.
A nouveau, elle revint à la charge concernant Walda. Je levais les yeux au plafond et soupirais de façon très ostentatoire :
Pourquoi tant d’intérêt pour Dame mon épouse ? Veux-tu la pervertir elle aussi à me haïr ? La penses-tu suffisamment naïve pour donner foi au poison que toi ou Cersei voulez l’en abreuver ?
J’émis un rire sarcastique et me levais de mon fauteuil en me dirigeant vers la porte d’où elle était entrée sans y être invité, juste parce que notre patronyme est le même.
Je te la présenterai demain, si tel est toujours ton souhait. Pour l’heure, Lady Walda est avec des connaissances Conflanaises à elle. Maintenant, à moins que tu n’aies d’autres sarcasmes à me jeter à la tête, cousine, je ne te retiens pas et pense que tu trouveras très bien toute seule la sortie… rajoutais-je en désignant d’une main ouverte, paume vers le plafond, la porte de nos appartements.
J’en consommais bien trop. Cela devenait dangereux pour ma santé et je n’aurais pas voulu privé Père, ma chère sœur, ma chère cousine ici présente et l’Ouest tout entier de leur Nain d’héritier…Mais si tu en veux, je t’en fais chercher…Margot. finis-je sur le même ton et en utilisant son prénom, comme elle l’avait fait pour moi.
A nouveau, elle revint à la charge concernant Walda. Je levais les yeux au plafond et soupirais de façon très ostentatoire :
Pourquoi tant d’intérêt pour Dame mon épouse ? Veux-tu la pervertir elle aussi à me haïr ? La penses-tu suffisamment naïve pour donner foi au poison que toi ou Cersei voulez l’en abreuver ?
J’émis un rire sarcastique et me levais de mon fauteuil en me dirigeant vers la porte d’où elle était entrée sans y être invité, juste parce que notre patronyme est le même.
Je te la présenterai demain, si tel est toujours ton souhait. Pour l’heure, Lady Walda est avec des connaissances Conflanaises à elle. Maintenant, à moins que tu n’aies d’autres sarcasmes à me jeter à la tête, cousine, je ne te retiens pas et pense que tu trouveras très bien toute seule la sortie… rajoutais-je en désignant d’une main ouverte, paume vers le plafond, la porte de nos appartements.
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An 301 Lune 12 Semaine 2
Margot Lannister & Tyrion Lannister
Son cousin répondit avec sarcasme aux paroles qu'elle lui avait dit. Meme si elle n’appréciait pas son cousin, les conversations qu'elle avait avec lui, l’amusait toujours beaucoup et celle-ci ne dérogeait pas à la règle. Sa réponse face au manque de vin, surpris Margot, même s'il donnait une ridicule raison, Margot commença à se demander si les rumeurs étaient vraies. Mais, elle secoua vite la tète à ses pensées juste parce qu'il n'en prenait plus aujourd'hui cela n'était pas certifié qu'il ne recommencera pas. Non merci, je n'aie jamais bien but et je compte pas commencer de mauvaises habitudes. Je suis heureuses que tu as choisis de faire attention à ta santé. Margot ne se réjouissait pas vraiment et Tyrion le savait mais cela n’empêchait pas les cousins de se mentir et de se donner de faux compliments dès qu'ils se voyaient. Tyrion continua alors avec des questions liées à sa femmes et lui demande si elle comptait pervertir celle-ci. La question était directe et Margot fut encore surprise de cette franchise. Je veux simplement la connaitre vue qu'elle a donnée des héritiers pour l'Ouest. Tu pense si mal de moi que je puisse pervertir quelqu'un. Si ta chère épouse t’apprécie, bien lui en fasse. Avec toi, on a rien besoin de faire, un jour, elle découvrira ton vrai visage. Les mots étaient pleins de poisons et de haines car même si elle voudrait, Margot ne pourrait avoir de bonnes relations avec Tyrion car il avait tué Joanna Lannister, la mère de cœur de Margot. Dans son esprit, Tyrion sera toujours ce monstre là quoiqu'il fasse. La femme Tyrion découvrira ce monstre un jour et regretta d'avoir essayer d'aimer le nains. Je la rencontrerais plus tard. Je ne dirais rien contre toi cher cousin à ta chère épouse. Tu t'ennuie déjà de moi, sans vin te voilà pauvre compagnie. Margot est une femme de sarcasme normalement mais, elle avait envie de dire ce qu'elle pensait aujourd'hui et tant pis les conséquences.
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ft. Margot Lannister
An 301 - Lune 12 - Semaine 2
Si je devais choisir entre le sarcasme et les moqueries à peine dissimulées de Margot et les cruautés qui pouvaient parfois sortir de la bouche de Cersei, je crois que les dires de la première pouvaient être plus blessants encore que les méchancetés de la seconde. Haï et moqué par les membres de sa propre famille… Et dire que père prône tellement les intérêts familiaux. Pour un homme respecté et puissant tel que lui, cela pouvait être envisagé. Mais moi ? Je serai un jour amené à porter ses titres et sa puissance m’échouerait, mais qu’en était-il du respect ? Il se trouvait fort heureusement des gens, sur les Terres de l’Ouest et sur Westeros, que j’avais déjà pu croiser et qui m’avait inspiré de la sympathie et du respect réciproque. Passer du temps en compagnie d’une personne comme Margot Lannister, aussi isolée soit-elle dans la longue liste de mes connaissances avec lesquelles j’ai de cordiales relations, venait réduire à néant toutes ces bonnes relations et amitiés que j’avais bien pu créer au fil de mes voyages dans l’Ouest ou plus récemment dans le Bief, à Port-Réal ou même ici, à Lestival. Fort heureusement, il me restait ma moitié, ma Walda, et nos enfants. S’il existait en ce monde des personnes qui vaillent la peine que je ne replonge pas dans les travers de l’alcool et du vin, qui, en cet instant précis, se faisaient si vivement rappelés à ma mémoire, c’était bien mon épouse, mes filles et mes fils.
Les paroles, toutes plus mauvaises les unes que les autres (pire encore étaient celles dissimulées sous des flatteries et des compliments), qui sortaient de la bouche de Margot étaient blessantes. Cela, je ne pouvais le nier ; elles m’atteignaient. Mais je choisis d’inspirer profondément, fermant un court instant les yeux, puis je me tournais vers elle :
Ma chère cousine, un jour viendra où te regretteras de m’avoir toujours manqué de respect. J’ai bonne mémoire ; tu n’en es pas à ton premier écart me concernant. Lorsque ce jour viendra, je me délecterai de pouvoir enfin te rendre la pareille. dis-je en souriant.
Puis je frappais dans mes mains et hélais un serviteur :
Mon manteau et ma cape. J’ai besoin de prendre l’air.
Tout de suite, Messire.
Pendant ce temps, je mettais mes gants, posés sur le guéridon près de la porte d’entrée de nos appartements puis le serviteur revint et m’aida à passer manteau et cape. Me tournant une dernière fois vers Margot, je m’inclinais de façon ostentatoire et pris congé de ma cousine :
C’est toujours un plaisir de te revoir, Margot.
Puis j’ouvris la porte et m’engouffrais d’un pas aussi rapide que je le pouvais dans le long couloir de l’aile du château où nous séjournions, les poings serrés de la colère que je gardais, encore, tapis au fond de moi.
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An 301 Lune 12 Semaine 2
Margot Lannister & Tyrion Lannister
La conversation entre les deux cousins ne s'attarda pas plus longuement, en effet, Tyrion avec des paroles très directes finit la discussion entre les deux Lannister. Margot rigola un instant par apport aux menaces proférées par son cousin. S'il y pensait qu'elle avait peur de lui, il se trompait avec grande force. J'attends de voir cousin ce que tu me feras. Pense tu vraiment que j'aie peur de toi ? Le sourire de la blonde se fit moqueur, elle ne prit pas du tout au sérieux Tyrion. Qu'il se souvienne d'elle, Margot se fera une joie de l'oublier, de le faire disparaître de sa vie. Margot savait que leur relation ne pourrait jamais s'améliorer au contraire, les deux cousins allaient se détester toutes leur vie. Il faudra un événement bouleversant pour que ceci soit le contraire. Cela ne faisait rien à Margot, elle n'a pas cherchée à avoir de meilleure relation avec le nain en effet, elle voulait juste en savoir plus par apport aux rumeurs de sa nouvelle sobriété. J'espère ne plus te revoir, moi aussi. La coupure était nette, sans sarcasmes ou sens caché, une phrase directe qui exprimait la haine de Margot envers Tyrion.Toujours un plaisir de te voir, mon cher. Elle répondit avec politesse sans être encore et toujours fausse dans ses sentiments. Tyrion partit à ce moment là et Margot hésita un instant avant de suivrez son cousin pour retournée dans ses appartements. Margot se promis encore plus de rencontrer l'épouse de Tyrion et de voir si elle était naïve ou juste bête.
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