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Petit Cletus deviendra grand [Flasback Cletus Allyrion - Ulwyck Uller]
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Petit Cletus deviendra grand
An 299, Lune 13, Semaine 4 à la Gracedieu
Ulwyck Uller & Cletus Allyrion
Ulwyck laissa le soin à Cletus de dominer sa monture. Le cadet des Allyrion demeurait sérieux et prétendit que cette femme mystérieuse dont il était éprit était déjà connue d'Ulywck. Il la décrivit tel un poète. Il avait sans doute rencontrer une femme magnifique. Des femmes comme il la décrivait, il n'en existait qu'une. Elle se nommait Arianne Martell et le pauvre Cletus risquait d'être bien déçu lui aussi. Il écouta la suite des informations et chercha l'identité de cette femme magnifique. Qui connaissait-il qui avait prit la mer avec un homme ? Il lui fallu une dizaine de secondes avant de comprendre qu'il parlait de Nymeria Sand, la femme du dragon déchu. Oh pauvre Cletus, cette femme allait te manger tout cru et ne t'accorderai sans doute aucun regard tant que sa raclure vivrait. Une raison de plus de trancher le cou de ce descendant de Valyria venait de s'ajouter sur la liste de chose à faire du Uller.
«Attends ... attends ... ne me dit pas que c'est Nymeria ? Tu plaisantes ? Tu es amoureux d'elle ? Et ben mon Cletus tu n'es pas sortit de l'auberge. Avec son exil et son dragon de pacotille, tu n'as pas choisit la plus facile. Si seulement le Prince Doran m'avait laissé lui tranché la tête, tu aurais eu plus de chance de la conquérir totalement. Arianne m'a éconduit et tu n'as plus la possibilité de voir l'élue de ton cœur. Nous formons un bon duo d'amoureux éplorés mon cher Cletus ha ha ha !»
D'une tape virile, il frappa le dos de Cletus. Le petit ne devait pas avoir le moral et Ulwyck ignorait ce qui pourrait le lui remonter. Il n'était pas capable de faire apparaître Nymeria. Il devait donc se tourner sur ce qu'il faisait lui même lorsqu'il avait le cafard. Il n'y avait au final que peu de possibilité. Cletus pouvait se battre avec lui mais malgré tout le respect que Ulwyck avait pour son « petit frère », le cadet risquait fort bien de repartir la queue entre les jambes en couinant comme un chien effrayé. Il ne restait plus que deux options qui pouvaient se conjuguer l'une avec l'autre. Boire jusqu'à plus soif et à rouler par terre et courir la gueuse ou la catin. Ulwyck connaissait un petit bordel non loin d'ici où il avait passé une bonne partie de sa jeunesse. Peut-être que le temps était venu d'y emmener Cletus et de lui offrir une femme qui lui ferait oublier Nymeria ou du moins qui occuperait son esprit pendant quelques heures.
«Allez suis moi Cletus, nous allons aller dans un endroit qui te remontera, je l'espère, le moral. Il est grand temps que nous passions un moment amusant et de détente ensemble. J'ai hâte de te voir sourire un peu plus et paraître un peu moins sérieux. J'ai connu des mestres âgés qui semblaient plus détendu et relaxé que toi.»
Le jeune homme fit avancer son cheval et commença à le faire descendre jusqu'au bas de la dune, ensuite il se mirent à trotter quelques minutes. Le jeune homme mettant à profit cette avancée plus lente pour poser une question qui l'intriguait à propos de l'affaire Cletus et Nymeria. Quand ? Oui Quand ?
«Dis moi Cletus. Quand est ce que vous avez commencé à forniquer ensemble Nymeria et toi ?»
Éperonnant son cheval, ce dernier commença à galoper. Il savait que Cletus le suivrait. C'était dans la nature d'Ulwyck d'agir sans réfléchir. Poser une question pour mieux disparaître ensuite était une chose naturelle pour lui. Un être à la fois plein de vie, de hargne et de contradictions. C'était sans doute ce qui faisait son charme. Cela, son joli minois et ses prouesses avec les dames. Dés que le petit faisait mine de le rattraper, le Uller continuait son avancée. Ils arrivèrent au bout de longues minutes devant un établissement particulier : un bordel. Le Chevalier de Denfert descendit de son cheval et mit pied à terre. Il attendit sagement que le Allyrion arrive pour lui adresser la parole sur un ton entraînant !
«Alors quand ? Quand ? Dépêche toi ! J'ai hâte de voir ce qui nous attend à l'intérieur. Nostalgie quand tu nous tiens !»
Ulwyck était aussi excité qu'une jeune dame naïve le jour de ses noces ou qu'un jeune garçon le jour de sa première leçon avec le maître d'arme. Il n'avait qu'une envie boire, s'envoyer en l'air et voir un vrai sourire satisfait s'afficher sur la mine réjouie de son petit Cletus !
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Petit Cletus deviendra grand
An 299, Lune 13, Semaine 4 à la Gracedieu
Ulwyck & Cletus
L'air était encore lourd de la chaleur de la veille, et la nuit n'avait guère apporté avec elle que peu de fraicheur sur le fief des Allyrions. Le soleil commençait à peine à percer de sa lumière les dunes lointaines qui entouraient la Grâcedieu. Traversant les couloirs encore vides de serviteurs et de servantes, Cletus se réveillait à peine d'un sommeil qui n'avait été que peu reposant. Etait-ce à cause de la mort de son père, ou bien la peur de l'avenir, ses nuits étaient hantées de rêves qui n'étaient pourtant pas des cauchemars, et dont la simplicité le laissait avide de réponses quand à la signification de ses étranges songes. Alors qu'il arrivait dans la cour où seuls quelques palefrenier s'occuper de faire travailler de jeunes pur-sangs avant que l'air ne se chargea trop de chaleur, il n'eût aucun mal à trouver celui qui l'attendait. Mangeant nonchalament une orange à côté de deux chevaux scellés, le chevalier de Denfert était égal à lui-même. Arrivé quelques jours plus tôt à la Grâcedieu, le Uller était chez lui dans la demeure des Allyrions. Après tout il y avait fait tout son écolage auprès du Lord, et si ce dernier ne quittait jamais son masque de sévérité, le reste de la famille l'avait très vite adopté, faisant de lui un membre à part entière de la fratrie désassortie des enfants du Soleil Noir. Du même âge que ses aînés, Ulwyck n'avait, malgré son caractère si semblable à celui de Daemon, jamais boudé la présence du cadet de la Grâcedieu, quand bien même de nombreuses années, ainsi qu'une grande différence de tempérament, les séparaient. Mais comme Le Uller terminait son écolage, alors que Cletus partait faire le sien loin du fief de sa famille, leurs routes ne s'étaient plus croisées depuis longtemps. Aussi c'était avec un plaisir empreint de nostalgie qu'il avait accepté l'invitation du chevalier de Denfert à se joindre à lui pour une escapade dans les dunes.
"Moi aussi je suis heureux de te revoir ici." Un sourire sincère s'étirant sur ses lèvres pleines, il arriva à la hauteur du Uller. La présence de ce dernier au sein de la Grâcedieu était bien plus bénéfique qu'il ne pouvait se le douter, car son tempérament aussi enjoué qu'imprévisible manquait cruellement à l'interieur des murs de la forteresse blanche, à présent que Daemon avait quitté sa fougue pour une ire qui semblait ne pas vouloir le quitter malgré le temps qui passait. A sa question, il faillit répondre qu'il était toujours prêt lorsqu'il s'agissait de s'éloigner, ne serait-ce que pour un instant, la demeure où son ainé était décidé à imposer à tous son caractère ombrageux, rendu terriblement irascible depuis son accident. "Il faut dire que cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas trouvés tous les deux en même temps à la Grâcedieu, je me suis tellement ennuyé de toi que j'ai même réussi à être fait chevalier en t'attendant." Toujours souriant, il ferma un instant les yeux lorsqu'Ulwyck vint ébouriffer ses cheveux. A l'instar du Uller, il enfourcha ensuite son cheval, avant que tout deux ne quittent la cour à une allure modérée.
Les sabots de leurs montures soulevant le sable et la poussière de la route, ils quittèrent rapidement les chemins dessinés par les passages des marchands et des caravanes pour aller se perdre dans les dunes qui entouraient le fief des Allyrions. Le souffle puissant des pur-sangs venait seul briser le silence qui régnait dans le désert dornien. Ce genre de cavalcade était le quotidien du cadet, bien que d'ordinaire il partait seul parcourir les dunes de rocs et de sable. Bientôt les deux cavaliers atteignirent le sommet d'une dune, qui leur offrait une vue spectaculaire sur la Sang-vert et la Grâcedieu, dont la blancheur était rendue aveuglante par le soleil. Vue d'ici, la forteresse semblait comme immuable. Pourtant, tout avait changé. Daemon avait failli tout perdre dans les flammes des dévots de R'hllor. Le lord, leur père, avait été assassiné. Et Nyméria était partie. Et ni le temps ni la distance ne semblaient faire faiblir ses sentiments pour l'aspic.
"Tu as parlé à Daemon?" Cletus s'était tourné vers le brun, alors qu'ils chevauchaient côte à côte. Depuis l'accident de ce dernier, le cadet Allyrion n'avait jamais pu lui tirer autre chose que des insultes et du mépris, aussi avait-il choisit de ne plus croiser son frère dans la Grâcedieu, et laissant à Valena la difficile place d'unique interlocutrice du Sand. Il était connu que le plus jeune des Allyrion souffrait depuis toujours du dédain de son ainé, aussi sa question ne devait elle pas surprendre plus que cela le chevalier de Denfert.
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Petit Cletus deviendra grand
An 299, Lune 13, Semaine 4 à la Gracedieu
Ulwyck Uller & Cletus Allyrion
Cletus avait bien grandit. C'était un fait indéniable. Il avait toujours néanmoins toujours cette petite tête de poupin qu'Ulwyck affectionnait tant. Cela faisait plaisir de le voir évoluer. Il avait été fait chevalier et devait sans doute s'en faire une petite fierté mais il doutait que Cletus puisse un jour lui ressembler d'une quelconque façon à moins d'avoir changé de personnalité du tout au tout. Et puis il n'y avait qu'un seul Ulwyck Uller et ce dernier n'était pas prêt d'être détrôné par le premier Allyrion venu. Alors que leur monture commençaient toutes deux à avancer, le jeune homme de Denfert s'adressa au plus jeune des Allyrion d'une voix sincère et franche.
«J'ai l'impression que c'était hier pourtant. Tu étais si petit. Je te félicite pour avoir été fait chevalier. Je suis fier de toi et j'espère que ce n'est pas la seule chose que tu as pût tirer en t'inspirant de moi. »
Leur ballade les conduisit au sommet d'une dune d'où ils purent contempler la Gracedieu et la Sang-Vert. Cette vue lui avait manqué. Il n'avait plus mit les pieds dans le fief des Allyrion depuis le retour de Daemon suite à son fâcheux accident. Dire que Rhaegar ne l'avait même pas payé de sa tête. Pourtant Ulwyck lui aurait trouvé un bel endroit, au sommet de cette dune, l'exposant au soleil jusqu'à ce qu'il meurt de déshydrations, de ses brûlures ou même de la folie. Le Targaryen aurait pût connaître ainsi les tourments de son presque frère, le Bâtard de la Grâcedieu. Cletus lui posa alors une question banale à laquelle le Uller répondit sur un ton franc.
«Aujourd'hui ? Non. J'avais envie de passer ma matinée avec toi. Avant, il serait certainement venu avec nous mais tu sais comme moi que cela ne lui est plus aussi facile qu'avant.»
Le jeune homme resta là, muet à observé ce magnifique panorama qui s'offrait à lui. Oh oui Dorne allait lui manquer ! Ça il en était certains. L'astre solaire allait lui manquer tout autant que d’appeler sa princesse « mon soleil ». Les dunes allaient lui manquer, toute aussi sensuelles que les courbes de sa Princesse que lui avait ravit cette petite raclure de Bravoshi. Les Allyrions allaient lui manquer. Harmen aussi probablement. En somme c'était tous ce qu'il lui restait. Son frère et sa deuxième famille, étaient encore les seuls personnes à mériter sa présence et à avoir de l'importance à ses yeux, ici à Dorne. Les autres se trouvaient bien trop loin de lui. La nourriture et le vin aussi allait lui manquer dans une moindre mesure. Le jeune homme soupira longuement avant de reprendre la parole, un brin de nostalgie se trahissant dans sa voix.
«Ne trouves tu pas que Dorne est belle et unique ? Je pense qu'il n'y a que nous autres dornien qui pouvons comprendre sa beauté. Ces terres vont me manquer Cletus. Je vais partir de Dorne un moment. J'ai besoin de m'éloigner d'ici, d'oublier et de régler quelques problèmes personnels. Je souhaite aussi revoir ma famille. On ne se verra plus avant un long moment, je le crains. C'est pour cela que j'avais envie de passer du temps avec toi et avec chacun des membres de ta famille. Daemon et moi sommes comme des frères mais vous avez tous une grande place dans mon cœur. »
Il se rappellait de tout ces moments passés avec Daemon. A faire la course, à se battre, à explorer le coin, à aller vider quelques coupes, aller courir la gueuse ou prendre du bon temps au bordel. Tout était plus simple à cette époque. S'il le pouvait, il reviendrait sans doute dans le passé pour revivre ses moments mais il ne possédait pas ce genre de capacité. Sautant du coq à l'âne, le Uller reprit sur la parole sur un ton plus entraînant et plus enjoué qui lui ressemblait bien plus que celui qu'il avait utilisé lors de sa précédente intervention.
«Puisque tu t'es ennuyé de moi, je suppose qu'en plus d'être chevalier, tu es devenu un véritable séducteur et coureur de jupon, Cletus ?»
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Petit Cletus deviendra grand
An 299, Lune 13, Semaine 4 à la Gracedieu
Ulwyck & Cletus
La réponse du Uller à sa question était à son image, pleine de franchise et d’insouciance. Il n’avait répondu qu’en quelques mots, et ne semblait pas être disposé, ni même éprouver un besoin semblable à celui du cadet de la Grâcedieu de parler de ce frère dont il n’avait jamais été proche. Plutôt que de pousser le chevalier de Denfert à en dire plus, l’ancien écuyer de Ferboys préféra laisser courir, dans l’idée que ce qui ne souciait pas Ulwyck plus que cela ne valait pas forcément la peine de s’y attarder, au risque de gâcher un moment de détente. Daemon autrefois un chevalier qui s’était imposé en digne élève de la Vipère Rouge dont il avait été l’écuyer. Mais le feu et les blessures avaient laissé au passé cette vie de combattant avide de gloire et de victoires. Cletus n’avait jamais été doué pour les armes, et sa maîtrise de celles-ci était tout juste moyenne, si bien qu’il était hors de question pour lui de courir les tournois comme l’avait fait son frère avant lui. S’il n’y mourrait pas, il serait certains d’en sortir blessé. Et ni Daemon, ni Ulwyck n’avait à craindre de lui un potentiel rival dans les joutes de Dorne. Le vent chaud qui remontait des gorges de la Sang-Vert vint faire voler les voiles noirs et rouges des vêtements du cadet Allyrion, amenant avec lui le parfum de l’eau du fleuve et des vergers qui prospéraient sur ses berges.
Mais alors qu’ils étaient tous deux plongés dans la contemplation du paysage qui s’offrait à eux depuis les hauteurs de la grande dune sur laquelle ils se trouvaient, le Uller lui révéla son départ prochain de Dorne. C’était une nouvelle qui tombait, pour ainsi dire, comme un cheveu sur la soupe, mais le chevalier de Denfert était, et resterait probablement toujours, imprévisible. Cletus se tourna vers lui, accusant la nouvelle et tous les mystères qui l’entouraient déjà. « Mais pourquoi donc ? Et où vas-tu donc aller ? Les Sept Couronnes tombent en morceaux, et toi tu veux aller bourlinguer comme si de rien n’était en dehors des frontières de Dorne ? » La principauté était indépendante depuis une année, mais des évènements récents avaient provoqué le détachement du Bief du Royaume du Sud, et le voisin tant détesté des dornien portait lui aussi fièrement sa nouvelle indépendance. « Tu parles comme si tu n’allais jamais revenir, et je sais bien que rien ne peut te faire sortir une idée de la tête, mais j’espère que tu feras attention à toi. » Son regard bleu brillait d’une inquiétude sincère, car il avait autant confiance en le talent d’épéiste du Uller qu’il craignait ses coups de sang, et il savait qu’il n’y aurait pas à attendre longtemps avant que le chevalier de Denfert ne trouve un gueux ou un soldat qui lui offrirait la possibilité de dégainer son épée. « Tu manqueras à la Grâcedieu. » Il pensait ce qu’il disait, car le chevalier amenait toujours avec son caractère trempé une claque de vie à la forteresse blanche dont l’atmosphère était encore emplie de la disparition du Soleil Noir. Mais comme Ulwyck resterait toujours Ulwyck, il changea aussitôt de sujet pour entamer une discussion qui représentait toute l’insouciance du Uller. La question des femmes était un thème jamais abordé entre les enfants de la Grâcedieu, et chacun gardait pour soit les secrets de sa vie amoureuse. Cette pudeur, elle était due autant aux liens compliqués qui les unissaient qu’à l’éducation de leur père. Ce dernier n’avait jamais trompé son épouse, là où n’importe quel lord, dornien ou non, ne se serait pas gêné pour prendre une ou plusieurs maîtresses. Et cette pudeur leur était restée, tant et si bien qu’hormis quelques aventures de Daemon, rien n’était dévoilé lorsqu’il s’agissait de la vie amoureuse des Allyrions. « Pas vraiment non. » De même que son père, Cletus n’avait pas le goût de se perdre dans les bras de toutes les femmes, ou de tous les hommes, comme cela était si librement répandu dans la principauté. C’était si évident, qu’il était communément admis qu’il n’avait jamais connu de femme, et que cela perdurait encore. Pourtant, bien que cela fût à une fois près, le cadet Allyrion était bel et bien un homme depuis plus d’un an. Et il ne s’en était jamais vanté, pour la simple et bonne raison qu’en plus de son caractère humble, sa seule et unique amante n’était plus vraiment dans les petits papiers des nobles dorniens. « Mais j’ai connu une femme, si c’est cela que tu veux savoir. »
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