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Retrouvailles sous les ailes du corbeau [Edwyn, Leonette, Boadicée]
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Retrouvailles sous les ailes du corbeau
Through the warm, through the cold, we're running til we're there,
we're coming home now
we're coming home now
Leonette Tyrell & Boadicée Sand
Edwyn avait reprit ses habitudes de presque mestre, auscultant Boadicée avec rapidité et précision en cherchant à cacher ce que lui pouvait bien ressentir. Ce n'était pas au médecin de transmettre ses émotions au patient, jamais. Il devait observer, accompagner, guérir, se montrer compatissant certes mais sans pour autant jamais impliquer ses propres émotions. C'était l'une des premières leçons qu'il avait apprises à la Citadelle, quand il avait commencé son noviciat à Villevieille. D'ailleurs, les mestres devaient abandonner leur famille, le nom qu'ils portaient depuis la naissance, ne pas exercer auprès des leurs. Car dans une situation qui demandait de l'analyse, de garder la tête froide, les émotions étaient dangereuses. Et c'était, pour Edwyn l'égoïste, la première fois qu'il ressentait des difficultés à mettre en application ces règles, et ce malgré toutes les horreurs et tragédies dont il avait pu être témoin auprès du peuple quand il exerce auprès d'eux.
Leonette demanda à Edwyn s'il souhaitait changer d'endroit, mais ce dernier ne tourna même pas la tête dans sa direction pour signifier qu'il avait entendu, continuant à observer la Dornienne de son regard perçant. Ce n'est pas qu'il avait soudainement cessé d'aimer son amie d'enfance, ou même sa soeur cadette. Mais l'important, en cet instant, c'était elle et sa santé.
Cette dernière répondit enfin à ses questions, et le presque mestre dut faire un véritable effort pour ne se pas se mordre violemment la lèvre inférieure en entendant la réponse de Boadicée. Elle conservait à l'esprit les informations les plus générales -l'année, le lieu, les liens entre les personnes- mais dès qu'il fallait entrer dans le détail, sa mémoire semblent lui faire défaut. Observant toujours ses yeux, et d'une voix qui se voulait calme et assurée, il reprit la parole.
-Nous sommes bien à Corneilla en 299, Boadicée, et je m'appelle bien Edwyn. Mais je suis le quatrième fils de ma famille, pas le troisième, encore que ça n'ai pas grande importance. Les deux Dames qui nous font l'honneur de la présence sont Lady Leonette Tyrell -il la montra d'un signe de la main- et Lady Ellery Cendregué -il réitéra son geste vers la jeune femme. Est-ce-que tu te souviens avoir donné deux fois la même réponse à une seule question, à seulement un instant d'intervalle?
Le presque mestre aperçut du coin de l'oeil le tavernier les observer de loin d'un air vaguement inquiet et désapprobateur. Sans doute la seule présence des deux nobles dames l'empêchait de leur demander de sortir sans plus attendre.
Le Bieffois tentait de dissimuler que plus les défaillances mémorielles de Boa se faisaient importantes, puis il devenait impuissant à lui apporter quelque soutien que ce soit. Il n'était pas mestre, après tout, il n'était qu'une sorte d'imposteur certes doué pour recoudre les peaux et les corps, mais bien incapable de soigner ce genre d'affectionx autrement plus délicates. Que pouvait-il faire dans cette situation? Qu'était-il d'ailleurs possible de faire dans cette situation?
-Boadicée, je crois que nous allons retourner à l'auberge, qu'en dis-tu? Tu as besoin de repos, je pense.
Cela ne servait à rien de rester là. Cela ne ferait de toute façon qu'inquiéter encore plus Ellery et Leonette, dont il venait presque de se souvenir de la présence, face à la désorientation manifeste de la guerrière des sables de Dorne. Il avait le coeur brisé de les laisser après les avoir retrouvées, mais après tout il avait conscience que cela ne pouvait durer pour toujours. Ils n'appartenaient plus au même monde, et cela avait relevé de sa propre décision. Il n'avait pas le droit de s'en plaindre. Leonette devrait retourner auprès de son époux, à sa vie conjuguale heureuse. Ellery reprendrait sa place à ses côtés avant que les desseins du seigneur leur père ne l'appelle à une plus haute place au sein de la lumière. Quant à lui, il reprendrait la route, comme toujours, lui le fuyard au nom de noblesse.
-Je suis navré, Ellery, Leonette, mais il nous faut vous laisser. Je ne peux pas la laisser comme ça.
Edwyn était enfin parvenu à regarder de nouveau sa soeur et son amie d'enfance dans les yeux. Il les aimait du fond de son coeur, mais son coeur appartenait avant tout à Boadicée.
DRACARYS 2017
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leonette | ft. Edwyn and Boa |
chapitre 6
La jeune compagne d'Edwyn et ce dernier se parlent entre eux, cette dernière a répété deux fois la même phrase, est-ce qu'elle va bien ? Qu'est-ce qui se passe ? Je ne sais pas. Mais, à ce que je vois devant mes yeux, Edwyn est inquiet. Il pose plusieurs questions à celle qui fait battre son cœur.Je demande à mon frère de cœur si je peux faire quelque ou si nous pouvons changer de lieu afin que Boadicée puisse se reposer. La jeune femme répond à Edwyn. Je la regarde inquiète. Que faire ? Je ne suis pas mestre. Je pose mon regard sur Edwyn.
Le ménestrel, mon ami de toujours répond à sa dulcinée. Pendant cet échange, je n'ose pas l'interrompre. Qui suis-je pour dire quelque chose ? Juste une amie d'Edwyn. Ensuite, Boadicée souhaite qu'Edwyn reste mais qu'elle reparte à l'auberge. Mon ami au contraire préfère quitter ce lieu et retourner à l'auberge. Je ne lui en veux pas s'il désire repartir. Non, il doit prendre soin de la femme qu'il aime.
Edwyn - Je suis navré, Ellery, Leonette, mais il nous faut vous laisser. Je ne peux pas la laisser comme ça.
Leonette – Ce n'est rien Edwyn. Je lui souris. Je le regarde avec douceur. Ne vous en faites pas, nous pourrons nous revoir avec Boadicée quand elle se sentira mieux avant votre départ pour les contrées nordiques. Je regarde Boadicée. Quant à vous, chère Boadicée, je suis heureuse de faire votre connaissance, nous allons nous revoir très vite ! J'en suis sûre dis-je avec un sourire.
Que dire de plus ? Je me lève, mes dames de compagnie font de même. Je regarde Boadicée et Edwyn. Je ne sais pas quoi faire de plus ni quoi dire. Je respire, je pose mon regard sur Sacha puis je reviens vers Edwyn et Boadicée.
Leonette – Portez-vous bien tout les deux. Je regarde en direction d'Edwyn. Promettez-moi de m'écrire sur vos voyages ! Je souris à Boadicée. Prenez soin de vous chère Boadicée.
Devons-nous partir ? Je regarde l'aubergiste. Je lui souris. J'espère qu'il ne prendra pas mal que nous avons pas mangé ni bu dans sa demeure. Il faudra qu'on s'excuse auprès de lui, je ne souhaite pas commettre d'impair ici et que le nom de mon mari soit assombri. Pas question.
Je souris à ce couple, l'heure est venue de nous faire nos adieux et peut-être que demain ou un autre jour, nous allons les revoir.
leonette ❧ retrouvailles sous les ailes du corbeau
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Je n’avais pas envie de partir, je n’avais pas envie qu’Edwyn laisse … lady Leonette et sa sœur … Ellery. Les noms, il fallait que je me concentre sur les noms. Je pouvais les retenir, je le devais, pour éviter d’inquiéter plus Edwyn. Je crois que c’est complètement raté … J’observais avec attention les deux jeunes femmes avant de re regarder mon amant. Répondu deux fois … à la même questions à quelques secondes d’intervalles ? Mais … Je fronçais les sourcils. Tout ça à cause du turban bicolore et un souvenir qui était remonté lié à lui. Je me sentis devenir rouge de honte face aux mots d’Edwyn. Je me retiens de me dégager brusquement pour ne pas lui causer plus de peine. Mais je lui pris le poignet et serrais, comme on serre une bouée pour ne pas se noyer. Je levai les yeux vers lui.
« Non Edwyn, s’il te plaît. J’ai juste un souvenir qui m’est revenu ! Quelque chose avec mon foulard à deux parties ! C’est pour ça que j’ai répondu deux fois. Je vais très bien, je ne suis pas fatiguée, nous pouvons rester. S’il te plaît ! Ne gâche pas ce moment pour moi. »
Je le regardais trop dans les yeux, sans lâcher son poignet fin, qu’il reste. Il pouvait me renvoyer seule à l’auberge s’il voulait, mais qu’il ne vienne pas avec moi, qu’il profite de ce moment. Je sentis ma gorge se serrer quand la Lady se leva. Je ne levais brusquement lui faisant face, elle est plus grande que moi. Elle veut qu’on se revoit ? Mais … Non ! Il ne faut pas qu’elle parte pour rien ! Je regardai le gosse qui avait avancé d’un pas sans me quitter des yeux, je dois avoir l’air agressive. Leonette, elle s’appelle Leonette Boadicée.
« Lady Leonette ! S’il vous plaît ! Je vous jure que je vais bien ! Ce n’était rien de grave ! Vous pouvez rester. »
J’ai essayé de contrôler ma voix, mais même si le volume n’a pas bougé, elle est partit dans les aiguë à la fin. La peur de voir Edwyn perdre sa sœur et son amie m’étouffe. Je regardai Edwyn. S’il te plaît ! Crois moi. Je vais bien. Malgré tout, je sais au fond qu’il ne m’écoutera pas, il devait se douter que je lui cachais parfois mon état de santé sur quelques petites choses comme les migraines. Mais cette fois … Ce n’était rien ! Absolument rien ! Je me rassis lentement en fixant mes mains. Le gosse a relâché le manche de la dague qu’il porte. Mais il a toujours la main dessus, sans pour autant sembler avoir peur. Je regardais à nouveau Edwyn et lui pris la main pour lui serrais avec tendresse et de nouveau supplier :
« S’il te plaît Edwyn … »
Je ne me le pardonnerais pas s’il partait … Jamais. Qui sait quand il pourra revoir sa sœur Ellery et son amie Leonette. Du coin de l’œil je vis Ellery amorcer un geste pour se rasseoir. Peut-être …
« Non Edwyn, s’il te plaît. J’ai juste un souvenir qui m’est revenu ! Quelque chose avec mon foulard à deux parties ! C’est pour ça que j’ai répondu deux fois. Je vais très bien, je ne suis pas fatiguée, nous pouvons rester. S’il te plaît ! Ne gâche pas ce moment pour moi. »
Je le regardais trop dans les yeux, sans lâcher son poignet fin, qu’il reste. Il pouvait me renvoyer seule à l’auberge s’il voulait, mais qu’il ne vienne pas avec moi, qu’il profite de ce moment. Je sentis ma gorge se serrer quand la Lady se leva. Je ne levais brusquement lui faisant face, elle est plus grande que moi. Elle veut qu’on se revoit ? Mais … Non ! Il ne faut pas qu’elle parte pour rien ! Je regardai le gosse qui avait avancé d’un pas sans me quitter des yeux, je dois avoir l’air agressive. Leonette, elle s’appelle Leonette Boadicée.
« Lady Leonette ! S’il vous plaît ! Je vous jure que je vais bien ! Ce n’était rien de grave ! Vous pouvez rester. »
J’ai essayé de contrôler ma voix, mais même si le volume n’a pas bougé, elle est partit dans les aiguë à la fin. La peur de voir Edwyn perdre sa sœur et son amie m’étouffe. Je regardai Edwyn. S’il te plaît ! Crois moi. Je vais bien. Malgré tout, je sais au fond qu’il ne m’écoutera pas, il devait se douter que je lui cachais parfois mon état de santé sur quelques petites choses comme les migraines. Mais cette fois … Ce n’était rien ! Absolument rien ! Je me rassis lentement en fixant mes mains. Le gosse a relâché le manche de la dague qu’il porte. Mais il a toujours la main dessus, sans pour autant sembler avoir peur. Je regardais à nouveau Edwyn et lui pris la main pour lui serrais avec tendresse et de nouveau supplier :
« S’il te plaît Edwyn … »
Je ne me le pardonnerais pas s’il partait … Jamais. Qui sait quand il pourra revoir sa sœur Ellery et son amie Leonette. Du coin de l’œil je vis Ellery amorcer un geste pour se rasseoir. Peut-être …
« I'M SUN AND ICE'S DAUGHTER »
~ When the lights go out, and the night is falling. I’ll be standing tall, with the whole world watching. When the fight goes down, and every eye is on me. I’ll be standing strong. Watch me fight like a warrior. endlesslove. MUSIC.
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Retrouvailles sous les ailes du corbeau
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Leonette Tyrell & Boadicée Sand
Ils ne pouvaient pas rester là, Edwyn en avait la certitude. Il devenait manifeste qu'il était incapable de soigner la blessure que Boadicée avait reçu après sa chute de cheval. Il devait s'avouer vaincu face à la récurrence, face à la force de ses trous de mémoire. Et cette impuissance ne faisait de faire grandir la colère du Bieffois. Non pas contre Boadicée, qui ne pouvait rien à tout cela. Mais contre lui, contre ses faiblesses et contre ses propres inquiétudes. Le fait que rien ne semble jamais atteindre l'artiste ne voulait pas dire qu'il n'était pas sujet à la colère. Au contraire, la force de ses sentiments pouvaient atteindre les sommets les plus incompréhensibles pour ceux qui pensaient le connaître. La seule nuance était que ces colères se portaient sur ce qui désintéressaient le nombre, jamais sur les choses importantes.
Leonette semblait comprendre ses inquiétudes, et proposa de se revoir une autre fois avant leur départ pour le Nord. Ellery quant à elle, conservait le silence, mais sur son doux visage se reflétait une inquiétude des plus sincères, aussi bien pour son grand frère que pour la Dornienne en tant que telle. C'était bien elle ça, de s'impliquer émotionnellement même pour des personnes dont elle venait juste de faire la rencontre. Elle avait toujours été ainsi, pleine d'amour pour les autres êtres humains, sans pour autant que ça la rende naïve, ou même manipulable. Il s'agissait seulement de son extrême gentillesse.
Les deux jeunes femmes s'étaient levées avec l'intention manifeste d'accompagner le geste d'Edwyn en direction de la sortie, mais c'est Boadicée qui sembla résister. Le métisse plongea son regard bleu, dans celui vairon, de la guerrière des sables de Dorne. Il y avait toujours de l'inquiétude, mais également de la colère, pas contre elle mais contre la situation.
Il écouta sans rien dire et sans interrompre Boa le supplier de rester. Le presque mestre devait avouer qu'il ne comprenait pas. Tout comme il avait du mal à se soucier des autres, il ne pouvait pas comprendre quannd on se souciait de lui. Il en avait toujours été ainsi après tout, il était un artiste incapable de véritablement comprendre le genre humain.
Le silence s'éternisa entre eux deux. Son visage restait impassible, mais le bleu de ses yeux semblait s'agiter comme sous le fait d'une tempête maritime. Une partie de sa colère contre la situation et contre le monde se reporta sur Boadicée quand il se rendit compte qu'elle pouvait seulement envisager qu'il reste profiter du temps avec sa soeur et son amie d'enfance tandis qu'elle resterait seule. N'avait-il pas suffisamment prouvé son amour pour elle, son dévouement, pour ne pas laisser penser qu'il la laisserait seule affronter cela.
-Peux-tu réellement penser que je vais te laisser ainsi sans rien faire?
Sa voix n'avait pas monté d'un décibel, sans rudesse particulière, pourtant le fond de la pensée du métisse était bien claire. Il tourna les yeux vers Ellery, qui avait commencé à se rasseoir avec l'espèce de plaidoirie de Boadicée. Le visage fermé, il lança un soupir et finit par se rasseoir, le regard sombre.
-Bien.
Ses yeux s'égarèrent dans le vague, quand bien même la tempête à l'intérieur ne semblait pas se calmer. Il faisait manifestement un effort certain pour conserver sa quiétude, et ne pas déverser sa rage sur des personnes qui, après tout, ne l'avaient jamais mérité une seule seconde. Tentant simplement de se raccrocher à l'amour immense qu'il ressentait pour ces trois femmes, se souvenant de tout ce qu'elles avaient apporté de bien à sa vie et cherchant à leur épargner un peu de l'horible humain qu'il était, il se tenait immobile, silencieux.
DRACARYS 2017
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leonette | ft. Edwyn and Boa |
chapitre 7
Je parle à Edwyn et à celle qui a su dompter son cœur. Après quelques instants, je parle de nouveau après m'être levée. Nous devons partir pour que la jeune femme puisse se reposer. Je regarde mon ancien compagnon de jeux.
Boadicée - Lady Leonette ! S’il vous plaît ! Je vous jure que je vais bien ! Ce n’était rien de grave ! Vous pouvez rester.
Je pose mon attention sur Edwyn. Je respire, je pose ma main sur mon ventre. Par la suite, la femme à la chevelure rousse s'assoit, mon regard est toujours en direction d'Edwyn puis je regarde Sacha. Je lui fais signe que tout va bien. Boadicée supplie Edwyn. Je laisse mon ami parler avec Boadicée.
Devons-nous rester ?
Je respire, je ne me suis pas assise. Je pense à Garlan et je me dis qu'il est l'heure de retourner au palais. Combien de temps suis-je ici avec eux ? Trop de temps. Je prends une profonde inspiration et je pose mon regard sur mon meilleur ami et sa compagne.
Leonette – Edwyn et Boadicée, il est temps pour moi de retourner auprès de mon époux, je souris. C'était un réel plaisir de vous voir aujourd'hui. Je les regarde. Peut-être, pourrions-nous voir un autre jour ? Demande-je en regardant en direction d'Edwyn.
Je m'approche en direction d'Edwyn et Boadicée, je leur souris. Vont-ils m'en vouloir que je parte ? Vont-ils penser que c'est à cause de cet incident ? Non, ce n'est pas à cause de la perte de mémoire de la demoiselle que je décide de repartir.
Leonette – Promettez-moi de me donner de vos nouvelles. Je souris. Et, prenez soin de vous. Je respire de nouveau.
Je ne rajoute plus rien. Sacha se rapproche de moi suivi des dames de compagnie ainsi que les soldats. Je regarde Edwyn et sa compagne. Que dire de plus ? Je ne sais pas. Si je serre dans mes bras Edwyn ou Boadicée, ce geste serait mal perçu.
Leonette – J'en suis sûre que je vous reverrais très vite.
J'incline ma tête, mes dames font de même. Je vois Ellery parler à son frère, je regarde Boadicée. Je la trouve sympathique. Peut-être que nos chemins vont se recroiser … Un jour. Mais dans tout les cas, je suis heureuse d'avoir fait sa connaissance. Je ne mens pas. Je dis la vérité. Pourquoi mentirais-je ? À quoi cela me servirait ? À rien.
leonette ❧ retrouvailles sous les ailes du corbeau
- HJ:
- Et voilà pour moi, vous pouvez conclure merci pour ce rp